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Blog - Page 595

  • VIDEO Marion dénonce le "florilège de crapules UMP" dans l'Essonne et parle de l'enquête envisagée par Martin Schulz


    Marion Maréchal-Le Pen dénonce le "florilège... par FranceInfo

  • Soupçons de fraude inédits contre le FN au Parlement européen

     

     
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    STRASBOURG (Reuters) – Les soupçons de fraude relative aux conditions d’emploi de vingt assistants parlementaires du Front national au Parlement européen constituent une première, à cette échelle, dans l’histoire de l’institution.

    Le parti d’extrême droite y voit pour sa part un coup de pouce de l’Allemand Martin Schulz, président social-démocrate du Parlement de Strasbourg, au gouvernement français, à moins de deux semaines des élections départementales.

    « C’est la première fois qu’on est confronté à des cas de fraudes supposées dans de telles proportions. Il y a eu des précédents, mais ça concernait des députés à titre individuel, a dit mardi à Reuters Jaume Duch, porte-parole de l’institution.

    Martin Schulz a saisi lundi l’Olaf, l’Office européen de lutte antifraude, du cas de ces vingt assistants parlementaires qui travailleraient essentiellement pour le parti de Marine Le Pen et non pour ses 23 eurodéputés.

    L’Olaf devra évaluer le bien-fondé de la dénonciation, dans un délai de un à deux mois. Si elle décide alors de lancer une enquête, celle-ci pourrait prendre un à deux ans, selon les statistiques de l’institution.

    Les députés européens peuvent recruter un ou plusieurs assistants parlementaires jusqu’à concurrence d’une somme mensuelle de 21.379 euros. Certains sont dits « accrédités » s’ils secondent le député au sein des institutions européennes, les autres, chargés d’animer la permanence parlementaire, sont qualifiés de « locaux ».

    Les accusations du Parlement se fondent sur la consultation de l’organigramme de la direction du Front national, publié en février, où apparaissent vingt assistants, quatre accrédités et seize locaux, selon un communiqué.

    Parmi les locaux, « dix ont conclu un contrat de travail qui indique comme adresse d’exécution l’adresse du siège du Front national à Nanterre », précise le Parlement.

    PEUT-ÊTRE 7,5 MILLIONS D’EUROS DE PRÉJUDICE

    Comme le révélait Le Monde, lundi soir sur internet, le préjudice pour le budget communautaire pourrait atteindre 7,5 millions d’euros si la fraude était avérée, soit le montant des salaires litigieux durant cinq années de mandat parlementaire.

    « Nos assistants sont très souvent des gens qui militent pour leur parti et pour ses idées, ce qui est encore autorisé en euro-dictature », a justifié à Reuters Florian Philippot, député européen et vice-président du parti.

    Il a précisé que certains travaillaient seulement à mi-temps au sein du parti.

    « M. Schulz (…) a appliqué à la lettre les ordres de M. (Manuel) Valls qui hier expliquait qu’il fallait que les élites se mobilisent contre le Front national », a pour sa part réagi Marion Maréchal-Le Pen sur France Info.

    « C’est de l’acharnement politique, évidemment, en période électorale », a-t-elle estimé, alors que des sondages placent le parti de Marine Le Pen en tête des intentions de vote pour le premier tour des départementales, le 22 mars.

    Le Parlement européen brandit de son côté les mesures d’application du statut des eurodéputés qui prévoient que « seuls peuvent être pris en charge (par le budget européen) les frais correspondant à l’assistance nécessaire et directement liée à l’exercice du mandat parlementaire des députés ».

    Les salaires versés aux assistants par le Parlement « ne peuvent servir directement ou indirectement à financer des contrats établis avec des groupes politiques du Parlement ou des partis politiques », précise ce règlement.

    Le statut des assistants a fait l’objet de plusieurs réformes visant à moraliser un domaine longtemps marqué par l’opacité et l’emploi de membres de la famille de l’eurodéputé.

