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Blog - Page 150

  • Dupont-Aignan veut refonder la droite avec Wauquiez, Mariani et Philippot

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    © CHRISTOPHE ARCHAMBAULT 
    Nicolas Dupont-Aignan veut rassembler Les Républicains qui s'opposent à Macron et certains cadres du Front national
     

    Le président de Debout la France estime avoir posé les jalons d'un grand rassemblement de la droite après avoir rallié Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, et veut désormais unir «ceux qui croient en la France et ses valeurs».

    Invité de l'émission Dimanche en politique sur France 3 le 2 juillet, le président de Debout la France (DLF) Nicolas Dupont-Aignan a plaidé pour l'union de la droite : «Je souhaite dialoguer avec [Laurent] Wauquiez, avec [Thierry] Mariani, avec tous ceux des Républicains qui ne vont pas à la soupe avec [Emmanuel] Macron, avec [Florian] Philippot, avec d'autres au Front national.»

    Devisant sur la disparition de toute opposition à l'Assemblée, il a fait part de son souhait d'enlever «les défauts du Front national et les défauts des Républicains», pour donner une espérance à «ces millions de Français qui ne veulent pas de la politique de [Emmanuel] Macron».

     

    Soutien de la candidate du Front national (FN) Marine Le Pen au deuxième tour de la présidentielle – après avoir recueilli 4,7% des suffrages au premier tour – l'ancien maire de Yerres estime avoir posé les bases de ce rassemblement.

     

    Et il veut croire que «les milliers d'adhésions» à son parti qui ont suivi l'élection présidentielle en sont le signe. Selon lui, ces adhésions proviennent non seulement d'anciens des Républicains (LR) «qui estiment qu'[il] défend une belle idée de la nation, généreuse» et d'anciens frontistes «qui en ont un peu assez du fonctionnement du FN et de ses excès». Pour le député de l'Essonne, DLF est à même de «rassembler» et d'«unir».

    Les objectifs de cette alliance qu'il dessine vont d'ailleurs au-delà d'un simple groupe parlementaire à l'Assemblée nationale : «L'enjeu c'est le programme commun de gouvernement que nous pourrons bâtir pour changer la France et traiter les problèmes des pays à la source au-delà de l'effet de com.»

    «Je veux rassembler tous ceux qui croient en la France et ses valeurs, sa civilisation et veulent une autre politique», a-t-il conclu.

    RT

  • Simone Veil avait passé un accord de don d'organes avec Israël

     Pourquoi "avec une très grande discrétion" ?

    Tel Aviv (Daniel Rouach). Juive de cœur et soutien permanent à Israël et au sionisme, Simone Veil est décédée ce vendredi matin à 89 ans. En Israël une grande tristesse touche les franco-israéliens qui l’ont connue.

    Très peu de personnes le savent. Elle avait signé lors de son passage au ministère de la Santé un accord franco-israéliens de dons d’organes. En effet Israël manquait cruellement de donneurs. Cet accord réel mais appliqué avec une très grande discrétion aura permis à de nombreux Israéliens de rester en vie.

    Plusieurs fois ministre sous les mandats de Giscard d’Estaing et Mitterrand, elle aura marqué la vie politique française avec notamment sa loi sur l’IVG en 1975. C’est aussi la première femme élue présidente au Parlement européen.

    Simone Veil est décédée ce vendredi matin à l’âge de 89 ans selon ses proches. C’est l’une des grandes figures politiques du XXe siècle qui s’est éteinte, mais également une grand militante féministe et une grande europhile.

    Lire la suite de l’article sur israelvalley.com

    Israël et le « don d’organes », une grande histoire :

  • VIDEO. "Vous croisez des gens qui réussissent et d'autres qui ne sont rien" : la phrase de Macron qui indigne et fait polémique


    macronstation

    Le président de la République a fait cette déclaration jeudi 29 juin lors de l'inauguration de la Station F, le plus grand incubateur de start-up au monde, installé dans la Halle Freyssinet à Paris.

