Marine Le Pen - 12 mars 2015 par hurraken75
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Marine Le Pen - 12 mars 2015 par hurraken75
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"Le collège unique, une réforme pour rien... par rtl-fr
NDF
Accueil >> Communautés vivantes
Quelle différence entre le droit coutumier des peuples menacés et le droit de la mondialisation fondé sur le droit occidental ? Dans le droit romain, l'homme est propriétaire de la terre. Chez les Amérindiens ou les Mélanésiens, la terre est propriétaire des hommes.
Dans toutes les communautés naturelles menacées aujourd'hui par la mondialisation, que ce soit en Amérique du Sud, chez les Papous ou à Wallis, la prétendue propriété de la terre est le cœur du problème. La propriété de la terre est-elle individuelle ou collective ? Doit-on jouir de la terre ensemble ou solitairement ? Le modèle de la mondialisation économique prône la ''maison'', le home sweet home, el dulce hogar, le silence du privé. De la propriété collective de la terre surgit l'indivision. Dans le conflit mapuche du Chili , par toutes les soustractions de terrain opérées durant le conflit entre droit coutumier et droit néocolonial, les familles ne disposent plus que de micro-terres, à peine quelques arpents sur lesquels elles tentent de subsister. Souvent, elles n'y parviennent pas ou tout juste. Un chef mapuche tenait de son grand-père une bonne quantité de terres : c'est à peine si aujourd'hui, il lui reste un hectare ! Et pourtant, de cet unique hectare qui lui reste, le reste de la communauté l'envie : les autres n'ont carrément plus rien !
Elles sont en effet devenues rares les familles mapuches qui, après trois générations conservent encore une bonne quantité de terres, une quantité disons significative qui irait au-delà de la bicoque et du petit jardin. Mais le problème foncier n'est pas qu'une question d'appauvrissement.
En fait, la plus grande partie des sociétés du monde tirent leur origine des terres agricoles. Or, les communautés orientées vers la terre se font de plus en plus rares et elles perdent en général leurs ''propriétés''. En fait, les vieilles communautés agricoles d'autrefois n'ont rien à voir avec les grandes fermes de la Beauce ou de la Haute Marne. On touche là à un autre usage de la terre, quelque chose de profondément différent du monde du commerce agricole ou de l'agro industrie. Ainsi, la France, terre paysanne par excellence a vu petit à petit disparaître ces petites fermettes et ces vieux métayers. Le monde agricole n'est plus, la paysannerie indienne si chère à Gandhi s'estompe et meurt peu à peu à coups de suicides de paysans surendettés. Partout où une civilisation meurt, c'est que la culture agricole s'éteint. De fait, il y a deux caractéristiques globales essentielles à la mondialisation : les nouvelles technologies et l'urbanisation. C'est la fin du monde paysan et des traditions paysannes, c'est le règne des mégapoles africaines.
Du coup, dans les derniers groupements paysans ou traditionnels, la terre cultivée depuis des siècles ne nourrit même plus son petit monde. Les réformes agraires des années 60-80 tentèrent dans de nombreuses régions du globe de solutionner le problème foncier mais elles échouèrent toutes dans l'imposition d'un modèle néo-marxiste de collectivisation forcée, un modèle coopératif importé en rupture avec la coutume.
Dans toutes les sociétés modernes, contrairement aux illusions communistes des anthropologues du début du vingtième siècle, la propriété collective des moyens de production - quelque chose de foncièrement différent en fait du communautarisme et du solidarisme traditionnel ou spontané - dynamita le foncier et fit de la terre nouvellement et arbitrairement distribuée les derniers lopins d'une survie programmée. De fait, les réformateurs agraires propulsèrent leurs réformes par la violence systémique, menant au nom de la lutte des classes et de l'égalité fictive une guérilla armée avec l'objectif inavoué mais bien réel de déplacer les populations récalcitrantes au son martial des chants révolutionnaires ou des discours simplificateurs. Ce qui n'était pas authentiquement révolutionnaire c'est-à-dire collectivisateur, mondialisateur, internationaliste devait quitter ses terres pour rejoindre les bidonvilles de la grande ville. Ainsi, les guérilleros travaillèrent aussi à leur manière pour la mondialisation heureuse en coupant les peuples de leurs traditions, en les déracinant de leurs terres ancestrales, en les urbanisant de force. Ce ne fut pas tout à fait dans les mouvements guérilleros la terre pour tous mais la lutte des sans terres pour que la terre puisse revenir à l'appareil organisateur de la subversion. La violence était encadrée et disciplinée vers l'expropriation forcée avec un évident sens stratégique du déplacement collectif et de la spoliation matérialiste.