    Il a fallu attendre 2001 pour que les parlementaires soient tenus de produire un contrat de travail et le justificatif de paiement des charges sociales pour bénéficier des indemnités.

    Depuis 2009, les assistants sont rémunérés directement par le Parlement et assimilés à une catégorie particulière de fonctionnaires.

    (Gilbert Reilhac avec Sophie Louet à Paris, édité par Yves Clarisse)

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Marion Maréchal-Le Pen pointe "un florilège de crapules UMP" dans l'Essonne

    http://www.leparisien.fr/politique/marion-marechal-le-pen-pointe-le-florilege-de-crapules-ump-dans-l-essonne-10-03-2015-4591401.php

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  • Israël : un archéologue dit avoir découvert la maison de Jésus

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    Europe 1Noémi Marois Publié à 22h48, le 08 mars 2015, Modifié à 17h46, le 09 mars 2015

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    ARCHÉOLOGIE - Un archéologue britannique avance avoir retrouvé la maison où a grandi Jésus à Nazareth, en Israël. (en Palestine)

    Une découverte tellement incroyable qu'on peine à y croire. Et pourtant. Ken Dark, archéologue britannique de la Reading University, pense avoir mis la main sur les ruines de la maison de Jésus. C'est ce que nous enseigne son compte-rendu de fouille, publié en mars dans la revue Biblical Archaelogical Review et rapporté par le Huff Post américain. Selon le Nouveau Testament, Jésus, né à Béthléem, a passé son enfance à Nazareth, en Galilée, au nord d'Israël.

    De nombreux objets retrouvés. Débutées en 2006, les recherches menées par le Britannique ont révélé une maison creusée dans du calcaire, à flanc de colline. Les scientifiques ont découvert une avant-cour, une série de pièces et d'escaliers ainsi qu'un sol en partie dans sa forme originale. Une des portes d'entrée a même été retrouvée intacte. De nombreux objets ont également été dégagés dont un pot de cuisine. Deux tombes de l'époque encadrent enfin le site.

    S'il n'est révélé qu'aujourd'hui, le site était connu depuis le 19e siècle, quand des nonnes l'avaient découvert sous une église, dans leur couvent de Nazareth. Mais ce n'est qu'avec le lancement de la mission britannique que des fouilles plus approfondies ont pu être menées.

      

    Un faisceau d'indices troublants. Ken Dark avance qu'il ne peut pas formellement prouver que Jésus a grandi dans cette maison. "Il est toujours très difficile de relier des preuves archéologiques à des personnes spécifiques", explique-t-il. Cependant, un faisceau d'indices lui permet de supposer fortement que les pierres dégagées ont vu évoluer le Messie des chrétiens, ainsi que ses parents, Joseph et Marie.

    Premier indice, Ken Dark a découvert qu'une partie des ruines de la maison ont été réutilisées pour être incorporées, durant le Moyen-Âge, dans des constructions d'églises. Ce qui voulait dire, selon l'archéologue, que cette maison avait une valeur particulière aux yeux des religieux de l'époque. "De grands efforts ont été faits pour inclure les vestiges de ce bâtiment. À la fois les tombes et la maison ont été décorées de mosaïques à l’époque byzantine, ce qui laisse penser qu’elles étaient d’une importance spéciale, et peut-être vénérées ", précise l'archéologue dans la revue Biblical Archaeological Review.

    Deuxième indice, Ken Dark se base, pour appuyer son hypothèse, sur un texte datant du 7e siècle. Le livre Au sujet des lieux saints, écrit en 670, raconte le voyage en Palestine d'un moine franc. La maison de Jésus à Nazareth y est décrite : située entre deux tombes et sous une église. Ce qui concorde avec le résultat des fouilles archéologiques. Enfin, des méthodes archéologiques classique ont permis au chercheur de dater la maison au 1er siècle après le début de l'ère chrétienne.

