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Blog - Page 770

  • Conférence de presse de Marine Le Pen à Bruxelles sur les alliances du FN au Parlement européen

     

                            

    Lors d’une conférence de presse à Bruxelles, la présidente du Front National et députée française au Parlement européen, Marine Le Pen s’exprime sur son projet de constituer prochainement un groupe.

    D’ici à juillet, Marine Le Pen espère annoncer la naissance d’un groupe d’eurodéputés qui défendent une autre Europe afin de lutter contre le système UMPS et ses alliés qui prônent toujours plus d’austérité envers les peuples au sein de l’Union européenne et précisément dans les pays faisant partie de la zone de « dictature euro-allemande ».

    NPI

  • Marion Maréchal-Le Pen sur le projet d'accord de libre-échange entre l'UE et les Etats-Unis

    Assemblée Nationale : Marion Maréchal – Le Pen, Député du Vaucluse, s’exprime sur le Projet d’accord de libre-échange entre l’Union Européenne et les États-Unis (jeudi 22 mai).

  • Liste des participants à la conférence Bilderberg 2014

    28 mai 2014

    bilderberg

    Le groupe de Bilderberg est l’un des plus puissants cénacles mondialistes.

    « Afin de peut-être contrecarrer l’aspect secret de la conférence, qui est la critique habituelle d’Alex Jones et d’autres qui se rassemblent autour du lieu de rencontre du groupe de Bilderberg et qui tentent d’identifier les invités de marque qui arrivent en limousine, l’organisation a publié la liste des invités pour sa réunion annuelle.
    Elle se tiendra à Copenhague, Danemark, du 29 mai au 1 Juin 2014.
    Bien sûr, sans aucun doute, il y a ceux qui prétendent qu’il y aura des participants à la réunion qui n’apparaissent pas sur cette liste, ce qui veut dire que les activistes chercheront quand même à savoir qui sont les personnalités influentes dans les limousines.

    Ce qui aide encore plus, c’est l’agenda publié par le groupe lui-même:

    - Est-ce que la reprise économique est durable?
    - Qui va payer pour la démographie?
    - La vie privée existe-t-elle?
    - Qu’y a t-il de spécial dans les relations de partage de renseignements?
    - Gros changements dans la technologie et les métiers
    - Le futur de la démocratie et le piège de la classe moyenne
    - Perspectives politiques et économiques de la Chine
    - La nouvelle architecture du Moyen-Orient
    - Ukraine
    - La suite pour l’Europe?
    - Événements du moment

    Bilderberg Meetings
    Copenhague, Danemark 29 Mai – 1er Juin 2014

    Liste actuelle des participants:
    Président:
    FRA Castries, Henri de, Chairman and CEO, AXA Group

    DEU Achleitner, Paul M. Chairman of the Supervisory Board, Deutsche Bank AG
    DEU Ackermann, Josef Former CEO, Deutsche Bank AG

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    Contre-info.com

  • UMP : le Jour des longs couteaux

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    Le 28 mai 2014
    Qu’est-ce donc que ce parti, qu’est-ce que ces hommes dont les noms apparaissent plus souvent dans la chronique judiciaire que dans la rubrique politique ?
             

    Faut-il y voir, comme on n’aurait pas manqué de le faire au Moyen Âge, la main et le jugement de Dieu ou, plus banalement, l’illustration, somme toute morale, du vieil adage, si souvent démenti, selon lequel un bien mal acquis ne profite jamais ? Quoi qu’il en soit, la démission – ou plutôt l’éviction – de Jean-François Copé de ce fauteuil présidentiel qu’il avait décroché à la force des dents au terme d’une compétition déloyale et faussée ne saurait tirer des larmes qu’à des crocodiles et à Mme Nadine Morano. Voilà au moins une chose, dira le bon sens populaire, que l’aigle déplumé de Meaux n’aura pas volée, et François Fillon peut savourer une légitime vengeance qui a eu tout le temps de refroidir depuis les heures brûlantes de novembre 2012.

