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La Ville de Béziers gagne son procès contre deux associations pro-islamistes
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La police ne se couche pas
NOVOpressLe mai 68 des policiers, comme l’ont titré nos confrères de Riposte Laïque, fait peur au gouvernement. Avec ce sentiment que plus personne ne contrôle la base. Assumant d’être dans l’illégalité parce qu’il n’y a plus le choix, affranchi des ordres des syndicats (le mouvement est beaucoup plus politique que social) défiant leur hiérarchie (l’image de la voiture du DGPN Jean-Marc Falcone traversant la foule sous les huées et les sifflets, aux cris de « démission », c’est du jamais vu) quelle va être la prochaine étape ?
En juin dernier, après l’égorgement à leur domicile des policiers de Magnanville et la prise d’otage de leur fils de trois ans, lors de l’hommage à Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, l’hostilité des policiers dans leur douleur, était palpable. Personne n’a oublié l’image forte de ce gardien de la paix appuyé sur des béquilles refusant ostensiblement de serrer la main de Hollande, Valls et Cazeneuve. Il a fait ce jour-là ce que tous ses collègues avaient envie de faire. Plusieurs mois après, alors que le gouvernement les a laissés se faire passer à tabac, harceler, blesser parfois grièvement en toute impunité pendant des semaines par les milices antifas en plein état d’urgence, rien n’a changé : les petits barbares issus de l’immigration brûlent les flics dans leurs voitures en bloquant les portières. Les 15 agresseurs n’ont toujours pas été retrouvés.
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JOURNAL TVLibertés DU 24 OCTOBRE 2016
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Jugée trop grosse, Miss Islande claque la porte d'un concours de beauté internationa !
Ce mardi à Las Vegas se tient le concours de beauté Miss Grand International. Cet événement accueille de magnifiques jeunes femmes venues de la planète entière. Parmi elles, Arna Ýr Jónsdóttir, Miss Islande 2015.Pourtant cette grande blonde aux yeux bleus a choisi de quitter la compétition ce dimanche. Des membres de l'organisation du concours lui ayant signifié qu'elle était trop grosse !
«Ne mange plus de petit-déjeuner, ne mange qu'une salade au déjeuner et ne boit plus que de l'eau jusqu'au soir de la finale» s'est vu signifier la jeune femme par des membres du staff de Nawat Itsaragrisil, célèbre présentateur de la télé thaïlandaise qui possède le concours. «Si le propriétaire du concours veut vraiment que je perde du poids et n'aime pas ma façon d'être, et bien il ne me mérite pas dans son top » a précisé la mannequin au journal The Iceland Monitor.
«Bien sûr que, j'ai des épaules plus larges que d'autres filles, c'est parce que j'ai été une membre de l'équipe nationale de gymnastique et j'en suis fière ! » a ironisé l'Islandaise. «Personnellement je pense que je suis plutôt... bien» a conclu Arna. «Je vais rester un peu à Las Vegas. Explorer la ville, bien manger, et profiter de mon séjour» s'est amusée Arna sur son compte Instagram. Jolie morale de l'histoire.
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Il faut dire la vérité: les migrants de la jungle ne sont pas des réfugiés
Par Xavier Saincol
Mis à jour le 24/10/2016 à 14h49FIGAROVOX/TRIBUNE - L'évacuation de la jungle de Calais a commencé. Pour Xavier Saincol, le gouvernement socialiste entérine son renoncement à faire appliquer les lois sur l'entrée, le séjour et l'asile alors qu'il s'agit en l'occurrence d'étrangers en situation irrégulière.
Xavier Saincol est juriste.
