Il faut absolument voir cette vidéo! C'est renversant!
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VIDEO - Trump: Anne Sinclair, ex-femme de DSK, n'a jamais vu une telle "vulgarité"!
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Vous êtes blond ? Vous portez des nattes ? Vous êtes nazis !
Matthias Iken, journaliste
♦ En Allemagne la reductio ad hitlerum bat son plein pour interdire toute critique de la politique d’invasion migratoire.
Dans cet article, paru dans le Hamburger Abendblatt (170.000 exemplaires) un journaliste – centriste – arrive à s’inquiéter de cette dérive.Un document éclairant sur la situation en Allemagne, traduit par François Stecher, correspondant de Polémia.
Polémia
Désormais, même les feuilles de chou des pharmaciens deviennent hystériques : elles considèrent les filles en jupe comme politiquement suspectes.
Comme c’est bon qu’il y ait des revues pour pharmaciens ! Ils ne se contentent pas de donner des conseils pour toutes les circonstances de la vie en augmentant au passage leur chiffre d’affaires avec pilules, pâtes et pastilles, mais ils s’engagent dans le « combat contre l’extrême droite ». Compte tenu de la xénophobie choquante qui règne, on voudrait saluer cet engagement, n’est-ce pas ?
Celui qui a pris en main le magazine Baby und Familie, ce catalogue maquillé en travail de journaliste, chez son pharmacien de confiance, a dû être surpris : cela faisait longtemps que l’on n’avait pas vu quelque chose d’aussi raciste dans un journal allemand. Sur cinq pages y était évoqué le « danger de l’extrême droite » – pas en la personne de crânes rasés ultra-violents ou d’arriérés indécrottables et remplis de haine, mais bien dans la figure d’une mère blonde et de son enfant blond, la nouvelle extrême droite. D’étranges experts, provenant d’univers parallèles plus étranges encore, y susurrent quels désagréments menace le quotidien des jardins d’enfants. « Il est difficile de situer la limite entre ce qui est extrémiste et ce qui ne l’est pas », vaticine une certaine Michaela Köttig, professeur de sociologie à Francfort. « Le fait est que cette manière de penser trouve sa source au sein de la société. »
Le fait est que ceci pourrait être une stupidité confirmée. Cela va encore plus loin dans la bêtise. Heike Radvan, directrice du département « Gender & Extrémisme de droite » à la Fondation Amadeu Antonio, donne des indications pertinentes afin de dépister les déviances. « Les enfants de parents d’extrême droite ne sont pas nécessairement différents des enfants d’autres parents. Parfois, on ne les détecte qu’après un temps assez long, par exemple parce qu’ils sont très sages ou très obéissants. »
Une assistante sociale berlinoise peut affirmer que les filles d’extrême droite peuvent être repérées « à leurs nattes très exactement tressées et à leurs longues jupes », les garçons « à leur apparence traditionnelle, et au fait, par exemple, qu’ils ne portent aucune inscription américaine sur leurs vêtements ». Et Kötter de trouver suspects « les parents gentils et engagés ». Oui, chers lecteurs, si vos enfants portent des nattes ou des chemises aux armes de Hambourg, saluent poliment le voisin et ne courent pas comme des dératés dans le jardin d’enfants, ils relèvent de la surveillance du Verfassungsschutz, dans ce joli nouveau monde.
Même le simple lecteur de Baby und Familie, bien qu’il ne soit diffusé qu’à 711.900 exemplaires au sein du peuple des suspects, apprend vite où le danger menace. Sur cinq pages, on peut identifier les extrémistes de droite à leurs nattes et à la couleur de leurs cheveux : le Mal a le cheveu blond. Le site « Stern.de » en arrive à ce jugement définitif : « Ils sont aussi mauvais que les racistes, qui se comportent et s’expriment de manière xénophobe, tous ceux qui condamnent globalement les êtres humains ».
C’est le site Web « tichyseinblick.de » qui a découvert cette perle du journalisme. L’exemple parfaitement grotesque issu de la pharmacie montre que le combat antiraciste déraille, pour s’en prendre maintenant au cœur de la société. Sur Internet, des « privés » de la police de la pensée battent la forêt des réseaux sociaux à la recherche de messages de haine ; les discussions s’interrompent, parce que ceux qui expriment des doutes, par exemple sur la politique des migrants, sont immédiatement soupçonnés d’être des nazis ; le reproche d’une appartenance à un parti populiste apparaît comme argument définitif dans le moindre débat.
Jusque dans les pages culturelles on agite l’argument-massue de l’AfD, pour assener l’interdiction de penser. Le dernier récital de chant Wittenbrink, au théâtre de Sankt Pauli, a reçu du site « Zeit.de » le label « Hambourg a maintenant sa première comédie musicale pour sympathisant de l’AfD ». La nécessaire séparation d’avec la droite extrême menace de se perdre en un rejet du centre, avec des conséquences fatales ; cela ne contribue qu’à une chose : pousser des gens dans les bras des populistes de droite.