    Hier encore tout-puissant exécuteur des hautes et des basses œuvres de l’UMP, directeur de cabinet de Copé et tout juste élu au Parlement européen, mais soudain précipité du Capitole bruxellois au bas de la Roche tarpéienne, la tête basse, des sanglots dans la voix et les larmes aux yeux, Jérôme le pathétique a craché le morceau, et quel morceau ! Plus de dix millions d’euros de fausses factures ont donc financé les débordements financiers d’un Nicolas Sarkozy prêt à tout, et d’abord à violer la loi pour gagner la partie. Quelque soin qu’ait mis ce fidèle serviteur d’une mauvaise cause à tout prendre sur lui, qui peut croire que le président-candidat et celui qui, secrétaire général de l’UMP, contrôlait déjà l’appareil du parti, aient pu ignorer les manœuvres frauduleuses auxquelles recourait l’un de leurs plus proches collaborateurs, qui peut croire qu’ils n’aient pas connu, autorisé et couvert des malversations qui étaient obligatoirement soumises à la signature de quatre hauts responsables du mouvement ? L’UMP, si opulente qu’elle soit, le serait-elle au point de n’être pas à quelques millions près ?

    Bien que M. Copé ait eu la lâcheté de livrer en pâture deux de ses lieutenants, dont M. Lavrilleux, dans l’espoir de se tirer d’un mauvais pas, le bureau politique de l’UMP, en tout cas, n’a pas retenu en sa faveur le principe de la présomption d’innocence. Tout le monde n’est pas Juppé, et l’on peut douter que le futur ex-président de l’UMP ( à partir du 15 juin) ait la force d’âme de l’ancien Premier ministre et accepte de se sacrifier sans mot dire pour couvrir le très probable donneur d’ordre que tout désigne et dont le nom n’est pas seulement sur toutes les lèvres mais s’étale désormais à la une de tous les journaux.

    S’il s’avérait, en dépit du fait que les protagonistes de cette affaire ont vraisemblablement laissé un minimum de traces et ont eu tout le temps de faire le ménage, que Nicolas Sarkozy a effectivement et frauduleusement bénéficié en 2012 des sommes considérables qui ont transité par une société de communication plus que complaisante, complice, on ne pourrait que saluer l’extraordinaire culot d’un homme qui a laissé l’année suivante l’UMP faire appel à la générosité de ses militants, pauvres jobards, pour combler le trou qu’il avait lui-même causé.

    Venant après trop d’affaires, réglées ou encore pendantes, mal ou pas du tout éclaircies, auxquelles son nom a été mêlé, ce nouveau scandale est sans doute le scandale de trop. Non seulement parce qu’il constitue une nouvelle atteinte à ce qu’il reste de son honorabilité, mais surtout parce que le calendrier judiciaire risque d’interférer avec le calendrier politique et qu’on ne voit pas comment
    M. Sarkozy pourrait se porter à nouveau candidat sans avoir été définitivement blanchi ou confondu.

    Qu’est-ce donc que ce parti, qu’est-ce que ces hommes dont les noms apparaissent plus souvent dans la chronique judiciaire que dans la rubrique politique et dont les agissements salissent la démocratie, éclaboussent la République et démoralisent les citoyens ? Il y a décidément quelque chose de pourri, et ce n’est pas au royaume de Danemark.

    Dominique JAMET

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • FLN et Việt Cộng sur les Champs-Élysées le 14 juillet : merci François !

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    Le 28 mai 2014
    Vous voyez les États-Unis inviter Al-Qaïda à défiler dans les rues de New York ou Washington en 2061 ?
             

    Dans de récents courriers aux associations d’anciens combattants, le secrétaire d’État à la Défense et aux Anciens combattants (SEDAC), Kader Arif, confirme que François Hollande a invité l’armée nationale populaire algérienne (ANPA) ainsi que l’armée de la république socialiste du Vietnam à défiler sur les Champs-Élysées à l’occasion du 14 Juillet, pour commémorer la participation de ces pays (et une soixantaine d’autres) au premier conflit mondial.

    Si l’on peut voir dans cette démarche de nombreux symboles tout à fait louables (volonté d’apaisement, souhait de réconciliation, paix entre les peuples…), n’oublions pas qu’en 1914-1918, les soldats « algériens » étaient français au même titre que les Sénégalais, les Soudanais, les Tonkinois, les Malgaches, etc. Que le drapeau tricolore leur a servi de linceul.

    Car l’inconvénient est que, dans tous ses courriers, le SEDAC semble limiter la qualité de soldats « algériens » aux seuls autochtones musulmans, niant au passage la francité des combattants de 14-18 (et de 39-45) et niant aussi leurs origines multiculturelles : kabyles, juifs, chrétiens, etc. Pourquoi donc faire une différence et tenter de réécrire l’histoire ?

    Pis. L’ANPA, qui n’est autre que la reformulation de l’armée de libération nationale du FLN, a renié la francité de ces morts pour la France en allant jusqu’à effacer leurs noms des monuments aux morts après l’indépendance de 1962 ! Pour eux, ces soldats ayant combattu sous l’uniforme français étaient des traîtres !

