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Jugé devant le tribunal correctionnel d’Avignon, Yacine a assuré n’avoir pas visé et pas eu l’intention de faire de mal à la jeune victime.
Après un parcours sans tache, la vie de Yacine, un Sorguais âgé de 28 ans, a basculé, après la perte de son emploi dans une entreprise de dératisation. Au fil des semaines, son état psychologique s’est dégradé et la non-reconnaissance en maladie professionnelle de ses problèmes pulmonaires, a été la goutte d’eau de trop.
Le 26 janvier 2015, en fin d’après-midi, après une visite chez le médecin de la Sécurité sociale, il a laissé éclater sa colère, en rentrant au domicile familial de Sorgues. Il a brisé une cafetière et s’en est pris à son père qu’il aurait frappé. [...] Dans le jardin, Yacine s’est emparé d’un galet décoratif de 2,5 kg, a franchi le portail, et l’a lancé sur la route.
Au même moment, une dame qui venait de récupérer ses deux petits-enfants à l’école, est passée devant la maison au volant de son véhicule Citroën DS4. La pierre a brisé la vitre arrière et percuté en plein visage son petit-fils. L’enfant, âgé de 8 ans, va être défiguré et devra ensuite subir une intervention chirurgicale pour retirer les morceaux de verre et réparer le fracas facial. [...]
Pour la partie civile, il n’y a pas de place au hasard : « Le projectile a été lancé volontairement sur le véhicule. Un geste délibéré qui aurait pu tuer l’enfant » [...]
Merci à marie salers
Très intéressant!
Plusieurs individus ont incendié un bus de la RATP ce samedi, vers 21 h 30, à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), sans faire de blessés. Selon les premiers éléments connus, recueillis par leparisien.fr, trois personnes munies d'un bidon d'essence seraient montées dans ce bus de la ligne 302 (La Gare du Nord-La Courneuve/Les Six Routes), rue Saint-Just, tout près de la cité des 4 000, à La Courneuve. Le trio a ensuite menacé la conductrice qui a réussi à descendre avec les deux seuls passagers présents à ce moment. Les trois hommes auraient ensuite mis le feu au bus. Une voiture a également été brûlée. Selon les témoins, les malfaiteurs étaient cagoulés. Des renforts de police ont été envoyés sur place.
Le Parisien
Jean Bonnevey, journaliste ♦
Mais a-t-il vraiment tort de mépriser cette démocratie ? Cette démocratie, c’est l’autre nom du système qu’il prétend combattre. Or que veut le système ? Il veut imposer aux américains, une femme à la présidence après un président noir ou presque. Le féminisme politique gauchisant a trouvé le macho idéal : Trump. Comme une caricature bien utile pour disqualifier politiquement l’homme blanc mâle et qui entend le rester.
Trump, c’est la promotion canapé, le raciste, l’homophobe, tout ce que le système dénonce au nom des valeurs démocratiques. Mais ces valeurs sont celles d’une presse partisane et d’une femme artificielle fausse et au bilan politique catastrophique. Trump met en cause, l’objectivité de la compétition électorale américaine. Il a parfaitement raison. Tout est faussé même si rien n’est truqué. Et ce qu’il dit pour les Usa est vrai pour ailleurs.
Il parait que Poutine se serait ingérée dans la campagne Us. Possible certes. Ce qui est certain en revanche, c’est que les Usa s’ingèrent dans toutes les élections en Ukraine et ailleurs et ne reconnaissent pas les résultats qui ne plaisent pas à sa conception de la démocratie mondialiste.
Tout ce que dit Trump est donc retourné contre lui et Hillary Clinton, plus fade tu meurs, bénéficie d’une protection médiatique quasi complète.
Pourtant, elle a été une actrice politique majeure, grâce au comportement sexuel « inapproprié » de son mari qui s’est excusé en pleurant. La femme humiliée par les actes et non par les paroles, elle sait ce que c’est. Elle devrait la jouer plus modeste comme féministe irréprochable.
