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Blog - Page 146

  • Macron-Trump : découvrez le menu de leur dîner à la tour Eiffel

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    Jeudi soir, les deux présidents et leurs compagnes ont dîné au Jules Verne, au deuxième étage de la tour Eiffel. BFM TV s'est procuré le menu du repas.

    PAR 6MEDIAS
    Modifié le  - Publié le  | Le Point.fr
    Les deux couples ont dîné au Jules Verne.
    Les deux couples ont dîné au Jules Verne. © VILLARD/WITT/SIPA / SIPA/ VILLARD/WITT/SIPA
     
  • Défense: pour le FN, c'est Macron qui est "irresponsable"

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    LE SCAN POLITIQUE - En plein 14 juillet, sur fond de crise entre Emmanuel Macron et les Armées, le Front national, premier parti politique chez les militaires, dénonce le « mensonge » du président de la République sur l'état réel des forces françaises en prenant la Défense de Pierre de Villiers, chef d'état-major.

    Le 14 juillet 2017, premier du quinquennat Macron, est dans le viseur du Front national. Derrière le traditionnel défilé des Forces françaises, le parti de Marine Le Pen, premier parti politique au sein des forces armées, s'élève contre les réductions budgétaires et dénonce des «sacrifices scandaleux». «Emmanuel Macron est dans l'image et n'a pas saisi le fond du problème. Il invite Trump, expose les troupes françaises mais il n'a pas compris que nos forces ont besoin de moyens et n'a pas pris la mesure de leur importance dans la lutte contre le terrorisme» s'insurge Jérôme Rivière, conseiller défense de Marine Le Pen durant la présidentielle.

    Lorsqu'elle était en campagne, la candidate du FN avait plaidé pour une augmentation sensible des moyens accordés à la Défense nationale et promis d'augmenter son budget immédiatement si elle était élue. Elle s'était notamment engagée à dégeler 2,6 milliards gelés par Bercy, dès le mois de juillet.

    Dans un ouvrage publié jeudi, consacré à la nouvelle géographie politique du pays, (Le Puzzle français. Un nouveau partage politique, avec le soutien de la fondation Jean Jaurès), le démographe Hervé Le Bras et le directeur du département Opinion et stratégies de l'Ifop, Jérôme Fourquet, soulignent la forte implantation du vote FN chez les militaires lors de la dernière présidentielle (un militaire sur deux selon l'Ifop). L'examen des bureaux de vote, dans lesquels sont majoritairement inscrits les fonctionnaires des armées et leurs proches, le révèle de manière indiscutable.

    «Arbitrage scandaleux»

    Dans un virulent communiqué diffusé le 11 juillet, le parti frontiste a vivement critiqué les «coupes sèches» prévues dans le budget de l'Etat et dénoncé un «arbitrage scandaleux» qui pèserait, selon lui, sur la sécurité des Français. Si le gouvernement et Emmanuel Macron ont expliqué que ces restrictions budgétaires ne toucheraient pas les activités les plus sensibles des armées, les soldats ne l'entendent pas de la même oreille. A la veille du défilé, le chef d'état-major Pierre de Villiers a menacé de démissionner, au risque de provoquer la colère du président qui est aussi le chef des Armées.

    Mais au FN, le ras-le-bol des militaires n'étonne personne. «Le président Macron avait promis pendant la campagne de porter le budget des Armées à 2% du PIB d'ici 2025. Alors que cet objectif déjà très lointain aurait nécessité un effort progressif et constant, le premier geste du gouvernement consiste à amputer de 850 millions d'euros le budget des Armées, ce qui revient à reculer la ligne de départ avant même le début de la course» a condamné le parti frontiste. Le FN fustige le «cynisme» d'Emmanuel Macron et réclame un nouvel arbitrage pour «préserver l'intégralité» de trois budgets ministériels qu'il juge «absolument prioritaires» (Armée, Intérieur et Justice).

    «Soldats très exposés»

    Durant la présidentielle, Marine Le Pen s'était rendue au Tchad. Elle avait rencontré les soldats de l'opération Barkhane, installés en première ligne contre le terrorisme djihadiste au Sahel. Une fois élu, Emmanuel Macron avait fait le même déplacement et assuré les forces de son soutien. «Je serai un chef des armées exigeant, lucide et toujours présent. Je ne risquerai pas vos vies pour rien» avait-il notamment écrit sur Twitter.

    «Dire que nos forces ne subiront pas ces coupes budgétaires est un mensonge, accuse Jérôme Rivère qui s'était rendu avec la candidate FN au Tchad, nos armées et nos policiers sont à l'os. Dès le 17 juillet, elles ne pourront plus faire appel aux réservistes alors qu'ils jouent un rôle important pour notre sécurité et celle de nos militaires. Au Mali, quand on alimente en eau les postes éloignés, nous n'avons plus les moyens de le faire par hélicoptères et la vie de nos soldats est très exposée car ils sont contraints de traverser des zones tenues par des forces armées rebelles» s'indigne le cadre frontiste.