    Ajoutons à cela que jamais le FLN et son armée de libération n’ont respecté les lois et règles de la guerre, multipliant les actes de cruauté et de barbarie.

    Et comme par un malheureux hasard du calendrier, alors que la France vient de se souvenir de Điện Biên Phủ, le 1er novembre 2014 coïncidera avec le 60e anniversaire de la Toussaint sanglante.

    Vous voyez les États-Unis inviter Al-Qaïda à défiler dans les rues de New York ou Washington en 2061 ? Et pendant qu’on y est, pourquoi ne pas demander à l’Amicale des anciens de la division « Das Reich » de venir se joindre au cortège ?

    Henri SAINT-AMAND

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Heureux comme un juif en Russie

    Ecrit le 27 mai 2014 à 16:59 par Patrick Canonges dans Poing de vue

      

    En 2013, le Congrès juif russe n’a recensé que 10 attaques et actes de vandalisme anti-juifs en Russie. Mikhail Chlenov, Secrétaire général du Congrès juif euro-asiatique, explique que les tendances pro-juives de Poutine font partie des raisons pour lesquelles les incidents antisémites sont relativement rares en Russie. « Les juifs ont vécu en Russie du temps du tsar, de Staline, dans toutes les situations; celle d’aujourd’hui est la meilleure des 200 à 300 dernières années », déclare Yuri Kanner, chef du Congrès juif russe. Il est vrai qu’en 2010, selon un sondage, 2 ou 3% seulement des citoyens de Russie disaient « éprouver de la haine pour les juifs ».

    Des communautés juives organisées existent dans plus de deux cents villes. Moscou compte dix écoles juives, cinq synagogues, plusieurs établissements d’enseignement supérieur, cinq fondations caritatives et pas moins de huit restaurants cachers. À lui seul, le Centre culturel juif de la ville compte 10 000 membres. L’ORT (Organisation Reconstruction Travail), œuvre éducative juive qui compte 4 000 élèves à Moscou, et l’ORT à Saint-Pétersbourg ont reçu le Prix du Président – la plus haute distinction en Russie pour l’innovation et l’excellence dans l’enseignement.

    Poutine fait remonter ses liens avec le judaïsme à sa prime jeunesse à Saint-Pétersbourg, quand il est devenu l’ami d’une famille juive qui vivait dans son immeuble. Dans son autobiographie de 2000, Poutine écrit que cette famille, dont il ne donne pas le nom, l’aimait et qu’il avait pris l’habitude de rechercher sa compagnie. « C’étaient des juifs observants qui ne travaillaient pas le samedi et où l’homme étudiait la Bible et le Talmud tout au long de la journée », écrit Poutine. « Une fois, je lui ai demandé ce qu’il murmurait. Il m’a expliqué à quel point ce livre était intéressant et cela m’a immédiatement captivé ».

    Une autre figure juive influente pour Poutine a été son entraîneur de lutte, Anatoly Rakhlin, qui a déclenché l’intérêt pour le sport chez le jeune Poutine et l’a entraîné vers les rues brutales de Léningrad, où Poutine se lançait dans des combats alors que ses parents travaillaient. Aux funérailles de Rakhlin, on rapporte que Poutine était submergé par l’émotion, et qu’il a laissé tomber toutes ses précautions sécuritaires pour s’éloigner et partir pour une courte promenade solitaire.

    Le président russe Vladimir Poutine a acheté un petit appartement en Israël pour son ancien professeur d’allemand, Mina Yuditskaya Berliner, âgée de 93 ans. Celle-ci a émigré en Israël il y a 40 ans. Lorsque Poutine a visité Israël en tant que président en 2005, elle a demandé à l’ambassade russe de Tel Aviv à être invitée à la réception en l’honneur du dirigeant russe. Peu après la visite de Poutine, Mina Berliner commença à recevoir des cadeaux : une montre et une biographie dédicacée de Poutine. Un peu plus tard, un fonctionnaire russe l’a emmenée pour visiter des appartements dans le centre de Tel Aviv. Quelques mois, elle a aménagé dans son nouvel appartement.

