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Blog - Page 488

  • Petit Aylan Kurdi mort sur la plage : ce que la photo recadrée par nos merdias vous a caché

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    De Jean-Patrick Grumberg, journaliste à Dreuz.info :

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    « Regardez à droite la partie encerclée en rouge : alors qu’un garde côte prend des notes, qu’un autre, avec son appareil photo, semble occupé ailleurs, deux turcs, à quelques dizaines de mètres, sont en train de pêcher à la ligne, imperturbables, indifférents à la présence de l’enfant mort.

    Oui je sais, certain diront que c’est un détail. Vraiment ?

    Voir le flegme du garde côte à l’appareil photo, et ces deux pêcheurs insensibles, tandis que des médias honorables, y compris Le Monde, tombent dans le populisme le plus vulgaire pour émouvoir, a quelque chose d’obscène.

    Les bobos peuvent appeler à la « solidarité » avec les réfugiés, alors que le sort de leurs compatriotes sans abris ne leur a pas fait couler une larme, ni empêché de dormir, l’hiver dernier. Ils ne parviennent à tromper personne.

    La photo de propagande non plus. »

    NDF

  • Mgr Laszlo Kiss-Rigó : « Ce ne sont pas des réfugiés, c’est une invasion »

     

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    Lu dans Le Courrier international :

    Mgr Laszlo Kiss-Rigó : "Ce ne sont pas des réfugiés, c'est une invasion"Le pape François se trompe. L’évêque hongrois Laszlo Kiss-Rigó s’insurge dans les colonnes du Washington Post contre l’appel lancé par le souverain pontife dimanche, dans lequel il enjoint à chaque paroisse catholique d’Europe d’accueillir une famille de réfugiés.

    “Ce ne sont pas des réfugiés. C’est une invasion”, assène ce responsable catholique de Szeged, dans le sud de la Hongrie, une région où ont transité ces dernières semaines des dizaines de milliers de migrants. “Ils viennent ici en criant ‘Allah Akbar’.Ils veulent nous envahir”, prévient-il.

    (…) Selon lui, l’Europe est submergée de personnes qui se présentent comme des réfugiés, mais qui représentent en réalité une grave menace pour les “valeurs chrétiennes et universelles” du continent, rapporte The Washington Post.

    (…) “La plupart d’entre eux se comportent de manière très arrogante et cynique”,poursuit-il. L’évêque hongrois dénonce le fait que les migrants laissent des déchets derrière eux, qu’ils refusent la nourriture qui leur est offerte. Pour lui, ils n’ont tout simplement pas besoin d’assistance.

    NDF

  • La propagande autour de l’immigration clandestine continue

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    08/09/09/2015 – SOCIÉTÉ (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
    Depuis quelques jours, nous assistons à l’intensification de la campagne de communication autour de l’immigration clandestine.

    Depuis quelques jours on assiste à une intensification visible et drastique de la campagne de communication, il n’y a pas d’autres mots, autour de la question de l’immigration clandestine. Après le recadrage sémantique qui a fait des clandestins des « sans papiers » puis des « migrants », cette nouvelle campagne voudrait tous les transformer en « réfugiés » malgré les faits. De fait, une fois ce nouveau glissement sémantique opéré, la campagne a pu se recentrer autour de deux éléments : la sidération par l’émotion et l’argumentaire économico démographique.

    Quelles formes prend cette campagne de sidération ?

    Lancée en grande pompe par la diffusion massive de la photo du petit garçon syrien noyé sur une plage turque après que son père eut quitté la Turquie où ils résidaient depuis trois ans pour venir profiter des soins dentaires européens, la campagne de sidération par l’émotion a été alimentée par les associations ainsi que par les figures médiatiques et artistiques. Après l’appel des 66 artistes à la solidarité avec les clandestins, c’est un florilège de figures politiques, culturelles et religieuses qui se sont pressées derrière les micros et les caméras pour y aller de leur effet d’annonce. Ainsi, on a pu entendre Nathalie Kosciusko Morizet, vice présidente des Républicains, rabâcher que

    Accueillir les clandestins est une question de principe

    Ou encore entendre le président de l’Union des étudiants juifs de France déclarer

