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Blog - Page 375

  • Le chômage repart fortement à la hausse en février

    http://www.lemonde.fr/emploi/article/2016/03/24/le-chomage-repart-fortement-a-la-hausse-en-fevrier_4889709_1698637.html

    + INFOGRAPHIE

  • Hongrie : politique familiale très généreuse, hostilité à l’immigration

    http://www.ndf.fr/nos-breves/23-03-2016/hongrie-politique-familiale-tres-genereuse-hostilite-a-limmigration#.VvRzcJX2aM9

    VIDEO

  • Guerre en Bosnie : l'ex-chef serbe Karadzic condamné à 40 ans de prison

    http://www.leparisien.fr/international/guerre-en-bosnie-l-ex-chef-serbe-karadzic-condamne-a-40-ans-de-prison-24-03-2016-5656789.php

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  • Ronald Gläser : Les Allemands crient « Merkel doit partir ! »

    https://youtu.be/1ZqfxAtiOOw

     

    Ronald Gläser, membre de Alternative für Deutschland à Berlin, répond au micro de Boulevard Voltaire au lendemain des attentats en Belgique.

  • Éric Zemmour : « Les foules sentimentales ne veulent pas rentrer dans l’Histoire »

     

    24/03/2016 – PARIS (NOVOpress) : « Les foules sentimentales ne veulent pas rentrer ans l’Histoire », analysait, ce matin, Eric Zemmour sur RTL : « On est rodé. On a nos repères, nos habitudes […] On a nos pancartes et nos fleurs, nos slogans débiles et nos larmes. On a nos images de chaînes info et nos experts en djihad. On est paré », ajoute Éric Zemmour, pour qui « on sait ce qu’il faut savoir, mais pas ce qu’il faut faire ».

    Ces « foules sentimentales », dit encore l’éditorialiste, « ont une idéologie humaniste, un succédané abâtardi et laïcisé du vieil universalisme chrétien, un “tous les hommes sont frères“, dont le seul inconvénient est de ne pas être réciproque ». Ces foules sentimentales « ne veulent pas rentrer dans l’Histoire parce que c’est bien connu, l’Histoire est tragique », avant d’ajouter que ces foules sentimentales, « longtemps endormies, sous anesthésie, s’éveillent et redeviennent peu à peu des peuples ».

    Une chronique importante au lendemain des attentats de Bruxelles, à regarder dans son intégralité.

  • Attentats : pourquoi ils sont dans le déni

     

    Publié par Antonin Campana sur 23 Mars 2016, 17:42pm

    Catégories : #Les joies de la nation Frankenstein, #Le coin des clowns

    On l’a vu encore avec les derniers attentats à Bruxelles, la classe politico-médiatique est dans l’incapacité de désigner l’ennemi et de le nommer. Si cette classe liée à la caste se dit « en guerre » c’est contre une entité vague qu’elle appelle le « terrorisme ». S’agit-il du terrorisme basque, celui des brigades rouges ou tout simplement du terrorisme intellectuel qu’elle pratique ? Mystère. C’est un peu comme si Staline, Churchill, De Gaulle et Roosevelt s’étaient dits en guerre contre la « violence ». On en rirait encore.  

    Cette classe politico-médiatique est parfaitement consciente du fait que les « terroristes » sont des « djihadistes », que ces djihadistes sont des « islamistes » et que ces islamistes sont des musulmans. Elle devrait savoir (ici le conditionnel s’impose tant la bêtise et l’ignorance de nos élites sont abyssales) que l’islam est depuis Mahomet une religion politique en même temps qu’une idéologie. Elle devrait savoir que l’expansion de cette religion politique s’est toujours faite dans la violence et par la violence. Elle devrait connaître les multiples versets du Coran et tous ces Hadiths qui prescrivent d’employer cette violence contre les mécréants. Elle devrait même être renseignée sur le principe de dissimulation (taqîya), cette « ruse divine »  qui impose au musulman de contester publiquement tout ce que nous venons de dire… si tel est l’intérêt de l’islam. Malgré tout, cette classe politico-médiatique semble dans l’incapacité de relier ce « terrorisme » à l’islam, quand bien même celui-ci s’en revendique : elle est dans le déni.

