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Blog - Page 774

  • Le basculement à droite de l’Inde

    Ecrit le 21 mai 2014 à 15:28 par Jean-Gilles Malliarakis dans Poing de vue

     
     
     

    Inde

    Oublions Jules Verne. Un tour d’horizon mondial, au XXIe siècle, se révèle facile à accomplir en moins de 80 minutes. Il suffit de passer par les sites des grands journaux du monde entier. Or, en les survolant ce lundi 19 mai, du Washington Post au South China Morning Post, en passant par le Times ou le Daily Telegraph de Londres, die Welt de Berlin ou La Repubblica, une chose pouvait frapper le visiteur. Chacun de ces titres prestigieux affichait 20 ou 30 articles de première page.

    Mais on n’y trouvait aucune évocation, de la principale nouvelle politique mondiale. Elle était pourtant connue, discrètement mentionnée la veille, dimanche 18. Idem les jours suivants.

    Elle glisse, inaperçue et anecdotique.

    Elle était pourtant pressentie depuis plusieurs semaines : il s’agit du basculement à droite de l’Inde sous la conduite de Narendra Modi.

    Le vieux parti hérité de Gandhi et de Nehru, le parti du Congrès a été balayé. Le BJP, parti du peuple hindou, avec 172 millions de voix a doublé le nombre de ses électeurs de 2009. Sa victoire de 1999 avait porté au pouvoir Atal Bihari Vajpayee, avec seulement 86,6 millions de suffrages. Aujourd’hui, avec 282 sièges, il détient la majorité absolue à l’assemblée législative fédérale, la Lok Sabha. Pour la première fois depuis 1984, un chef de gouvernement va pouvoir diriger cet immense pays de manière homogène sans dépendre d’une coalition.

    La victoire éclatante du BJP ne se limite pas en effet à une simple alternance électorale, comme il en existe dans toutes les démocraties.

    Évoquons d’abord ce qui passionne les économistes, lesquels considèrent trop souvent les ratios financiers sans percevoir le modèle de développement social. Churchill le disait avec humour : « je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même trafiquées ». Car les agrégats inventés au cours du XXe siècle, et adulés des technocrates du FMI, du monde bancaire, etc. devraient en vérité n’être pris en compte qu’à titre indicatif. En particulier le taux de croissance du produit intérieur brut ne nous informe que de la santé relative, instantanée, approximative et quantitative de l’évolution prévisible de la richesse des nations, certainement pas des perspectives des sociétés.

    Le parti qui vient de l’emporter en Inde peut dès maintenant se prévaloir de l’expérience gestionnaire d’un État, le Gujarat, peuplé de 60 millions d’habitants sur 196 000 km2. À comparer avec l’Allemagne de l’ouest, qui comptait 63 millions d’habitants sur 248 000 km2 avant l’unification, on ne saurait parler d’un simple galop d’essai local. Dès lors la réussite incontestable de son ministre-président, Narendra Modi de 2001 à 2014, pratiquement sans faute économique, a servi de premier argument pour la conquête du pouvoir fédéral à New Delhi. On l’a, certes, exprimé en termes de croissance. On a pu évaluer que cet État, pendant les 12 années de gestion de Narendra Modi et de ses « modinomics » a bénéficié d’un taux de croissance très supérieur à la moyenne nationale, une tendance durable accentuée depuis 10 ans. Etre exécrées par la gauche c’est toujours bon signe. Cela tient à une double préoccupation due au parti BJP en général et à Narendra Modi en particulier, celle de l’équipement et de la formation en liaison avec les nouvelles mais aussi à une moindre intervention redistributrice et dirigiste de l’État. Telle Margaret Thatcher, ce politique est issu de la classe moyenne, où on travaille dur dans l’échoppe paternelle et où on ne dépense que ce que l’on a gagné.

    On pourrait, à certains égards, comparer la prospérité qu’il a développée dans le Gujarat, à celle de la Bavière en Allemagne, sans doute la région la plus traditionnelle du pays, et cependant en pointe dans l’économie.

    Dans un cas comme dans l’autre il ne s’agit pas d’un paradoxe. Le nouveau Premier ministre indien est né en 1950. Il pratique et milite ardemment pour l’Hindouisme depuis l’âge de 13 ans. Cela déplaît fortement au courant dominant du monde actuel comme le catholicisme des dirigeants bavarois irrite ses détracteurs. Un article du Courrier international le dit de façon cocasse. On lui reconnaît d’innombrables qualités, y compris le sens de l’humour et l’élégance, mais on l’étiquette de l’épithète, supposée éliminatoire, de « controversé ». La grammaire journalistique du New York Times, en France celle d’Anne Sinclair, appliquée au sous-continent indien, cela devrait faire sourire.