    Nos sociétés doivent aujourd’hui élaborer l’accueil autrement et apprendre à vivre avec des gens différents. Il en va de la préservation de nos valeurs juives comme de celles de nos idéaux républicains

    Cette dernière citation étant d’autant plus savoureuse qu’Israël, État juif s’il en est, a déclaré refuser catégoriquement d’accueillir des réfugiés sur son sol. Pendant ce temps, France 2 consacrait une journée entière à la question des immigrés clandestins avec une série de reportages destinés à émouvoir le téléspectateur, et le pape François a appelé chaque paroisse d’Europe à accueillir une famille de réfugiés.
    Un appel qui a visiblement été entendu puisque certaines paroisses françaises se sont empressées d’annoncer publiquement qu’elles feraient leur part en logeant des clandestins chez leurs paroissiens, ou tout du moins en leur venant en aide. On ne cessera de s’étonner de l’absence d’un tel engouement pour les SDF ou les étudiants précaires…

    Il y a aussi une « campagne des experts »

    Effectivement, nous avons assisté ces derniers jours à un bal des « experts » en tout genre chargés de nous vendre cette arrivée sans précédent de clandestins comme un phénomène positif. L’argument avancé économico démographique, à savoir que nos sociétés vieillissantes et prospères auraient désespérément besoin de ces immigrés. On a pu entendre Emmanuel Macron, ministre de l’Économie, déclarer que

    C’est aussi une opportunité économique, car ce sont des femmes et des hommes qui ont aussi des qualifications remarquables.

    Des propos appuyés par Daniel Cohen, économiste, qui dira à la télévision « Sur le très long terme, il n’y a aucun doute que c’est bénéfique économiquement ». Tariq Ramadan quant à lui assènera que l’Europe a besoin d’immigrés et que la Suisse blanche fait partie du passé.
    Mais cette vieille rengaine libérale de l’immigration bienfaisante pour l’économie a tendance à se heurter violemment aux faits. En effet, la France compte déjà trois millions de chômeurs, et les chiffres du ministère de l’Intérieur montrent que sur 200 000 entrées légales en France, seuls 7 % des immigrés ont un contrat de travail. Sous cet angle, on a vraiment du mal à voir, malgré le rabâchage idéologique, les bénéfices d’une arrivée massive d’immigrés clandestins.

    Avec plus de la moitié des Français encore hostiles à l’accueil des clandestins, force est de constater que cette campagne de propagande sans précédent ne prend pas !


     

  • Génération Identitaire dénonce les clandestins en France, la gendarmerie enquête

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    08/09/09/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    L’action entreprise par Génération Identitaire samedi dernier à Loudun pour dénoncer l’implantation de centres d’accueil de clandestins dans les petites villes fait parler d’elle. La presse signale que la gendarmerie, dépêchée sur les lieux après le départ des jeunes identitaires avait ouvert une enquête sur cette action pacifique. Et si nos sympathiques pandores ouvraient plutôt des enquêtes sur les clandestins qui entrent par milliers en France, dont certains sont des délinquants tandis que d’autres sont affiliés à des mouvements terroristes ?

  • Etre Européen

    Jean-Yves Le Gallou, Anne-Laure Blanc et l’institut Iliade
    nous proposent une vidéo magnifique, appelée « être européen ».

     

  • VIDEO - Calais: les associations offrent des vêtements aux "migrants", ils en font un bûcher

    http://www.fdesouche.com/643385-calais-fortes-tensions-dans-la-jungle-des-migrants-ce-dimanche-soir

  • Etat des bus affrêtés par la Hongrie pour les "migrants"...

    http://www.contre-info.com/etat-des-bus-affretes-par-la-%e2%80%aa%e2%80%8ehongrie%e2%80%ac-pour-les-%e2%80%aa%e2%80%8emigrants%e2%80%ac

    Ce sont des porcs remplis de haine !

    Aucun véritable réfugié politique ne ferait cela.