    En bons juifs, ceux de Russie sont divisés en deux camps qui se détestent cordialement. D’un côté, la « Fédération des communautés juives de Russie » (FEOR) qui regroupe les nombreuses communautés hassidiques loubavichs, dirigée par le Grand rabbin Berl Lazar. En face, toutes les autres, unies dans le « Congrès juif de Russie » (REK), créé par l’oligarque Gousinsky en 1996 et présidé par le grand rabbin Adolf Chaevitch. Une division cultuelle et culturelle qui s’est encore aggravée avec l’intervention du pouvoir politique. Jusqu’en 2000, en effet, c’était Chaevitch qui, grâce au soutien de quelques oligarques, représentait les juifs au « Conseil présidentiel des affaires religieuses ». Mais, quelques mois après l’arrivée de Poutine au pouvoir, le nouveau Président, qui entend briser le pouvoir des oligarques, manœuvre en deux temps. D’abord, il décerne au rabbin Berl Lazar, le titre, créé spécialement pour lui, de « Rabbin principal de Russie ». Lazar devient ainsi le supérieur hierarchique de Chaevitch et il est donc logique qu’il le remplace au Conseil présidentiel. Depuis, Lazar ne tarit pas d’éloges sur le nouveau président : « La notion d’antisémitisme lui est tout à fait étrangère ». En 2000, Poutine ouvre les portes et les salles du Kremlin à la fête annuelle des Loubavitchs. Cela ne s’était jamais vu. La même année, Poutine accorde dix millions de dollars de subventions à la Fédération animée par Lazar, pour aider à la création d’un centre de formation loubavitch. La Fédération compte à ce jour 4 000 prosélytes, dont 150 seulement animent le secteur russe, mais 3 850 sont répartis dans 73 pays étrangers. Poutine ne cache pas ses relations personnelles avec Berel Lazar. En septembre 2005, il s’est laissé photographier lui serrant la main, lors d’un congrès annuel des Loubavitchs. Une sorte d’adoubement pour ce fils d’émigrés juifs de Milan. Mais cette réussite s’assortit probablement de services rendus en échange aux services secrets grâce aux Loubavitchs implantés dans soixante-treize pays.

    Peu de temps après qu’il ait pris ses fonctions, le gouvernement Poutine s’oppose à plusieurs hommes d’affaires juifs, dont Vladimir Gousinsky, Boris Berezovsky et Mikhaïl Khodorkovsky. En 2000, Gouzinsky est relâché par le KGB au bout de quatre jours, à condition de s’exiler, et de renoncer à ses journaux et à sa radio. Boris Berezovsky aida à propulser la carrière gouvernementale de Vladimir Poutine, ancien directeur du FSB (services de renseignements) méconnu du public, jusqu’au poste de Premier ministre en août 1999. Mais il doit s’exiler lui aussi. Mikhaïl Khodorkovski, après avoir été la première fortune russe, est emprisonné en 2004 pour « vol par escroquerie à grande échelle » et « évasion fiscale ». Après dix ans d’incarcération, il est gracié par le président Vladimir Poutine et libéré le 20 décembre 2013.

    En revanche d’autres « oligarques » juifs sont au mieux avec le nouveau tsar. Roman Abramovitch, roi mondial du vanadium, minerai hautement stratégique, vit à Londres dix mois sur douze et finance à bout de bras le budget de la ville d’Omsk, en Sibérie. C’est un fidèle de Vladimir Poutine, de même que l’oligarque George Rohr, un des plus importants investisseurs en Russie, qui s’active depuis sa résidence américaine. D’autres hommes d’affaires juifs demeurent plus « neutres », ainsi Mikhaïl Friedman, propriétaire d’Alfa Group, Andreï Rappoport, président de l’école de commerce Skolkovo, Boris Belotserkovski, président du groupe Unicum, et Boris Mints, copropriétaire de la société financière Otkrytie.

    En décembre 2011, alors que des manifestations contre les fraudes électorales ont lieu à Moscou, Poutine, lors d’une réunion avec des personnalités religieuses du pays, demande au rabbin Lazar, « Dites-moi, qu’est-ce qu’un juif est censé faire le jour du Sabbat ? » Le rabbin répond : « Observer le Sabbat. » « Alors, que sont toutes ces manifestations ? » demande le Président russe qui sait que de jeunes juifs y participent. « J’ai dit à Poutine qu’il n’est pas de mon ressort d’intervenir, que les choix de participation à ces manifestations sont personnels. Nous, nous sommes pour la stabilité. Mais je ne vais pas dire aux juifs la façon de voter », a déclaré Lazar. Le rabbin rejette l’idée, largement rapportée, que la réunion avec les chefs religieux était une manifestation de soutien à Poutine. « Nous l’avons remercié pour ce qu’il a fait pour notre communauté » explique Lazar. « Il lutte contre l’antisémitisme. »