    FRANCEINFO
    avatar
    franceinfoFrance Télévisions

    Mis à jour le 
    publié le 

    C'était un discours censé rendre hommage aux start-up et aux entreprises. Mais on risque de le retenir sur un tout autre sujet. Il contenait une phrase qui fait polémique depuis quelques jours sur les réseaux sociaux. "Dans une gare,vous croisez des gens qui réussissent et d'autres qui ne sont rien", a lancé le président de la République, Emmanuel Macron, en inaugurant, jeudi 29 juin, le plus grand incubateur de start-up au monde, Station F, installé dans la Halle Freyssinet à Paris.

    A droite, comme à gauche, un concert de protestations s'est élevé contre cette expression, perçue comme méprisante. Soutien de Jean-Luc Mélenchon pendant la présidentielle, le psychanalyste Gérard Miller estime que "c'est une honte".

    Quand Macron parle de ceux qui réussissent (sous-entendu comme lui) et de ceux qui ne sont rien, ce n'est pas un dérapage, c'est une honte.

     

    "Mépris", "morgue de classe" 

    Toujours du côté de La France insoumise, l'ancienne députée de Paris, Martine Billard, y voit une "morgue de classe".

    <a class="FollowButton FollowButton--edge follow-button profile" title="Suivre Martine Billard
  • 29-30 juin 1962 - Franco au secours des pieds-noirs

    http://www.jeune-nation.com/culture/29-30-juin-1962-franco-au-secours-des-pieds-noirs.html

    Une page méconnue de notre Histoire

    (merci à Dirk)

     

     

  • «Armés de fausses cannes, ils partent sans payer» : les propos d'un élu LR sur les Roms font scandale >Île-de-France & Oise>Seine-Saint-Denis>Bagnolet|Elsa Marnette|27 juin 2017, 15h47 | MAJ : 27 juin 2017, 15h52|11 Les propos de Jacques Nio sont simplem

     

    >Île-de-France & Oise>Seine-Saint-Denis>Bagnolet|Elsa Marnette|27 juin 2017, 15h47 | MAJ : 27 juin 2017, 15h52|11

    Les propos de Jacques Nio sont simplement «racistes», selon la LDH qui envisage de porter plainte.

    LP/S.T.
     
     
    Elsa Marnette
     
    BagnoletRomsTribuneJacques Nio
     

    «À Gallieni et ailleurs dans la ville, les Roms, bulgares ou autres occupent les trottoirs et armés de leurs fausses cannes partent sans payer leur ticket mendier dans Paris et dépouiller franciliens ou étrangers qui se trouvent à leur portée.» Les propos d'un élu LR de Seine-Saint-Denis font un tollé. 

    Ce ne sont que quelques lignes au milieu d’une longue tribune, mais elles n’ont pas échappé à la Ligue des droits de l’homme (LDH). L’antenne des Lilas-Bagnolet (Seine-Saint-Denis) vient de réagir aux propos tenus par les élus Les Républicains/UDI dans le dernier numéro du magazine municipal Bajomag. 

     

    En l’occurrence, le conseiller municipal d’opposition LR, Jacques Nio, y écrit : «À Gallieni et ailleurs dans la ville, les Roms, bulgares ou autres occupent les trottoirs et armés de leurs fausses cannes partent sans payer leur ticket mendier dans Paris et dépouiller franciliens ou étrangers qui se trouvent à leur portée.»

     

    Des «propos racistes», selon la LDH qui envisage de porter plainte : «Ils traitent les Roms comme un groupe homogène de personnes, uniformément délinquantes. Pour ces élus, qu’importe ce que chaque Rom peut réellement entreprendre ou vivre sur notre territoire : en tant que Rom, il est catalogué comme un détrousseur de Franciliens et d’étrangers.»