Les antifascistes auraient en principe suffisamment à faire avec les vrais racistes, comme par exemple le responsable AfD Kay Nerstheimer, qui s’en est pris aux migrants, les taxant de « vermine répugnante ». Il est simplement idiot que ceci n’ait été vraiment rendu public qu’après que les Berlinois eurent voté, dimanche – Nerstheimer a remporté un mandat direct. Antifascisme et antiracisme étaient, il fut un temps, des positions issues d’une pensée éclairée. Entretemps, par leur caractère impitoyable et radical et leur hystérie, certains responsables professionnels de la lutte contre l’extrême droite rappellent plutôt l’antifascisme d’Etat de la RDA. On peut encore voir aujourd’hui où cela a conduit.
Matthias Iken
24-25/09/2016Matthias Iken, 38 ans, est rédacteur en chef adjoint au Hamburger Abendblatt
Source : Hamburger Abendblatt
Correspondance Polémia- 6/10/2016
Image : Deux jeunes filles aux nattes blondes !!! Heidi, la bavaroise et Monika, la berlinoise.
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DEUX FRANCE
Oui, deux France : celle de Vincent, 28 ans, qui était fier de porter l’uniforme et qui le paye de sa vie. Et celle de la Grande Borne, l’un des endroits les plus dangereux du pays, 3 600 logements pour environ 12 000 habitants, le quartier d’enfance d’Amédy Coulibaly, notamment, le tueur de l’Hyper Cacher.
Vincent est entre la vie et la mort. Brûlé à 30 % au visage, aux mains et aux poumons, ce jeune adjoint de sécurité a été grillé vif dans son véhicule de police samedi par des assaillants de la cité de la Grande Borne qui ont bloqué les portières tandis qu’il hurlait à l’intérieur. Ces tueurs hyperviolents, aux mœurs de barbares, Cazeneuve les a qualifiés de « sauvageons », il est dans les aventures de Fripounet et Marisette. Toujours cette volonté de minimiser, ce déni, ce handicap à ne jamais nommer ni identifier l’ennemi et finalement à ne jamais le combattre à la hauteur de ce qu’il est. Que fait-on de « sauvageons » ? On les renvoie chez eux après leur avoir tiré les oreilles ?
Vincent travaillait chaque jour pour passer son concours de gardien de la paix. Ses collègues disent qu’il était particulièrement fier de porter l’uniforme de la police française. Face à lui une autre France : celle des cités, gangrenées par les trafics et l’islamisme. La France de la Grande Borne.
« Ces individus ont voulu tuer vos collègues, je vous l’atteste », a déclaré Manuel Valls sur les lieux de l’agression, comme pour contrebalancer l’effet désastreux des déclarations de Cazeneuve. Avant d’avancer cette réplique digne du Père Noël est une ordure : « Il n’y a pas de zone de non-droit, il y a des territoires particulièrement difficiles » (cf. : « Thérèse n’est pas moche, elle n’a pas un physique facile. »)
Si vraiment il n’y a pas de zones de non-droit, pourquoi plutôt que de surveiller une caméra de surveillance régulièrement attaquée à la meuleuse, la police en force (et avec des ordres clairs) n’est-elle pas allé chercher les racailles qui frappent et dépouillent les automobilistes à ce carrefour depuis des années ? Puis qui foncent se réfugier dans la cité avec leur butin sans qu’il n’y ait jamais d’interpellation. « Aucune interpellation » a rappelé la mairie centriste. Pourtant tout le monde sait qui ils sont.
Mais pour cela il faudrait entrer dans les quartiers et déranger les trafiquants de drogue de la Grande Borne parfaitement connus des services de police, qui dealent des centaines de kilos de stupéfiants chaque semaine. A tel point qu’on nous prévient que malgré la gravité des faits, la tâche des enquêteurs de police « s’annonce d’ores et déjà délicate », dans un quartier « sensible », « où prévaut la loi du silence ».
Les deux syndicats policiers affiliés à la CFDT, le SCSI et Alternative-Police rappellent qu’« il existe toujours des zones de non-droit en France, aux mains de gangs délinquants et criminels ». Eux-mêmes se demandent « si les forces de l’ordre ont vraiment les moyens de pénétrer ces quartiers pour y rétablir la sécurité ».
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 11 octobre 2016
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Trump, transfiguré, vitrifie Clinton !
Ce devait être son exécution. Ce fut sa résurrection.
Alors que plus de 40 républicains notoires quittaient le navire pendant le week-end, allant jusqu’à exiger le remplacement de Trump par son partenaire Mike Pence, ce dernier faisait retraite, priant pour Trump. Après le débat, Pence envoya un message de fierté et de soutien irrévocable à un Donald Trump sorti grandi de l’épreuve. La force tranquille.
Les conseillers politiques de Trump, ceux du « dernier carré des catholiques », ont été efficaces : Kellyanne Conway, sa chef de campagne, Rudy Giuliani et Chris Christie, ainsi que la poignée des femmes à poigne des réseaux de Fox News ainsi que du Washington Times, comme Monica Crowley ou Laura Ingraham. Tous ont rejoint la chaloupe de sauvetage afin de faire entrer dans la tête du candidat de rester calme, et que les attaques menées contre lui visaient en fait un peuple américain en quête d’une deuxième révolution.