Le drame de la Jungle de Calais n'a rien de nouveau, même s'il s'est considérablement aggravé en quatre ans. Il remonte à la fin des années 1990, lié au fonctionnement de l'espace Schengen: la France a ouvert ses frontières européennes et s'est engagée à protéger par tous les moyens celles de la Grande-Bretagne, transformant, le Calaisis en cul-de-sac, réceptacle des migrants qui ont traversé une partie de la planète dans le but de se rendre outre-Manche. L'aggravation soudaine du chaos renvoie au démantèlement de la frontière extérieure européenne, intervenu en 2015, à la suite des déclarations intempestives de plusieurs dirigeants européens, dont Mme Merkel, la chancelière allemande, et M. Junker, président de la Commission: «ouvrons leur les bras!». Le flux migratoire sans précédent historique, ne cesse de s'amplifier: après un million d'entrées en 2015, sans doute le même nombre en 2016 alors que plusieurs millions de personnes se pressent aux portes de l'Europe, dans l'impuissance d'une Union européenne qui ne parvient pas à s'organiser pour combattre les trafics criminels et se décompose alors qu'elle devrait au contraire unir ses forces.
Le phénomène auquel nous assistons dans le Calaisis signe l'échec de l'État de droit dans la République française. Il est incompréhensible que l'État ait laissé se mettre en place une zone de non droit de cette ampleur. Pis: la solution qui consiste à évacuer de force la jungle et à répartir les migrants dans des centres d'accueil dans les régions est symptomatique du renoncement à faire appliquer les lois sur l'immigration irrégulière.
Il faut dire la vérité: les migrants de la jungle ne sont pas des réfugiés. Le principe même du droit d'asile s'applique à des personnes qui fuient des persécutions et s'installent dans le premier pays assurant leur protection, où ils se trouvent en sécurité le temps nécessaire. Les migrants du Calaisis ne sont pas dans cette logique. Ils tentent de gagner le Royaume-Uni à tout prix dans un objectif de travail. Ce n'est que faute de pouvoir se rendre en Grande-Bretagne qu'ils devront se «contenter» de la France. De fait, ils sont des étrangers en situation irrégulière, qui n'avaient pas le droit d'entrer sur le territoire et auxquels les lois de la République interdisent d'y séjourner. Ce sont de jeunes célibataires pour la plupart. Ils ont laissé leur pays qui pouvait avoir besoin d'eux, soit pour son développement économique et social, soit pour combattre la tyrannie. Face à cette situation, l'État a un devoir: appliquer les lois de la République et les raccompagner dans leur pays dans le respect de leur dignité et sauf raison humanitaire spécifique.
En organisant leur dispersion dans les régions, le gouvernement socialiste entérine son renoncement à faire appliquer les lois sur l'entrée, le séjour et l'asile. Paralysé par l'idéologie, la peur du regard des médias et des militants, le pouvoir politique cède sur toute la ligne et renonce au principe de l'État de droit. Au sommet d'une situation absurde, nous voyons des fonctionnaires français qui demandent à des étrangers en situation irrégulière d'accepter de rester en France alors qu'ils devraient en repartir. Ils les incitent même à demander l'asile en France tout en sachant qu'ils ne sont pas des réfugiés et que, en tout état de cause, le droit européen écarte la responsabilité de la France dans l'examen de leur demande d'asile, qui incombe au seul pays d'entrée dans l'Union européenne (règlement Dublin). Le drame du Calaisis est celui d'un État démissionnaire, impuissant, incapable d'assumer ses responsabilités et sa mission fondamentale: faire respecter le droit.