    Lazar ne pense pas que Poutine a une relation spéciale avec les juifs, mais « il reconnaît qu’ils sont une sorte de force. Pas une force politique ou économique, comme en Amérique. Pour Poutine, les juifs ont une force qui s’appelle l’intelligence. » « La relation avec Israël est importante pour Poutine, » ajoute le rabbin. « Il ne va pas contredire ses intérêts pour Israël, mais maintenir de bonnes relations avec Jérusalem est important pour sa communication. »

    En juin 2012, invité en Israël pour une visite de deux jours à la tête d’une délégation de 300 personnes, le président russe s’entretient longuement avec Benyamin Nétanyahou, notamment sur le problème iranien, et souhaite que « le sujet soit résolu pacifiquement pour le bien de toutes les parties ». La Russie a d’ailleurs gelé un contrat de livraison de son système de défense antiaérienne S-300 à Téhéran, se conformant ainsi aux sanctions internationales.

    Consacrée officiellement à l’inauguration dans la station balnéaire de Netanya d’un monument à la mémoire des soldats de l’Armée rouge tombés contre l’Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale, et à celle d’un centre culturel russe à Bethléem, la visite de Poutine est surtout destinée à marquer le grand retour de la Russie sur la scène diplomatique au Moyen-Orient.

    Dans le « quartier russe » de Jérusalem, les drapeaux russes flottent de nouveau sur le palais Sergueï. Cet ancien hospice pour la noblesse russe, construit au XIXe siècle par le grand-duc Sergueï, frère du tsar, est sur le point d’être restitué à la Russie. Décidée en 2008 par le gouvernement Olmert, cette restitution est vue comme un geste de bonne volonté d’Israël envers le président Poutine.

    Poutine, qui avait déjà signé un programme d’exemption de visas avec Israël en 2008, a déclaré au cours de sa visite en Israël qu’il « ne laisserait pas des millions de Russes vivre sous la menace », en faisant référence avec empathie aux périls régionaux auxquels sont confrontés Israël et sa population immigrante russophone.

    En juin 2013, le Président russe inaugure la salle du nouveau Musée juif de Moscou, où est transférée une collection de livres sacrés réclamée par les États-Unis, estimant que la controverse était close. M. Poutine avait apporté en février son soutien au transfert de la collection dans ce musée à Moscou, la Russie refusant depuis des années de la remettre au mouvement loubavitch basé à New York, qui la réclame. Une partie de la collection avait été nationalisée à l’époque soviétique et placée dans la Bibliothèque d’État russe. « J’ai pensé à quelque chose tout à l’heure : la décision de nationaliser cette bibliothèque a été faite par le premier gouvernement soviétique, dont la composition était à 80-85 % juive » a fait remarquer Poutine.

    Effectivement, le Bureau politique bolchévik qui organisa le coup d’Etat du 7 novembre 1917 comprenait 7 membres dont 4 juifs (57%) et le Conseil des commissaires du peuple qui gouverna dès lors le pays était composé de 22 dirigeants dont 17 juifs (77%).
    Boruch Gorin, rabbin loubavitch et Président du Musée juif et du Centre de la Tolérance de Moscou, loue Poutine pour ses financements d’État au profit de son institution. Le président russe a aussi offert un mois de salaire au personnel du Musée. « Poutine a facilité l’ouverture de synagogues et de centres communautaires juifs à travers toute la Russie, à la demande de la communauté juive. Cela a eu un effet durable et profond sur la vie juive, particulièrement à l’extérieur de Moscou », affirme Gorin. « Il a institué des rencontres annuelles avec les dirigeants de la communauté juive et assiste à des évènements communautaires. »

    En mars 2014, Berel Lazar est invité à la cérémonie d’ouverture des jeux de Sotchi par le bureau du Président Vladimir Poutine. Lazar avait initialement décliné l’invitation, car il lui était interdit de porter des pièces d’identité durant le Sabbat. Aussi Poutine ordonne-t-il à son équipe de ménager une entrée alternative et libre de toute restriction sécuritaire, juste pour le rabbin.

    En mai 2014, Vladimir Poutine promulgue une loi punissant de cinq ans de prison et de 500 000 roubles (14 000 dollars) la négation de la Shoah. La loi, votée par le Parlement russe, vise à sanctionner la réhabilitation du nazisme, la négation des faits énoncés dans le jugement du Tribunal militaire international de Nuremberg et la propagation d’informations notoirement fausses sur les activités de l’URSS pendant la Seconde Guerre mondiale.