     

    «Je n’ai fait qu’écrire ce que je vois tous les matins en allant au travail»

     

    L’autre élue du groupe LR/UDI s’est rapidement fendue d’un courrier pour «récuser ces écrits» et pour «s’associer à la colère de la LDH». «Je vous réaffirme mon sentiment profond qu’aucun problème relatif à Bagnolet ne peut justifier la stigmatisation d’une population, quelle qu’elle soit», écrit Françoise Vavoulis à ses collègues élus.

     

     

    Jacques Nio s’est finalement excusé ce lundi soir pour ces propos qu’il juge désormais «excessifs et maladroits». En fin de semaine dernière, il se défendait pourtant : «Je n’ai fait qu’écrire ce que je vois tous les matins en allant au travail. C’est juste une description, il n’y a pas de stigmatisation de qui que ce soit. D’ailleurs, j’écris et autres

     

    Il devrait recevoir dans la semaine «un courrier de rappel à l’ordre» du maire. La municipalité précise que «la loi impose qu’on ne touche à rien dans la manière dont les élus s’expriment».

      leparisien.fr
     
     
  • Ballet, de la sueur et des larmes...

  • La dette publique proche des 100% du PIB

    Elle a dépassé fin mars les 2200 milliards d'euros, en hausse de 62,4 milliards sur trois mois. Du jamais vu.

    Un chiffre qui tombe à point nommé et donne davantage de poids à l'audit alarmant de la Cour des comptes sur l'état des finances publiques de la France. Selon la dernière estimation de l'Insee, la dette publique s'approche de plus en plus dangereusement du plafond des 100% du PIB. Au premier trimestre 2017, elle a augmenté de 2,6 points sur trois mois pour atteindre 98,9%, ce qui correspond à une envolée de 62,4 milliards d'euros portant l'endettement total à 2209,6 milliards, un plus haut historique. Dans le détail, cette hausse inquiétante est essentiellement due à un dérapage de 50 milliards d'euros des finances de l'État, contre 15 milliards pour les administrations de Sécurité sociale.

    Ce premier trimestre catastrophique ne reflète toutefois pas l'évolution de l'endettement sur l'ensemble de l'année. L'agence France Trésor cherche en effet à accumuler de la trésorerie les six premiers mois afin de faire face aux échéances du second semestre. Et emprunte donc plus que nécessaire sur les marchés de janvier à juin, pour profiter notamment de taux bas, entraînant généralement un reflux du taux de dette en fin d'année en raison de moindres émissions, sauf accident, entre juillet et décembre…

    Mission impossible

    Malgré ce hiatus, tenir l'objectif du précédent exécutif d'afficher une dette à 96% du PIB fin 2017, après 96,3% un an plus tôt, s'apparente déjà à une mission impossible. Dans ses prévisions économiques d'automne, l'OCDE ne donnait d'ailleurs aucun crédit à l'hypothèse présentée dans le dernier programme de stabilité de la France, expédié en avril à Bruxelles, en tablant sur une dette à 99,4% en 2017 et 100,2% en 2018! Seul bémol, son estimation pour 2016 s'est révélée supérieure de 1,3 point à la réalité.

    Ces ratios stratosphériques apparaissent très éloignés du cadre fixé par le pacte européen de stabilité budgétaire, qui exige que la dette publique des États ne dépasse pas 60% du PIB. Depuis 2002, la France n'a d'ailleurs jamais affiché un ratio de dette/PIB dans les clous. En 2008 et 2009, alors qu'éclatait en Europe la crise financière, le poids de la dette a explosé. Et il n'a depuis cessé d'augmenter alors que nos voisins parvenaient à l'endiguer. En 2016, la dette publique de la zone euro est ainsi repassée sous la barre des 90% du PIB, pour s'établir à 89,2% après avoir culminé à 92% en 2014.