     

  • A Roanne, le maire ne veut accueillir que des réfugiés chrétiens persécutés par l'EI

    http://www.leparisien.fr/politique/roanne-le-maire-ne-veut-accueillir-que-des-refugies-chretiens-07-09-2015-5069189.php

  • Les foules de migrants vues par un guide touristique polonais à la frontière entre l’Italie et l’Autriche : « Ils ont sorti une vieille dame en la tirant par les cheveux et voulaient partir avec sa voiture. »

     

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    Le témoignage brutal sur Facebook d’un voyageur qui accompagnait comme guide un groupe de pèlerins polonais revenant d’Italie est repris par plusieurs médias polonais (comme ici par exemple, où il fait un gros buzz). Auteur du blog « Obywatel Świata » (Citoyen du Monde), Kamil Bulonis se dit lui-même très surpris du retentissement de son histoire. Un retentissement d’autant plus grand qu’il s’agit justement d’un citoyen du monde, grand voyageur et homosexuel revendiqué : « journaliste, globe-trotter, gay », ainsi qu’il se décrit sur Instagram. Tandis que sa photo de profil Facebook est bien entendu sur fond arc-en-ciel. Voici donc ce qu’a publié ce parfait gauchiste polonais le 4 septembre dernier au soir :

    Il y une heure et demie à la frontière entre l’Italie et l’Autriche [sur la route SS621 en direction du Parc national du Hohe Tauern], j’ai vu de mes propres yeux les gigantesques hordes d’immigrants… Malgré toute la solidarité que je peux ressentir à l’égard de gens qui sont dans une situation difficile, je dois dire que ce que j’ai vu inspire la terreur… Cette énorme foule de gens – je suis désolé de l’écrire –, ils sont d’une sauvagerie absolue… Les vulgarités, les jets de bouteilles, les cris « Nous voulons aller en Allemagne » – l’Allemagne est-elle un paradis aujourd’hui ? J’ai vu comme ils encerclaient la voiture d’une vieille dame italienne, ils l’ont sortie en la tirant par les cheveux et voulaient partir avec sa voiture. Ils essayaient de faire se balancer l’autocar dans lequel je me trouvais avec mon groupe. Ils nous balançaient de la merde, ils frappaient de toutes leurs forces contre la porte pour que notre chauffeur leur ouvre, ils crachaient sur la vitre… Je pose la question : dans quel but ? Comment ces sauvages doivent-ils s’assimiler en Allemagne ? Je me suis senti un moment comme en temps de guerre. Vraiment, je plains ces pauvres gens, mais s’ils venaient en Pologne, je ne crois pas qu’ils trouveraient de la compréhension chez nous. Nous sommes restés bloqués trois heures à la frontière que nous n’avons finalement pas franchie. Tout notre groupe a été transporté de retour en Italie sous la protection d’un cordon de police. Notre autocar a été massacré, il est couvert de matières fécales, rayé, avec des vitres brisées. Et ce doit être la solution au problème du déficit démographique ? Ces hordes de sauvages ? Il n’y avait pas de femmes ni d’enfants avec eux. La grosse majorité, c’étaient des jeunes hommes agressifs… Hier encore, alors que je lisais les nouvelles sur tous les sites Internet, j’éprouvais inconsciemment de la pitié, je m’inquiétais pour leur destinée. Aujourd’hui, après ce que j’ai vu, j’ai peur et en même temps je suis content qu’ils ne choisissent pas notre patrie comme but de leur voyage. Nous, Polonais, nous ne sommes tout simplement pas prêts, culturellement et financièrement, pour accueillir ces gens. Je ne sais pas qui peut être prêt. Ce qui rentre dans l’UE, c’est une pathologie comme nous n’en avons encore jamais vue. Et pardonnez-moi si certaines personnes se sentent insultées par ce que j’écris ici… J’ajouterais encore que des véhicules sont arrivés avec de l’aide humanitaire – surtout de la nourriture et de l’eau – et eux, ils renversaient ces voitures… Par mégaphones les Autrichiens leur faisaient savoir que l’autorisation avait été donnée de les laisser passer la frontière. Ils voulaient les enregistrer et les laisser continuer leur voyage. Mais eux, ils ne comprenaient rien à ce qu’on leur disait. Et c’était le plus horrible dans tout ça. Sur ces quelques milliers de personnes, aucune ne comprenait, ni en italien, ni en anglais, ni en allemand, ni en russe, ni en espagnol… Il n’y avait que l’usage des poings qui comptait… Ils se battaient pour qu’on les autorise à continuer et ils avaient l’autorisation, mais ils ne comprenaient pas qu’ils l’avaient, leur autorisation ! Dans un autocar avec un groupe français, ils ont ouvert les soutes à bagage. Tout ce qui était à l’intérieur a été volé en un instant, il y avait une partie des affaires par terre… Dans ma courte vie, je n’avais jamais eu l’occasion de voir de telles scènes, et j’ai le sentiment que ce n’est qu’un début. Pour finir, je veux ajouter qu’aider, c’est bien, mais pas à n’importe quel prix.