Bref, Trump devait se présenter comme le représentant du gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple, face aux tuniques rouges de la contre-révolution ploutocratique incarnée par 46 années de clintonisme. Il ne manquait plus qu’une dose de Church of England, versée par le bretteur Nigel Farage qui est discrètement intervenu auprès de Trump pour lui donner une certaine acuité visuelle…
Ça a marché. Après un premier quart d’heure dans les cordes, sur ses histoires de starlettes, Trump a su remarquablement pivoter dans un puissant « crescendo ».
Champion de la guerre psychologique, il avait organisé quelques heures avant une conférence de presse avec plusieurs victimes sexuelles présumées de Bill Clinton. Puis il les amena, témoins silencieux, au débat présidentiel en rappelant à tous leur présence dans la salle. Cette dissuasion « nucléaire » a neutralisé les modérateurs, qui n’ont pas pu, comme prévu, criminaliser ses propos. Car c’est Bill Clinton qui risquait de devenir le Bill Cosby de la farce… La juge Jeanine relevait après l’émission : « Ce soir, j’ai vu la peur dans les yeux de Bill Clinton, comme dans ceux de Hillary. »Pour le reste, d’une voix calme, il a d’abord pivoté en affirmant qu’une fois président il ferait nommer un procureur ad hoc, comme cela aurait déjà dû être fait dans l’affaire Clinton, qu’il a impitoyablement résumée dans toutes ses dimensions, fraudes et suppressions de preuves incluses. Puis il l’a enfoncée sur son double langage, révélé par WikiLeaks. Il l’a ridiculisée sur sa référence à Abraham Lincoln pour justifier sa conduite, et l’a campée comme l’employée des lobbies de la porte ouverte.
Ensuite, Trump l’a affrontée en politique étrangère et en matière de terrorisme ou de sécurité, en ne se déjugeant pas sur la Russie. Et quand elle a eu l’inconscience d’affirmer qu’elle reviendrait sur le financement des partis politiques, il l’a plaquée : « Vous avez bien vécu avec la politique… en faisant 250 millions de dollars grâce à vos responsabilités au sein de l’État. Moi, je finance ma campagne. Vous avez l’argent… pourquoi vous ne mettez pas 30 millions dans la caisse ? Autant de moins que mettraient les lobbies ! » Hillary était tétanisée.
Il suffisait de voir les réactions à chaud de CNN dans les minutes suivant le débat pour constater aussi la peur dans le regard des animateurs. Trump attend maintenant la contre-attaque… des caciques républicains.
BV
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Le musulman Aurier mime un égorgement, mais l’apologiste, c’est Zemmour !
Source : Boulevard Voltaire – « Le musulman Aurier mime un égorgement, mais l’apologiste, c’est Zemmour ! «
Comment mieux résumer la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, où tout est bon, même le grotesque, pour se livrer à la chasse au patriote…
Décidément, Serge Aurier est un bon client ! J’avais, dans un texte récent, signalé les récentes prouesses du seul joueur ouvertement musulman du PSG : insulte à arbitre sur les réseaux sociaux, vidéo injuriant son entraîneur et quelques équipiers à la veille du match de l’année, quatre flagrants délits de conduite sans permis, agression d’un policier à Paris, qui vient de lui coûter deux mois de prison ferme…
Actuellement, il joue la Coupe d’Afrique pour la Côte d’Ivoire. Il vient de se distinguer à nouveau en mimant, après un but de son équipe, un égorgement, ce qui, dans le contexte actuel, et du fait de la religion assumée du joueur, pourrait, en France, passer pour de l’apologie du terrorisme. Surtout dans un pays où un prêtre a été égorgé dans son église aux cris d’Allah Akbar, et où Hervé Gourdel et Hervé Cornara ont été tous deux décapités par des coreligionnaires de Serge Aurier.
Pourtant, à ce jour, l’explication qui est véhiculée est fort différente. Il paraîtrait que le défenseur du PSG aurait mimé le gorjaï, geste de nombreux jeunes Ivoiriens, qui se voudrait symbole de force et de virilité !
Donc, quand un musulman simule un égorgement sur un stade de football, cela n’aurait rien à voir avec une incitation à la violence contre les non-musulmans, comme le réclame la sourate 8, verset 12. « Je suis avec vous : affermissez donc les croyants.
Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez (avec une épée) donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts. »Bien évidemment, tout le monde, en France, cherche à étouffer l’affaire, histoire de ne pas heurter nos bons amis du Qatar. Aucune campagne de presse contre Aurier, aucune menace de plaintes d’associations dites antiracistes.
De son côté, la Franco-Tunisienne Samia Maktouf, qu’on dit avocat de quelques victimes d’attentats terroristes, n’a pas jugé bon de réagir. Il est vrai que cette femme, très proche de l’épouse de l’ancien président Ben Ali, et qui défendait les sans-papiers tunisiens au lendemain des prétendus printemps arabes, a trouvé un autre os à ronger. Déposer plainte contre Éric Zemmour en personne, l’accusant d’apologie du terrorisme – rien de moins. Il fallait oser, mais les avocats en quête de notoriété, cela ose tout, c’est à cela qu’on les reconnaît.