En procédant de la sorte, l'État aggrave le chaos et la confusion ambiante. Il n'est pas incompréhensible que les maires renâclent à ouvrir des centres d'accueil de personnes qui ont bafoué les lois pour entrer et rester en France. Mais pour l'État, il est plus facile de contraindre des élus locaux et les populations - sous la menace de les faire passer pour racistes - que d'imposer le respect les règles de l'État de droit. À terme, ce mode de gestion de la crise migratoire est désastreux. Il donne une image négative de l'immigration comme résultat de l'impuissance publique et comme source de chaos. Une immigration organisée, régulée, maîtrisée, négociée avec les pays d'origine, pourrait être une vraie chance pour notre pays sur le plan économique, démographique, culturel, comme pour l'Europe dans son ensemble. Avec sa politique de répartition régionale forcée des migrants en situation irrégulière, le pouvoir politique enterre de facto le principe de maîtrise du flux migratoire et de lutte contre l'immigration illégale. Il bafoue l'idée d'une immigration positive, maîtrisée, comme atout pour la France. Cette situation chaotique, à l'évidence, fait le jeu des courants extrêmes et des partis nationalistes et anti-immigration, en France comme partout en Europe. À terme, en montrant l'impuissance de l'État, elle favorise la xénophobie. La future majorité en 2017, si elle veut éviter un cataclysme électoral en 2022, devra avant toute autre considération reprendre en main la politique migratoire de la France et renouer avec les fondamentaux: une politique raisonnable sur l'immigration régulière et ferme sur l'immigration illégale.
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Nicolas Bay invité des 4 Vérités sur France 2
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Florian Philippot débat avec NKM sur BFM TV (23/10/16)
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« Trumpisation » de l’information, « azoulaysation » de la langue française !
Ce n’est pas Trump qui rend les médias vulgaires mais les médias qui créent l’homme public vulgaire Trump.
L’affaire Morandini n’en finit pas chez i>Télé : entre déontologie et grève, la crise couve dans la rédaction d’une des premières chaînes d’information de France. Même Audrey Azoulay, ministre de la Culture s’il vous plaît, y va de son petit grain de sel contre la venue du journaliste. Elle dénonce même une « trumpisation de l’information ». Qu’èsaco ?
Même si le terme n’est pas très heureux, on peut comprendre par « trumpisation » une forme de vulgarité qui sied au personnage et qui atteindrait, comme un mal violent, la caste médiatique.
Ainsi, il faudrait moraliser un peu tout ce beau monde afin que le débat s’élève – passez-moi l’expression – « au-dessus des pâquerettes »… Cependant, c’est prendre la cause pour la conséquence et vice versa. Ce n’est pas Trump qui rend les médias vulgaires mais les médias qui créent l’homme public vulgaire Trump. Toute l’élection américaine a atteint des summums de vulgarité durant cette campagne dans les deux camps, justement parce que les médias sont omniprésents : société de spectacle oblige, « the show must go on » !Cette mise au point faite, parlons deux minutes de Cyril Hanouna : madame Azoulay semble avoir le cœur mieux accroché quand il s’agit de laisser les Français s’abrutir devant des émissions débiles et abêtissantes, où plus on choque, plus on créé le scandale et plus on fait parler de soi. Une dame (vulgairement vêtue) se fait embrasser la poitrine par un homme vulgaire, dans une émission qui s’enorgueillit d’être vulgaire (c’est ce qu’on appelle, aujourd’hui, la liberté de ton) : des pâtes crues dans le slip d’un chroniqueur, se ramener à poil sur un plateau – l’imagination n’a jamais eu de limite, l’image non plus, maintenant. Et pourtant, on ne parle pas d’« hanounanisation » de la société alors que cet animateur fait beaucoup plus pour la vulgarité à la télévision que Trump dans la société française.
D’ailleurs, en parlant d’« hanounanisation » – car ce n’est pas le sujet principal -, cela commence à bien faire de créer des mots à partir des noms de famille : « trumpisation » est censé décrire quel phénomène sociétal ? Qu’un ministre de la CULTURE s’abaisse à décrire un phénomène qui pourrait trouver des millions de nuances dans la langue française par « trumpisation », c’est proprement scandaleux.
C’est fascinant de voir comment une seule petite phrase peut concentrer en elle-même tant de critiques. En voulant y aller de son petit mot sur Trump, et voulant paraître à la fois amazone et savante, Audrey Azoulay a tenté lamentablement de décrire un phénomène de paupérisation intellectuelle à la télévision (ce n’est pas le meilleur terme, je vous l’accorde, mais au moins il veut dire quelque chose) sans pour autant y arriver avec son barbarisme.