     

    Après les reportages émis par la première chaîne d’information en continue du pays TVN 24 sur le comportement des migrants sur l’île de Lesbos, en Grèce, voilà qui ne va pas inciter les Polonais à accepter les quotas obligatoires de clandestins que l’UE voudrait imposer avec le soutien de Merkel et Hollande. Vendredi, les premiers ministres de Pologne, Tchéquie, Slovaquie et Hongrie ont redit leur opposition à ces quotas et les trois premiers ont exprimé leur solidarité avec Viktor Orbán dans ses efforts pour stopper l’invasion. La Tchéquie et la Slovaquie ont proposé de créer un corridor ferroviaire à travers leur territoire pour emmener en Allemagne les immigrants entrés illégalement en Hongrie, mais ce témoignage montre qu’il faudrait peut-être faire la même chose entre l’Italie et l’Allemagne, puisque celle-ci s’est engagée, sans se soucier de l’invasion et de l’anarchie qui en résulterait sur le territoire d’autres pays européens, à donner l’asile à tous les Syriens et à accueillir dignement tous les immigrants. Ainsi que l’a dit Viktor Orbán à propos de la politique d’accueil et d’incitation à l’immigration de Berlin et de l’UE, ils sont des centaines de milliers cette année, l’année prochaine ils seront des millions.

    NDF

  • Les camps de concentration pour Japonais, chapitre sombre de l'histoire américaine

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    06/09/15 à 11:42 - Mise à jour à 11:42

    Des baraquements alignés dans un désert de Californie battu par les vents: le camp de Manzanar fut l'un des dix ouverts par les Etats-Unis pour y parquer ses citoyens d'origine japonaise après l'attaque de Pearl Harbor, un chapitre sombre de leur histoire encore souvent méconnu.

     

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    "On nous a traités comme des ennemis", confie Rosie Kakuuchi, une survivante âgée de 88 ans aujourd'hui installée à Las Vegas. "Nous avons perdu notre liberté, nous avons été forcés de nous habituer à des conditions horribles", se souvient-elle, au moment où sont commémorés les 70 ans du premier bombardement nucléaire de l'histoire à Hiroshima, au Japon. Craignant l'"ennemi intérieur" après avoir déclaré la guerre au Japon un jour après l'attaque de Pearl Harbor, le 7 décembre 1941, Washington mit rapidement en place des mesures de protection de son territoire. Racisme, méfiance, injures et parfois menaces violentes: les Américains d'origine japonaise devinrent tout à coup suspects dans la rue... et aux yeux du gouvernement. Le 19 février 1942, le président Franklin D. Roosevelt signa un décret établissant des zones militaires d'exclusion où les Américano-Japonais pourraient être contrôlés. Le gouvernement américain y installa dix camps de concentration, en Californie, Arizona et dans l'Utah, l'Idaho, le Wyoming, le Colorado et l'Arkansas. Plus de 112.500 Américano-Japonais y furent installés de force, ou "délocalisés" ("relocated") selon l'expression officielle, jusqu'en 1945.

    Promiscuité

    Comme tant d'autres, la famille de Rosie Kakuuchi dut abandonner précipitamment une vie passée à tenter de s'intégrer dans la société américaine. La décision de Washington tomba comme un couperet. "C'est mon pays, alors j'ai cru qu'ils faisaient ce qui était le mieux pour nous. Mais j'ai été vraiment déçue par nos dirigeants", se souvient-elle. Rosie Kakuuchi et les siens ont passé trois ans à Manzanar, un camp situé dans les montagnes californiennes de la Sierra Nevada où l'été est étouffant et la rigueur de l'hiver éprouvante. Elle avait 15 ans. Les journées semblaient éternelles au rythme des horaires stricts du camp sous le contrôle de gardes. Les quelque 10.000 prisonniers qui ont peuplé Manzanar finirent par organiser une véritable petite ville pour survivre à l'isolement, avec une école, une garderie, un hôpital, des commerces et même un cimetière. La plupart des adultes travaillaient et touchaient un petit salaire. Des bals, des projections de films étaient organisés et un journal fut même lancé. Mais la vie était dure. Les internés vivaient dans des baraquements battus par les vents, qui s'emplissaient de sable et de poussière. De nombreuses familles étaient forcées de partager leur logement, faute d'espace, ainsi que des toilettes et douches communes.