Elle porte la responsabilité de la guerre aux côtés d son sympathique mari contre la Serbie, au profit des islamistes albananophones, puis aux cotés d’ autres foudres de guerres de la catastrophe arabo-musulmane qui a permis la destruction d’états.
Mais ce qui menace le monde ce sont bien sûr les grivoiseries de vestiaire de Donald Trump. Il a l’air de penser que certaines femmes sont attirées par le pouvoir ou l’argent. Heureusement Hillary est là pour prouver le contraire.
Par Julie Connan
Mis à jour le 22/10/2016 à 19h00
#EUROPEGOESUS - Dans le seul Etat américain à autoriser la prostitution, l'avenir politique du pays est âprement débattu par les prostituées, qui ont décidé d'y prendre part, à leur manière.
De notre envoyée spéciale dans le Nevada
Pour qui n'a pas l'habitude, entrer dans un «brothel» - littéralement un bordel - est en soi une expérience. Dans le Nevada, seul Etat américain où la prostitution est légale et réglementée (mais pas dans tous ses comtés), ces établissements ont pignon sur rue. A Carson City, la petite capitale méconnue de l'Etat, située en plein pays cow-boy, la plupart de ces «maisons de joie», desservies par une petite piste d'hélicoptère, sont la propriété du septuagénaire Dennis Hof, également connu pour son émission de téléréalité, Cathouse.
» Près de la zone 51, on croit plus aux ovnis qu'à la présidentielle
» «Le Nevada, un endroit difficile à sonder»
Du Moolite Bunny Ranch au SageBrush, ces établissements, qui ressemblent à des motels ornés de panneaux à l'humour douteux, sont à peine dissimulés par quelques entrepôts. Le tout en bordure d'une route très fréquentée, dont le va-et-vient automobile est quotidiennement interrompu par la traversée de bétail et de chevaux laissés en liberté, à l'état plus ou moins sauvage.
Et s'il est interdit de faire la publicité de ce commerce charnel, les filles de joie ont trouvé un moyen de faire parler d'elles dans un tout autre registre, à travers le mouvement «Hookers for Hillary» (les prostituées pour Hillary), à la faveur des primaires, puis de la campagne présidentielle. «J'ai été élevée dans un foyer républicain en Oklahoma, mais je vais voter Hillary, annonce Sable Renae, 45 ans, dans sa petite chambre aux murs ornés de cravaches de toutes sortes et d'un chapeau de cow-boy. Trump veut continuer à faire des reaganomics (la politique économique prônée par Ronald Reagan), on sait très bien que cela ne marche pas. J'ai vraiment pris ma décision de voter pour elle après le premier débat. Elle est intelligente et sait écouter», précise cette ancienne employée en recouvrement chez HSBC. «J'ai fait des études d'histoire alors quand les filles me le demandent, je leur explique le système politique américain», ajoute cette jeune grand-mère de quatre petits-enfants, intarissable sur le fonctionnement des institutions.
Ces partisanes de Clinton affirment aussi qu'elle défendra mieux le régime de santé, et leurs droits en tant que travailleuses du sexe. Dans le Nevada, elles sont soumises à un examen médical par semaine, à des tests HIV réguliers et le port du préservatif est obligatoire.
«Les filles, vous avez de la visite». La voix du barman retentit dans la petite chambre de «Sable» à travers un interphone, situé au-dessus du «Panic button». Cet appel exhorte chaque prostituée à venir se présenter au prochain client, qui fera ensuite son choix, après avoir fait le tour de l'établissement. Les "gentlemen" parlent en général très peu de politique entre ces murs, contrairement aux hôtesses.
«Les filles critiquent beaucoup Trump et son côté mâle blanc dominant, raconte Ondine Desire, 30 ans. J'étais plutôt pour Bernie Sanders, mais avec Clinton, je pense que je serai en sécurité en tant que femme, explique cette travailleuse sociale venue de Chicago pour «tenter l'expérience» de la prostitution. Trump voit les femmes comme des objets, mais moi, je décide quand j'ai envie d'être traitée comme un objet».