    «Le problème, c'est cette tendance continue à la hausse en France. D'autant que compte tenu des taux d'intérêt bas, le ratio dette/PIB devrait naturellement plutôt baisser en ce moment»

    Olivier Garnier, chef économiste de la Société générale

    «À partir de 2010, la dette publique de la France a connu une évolution divergente de celle de l'Allemagne et l'écart atteint désormais près de 30 points de PIB», fustigeait même la Cour des comptes, jeudi, dans son audit des finances publiques. Un écart d'autant plus inquiétant qu'il y a dix ans les taux de dette française et allemande étaient identiques, tout juste supérieurs à 60% du PIB.

    «Il n'y a pas de niveau critique du ratio de dette publique à partir duquel il faudrait s'alarmer particulièrement. Le problème, c'est cette tendance continue à la hausse en France. D'autant que compte tenu des taux d'intérêt bas, le ratio dette/PIB devrait naturellement plutôt baisser en ce moment», souligne Olivier Garnier, chef économiste de la Société générale.

    Fragile équilibre

    La France ne souffre pour l'instant que modérément de sa dette abyssale car le pays peut se refinancer à des taux très compétitifs (0,80% ce vendredi, contre 0,45% pour l'Allemagne). Une hausse des taux d'intérêt, qui interviendra nécessairement dans les prochaines années, percutera de plein fouet ce fragile équilibre, en fragilisant la solvabilité du pays. D'où l'urgence de redresser la barre.

    «Nous n'avons pas le droit de faire cela à nos enfants. Il ne leur revient pas de payer cette note», a ainsi déclamé Édouard Philippe, jeudi, en commentant les résultats de l'audit de la Cour des comptes. Si l'antienne est classique, elle revêt en ce début de quinquennat une dimension encore plus critique. Pour faire refluer le taux de dette publique - ce sont les promesses de campagne du candidat Macron - à 97,5% en 2018 et 93,2% en 2022, l'exécutif table sur son plan de 60 milliards d'euros de baisse de la dépense publique en cinq ans mais aussi une hausse de la croissance. La prévision de l'Insee d'une progression du PIB de 1,6% en 2017 - quand les équipes d'Emmanuel Macron tablaient sur un modeste 1,4% au printemps - apporte ainsi une petite bouffée d'air au président.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 01/07/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici 

  • LILLE:Fête de la musique : un étudiant violé à plusieurs reprises alors qu'il urinait

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    Les faits se sont déroulés le 21 juin, lors de la fête de musique à Lille, dans le Nord. 

    Un étudiant, âgé de 22 ans, profitait de la soirée avec des amis, lorsqu'il s'est éclipsé quelques instants pour satisfaire une envie pressante. 

    Alors qu'il urinait dans le jardin Vauban, un homme a surgi derrière lui. Ce dernier lui a placé un couteau sous la gorge, avant de le violer à plusieurs reprises. 

    "je suis jeune, je sais me défendre et je pratique le judo. Jamais je ne pensais pouvoir risquer quelque chose" a expliqué la victime. 

    Le jeune homme a été transporté à l'hôpital où le médecin a confirmé qu'il avait été violé. L'ADN de son agresseur a été recueilli sur les vêtements de la victime. 

    Le jardin Vauban, situé en plein centre de Lille, est réputé pour être un lieu de rencontres gays. Pour les services municipaux, ce n'est pas un parc particulièrement dangereux. La mairie n'a d'ailleurs prévu aucune mesure de sécurité particulière après le drame. 

     


    En savoir plus sur http://www.faitsdivers.org/25526-Fete-de-la-musique-un-etudiant-viole-a-plusieurs-reprises-alors-qu-il-urinait.html#THOZjW8lyZKpM3ZZ.99

  • Simone Veil au Panthéon ?

     

    Rescapée d’Auschwitz, pro-avortement, pro-Union européenne : le tombeau de la République lui tend les bras

    Les nombreux appels pour une entrée de Simone Veil au Panthéon font face à une stricte procédure républicaine.