    Cela dénote une méconnaissance du problème central de l’Inde depuis son indépendance.

    Ce pays, hindou à 80%, cherche à effacer les traces de l’épouvantable oppression musulmane subie pendant des siècles sous la domination moghole puis perse. Le parti du Congrès, politiquement correct, parfaitement adapté aux mots d’ordre mondialistes a toujours voulu nier ce problème de l’identité nationale. N’y voyons pas un hasard de l’Histoire.

    Dans cette lutte terrible contre l’islamisme, tant pakistanais qu’intérieur, on a voulu interdire les enjeux mémoriels et stigmatiser le « suprémacisme » des Hindous dans leur pays. En 2002 les États-Unis sont allés jusqu’à refuser à ce titre un visa à Narendra Modi. Il faudra bien pourtant que l’occident s’habitue à respecter ce choix qui n’attentera pas à la condition de 13 % de musulmans que compte le pays. On verra s’affirmera en Inde les valeurs éternelles et l’identité profonde de nos lointains cousins indo-européens, la plus ancienne religion du monde, assez voisine de celle des héros de l’Iliade.

    Convenons à l’évidence que deux nouvelles grandes puissances ont principalement émergé dans le monde depuis 20 ans, à taille à peu près égale : la Chine et l’Inde. Chacune de ces deux nations compte plus d’un milliard d’hommes. Chacune pèse plus que les 57 États musulmans additionnés. Elles se sont toutes les deux adaptées, résolument, à l’économie de marché. Mais elles ont abordé cette évolution de manière très différente.

    Et il n’entre pas dans le propos de la chronique d’aujourd’hui sous-estimer la réussite technique de l’Empire du Milieu dans de nombreux domaines. Non seulement les chiffres parlent mais une visite dans les rayons de nos grands magasins suffirait à éclairer ceux que l’étude de la pensée chinoise et des séjours espacés à Pékin ou Shanghai, à défaut de la campagne, n’auraient pas amenés à comprendre l’importance de ce pays.

    Reste une immense différence entre le développement de ce très grand pays, toujours gouverné par un parti unique, qui se dit encore communiste, et qui demeure imperturbablement oppresseur, etc. et l’émergence de l’Inde, terre de liberté et de diversité.

     Jean-Gilles Malliarakis anime un blog.

    NOUVELLES DE FRANCE

  • "Invasion migratoire" et "Monseigneur Ebola" : Jean-Marie Le Pen en campagne

        

    "L'immigration massive risque de produire un véritable remplacement des populations si nous n'arrivons pas assez tôt au pouvoir", a affirmé le candidat du Front national en campagne à Marseille. Lire la suite »
     
     
    NOVOPRESS
  • L’aigle de Rome : pour l’Empire et pour Mithra

    L’aigle de Rome : pour l’Empire et pour Mithra - Le roman  de wallace Breem nous parle de nous

    Le roman de Wallace Breem nous parle de nous



    Jean Ansar
    le 20/05/2014
    Nous sommes tous quelque part nés en 753 av. J.-C. Dans tout européen, il y a un enfant de Rome, une nostalgie de la ville qui a conquis le monde et imposé un  ordre par ses armes et par ses lois. La fascination de Rome n’est plus à démontrer pas seulement dans l’histoire, mais également au cinéma et dans la littérature.
     
     
    La réédition  chez « invicta » de l’Aigle de Rome de Wallace Breem est là pour nous le rappeler. Le livre remonte à 1970. Il retrace le moment clé en 406 ap. J.-C. où, par un terrible hiver, le limes  ou ce qu’il en reste a craqué face aux barbares malgré l’héroïsme des légionnaires. Le héros du livre, un certain général Maximus aurait inspiré celui du Gladiator de Russel Crowe, sauf que ce film est lui-même un remake du bien nommé « Chute de l’empire romain » puisque c’est de cela qu’il s’agit.

    Ce formidable livre de guerre, où les batailles sont dignes des épopées homériques et des sagas , est aussi un livre de réflexion. On y voit le parcours initiatique d’un romain fidèle à l’empire, malgré sa dérive et sa chute inévitable, mais aussi à l’esprit des « vieux romains », sacrifice et patriotisme. Un parcours initiatique qui se confond également avec celui du culte de Mithra, le dieu des légions qui a résisté si longtemps à la christianisation de la société.  Les mystères de Mithra sont présentés partout dans ce livre qui peut se lire à plusieurs niveaux.