Dans l'obscurité du SageBrush et du Bunny Ranch, toutes les voix ne vont pas dans le même sens. Le propriétaire des lieux se présente au Sénat du Nevada sous l'étiquette libertarienne, après avoir soutenu la candidature de Ron Paul à la présidentielle en 2008 et en 2012. Dennis Hof a même déclaré qu'il voterait pour Donald Trump, tout en encourageant ses «filles» à continuer leur campagne pour sa rivale démocrate. «Mais toutes celles qui font campagne n'iront pas voter», déplore Sable. Comme Ondine, elle se rendra au bureau de vote le 8 novembre, et si sa petite chambre n'a pas de télévision - seule la suite est équipée d'un écran géant à côté d'une barre de pole dance - Sable a d'ores été déjà prévu de suivre l'élection sur son ordinateur portable.
Par Eric Zemmour
Mis à jour le 21/10/2016 à 17h03
CHRONIQUE - Theresa May et Vladimir Poutine sont les deux mauvais élèves d'une petite classe européenne qui ne jure que par le droit et le marché.
Ils hantent tous deux les nuits d'Angela Merkel et de François Hollande. Ils n'ont pourtant pas grand-chose en commun. Ils s'affrontent même durement autour de l'Ukraine ou de la Syrie. Vladimir Poutine ne connaît pas encore Theresa May ; et celle-ci considère qu'elle en connaît déjà assez sur celui-là.
Mais si tous deux sont devenus les têtes de Turcs favoris des grands médias internationaux et des principaux dirigeants de l'Union européenne, ce n'est pas un hasard. Avec Poutine, c'est désormais une vieille histoire. Géorgie, Ukraine, Syrie, on sait ce que reprochent les Occidentaux au Président russe. On connaît aussi les arguments de Poutine.
C'est au fond à chaque fois la même chose: il défend les intérêts de son pays à ne pas voir les forces de l'Otan aux portes de la Russie d'une part, à conserver des alliés fidèles et à lutter, à l'intérieur comme à l'extérieur, contre l'offensive djihadiste venue du monde musulman.
Avec Theresa May, c'est plus récent. Le nouveau premier ministre britannique a décidé de se soumettre à la volonté de son peuple, manifestée lors du référendum sur le Brexit. C'est peut-être ce que ne lui pardonnent pas les élites médiatiques, politiques et financières européennes.
«Theresa May, ce sera le dirigisme de l'État dans l'économie, le protectionnisme, la préférence nationale, l'arrêt de l'immigration, la réduction des inégalités»
Mais, désormais, elle va plus loin. Elle fait du Margaret Thatcher à l'envers. C'est-à-dire avec la même détermination, mais pour conduire une politique exactement opposée. Thatcher, c'était le libéralisme, le libre-échange, la baisse des impôts, l'ouverture des frontières, les inégalités sociales, l'individu roi.
Theresa May, ce sera le dirigisme de l'État dans l'économie, le protectionnisme, la préférence nationale, l'arrêt de l'immigration, la réduction des inégalités, la dénonciation «des élites cosmopolites et des citoyens du monde, qui ne sont de nulle part». Ce sera aussi la préférence donnée à l'industrie sur la finance.
«Theresa May et Vladimir Poutine n'ont rien de commun, sauf d'assumer pleinement la souveraineté de leur nation. Et cela change tout»
Et, last but not least, le rejet de la tutelle des grands juges européens, Cour de justice de l'Union européenne et Cour européenne des droits de l'homme.
Theresa May et Vladimir Poutine n'ont rien de commun, sauf d'assumer pleinement la souveraineté de leur nation. Et cela change tout.
Aux deux extrémités du continent européen, ils sont les deux mauvais élèves d'une petite classe européenne qui ne jure que par le droit et le marché. Une petite classe européenne convaincue que l'origine des deux guerres mondiales du XXe siècle provient du déchaînement des nationalismes ; et que la disparition des nations assurera la paix.