    Effort de mémoire

    "Ces camps représentent l'un des chapitres les plus honteux de l'histoire récente des Etats-Unis", analyse Alysa Lynch, l'une des responsables du musée qu'est devenu le site de Manzanar. Longtemps tue et oubliée, leur existence est aujourd'hui racontée à travers des objets et des témoignages sur le site de Manzanar, où trois baraques ont été reconstruites. "J'ignorais tout de ça", confie Jason Adler, la quarantaine, originaire de l'Ohio (nord) et venu visiter les lieux avec son fils. "Nous devons en faire plus pour conserver cette mémoire et raconter ce qu'il s'est passé, les gens doivent savoir qu'il y a eu dix camps de concentration dans ce pays", dit-il. Il a fallu attendre plusieurs décennies avant que Washington déclare avoir commis une erreur et présente ses excuses aux victimes. Le gouvernement de Ronald Reagan versa 20.000 dollars d'indemnités aux survivants en 1988. "Ca n'est pas vraiment suffisant mais au moins ils ont admis qu'ils s'étaient trompés", témoigne Rosie Kakuuchi. En 1945, quand les barrières des camps s'étaient rouvertes, elle avait dû rapidement constater que son ancienne vie avait disparu. "Ils m'ont donné 20 dollars et un billet pour aller quelque part. Nous n'avions nulle part où aller", se souvient-elle.

  • Passeurs de clandestins : la mafia politique est au pouvoir. Par Pierre-Emile BLAIRON

     

    Le philosophe René Guénon, se référant aux anciennes civilisations qui en avaient éprouvé le processus, savait que Le Règne de la quantité – celui de l’argent – allait caractériser le déclin de l’Occident. Dans les hautes ( ?) sphères du pouvoir, il y a belle lurette qu’on ne se préoccupe plus d’instruction, de culture, et encore moins de spiritualité ; nos gouvernants préparaient le terrain, un désert, à Daech, qui n’avait plus qu’à terminer le travail en décapitant les hommes et les statues (comme l’avaient fait les révolutionnaires de 1789 en France) pour envisager ensuite de réduire l’Europe à un vaste champ de ruines. « Du passé, faisons table rase », c’est l’unique devise des barbares de tous temps et de tous pays. Dans les premiers épisodes de l’invasion migratoire, essentiellement musulmane, qui est en train de nous submerger, quelques personnes qui avaient conservé un certain bon sens commentaient avec incrédulité et stupéfaction l’inertie de nos gouvernants : « ils sont devenus fous, leur naïveté est incommensurable, c’est de l’aveuglement. »

    Rien de tout ça ; nos dirigeants sont parfaitement conscients de ce qui se trame, ce sont même eux qui sont aux manettes ; les « théoriciens du complot », comme les appelle ceux qui sont accusés d’en fomenter un à l’échelle mondiale (quand on veut abattre son chien…) relisent Aldous Huxley qui, dans la préface du Meilleur des Mondes, sonnait l’alarme : « Un Etat totalitaire vraiment ˝efficient˝ serait celui dans lequel le tout-puissant comité exécutif des chefs politiques et leur armée de directeurs auraient la haute main sur une population d’esclaves qu’il serait inutile de contraindre, parce qu’ils auraient l’amour de leur servitude. La leur faire aimer – telle est la tâche assignée dans les Etats totalitaires d’aujourd’hui, aux ministères de la propagande, aux rédacteurs en chef de journaux, et aux maîtres d’école. ».

    Les pragmatiques, ceux qui ne croient que ce qu’ils voient, ont recours à l’admirable Camp des Saints de Jean Raspailqui avait prédit, en 1973, que les clandestins débarqueraient par bateaux par centaines de milliers sur le sol français. Mais il ne sert à rien de jouer aux Cassandre, et de prouver qu’on avait raison, quand le peuple est tellement décérébré qu’il refuse de voir à quelle sauce il va être mangé ; et, même, il aide le cuisinier à sa préparation. C’est le Grand Suicide qui va de pair avec le Grand Remplacement.

