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Blog - Page 174

  • La Haine de Mathieu Kassovitz contre Dupont-Aignan

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    En 1965, André Malraux déclarait devant le général de Gaulle: « l’immortalité est incarnée par la culture française ».

    Juriste
     
     Ça suinte le mépris et l’arrogance de ceux qui n’ont jamais eu de contradicteurs, ça empeste la haine de l’autre quand le manant que nous sommes ne partage par les dogmes bobos. Ça appelle à la haine, celle qu’ils estiment comestible quand il s’agit de préserver leurs diktats.

    Ils sont l’exception culturelle française, mais n’ont aucune culture. Ils appartiennent à ce monde de l’entre-soi composé d’une « aristocratie » monopolisant les plateaux télé et de tout un petit peuple d’intermittents du spectacle qui survit grâce à nos impôts.

    Parmi ces « aristocrates », Mathieu Kassovitz, Gilles (et Philippe) Lellouche, Benjamin Biolay n’ont pas apprécié le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan à Marine Le Pen et l’ont fait savoir, pensant qu’on aimerait le savoir.

    Cela leur a fait gravir des sommets de sophistication en hommage à la langue française, à ces artistes dont il vous faudra chercher le nom sur Wikipédia pour savoir qui ils sont. Ceci explique peut être cela.

    Philippe Lellouche : « Nicolas Dupont-Aignan est un trou du cul et une pompe à merde. » Gilles Lellouche (le frère) : « Espèce de grosse merde. » Tweet à l’intention du député de l’Essonne, effacé entre-temps de la Toile, car si on arbore les tee-shirts du Che fièrement, on a aussi le courage que l’on se donne…

    Décidément, tout se passe au même endroit chez ces gens-là et cette partie de l’anatomie humaine passionne également Mathieu Kassovitz, un cran au-dessus, côté vulgarité, quand il apprend que Nicolas Dupont-Aignan porte plainte contre lui : « Je rajouterais : je t’encule Thérèse. Impatient de vous retrouver dans un tribunal pour parler de votre anus #viergeeffarouchée. »

    Tweetée au milieu de la nuit, cette réponse à Nicolas Dupont-Aignan peut-être inscrite dans les volutes de substances (encore) illicites, laisse entrevoir par l’allusion obscène à la Vierge tout ce que ce petit monde jet-set et apatride abhorre.

    Pauvre Thérèse.

     Benjamin Biolay (chanteur) n’est pas en reste, mais lui, certain d’être immunisé de par son appartenance à la caste bien-pensante car ancien mari de la fille de Catherine Deneuve, donc adoubé par alliance, profère direct des menaces contre le président de Debout la France. Rien de moins : « À tes risques et périls petite teupu. Tu vas le payer cher. »

    La « teupu », c’est la pute à l’envers. « Tu vas le payer cher » : ce sont des menaces à l’envers comme à l’endroit.

     Et ils ont le monopole de l’indignation, ces artistes tendance. Et la tendance serait plutôt à sens unique.

    Car il faut avoir l’imagination débordante pour envisager de tels propos à l’encontre d’Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux.

    À la #viergeeffarouchée de Mathieu Kassovitz succéderait le concert de #CharlieS, ressortant des archives d’une histoire qu’ils interprètent, le bruit des bottes contre « alerte à l’intransigeance et au rejet de l’autre ».

    Va traiter de « trou du cul ou de pompe à m… le chouchou des médias et des artistiques orphelins de Hollande et c’est la traversée du désert médiatique assurée. Fini l’after-hour à La Rotonde, bonjour la damnation cathodique pour l’éternité, le risque et le péril selon Benjamin Biolay.

    « Vous n’aurez pas ma haine » quand il s’agit de rester atone face à la menace terroriste djihadiste, ça fait tendance. C’est Sting qui chante « Inshallah » au Bataclan quand 130 jeunes ont été exécutés aux cris d’Allah akbar. Soumission contre masochisme.

    Mais s’allier au Front national, 7.678.491 électeurs au dernier compteur, et c’est immédiatement s’exposer aux insultes et injures jugées d’utilité (Ré)publique.

    Même Le Figaro y va de sa complaisance, titrant : « Ils sont furieux contre Dupont-Aignan », ou le délicat exercice d’une langue de bois visant à caresser dans le sens du vent ces racailles illettrées, de crainte de perdre de précieuses subventions en cas d’élection Macron.

    En 1965, André Malraux déclarait devant le général de Gaulle : « L’immortalité est incarnée par la culture française. » Si la culture française est représentée par ces « furieux », alors nous sommes tous devenus mortels.

    BV

  • Dérapage ignoble de Stéphane Guillon qui se moque du décès de la mère de Dupont-Aignan

    http://www.fdesouche.com/848687-derapage-de-stephane-guillon-qui-se-moque-du-deces-de-la-mere-de-dupont-aignan

  • Premières roses du printemps

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    Dans un jardin du Prado - Marseille (photos EB)

  • Gaëtan Dussausaye invité de CNEWS

  • La tombe de Romy Schneider profanée dans les Yvelines

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/yvelines-la-tombe-de-l-actrice-romy-schneider-profanee-01-05-2017-6906225.php

  • NDA face à Bourdin

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/dupont-aignan-l-assure-il-n-y-aura-pas-un-centime-du-fn-dans-le-parti-debout-la-france-939811.html

  • JOYEUX PREMIER MAI !

     

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  • Marine Le Pen ne mentionne plus la sortie de l'euro dans sa profession de foi

    Par Emmanuel Galiero
    Mis à jour le 28/04/2017 à 19h06 | Publié le 28/04/2017 à 19h00

    VIDÉO - La candidate du FN écarte l'idée d'une sortie de la monnaie unique, mais prône une renégociation des traités européens.