  • Mantes-la-Ville (78) Le maire FN retire à la LDH son local municipal - Une adhérente de la LDH "dérape" gravement

    http://www.fdesouche.com/573355-mantes-la-ville-78-la-mairie-fn-retire-la-ldh-son-local-municipal

  • Gueule de haine

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  • [Tribune libre] Ukraine : Les Etats-Unis veulent la guerre… sur le sol européen

     par MUSAVULI
    vendredi 6 mars 2015

     

    On ne devrait plus se bercer d’illusions sur les intentions des dirigeants américains : ils veulent la guerre. Une guerre qui doit se dérouler sur le Vieux Continent et qui doit entraîner le plus d’Européens possible dans une confrontation militaire avec la Russie. Les Ukrainiens, sauf un grand sursaut des masses populaires, devraient se résigner à voir leur pays servir durablement de champ de bataille à ce conflit des grandes puissances dont les enjeux leur échappent, depuis qu’ils ont perdu le contrôle des manifestations « Place Maïdan », un soir de février 2014. 

     

    Soldats américains en Lithuanie 

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    De l’EuroMaïdan à l’escalade militaire

    En tout cas, les derniers développements aux Etats-Unis ne sont guère rassurants. Un an après les manifestations de l’EuroMaïdan, odieusement dévoyées par « des atlantistes  », les États-Unis ont officialisé la décision d’envoyer en Ukraine quelques 600 parachutistes appartenant à la 173ème brigade aéroportée. L’annonce a été faite lundi dernier par le colonel Michael Foster, commandant de la brigade, et confirmée par Ben Hodges, haut commandant des forces américaines en Europe. Les premières unités combattantes de la brigade devraient se poser en Ukraine d’ici le 8 mars. Officiellement, pas pour combattre, mais pour former les troupes ukrainiennes (en débâcle dans le Donbass) au maniement des armes américaines en voie d’expédition[1].

    Au sujet, justement, de l’expédition des armes américaines à Kiev, on sait qu’elle entraînerait réciproquement l’accroissement des moyens militaires des républiques autonomes de l’Est (Donetsk et Lougansk) par Moscou. Parce que, pour la Russie, il est hors de question que les forces des pays de l’OTAN se déploient jusque sur les frontières russo-ukrainiennes, et ils n’ont pas tort. Les Russes n’ont jamais digéré d’avoir été bernés par les Occidentaux en marge de la réunification allemande[2]. C’est pour essayer de contrer ce risque d’escalade militaire que la France et l’Allemagne ont décidé, début février dernier, d’entrer directement en contact avec Vladimir Poutine, sans consulter Washington. Il s’agissait de rassurer le chef du Kremlin sur le fait que Français et Allemands s’opposeront à l’envoi en Ukraine des armes américaines[3]. Le président russe s’est montré ouvert aux propositions franco-allemandes, et accepté les Accords de Minsk II[4] du 11 février 2015. Le hic avec Minsk II est qu’il y avait deux grands absents : les Britanniques et les Américains. N’étant pas liés par ces accords, ils vont continuer d’attiser le conflit.

    Il faut vous entretuer pour l’Amérique

    Dix jours seulement après la signature des Accords de Minsk, David Cameron annonçait l’envoi de soldats britanniques en Ukraine. Une semaine plus tard, John Sawers, l’ancien patron du MI16, (sorte de CIA britannique) affirmait que « la guerre contre la Russie ne fait que commencer »[5]. Avec l’envoi des unités de combat en Ukraine par les USA, les Britanniques sont ainsi rejoints par leurs cousins américains qui tiennent à ce que la situation continue de se dégrader et qu’elle finisse par dégénérer. Bien évidemment, les armées américaines et britanniques ne vont pas s’engager en première ligne contre l’armée russe. Ce déploiement atlantiste vise plutôt à entretenir durablement un climat de haine entre populations, un environnement de violence permanente et de désolation.