    Emil Cioran donnait sa version pessimiste, mais lucide, du monde qu’il exécrait déjà en 1960 : « Quelle malédiction a frappé l’Occident pour qu’au terme de son essor, il ne produise que ces hommes d’affaires, ces épiciers, ces combinards, aux regards nuls et aux sourires atrophiés que l’on rencontre partout, en Italie comme en France, en Angleterre de même qu’en Allemagne ? Est-ce à cette vermine que devait aboutir une civilisation aussi délicate, aussi complexe ? » . Les propos de Cioran illustrent bien le fameux dessin de Konk qui représente le monument aux morts d’un village ; dans la traditionnelle dédicace précédant la liste de nos héroïques ancêtres : Morts pour la France, le dessinateur a barré les mots : pour la France pour les remplacer par : pour rien.

    Quant à moi, je pense que nos gouvernants européens ont cumulé et cumulent dans leur comportement toutes ces ignominies qu’ont si bien décrites nos écrivains. En France, tous nos Présidents, sans exception, depuis Giscard et son regroupement familial, en passant par Mitterrand, « il padrino » florentin, Chirac, pion inculte et hilare de forces dont il ne comprenait rien de leurs desseins, Sarkozy, le vendeur du temple cynique et gesticulant qui, lui, avait bien saisi son intérêt, jusqu’à Hollande qui, derrière son paravent de benêt, n’a aucun scrupule à détruire sciemment et consciencieusement notre nation, tous ces malfrats ont apporté leur pierre à la lapidation de notre Marianne. Mais j’ajouterai que ces manipulateurs, qui tueraient père et mère pour un peu plus de pouvoir et d’argent, sont eux-mêmes manipulés par plus forts et plus abjects qu’eux : les parrains d’une mafia mondiale et mondialiste qui ont rajouté le trafic d’êtres humains à une panoplie qu’ils déploient méthodiquement comme un chirurgien qui ouvre sa trousse de bistouris : drogues, trafic d’organes, meurtres, génocides, guerres fomentées pour quelques dollars de plus, pollutions organisées, destruction des forêts et des terres arables, de la paysannerie, avec l’aide de richissimes spéculateurs qui les financent, grands banquiers qui les blanchissent, marchands d’armes qui les fournissent, services spéciaux et sociétés secrètes qui les couvrent, publicitaires, syndicats, médias, « artistes » et ONG, idiots utiles qui les servent. Ces parrains ont inculqué à « nos » politicards obséquieux et cupides les rudiments d’une morale de voyous : corruption, mensonge, absence de scrupules, brutalité, cynisme, cruauté ; nos politiques ont si finement compris la leçon qu’ils en rajoutent contre leurs propres concitoyens dont ils n’ont rien à faire, si ça peut servir leurs propres intérêts ; les naïfs, ce sont ceux qui croient que ces politiciens ont conservé quelque once d’honnêteté, ou d’intérêt pour la chose publique.

    Ces mêmes Français et Européens qui s’apitoient sur le sort des « migrants » ignorent avec quelle minutie et avec quel déploiement de moyens ces clandestins sont amenés et parqués dans ces bateaux (voir les cartes géographiques des trafics de migrants diffusées par le Mouvement pour la remigration) pour servir le grand dessein des puissants –truands, industriels, banquiers, politiciens… - réunis désormais au sein d’une même mafia : détruire les structures traditionnelles de nos nations européennes avec l’aide des monstres qu’ils ont créé pour ce but (Daech – revoyez « Le Seigneur des anneaux) et arracher les moindres racines, qui pourraient constituer un repère tangible et rédhibitoire, pour préparer l’avènement d’une société d’esclaves corvéable à merci à l’échelle mondiale.

    P.-E. BLAIRON  07 09 15

    NdB: Un article remarquable à lire absolument!

  • Stonehenge : le mystère s'épaissit

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    07/09/15 à 10:45 - Mise à jour à 13:58

    Source : Bbc

    L'énigme autour du monument mégalithique de Stonehenge est loin d'être résolue. Une couche de mystère vient d'être rajoutée suite à la révélation ce week-end de la découverte d'un second site par des archéologues.