Le crime d’Éric ? Avoir osé dire qu’il avait « du respect pour les gens qui sont prêts à mourir pour ce en quoi ils croient », tout en ajoutant, bien évidemment, qu’il fallait combattre impitoyablement les djihadistes. Il n’a en aucun cas approuvé les attentats, mais il a expliqué que les guerriers musulmans étaient des combattants qui avaient un vrai projet politique – nous éliminer ou nous imposer l’islam – et qu’il était inopérant de les traiter comme des fous.
Naturellement, les camarades de la société des journalistes de RTL, montrant leur amour de la liberté d’expression, ont condamné les propos de leur confrère.
Voilà donc la bête noire de Plenel et de tous les porteurs de valises des disciples d’Allah, l’homme qui ose dire que l’islam est incompatible avec la France, accusé d’être un apologiste du djihad, c’est-à-dire du terrorisme musulman.
Aucune plainte contre le geste d’Aurier, mais Zemmour encore traîné devant les tribunaux !
Comment mieux résumer la France de Hollande-Valls-Cazeneuve, où tout est bon, même le grotesque, pour se livrer à la chasse au patriote…
Pierre Cassen
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Hollande: «La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain.»
Par Tristan Quinault-Maupoil
Mis à jour le 11/10/2016 à 20h34LE SCAN POLITIQUE - L'opposition se saisit - d'une partie - de cette confidence faite par le chef de l'État à deux journalistes, dans un livre à paraître jeudi, pour le dépeindre en responsable communautariste.
«La femme voilée d'aujourd'hui sera la Marianne de demain.» La formule, choc, est signée François Hollande et est rapportée par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme dans leur livre Un président ne devrait pas dire ça (Editions Stock). Une phrase qui est déjà largement commentée par l'opposition ce mardi soir... «On aimerait avoir mal lu!», s'étrangle Brigitte Kuster, la porte-parole des Républicains dans un communiqué de son parti. L'élue sarkozyste estime que François Hollande «serait bien inspiré d'expliciter le fond de sa pensée» car «une telle déclaration met à mal la République dont il est censé être le garant».
En réalité, la précision est déjà faite. Quelques lignes plus loin, le chef de l'Etat développe son propos: «D'une certaine façon, si on arrive à lui offrir les conditions pour son épanouissement, elle se libérera de son voile et deviendra une Française, tout en étant religieuse si elle veut l'être, capable de porter un idéal.» «Finalement, poursuit François Hollande, quel est le pari que l'on fait? C'est que cette femme préférera la liberté à l'asservissement.» «Que le voile peut être pour elle une protection, mais que demain elle n'en aura pas besoin pour être rassurée sur sa présence dans la société», note encore le président de la République.
«Je pense qu'il y a trop d'arrivées, d'immigration»
Des paroles que n'ont pas lu bon nombre de responsables politiques. «Hier comme demain, Marianne ne sera jamais voilée!», tonne Bruno Le Maire sur Twitter. Le député LR Lionnel Luca dénonce «un aveu de renoncement». «Clientélisme, communautarisme, mépris de l'égalité homme-femme et laïcité... Hollande se dévoile et voile Marianne», assène Lydia Guirous. «Les Françaisent apprécieront...», grince Valérie Debord. Le député Guillaume Larrivé ajoutant: «Non, Marianne ne sera pas voilée: en France, refusons la soumission des femmes à la régression.»
Si l'on poursuit la lecture des confessions de François Hollande, c'est la gauche qui aurait pu être la plus critique. «Je pense qu'il y a trop d'arrivées, d'immigration qui ne devrait pas être là», concède le chef de l'Etat, loin de la ligne traditionnelle de sa famille politique. Le président de la République admet même «un problème avec l'islam (...) Parce que l'islam demande des lieux, des reconnaissances». «Ce n'est pas l'islam qui pose un problème dans le sens où ce serait une religion qui serait dangereuse en elle-même, assure François Hollande, mais parce qu'elle veut s'affirmer comme une religion dans la République.» «Après, dit-il, ce qui peut poser un problème c'est si les musulmans ne dénoncent pas les actes de radicalisation, si les imams se comportent de manière antirépublicaine.» Certains à droite s'y retrouveraient aisément.
LE FIGARO
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Syrie: Poutine annule sa visite à Paris
Poutine a pris Hollande de vitesse pour lui infliger un camouflet
||11 octobre 2016, 11h33 | MAJ : 11 octobre 2016, 18h28|65Pour une fois, Vladimir Poutine pourrait arranger tout le monde. Le président de la Fédération de Russie « souhaite reporter » sa visite à Paris le 19 octobre prochain, a affirmé en milieu de matinée l'Elysée à l'AFP. «Il y a eu un contact entre l'Elysée et le Kremlin pour faire savoir» à Moscou «qu'une réunion de travail avec (le président russe) Vladimir Poutine était possible sur la Syrie, à l'exclusion de tout autre événement pour le président de la République. La Russie a fait savoir qu'elle souhaitait reporter la visite», a-t-on indiqué à la présidence de la République.
Le Kremlin, de son côté, a annoncé que la visite était annulée. Le président russe rencontrera son homologue français « quand celui-ci se sentira prêt », a ajouté Moscou. Prêt, François Hollande affirme l'être. «Je suis prêt à tout moment à rencontrer» Poutine à condition que cette rencontre puisse «faire avancer la paix», a déclaré le président français à Strasbourg devant l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe . «Le dialogue est nécessaire avec la Russie mais il doit être ferme et franc.»
