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Blog - Page 148

  • Trump confie que sa rencontre avec Poutine au G20 a été «formidable»

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    © Carlos Barria Source: Reuters
    Donald Trump au G20 à Hambourg, le 8 juillet
     

    Au cours d'une discussion avec le Premier ministre britannique Theresa May, Donald Trump est revenu sur les deux heures qu'il a passées avec Vladimir Poutine, estimant que leur rencontre avait été «formidable».

    Lors d'un entretien avec Theresa May en marge du G20 à Hambourg, le 8 juillet, Donald Trump en a profité pour donner son ressenti sur sa première rencontre officielle avec son homologue russe, Vladimir Poutine, qu'il avait eue la veille.

     
     

    Sans s'épancher sur le sujet outre mesure, le président américain a tout de même glissé que leur rencontre avait été «formidable», selon l'AFP.

     

    "Rex and I had a tremendous meeting yesterday with President Putin," Trump says sitting beside PM May. (@HorsleyScott pic)

       

    Le secrétaire d'Etat américain, Rex Tillerson, avait déjà fait savoir la veille que la rencontre avait été très constructive et que «la connexion» entre les deux dirigeants s'était faite très rapidement. «Il y a très clairement une alchimie positive entre eux», avait-il affirmé.

    Les deux chefs d'Etat n'ont pas pour autant évité les sujets de discorde, et notamment la supposée ingérence russe dans l'élection américaine. Selon Rex Tillerson, le sujet a été l'occasion d'un échange «très long et très vigoureux», au cours duquel le président russe a nié toute implication de Moscou et a demandé à ce que Washington apporte des preuves étayant ces accusations.

    Si le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a assuré que le président américain Donald Trump «accept[ait]» les dénégations de la Russie sur ces ingérences présumées, Rex Tillerson s'est montré moins catégorique.

    Les deux dirigeants ont en outre affiché des opinions différentes sur la manière de traiter les questions du programme nucléaire de la Corée du Nord et de ses tests de missiles balistiques. Washington continuera ainsi de faire pression sur Moscou pour que la Russie freine les activités de Pyongyang, selon Rex Tillerson.

    Mais les deux pays se sont mis d'accord sur l'instauration d'un cessez-le-feu à compter du 9 juillet dans le Sud-Ouest de la Syrie.

     

  • Pour Macron, pas de lutte contre le terrorisme «sans action contre le réchauffement climatique»

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    Donald Trump et Emmanuel Macron au G20 de Hambourg
     

    Lors d'une conférence en marge du G20, Emmanuel Macron a annoncé qu'il organiserait un nouveau sommet sur le climat, dans le but de convaincre Donald Trump de renoncer à sortir de l'accord de Paris. Pour cela, il a avancé un argument déroutant...

    A l'issue du G20, le président français Emmanuel Macron a annoncé ce 8 juillet qu'un nouveau sommet sur le climat serait organisé à l'initiative de la France. Objectif de cette initiative : convaincre Donald Trump de revenir sur sa décision de sortir de l'accord de Paris, l'une de ses promesses de campagne .

    «Je ne désespère jamais de convaincre, je pense que c'est un devoir compte-tenu de la fonction qui est la mienne et un trait de caractère», a martelé Emmanuel Macron. Ses propos ne sont d'ailleurs pas sans rappeler ceux du Premier ministre britannique, Theresa May, qui avait exprimé un espoir similaire la veille. 

    Mais le chef de l'Etat français justifie la nécessité d'un changement d'avis de Washington par un raisonnement pour le moins original. «On ne peut pas prétendre lutter efficacement contre le terrorisme si l'on n'a pas une action résolue contre le réchauffement climatique», a-t-il déclaré. Selon lui, «tout est lié» et les déséquilibres environnementaux, sociaux et politiques sont imbriqués. Le président de la République n'a cependant pas précisé quelle était la nature exacte du lien entre le réchauffement climatique et les récents attentats islamistes perpétrés en Europe. Faut-il y voir l'une des manifestations de cette «pensée complexe» qui caractériserait, selon ses proches, le président de la République ? 