     

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    © Reuters

    L'équipe composée d'archéologues et de scientifiques "The Stonehenge Hidden Landscapes" explore le site de Stonehenge dans les moindres détails depuis 5 ans. L'équipe a finalement fait une grande découverte. A seulement 3 kilomètres du site principal, ils ont trouvé 90 énormes pierres - chacune d'une hauteur de 4,5 mètres - enfouies dans le sol ont-il annoncé ce lundi à Bradford. L'archéologue britannique Vince Gaffney estime qu'il s'agit du "plus grand monument de pierres (...) découvert en Grande-Bretagne, et même en Europe".

    Les archéologues ont découvert ces pierres à l'aide des techniques les plus avancées de cartographie du sous-sol du site datant du Néolithique. Les pierres étaient enfouies à environ un mètre de profondeur aux alentours du lieu-dit "Durrington Walls". Aussitôt baptisée "Superhenge", il s'agit d'une grande enceinte de 500 mètres de diamètre située à environ 3 kilomètres au nord-est de Stonehenge. A cet endroit, vivaient à la période néolithique (il y a 4500 ans) de nombreuses personnes, les restes de plus de 1000 maisons y ont été trouvés. Aujourd'hui, il ne subsiste plus qu'un large talus de terre.

    Les pierres formaient jadis une arène constituée en demi-cercle, sur le site de Salisbury. Elles auraient été alignées avec la trajectoire du soleil pendant le solstice d'hiver. Les blocs revêtiraient une signification religieuse et auraient été utilisés lors de rites tout comme les pierres de Stonehenge.

    Les scientifiques n'ont pas encore trouvé d'explications précises sur le fait que les pierres -posées sur leur côté- ont été enfouies sous terre. Selon eux, les immenses blocs ont pu être enterrés afin de protéger leur symbolique religieuse. Ils supposent qu'ils ont été placés par les mêmes personnes qui ont construit Stonehenge il y a 5.000 ans. De quoi rajouter un nouveau voile de mystère sur l'un des plus célèbres sites préhistoriques britanniques.

  • Trois tweets de Florian Philippot

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  • Marc Lavoine ne veut pas accueillir de migrants chez lui: "La réponse doit être collective"

    FDS

    Lire: http://www.purepeople.com/article/marc-lavoine-et-66-artistes-bouleverses-et-outres-lancent-un-appel_a164955/1

  • Les clandestins, majoritairement des hommes seuls, ne fuient pas la guerre


    Migrants: les bénévoles se mobilisent au centre d'accueil de Bierset

     

    Pour les besoins de la cause immigrationniste, les médias font régulièrement des gros plans sur des enfants mis en avant des foules d’immigrés. La fable s’est encore trouvée confortée avec la mort tragique du petit Aylan que la propagande politico-médiatique instrumentalise de façon abjecte.

    Mais la réalité est toute autre. La très grande majorité des immigrés qui déferlent sur l’Europe sont des hommes seuls. Les femmes et les enfants sont une toute petite minorité. Ce qui contredit radicalement la baliverne selon laquelle ces immigrés fuient la guerre. La vérité est que ces hommes seuls espèrent profiter des avantages sociaux européens, il faut avoir le courage de le dire.

    Parmi les manipulations médiatiques, il y a parfois quelques instants fugaces de vérité qui viennent confirmer ce que nous ne cessons d’écrire.

    Au centre d’accueil de Bierset (Belgique), un bénévole chargé de la gestion du stock de vêtements destinés aux immigrés répète à plusieurs reprises à un journaliste que les besoins concernent des « hommes isolés ».

    Le bénévole dit cela devant des penderies de vêtements pour enfants qui ne trouvent pas preneurs…

    E&R

  • Le pape appelle chaque paroisse d'Europe à accueillir une famille de réfugiés

    http://www.leparisien.fr/societe/migrants-les-initiatives-de-soutien-se-multiplient-06-09-2015-5066209.php

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  • Marine Le Pen : «Notre pays n'a ni les moyens ni l'envie d'être plus généreux...»

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    http://www.leparisien.fr/politique/universite-du-fn-nous-sommes-prets-a-gouverner-assure-marine-le-pen-06-09-2015-5066857.php