La décadence intellectuelle française n’est pas l’œuvre de Trump mais plutôt celle des prédécesseurs de madame Azoulay : le temps qu’elle s’en rende compte, on aura une émission de naturiste à la télévision… Pardon ? Oui ? Ah, ils l’ont déjà fait…
BV
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Tous unis contre Doanald Trump
Lire!
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Marion twitte:
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Agde (34) : agressée dans la rue à 90 ans, elle est entre la vie et la mort
22h25Victime d’un vol à l’arraché de son sac à main, une dame de 90 ans a été grièvement blessée. Les faits se sont déroulés jeudi, alors qu’elle marchait dans la rue à Agde, face à la Promenade, à l’angle des rues Barthélémy-Rigal et du Mont-Saint-Loup.
Violemment projetée à terre, elle a été hospitalisée en urgence à l’hôpital de Béziers. Elle est dans un état critique mais stationnaire.
Les policiers du commissariat d’Agde ont lancé un appel à témoin. Ils disposent de la description de l’auteur de ce vol d’une grande lâcheté, un jeune homme aux cheveux bruns et courts, vêtu de bleu.
Toute personne susceptible d’aider à confondre le coupable peut se manifester au 04.67.01.02.00.
Merci à marie salers
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Entre manifestations de masse et milices paramilitaires, la Bulgarie est-elle la « forteresse de l’Europe » contre les clandestins?
par Emilie Defresne — 23 octobre 2016
Aux cris de “La Bulgarie aux Bulgares !”, “Clandestins dehors !” , « Étrangers dehors! », “La Turquie tombera!” Les Bulgares manifestent à Sofia leur volonté d’expulser les migrants. Affichant fièrement sur leur banderole (image de la vidéo ci-dessous: « дедите ни… » ) : « nos ancêtres ont accompli leur devoir… », les manifestants rappellent la reconquête du pays à partir des monastères juchés sur les montagnes, face à l’empire turc qui l’avait annexé durant cinq siècles de 1396 à 1878. Le 12 octobre c’était la ville d’Harmanli qui manifestait. Pour seulement 10 000 habitants Harmanli compte 3500 immigrés majoritairement afghans et Pakistanais. On comprend que dans le pays, Angela Merkel ne soit pas très populaire.
La Bulgarie qui compte 7 à 8 millions d'habitant a dû accueillir 15 000 réfugiés en 2016.
En Bulgarie, les réfugiés ne sont pas bienvenus. Près de 15 000 d’entre eux sont arrivés dans le pays cette année. Or, un Bulgare sur deux les considère comme une menace et 5 % déclarent les « détester », explique le Courrier des Balkans.
Si en Bulgarie, les clandestins ne sont pas les bienvenus, les Bulgares semblent déterminés à faire respecter leur volonté. Selon le quotidien suisse, Le Temps, l’Union Vassil Levski-BNO Shipka, est une organisation paramilitaire et souverainiste qui traque les clandestins en Bulgarie:
«Nous sommes les seuls et véritables gardiens de la frontière de l’Europe face à la menace islamiste», nous avait annoncé Vladimir Roussev à Varna, principale ville au nord de la mer Noire, où se trouve son QG. Plus connu sous le nom de guerre de «Walter», ce petit homme râblé à la moustache fournie, dirige d’une main de fer l’organisation regroupant essentiellement d’anciens officiers des forces de sécurité du pays et qui affiche, selon lui, pas moins de 800 membres. Lui-même est ex-colonel de l’armée de terre.
D’après le reportage du Temps, c’est à la frontière avec la Turquie que l’organisation est sur le pied de guerre.