    Enfin, pour lui, le coup de gueule du chef d'Etat-Major des Armées, réprimandé par le chef de l'Etat, est légitime. «Pierre de Villiers, qui arrive en fin de carrière et que Macron avait reconduit en croyant faire un bon coup de communication, avait déjà expliqué que sans effort budgétaire, il ne pourrait pas tenir le contrat opérationnel signé avec la France. Il est normal qu'il tienne cette position aujourd'hui. Il met simplement à jour la responsabilité du président et du gouvernement. Ce qui est invraisemblable est que le chef de l'Etat, élu sur la promesse d'augmenter le budget des Armées, annonce des coupes budgétaires quelques jours avant le 14 juillet. C'est cela qui est irresponsable!» considère le conseiller défense de Marine Le Pen.

  • Berlin : un réfugié gambien musulman échappe à la prison après avoir torturé atrocement sa belle-fille âgée de 5 ans

     

    23h57

    Un réfugié gambien vivant à Berlin a échappé à une peine d’emprisonnement, en dépit d’être reconnu coupable d’avoir torturé sa belle-fille de 5 ans dans des rituels religieux violents.

     

    Mamadou G, 37 ans, a admis avoir abusé de sa belle-fille dans un rituel religieux appelé « Juju » parce qu’il croyait qu’elle était un diable. L’individu la frappait avec des bâtons, des ceintures et ébouillantait ses mains avec de l’eau chaude, parmi d’autres punitions dégradantes.

    Il lui a dit que si elle «continuait à refuser à Allah, elle irait en enfer, où elle serait démembrée».

    Un pédiatre a témoigné que la petite fille avait des blessures partout sur son corps et qu’il était également évident que l'enfant était gravement traumatisée mentalement ». Le pédiatre a également déclaré à la cour comment la fille a été forcée de dormir dans une valise et n’a pas eu de jouets dans l’appartement dans lequel elle habitait.

    Au tribunal, le juge n’a pas donné à l’homme une peine de prison pour ces crimes, mais a choisi de donner à l’homme deux ans de probation. L’homme sera cependant renvoyé en prison pour une peine pour trafic de drogue, mais sera probablement libre l’année prochaine.

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  • Macron c'est aussi ça

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    On apprend que le garde des Sceaux, Nicole Belloubet, a proposé au Conseil supérieur de la magistrature la nomination de Françoise Martres, actuellement conseillère à la chambre sociale de la cour d'appel d’Agen, au poste de première vice-présidente de la cour d’appel de Bordeaux.

    Une superbe promotion, pour une femme doit passer en correctionnelle pour « injure publique ».

    Françoise Martres était présidente du syndicat de la magistrature quand a éclaté l’affaire du « mur des cons ». Elle n’a jamais désavoué cette immondice indigne de tout magistrat qui se respecte. Il convient de rappeler que sur ce mur de photos il n’y avait pas seulement les personnalités politiques honnies des gauchistes du syndicat, agrémentées d’injures, il y avait aussi, par exemple, le général Schmitt, père d’Anne-Lorraine assassinée en 2007, et Jean-Pierre Escarfil, père de Pascale tuée par Guy Georges en 1979.

    Le journaliste qui avait révélé l’existence du « mur des cons » fut sanctionné par sa rédaction (France 3) qu’il avait « salie » par ses révélations (sic) et son syndicat apporta son soutien… au syndicat de la magistrature. Mais il portera plainte contre Françoise Martres pour injures publiques, ainsi que 11 « cons ».

    Le juge d’instruction avait ordonné le renvoi de Françoise Martres devant le tribunal, mais bien entendu le parquet avait fait appel et l’affaire était arrivée jusqu’à la Cour de cassation… qui a confirmé la décision du juge d’instruction. En mars dernier, on a appris que Françoise Martres sera jugée en… décembre 2018…

    Reste à savoir si le Conseil supérieur de la magistrature va se rendre complice de cette ignominie, ou va oser s’opposer à la Belloubet, c’est-à-dire au tout-puissant Macron…

    Le blog d'Yves Daoudal

     

  • Il ne se laissera pas "baiser" par Bercy, déclare Pierre de Villiers, le chef d'état-major des armées

    https://francais.rt.com/france/40889-baiser-demission-chef-etat-major

  • La classe

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  • Une députée LREM se réjouit des cocktails et du champagne qu'on lui sert depuis son élection

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    Le député Mireille Robert (LREM)
     

    Mireille Robert vient d'être élue à l'Assemblée. Elle qui était jusqu'ici institutrice découvre un univers nouveau. Ce qui la marque le plus ? Les cocktails «dans de beaux endroits». Seul point négatif : on n'y sert pas de blanquette de Limoux.