    Le locataire de la Maison Blanche, qui s'était montré très critique pendant sa campagne à l'égard de l'accord ratifié par son prédécesseur à l'issue de la COP 21, avait annoncé le 1er juin dernier que les Etats-Unis s'en retiraient. Il a cependant précisé être prêt à négocier un nouvel accord, «plus équitable» pour son pays.

    RT

  • Après sa nouvelle condamnation à de la prison ferme, Boris Le Lay réagit [Interview]

    http://www.breizh-info.com/2017/07/08/73568/boris-le-lay-prison-ferme-repression-dissidence

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  • VIDEO - Paris: plus de 2700 migrants évacués du camp de la porte de la Chapelle


    Paris : plus de 2 700 migrants évacués du camp de la porte de la Chapelle

  • FOLHUMOUR

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  • Guillaume Roquette (Le Figaro) : « Il faut construire des murs pour se protéger d’une immigration qui nous débordera »

    http://www.fdesouche.com/868927-guillaume-roquette-le-figaro-il-faut-construire-des-murs-pour-se-proteger-dune-immigration-qui-nous-deborde

  • Sergueï Lavrov : «Moscou et Washington ont décidé d'un cessez-le-feu pour la Syrie»

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    © Ruptly
     

    Après la rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump au sommet du G20, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a annoncé qu'un cessez le feu avait été décidé pour le Sud-Ouest de la Syrie. Il rentrera en vigueur le 9 juillet.

    Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré aux journalistes, que Vladimir Poutine et Donald Trump avaient abordé les questions de la Syrie, de l'Ukraine et de la cybersécurité dans une discussion «très dense et fructueuse», lors de leur première rencontre, en marge du G20 à Hambourg

    Il y a très clairement une alchimie positive entre eux

    «La rencontre a été très constructive, la connexion entre les deux dirigeants s'est faite très rapidement [...] Il y a très clairement une alchimie positive entre eux», a de son côté fait savoir le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson, à l'issue de la rencontre. 

    Sur la Syrie

    «Le 7 juillet, à Oman en Jordanie, des experts russes, américains et jordaniens ont convenu de la création d'une zone de désescalade dans le sud-ouest de la Syrie», a ajouté Sergueï Lavrov. Dans cette zone, un cessez-le-feu sera mis en place de 0h à 12h (heure de Damas). Il rentrera en vigueur à partir du 9 juillet, a fait savoir le chef de la diplomatie russe.

    RT

     

  • JOURNAL TVL DU 7 JUILLET

  • Discours aux Européens de Trump à Varsovie : « Nous affrontons l’islam radical, nous vaincrons si nous n’oublions pas notre identité, nos traditions »

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    Discours aux Européens de Trump à Varsovie : « Nous affrontons l’islam radical, nous vaincrons si nous n’oublions pas notre identité, nos traditions »
    POSTED BY LA RÉDACTION ON 6TH JUILLET 2017 
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    BREIZATAO – ETREBROADEL (06/07/2017) Le président Donald Trump a donné un discours aux accents historiques à Varsovie, en Pologne. Il a invité les Européens à défendre leur identité, leur foi et leur liberté face à la menace de l’islam radical et du socialisme.

    Extraits :

    « Aujourd’hui, nous n’affrontons plus le spectre du communisme. Mais aujourd’hui, en Occident, il y a des menaces graves pour notre sécurité et pour notre mode de vie. Vous voyez ce qui se passe là-bas, il y a des menaces. Nous les affronterons. Nous vaincrons. Mais il y a des menaces. Nous affrontons une autre idéologie oppressive, celle qui cherche à exporter le terrorisme et l’extrémisme partout dans le monde. Les USA et l’Europe ont subi une attaque terroriste après l’autre. Nous allons y mettre un terme […] Nous devons rester unis face à ces ennemis communs pour les priver de leur territoire, de leur financement, de leurs réseaux et toute forme de soutien idéologique dont ils peuvent bénéficier […] Nos frontières seront toujours fermées au terrorisme et à l’extrémisme […] Nous combattons durement contre le terrorisme islamique radical et nous gagnerons. 