    Une des stratégies utilisées par les fauteurs de troubles états-uniens contre les pays qu’ils ciblent consiste à frapper directement les populations soit par des violences aveugles, soit pas des embargos, soit par des humiliations en mettant systématiquement ces drames collectifs sur le dos de l’« ennemi » qu’ils se sont choisis. Il ne faudrait pas s’étonner si les populations russes/russophones des pays frontaliers deviennent la cible des tueries aveugles et des famines provoquées volontairement, ce qui les amènera à demander de plus en plus l’aide de Moscou. Une aide que Poutine ne pourra pas durablement leur refuser, au risque de se mettre à dos les Russes de l’intérieur[6]. Sauf qu’en intervenant davantage en Ukraine ou, le moment venu, dans les pays baltes, le président russe deviendrait un « agresseur ». Exactement l’image que les médias occidentaux et les dirigeants d’outre-Atlantique s’emploient à lui coller à la peau. Dès lors, des forces européennes, plus ou moins officiellement, chemineraient vers les « pays agressés » par la Russie. Le début d’un engrenage meurtrier au cœur de l’Europe.

    Face à ces agissements américains, on est tenté de dire : ils sont fous ces Américains ! Pas du tout. En réalité, les Etats-Unis, une puissance à bout de souffle, misent sur le conflit ukrainien pour entraîner le plus d’Européens possible dans une confrontation militaire avec la Russie[7]. Le pari est que, sauf usage d’armes stratégiques (scénario suicidaire), le sol américain devrait être préservé des ravages de cette guerre qui commence. Lorsque tout cela sera fini, Européens et Russes, quel que soit le camp qui l’aura emporté sur l’autre, seront ruinés économiquement, voire exsangues. Comme à l’issue de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, il ne restera qu’une puissance d’ultime recours : les Etats-Unis d’Amérique.

    Des milliards de dollars de contrats de reconstruction, une remise sous tutelle des nations européennes et la préservation, par l’Amérique, de son statut de « superpuissance planétaire ».

    Boniface MUSAVULI

    AGORA VOX

     

    (merci à Dirk)

     

    [2] Le 9 février 1990, James Baker, secrétaire d'Etat américain (de George Bush), avait assuré à Mikhaïl Gorbatchev que l'alliance occidentale n'étendrait "pas d'un pouce" son influence vers l'Est si Moscou acceptait que l'Allemagne réunifiée entre dans l'Otan. Le lendemain, 10 février, Hans-Dietrich Genscher, le ministre allemand des Affaires étrangères, refit cette promesse à Edouard Chevardnadze, son homologue russe : « l'Otan ne s'étendra pas à l'Est ». Mais depuis, la Pologne, la République Tchèque, la Hongrie, la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie, la Lituanie, la Lettonie et l’Estonie ont adhéré à l'Otan. Avec les événements de l’EuroMaïdan, l’enjeu était, entre autres, de faire également entrer l’Ukraine dans l’Otan. Cf. http://www.courrierinternational.co...

    [3] C’est en tout cas ce qu’assure le journaliste italien Giulietto Chiesa : https://www.youtube.com/watch?v=1w6...

    [4] Parce qu’il y a eu Minsk I, Protocole signé le 11 septembre 2014, et qui ne fut pas respecté.

    [7] Provoquer un conflit brutal entre Européens et Russes permet aux Américains de se prémunir contre une éventuelle alliance stratégique entre Européens et Russes, alliance qui entraînerait de fait la fin de l’hégémonie américaine. Dans Le Grand échiquier de Zbigniew Brzezinski (1997), où il est question, entre autres, de « briser la Russie » en trois entités (une Russie européenne, une république de Sibérie et une république extrême-orientale), il est également question de cultiver la docilité des « sujets protégés » et d’empêcher les rivaux potentiels de former des alliances offensives. Un rapprochement stratégique entre la Russie et les nations européennes (sujets protégés) est ainsi un scénario que les tenants de l’hégémonie états-unienne n’admettraient en aucune manière. 