« le village de Iasna Poliana, situé à quelque 30 km de la frontière, est connu pour servir de halte, ou de point de rassemblement, des migrants – ou du moins ceux qui ont réussi à échapper aux checkpoints mis en place par la police. »
Le reporter, dont on devine une certaine malveillance et un parti-pris pro-immigrants, propre à la ligne éditoriale du Temps, prétend que le commandant du groupe est d’origine russe et a fait la guerre de Tchétchénie. Celui-ci, dont le nom de guerre est « Chamane » explique, évoquant les clandestins:
«Il s’agit à 90% des combattants étrangers, avec une hiérarchie et des réflexes de guerriers», (…) en soulignant qu’ils ne croisent ici, dans cette région présentée comme une bifurcation de la fameuse «route balkanique», que des groupes de jeunes Afghans. Tous des hommes, avec dans leur sillage des Pakistanais, des Irakiens et, parfois, des Iraniens. Ils affirment en appréhender plusieurs par semaine, qu’ils remettent aux gardes-frontières. «On évalue d’abord la taille, puis la dangerosité du groupe avant de surgir du bois. Le plus souvent l’effet de surprise est tel que les intrus se laissent faire».
«Nous ne sommes pas des chasseurs de migrants, mais des citoyens responsables!», met en garde depuis Varna, Vladimir Roussev. »
Le groupe paramilitaire serait accusé d’être les «petits hommes verts» de Vladimir Poutine, par l’opposition immigrationniste. « En juin dernier, le Comité Helsinki pour la défense des droits de l’homme a demandé au Parquet d’interdire les activités de l’organisation paramilitaire, jugées anticonstitutionnelles et dangereuses. » précise l’auteur de l’article.
Mais le gouvernement bulgare ne semble pas du tout hostile au procédé: «Nous ne voulons pas d’une nouvelle forteresse, mais d’un endroit sûr, dans lequel nous pouvons vivre et circuler librement, » explique son premier ministre, Boïko Borissov au commissaire aux Migrations, Dimitris Avramopoulos, venu inaugurer en Bulgarie le nouveau corps de gardes-frontière européens le 6 octobre dernier. « Aujourd’hui un Bulgare porteur d’une carte d’identité européenne a plus de chances d’être contrôlé en Allemagne qu’un migrant. Vous trouvez ça normal?» a-t-il demandé au commissaire européen. Le chef du gouvernement n’est pas choqué par le rôle de « forteresse Europe » que revendiquent pour leur pays de nombreux bulgares, même s’il ne le reprend pas à son compte, préférant l’expression de «rempart à la frontière extérieure de l’Union ». Mais un terme choquant pour M. Avramopoulos, envoyé de Bruxelles, et qui aurait une connotation nazie.
Une «clôture de sécurité» longe désormais la frontière de la Bulgarie avec la Turquie. Elle est haute de 3 mètres et composée de plusieurs couches de barbelés, au grand dam des partisans de l’ouverture des frontières. En plus de cette clôture, la frontière est surveillée par des gardes-frontière. La milice de Vladimir Roussev, décriée plus haut par Stephan Ozsvath, le reporter du Temps, ne semble pas être la seule «milices de volontaires» en activité. Il en existerait beaucoup selon Alexandre Lévy, également reporter au Temps, certaines folkloriques mais d’autres très structurées. Des milices qui réclament le même statut que celles de leurs collègues hongrois, et donc reconnues et financées par l’Etat.
D’abord refoulés sans autre manière, les migrants aujourd’hui atterrissent dans des centres d’accueil lorsqu’ils sont appréhendés, politique de l’Union européenne oblige. Et les centres d’accueil débordent en Bulgarie tandis que d’autres sont en construction malgré la résistance des habitants qui ne cessent de manifester leur opposition. Bien que Boïko Borissov ait repris les rênes du pouvoir en novembre 2014 grâce à une coalition centriste, en 2009 il avait formé un gouvernement populiste et nationaliste. Le premier ministre pris en étau entre sa population d’une part et la pression des immigrationnistes de l’autre, navigue à vue, soucieux de ménager Bruxelles.
emiliedefresne@medias-presse.info
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"Nous vous détruirons": les terrifiantes menaces du chef d'état-major des USA à la Russie et à la Chine
"Nous vous détruirons" : Les terrifiantes... par les-crises- Date d'enregistrement : 04/10/2016
- Date de publication : 19/10/2016
- Avec sous-titres en français
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Marseille: 200 policiers à minuit sur le Vieux-Port (24/10/16)
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VIDEO - La ville irakienne de Bartella libérée, retour de la communauté chrétienne
Une vidéo très émouvante
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" Métissons-nous: le blanc est sale!"
