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Blog - Page 642

  • Aisne: une église vandalisée, profanée et pillée juste avant Noël

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    L’église Saint-Hilaire de Berry-au-Bac (Aisne) a reçu la “visite” de vandales particulièrement pervers. Ils n’étaient pas venus uniquement dans l’intention de voler mais aussi de saccager, de vandaliser, de souiller et de profaner. Car à leurs méfaits, ils ont ajouté la profanation sacrilège en s’en prenant aux tabernacles de l’église. Je comprends le « cri du cœur » du maire de la commune, mais tant que la loi ne sera pas impitoyable et dissuasive, de tels abominations continueront à s’opérer.

    Marie-Christine Hallier, maire de Berry-au-Bac, a l’impression que le sort s’acharne sur sa commune. Il y a d’abord eu le “Monument des chars” dont les plaques de bronze ont été pillées au mois de juillet ; puis de multiples cambriolages chez des particuliers ces derniers mois ; la salle des fêtes qui a été visitée il y a deux semaines ; et maintenant, l’église. « Cela commence à bien faire. Mes administrés ne sont plus tranquilles, la psychose s’installe dans notre village qui, jusqu’alors, était paisible. Ce sera quoi la prochaine fois ? » s’interroge l’élue après le saccage de l’édifice religieux, probablement survenu dans la nuit de samedi [20 décembre] à dimanche. Un ou plusieurs individus se sont introduits dans l’église en cassant la grille qui protégeait un vitrail, puis le vitrail lui-même. Une fois à l’intérieur, ils ont fait main basse sur trois statues, dont deux avaient une valeur historique certaine. « L’une, représentant une Vierge, date du XVIIIe siècle et l’autre, à l’effigie de sainte Marthe à la Tarasque, du début du XVIe siècle. Cette dernière avait déjà été volée il y a une vingtaine d’années puis a été retrouvée chez un antiquaire en Belgique. C’est pour cette raison qu’elle était fixée sur son socle grâce à des vis ainsi que deux cadenas. Ils ont été coupés », détaille Marie-Christine Hallier. D’autres statues ont été jetées au sol [et brisées]. Les trois tabernacles ont également été fouillés, mais ils ne contenaient aucun objet. Pour l’élue, cela ne fait aucun doute : « Ces personnes savaient exactement ce qu’elles cherchaient. Je pense qu’elles étaient missionnées par des collectionneurs, sinon je ne vois pas pourquoi elles auraient procédé de la sorte. » Non contents d’avoir dérobé ces statues dans un lieu de culte, les cambrioleurs se sont emparés d’un extincteur et l’ont entièrement vidé dans l’édifice, dispersant jusque dans les moindres recoins une fine couche de poussière blanche. Ils sont ensuite sortis par la porte principale, qu’ils ont au préalable cassée. Le maire a déposé plainte pour le cambriolage et le saccage de l’église, espérant que ce sera la dernière fois.« Arrêtez de vous en prendre au patrimoine de notre village », lance-t-elle, comme un cri du cœur.

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    Source : L’Union (24 décembre)

    L'OBSERVATOIRE DE LA CHRISTIANOPHOBIE

    Imaginons qu'il s'agisse d'une mosquée ou d'une synagogue: le premier ministre se serait déplacé et les médias ne parleraient que de cet acte ignoble de racisme ou d'antisémitisme!

  • Le gouvernement publie un kit d'arguments pro-Hollande sur son site Internet, pour les repas de famille

    http://www.fdesouche.com/547703-pret-penser-les-repas-famille-site-du-gouvernement

    +VIDEOS, INFOGRAPHIE

    On est partagé entre le rire et l'indignation!

  • Autriche: un Crucifix scié par un musulman

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    Le 24 12 2014

     
     
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    Cet acte de vandalisme antichrétien s’est déroulé à Grossenzersdorf en Basse Autriche. Un musulman égyptien furieux de voir sur un terre-plein municipal en face de la maison qu’il avait achetée, un Crucifix en bois peint de près de deux mètres et fiché , est allé le scier le 18 novembre dernier : « Je ne veux pas de ça, on doit l’enlever » avait-t-il averti ses voisins. Dans sa rage, il a, par ailleurs, abîmé l’image. Le Crucifix a été réérigé en un autre endroit, mais le maire a porté plainte pour dégâts matériels, dénigrement de la religion et entend que le scieur supporte les frais de la réérection…

    Observatoire de la christianophobie

     

  • JOYEUX NOËL 2014 A TOUS LES AMIS DU BLOG !