C'est cette illusion postnationale que ne partagent pas les Anglais et les Russes. Peut-être parce qu'ils furent les seuls à ne pas avoir été vaincus par l'Allemagne nazie ; les seuls à ne pas avoir été «libérés» de l'occupation allemande par les armées américaines.
VIDEOS
http://www.l214.com/maltraitance-animale-video-et-plainte-contre-le-rituel-juif-kapparot
NdB: Oiseaux et poulets sont égorgés à vif selon le rituel d'un autre monde...
Excellent entretien à écouter attentivement sur le Grand Remplacement et le projet criminel de la "partition" du territoire français.
Jean-Claude Beaujour
Vice-présidentdu think tank France-Amériques, qui a pour mission de mieux faire connaître les Etats-Unis en France, Jean-Claude Beaujour, avocat, partage sa vie entre Paris et Washington. Il estime que rien n'est joué pour la présidentielle.
Le dernier scandale ne sera-t-il pas fatal à Trump ?
Jean-Claude Beaujour. Ses propos particulièrement sexistes ne vont évidemment pas l'aider. Cependant, il faut rester très prudent. Je ne pense toujours pas que Donald Trump ait atteint son maximum. Il y a bien sûr les incertitudes inhérentes aux « swing states » (ces quelques Etats indécis où l'opinion bascule régulièrement d'un camp à l'autre). Mais il y a aussi un phénomène que je comparerais à celui du FN il y a une vingtaine d'années : un électorat dormant qui n'osait pas avouer qu'il votait pour Jean-Marie Le Pen. Je pense qu'il joue à plein en faveur de Trump et que les sondages le sous-estiment.
Quelles sont les raisons qui vous rendent prudent ?
Le facteur principal du vote pro-Clinton est son expérience. C'est un vote de raison. Or, dans les « swing states », où quelques milliers de voix peuvent faire la différence, les électeurs votent plus par ferveur que par raison. L'électorat de Trump, ces petits Blancs modestes, laissés pour compte et peu éduqués, sont plus motivés car ils ont le sentiment que c'est la dernière fois que leur est offerte la possibilité de voter pour une Amérique blanche, traditionnelle. Les Blancs représentent 63 % de la population. En 2050, ils ne seront plus que 46 %. D'ailleurs, malgré ses écarts de langage, Trump n'a pas vu sa cote dramatiquement chuter jusqu'à présent.
La conjoncture ne joue-t-elle pas en faveur de Clinton ?
L'économie va mieux, mais la précarité reste élevée. Surtout, les questions de sécurité et d'immigration sont centrales. Il suffirait d'un attentat pour que Trump en tire profit. Et puis Clinton a toujours plusieurs boulets aux pieds : les e-mails, certains aspects de sa politique extérieure quand elle était secrétaire d'Etat et surtout son image de membre de l'establishment. Enfin, elle n'a toujours pas fait de discours fondateur. Obama, en 2007, avait su inscrire son élection dans l'histoire américaine.
Et comme première femme présidente, surtout en regard du sexisme de Trump ?
Clinton n'a joué sur cette corde que récemment. Elle est de la génération des « civil rights », pour qui la bataille des droits des Noirs est essentielle, pas celle des femmes qui pour cette classe d'âge ne doivent bâtir leur réussite que sur leur mérite. Je ne suis pas sûr qu'elle arrive à mobiliser les jeunes femmes, tout comme les jeunes Noirs, d'ailleurs. C'est pour cela qu'elle a envoyé Michelle Obama à la rescousse. Ces dernières semaines, on voit beaucoup la first lady battre la campagne. Reste à savoir si, après les dernières révélations sur Trump, les féministes se mobiliseront pour Clinton.
LE PARISIEN
http://www.gfaye.com/la-guerre-civile-ethnique-se-prepare/
A lire absolument!
