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Blog - Page 769

  • Par Jupiter ! Par Bruno Gollnisch

     

    UMP

    « Une réunion d’une violence inouïe ». Un commentaire de Nadine Morano  que de nombreux médias ont repris à leur compte ces dernières heures pour qualifier les retrouvailles hier, à huis-clos dans la salle du groupe UMP à l’Assemblée nationale, des pontes de l’UMP. Ils entendaient réagir aux derniers développements du scandale Copé-Sarkozy-Bygmalion. Sous la pression de ses adversaires en interne et même d’« une haine » qu’il n’oubliera pas a-t-il dit, M. Copé a donc été acculé à la démission. Fillon, NKM, Lemaire, Pécresse, Bertrand ont mené l’hallali sur fond de vieux procès sur son illégitimité à la tête de l’UMP depuis sa victoire très contestée aux primaires. Mais aussi de contestation sur la droitisation de la ligne de l’UMP que Copé et ses proches avaient tenté pour endiguer la montée du FN.

    Copé pouvait-il  s’accrocher à son poste? Son directeur de cabinet Jérôme Lavrilleux, tête de liste UMP face à Marine dans le Nord Ouest à ces élections européennes, a certes attendu le déroulement du scrutin pour vendre la mèche. Mais ce dernier a fini par avouer dès le lendemain de la claque infligée à son parti par les Français la pratique de fausses factures. En l’espèce, la facturation de conventions imaginaires pour masquer les dépassements de la dernière campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. Une nouvelle casserole pour ce dernier qui, rapporte Le Parisien, serait «tombé de l’armoire » (sic) devant ses révélations lundi, «tout juste rentré d’Israël, d’où il a suivi le séisme des européennes entre deux chansons du concert de Carla »…

     C’est pas moi, je n’étais au courant de rien, telle est la justification de l’ex chef de l’Etat reprise en boucle par ses «amis » de l’UMP. La ligne de défense de Jean-François Copé est encore plus surréaliste quand il réaffirme, comme il  l’a fait hier sur TF1, qu’il n’a pris connaissance des magouilles reprochées à ses amis proches de Bygmalion uniquement à la lecture de l’article publié dans Libération il y a une douzaine de jours…

    La question centrale qui se pose est  bien celle désormais de la probabilité d’un retour dans le jeu de Nicolas Sarkozy. « Mezzo voce, certains n’y croient plus guère.  Les gens commencent à parler. C’est le grand déballage. C’est fini pour Sarkozy , veut croire un responsable UMP» interrogé par Le Parisien. «Un cadre du parti s’énerve carrément :  C’est pour lui qu’on est allé chercher onze millions d’euros ! Les militants vont se dire qu’on leur a fait les poches ! Le plus grand danger pour la droite, ce serait le retour de Sarkozy, parce qu’il nous fera perdre pour se sentir exister . En privé, le député UMP Pierre Lellouche, lui-même mis en cause dans l’affaire, est beaucoup moins catégorique.  Il n’est pas encore cuit, mais le Sarkothon et les 11 M€ vont lui revenir à la figure comme un boomerang ».

     Pour barrer la route à Sarkozy ( ?), trois de ses adversaires ont été placés à la tête de l’UMP,  jusqu’à un congrès extraordinaire à l’automne, pour succéder à M. Copé, les anciens Premiers ministres Jean-Pierre Raffarin, Alain Juppé et François Fillon composent ce triumvirat. Un Retour vers le futur en quelque sorte avec ces trois   incarnations caricaturales  d’une politique qui a fait dramatiquement  la preuve de ses échecs.  

     Lors de la  conférence de presse qu’elle a tenu hier au siège du FN  à Nanterre pour analyser les résultats des élections européennes , Marine Le Pen, interrogée sur l’affaire Bygmalion a affirmé ne « (pas voir) comment le candidat Nicolas Sarkozy peut échapper à sa responsabilité morale et à la disqualification qui en est la conséquence ». Mais aussi qu’avec «Raffarin, Fillon, Juppé, on est dans l’eurobéatitude totale. Ca permettra peut-être encore de clarifier la situation et les différences de fond qui existent entre le FN et l’UMP et la proximité qui va exister entre l’UMP et le PS !».