Aujourd'hui, au Pérou, en Bolivie en Colombie comme au Chili, on assiste à une fusion culturelle étrange et singulière : la fusion de l'agricole et de l'urbain dans une pratique économique libérale et individualiste qui reconnaît sans illusion aucune le règne mercantile de la pure utilité et de la raison économique. Montagnes, vallées, rivières et torrents sont cadastrées tandis que les blocs de béton armé assaillent les littoraux avec le brouillard de Lima comme triste horizon.
Or, la terre est propriétaire des hommes. La terre sublime les hommes. La nature n'est pas matérialiste parce que créatrice, elle transcende le sol pour la contemplation. Elle le modèle et le transforme en de sublimes jardins. Le jardin est l'origine de la civilisation, le premier artefact mondialisé de l'inutile, de l'esthétique et du sacré.
Dès lors, le grand défi peut-être de l'humanité mondialisée est de rejardiner le monde.
La Fédération du BTP 13 et le parquet de Marseille viennent de signer le mois dernier un accord sans précédent pour sécuriser les chantiers dans les quartiers difficiles de la ville.
Un dispositif baptisé Groupement local de traitement de la délinquance (GLTD) rendu nécessaire par la situation, estime Johan Bencivenga. « Je ne veux plus qu’on prenne le risque d’aller mourir pour rénover une cage d’escalier », déplore le président du BTP 13.
Rackets, vols et menaces de mort sont récurrents, déclare-t-il, surtout sur les chantiers à proximité des lieux de trafic de drogue. « Les ouvriers se font contrôler car les dealers les prennent pour des policiers en civil. Les voitures sont fouillées. Un chef de chantier s’est même retrouvé avec une arme sur la tempe », détaille le responsable. « Nous sommes les derniers représentants de l’économie réelle à aller dans certains endroits. Personne ne porte plainte pour des raisons évidentes de sécurité », précise-t-il.
Face à ces risques, certains ouvriers ont jeté l’éponge. D’autres ont trouvé la parade, comme l’explique Philippe, le gérant d’une entreprise de BTP. « Trois semaines avant le début du chantier, je suis allé voir les dealers pour leur dire ce que nous allions faire. Il a fallu discuter mais au final, ça s’est bien passé », commente-t-il.
Mais si ce ne sont pas les menaces, ce sont les vols qui perturbent la tenue des chantiers. « On a enregistré 50 millions d’euros de perte l’an passé », révèle Johan Bencivenga. [...] « Parfois pour 25 000 euros, des racketteurs proposent leur service pour sécuriser le site. [...]
FDS
Mélenchon contre le CRIF – 5 mars 2015 par cdmanon
Assistants parlementaires FN soupçonnés de... par BFMTV
Marine le Pen et Ruth El Krief le 12 mars 2015
Martin Schulz (blog GM)
12 Mars 2015, 16h41 | MAJ : 12 Mars 2015, 23h23 - Le Parisien
Le président du Parlement européen Martin Schulz avait saisi lundi l'Office européen de lutte antifraude (Olaf) au sujet de 20 assistants parlementaires engagés par les élus du FN.
Ils sont soupçonnés de ne jamais travailler au Parlement de Strasbourg alors qu'ils sont payés sur le budget de l'institution communautaire. Jeudi, la présidente du Front national Marine Le Pen s'est interrogée sur l'assistant de Martin Schulz et un éventuel conflit d'intérêt.
«L'assistant accrédité de Martin Schulz, Herbert Hansen selon le site du Parlement européen, conjuguerait tourisme et socialisme depuis la région d'Aix-la-Chapelle (une région frontalière avec la Belgique et les Pays-Bas, Ndlr). A la différence de tous les assistants parlementaires accrédités ou locaux des élus FN/RBM, (il) ne s'occuperait pas d'affaires européennes, ni même de politique, mais de tourisme via Euregio Tours GmbH & Co. KG, agence de voyage liée au SPD», écrit le FN dans un communiqué.
«Est-ce que les députés européens vont être informés de la saisine par M. Schulz de l'Olaf concernant son seul assistant accrédité, Herbert Hansen, qui est fixé pourtant dans la région d'Aix-la-Chapelle, et qui est le responsable de l'agence de tourisme du SPD (Parti social-démocrate allemand, Ndlr), évidemment situation qui risque de créer ou en tout cas permet de suspecter un conflit d'intérêt ?», a aussi demandé Marine Le Pen, jeudi, en séance au Parlement européen à Strasbourg. Elle a estimé sur BFMTV que son parti n'a pas enfreint les règles européennes.
Sur Twitter, le Front national ironise...