    NOUVELLES DE FRANCE

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  • Jean-Marie Le Pen sur BFM TV

  • Suède : nouvelles émeutes dans les banlieues ?

      

     

    27/05/2014 – STOCKHOLM (NOVOpress) - Aux premières heures du jour, lundi dernier, la police a fait face à des violences dans le secteur de Husby (ndlr : une banlieue de Stockholm essentiellement peuplée d’immigrés africains et turcs). Une patrouille qui voulait contrôler un conducteur ivre a été confrontée à plusieurs dizaines de jeunes qui ont lancé des pierres d’un pont. La police a dû tirer des coups de semonce pour se dégager.

    Plusieurs voitures et containers ont été incendiés et, afin de ne pas laisser la situation dégénérer comme il y a un an presque jour pour jour où des émeutes avaient duré 5 jours, des hélicoptères, des véhicules anti-émeutes et des policiers lourdement équipés sont apparus dans plusieurs endroits comme Husby, Kista et Rinkeby.

    Source : ny heteridag

  • Un groupe au parlement… Par Bruno Gollnisch

     

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    Les socialo-libéraux et les libéraux socialistes des trois principales formations européistes au Parlement européen (PSE, PPE et Libéraux), sont déjà en plein conciliabule autour de l’éventuelle (probable) élection de Jean-Claude Juncker à la présidence de la Commission européenne. Fort de son succès historique, il s’agit maintenant pour le FN de former un môle de résistance à l’euromondialisme au Parlement européen. Cela passe par la constitution d’un groupe sachant que  Jean-Marie Le Pen, Marine Le Pen et   Bruno Gollnisch siégeaient jusqu’alors au nombre des non-inscrits. Créer un  groupe aura pour effet   de démultiplier  l’impact et la visibilité des travaux des élus patriotes, en ce qu’il permet de déposer des amendements, donne accès à un temps de parole plus important et à la Conférence des présidents du Parlement, qui  attribue notamment les compétences des commissions, …

     Former un groupe réunissant des partis et formations se revendiquant des idées nationales, patriotiques, populistes,  souverainistes ou eurosceptiques,  est une tâche  ardue et délicate.  Bruno Gollnisch est bien placé pour le savoir lui qui a appartenu dans les années  90 au Groupe des Droites Européennes, et qui  fut à la tête dans un passé très proche de deux groupes européens, Identité Tradition Souveraineté (ITS) et l’Alliance Européenne des Mouvements Nationaux (AEMN) réunissant des formations patriotiques qui ne siégeaient pas forcément au Parlement européen.

     Le site de Marianne l’évoquait, dans une note pour la fondation Jean-Jaurès publiée le 23 mai, « le chercheur Jean-Yves Camus  prévoyait que moins de 30% des élus seront rattachables aux droites eurosceptiques, nationalistes, radicales ou extrêmes. Cela constituera une progression, mais sans doute pas un tsunami politique ».

     Pour autant, « sur le papier », avec désormais 140 députés dits eurosceptiques sur 751 dans cette nouvelle mandature, sachant que le FN  revient avec  24 députés  et qu’il en faut au moins 25 de sept pays différents pour pouvoir former un groupe, ce souhait ne semble pas irréalisable. Les jours prochains seront consacrés, entre autres,  à ces tractations importantes.  Marine Le Pen tiendra ce mercredi une conférence de presse sur ce thème  à Bruxelles avec « ses alliés ».

     En novembre dernier  à Vienne, les jalons d’un groupe en devenir, ayant comme ébauche  l’Alliance européenne pour la liberté (AEL) à laquelle appartenait déjà Marine, certains élus du FPÖ et  du Vlaams Belang dans la dernière assemblée, ont été posés.

     Lors de leur réunion en Autriche six partis -FPÖ, PVV, Ligue du Nord, Vlaams Belang et SNS slovaque- avait acté une déclaration commune portant sur «le maintien de la souveraineté nationale contre le centralisme de Bruxelles» et «la conservation des identités culturelles des peuples européens contre une immigration massive et une islamisation de l’Europe».