    Alors certes,  l’UMP sera peut être  obligée de changer de nom pour se refaire une virginité, mais la conjonction d’intérêts boutiquiers en assurant l’armature devrait empêcher formellement  son implosion.

     Pour autant, il est intéressant de constater avec Bruno Gollnisch que le triumvirat qui vient d’en prendre la tête, appelle déjà à «dédroitiser» l’UMP,  actant l’échec de la stratégie copéiste visant  à contenir la poussée du FN mais au risque d’accélérer son hémorragie au profit de l’opposition nationale.  Sur son blog, François Fillon s’épanche: «Nous n’avons pas tout essayé pour rassembler la droite et le centre malgré la montée des extrémistes que chacun pouvait pressentir ».

     Alain Juppé sur la même ligne que le  très antifrontiste Jean-Pierre Raffarin, a montré les crocs mardi: « Notre refus est clair: nous ne voulons pas de la France rétrograde barricadée dans ses frontières que propose le Front National » (sic).  La veille il en a appelé à revenir  à « l’esprit originel » de l’UMP en 2002 symbolisé, il s’agit de s’en souvenir, par la catastrophique politique du radical socialiste Jacques Chirac…ça fait rêver…

     Comme à chaque fois quand il s’agit de cracher son venin contre l’opposition nationale et les défenseurs de l’Europe des patries libres,  les pontes  européistes de l’UMP reçoivent le soutien du parti de l’étranger. Ainsi le ministre allemand des finances, Wolfgang Schäuble, défenseur acharné d’une monnaie unique qui profite si bien à l’Allemagne, habitué du Forum économique de Davos,  intervenait hier à Berlin pour fêter les dix ans de la   Hertie School of Governance.

     En présence de Jeroen Dijsselbloem, président de l’Eurogroupe, de Mario Monti  et de l’ancien premier ministre grec Georges Papandréou, Herr Schäuble a qualifié le FN de « parti fasciste et extrémiste  (…). Nous devons nous demander, pas seulement pour nos collègues français, quelle erreur nous avons fait pour qu’un quart de l’électorat français vote FN.».

     Ils sont bien pathétiques, ils n’ont décidément rien compris ! Et ce degré d’aveuglement relève quasiment de la pathologie. Mais ne dit-on pas que Jupiter rend fou ceux qu’il veut perdre ?…

  • VIDEO Elections européennes: la réaction de Viviane Reding, vice-présidente de la Comission européenne

    http://www.rts.ch/video/info/journal-19h30/5884579-elections-europeennes-la-reaction-de-viviane-reding-vice-presidente-commission-europeenne.html

    27 05 14

  • Pologne : funérailles surprenantes du dernier dictateur communiste

     

     

     

    Pologne : funérailles surprenantes du dernier dictateur communiste

    Le général Jaruzelski, auteur de l’état de guerre en Pologne en décembre 1981, est mort le 25 mai à l’âge de 91 ans.

    Le dernier dictateur communiste en Pologne, qui n’a rendu le pouvoir en 1990 aux instances démocratiquement élues que contraint et forcé, aura le droit aux funérailles nationales avec les honneurs dus à un ancien Président de la République.

    Cette décision, très contestable, du Président Komorowski, divise profondément l’opinion publique en Pologne.

    Le général Jaruzelski a eu un passé peu glorieux. Dans la deuxième moitié des années 40, il a participé à la lutte sans merci contre la résistance anticommuniste. À partir de 1946 et pendant 10 ans, il fut agent des Renseignements Militaires, réputés pour leurs méthodes particulièrement brutales dans leur lutte sans merci contre toute opposition à l’égard du nouveau régime communiste.

    Devenu Chef d’État-Major et ensuite ministre de la Défense, il a organisé une purge antisémite au sein de l’Armée en 1967. L’année suivante, il a participé, avec un zèle particulier, à l’invasion de la Tchécoslovaquie (opération « Printemps 68 »).

    Co-responsable de la répression sanglante contre les grévistes des chantiers navals en 1970, il est arrivé au sommet du pouvoir en 1981, devenant le Premier secrétaire du parti, dans une Pologne en pleine rébellion contre la dictature communiste.

    Le 13 décembre 1981, Jaruzelski a mis en place l’état de guerre pour écraser le syndicat indépendant « Solidarité », et étouffer les aspirations à la liberté de la nation polonaise. Une chape de plomb s’est abattue une nouvelle fois sur la Pologne.