« L'arroseur, arrosé... ou l'assistant accrédité "tour operator" de Martin #Schulz ! » | http://t.co/TLIdxJH1TN
— Front National (@FN_officiel) March 12, 2015
.@manuelvalls mobilise ses amis socialistes contre le @FN_officiel : le président du Parlement européen sort la grosse caisse. 1/2
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) 9 Mars 2015
ww.polemia.com/leuro-arme-de-destruction-massive-des-nations
11 mars 2015 par admin4 - Contre-info.com
Le 11 mars 1963 était fusillé au Fort d’Ivry le lieutenant-colonel Jean-Marie Bastien-Thiry, 36 ans et père de trois enfants.
Polytechnicien, il avait inventé deux missiles anti-chars.
Il avait organisé l’attentat manqué du Petit-Clamart, pour en finir avec De Gaulle qui avait trahi le peuple, livré l’Algérie française aux mains des égorgeurs et liquidé le camp nationaliste en France.
Fervent catholique, il justifiait cette action par la légitimité du tyrannicide (théorisée par Saint Thomas d’Aquin). Un très bon petit livre est d’ailleurs sorti récemment sur ce sujet.
Bastien-Thiry marcha vers le peloton chapelet à la main, laissant derrière lui une forte impression, et l’image d’un héros français et chrétien qui avait porté jusqu’au bout l’idéal du sacrifice.
Source T. de Chassey
Florian Philippot - "M. Valls est-il dans son... par KTOTV
12 Mars 2015, 16h56 | MAJ : 12 Mars 2015, 18h47
Un an après les élections municipales, la gestion des maires frontistes semble satisfaire les administrés des villes FN.
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Un peu plus de deux personnes sur trois (73%) résidant dans les communes dirigées par le Front national se disent «satisfait(e)s» de leur maire à en croire un sondage Ifop pour iTELE, Sud Radio et Paris Match publié jeudi. En revanche, 58% le jugent «sectaire».
Cette popularité est supérieure de 10 points à celle constatée en moyenne dans les autres villes françaises de 10 000 à 100 000 habitants, le FN n'ayant pas de maire de commune de plus de 100 000 habitants. Mais la comparaison, souligne l'Ifop, est à prendre avec précaution : les habitants des villes FN ont été interrogés par téléphone, alors que ceux des autres villes l'ont été par internet.
http://atelier.leparisien.fr/widgets/highcharts/ifop-fn/satisfaction-maire.html
58% estiment que leur maire est «sectaire»
Dans plusieurs domaines, l'action municipale est majoritairement saluée, notamment concernant la propreté et l'entretien de la ville (77%) et la sécurité (73%). Depuis l'élection municipale où le FN l'a emporté dans une douzaine de villes, 54% trouvent que la ville a changé «plutôt en bien» (42% pour la moyenne des villes de 20 à 100.000). Et 71% affirment que jusqu'ici, les engagements de la campagne ont été tenus (64% pour la moyenne des villes de la catégorie concernée).
Les qualificatifs les plus souvent attribués par les habitants à leur maire FN sont l'autorité (82%) et le dynamisme (81%). Le maire est également jugé «compétent» par 76% des sondés, et 60% souhaiteraient qu'il soit réélu à l'issue de son mandat en 2020, (contre 57% dans les autres villes). Néanmoins, plus de la moitié des habitants des villes FN (58%) estiment que leur maire est «sectaire», contre 38% dans les autres communes. Et 34% se disent «choqués» par certaines mesures prises par la municipalité.
«La gestion FN, ça marche» se félicite Briois
Cette étude «vient confirmer le phénomène d'installation et de banalisation du FN dans une part croissante de l'opinion» commente le directeur général adjoint de l'Ifop Frédéric Dabi. Il en veut aussi pour preuve que 42% des sondés ont «un sentiment d'indifférence» au fait de vivre dans une commune dirigée par un maire frontiste (37% chez les sympathisants de gauche, 56% à l'UMP).
Pour le maire frontiste d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) Steeve Briois, ce taux de satisfaction des habitants «est à la fois un désaveu pour le système, qui promettait soleil noir et pluie de sauterelles dans le ciel» des villes FN, «mais aussi un plébiscite» pour les élus du parti d'extrême droite. «La gestion FN, ça marche», fait-il valoir dans un communiqué, appelant les Français à «l'adopter» lors des élections départementales.
*Le sondage a été réalisé selon la méthode des quotas auprès de deux échantillons. L'un, interrogé par téléphone du 5 au 9 mars 2015 et constitué de 911 personnes, représentatif de la population des villes administrées par un maire issu ou soutenu par le Front National (Beaucaire, Béziers, Cogolin, Fréjus, Hayange, Hénin-Beaumont, Le Pontet, Mantes-la-Ville et Villers-Cotterêts). L'autre, interrogé en ligne du 6 au 10 mars, formé de 1005 personnes et représentatif de la population des communes de 10.000 à 100.000 habitants.