    L'écrasante victoire de La République en marche aux dernières élections législatives a permis à de nombreux novices de la politique de faire leur entrée au palais Bourbon. Nombreux sont ceux qui, parmi ces nouveaux députés, découvrent la vie de parlementaire... mais ce sont ses petits avantages qui semblent le plus impressionner certains, comme Mireille Robert, député de la 3e circonscription de l'Aude. Dans une vidéo publiée sur son compte Facebook et supprimée depuis, celle-ci partage l'émerveillement qu'a suscité chez elle la vie luxueuse de député.

    «Depuis que je suis députée et que je vais à l’Assemblée nationale, je suis allée à des cocktails et des cocktails et des cocktails, chez des ministres, des secrétaires d’Etat, dans de beaux endroits», déclare l'élue avec enthousiasme dans cette vidéo diffusée le 5 juillet déjà visionnée plus de 18 000 fois. Ancienne institutrice, Mireille Robert apprécie plus précisément «qu’on [lui] serve essentiellement du vin et du champagne» dans le cadre de ses nouvelles fonctions.

    La rigueur de l'emploi du temps, la difficulté du travail parlementaire ou la responsabilité de sa fonction sont-elles pesantes ? Mireille Robert ne le dit pas. Son principal regret est d'un tout autre ordre : «Je regrette évidemment qu’on nous serve pas de la blanquette.» La blanquette de Limoux, vin mousseux produit dans sa région, semble en effet absent des réceptions auxquelles l'élue s'est vue convier depuis le début de son mandat.

    Sur internet, la légèreté du propos de Mireille Robert a été perçue comme un signe de fatuité fort critiquable. L'ancien député Thierry Mariani a réagi de manière ironique sur Twitter.

    RT

  • Macron accueille Trump et Melania avec chaleur

    http://premium.lefigaro.fr/international/2017/07/13/01003-20170713ARTFIG00352--paris-macron-accueille-trump-avec-chaleur.php

  • VIDEO - Emmanuel Macron accueille Donald Trump aux Invalides

    http://premium.lefigaro.fr/international/2017/07/13/01003-20170713ARTFIG00082-donald-trump-a-atterri-a-paris.php

  • JOURNAL TVL DU JEUDI 13 JUILLET 2017

  • Algériz. Malgré les pressions, des féministes appellent à se baigner an maillot

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    https://francais.rt.com/international/40880-algerie-militantes-feministes-appellent-baignade-bikini-maillot

  • Migrants sans retour

     

    Migrants sans retour: ce ne sont pas des "migrants" mais des immigrés clandestins (NdB)

     

    Par Yves Thréard

    Face au fléau migratoire, l'heure n'est pas aux précautions oratoires. L'urgence est aux solutions concrètes. En présentant un énième plan sur le sujet ce mercredi, le premier ministre a beaucoup usé des premières. Des secondes, il n'a pas parlé, ou peu. Édouard Philippe a plaidé l'humanité et la fermeté, la générosité et l'intransigeance. Ce n'est pas en cherchant à plaire à tout le monde que le gouvernement viendra à bout de la catastrophe humanitaire que vivent l'Europe et la France. La politique du «en même temps» a ses limites quand, comme l'année dernière, 750.000 candidats à l'exil frappent à leurs portes. Bill Gates, très engagé dans la lutte contre la pauvreté, confiait récemment dans la presse allemande: «Plus vous êtes généreux, plus vous motivez d'autres personnes à quitter l'Afrique.» Le milliardaire américain nous conseillait de changer d'approche.

    Bien sûr, nul ne peut tolérer que des camps de fortune, insalubres et indignes, s'installent à Paris et ailleurs. Personne ne peut s'opposer, non plus, à ce que les délais d'examen des demandes d'asile soient raccourcis. Mais la question principale sur laquelle tous les gouvernements ont buté est ailleurs: comment éloigner les 90 % de migrants refusés chaque année? Elle démontre au passage que la grande majorité d'entre eux ne sont pas des réfugiés politiques, mais économiques.

    Édouard Philippe promet qu'ils seront «systématiquement» reconduits. Il ne dit toutefois pas comment. Et pour cause: il faut que leurs pays d'origine, ou de leur première entrée en Europe, daignent les reprendre. Ce que ni les uns, peu coopérants, ni les autres, déjà débordés, n'acceptent de faire.

    C'est donc toute une politique qu'il convient de revoir. Avec l'Afrique, où l'aide au développement devrait être conditionnée à la bonne volonté des États d'accueillir leurs ressortissants. Avec l'Union européenne, où les accords, de Schengen (sur les frontières) et de Dublin (sur la réadmission des migrants par le pays d'entrée), sont dépassés par la réalité.

    Cela exige courage et pragmatisme. «En même temps»: ici, la formule trouve toute sa justification.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 13/07/2017.

     

            

     

     
  • JOURNAL TVL DU MERCREDI 12 JUILLET

  • FOLHUMOUR

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