    Mais le général a sous-estimé la détermination de ses concitoyens. Peu à peu, une résistance clandestine s’organise, de dizaines de journaux interdits circulent sous le manteau, des manifestations et des actes de résistance de toutes sortes se multiplient. Le pouvoir communiste perd progressivement le contrôle du pays et se trouve contraint de négocier avec l’opposition, dans l’espoir de trouver une solution pour se maintenir au pouvoir. De nouveau débordés par les résultats des premières élections législatives semi-libres, les communistes n’ont d’autres choix que de passer la main. Le 28 octobre 1989, la comédienne polonaise Joanna Sczepkowska déclare au cours du journal télévisé la fin du communisme en Pologne, avec un sourire radieux et un éclat de rire.

    Accusé d’avoir dirigé « une organisation criminelle armée », Jaruzelski a adopté une ligne de défense basée sur la théorie du « moindre mal », prétendant que l’état de guerre avait permis à la Pologne d’éviter une intervention militaire soviétique.

    Mais cette théorie ne tient pas la route. Les Russes eux-mêmes ont publié des documents indiquant qu’ils n’avaient pas l’intention d’intervenir militairement en Pologne en 1981 et qu’ils l’avaient fait savoir à leurs camarades polonais. L’Union Soviétique, empêtrée dans le bourbier afghan, n’avait aucune envie d’ouvrir un deuxième front en Pologne.

    De surcroît, les documents russes indiquent que c’était le général Jaruzelski lui-même qui sollicitait leur aide, sans succès.

    Finalement, Jaruzelski et les autres responsables communistes n’ont jamais été condamnés pour leurs crimes. Après avoir fait traîner la procédure pendant des années, la justice polonaise a annulé les poursuites contre le général Jaruzelski pour « raisons de santé ». La Pologne libre n’a jamais achevé le processus de décommunisation et n’a pas demandé les comptes à ceux qui dirigeaient le pays pendant les années sombres du communisme.

    Jaruzelski sera inhumé, avec les honneurs dus à un ancien chef d’État, vendredi prochain. Mais, chose étonnante, le triste général a demandé in extremis à recevoir le Sacrement des malades et ses funérailles officielles débuteront par une messe.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • 29 mai 1453 : chute de Constantinople, tueries, viols et sacrilèges. La fin d’un monde

    28 mai 2014

     

    Le 29 mai 1453, l’Empire romain d’Orient (« empire byzantin ») s’effondrait avec la chute de Constantinople.
    Celle-ci fut accompagnée de massacres des civils, tueries, viols et sacrilèges commis par les sectateurs de Mahomet.
    Ce n’était que le début d’une longue nuit d’esclavage et de destruction culturelle.

    « Durant toute cette journée, les Turcs firent, par toute la cité, un grand carnage de chrétiens. Le sang coulait sur la terre comme s’il en pleuvait et formait de vrais ruisseaux. … Georges Phrantzes dit aussi que, ‘en certains endroits, le sol disparaissait sous les cadavres et que l’on ne pouvait passer par les rues’.

    ‘… Ils volent, dérobent, tuent,… font captifs femmes, enfants, vieillards, jeunes gens, moines, hommes de tous âges, de toutes conditions’.

    … Ils prenaient les trésors et les vases sacrés, dépeçaient les reliques et les jetaient au vent; ils exhibaient dans les rues puis dans leurs camps, le soir, des crucifix montrant le Christ coiffé de l’un de leurs bonnets rouges. De Sainte-Sophie, ils firent d’abord une écurie. Un nombre incalculable de manuscrits précieux, ouvrages des auteurs grecs ou latins de l’Antiquité, furent brûlés ou déchirés.

    Les religieuses, violées par les équipages des galères, étaient vendues aux enchères. … ‘Cette cohue de toutes les nations, ces brutes effrénées, se ruaient dans les maisons, arrachaient les femmes, les traînaient, les déchiraient ou les forçaient, les déshonoraient, les violentaient de cent façons aux yeux de tous dans les carrefours’.