A LIRE. Poutine, un gêneur à Paris
François Hollande était très embarrassé par cette venue destinée à inaugurer le centre culturel orthodoxe installé dans la capitale. Une occasion bien futile compte-tenu de la situation à Alep, en Syrie, où la France et d'autres membres du conseil de sécurité de l'ONU accusent Moscou de participer aux crimes de guerre perpétrés par le régime de Bachar al-Assad. Paris a ainsi fait savoir à Moscou que François Hollande était prêt à recevoir son homologue russe pour une réunion de travail sur la Syrie mais pas à inaugurer avec lui centre culturel.Ce mardi matin, l'ambassadeur de Russie en France, Alexandre Orlov, estimait pourtant qu'il fallait « bien sûr » maintenir ce déplacement. « Il faut que le dialogue continue, on est là pour parler, surtout à des moments difficiles », a-t-il estimé sur Europe 1.
Et de défendre la position russe : « on bombarde une partie d'Alep parce que Al Nosra bombarde d'autres quartiers de la ville, tue des femmes et des enfants. C'est Al Nosra qui se bat contre le gouvernement légitime de Syrie », a martelé le diplomate, qui a assuré un peu plus tard que la Syrie et la Russie avaient « créé des corridors humanitaires pour que les civils puissent sortir de cette ville. Des dizaines et des dizaines de civils sont sortis, et ils nous ont raconté qu'ils avaient été empêchés de partir parce que Al Nosra se sert des civils comme boucliers humains. C'est ça le crime de guerre ! »
«A la guerre, malheureusement, il y a toujours des civils qui meurent»
« Ça me fait mal comme à vous, mais à la guerre, malheureusement, il y a toujours des civils qui meurent », a-t-il insisté, interpellant sans les nommer la coordination internationale qui lutte contre Daech et le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian : « Vous êtes en train de préparer une offensive contre Mossoul en Irak, vous pensez qu'il n'y aura pas de pertes civiles ? »
Pour Fillon, Hollande «vient de se faire ridiculiser par le Kremlin»
Ces soubresauts diplomatiques n'ont pas manqué de susciter des critiques de la part de l'opposition. Nicolas Sarkozy voit dans l'annulation de la visite de Vladimir Poutine une «très mauvaise chose» : «J'ai des désaccords avec M. Poutine, mais je considère que le devoir et l'intérêt de la France et de l'Europe, c'est qu'elles dialoguent avec la Russie. (...) Comment va-t-on arranger la situation si on ne parle que par communiqués interposés, si on se fait la tête, si on entre dans une nouvelle guerre froide ? C'est irresponsable.»
Autre candidat à la primaire de la droite, François Fillon estime que «le président de la République vient de se faire ridiculiser par le Kremlin». «On peut contester et réprouver la stratégie russe mais il ne servait à rien d'humilier la Russie», poursuit l'ancien Premier ministre dans un communiqué. «De Gaulle discutait et s'alliait avec Staline pour abattre le nazisme. Hollande, lui, esquive Poutine alors que tout devrait être entrepris pour juguler le totalitarisme islamique et trouver une issue à la guerre.»
Hervé Mariton n'est en revanche pas de cet avis. Selon le député Les Républicains de la Drôme, cette annulation est la «bonne réponse aujourd'hui». «Dans le contexte actuel (...), on ne pouvait pas, comme le dit le ministre des Affaires étrangères, simplement ."partager des mondanités"», a-t-il déclaré sur i-Télé.Le Parisien
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Robert Ménard nous informe
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JOURNAL TVLibertés DU 11 OCTOBRE 2016 - Sécurité/Viry-Câtillon: des "sauvageons" qui tuent!
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ZOOM - Philippe Herlin: "Terrorisme: tout va se jouer en France!"
TVL
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TRUMP, HOMME DE TREMPE
Si Donald Trump, au cours des dernières quarante huit heures et à l’issue du deuxième débat présidentiel, a prouvé quelque chose, c’est assurément qu’il a la carrure pour assumer la fonction.
La « révélation » de propos de corps de garde tenus il y a onze ans est à la fois sans objet et lourdes de conséquences familiales et humaines.
Elle est sans objet car ces paroles grossières et vantardes sont le fait de toute société d’hommes. Ayant eu comme chacun à fréquenter les vestiaires sportifs dans ma jeunesse, je peux témoigner de la constante vulgarité des conversations qui s’y tiennent. Combien de chirurgiens, de hauts fonctionnaires ou de célébrités deviendraient rouges de confusion si d’aventure on diffusait un enregistrement de leurs élucubrations d’après compétition ? Ces « sorties » sont consubstantielles à la gente masculine qui tremble toujours de ne pas être « à la hauteur » et de ne pas être capable de plaire, et cette terreur sous-jacente se délivre dans ces fanfaronnades sans importance.