+ Très bonne vidéo
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Calais: les "No Border" prêts à se mobiliser contre démantèlement de la "Jungle"
Par Paul Louis
Mis à jour le 23/10/2016 à 11h12Alors que l'évacuation du camp de Calais est annoncée pour lundi, les activistes entendent mener des actions pour dénoncer, voire empêcher, les opérations.
Si la préfecture du Pas-de-Calais estime leur nombre entre «150 et 200», il demeure impossible de donner un comptage précis des militants «No Border» présents actuellement dans le camp de «la Lande» de Calais (dit aussi la «jungle»). Et c'est bien là l'une des principales inconnues des forces de l'ordre qui s'attendent à une opposition musclée avec ces activistes anti-frontières lors du démantèlement lundi.
En matière de communication, le collectif «Calais Migrant Solidarity» (CMS), présent dans la «jungle» depuis 2009, joue la carte de la discrétion et reste éloigné de la presse. Et si le flou persiste sur la forme des actions envisagées de ses militants, le CMS, intégré au réseau international «No Border», a toutefois appelé à «une journée transnationale d'actions et de manifestations le 24 octobre 2016 pour exprimer par toutes formes de solidarités créatives (son) soutien aux expulsé-e-s de Calais et à toutes les personnes sans papiers». La Coalition Internationale des Sans-Papiers et Migrants (CISPM), la Coordination de Sans Papiers 75, l'association le Réveil Voyageur, de l'Action Antifasciste Calais et des syndicats Solidaires et FSU participeront également à cette journée d'action.
«Pas de destruction de lieux qui soit “humanitaire”»
Sur leur blog, les activistes de CMS disent réaliser «un ensemble d'activités variées qui a pour but de construire la résistance face aux agressions policières, d'éveiller les consciences sur la situation calaisienne, de montrer (leur) solidarité avec les migrants, et tout simplement d'essayer de rendre la vie des gens un peu plus facile». Lundi, l'opération de démantèlement qui se veut «résolument humanitaire» selon les autorités s'organisera autour d'une répartition des migrants entre adultes, mineurs étrangers isolés, familles et personnes isolées. Une méthode inadmissible pour les «No Border» pour qui «il n'y a pas de destruction de lieux de vie qui soit “humanitaire”». Ils dénoncent par ailleurs «une pression policière qui augmente de jour en jour sur la zone».
Sur place, les activistes du CMS joueraient un rôle majeur en donnant des indications aux migrants pour organiser la rébellion. Certaines associations recevraient déjà des messages d'insultes: «Nous avons quelques injures et autres, ça me fait penser aux gens qui allaient aux matchs de foot pour se battre avec la police», explique à Europe 1 Christian Salomé, président de l'association L'Auberge des migrants.
Au vu des derniers face-à-face entre forces de l'ordre et «No Border», les responsables politiques s'attendent, au mieux, à un échange tendu entre les deux parties lors du démantèlement, au pire, à des affrontements violents. D'autant que le groupe de militants pourrait être gonflé par l'arrivée d'activistes venus d'autres pays d'Europe mais également d'une poignée de zadistes de Notre-Dame-des-Landes qui ont appelé à la solidarité. 1200 policiers, en plus des 2100 agents déjà présents sur place, seront mobilisés pour l'occasion. «Les violences, forcément il y en aura. Pas les premiers jours parce que les journalistes seront là. Je pense qu'ils (les forces de l'ordre, ndlr) vont (leur) faire un joli SAS, un joli petit parcours «regardez à gauche, regardez droite», tout se passe bien. Et quand la tension médiatique retombera, la répression va se mettre en place», lâche Arnaud, «No Border français», au micro d'Europe 1.