    Pendant trois jours, ce fut aussi une terrible chasse et un immense marché aux esclaves. … Aucune bataille, aucune conquête n’avait jamais donné en si peu de temps autant de captifs. Ils furent vendus et revendus par la soldatesque puis par les mercantis de toutes sortes, séparés les uns des autres, promis aux travaux misérables jusqu’aux plus lointaines provinces du monde musulman.
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    Contre-info.com

  • Sécurité alimentaire: de la viande avariée dans les produits "premier prix"

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    «Viandes gris verdâtre impropres à la humaine dans des charcuteries, moisissures, souris vivantes ou mortes, excréments de souris dans des étuves à chorizo, fromage ramassé à la raclette sur le sol pour en faire du fromage fondu» : c'est ce qu'ont découvert les enquêteurs de Cour des comptes en passant au crible les produits «premiers prix», selon le dernier volet de son rapport annuel, consacré à la sécurité alimentaire et relayé par Le Télégramme ce jeudi.

     

     

     

    Les enquêteurs de la Brigade nationale d'enquêtes vétérinaires et phytosanitaires (BNEVP), rattachée au ministère de l', ministère de l'Agriculture, constatant des « manquements graves aux conditions d'hygiène » et des « failles de traçabilité », tirent la sonnette d'alarme : «L'offre des produits "premier prix" peut paraître attractive, mais leur consommation systématique, par une population croissante, pourrait avoir, à terme, des répercussions sur la publique», rapporte le quotidien breton.

    Les Français «très exposés» aux pesticides


    Malgré «les lourds moyens engagés », la France est restée en 2012 le troisième utilisateur mondial (1er en Europe) de pesticides à usage agricole en 2012, constate aussi le rapport. « La population vivant en métropole est fortement exposée aux pesticides », note-t-elle, citant également une étude de l'Institut national de veille sanitaire (INVS) de 2012 révélant que « les Français avaient un niveau d'imprégnation parmi les plus élevés par rapport à celui relevé dans des pays comparables», continue Le Télégramme.

    Pour y remédier, la Cour des comptes propose «une communication forte autour de ces résultats qui permettrait sûrement d'orienter la demande vers une agriculture plus raisonnée».

    Manque de personnel, de contrôles, enquêtes confidentielles et fraudes à grande échelle

    Au-delà du cas des produits "premier prix", l'un des problèmes essentiels rencontrés par l'administration dans le combat pour la sécurité alimentaire est le manque de personnel et, de fait, la rareté des contrôles, «en chute libre», assure Le Télégramme. «Un établissement de remise directe (boucherie, restaurant, centre commercial...) sera en moyenne contrôlé trois fois au cours d'un siècle! On ne compte que 43 agents pour contrôler plus de 110 000 établissements de restauration collective (hôpitaux, cantines scolaires...)», poursuit le quotidien de Morlaix (Finistère).

    De plus, la Cour déplore la confidentialité de nombreuses enquêtes et «un faible taux de poursuite qui décourage les agents». A cette situation, des raisons multiples : «réticence des agents» à réprimer, «défaillance de la hiérarchie à tous les niveaux», un «échelon local, fortement soumis à la pression sur l'emploi», ou encore les procureurs, «qui hésitent souvent à engager des procédures pénales». Si, de l'avis de tous, la sécurité alimentaire reste assurée en France, le problème aujourd'hui, conclut Le Télégramme, «ce sont les fraudes (...) avec des affaires qui s'internationalisent (...) C'est au niveau international qu'il y a de réels progrès à faire».

    La solution, radicale, pour assurer une meilleure sécurité ? « Une grande publicité » aux enquêtes, aux cas de non-conformités et aux suites données. Une « arme qui exposerait les professionnels ne respectant pas les règles aux sanctions directes des consommateurs » et « aiderait également les services à résister davantage aux pressions locales », conclut le journal.

    Le Parisien

  • Embrouille fiscale à Marseille, un grand bijoutier écroué

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    Photo Guillaume Ruoppolo      

     

     
    Marseille / Publié le Jeudi 29/05/2014 à 12H15
     

    Un avocat a également été placé sous contrôle judiciaire et cinq autres mis en examen

     
    Des flux financiers bizarres et un montage destiné à faire échapper le gérant de la bijouterie Bornand, rue Paradis (1er), à un redressement fiscal, sont au coeur de l'enquête.