Il fut un temps très long où l’anonymat et un accord tacite entre mâles gardaient le secret sur ces débordements. Depuis deux décennies, des malfaisants ou des maîtres-chanteurs s’en délectent par avance, les enregistrant à l’insu des protagonistes, les sauvegardant puis les classant, en espérant qu’un jour ces « témoignages » pourront servir. Que ceci soit illégal et condamnable moralement, ils n’en ont cure. L’espionnage est partout et la sphère intime percée de toute part. Orwell avait envisagé l’œil de l’état partout, mais il n’avait pas exploré l’éventualité que l’œil du voisin serait plus redoutable.
C’est ainsi, nous sommes à découvert dans le plus petit réduit où nous penserions ne pas l’être.
Car en effet, Donald Trump, qui n’envisageait pas, en 2005, être un jour candidat à la présidence des Etats-Unis, se comportait comme un rugbyman après un match des cinq nations, et le milieu télévisuel dans lequel baigne l’anecdote est un terreau fertile pour cette sorte de culture du champignon vénéneux.
Cependant, comme Donald Trump est l’homme à abattre, et que les médias de gauche, ceux-là mêmes qui ont procédé à la « libération des mœurs » et présenté la pornographie comme un outil d’accomplissement, et ce depuis 50 ans, ces mêmes boîtes à malice deviennent sourcilleuses comme des ligues de vertu contre celui qui menace le monde qu’ils ont bâti sans en dire mot aux peuples.
Et de fait le seul enjeu de ces élections est celui de la mondialisation.
Or, cette « révélation » n’est d’aucun secours dans le choix qui est devant les électeurs américains : mondialisation ou Etats-Unis souverains.
Par contre, pour l’homme qui parla ainsi, sans qu’aucun membre de sa famille n’eût à en sentir les miasmes, apparaissant aux siens comme un père aimant ou un époux respectueux, être ainsi mis à nu peut entraîner des déchirements douloureux qui pourraient ne pas affecter que sa personne. Et les américains pourraient un moment oublier l’avenir en étant choqués par le passé de Donald Trump.
Or, qu’a-t-on observé ? Que les électeurs de Trump se sont déclarés « non concernés » par ces divulgations. Ils montrent par là que leurs préoccupations sont uniquement politiques, et surtout leur détermination à culbuter la clique politique des Démocrates comme des Républicains qui détruit leur pays au nom d’un utopique gouvernement mondial.
Enfin, il fallait à Trump une force intérieure hors du commun pour dépasser le dégoût de cette fange, et une détermination absolue quant à sa mission (C’en est une à présent) pour paraître sans ciller sur la scène du débat à Saint Louis, calme et maître de lui.
Qui aurait pu, sans trembler, se présenter au public après une telle pelletée d’ordures ? Qui aurait su susurrer qu’Hillary serait en prison s’il était président ? Qui aurait eu l’audace de lui promettre un magistrat spécifique pour enquêter sérieusement sur l’ensemble de ses malversations, délits et crimes, coupant ainsi les ponts pour Hillary Clinton, qui sait désormais qu’elle doit vaincre ou payer ?
Donald Trump, dans le maelström mondial qui va nous broyer, est l’homme de la situation, car il vient de prouver qu’il ne recule ni devant l’offense ni devant le danger.
Georges Clément
Président du Comité Trump FranceNDF
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Marseille: 300 "antifascistes" contre 80 militants de l'Action française
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« Taybeh, Dernier village chrétien de Palestine ». L’Orient des camps et ses derniers chrétiens
Michel Lhomme, philosophe, politologue ♦
Virginie Nguyen Hoang, 29 ans est une photographe belge de presse, membre du Studio Hanslucas. Après des études de journalisme à Bruxelles, elle était partie vivre deux ans en Belgique avant de rentrer dans la capitale belge. Depuis Octobre 2014, elle travaille à Gaza sur un sujet au long cours baptisé Gaza, the Aftermath qui devrait bientôt faire l’objet d’un livre. Virginie Nguyen Hoang est aussi l’une des rares photographes de presse à avoir couvert la guerre civile ukrainienne toujours inachevée et actuellement la bataille d’Alep en Syrie. Il faut visiter son site et parcourir avec elle Gaza, l’Ukraine, Paris sous les attentats et Alep pour saisir la stratégie du chaos en cours qui nous ramène d’ailleurs à chaque fois à BHL ou Israël mais comme l’écrivait Voltaire : « Cherchez ceux que vous n’avez pas le droit de critiquer et vous saurez qui nous gouverne ».
Puisque nous évoquons le drame de Gaza, camp de concentration à ciel ouvert, notons que Le Prix de l’Œuvre d’Orient a été décerné cette année à l’écrivain collaborateur d’Eléments , Falk Van Gaver et Kassam Maadi pour leur livre Taybeh, Dernier village chrétien de Palestine, publié aux éditions du Rocher. Ce livre expose la vie quotidienne d’un village de 1 300 habitants, situé à une trentaine de kilomètres de Jérusalem, non loin de Ramallah. Ce lieu souvent cité dans les écritures et comme le précise l’auteur « le village refuge de Jésus et ce livre est le refuge de mémoire des chrétiens de Palestine entre un passé pacifié et un avenir d’espérance. On y découvre la foi et le témoignage de ces chrétiens vivant entre l’islam et le judaïsme ».