    Simone Veil peut-elle devenir la cinquième femme à entrer au Panthéon ? Depuis le décès de cette grande figure de la politique française, vendredi à l’âge de 89 ans, les appels se multiplient en faveur d’une « panthéonisation » posthume. Un honneur rare et très codifié.

     

    Comment être « panthéonisé »

    Toute demande en ce sens doit remplir plusieurs critères indispensables pour être considérée comme éligible : outre le fait d’avoir indéniablement marqué son époque et la société, une personne ne peut être proposée comme candidate au Panthéon que si elle est de nationalité française -comme Simone Veil- et si la famille donne son accord pour cette procédure.

    La famille d'Albert Camus s’y était notamment opposée, en 2009, par crainte d’une récupération politique.

    Lire la suite de l’article sur lexpress.fr

  • Un python dans les WC !

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    Bergerac : le python disparu dans les canalisations retrouvé par les gardes de l'Office national de la chasse

    Par Marie-Sylvie PrudhommeFrance Bleu Périgord et France BleuJeudi 29 juin 2017 à 15:11


    Le python qui avait trouvé refuge dans les canalisations d'un immeuble de Bergerac en Dordogne a été retrouvé. Ce sont les agents de l'ONCFS qui ont réussi à le piéger après trois mois de traque.

    Ce fût une traque longue mais fructueuse. Trois mois après sa disparition dans les canalisations d'un vieil immeuble de Bergerac, le python a enfin été retrouvé. Ce sont les agents de l'ONCFS, l'office nationale de la chasse et de la faune sauvage, qui ont réussi à l'attraper grâce à un piège. Le serpent appartenait à un locataire qui avait cru bon ne pas l'emporter avec lui après son déménagement.

  • Rescapée de la Shoah, Simone Veil, la mère de l'avortement, est morte

    https://www.egaliteetreconciliation.fr/Simone-Veil-la-mere-de-l-avortement-est-morte-46511.html<top>

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  • Il est aujourd'hui de bon ton, pour pouvoir avancer en politique sans totalement renier ses convictions, de réclamer au nom du respect de la vie, le « retour à la loi Veil »

    Il est aujourd'hui de bon ton, pour pouvoir avancer en politique sans totalement renier ses convictions, de réclamer au nom du respect de la vie, le « retour à la loi Veil »

    Réflexion de Jeanne Smits suite au décès de Simone Veil :

    "Son nom restera pour toujours lié à la loi dépénalisant l'avortement sous l'euphémisme ravageur, « Interruption volontaire de grossesse ». Simone Veil n'était certes pas seule dans cette entreprise de mort dont les loges – Pierre Simon en tête – ont revendiqué la paternité, et il peut sembler de mauvais goût de n'évoquer que cela dans cette petite « nécro » très parcellaire.

    Mais enfin, c'est un aspect de sa vie que la presse dans son ensemble juge déterminant pour lui « tresser des couronnes » aujourd'hui (l'expression franc-maçonne convient bien, je pense…) et elle-même n'a jamais exprimé de regrets. Au contraire, elle a avec quelque mépris souligné dans son autobiographie que les évêques de France étaient probablement plus soucieux de leur sécurité sociale à l'époque, en 1974, que d'une mobilisation générale contre une loi qui, parmi les premières en Occident, a donné une justification légale à l'assassinat des enfants dans le ventre de leur mère, moyennant force conditions qui ont été mollement appliquées, voire pas du tout.

    A raison de quelque 200.000 victimes par an, mal an mal an, on arrive à près de 8,5 millions de petites vies supprimées avec la bénédiction du législateur, et donc de la législatrice, sans compter les effets épouvantables sur les femmes qui ont cru qu'avorter, cela ne se faisait sans doute pas « de gaieté de cœur » mais que c'était une sorte de droit.