              

     
     

    Patrick Sitbon, le gérant de la bijouterie Bornand, sise rue Paradis, un des hauts lieux de la joaillerie marseillaise, a été mis en examen hier soir par le juge Duchaine pour corruption active et escroquerie en bande organisée et écroué aux Baumettes. L'avocat pénaliste marseillais Antoine Béraud a été mis en examen lui aussi pour les mêmes qualifications, mais laissé libre sous contrôle judiciaire avec obligation de verser une caution de 50 000 euros, interdiction d'exercer sa profession, de se rendre à son cabinet et de rencontrer les protagonistes du dossier.

    Trois autres personnes - un inspecteur des impôts, un gérant de société et un expert-comptable - ont été mises en examen mais également laissées sous contrôle judiciaire. L'affaire porte sur le rôle qu'aurait joué l'avocat pour tenter de faire échapper le bijoutier à un important redressement fiscal de sa société et l'immixtion dans la procédure de deux inspecteurs des impôts pour parvenir à ses fins.

    Les débats contradictoires se sont achevés cette nuit peu avant 2h30 du matin. Les défenseurs de l'avocat, Mes Michel Pezet et Fabien Perez, sont parvenus à convaincre le juge des libertés et de la détention que l'incarcération de leur client avocat ne s'imposait pas. L'enquête doit désormais établir si les soupçons de blanchiment sont étayés ou non. Le gérant de la bijouterie avait déjà été entendu en 2010 dans une procédure relative à la vente de montres de prix en espèces et pour des montants importants.

    Une inspectrice des impôts et l'épouse du bijoutier avaient pour leur part été présentées au juge mardi soir et laissées libre sous contrôle judiciaire. Le parquet de Marseille avait réclamé dans ce dossier le placement sous mandat de dépôt du chef d'entreprise, de l'avocat et de l'un des deux inspecteurs des impôts. Une information judiciaire avait été ouverte le 8 novembre 2013 pour "association de malfaiteurs et blanchiment en bande organisée" à la suite de la transmission d'une note Tracfin, la cellule anti-blanchiment du ministère des Finances. 

     

    La Provence 

     

  • L'Ascension

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    Giotto di Bondone  (1266-1337)

  • Dominique, 66 ans, victime française du tueur de Bruxelles


    A la Une. «Dominique, 66 ans, victime française... par leparisien

    Une retraitée française figure parmi les quatre victimes de l'attaque du musée juif de Belgique, en plein Bruxelles, samedi après-midi. Dominique Sabrier, ancienne éditrice, était installée depuis deux mois en Belgique, et travaillait bénévolement au musée depuis quelques semaines. Ses amis décrivent une femme discrète, droite, qui avait quitté Paris pour fuir les pesanteurs d'un climat hostile aux juifs. A Bruxelles, elle avait trouvé un "havre de paix"… 

    Le Parisien  

  • Robert Ménard va offrir une blouse à tous les écoliers de Béziers

     

    Ce mardi soir lors du conseil municipal, le nouveau maire de Béziers, Robert Ménard, a proposé d’offrir une blouse avec l’écusson de la ville aux enfants de maternelle et de primaire.

    La municipalité prendra en charge le coût de fabrication et la proposera à toutes les familles qui le souhaitent.

    Le port de la blouse ne sera pas obligatoire.


    E&R

  • Entretien avec Renaud Camus: la préoccupation numéro un des français, c’est le Grand Remplacement

                          

    Le 28 mai 2014

    Votre liste a obtenu 0,05 % aux élections européennes. Quel bilan en tirez-vous ?

    Ah ah ! Le bilan que je suis nul, un homme politique de vingt-cinquième ordre et que je ferais mieux de m’en tenir à mes chères études… Ce n’est pourtant pas faute d’avoir été prévenu…

    D’un autre côté, à défaite politique indubitable, victoire idéologique incontestable : le Grand Remplacement, le « concept », gagne tous les jours du terrain, presque aussi vite que la chose elle-même, l’horrible chose. L’expression est maintenant dans toutes les bouches, y compris celle de Jean-Marie Le Pen, c’est-à-dire dans le sanctuaire du Front national, le grand vainqueur. Et tous les sondages sont d’accord pour dire que la préoccupation numéro un des Français, et leur principal motif pour apporter leur suffrage à Marine Le Pen, c’est l’immigration, autrement dit la sécurité, l’économie, l’emploi, mais d’abord et avant tout l’identité, la substitution ethnique et culturelle, le changement de peuple et de civilisation : bref, le Grand Remplacement.