  • Dernière "trouvaille" contre le FN? Le Parlement européen enquête sur 20 assistants parlementaires pour fraude et emplois fictifs

                                                        6Medias 09-03-2015 - 21:45

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    Les instances de l'institution ont saisi l'Office européen de lutte anti-fraude. Elles soupçonnent 20 assistants parlementaires siglés Front national de ne pas travailler pour le Parlement. Le FN dénonce une démarche dictée par Manuel Valls.

    Le Front national doit faire face à une nouvelle procédure compromettante. C'est ce que révèle Le Monde, ce lundi 9 mars : les instances du Parlement européen ont saisi l'Office européen de lutte anti-fraude à propos de 20 assistants parlementaires rattachés aux 24 députés européens du parti frontiste. La formation politique dirigée par Marine Le Pen doit déjà faire face à une enquête judiciaire à Paris pour blanchiment en bande organisée.

    Le Monde apporte des détails sur les postes occupés par certains assistants : cinq sont conseillers spéciaux de Marine Le Pen et trois oeuvrent aux côtés du président d'honneur frontiste, Jean-Marie Le Pen. Seulement voilà : ces assistants sont fortement suspectés de ne jamais travailler sur le front européen. Or, tous sont rétribués par le Parlement. Selon Le Monde, l'un d'eux reçoit mensuellement 10 535 euros.

    Un préjudice de plus de 7,5 millions d'euros ?

    Ces pratiques allant à l'encontre de la morale et du règlement intérieur interne du Parlement européen, le président de l'institution, Martin Schulz, a saisi les organes d'enquête sur cette possible fraude. Le préjudice se chiffrerait au-delà de 7,5 millions d'euros. Le dirigeant social-démocrate allemand a par ailleurs adressé un courrier à la ministre de la Justice française, Christiane Taubira, pour l'avertir de son initiative. Selon les éléments qui seront révélés ou non par l'enquête, le parquet national financier pourrait se saisir du dossier.

    La présidente du FN n'a pas tardé à réagir. Sur Twitter, elle accuse le Premier ministre Manuel Valls : "Manuel Valls mobilise ses amis socialistes contre le FN : le président du Parlement européen sort la grosse caisse. Une plainte sera déposée contre lui pour dénonciation calomnieuse". Le vice-président du parti, Florian Philippot, renchérit sur le réseau social : "Dernière trouvaille de Valls l'enragé : aller chercher papa Schultz (sic) et monter une affaire bidon ! (...) Conseil de communication à papa Schultz (sic) : la prochaine fois, attendez un peu plus de 24 heures après les envolées délirantes de Valls contre le FN".



    Nicolas Bamba - 6Medias

  • Frédéric Mitterrand rêve de s’accoupler avec El Blanco !

     

    À quelques jours d’une déculottée électorale, Manuel Valls multiplie les déclarations extravagantes et les déplacements dans l’Hexagone.

    L’agitation du ténébreux catalan n’a pas manqué d’attirer l’attention de Frédéric Mitterrand, qui a profité de son passage sur le plateau de Salut les Terriens, l’émission d’Ardisson sur Canal +, pour avouer son attirance sexuelle pour le Premier ministre :

    « Je l’adore, je le trouve très mignon. J’ai même fait des rêves érotiques avec Valls ! »

    Des propos qui ont fait saliver Ardisson, imaginant déjà des ébats tauromachiques entre l’ex-ministre de la Culture de Sarkozy et l’ancien maire d’Évry :

    « Vous aviez la muleta et il faisait le petit taureau ? »

    « Ça ne se passait pas dans l’arène, ça se passait dans un lit directement. C’était vachement bien ! » a répondu le neveu de l’ancien Président de la république qui déjà, en 2013, avait avoué avoir un faible pour François Fillon et Laurent Wauquiez...

    Après le tourisme sexuel en Thaïlande et l’Indonésie, il semble que l’auteur de La Mauvaise Vie, ait décidé de relocaliser ses partenaires sexuels.