    Des deux côtés de l’Atlantique, nous affrontons un autre danger qui est fermement sous notre contrôle. Ce danger est invisible pour certains […] la bureaucratie gouvernementale qui s’insinue et pompe la vitalité et la richesse du peuple. L’Occident n’est pas devenu grand grâce à la paperasse ou aux régulations mais parce que les gens étaient laissés libres de poursuivre leurs rêves et de réaliser leur destinée. Les USA, la Pologne et les nations d’Europe font de la liberté individuelle et de la souveraineté leurs valeurs. Nous devons nous unir pour affronter les forces, qu’elles viennent de l’extérieur ou de l’intérieur, du Sud ou de l’Est, qui menacent régulièrement ces valeurs et qui veulent effacer les frontières, les cultures, la foi et les traditions qui font ce que nous sommes.

    Si ces forces ne rencontrent aucune résistance, elles saboteront notre courage, saperont notre esprit et affaibliront notre volonté de nous défendre ainsi que nos sociétés. Mais tout comme nos ennemis du passé l’ont appris ici, en Pologne, nous savons que ces forces sont condamnées à échouer si nous voulons qu’elles échouent. Et, en effet, nous voulons qu’elles échouent. Ils ne sont pas seulement condamnés parce que notre alliance est solide, nos pays endurants et notre puissance sans égale, même si tout cela est vrai. Nos adversaires sont condamnés parce que nous n’oublierons jamais qui nous sommes et si nous n’oublions pas ce que nous sommes, nous ne pouvons pas être battus. Les Américains n’oublieront jamais, les nations d’Europe n’oublieront jamais.

    Nous sommes la communauté des nations la plus dynamique, une communauté telle que le monde n’en a jamais connue. Nous écrivons des symphonies, nous innovons, nous célébrons nos anciens héros et tenons à nos traditions et coutumes. Nous cherchons toujours à explorer et à découvrir de nouvelles frontières. Nous récompensons le génie, nous progressons par l’excellence et nous chérissons les œuvres d’art qui nous inspirent et honorent Dieu. Nous protégeons l’état de droit, la liberté d’expression […] Et par dessus tout, nous plaçons la dignité de toute vie humaine et protégeons le droit de toute personne et partageons l’espoir de toute âme de vivre librement. C’est ce que nous sommes, c’est ce qui nous lie ensemble comme nations, comme alliés et en tant que civilisation.

    Ce que nous avons, ce dont nous avons hérité de nos ancêtres n’a jamais existé dans une telle mesure avant et si nous échouons à le préserver, cela n’existera plus jamais. Donc, nous ne pouvons pas nous permettre d’échouer. Nos citoyens n’ont pas obtenu la liberté ensemble, n’ont pas survécu aux horreurs ensemble, n’ont pas repoussé le mal ensemble pour finalement perdre notre liberté à cause d’un manque de fierté et de confiance dans nos valeurs. Nous n’avons jamais reculé et nous ne reculerons jamais. »

     

  • Asnières: Elise, l'ado "comme les autres", qui a eu 20,6 au bac

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    Asnières, mercredi 5 juillet. Elise Bohin a obtenu la note maximale au baccalauréat. LP/E.C.
     
     
    Emeline Cocq
     
    Asnières-sur-SeineElise Bohinbaccalauréatlycée sainte genevièveEdouard Philippe
     

    Résultats du Bac 2017. Cette habitante d’Asnières de 18 ans a décroché son bac S avec un peu plus de 20 sur 20 de moyenne. Le prix d’un travail conséquent, mais qui n’a pas eu d’impact sur sa vie d’adolescente.