    Peut-être Simone Veil a-t-elle, au fil des ans, regretté que cela devienne de plus en plus un droit légalement affirmé par l'élargissement constant des possibilités d'accès à l'IVG, à tel point que l'opposition à l'avortement pour des raisons morales est de plus en plus assimilée à une pression indue sur les femmes, et pénalisée. L'avortement devait être réservé aux cas graves et rester « exceptionnel », assurait-elle en 1974. D'emblée, il n'en a pas été ainsi. Et jamais, elle n'a refusé d'être considérée comme « l'icône » de ce combat.

    Cela est terrible. Il serait aussi terrible de l'occulter, alors que Simone Veil vient de quitter ce monde, au nom des convenances et du respect. La seule attitude réellement, profondément charitable aujourd'hui est d'en prendre acte, et de supplier la Très Sainte Trinité de lui accorder sa miséricorde et son pardon, acquise d'avance pour le pire des crimes mais pour laquelle il faut au coupable reconnaître et regretter sa responsabilité. Une femme douée d'une âme immortelle et appelée à voir Dieu face à face vient de mourir : il s'agit donc de prier pour qu'elle ait eu la grâce de la contrition et de la conversion, car rien n'est impossible à Dieu.

    Je viens de prendre connaissance du communiqué de presse de Marine Le Pen, Présidente du Front national :

    Nous apprenons ce matin le décès de Madame Simone Veil, une femme qui aura incontestablement marqué de son empreinte la vie politique française. Je présente à sa famille et à ses proches mes condoléances les plus sincères. J'ai aussi une pensée pour sa famille politique, avec qui Simone Veil a défendu ses convictions avec constance. Je salue enfin le combat pour la Mémoire qui fut celui de toute sa vie. »

    Ou l'art d'occulter, de passer sous silence ce pour quoi Mme Veil est déjà entrée dans les livres d'histoire, et ce pour quoi on la glorifie. Pourquoi ce vide ? Pourquoi retenir l'histoire de la Shoah, et non celle du massacre des innocents ?

    Il est aujourd'hui de bon ton, pour pouvoir avancer en politique sans totalement renier ses convictions, de réclamer au nom du respect de la vie, le « retour à la loi Veil » et à l'application de ses conditions restrictives. Mais affirmer le droit de tuer cet enfant plutôt que celui-là, à cette condition plutôt que celle-là, c'est toujours donner un permis légal de tuer un membre de l'espèce humaine. Et de fait, le nombre d'avortements, malgré quelques variations et malgré les « progrès » de la contraception, est resté globalement stable."

    Michel Janva

    Le Salon Beige - 30/06/17

  • Mort de Simone Veil à 89 ans

    https://francais.rt.com/france/40398-memoire-shoah-droits-femmes-politique-veilhttps://francais.rt.com/france/40398-memoire-shoah-droits-femmes-politique-veil

  • Natacha Polony se paye Jacques Attali

  • NIGEL FARAGE MET EN GARDE LES ÉLITES BRITANNIQUES SUR L’IMMIGRATION : LE PEUPLE NE SE CONTENTERA PAS DU BREXIT !

     

     

    Nigel Farage met en garde les élites britanniques sur l’immigration : le peuple ne se contentera pas du Brexit !
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    Dans une tribune publiée le 27 juin sur le site du Telegraph, l’ancien chef du Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni (UKIP), qui est encore député au Parlement européen, met en garde les élites politico-médiatiques de son pays contre la tentation de ne rien faire pour réduire l’immigration. L’homme qui, par la pression exercée par son parti sur les Tories, a poussé David Cameron à organiser un référendum sur le Brexit, rappelle que la campagne en faveur de la sortie de l’Union européenne l’a justement emporté sur la question cruciale de la maîtrise des frontières et de l’immigration.
     