    Une bonne nouvelle pour le Premier ministre, qui, au fond du trou après la future débandade des Départementales, pourra se consoler dans les bras du franco-tunisien [1] Mitterrand.

    Notes

    [1] Double nationalité acquise en 1995.

    E&R

  • RSI: la spoliation organisée des artisans et petits commerçants

    http://www.lefigaro.fr/vox/economie/2015/03/09/31007-20150309ARTFIG00383-rsi-la-spoliation-organisee-des-artisans-et-commercants.php

  • Marine Le Pen invitée du Bureau Politique: son entretien en intégralité

  • L’Histoire inacceptable : Le premier propriétaire esclavagiste américain était noir

    8 mars 2015 par admin4 - Contre-info.com

    « Avant 1655 il n’y avait aucun esclave légal dans les colonies américaines britanniques qui deviendront les Etats-Unis, seulement un contrat bilatéral appelé « indenture » pour des serviteurs qui proposaient leur service en échange d’une aide matérielle. Concrètement des noirs acceptaient de partir dans ces colonies britanniques et de travailler pendant un certain nombre d’années pour rembourser leur voyage et leur entretien. Avec cette pratique tous les maîtres étaient tenus de libérer leurs serviteurs après un certain temps. La durée limite de ces contrats était de sept ans. À leur départ on leur accordait 50 acres de terre (environ 20 hectares). Cela était valable pour n’importe quel Africain acheté à des marchands d’esclaves. Eux aussi avaient droit à leurs 50 acres à l’expiration de leur contrat.

    Anthony Johnson était un africain venu de l’actuelle Angola. Il avait été amené aux Etats UnisL’Histoire inacceptable : Le premier propriétaire esclavagiste américain était noir

     pour travailler dans une ferme de tabac en 1619. En 1622 il  failli mourir quand des Indiens Powhatan attaquèrent sa ferme. 52 des 57 personnes présentes périrent dans l’attaque.  Et c’est aussi pendant son  passage dans cette ferme qu’il épousa une servante noire.

    Quand Anthony fut libéré il fut aussi légalement reconnu comme “Noir libre” et fit fructifier son lopin de terre avec beaucoup de succès grâce à son dur labeur et son intelligence. En 1651 il possédait 250 acres et cinq serviteurs africains en « indenture ».

     

    Puis en 1654 Johnson aurait dû libérer John Casor, un de ses serviteurs. Au lieu de cela Anthony  dit à Casor qu’il prolongeait son temps. Casor s’enfuit et devint l’employé d’un fermier blanc, Robert Parker.

    Anthony Johnson poursuivi aussitôt en justice Robert Parker devant  le tribunal de Northampton et en 1655 la cour jugea qu’Anthony Johnson pourrait retenir John Casor indéfiniment. La cour autorisa ainsi les noirs libres à posséder des êtres de leur propre race comme  biens meubles, c’est-à-dire comme esclaves. Voilà comment John Casor est devenu le premier esclave à vie et Anthony Johnson le premier propriétaire américain d’esclave.

    Les blancs eux par contre ne pouvaient toujours pas  légalement avoir un serviteur noir comme esclave. Mais en 1670 l’assemblée coloniale passa une loi donnant le droit à des blancs libres (ndlr : des blancs pouvaient aussi être en « indenture ») ainsi qu’aux noirs et aux indiens de posséder des noirs comme esclaves.

    En 1699 le nombre d’Africains libres suscita de telles craintes de voir une insurrection raciale que l’état de Virginie  ordonna le rapatriement des noirs libérés en Afrique. Beaucoup de noirs se vendirent alors à des maîtres blancs pour ne pas retourner sur le continent africain. Mais des milliers d’autres furent rapatriés dans des pays comme la Sierra Leone et le Libéria qui de fait devinrent des colonies d’anciens esclaves africains américains longtemps financées par les divers gouvernements d’Amérique.
    Monrovia, la capitale du Libéria,  a été ainsi nommée en honneur du Président US James Monroe et Freetown, la capitale du Sierra Leone, en honneur à la liberté accordée par l’Amérique.