De son côté, la préfète du Pas-de-Calais Fabienne Buccio, a indiqué, selon La Voix du Nord , que «toute personne qui ne sera pas munie de badge n'aura rien à faire sur le camp de «la Lande». Elle se dit prête à délivrer des OQTF (obligations de quitter le territoire français, ndlr)» aux militants qui ne seraient pas Français.
Le Figaro
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Budapest, le 23 octobre 1956
A Budapest en 1956, il y a 60 ans, le printemps est né en octobre. Des jeunes gens. Des centaines de jeunes gens, presque des enfants, qui montent à l’assaut des bâtiments communistes. Les forces de répression qui les mitraillent. Dans le parc Staline, la statue du dictateur rouge, haute de sept mètres et érigée sur l’emplacement d’une église rasée, a été jetée à bas.
Le 19 octobre, les étudiants avaient donné le signal du soulèvement. Le 20, dans un meeting tenu au théâtre de Györ, Lajos Simon demandent que les troupes soviétiques, qui occupent la Hongrie depuis dix ans, évacuent le pays.
Le 23, ils sont des milliers devant la statue de Petöfi, le poète nationaliste hongrois. Une jeune fille s’avance, un drapeau hongrois à la main. Un drapeau au centre duquel il y a l’emblème soviétique. Elle lacère l’emblème honni et dresse le drapeau « libéré » au-dessus de la foule. Un cri immense : « Liberté ! Liberté ! »
Dans un même mouvement, chantant « Debout Hongrois, votre pays vous appelle ! », la foule se rassemble devant la statue du général Bem, héros de la guerre d’indépendance. Des drapeaux rouges foulés au pied, brûlés. D’une caserne proche, des soldats hongrois applaudissent. « Arrachez l’étoile rouge de vos calots ! » crient les manifestants. Les soldats obéissent aussitôt.
Un groupe de jeunes nationalistes arrivent devant la Maison de la Radio, dont les portes sont solidement cadenassées. Les gardes les interpellent :
— Que voulez-vous ?
— Parler au micro !
— Pour quoi dire ?
— Que nous voulons une Hongrie libre !
— Mais… vous êtes devenus fous !
Caché dans son bureau, le directeur de la radio, Valéria Benke, n’en mène pas large. Il appelle le Comité central : « Ils deviennent menaçants. Que dois-je faire ? » Réponse : « Occupez-les, on vous envoie des renforts. » Pour gagner du temps, Benke annonce : « Nous sortons vous interviewer. » Un camion de prise de son sort du bâtiment. Un journaliste régimiste tend son micro aux étudiants. Il n’est pas déçu : « Vive la Hongrie libre ! » « A bas le communisme ! A bas les Russes ! »
Un des manifestants demande alors à des Hongrois qui assistent à la scène depuis leur appartement : « Vous nous entendez à la radio ? ». « Pas du tout ! » « Comment ? Mais nous parlons en direct ! » « C’est impossible ! La radio retransmet en ce moment un discours d’Erno Gerö… »
Gerö est le secrétaire général du parti communiste hongrois. Il est haï par tout le pays. Pendant que les étudiants parlent devant un micro mort, les forces de répression prennent position autour de la Maison de la Radio. Un jeune homme saute dans le camion de prise de son, frappe le chauffeur, le jette dehors, embraye, accélère et fonce sur le portail du bâtiment. Des rafales, puis des grenades explosives partent de l’intérieur, couchant sur le sol des dizaines de manifestants désarmés. Nous sommes le 23 octobre. Il est 20 h 10. La révolution nationaliste hongroise vient de commencer. Dans le sang. L’Occident, vautré, assistera au massacre…
Alain Sanders – Présent
DélitD'images
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Orbán : un appel pour aider les chrétiens en priorité, couler les navires illégaux et lutter contre le nihilisme
Le 20 septembre 2016
Hongrie, Budapest – Viktor Orbán a fait des déclarations fortes pour le début de la nouvelle année parlementaire. Il a dénoncé le nihilisme comme l’ennemi, a exprimé vouloir contrôler la mer Méditerranée en coulant les bateaux illégaux et veut aider les chrétiens avant les musulmans.