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    Philippe de Champaigne (1602-1674)

    Musée des Beaux-Arts de Lille

  • Celtic Chrismas 3 - Circle of Joy

    (Merci à Dirk)

  • Allemagne : « Les chrétiens doivent chanter des chants musulmans à l’office de Noël »

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    23/12/2014 – BERLIN (NOVOpress)
    « Des hommes politiques exigent : les chrétiens doivent chanter des chants musulmans à l’office de Noël »
    . C’était le titre initial de Bild, le plus grand quotidien allemand, dans l’édition papier. Devant la polémique, il a été changé en un moins agressif : « Proposition de réconciliation : des chants musulmans dans l’office de Noël ».

    Omid Nouripour, « expert en droits de l’homme du Parti des Verts » (et titulaire de la nationalité allemande depuis 2002), explique ainsi l’idée à Bild : « Ce serait un signe merveilleux de la cohabitation pacifique des religions, si un chant islamique était chanté à l’église » lors des différents offices chrétiens de Noël (pour les catholiques, à la messe de minuit). Le député social-démocrate Thomas Funk est séduit : « Nous avons besoin de compréhension, de respect et de tolérance ».

    Aiman Mazyek, chef du conseil central des musulmans d’Allemagne, a même son idée sur le chant qui s’imposerait : « Tala’a al-badru alayna du chanteur Yusuf Islam » (nouveau nom de Cat Stevens depuis sa conversion à l’Islam).

    La proposition a été immédiatement relayée avec enthousiasme par tous les gros médias. Pour le Spiegel, ce serait une réponse « au mouvement islamophobe Pegida » : « des hommes politiques incitent à chanter un chant musulman à l’office de Noël en signe de solidarité avec les musulmans ».

    Certains, plus lucides sur l’état de l’opinion publique, ont cependant compris que ce genre de provocations risquaient d’être contre-productives. Pour Christian Lindner, président du Parti libéral-démocrate (FDP), « ceux qui exigent des chants musulmans à l’office de Noël jettent les gens dans les bras des populistes de Pegida. Le respect et la tolérance ne doivent pas être confondus avec l’effacement des différences et la perte de l’identité ».

    De fait, les commentaires sur le site de Bild et les réactions sur les réseaux sociaux ont été très majoritairement hostiles. Par exemple : « Je préfère aller chanter des chants allemands avec Pegida ». Ou bien : « Nous sommes encore en Allemagne ou pas ? Nous devrions protéger notre culture au lieu de nous adapter aux autres dans notre propre pays ». Et encore : « Comme le disait un certain Sarrazin : “L’Allemagne disparaît ».

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    Sondage effectué par le même plus grand quotidien allemand, Bild. Copie d’écran effectuée mardi soir : 96% d’opposants (Nein) sur plus de 38.000 votants, au fait de chanter des chants musulmans pendant l’office de Noël. Le sondage était encore en cours mardi soir.

     

    Omid Nouripour a alors expliqué qu’on l’avait mal compris. Il s’est plaint que les journaux « aient donné l’impression que les hommes politiques cités réclamaient exclusivement la reprise de l’héritage culturel musulman [sic] par les églises chrétiennes », et a soutenu qu’il voulait parler d’un « échange réciproque, par exemple : des chants musulmans dans l’église, des chants chrétiens à la mosquée ».

    Les journaux allemands (Bild, le Spiegel et aussi la Frankfurter Allgemeine Zeitung ont immédiatement corrigé leurs articles pour introduire cette supposée réciprocité, dont il n’était nullement question au départ. Sera-ce suffisant pour désamorcer la polémique ?

  • Rappel sur les fondamentaux historiques du judaïsme et du christianisme

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Rappel-sur-les-fondamentaux-du-judaisme-et-du-christianisme-29795.html

    A lire absolument

  • Laïcité républicaine : crèches non, chandeliers juifs géants oui !

     

    23 décembre 2014 par admin4 - Contre-Info.com

    crif2Alors que les laïcistes franc-maçons s’étranglent devant le spectacle de quelques crèches trop visibles ça et là en cette période de Noël, on entend moins parler, du côté des médias et des politicards, des chandeliers juifs géants allumés sur les espaces publics à l’occasion de la fête juive de « Hanoucca ».

    Dans de nombreuses villes de France, des responsables juifs et des politiciens flagorneurs ont allumé des bougies, dans des lieux publics symboliques.