    Vous remarquerez d’ailleurs que pour la caste médiatique unanime, c’est là, précisément, ce dont il ne doit être question à aucun prix. Même le soir des élections, si notre cher Zemmour n’avait pas mis son grain de sel in fine, immigration et identité – les principales raisons du vote Front national – auraient été passées sous silence. Dans le Sud-Ouest, les grands journaux et les chaînes de télévision locales n’ont pas pipé mot de notre liste, la seule qui posât ouvertement la question du changement de peuple et de la conquête coloniale en cours. Les médias sont tellement abîmés dans les vieux dogmes antiracistes, qui pourtant n’ont plus aucune prise sur le réel, que pour eux tout souci de l’indépendance et de l’identité nationales sont une monstruosité à laquelle, d’accord avec le pouvoir, ils accolent aussitôt l’étiquette ravageuse et prohibitive d’extrême droite, même si personne au sein de notre liste n’a jamais eu la moindre accointance avec ces milieux-là et si notre culture est aussi éloignée que possible de la leur.

    Silence total de la presse, dissuasive étiquette d’extrême droite, cinq ou six mille euros de budget, presque pas d’affiches, presque pas de bulletins de vote : c’est merveille, dans ces conditions, que nous ayons frisé les quinze cents voix. Nous en aurions eu cent, je n’aurais pas été autrement surpris. Et pourtant notre ligne générale — refus de l’immigration de masse, hostilité égale pour les politiques menées en France et en Europe mais attachement égal à la France et à l’Europe —, cette ligne-là est majoritaire dans le pays, au moins relativement. C’est là qu’on revient à ma nullité. Nous aurions dû avoir trois millions de voix…

    Parlez-vous à propos de la victoire du FN, comme beaucoup de commentateurs politiques, d’un « séisme » pour la France ?

    Oui, mais d’un bon séisme. Disons : un choc salutaire. Le paradoxe c’est que mes amis et moi, qui sommes cinq cents fois moins forts que le FN, sommes aussi plus ambitieux : nous voudrions que les mouvements antiremplacistes arrivent au pouvoir en France, certes, mais aussi en Europe, et changent radicalement les politiques de l’Union comme celles de la nation.

    Que devrait faire François Hollande, selon vous, qui parle de « continuer » dans la même direction ?

    Vous souvenez-vous de l’amiral d’Ascoyne, dans Noblesse oblige, saluant au garde-à-vous à la proue de son navire qui sombre parce qu’il a refusé de changer des ordres manifestement imbéciles ? Mais il était plus chic que notre Président.

    Que pensez-vous de la tribune de BHL publiée dans Le Monde, qui explique que « la France est en péril. Un quart de nos compatriotes ont voté pour le pire. Ils ont choisi le parti, non seulement de l’anti-Europe, mais de l’anti-France » et qui propose la mise en place d’un gouvernement d’union nationale ?

    Que c’est un bon exemple de discours mort, de vieille mécanique rouillée, sans prise sur ce qui survient, et qui ne touche plus du tout à la réalité des choses.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Yannick Noah se sent "insulté" par la victoire du FN aux élections européennes

    28/05/2014 – PARIS (NOVOpress) - Dans une vidéo mise en ligne sur le site BFMTV, Yannick Noah a fait part de sa tristesse et de sa honte au vu du résultat des élections européennes. Auteur d’une récente chanson anti-FN, Ma colère, il a déclaré “Je me suis réveillé le lendemain, ça n’allait pas fort. Oh la tristesse! Quelle tristesse! Je me sens insulté, je me sens déchiré, j’ai un peu honte quand mes amis m’appellent d’autres pays en me disant: ‘qu’est ce qui se passe chez vous?’ J’ai un peu honte”. “Qu’est-ce que je peux faire de plus ?” Suggestion de la rédaction : une nouvelle chanson ?

    Faire ses valises ?

     

  • Le chômage bondit encore au mois d'avril

    Fin avril, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits en catégorie A à Pôle emploi a encore bondi de 14.800, selon les données publiées ce soir par les services statistiques du ministère du Travail. Soit une hausse plus de neuf fois supérieure à celle du mois précédent et surtout la sixième d'affilée.