Viktor Orbán est un habitué des déclarations choc. Et ce qu’il a dit après les vacances d’été n’a pas tardé à faire grand bruit. Pour le premier ministre hongrois, tout d’abord, ce que ses «ennemis représentent aujourd’hui n’a rien à voir avec les pensées et les idées des grands penseurs libéraux du passé. Cela est du nihilisme pur, et ce point de vue nihiliste est parvenu furtivement à se répandre sur le monde et dans les institutions de l’Union européenne ».
« Aujourd’hui, la naïveté est la norme à Bruxelles »
Parlant des migrants, et affirmant que la faute ne leur appartient pas, il a tôt fait de désigner Bruxelles pour responsable. « Nous autres Européens n’avons même pas encore décidé ce que nous voulions faire ». « S’ils invitent ces malheureux, ils vont venir. Nous avons la possibilité maintenant d’utiliser le référendum pour faire dérailler les efforts de l’UE, et nous espérons que notre exemple fera écho à travers l’Europe et que commencera une vague, de sorte qu’après le printemps prochain une direction différente soit installée à la tête des institutions de l’Union. Il ne faut pas oublier que l’élite nihiliste pense l’Europe centrale comme une région ayant besoin de changement, d’une dilution de la population, » a souligné Viktor Orbán.
Le chef de l’exécutif hongrois a résumé ensuite les questions fondamentales à poser selon lui. « Nous devons répondre à ceci : voulons-nous des nations, ou voulons-nous une Europe unie ? Voulons-nous la famille et les enfants, ou ne pourrions-nous pas même décider de qui est un homme et qui est une femme ? Alors que le soixantième anniversaire du traité de Rome arrive au printemps prochain, nous devons répondre à ceci : avons-nous vraiment des valeurs communes à tous ? » a déclaré Viktor Orbán.
« Nous avons besoin de zones sous contrôle en dehors de l’Union européenne ! Nous devons décider qui peut entrer et qui ne le peut pas ! »
Sur les migrants encore, le premier ministre hongrois a dit les choses clairement. Les nihilistes dont il avait parlé précédemment veulent la destruction de l’Europe telle qu’elle a été jusqu’à présent. « Pour eux c’est une occasion unique de pouvoir détruire l’Europe qui est fondée sur la Chrétienté et l’identité nationale afin de complètement modifier les fondations ethniques de l’Union européenne. Ils savent que les musulmans ne voteront jamais pour des partis avec des racines chrétiennes, et donc qu’avec une masse importante de musulmans, ils pourront écarter à jamais du pouvoir les partis conservateurs traditionnels. Mais la guerre est également une très grande opportunité pour les nations ayant des racines chrétiennes. Notre grande opportunité est de résoudre les discussions sur les migrants en dehors du politiquement correct. Notre stratégie porteuse d’espoir est avec le V4, et peut-être bientôt avec l’Autriche, de contraindre les élites à retirer ces décisions de leurs mains et les placer dans les mains des gens grâce aux référendums« .
Enfin, Viktor Orbán a déclaré que les dirigeants européens doivent aider les chrétiens d’abord avant tout autre. « Si nous voulons aider, nous devrions aider à la racine du problème, et d’abord, nous devons aider les chrétiens. Si l’Europe sait ce qui est bon pour elle et veut une armée commune, alors elle doit dominer la mer Méditerranée et ses côtes, tout comme les anciens chefs militaires romains l’ont fait. Ils ont coulé tous les navires vides et non autorisés. Bien sûr, il faut sauver les migrants avant cela et les ramener en Afrique dans un camp de migrants conçu pour environ deux à trois millions de personnes, quelque part en Libye ».
VALEURS ACTUELLES
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Florian Philippot invité de l'émission " Dimanche en politique en régions " sur France 3 Lorraine
Toujours excellent!