    Or les statistiques publiées la semaine dernière par l’Office des statistiques nationales (ONS), qui ont été peu reprises dans les médias, montrent que la population du Royaume-Uni s’est accrue de 538.000 âmes entre juillet 2015 et juin 2016, soit le plus gros accroissement de population depuis 1947, sachant qu’en 2015-2016 l’immigration a compté pour les deux tiers de cette évolution ! Si l’immigration a quelque peu décru au deuxième semestre 2016, et donc après le vote sur le Brexit, elle est restée très élevée, avec une immigration nette atteignant 248.000 personnes pour l’ensemble de l’année 2016 après les 332.000 entrées en 2015. Ainsi que le montrent les statistiques de l’ONS, les nouveaux arrivants sont majoritairement d’origine extra-européenne, même si l’immigration européenne reste elle aussi élevée.
     

     
    Nigel Farage prévient les élites britanniques qui semblent oublier aujourd’hui que le Brexit s’est joué sur l’immigration

     
    Nigel Farage attire aussi l’attention dans sa tribune sur l’immigration illégale, qui atteindrait certaines années 250.000 personnes arrivant illégalement ou restant après expiration de leur visa selon David Wood, qui était jusqu’en 2015 responsable des questions d’immigration au ministère de l’Intérieur britannique. Et le député au Parlement européen de mettre en garde contre les propositions d’amnistie, comme celles formulées par le passé par l’ancien maire de Londres et actuel ministre des Affaires étrangères Boris Johnson en faveur des immigrants résidant illégalement au Royaume-Uni depuis au moins dix ans. Ce serait, rappelle Nigel Farage, un très mauvais signal envoyé dans le monde à tous ceux qui voudraient tenter leur chance.
     
    Le gouvernement de Theresa May a remporté les élections en renouvelant sa promesse non tenue de ramener l’immigration nette à quelques dizaines de milliers de personnes par an, rappelle Nigel Farage, et 77 % des Britanniques veulent une telle réduction. Si les « Conservateurs » violent à nouveau cette promesse et que le pouvoir continue d’ignorer le problème, le choc du vote sur le Brexit ne sera rien en comparaison des chocs politiques à venir. « Si rien n’est fait pour résoudre cette crise, il en résultera inévitablement quelque chose de très déplaisant », prévient pour finir sur un ton très british l’homme à qui la Grande-Bretagne doit sa sortie de l’UE. 

     

    Lu sur réinformation TV

  • Crise au FN: Marine Le Pen débarque Sophie Montel, une proche de Philippot

    <https://oeilsurlefront.liberation.fr/actualites/2017/06/30/crise-au-fn-marine-le-pen-debarque-une-proche-de-philippot_1580622top>

  • JOURNAL TVL DU 30 JUIN 2017

  • Affaire Grégory - Murielle Bolle a été mise en examen pour "enlèvement suivi de mort" et incarcérée

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    Les enquêteurs sont certains que Murielle Bolle, âgée de 15 ans à l'époque des faits, a subi des pressions pour innocenter son beau-frère Bernard Laroche. Jeudi soir, elle a été mise en examen pour «enlèvement de mineur de 15 ans suivi de mort» et incarcérée.

    Placée en garde à vue mercredi matin, Murielle Bolle, 48 ans, a été déférée jeudi à la mi-journée afin d'être présentée à la présidente de la chambre de l'instruction de Dijon. Mais ce témoin capital de l'affaire Grégory, pris de malaise à son arrivée dans la capitale bourguignonne, a dû être hospitalisé. Son audition n'a eu lieu qu'en soirée: elle s'est achevée par la mise en examen de Murielle Bolle pour «enlèvement de mineur de 15 ans suivi de mort». Elle a été incarcérée à titre conservatoire ; la chambre de l'instruction devra se prononcer sur la prolongation de cette mesure dans un délai de quatre jours.

    Début novembre 1984, deux semaines après l'assassinat de Grégory Villemin, 4 ans, retrouvé noyé dans la Vologne le 16 octobre, Mlle Bolle, 15 ans, accuse son beau-frère, Bernard Laroche (mari de sa sœur Marie-Ange), d'avoir enlevé l'enfant. Ces déclarations entraînent l'inculpation de M. Laroche. Mais sa jeune belle-sœur se rétracte: certifiant avoir été victime de pressions de la part des gendarmes, elle affirme désormais qu'elle a menti. Remis en liberté en février 1985, M. Laroche, est assassiné le 29 mars suivant par le père de Grégory, Jean-Marie Villemin.