     
    La peinture des « barbares » est saisissante. Ils sont poussés vers Rome par les Huns mais aussi surtout par la nécessité. Ils ne comprennent pas qu’on leur refuse d’entrer. Cela est d’actualité. Ce qu’ils veulent ce n’est pas détruire Rome, ni même y importer leurs coutumes, là est la grande différence. Ils veulent servir l’empire pour pouvoir, en le renforçant et en le défendant, profiter de sa prospérité et de sa sécurité. Ils ne comprennent pas que Rome n’est plus dans Rome, pas plus que Maximus d’ailleurs, et que l’Empire est trop faible pour s’ouvrir à des peuples nouveaux. Il est trop faible aussi pour les repousser. Et pourtant les légionnaires de Maximus feront leur devoir et même au delà.

    Un livre foisonnant, un roman militaire de réflexion sur les civilisations avec, à la fin du volume, des notes très bien faites. C’est finalement le dernier combat des meilleurs d’entre les meilleurs d’un Empire qui se sait condamné sans y croire vraiment, mais qui veut mourir le glaive à la main. Un empire christianisé mais défendu par des militaires attachés aux anciens dieux et à Mithra, le dernier d’entre eux.

    Maximus incarne les valeurs qui firent Rome : le courage, la loyauté, la discipline. Mais ces valeurs restent valables même si Rome s effondre et si les empereurs ne les respectent plus. Ce n’est pas parce qu’on est vaincu que l’on a eu tort. Et ce qui a été et qui parait condamné à jamais, un jour reviendra car tous les chemins aujourd’hui encore nous mènent à Rome.

    « L’aigle de Rome » de Wallace de Breem, Éditions Panini Books Collection Invicta, 350 pages, 20 euros
     
    METAMAG

  • Hollande, invité surprise des trophées « d’improvisation » : une visite emblématique…

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    Le 20 mai 2014
    La diversité érigée en alpha et oméga et dont les Français ont plein le dos...
             

    L’information fait les gros titres de la presse : lundi soir, François Hollande, flanqué de Benoît Hamon et Aurélie Filippetti, était « l’invité surprise » de Jamel Debbouze à la finale du « trophée d’improvisation théâtrale inter-collèges » organisée par la fondation « Culture et Diversité » et la compagnie « Déclic Théâtre » (qui a révélé, entres autres, Sophia Aram).

    Un « invité surprise » prévisible puisque, en février dernier, plutôt qu’aller soutenir les athlètes français à Sotchi ou les Bretons sous les inondations, François Hollande avait préféré assister à Trappes aux éliminatoires de ce « match d’improvisation » et avait promis d’être là pour la finale. Et vous savez comme cet homme-là est de parole.

    Il est revenu, donc, sans voir à quel point cette visite, à moins d’une semaine des élections européennes, pouvait être emblématique du rejet que les Français nourrissent à son endroit.

    L’improvisation, d’abord. Là, c’est sûr, on tient un champion du monde. Il est d’usage, dans certains jurys, que l’on prenne comme président d’honneur un ancien lauréat : le rôle, forcément, lui revenait de droit. Deux ans qu’il improvise sous les feux des rampes, qu’il arpente la scène, harangue le public, hésite, lance un truc qui fait flop, essaie autre chose qui ne prend pas plus, change son fusil d’épaule et tente des effets spéciaux qui ne sont que des pétards mouillés.

    Debbbouze_Hollande076Le rire, ensuite. Comme Jamel Debbouze, François Hollande adore ça. Il n’est pas pour rien Monsieur petites blagues. La légèreté pour tous, depuis le début de son quinquennat. Sauf que la France dans le désarroi n’a pas le cœur à la gaudriole. Les vannes à deux balles, les ricanements et les pince-moi-que-je-rigole quand on suit le corbillard « France » sont perçus comme autant d’indécences.

    La diversité, enfin. La diversité érigée en alpha et oméga et dont les Français ont plein le dos, quand l’urgence serait au contraire de mettre du ciment dans les interstices pour construire, non pas une France éclatée, mais « une ».