Une analyse remarquable de la réalité que nous vivons
(merci à Dirk)
ÉDITO
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Lire jusqu'au bout l'article du Crif
Thierry Solère, député LR des Hauts-de-Seine et également président de la Commission d’organisation de la primaire de la droite, a condamné des propos tenus par l’un des candidats, Jean-Frédéric Poisson, dans l’édition du 19 octobre de Nice-Matin, sur les « lobbies sionistes » aux Etats-Unis.
« En tant que député de Boulogne/Boulogne-Billancourt, je condamne avec la plus grande force les propos de Jean-Frédéric Poisson », a affirmé Thierry Solère. « Dans notre pays, l’évocation du ‘lobby sioniste’ n’a pas la même signification qu’aux Etats-Unis », cette expression « nourrit les thèses conspirationnistes et a un caractère insidieusement antisémite », a-t-il ajouté.
De son côté, Jean-Frédéric Poisson, président du Parti Chrétien-démocrate (PCD), a affirmé sur RCJ qu’il n’y avait « aucune intention malicieuse » dans ses propos. Ils ont « pu provoquer une sorte d’émotion au sein du Crif, j’en suis désolé, parce que ce n’était évidemment pas mon intention, et je veux redire ici toute l’amitié que j’ai pour l’Etat d’Israël et pour le peuple juif dans son ensemble », a-t-il dit.
Le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) a demandé ce jeudi dans un communiqué à « la Haute Autorité de la primaire de la droite et du centre une condamnation ferme des propos » de Jean-Frédéric Poisson. Thierry Solère a affirmé qu’il mettra « cette question à l’ordre du jour de la prochaine réunion » de la commission, le 26 octobre.
BV
21/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
Le conseil d’Etat a finalement tranché : les crèches de Noël sont autorisées dans les bâtiments publics mais sous certaines conditions.
Une mairie pourra donc installer une crèche qu’à trois conditions: que cette exposition soit « temporaire », qu’elle ne s’accompagne d’aucune manifestation de « prosélytisme religieux » et enfin qu’elle revête le « caractère d’une manifestation culturelle ou au moins festive ».
Robert Ménard, qui avait du engager un bras de fer avec le Préfet, à salué cette décision :
Béziers toujours à l’avant garde !
Le #ConseildEtat valide les #crechesdeNoel dans les bâtiments publics. #Béziers toujours à l'avant garde! #racineschretiennes
— Robert Ménard (@RobertMenardFR) 21 octobre 2016
Le conseil d'Etat autorise les #crèches de #Noël dans les bâtiments publics https://t.co/DBpG4rttL6
— Franck GUIOT (@FrkGuiot) 21 octobre 2016
Voici la traduction, sans commentaire de ma part, d’un article paru dans le Daily Express du 17 octobre.
La police allemande a arrêté un migrant marocain de 19 ans suspecté d’avoir violé une femme de 90 ans qui venait de sortir d’un service religieux dans une église. La police de Düsseldorf a annoncé dimanche [16 octobre] l’arrestation de l’homme après avoir lancé une recherche de l’agresseur d’une grand-mère en plein jour.
Cette femme âgée venait de quitter son église, située au centre [de Düsseldorf] le 2 octobre, quand l’agresseur la poussa dans une étroite ruelle entre deux cafés.
Dans la ruelle, qui est ordinairement interdite au public et utilisée par ces deux cafés pour y entreposer leurs ordures, l’agresseur, à ce que l’on sait, aurait exigé de l’argent de la dame avant de l’agresser sexuellement.
La police de Düsseldorf a pu établir un portrait du suspect, un policier l’ayant reconnu dans une gare de chemin de fer.
Les médias locaux informent que l’ADN de l’homme, migrant marocain qui avait précédemment vécu en Espagne, correspondait aux prélèvements effectués sur le lieu du crime.
Selon des informations, l’homme avait déjà été arrêté en mai de cette année pour avoir dévalisé un adolescent.
Source : Daily Express, 17 octobre
L'observatoire de la christianophobie