    Néanmoins les propriétaires noirs d’esclaves noirs continuèrent à prospérer aux États-Unis.

    En 1830 il y avait 3775 familles noires vivant au Sud ayant des esclaves noirs.
    Et avant la guerre de sécession en 1860 il y avait environ 3,000 esclaves appartenant aux ménages noirs dans la seule ville la Nouvelle-Orléans.

    Des faits qui nous donnent à méditer la vision d’Orwell : « Qui contrôle le passé contrôle le présent. Qui contrôle le présent contrôle le passé. » »

    Source : Henri Guillaumet ici

  • Marine Le Pen: "La principale préoccupation du gouvernement, c'est le Front national !"


    Marine Le Pen: "la principale préoccupation du... par BFMTV

  • Charles Pasqua propose le bagne pour les islamistes

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    09/03/2015-PARIS (NOVOpress)
    Charles Pasqua veut recréer les travaux forcés pour les islamistes. Vestige d’une droite sur laquelle il y aurait bien des critiques à faire, mais qui avait encore des accents de tradition et de bon sens, il a échappé à la “boboïsation” des esprits.

    Lors d’une entrevue filmée à l’émission “13h15 le dimanche”, l’ancien ministre de l’intérieur a réagi à l’actualité, notamment celle qui concerne le regroupement des musulmans les plus radicaux au sein des prisons françaises.

    Nous sommes face à deux évidences : ensemble, ils peuvent mieux agir (organiser leur fuite, commanditer des attentats, s’auto-alimenter dans leur fanatisme), mais aussi leur place sur le territoire représente un grave danger pour la population.

    Lorsque Laurent Delahousse lui demanda s’il fallait un Guantanamo à la française, Charles Pasqua a proposé une mesure dissuasive pour les djihadistes futurs qui auraient des velléités d’attentat sur le sol français et une sanction ferme pour ceux ayant déjà agi. Il s’agissait de remettre en place Cayenne. C’est à dire les envoyer sur une île loin de la métropole pour effectuer des travaux forcés.
    Loin de la pensée calamiteuse teintée de droits de l’homme excessifs que nous avons coutume d’entendre ces dernières décennies, cette initiative qui aurait semblé normale jadis apparaît aujourd’hui comme un artefact.

  • « Rentre chez toi, petite Salvini » : persécution antiraciste dans une école italienne

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    09/03/2015 – TRENTE (NOVOpress)
    C’est le mot d’ordre martelé par Kashetu Kyenge : mettre « tous ceux qui discriminent de quelque manière que ce soit » au ban de la société. Un prof d’anglais du lycée Russell de la petite ville de Cles, dans le Trentin-Haut-Adige, a décidé de suivre ces injonctions, en transformant ses cours en inquisition antiraciste.

    Vendredi matin, en cours d’anglais, il a posé à ses élèves la question piège : « si en vous promenant en ville vous rencontriez un étranger et un Italien en difficulté, qui aideriez-vous ? » Une élève de quatorze ans a donné la mauvaise réponse : « L’Italien ». Le prof l’a immédiatement insultée : « Petite Salvini, retourne d’où tu viens ». Puis il l’a soumise à « une sorte de procès devant la classe ».

    La jeune élève, « qui ne s’occupe pas de politique et ne sait même pas que Matteo Salvini est le secrétaire de la Ligue du Nord », est rentrée chez elle en larmes, complètement traumatisée. « Elle a été dénigrée publiquement, humilée devant ses camarades, à présent elle a l’impression d’être un monstre ».

    Selon Giulia Zanotelli, secrétaire de la section locale de la Lega, elle-même ancienne élève du lycée Cles, le prof d’anglais serait coutumier de ce genre de comportements.

    Matteo Salvini a commenté l’affaire sur sa page facebook  : « Mais ça vous paraît normal ??? Ce “professeur” devrait avoir honte ! Bons baisers à la jeune fille et à ses pauvres camarades de classe ».