     Depuis le SNS n’a pas réussi à avoir d’élus et certaines des formations citées plus haut pourraient être  tentées par d’autres alliances, notamment avec  les britanniques d’Ukip, ( 29% des voix, 23 sièges). Le site du Figaro s’en fait  l’écho,  « son leader, Nigel Farage, n’a pas attendu les résultats de dimanche pour opposer une fin de non-recevoir au FN. Je ne veux pas être impoli envers Marine Le Pen, ce n’est pas nécessaire, mais je ne pense pas que son parti fasse partie de notre famille politique, avait-il dit vendredi à Reuters. Le parti français, lui, affiche une ouverture de principe. Son objectif est d’avoir un groupe et d’en être à la tête. S’il n’y arrive pas, peut-être qu’il changera d’avis, dit Marine Le Pen de Nigel Farage ».

     « Reste que l’Ukip dispose d’un coup d’avance sur le FN, dans la mesure où il disposait déjà d’un groupe – Europe Liberté et Démocratie – dans la précédente législature, au côté du Parti populaire danois, des Vrais Finlandais et de la Ligue du Nord ».

    Certes, Le Figaro n’a pas foncièrement tort, aussi s’agit-il d’examiner dans le détail et par pays,   les forces en présence et les partis susceptibles de pouvoir former un groupe avec les députés frontistes. Marine Le Pen et Florian Philippot ont écarté tout groupe en commun avec les hongrois de Jobbik, parti arrivé  en deuxième position avec 14,7 % des voix et  trois députés,  membres précédemment de l’AEMN, ou encore avec le parti nationaliste allemand NPD (un élu) et les Grecs de la formation d’extrême droite Aube dorée (XA), plus de  9 % des voix et  deux élus.

     Les discussions porteront donc en Autriche avec  le parti de droite nationale FPÖ en pleine dynamique  (20,5 % des suffrages, 12,7% en 2009) qui  obtient quatre élus et reste un allié fidèle du FN. Le ralliement à un groupe commun de l’unique élu cette fois du Vlaams Belang, parti identitaire  flamand en recul électoral très sensible, devrait aussi être assuré.

     En recul lui aussi, au Pays-Bas le parti  PVV de Geert Wilders  (13,2% des voix contre 17% en 2009) conserve cependant ses quatre sièges et  a récemment fait part de son souhait  d’une alliance formelle avec le FN

     En Italie, la Ligue du Nord, très axée sur la lutte contre l’immigration de peuplement, a emporté cinq sièges avec 6,15% des suffrages. Quant au Mouvement 5 étoiles de Beppe Grillo, populiste et eurosceptique, il est devenu la  seconde force politique italienne avec  21,15% des suffrages et 17 députés.

     Autre formation a avoir dépassé la barre des 20%, au Danemark, le Parti du peuple danois (DF) de Pia Kjærsgaard,  anti-immigration  et eurosceptique, est arrivé en tête  avec 26,7 % des voix, (10 points de plus qu’en 2009) et décroche quatre sièges . La tête de liste européenne du parti,  Morten Messerschmidt,  chante les louanges des conservateurs britanniques et  eu des mots peu aimables vis-à-vis du FN disant regretter que « des partis comme le Front National et Aube dorée gagnent du terrain ».

     Pareillement en Finlande, le parti  Les Vrais Finlandais  (12,90%, un élu)  allié avec Ukip dans la précédente mandature comme nous l’avons vu, et  qui critique surtout  la zone euro, devrait refuser toute alliance avec le FN. Il en va de même en Allemagne des sept élus du parti eurosceptique  AFD (Alternative pour l’Allemagne), créé au printemps 2013.

     Une alliance est peut être plus plausible avec la formation nationale les  Démocrates  de Suède qui avec  9,7%  et deux élus fera son entrée au Parlement européen. Il faudra aussi certainement prendre langue avec le parti patriotique eurosceptique de Lituanie, Ordre et justice (2 siéges), les eurosceptiques tchèques du parti   Démocrates civiques  ( 1 député, 7,96% des suffrages),  les eurosceptiques polonais du Congrès de la nouvelle droite  (quatre élus, 7%).  Au travail!

  • Hollande s'est recueilli au Musée juif de Bruxelles

    François Hollande, Matteo Renzi, Elio Di Rupo et Martin Schulz se sont entretenus, mardi 27 mai, avec des représentants de la communauté juive et le directeur du musée.