    Depuis, Murielle Bolle a été entendue plusieurs fois comme simple témoin, que ce soit par le juge Simon, qui avait repris de zéro l'instruction calamiteuse de son jeune collègue Lambert, ou par la cour d'assises devant laquelle a comparu M. Villemin.

    Forte d'un important travail d'analyse réalisé par la gendarmerie, remis fin mai, la justice envisage à présent qu'un complot familial ourdi par plusieurs personnes ait pu déboucher sur le meurtre du petit garçon. Son grand-oncle, Marcel Jacob, et l'épouse de ce dernier, Jacqueline, ont été mis en examen le 16 juin pour enlèvement et séquestration suivis de mort. Incarcérés pendant quatre jours, ils ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire.

    «Murielle Bolle a potentiellement participé à la préparation du crime»

    Rapport de gendarmerie

    Les gendarmes sont persuadés que Murielle Bolle disait vrai quand elle accusait son beau-frère, et que sa rétractation est le fruit de pressions, voire de brutalités, de son entourage familial proche. Le témoignage très récent d'un petit-cousin, qui aurait été témoin de ces violences qu'il aurait donc tues pendant trois décennies, les conforte dans cette idée. Dans leur synthèse de mai, ils rappellent que le 5 novembre 1984, jour de l'arrestation de M. Laroche, vers 19 h 45, une sorte de réunion de crise a eu lieu chez les parents Bolle: «J'ai appris par mon père que c'était la déclaration de Murielle qui avait été déterminante, relate une de ses sœurs, le 6 novembre 1984. Il m'a dit que Murielle était dans la voiture avec Bernard le soir des faits. Nous ne discutions pas devant Murielle (…) Lorsque cette dernière entrait, nous interrompions la conversation.» Dans la soirée, Murielle Bolle est en proie à une crise de nerfs: «Comme j'avais menti (en accusant Bernard Laroche), j'ai voulu me jeter sous le train», déclarera-t-elle aux gendarmes le 14 mai 1985.

    Selon leurs recoupements, les gendarmes concluent que «Murielle est malmenée par sa sœur Marie-Ange», puis qu'elle «change de version et affirme que les gendarmes ont fait pression sur elle». Mais ils n'en démordent pas: les éléments du dossier «viennent renforcer l'hypothèse selon laquelle Murielle savait à l'avance que Bernard Laroche viendrait la récupérer à la sortie du collège (le jour du crime). Elle minimise sa participation, pourtant elle a vraisemblablement eu connaissance, même partielle, des intentions de son beau-frère. Elle a donc potentiellement participé à la préparation du crime».

    Or, d'après nos informations, les enquêteurs n'ont pas posé à Marcel Jacob, pendant ses 48 heures de garde à vue, de questions précises sur le rôle qu'aurait pu jouer la très jeune fille le 16 octobre 1984. S'il est le rouage essentiel d'un crime collectif, M. Jacob serait pourtant bien placé pour révéler le nom de ses complices présumés. Encore faudrait-il qu'on les lui demande.

    Marcel Jacob, défendu par Mes Laure Iogna-Prat et Stéphane Giuranna, nie farouchement toute implication et oppose même un alibi. Son épouse Jacqueline, assistée par Me Gary Lagardette, a fait usage de son droit au silence pendant toute sa garde à vue. Quant à Murielle Bolle, son avocat, Me Jean-Paul Teissonnière, qui dénonce une «enquête d'un niveau très faible», affirme qu'elle n'est pas revenue sur sa rétractation du 6 novembre 1984, et qu'elle dément avoir fait l'objet de violences dans sa famille.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 30/06/2017. Accédez à sa version PDF en cliquant ici