    Au total, la catégorie de référence de Pôle emploi recense plus de 3,364 millions de chômeurs, en hausse de 3,5 % sur un an. Un nouveau record absolu, qui porte à plus de 440.000 le nombre de nouveaux chômeurs depuis l'élection de François Hollande en mai 2012.

    Même conclusion si on prend en compte les chômeurs en activité réduite. Sur un mois, leur nombre a encore enflé de 36.400 à la fin avril -il s'agir de la plus forte progression enregistrée depuis septembre 2013-, pour frôler désormais les 4,986 millions d'inscrits dans les catégories A, B et C. La progression sur un an est encore plus conséquente (+4,2 %). La barre des 5 millions devrait en toute logique, au rythme actuel, être dépassée à la fin du mois de mai.

    Le Figaro  28 05 14

  • DOCUMENT Copé écrit aux militants de l'UMP: "Mon intégrité est totale"

     

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    http://www.leparisien.fr/politique/document-cope-ecrit-aux-militants-ump-mon-integrite-est-totale-28-05-2014-3879213.php

    Il ne peut pas leur écrire le contraire!

  • Robert Ménard propose d'habiller les écoliers de Béziers d'une blouse

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    R.B | Publié le 28.05.2014, 15h50 | Mise à jour : 16h54

     

                                                

                       
    L'ancien patron de Reporters sans Frontières, devenu maire de Béziers (Hérault) en mars avec le soutien du , innove. Et irrite ses opposants aussi. Après le couvre-feu imposé aux moins de 13 ans, l'arrêté interdisant d'étendre le linge aux fenêtres et aux balcons et la chasse aux crottes de chiens sous peine de 35 euros l'amende dans le quartier historique, l'élu de Béziers propose maintenant d'offrir une blouse avec l'écusson de la ville à tous les élèves de maternelle et de primaire de sa commune.
     
     
    Qu'ils soient en école privée ou publique. Il l'a annoncé mardi soir au conseil municipal, rapporte Midi Libre.

    Le coût de fabrication sera entièrement pris en charge par la municipalité. La blouse sera proposée gratuitement à toutes les familles qui le souhaitent. Et le maire, qui ne veut apparemment pas s'attirer les foudres d'une opposition hostile à l'uniforme dans les classes, a pris soin de ne pas l'imposer aux enfants.

    Cependant, l'opposition s'est montrée très dubitative sur l'intérêt de cette nouvelle annonce ayant reçu un accueil mitigé du conseil municipal. Le conseiller municipal d'opposition Pascal Resplandy (), cité par le Midi Libre, a réagi ainsi: «cette mesure ne servira qu'à faire les choux gras du "Petit Journal", l'émission satirique de Canal+. La semaine dernière, l'équipe du "Petit Journal" s'est déjà amusée de l'arrêté municipal interdisant de «battre les tapis» aux fenêtres.

    LeParisien.fr

  • Ramadan : le FN réclame l’annulation des célébrations de la mairie de Paris

    18h08

    Organisée depuis 2001, la fête organisée par la municipalité pour célébrer le début du jeûne crée régulièrement la polémique. Chaque année ou presque, depuis 2001, c’est la même polémique: la fête organisée dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris pour célébrer le début du Ramadan provoque de vives réactions sur les bancs de l’opposition.[...]

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    La mairie de Paris a bien tenté de calmer le jeu. «C’est une soirée artistique et festive, qui relève d’une initiative culturelle et non cultuelle. Nous organisons des réceptions à l’occasion de Noël et de Hanouka également», a expliqué un porte-parole d’Anne Hidalgo à Metronews. Pas de quoi convaincre le Front national. «Aujourd’hui, pour un grand nombre de Français, Noël est devenue la fête des enfants et plus largement de la famille. En revanche, le Ramadan est seulement, en France, une fête religieuse qui ne concerne que les Français qui se reconnaissent dans cette religion», attaque Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller de Marine Le Pen, dans un communiqué publié ce mercredi.

    Le Front national réclame l’annulation de la fête, organisée «aux frais du contribuable». Un appel d’offre prévoyant une enveloppe budgétaire maximale de 70.000 euros – contre 100.000 euros l’an passé – a été lancé par la mairie à destination des prestataires.

    «Les concerts refléteront la diversité des cultures de l’Islam, avec une programmation comprenant des artistes de renom», peut-on y lire.

    Le Figaro

     

    via FDESOUCHE