    C'est un virage important dans la campagne de Marine Le Pen: la sortie de l'euro n'existe plus dans sa profession de foi, publiée vendredi. Cette question faisait rage au sein du Front national depuis les élections régionales de 2015. Finalement, le camp des «marionistes» l'a emporté sur celui des «philippotistes». Et Marine Le Pen s'est résignée à mettre en sourdine l'une des mesures les plus clivantes de son programme présidentiel.

    Après les défaites des régionales, nombre de frontistes, tels Louis Aliot, Nicolas Bay, Philippe Olivier, Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen, avaient réclamé une réflexion urgente sur le sujet. Ils n'avaient pas compris comment un parti capable d'atteindre des scores de 45 % au premier tour d'un scrutin, pressenti pour décrocher six régions métropolitaines sur douze, pouvait se retrouver le bec dans l'eau au second tour. Très vite, ils ont estimé que des électeurs atteignables s'étaient enfuis. Leurs regards se sont alors tournés vers l'électorat de droite.

    Pendant la campagne des régionales, «depuis le terrain», comme l'avait expliqué Aliot, les interrogations étaient remontées en masse. Ces électeurs de droite tant convoités avaient exprimé de vives réticences face à la sortie de l'euro.

     

    Attentive, tout en protégeant son vice-président Florian Philippot, partisan d'une sortie franche, Marine Le Pen avait persisté à croire que ce projet de récupération de la souveraineté monétaire pouvait s'imposer dans la tête d'un électorat réticent. Sa contradiction tactique était de continuer à défendre cette idée tout en reconnaissant que le débat national sur cette question n'avait «jamais eu lieu». Sans débat sur le sujet, comment pouvait-elle espérer que les électeurs de droite, effrayés par son projet européen, pouvaient se rapprocher d'elle?

    Marine Le Pen évoque simplement l'idée de renégocier les traités européens 

    «Cette question européenne est anxiogène», juge Robert Ménard, le maire de Béziers, proche du Front national. Lui, n'a «pas cessé» d'essayer d'ouvrir les yeux de Marine Le Pen sur cette question. Il est convaincu qu'en abandonnant des propositions rejetées par plus de 70 % des Français, la candidate peut élargir son électorat. Selon lui, beaucoup d'élus de droite sont prêts à la rejoindre sur tous les autres sujets, de l'école à la sécurité, mais pas sur l'euro. Ménard cite souvent la diversité de son conseil municipal en exemple. Sur trente-sept élus, on y compte des FN, LR, DLF, CNIP, RPF mais aussi des villieristes et des sans-étiquette. «C'est exactement ce qu'il faut faire pour la France!», assure-t-il.

    Vendredi, quand le maire de Béziers a découvert qu'elle avait réalisé un tel «virage» sur l'euro, il a réagi avec enthousiasme. «C'est une très bonne nouvelle, a-t-il confié au Figaro, cela prouve qu'elle a enfin compris. Si l'on veut gagner une élection, il faut rassembler et rassembler d'abord dans son propre camp. Pour le FN, c'est la droite.»

    Dans sa profession de foi du second tour, au chapitre «restaurer la démocratie, rendre la parole au peuple», Marine Le Pen prend soin de ne faire aucune allusion à l'euro. Elle évoque simplement l'idée de renégocier les «traités européens pour retrouver notre souveraineté et bâtir une Europe des nations». Elle mise sur ce coup de canif pour déclencher un électrochoc à droite. À dix jours du premier tour, elle est prête à toutes les inflexions pour décrocher l'Élysée. Dans une interview accordée vendredi à Ouest France, elle a annoncé qu'elle pourrait dévoiler le nom de son premier ministre lundi à Villepinte, à l'occasion de son dernier meeting de campagne.

    Le Figaro

  • Marion Maréchal-Le Pen sur BFMTV

  • Insulté par Gilles Lellouche, Mathieu Kassovitz et Benjamin Biolay, Nicolas Dupont-Aignan porte plainte

    http://www.francetvinfo.fr/politique/debout-la-republique/insulte-par-gilles-lellouche-mathieu-kassovitz-et-benjamin-biolay-nicolas-dupont-aignan-porte-plainte_2168152.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20170430-[lestitres-coldroite/titre5]

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    NdB: Il faut lire les tweets ignobles qu'il a reçus de de ces trois personnages !

  • Pas si beau que ça...

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  • Macron veut des sanctions contre la Pologne et la Hongrie pour « non-respect des valeurs de l’UE »

    16h43

    Dans une interview accordée à la presse régionale, Emmanuel Macron tape du poing sur la table. La Pologne devra être sanctionnée pour sa politique de dumping social et le non-respect des valeurs de l’Union européenne.

     

    Emmanuel Macron souhaite aussi que le cas de la Pologne soit examiné « dans son intégralité ». « Je veux que sur le non-respect des droits et des valeurs de l’Union européenne, des sanctions soient prises. Les traités le prévoient. On ne peut pas avoir une Europe qui débat de la décimale après la virgule et qui, lorsque vous avez un pays membre qui se comporte comme la Pologne ou la Hongrie, sur des sujets liés à l’université, aux réfugiés, à nos valeurs fondamentales, on décide de ne rien faire. »

    Ouest-France

  • Jacques de Guillebon: "Face au candidat de la post-humanité, il est logique de soutenir Marine Le Pen"


    Jacques de Guillebon : "Face au candidat de la... par bvoltaire