Le Prix littéraire de l’Œuvre d’Orient a pour objectif de récompenser une œuvre pour son regard positif sur les Chrétiens en Orient, parmi une sélection d’ouvrages de langue française parus durant l’année. Le Prix littéraire 2016 a été remis cette année par le Cardinal André Vingt-Trois à l’issue de la messe de l’Œuvre d’Orient le dimanche 29 mai 2016. En fait à l’unanimité, le jury a voulu récompensé un livre fort, d’une grande authenticité, qui expose la vie quotidienne de ce village situé dans les fameux territoires palestiniens qui se trouvent de l’autre côté du Mur de séparation. Sa particularité ? C’est d’être le dernier village entièrement chrétien de Terre sainte et donc un vestige vivant de cette Palestine chrétienne oubliée des médias comme des tours operator.Falk van Gaver y a passé deux ans et avec Kassam Maaddi, un jeune catholique de Taybeh, il en rapporté ce témoignage vivant du quotidien de ces grands oubliés, les Arabes chrétiens dont la vie se déroule entre société musulmane et occupation israélienne. Le récit est palpitant car ni catastrophiste ni militant, il nous entraîne au cœur d’une petite chrétienté enracinée et vivante qui espère encore et malgré tout, attachée à ces rites et à ces cérémonies à la paix et la tolérance religieuse contre tout espoir.
Falk van Gaver, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, est journaliste, essayiste, écrivain-voyageur mais aussi philosophe. Après avoir résidé en Polynésie, il s’installe actuellement en Guyane.
Taybeh, Dernier village chrétien de Palestine de Falk Van Gaver et Kassam Maadi. Éditions du Rocher, 189 pages, 17,90 euros.
METAMAG
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Les Mathes (17) : le préfet annonce l’arrivée d’une cinquantaine de clandestins de Calais
1h01La nouvelle est tombée vendredi. Le préfet de Charente-Maritime Eric Jalon a annoncé au maire de la commune des Mathes, Philippe Gadreau, qu’une cinquantaine de migrants de la « jungle » de Calais allaient être logés sur sa commune, dans un centre de vacances d’EDF.
L’élu a demandé au représentant de l’Etat d’organiser une réunion publique sur sa commune pour répondre en sa présence aux questions des habitants.
Les Mathes : environ 1800 habitants (Source)
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Poutine à Paris: les hésitations de Hollande
Par Solenn de Royer
Mis à jour le 10/10/2016 à 20h44Le chef de l'État n'ira pas à l'inauguration du centre culturel, mais pourrait recevoir Vladimir Poutine pour parler de la Syrie.
Comment sortir du piège? Alors que la visite de Vladimir Poutine à Paris le 19 octobre, pour inaugurer un centre spirituel et culturel orthodoxe russe, se rapproche, François Hollande est confronté à un dilemme: faut-il ou non recevoir le président russe, qui vient d'opposer son veto samedi à la proposition française de résolution au Conseil de sécurité de l'ONU, réclamant un cessez-le-feu à Alep. «Je me pose encore la question», a admis le chef de l'État, samedi, dans un entretien à TMC accordé depuis les salons de la préfecture de Corrèze, en marge d'une visite dans son ex-fief électoral. L'interview était diffusée lundi soir. «Est-ce que c'est utile? Est-ce que c'est nécessaire?», s'est interrogé le chef de l'État.
À huit mois de la présidentielle, Hollande se serait bien passé de cette délicate équation imposée par Moscou, qui a rappelé jeudi la visite prochaine de Poutine à Paris, alors que la crise syrienne est à son paroxysme. Même si cette visite - dont la date n'a toutefois pas été confirmée par le Kremlin et l'Élysée - est d'abord «privée», elle revêt un caractère symbolique fort - inaugurer une cathédrale en plein Paris pendant que l'armée russe bombarde Alep. Ce que le président russe, de plus en plus isolé sur la scène internationale, pourrait ne pas manquer de faire valoir. «Comment imaginer recevoir un dirigeant qui est le coorganisateur des bombardements d'Alep et qui a les mains pleines de sang?, interroge un proche du chef de l'État. Si le président reçoit Poutine, il faut que ça serve à la résolution de cette crise. Sinon, il ne doit pas le recevoir.»
Au comble de l'impopularité et alors que le volet international reste le moins attaqué de son bilan, François Hollande n'a pas droit à l'erreur. D'autant que le dilemme présidentiel a pris un tour très politique ces dernières heures en France. François Fillon a estimé que le chef de l'État devait «bien sûr» accueillir le président russe lors de son passage à Paris, tandis que Yannick Jadot, candidat à la primaire d'Europe Écologie-Les Verts (EELV), lui a demandé à l'inverse «d'annuler» cette visite. «Vous imaginez l'image, Vladimir Poutine, le boucher d'Alep, qui au fond est dans la négation de toute humanité en Syrie, venir faire inaugurer un centre culturel? L'humanité et la culture, c'est la même chose, c'est ce que détruit en permanence Vladimir Poutine», a affirmé l'eurodéputé, selon lequel Hollande «ne peut pas être dans une absolue contradiction avec les valeurs démocratiques que défend la France sur la scène internationale».