     

  • Syrie: la vérité qu'on vous cache

    Ajoutée le 4 mars 2015

    Mère Agnès Mariam de la Croix, carmélite, est supérieure du monastère Saint-Jacques le Mutilé à Qara, près de Homs, en Syrie. Elle est née en Palestine, de nationalité Franco-Libanaise et vit en Syrie. Elle vient spécialement en France pour alerter l’opinion publique sur la désinformation dont nous souffrons de la part des médias du système, et raconter le calvaire que vit le peuple syrien, victime impuissante de l’acharnement des puissances occidentales

    Médias-Presse-Info

  • Syrie: la vérité qu'on vous cache

    Ajoutée le 4 mars 2015

    Mère Agnès Mariam de la Croix, carmélite, est supérieure du monastère Saint-Jacques le Mutilé à Qara, près de Homs, en Syrie. Elle est née en Palestine, de nationalité Franco-Libanaise et vit en Syrie. Elle vient spécialement en France pour alerter l’opinion publique sur la désinformation dont nous souffrons de la part des médias du système, et raconter le calvaire que vit le peuple syrien, victime impuissante de l’acharnement des puissances occidentales

  • Quand M. Le Clézio nous juge de haut

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    Monsieur Le Clézio l'affirme haut et fort : en cas de victoire un jour du FN en France, il rendra ses papiers français et ne gardera que les mauriciens. Nous voilà prévenus.

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    Monsieur Le Clézio l’affirme haut et fort : en cas de victoire un jour du FN en France, il rendra ses papiers français et ne gardera que les mauriciens. Nous voilà prévenus. Si nous votons mal, si un parti détesté de monsieur Le Clézio vient un jour au pouvoir, eh bien il partira, pour s’installer sans doute définitivement dans une belle villa, sur l’île Maurice, entre deux séjours dans de magnifiques hôtels, comme un vrai citoyen du monde qu’il est. C’est beau, c’est grand, c’est généreux et, puisque nous voilà devant si beau modèle, pourquoi ne pas l’imiter ?

    Nous aussi, après tout, nous pourrions affirmer haut et fort que si un jour l’islamisation de la France est totale, eh bien, nous aussi, nous rendrons nos papiers français, et puis voilà ! Nous garderons nos autres papiers, et puis nous partirons gaiement, avec bien entendu une grande mélancolie, nous installer sur les douces terres de nos riches ancêtres, pour nous y consoler du sort fait à la France.

    Mais voilà que, tout à coup, j’y pense… Pour nous ce ne sera pas possible, tout simplement ! Car nous, malheureusement, Monsieur Le Clézio, nous ne possédons qu’une seule sorte de papiers – les français -, qu’un seul pays – la France – et si l’évolution sur place nous semble désastreuse, nous n’avons que deux choix possibles : accepter en baissant la tête ou combattre.

    Pour nous, pas de sortie miracle, pas d’île Maurice, pas de villas au milieu d’un grand parc, pas d’hôtels trois étoiles dans toutes les capitales du monde. Nous entendons bien votre « vibrant plaidoyer pour l’ouverture des frontières » et vos reproches à l’Europe si « fermée à l’Afrique » (sic), Monsieur Le Clézio.

    Mais notre mondialisation n’est pas la même que la vôtre, Monsieur. Pour nous, il ne s’agit pas de voyages mais de délocalisations de nos industries. Il ne s’agit pas d’être reçus comme des princes en pays musulmans mais de voir notre milieu naturel bouleversé. Il ne s’agit pas de s’ouvrir au monde en rencontrant des admirateurs un peu partout, mais de préserver notre unique héritage pour nos propres descendants.

    Nous n’avons pas de porte de sortie si l’évolution de la France nous déplaît. En fait, Monsieur Le Clézio, pour tout vous dire, nous pourrions finir par devenir un peu méchants car même les plus gentils des chatons griffent et crachent lorsqu’ils sont acculés.