    Francetvinfo

  • Musée juif: le couple serait lié au renseignement israélien selon Haaretz

     

    Alors que l’on suspecte l’attaque survenue au musée juif de Bruxelles d’être un attentat terroriste, la question se pose aussi en Israël. Amir Oren, l’expert de Défense du quotidien israélien Haaretz, révèle que les services de sécurité d’Israël enquêtent pour savoir si la mort des deux victimes israéliennes Emmanuel et Myriam Riva est le seul fait du hasard. Selon lui, ils étaient liés aux services de renseignement israéliens.

    couple Riva

    D’après Amir Oren, ce couple aurait occupé des fonctions dans ce qu’il appelle « un service gouvernemental ». Emmanuel Riva aurait travaillé dans le passé dans l’organisation native du Mossad qui s’occupait à l’époque des juifs d’Union soviétique. Il aurait ensuite été en liaison avec « des services du renseignement ». Quant à son épouse, elle n’aurait eu que des fonctions administratives.

    Ce qui dérange en tout cas les services de sécurité en Israël, c’est ce qui semble être le professionnalisme du tueur, visiblement bien entraîné.

    Source: RTBF

    ALTERMEDIA FRANCE BELGIQUE

  • Copé demande aux militants UMP de "ne pas douter de son intégrité"

    http://www.leparisien.fr/politique/en-direct-affaire-bygmalion-reunion-cruciale-du-bureau-politique-de-l-ump-27-05-2014-3875479.php

    VIDEOS

  • Bernard Cazeneuve: "Aux jeunes qui partent en Syrie, je veux dire..."

    http://www.contre-info.com/bernard-cazeneuve-aux-jeunes-qui-partent-en-syrie-je-veux-dire

     

    Ahurissant!

     

     

     

     

  • La Seine-Saint-Denis, c’est comme les émirats

    26 mai 2014

     

     

    église_seine_st_denis.png

    Dans plusieurs émirats du Golfe, depuis quelques années, on peut construire des églises. A condition qu’elles restent plus ou moins discrètes. Mais on tolère que l’édifice ressemble à une église, par exemple par des fenêtres en ogive ou même une croix apparente.

    Samedi, l’évêque de Saint-Denis, Mgr Delannoy, a inauguré une nouvelle église à la Plaine-Saint-Denis. Une église comme dans les émirats, avec une croix, mais sans clocher, et qui en outre ne ressemble pas à une église : elle aurait eu le feu vert même au Koweït.

    Sur l’absence de clocher, l’architecte a doctement expliqué :

    « Comme le minaret, ce genre de signe ostentatoire qui avait une fonction sonore, n’a plus de raison d’être. »

    Seulement pour les églises. Dans les banlieues françaises islamisées. Car la plupart des mosquées, qui poussent comme des champignons, ont un minaret. Ou plusieurs minarets. Pour les musulmans, le signe ostentatoire a toujours sa raison d’être. Et comme on le voit déjà ici ou là, il retrouvera tôt ou tard sa « fonction sonore »…

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Jean-François Copé donne sa démission à l'UMP

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    Jean-François Copé. © Image Globe

     

    Le Vif

    Source: Belga
    mardi 27 mai 2014 à 14h03

    Le chef du parti de droite français UMP, Jean-François Copé, a annoncé mardi sa démission de la présidence du parti, qui sera effective à compter du 15 juin, a-t-on appris auprès de participants à une réunion des instances dirigeantes de cette formation.

     

    Jean-François Copé, 50 ans, affaibli après le triomphe de l'extrême droite au scrutin européen, était sous pression de ses pairs après la révélation d'un scandale de fausses factures lors de la présidentielle de 2012, qui éclabousse l'ex-président Nicolas Sarkozy.

    A l'origine prévue pour tirer seulement les leçons des élections européennes, une réunion des instances dirigeantes de l'UMP s'est transformée mardi matin à Paris en réunion sous haute tension après la révélation spectaculaire lundi d'un dépassement des dépenses de campagne présidentielle de 2012 d'environ dix millions d'euros camouflé par des fausses factures au nom de l'UMP.

    Trois anciens premiers ministres, Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin et François Fillon assureront la direction collégiale de l'UMP jusqu'à un congrès extraordinaire à l'automne, a annoncé mardi l'ancien président du Sénat, Gérard Larcher, en sortant de la réunion.

    "Copé n'a pas fait obstacle à sa démission, il a laissé le débat se dérouler" et en a tiré les conclusions, a déclaré Jean-Pierre Raffarin.
    Jean-François Copé avait toutefois initialement proposé de conserver la présidence de l'UMP, un parti né en 2002, jusqu'à l'automne. M. Copé avait conquis de haute lutte la présidence de ce parti, aujourd'hui dans l'opposition, contre l'ex-Premier ministre François Fillon, auquel l'a opposé à partir de l'élection contesté de novembre 2012, un interminable duel.