    A Strasbourg

    A Paris (photo ci-dessus), le président du CRIF Roger Cukierman « a participé, dimanche 21 décembre 2014 au Champ de Mars, à un allumage des bougies de Hanuka organisé par le mouvement Loubavitch, en présence de la Maire de Paris, Anne Hidalgo, de Jean Daubigny, Préfet de Région, du Grand Rabbin de France Haim Korsia, du Président du Consistoire Joel Mergui et du président du FSJU Ariel Goldmann. »

    La tradition juive d’allumer des bougies remonte à … 1977 ! Créée de toute pièce à New-York, elle s’est ensuite étendue progressivement à l’Amérique puis à l’Europe.

    Comment voulez-vous que nos crèches millénaires rivalisent ?!


    PS : prudent, le maire de Béziers Robert Ménard essaie de se couvrir (après avoir été pris à partie pour l’installation publique d’une crèche) et d’apaiser l’hostilité médiatique en se collant à cette « tradition ».

     

     

  • PADAMALGAM !

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    Contre-info.com

    (augmenter le zoom pour lire les bulles)

  • Hollande a invité à dîner, à l’Elysée, le rappeur… Joey Starr !

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    23h18

    C’est ce que l’on appelle une rencontre improbable.

    Hier soir, François Hollande a invité Joey Starr à dîner à l’Elysée…

    L’information peut surprendre, mais ce lundi, Joey Starr s’est bien rendu au Château pour dîner avec François Hollande, en présence d’autres personnalités du monde de la culture, rapporte Le Lab, dont Dominique Besnehard, Lola Doillon, Cédric Klapisch et Pierre Lescure.

    A cette occasion, une conversation «sympathique, directe et chaleureuse» a donc eu lieu entre le chef de l’État et Joey Starr qui «se connaissaient peu» avant cette rencontre, assure-t-on.

    La photo postée par Joey Star sur son compte Twitter

    Source

    Merci à lotus

    FDS

  • Le billet d’humeur de Jacques Aboucaya

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    Alexandre Vialatte (1901-1971)

     

     La Fleur du mal

     

    Madame Fleur Pellerin doit exulter : Julliard ressert Vialatte en tranches fines.


    Lire, paraît-il, fait perdre du temps. Surtout quand on est ministre de la Culture. C’est Madame Pellerin qui l’affirme. Elle sait de quoi elle parle. Et puis elle a mieux à faire. Dont acte. Voilà pourquoi nous lui suggérons, avec tout le respect dû à son éminente fonction, de se pencher, de préférence, sur les condensés. Les résumés. Les digests, en un mot. Tout Stendhal en vingt-cinq lignes. La Recherche de Proust en une page (il y est justement question de temps perdu). Elle n’a rien lu de Modiano, à l’heure où il reçoit le Nobel ? La belle affaire ! Un feuillet d’antisèche et le tour est joué. Tel est l’avenir. D’astucieux éditeurs l’ont compris. Ainsi Julliard. Il exploite Vialatte jusqu’à plus soif. Le recycle en abécédaire. Le découpe en tranches – histoire, sans doute de le rendre plus digeste. Il joint l’imposture au sacrilège. D’abord parce qu’il est parfaitement abusif de signer du nom de Vialatte des fragments ainsi arbitrairement raboutés. Comme s’il s’agissait d’un inédit. Les lecteurs naïfs ou pressés s’y laisseront prendre. Ensuite parce qu’ainsi passée à la moulinette, expurgée, dégraissée, désossée, la prose vialatienne perd une bonne partie de sa saveur. Tout son  charme réside, précisément, dans la digression. Dans l’art de passer du coq à l’âne. D’enchaîner les sujets les plus inattendus. De coudre ensemble le comique avec le sérieux, la philosophie avec la gaudriole. Fractionner les Chroniques, prétendre en tirer des morceaux choisis, en extraire un florilège, si j’ose ce dérivé ministériel, relève de l’entreprise de démolition. Un tel manque de vergogne justifierait une colère digne du Père Duchesne. Mieux vaut y voir un signe des temps. Des temps où, décidément, le ridicule ne tue pas plus que la roublardise.

     

    J.A.

     

     Un abécédaire, d’Alexandre Vialatte. Choix des textes et illustrations par Alain Allemand. Julliard, 268 p., 19 €.

     

    Biographie d'Alexandre Vialatte: http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Vialatte