    Si l’on écarte la bêtise et l’ignorance, il faut admettre que nos élites ont une bonne raison de nier des évidences qui apparaissent à tous. Cette raison ne tient pas aux « terroristes », voire même à la nécessité de ne pas stigmatiser telle ou telle communauté, mais à leur propre instinct de conservation. Plus ou moins confusément sans doute, nos cerveaux dirigeants ont compris que relier les attentats à l’islam revenait à reconnaître qu’une religion d’importance (presque 2 milliards de croyants dont dix à quinze millions en France !), n’était par nature pas compatible avec les pseudos valeurs universelles qui ont légitimé l’installation de cette société melting pot. Autrement dit, cela revient, pour ces « élites », à reconnaître qu’elles ont fait une erreur historique en installant un tel modèle de société par l’immigration de masse et qu’elles sont donc coupables des « fleuves de sang » qui commencent à nous submerger.

    Mais combien de temps encore, la classe politico-médiatique pourra-t-elle se permettre le luxe inouï de ne pas voir que  Salah Abdeslam n’aurait pu rester quatre mois à Molenbeek s’il n’avait profité de l’omerta de la population locale ? Combien de temps pourra-t-elle ignorer que les musulmans de France sont silencieux, que nos cités habituellement si sensibles n’occupent pas les quartiers pour dénoncer le terrorisme ?  Combien de temps encore leur faudra-t-il pour qu’elles reconnaissent que les « terroristes » tuent des « croisés », pour dénoncer le caractère raciste des attentats, pour avouer  que le « vivre ensemble » est une fiction et que leur république est la République du chaos ?  

    Longtemps sans doute… tant ils préféreraient être jugés par la postérité plutôt que par des tribunaux populaires.

     

    Antonin Campana

  • Bruxelles : un des "kamikazes" avait été arrêté en juin 2015 et expulsé de Turquie (MàJ)

    19h00

    23/03/16

     

    L’un des "kamikazes" de l’aéroport de Bruxelles, le 22 mars, aurait été arrêté cet été en Turquie. Une information affirmée par le président turc. « Ibrahim El Bakraoui a été arrêté à Gaziantep (Turquie) l’été dernier. Cette ville turque est l’une des voies de passage privilégiées entre la Syrie et la Turquie« .

    L’individu a été expulsé le 14 juillet dernier. Les autorités turques en auraient informé leurs homologues belges et néerlandais en leur précisant qu’il s’agissait d’un activiste. « Le président turc accuse les autorités belges de ne pas avoir fait le lien avec les jihadistes, et ce malgré leur mise en garde« . Ibrahim El Bakraoui était déjà connu des services de police pour des faits de grande délinquance.

  • Communiqué de revendication de l'Etat islamique

    Capture.PNG Daesh.PNG

    Utilisez le zoom pour lire le texte

  • Tintin : un temps pour pleurer et un temps pour...

    Suite aux attentats, les dessins de Tintin, le héros belge du Petit 20e, ont abondé sur la Toile. Un Tintin en train de pleurer ses compatriotes :

    sans-titre.png Tintin.png

    Certes, il y a un temps pour pleurer les morts.

    Mais Tintin c'est aussi cela :

    sans-titre.png Tintin 2.png

     

    Vol 714 pour Sydney

    Michel Janva

  • Retour en France de l'anneau de Jeanne d'Arc (vidéo ER Pays de Loire)

    http://dai.ly/x3zm9hs

    Philippe de Villiers s'adresse au public après la réclamation de l'Angleterre

  • Thank you, Arizona !

    Capture.PNG  Arizona.PNG

  • Trump s'est-il moqué des juifs américains de l'AIPAC ?

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Trump-s-est-il-moque-des-juifs-americains-de-l-AIPAC-38498.html

    VIDEO

  • Pas de ça entre nous: Raul Castro repousse la tape sur l’épaule d’Obama !

     

    Lors d’une conférence de presse à La Havane, le président américain Barack Obama a essayé de donner une tape sur l’épaule du président cubain Raul Castro. Son geste a été mal accueilli par le leader cubain, qui s’est empressé de le saisir par le poignet et de lever son bras en l’air.

    Le 21 mars, après une rencontre au sommet de deux heures au palais de la Révolution de La Havane, les deux hommes ont lu des déclarations faisant état des avancées et des enjeux du rapprochement engagé fin 2014 entre les deux pays.

    Les deux dirigeants se sont ensuite soumis aux questions de la presse, exercice naturel pour M. Obama, mais rarissime pour le président cubain de 84 ans, allergique aux médias. Cette brève séance de questions avait d'ailleurs fait l'objet d'intenses tractations préalables.

    Tout au long de la conférence de presse, M. Obama, partisan du dialogue en matière de diplomatie, a expliqué tout sourire qu'il était important de poursuivre sur la voie du rapprochement, saluant poliment "l'esprit d'ouverture" de Raul Castro.