    «Je suis quelqu’un qui bosse énormément mais qui sort aussi à côté : ce n’est pas incompatible…» Élève au lycée privé Sainte-Geneviève à Asnières, Elise Bohin a obtenu son baccalauréat scientifique avec 20 de moyenne pile. Enfin, presque. «20,6 pour être précis», tient à souligner sa maman, dont les deux autres enfants ont aussi tutoyé les sommets sans atteindre la note maximale. La fille, humble, avoue avoir été surprise en constatant les résultats. «Je m’attendais à décrocher une mention très bien, mais pas à avoir 20 !»

     

    Pour l’ado de 18 ans, c’est le latin, et non les maths, qui ont fait la différence. Une option qui lui a fait gagner trente points supplémentaires et qu’elle va regretter l’année prochaine. Elise a en effet été admise en prépa physique-chimie au Lycée Stanislas à Paris, son deuxième choix sur le site Admission Post-Bac. Autant à l’aise en dissertation qu’en sciences, la jeune fille ne sait pas encore ce qu’elle veut faire plus tard. «Je ne vais pas dire que travailler m’amuse, lâche-t-elle d’un ton léger. Mais comme je m’intéresse à tout, je n’angoisse pas pour l’avenir.»

     

     

    Fan d’heroic fantasy et de séries américaines

     

    Son secret ? Des révisions régulières et sans pression. «Elle dit que nous sommes des parents indignes car nous ne sommes pas constamment sur son dos», plaisante la maman d’Elise. Autonome, l’adolescente a donné un «coup de collier» en 1re et en Terminale pour préparer les dossiers à destination des écoles. Sans pour autant négliger les sorties entre copines. La jeune fille, fan de heroic fantasy, de danse classique et de séries américaines, hausse les épaules : «Je suis comme tout le monde !».

     

    L’idée que le baccalauréat soit en partie validé par un contrôle continu, comme l’a annoncé le Premier ministre, Edouard Philippe, le 4 juillet, ne l’enchante pas. Pour Elise, cela reste un «objectif» pour la fin du lycée. «Ce n’est pas un examen facile en soi, concède la jeune fille. En revanche, la notation facilite les résultats. Quand un exercice est généralement raté, les barèmes s’assouplissent…» En attendant, l’adolescente à l’allure bohème et aux grands yeux bleus compte fêter dignement ses résultats qui sont, eux, hors-normes.

     

    Prénoms, académies... nos stats du Bac Général 2017 - Stats du Bac Pro 2017 Stats du Bac Techno 2017 
    (stats en direct sur les résultats communiqués par les académies)

    >>LES RESULTATS DU BAC GENERAL
    >>LES RESULTATS DU BAC TECHNO
    >>LES RESULTATS DU BAC PRO

      leparisien.fr
  • JOURNAL TVL DU 6 JUILLET

  • Thierry Mariani : « Ce retour des réfugiés montre qu’Assad est en train de gagner la guerre »

     


    Député de la 11ème circonscription des Français de l'étranger (Europe de l'Est, Asie, Pacifique) - Ancien ministre- Président des Chorégies d'Orange depuis 1995

     
     

    De source officielle (Haut Commissariat des Nations unies pour les Réfugiés), on vient d’apprendre que, depuis janvier, un demi-million de déplacés internes et réfugiés sont revenus en Syrie. Pour Thierry Mariani, c’est une bonne nouvelle : elle montre que ces Syriens ont confiance en l’avenir. Cela signifie aussi – que cela plaise ou non – qu’Assad est incontournable et en train de gagner la guerre. L’intérêt de la France étant que la paix revienne dans cette région et que les réfugiés y retournent, il faut donc, dit-il, renouer le dialogue rapidement.

    Le Commissariat aux réfugiés a annoncé qu’un demi-million de déplacés internes et de réfugiés syriens étaient de retour chez eux depuis janvier dernier. Que vous inspire cette nouvelle ?