«Ni rupture, ni complaisance»
Fidèle à son sens de la synthèse, le chef de l'État devrait - selon nos informations - emprunter une ligne de crête: «Ni rupture, ni complaisance.» Dans un premier temps, il devrait refuser de s'afficher aux côtés du président russe pour l'inauguration du centre culturel; ce faisant, il éviterait de se voir reprocher faiblesse ou complaisance. Dans un deuxième temps: il tenterait de jouer les juges de paix en recevant Poutine pour un entretien exclusivement consacré à la Syrie. Et uniquement si Moscou donne des gages de bonne volonté dans le dossier syrien.
«La France assume ses responsabilités et fera tout pour arrêter le massacre insupportable d'Alep, indique un conseiller. Ça ne veut pas dire couper les relations diplomatiques, ce qui n'arrange rien. Il faut voir quels échanges peuvent permettre d'arriver à une solution pour Alep. Mais il n'y aura pas d'échange hors de ce sujet.» Un haut dirigeant socialiste résume: «S'il s'agit d'une réunion de travail constructive avec Poutine, alors oui, Hollande doit le recevoir. S'il s'agit de s'afficher à ses côtés pour une inauguration avec des flonflons, ça non, sûrement pas!»
En adoptant cette position d'équilibriste, Hollande cumulerait les avantages, veulent croire ses proches. «Un: il prend de la hauteur et reste fidèle à l'appel au monde à la tribune de l'ONU le mois dernier (il avait lancé un «appel» solennel pour que cesse les bombardements à Alep, NDLR), analyse un proche de l'Élysée. Deux: il enfonce un coin entre les pro-Poutine de droite et d'extrême droite, tout en coinçant Mélenchon sur son registre de la gauche morale. Bref, il coche toutes les cases.»
À l'Élysée, on indique que des négociations avec Moscou ne font que commencer. «Il reste neuf jours pour faire en sorte que cette visite de Poutine en France puisse servir de levier pour la paix», conclut un diplomate.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 11/10/2016
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Allemagne: le Syrien arrêté visait un aéroport berlinois
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Union européenne : Soros conseille un emprunt de 30 milliards par an pour financer le Grand remplacement
George Soros, né György Schwartz le 12 août 1930 à Budapest, puis György Soros, est un financier milliardaire américain d'origine hongroise. Wikipédia10/10/2016 – FRANCE (NOVOpress)
Après avoir financé l’invasion migratoire à hauteur de 500 millions de dollars, le milliardaire George Soros enjoint l’Europe à emprunter 30 milliards par an afin de finaliser son suicide.Déplorant le Brexit ainsi que la réapparition sur la scène politique de mouvements nationalistes, le financier américain tend à présenter aux peuples européens vieillissants, l’immigration de masse comme la solution aux problèmes économiques et sociaux. Manipulation ou optimisme béat, l’Europe réelle n’en reste pas moins présente pour témoigner de l’hécatombe socio économique que représente l’arrivée massive de peuples non européens.
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Viry-Châtillon : «Je me suis mis sur lui pour l’éteindre», raconte un collègue du policier brûlé
||10 octobre 2016, 20h08 | MAJ : 10 octobre 2016, 20h14|4« J’appréhende de retourner sur le terrain. Depuis 12 ans que je suis affecté à Juvisy (Essonne) et je n’avais jamais vu ça… » Sébastien, 38 ans, est l’un des quatre policiers blessés samedi après-midi alors qu’ils surveillaient, au niveau du quartier de la Grande Borne à Viry-Châtillon (Essonne), une caméra qui avait fait l’objet de tentatives de destructions ces dernières semaines. Son collègue de 28 ans, aujourd’hui toujours plongé dans un coma artificiel, doit la vie à Sébastien. « C’est un héros », a réagi ce lundi matin Manuel Valls, le Premier ministre, en visite dans les locaux de la police à Juvisy-sur-Orge.
« Je l’ai sorti de la voiture et je me suis mis dessus pour l’éteindre, raconte le policier. Je le connais un peu ce collègue, nous avons l’habitude de travailler ensemble dans ce quartier ».
Des coups de poing pour les empêcher de sortir
Samedi après-midi, Sébastien était installé côté passager dans une Peugeot 308 sérigraphiée, pour avoir un œil sur un carrefour de la D445 réputé pour ses vols à la portière. « On n’a pas vu les jeunes arriver », explique-t-il. « Ils ont été malins, c’était bien préparé. On était stationnés devant la (cité de la) Grande Borne, mais ils ont fait un grand tour en traversant devant le magasin Leclerc puis ils ont longé le mur de la caserne de pompiers pour nous surprendre. » Les deux voitures étaient stationnées côte à côte à 5 m d’intervalle.
Les assaillants sont d’abord arrivés par l’arrière de la Renault Kangoo où se trouvait l’adjoint de sécurité du commissariat de Savigny-sur-Orge le plus grièvement blessé et sa collègue d’Athis-Mons. « Ils ont cassé les vitres, leur ont donné des coups de poing pour les empêcher de sortir et leur ont jeté les cocktails Molotov sur les genoux... »
Le Parisien
NdB: C'est que Cazeneuve appelle des "sauvageons"...
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Florian Philippot sur LCP
http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-sur-lcp-49/
La culpabilisation de la France qui manque de "générosité" dans l'accueil des "réfugiés"!
A voir absolument!
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JAC