LE PARISIEN
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Nicolas Bay: «M. Schulz se comporte comme un... par rfi
Christiane Taubira : "Quand je pleure, je... par rtl-fr
Ecouter jusqu'au bout
C.M. | 11 Mars 2015, 12h00 | MAJ : 11 Mars 2015, 23h10
«Lamentable» pour Christiane Taubira, «inqualifiables» pour François Hollande, «désespérant» pour Manuel Valls. Les propos tenus sur Facebook par une élue municipale de Juvisy-sur-Orge (Essonne), qui invite la garde des Sceaux à repartir à Cayenne, «où il y avait le bagne», suscitent ce mercredi l'«indignation» et la «colère» de l'exécutif.
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Juvisy : la première adjointe au maire UMP invite Taubira à « repartir là-bas »
A Juvisy, la première adjointe au maire (UMP) Robin Reda s’est invitée dans un échange aux relents racistes publié samedi dernier sur le réseau social Facebook. Tandis qu’une habitante pointait que la ministre «partirait» quand «elle tombera de son arbre», l’élue Isabelle Guinot (récemment exclue du parti DLF pour avoir soutenu le candidat UMP aux prochaines départementales) a commenté : «C’est pitoyable d’avoir une telle ministre. Elle vient de Cayenne, là où il y avait le bagne, qu’elle reparte là-bas vu qu’elle a toujours détesté la France».
Hollande condamne, le PS veut des sanctions
Au plus haut sommet de l'Etat, ces nouvelles attaques sont vivement dénoncées ce mercredi. François Hollande les a jugées «inqualifiables», a rapporté le porte-parole du gouvernement, Stéphane Le Foll. «Le président de la République a aussi rappelé que dans le débat politique on n'est pas obligé de tomber dans l'irrespect, l'indignité.»
«Je veux dire, et nous l'avons partagée en Conseil des ministres, une nouvelle fois notre indignation, notre colère face aux propos racistes, antisémites, homophobes, sexistes qu'on voit se répandre avec une très grande facilité; notre indignation et notre colère à l'égard des propos vis-à-vis de Christiane Taubira», a pour sa part déclaré le Premier ministre. «On ne peut pas s'en prendre ainsi à une ministre de la République, ou tout simplement à une personne, au nom de son origine. Ce n'est ni la France, ni la République, ni nos valeurs» a-t-il conclu.
Le premier secrétaire du PS a quant à lui demandé «des sanctions» à l'égard de la première adjointe au maire UMP de Juvisy-sur-Orge «qui agresse une nouvelle fois» Christiane Taubira «parce qu'elle est noire». «Il n'est pas possible qu'un parti républicain l'accepte donc j'attends ce que va dire Nicolas Sarkozy sur ce sujet» a ajouté Jean-Christophe Cambadélis. «Il faut que l'UMP prenne conscience de ce qui est en train de se passer», a renchéri le ministre du Travail François Rebsamen dans l'émission «Questions d'Info» sur LCP.
«L'UMP est en train de retrouver ses vieux démons»
«C'est juste lamentable. Ca n'a pas d'importance. C'est surtout fréquent... L'important n'est pas ma personne» a réagi plus tôt ce matin la Garde des Sceaux sur RTL. Est-elle meurtrie par ces attaques récurrentes ? «Quand je pleure, je pleure dans ma chambre. Même à mes enfants, je n'ai pas à montrer que je souffre», a confié la ministre.
Cible fréquente de commentaires racistes, Christiane Taubira estime «qu'il y a des partis politiques qui ont des responsabilités particulières et je constate notamment que l'UMP est en train de retrouver ses vieux démons». «Le racisme est insupportable d'où qu'il vienne (...) Maintenant, il y a des paroles politiques identifiables, identifiées, avec des signatures, qui de plus en plus jouent avec le bord de la ligne» analyse-t-elle. Référence notamment aux déclarations du député-maire UMP de Tourcoing (Nord), Gérald Darmanin, qui a qualifié la ministre de tract ambulant pour le FN. «Après, qu'un citoyen ou un élu de moindre responsabilité franchisse la ligne, ça n'est pas étonnant» déplore-t-elle.
Dans l'après-midi, Stéphane Le Foll s'en est ensuite pris à la rédaction l'hebdomadaire de droite Valeurs Actuelles. Dans un tweet, le porte-parole du gouvernement, a qualifié de «lamentable» un questionnaire publié par le journal demandant aux internautes «Pourquoi Christiane Taubira pleure dans sa chambre ?».
Le Parisien