    D’abord, ce sont des sources tout à fait officielles, parce que ces statistiques viennent de l’UNHCR, c’est-à-dire le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés.
    C’est une bonne nouvelle. C’est une bonne nouvelle, parce que cela veut dire que, de façon volontaire, les gens rentrent chez eux.
    Cela veut dire qu’ils retrouvent confiance en l’avenir.
    Je pense que les gens avaient fui avant tout la guerre. Ils avaient souvent fui dans les pays voisins, Turquie ou Liban, principalement.
    Pour moi, le retour de ces gens est un témoignage d’une certaine confiance dans l’avenir.
    Quand on a fui un pays et qu’on retourne dans ce pays, même si la guerre n’est pas finie, cela signifie que l’on pense pouvoir à nouveau y vivre une vie, non pas normale, mais qui se rapproche de la normale.

    En quoi est-ce une bonne nouvelle pour la Syrie elle-même, alors que la guerre n’est pas finie ?

     

    Je pense que d’abord c’est un bon signe pour le gouvernement.
    Cela signifie que la population pense que désormais la situation va se stabiliser même s’il reste, on le sait tous, de nombreuses poches tenues pas les islamistes.
    Deuxièmement, cela prouve aussi que ce que fuyaient les gens, ce n’était pas Assad. Pour beaucoup d’entre eux, c’était surtout la guerre.

    Quel est le message ou la leçon que devraient retenir les gouvernements ou les gouvernants occidentaux sur la politique à adopter par rapport à la Syrie aujourd’hui dans l’état actuel des choses ?

    Il n’y a pas d’alternative concernant la politique à adopter.
    Pour une fois, je suis d’accord avec ce qu’a déclaré Macron. Je ne suis pas du tout un Constructif, vous le savez, mais quand Macron dit en substance qu’il n’y a pas d’autre autorité légitime, cela veut dire ce que cela veut dire.
    En clair, il n’y a pas d’autre pouvoir possible. Il n’y a pas d’autre gouvernement qui puisse remplacer le gouvernement actuel.
    Si on veut retrouver la paix, la leçon est d’abord de faire en sorte que la guerre contre les djihadistes soit gagnée. Ce gouvernement, quoi qu’on en pense, est le seul à lutter avec ses alliés sur place contre les djihadistes.
    Je pense qu’on devrait souhaiter sa victoire.
    On verra comment évolue le pays, mais un pays qui retrouve la paix, c’est un pays où les réfugiés rentrent chez eux, et c’est une situation qui petit à petit revient à la normale.
    Qu’est-ce qu’on devrait tirer de cette situation ?
    Que finalement, que ça plaise ou non, Assad est incontournable.
    Que ça plaise ou non, il est en train de gagner la guerre dans son pays, grâce à ses alliés russes et iraniens.
    Je crois que c’est le général de Gaulle qui disait : « La France n’a pas d’amis, elle n’a que des intérêts. »
    Notre intérêt est qu’il y ait la paix dans cette région.
    Qu’on soit ami ou pas avec le chef de l’État, notre intérêt est que les réfugiés rentrent chez eux. C’est ainsi qu’ils ne viennent pas en Europe, soyons clairs.
    Notre intérêt est que ces gens-là soient heureux chez eux.
    À mon avis, il faut renouer le dialogue le plus rapidement possible.

    BV

  • Cérémonie d'hommage aux Invalides pour Simone Veil

    Pour les bébés avortés, c'est juste un incinérateur

  • La macronista a mordu à l'épaule un chauffeur de taxi

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    Le Premier ministre Edouard Philippe lui avait fait l’honneur de débuter sa déclaration de politique générale devant l’Assemblée nationale en lui rendant hommage – sans citer son nom. Laetitia Avia, 31 ans, avocate, élue députée avec près de 65% des suffrages dans la 8e circonscription de Paris, est l’une des étoiles montantes de La République en Marche.  (L’Obs)

    http://www.lepoint.fr/politique/quand-laetitia-avia-deputee-lrem-mord-un-chauffeur-de-taxi-05-07-2017-2140693_20.php