     

    En fin de conférence, le président américain a tenté de donner une tape sur l'épaule de son homologue cubain. En guise de réponse, Raul Castro, visiblement mécontent, a saisi son poignet et s'est empressé de lever sa main, un peu molle, en l'air.

     

    Cependant, les médias occidentaux ont interprété différemment ce geste pour le moins insolite.

    Selon l'AFP, comme le veut l'usage, les deux hommes se sont serré la main, mais Raul Castro a oublié le protocole pour tenter de lever le bras de son homologue en le saisissant par le poignet.

    Barack Obama n'a pas accompagné le mouvement, laissant tomber sa main un instant en attendant que le chef de l'État cubain ne renonce à son impulsion.

    En résulte une photo pour le moins étonnante d'un Obama souriant faisant signe aux journalistes de la main droite, tandis que son bras gauche est maintenu à mi-hauteur par un Raul Castro légèrement en retrait.

     
    © Photo: REUTERS/Samsul Said

    Premier président américain en exercice à se rendre à Cuba depuis 88 ans, Barack Obama, qui quittera la Maison Blanche en janvier 2017, souhaite, avec cette visite riche en symboles, rendre irréversible le rapprochement engagé avec le régime communiste.

     

    "Après plus de cinq décennies très difficiles, les relations entre nos gouvernements ne vont pas changer du jour au lendemain", a-t-il reconnu, tout en assurant avoir des conversations "franches et directes" sur les points de désaccord, démocratie et droits de l'homme en tête.

    Les États-Unis "continueront à défendre les valeurs de la démocratie", a-t-il insisté.

    SPUTNIK

  • EN DIRECT. Attentats de Bruxelles : 31 morts, 300 blessés, dont 61 en soins intensifs

    http://www.leparisien.fr/international/en-direct-attentats-a-bruxelles-a-midi-la-belgique-s-est-figee-dans-le-silence-23-03-2016-5653231.php

  • Eric Zemmour: " L'histoire annoncée de Cuba est l'histoire du monde"

    https://youtu.be/ihtQJYHuZZQ

    23/03/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    La visite du président Obama à Cuba a donc consacré l’ouverture de l’un des derniers régimes communistes de la planète. Une réconciliation après plus de soixante ans de conflit entre les deux pays.

  • Pour Donald Trump, la Belgique est devenue "un film d'horreur"

       

    Donald Trump le promet à ses sympathisants : "Nous ne permettrons pas que ce qui s'est passé en Belgique se produise dans notre pays" 

    Donald Trump, le candidat à l'investiture républicaine aux Etats-Unis, évoque la Belgique comme "un monde différent"

    Donald Trump a dépeint la situation en Belgique touchée par des attentats meurtriers mardi matin comme un "film d'horreur". Le candidat à l'investiture républicaine au Etats-Unis, en a profité pour faire passer certains messages qui lui sont chers.

    "Vous souvenez-vous combien Bruxelles était un endroit beau et sûr. Ce n'est plus le cas, c'est un monde différent ! Les Etats-Unis doivent être vigilants et intelligents", a commenté le républicain dans un tweet, avant de prendre la parole dans les matinales de plusieurs télévisions.

      

    "Bruxelles était une belle ville, il y avait zéro violence. Et maintenant c'est devenu une catastrophe, un désastre total", a-t-il insisté sur Fox news, profitant de l'interview téléphonique pour réitérer sa proposition d'interdire temporairement l'entrée des musulmans sur le sol américain de peur qu'un extrémiste ne se cache parmi eux.

    "La Belgique n'est plus la Belgique (...) La Belgique est devenue un film d'horreur. Des choses horribles se produisent. Les gens partent, ont peur. Et tout cela franchement parce que les gens ne s'intègrent pas", a-t-il déclaré dans l'émission Today show de la chaîne NBC.

    "Nous ne permettrons pas que cela se produise dans notre pays. Si cela venait à se produire, nous trouverions les responsables et ils souffriraient grandement" Donald Trump

     

    Donald Trump,  qui est décrié pour ses propos anti-immigration et ses incitations à la violence lors de meetings électoraux, a également commenté l'arrestation vendredi à Bruxelles du suspect-clé des attentats de Paris, Salah Abdeslam.

    "La police n'a aucune pénétration dans le quartier" où il a été arrêté, a-t-il estimé. "Il est l'homme le plus recherché du monde. Et il vivait là, juste sous leur nez".

    Sud-Ouest