    Mais enfin, n’y a-t-il pas actuellement à travers le pays, comme tous les ans à la même époque, des milliers de kermesses scolaires, spectacles de fin d’année, ballets de danse, compétitions de judo, auditions de piano, concours d’éloquence, de lecture ou de rédaction au cours desquels se produisent devant le public de petits enfants ou des adolescents studieux, ayant travaillé d’arrache-pied tout l’année avec l’aide de professeurs dévoués, et qui sont au moins aussi méritants que les collégiens du « théâtre d’improvisation » sis à Trappes de la fondation « Culture et Diversité » ? Et pourquoi n’auraient-ils pas les honneurs, eux aussi, d’une visite du président de la République, du ministre de l’Éducation et de celui de la Culture, quand les autres y ont eu droit par deux fois ? Oui, pourquoi, sinon parce que le gouvernement doit sacrifier à la déesse diversité et s’incliner bien bas, attendu que le micmac autour de la théorie du genre risque de l’avoir mise sérieusement en pétard et que ses foudres électorales pourraient être terribles ?

    Gabrielle CLUZEL

    BOULEVARD VOLTAIRE

     

     

  • Fabius dit n’importe quoi (comme d’habitude)

    Suite aux révélations de Valeurs actuelles sur la famille de Leonarda, Laurent Fabius déclare (il convient de respecter son propos exact, qui n’est pas vraiment dans le style qu’on attend d’un ministre, surtout dans le domaine du droit) :

     « S’il y a eu une tentative de fraude, parce que c’est ça si je comprends bien, la réponse [de l’ambassade de France au Kosovo] a été non. Et donc cette dame et sa famille qui n’ont pas leur place en France n’auront pas leur place en France, point à la ligne. On ne peut pas faire des fraudes à la nationalité, ce n’est pas possible, donc à partir du moment où il y a une tentative de fraude - je ne sais pas si c’est exact ou pas exact - la réponse sera non. C’est un faux événement, c’est un non-événement. »

    Ce que dit Valeurs actuelles, en produisant un document, c’est que le père de Leonarda a changé de patronyme pour prendre le nom d’un de ses frères installé en Croatie. Ce qui lui permet de demander un passeport croate, pour lui et pour les membres de sa famille, dont Leonarda. Titulaire d’un passeport croate, donc d’un pays de l’EEE (Espace économique européen), il peut circuler partout dans l’espace Schengen avec sa famille, donc entrer en France, sur simple présentation du passeport.

    La « tentative de fraude à la nationalité » n’a aucun sens pour des Tziganes, qui sont traditionnellement apatrides, surtout dans des pays qui étaient il y a peu la Yougoslavie. Il en est de même pour leurs patronymes. Il se trouve que si le père de Leonarda s’appelle Dibrani et est de nationalité « kosovare » (?), un oncle de Leonarda, frère de son père, est de nationalité croate et s’appelle Tahiri. Il n’y a aucune raison pour que le père de Leonarda ne s’appelle pas lui  aussi Tahiri et qu’il ne soit pas lui aussi de nationalité croate… (Il vient d’ailleurs d’affirmer que Tahiri est le nom de son père et Dibrani le nom de sa mère.)

    Bref, Leonarda et sa tribu vont revenir, et ni Fabius, ni Valls ni Hollande n’y pourront rien. Grâce aux règles de leur Union européenne.

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Ce Camus qui n'aime pas l'étranger

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    http://www.lepoint.fr/politique/ce-camus-qui-n-aime-pas-l-etranger-14-10-2013-1743776_20.php

    Comment Renaud Camus, ex-militant homosexuel, membre du PS, passé par Jean-Pierre Chevènement, est devenu le penseur d'extrême droite le plus influent

  • Sinclair/DSK : quel cinéma !

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    Le 20 mai 2014
    Dans l’ex-couple Sinclair/DSK, on sait désormais qui est l’homme ; et, surtout, qui se comporte en tant que tel.
             

    DSK et Sinclair, ou le monde à l’envers. Le premier, non content d’avoir laissé quelques traces intimes sur la moquette du Sofitel new-yorkais, fait désormais de même sur le tapis rouge de la Croisette, à Cannes. Rome n’est peut-être plus dans Rome ; mais Hollywood, elle sera toujours en Amérique. Film, il devait donc y avoir. Et film il y a, avec ce « biopic » tourné par Abel Ferrara.

    Abel Ferrara, ce n’est pas n’importe qui. Il n’y avait que lui pour porter à l’écran les galipettes du « meilleur économiste de France », et surtout notre « Gégé » national pour donner corps pelliculaire à ce même Sardanapale mondialisé.

    En ces colonnes, nous avions déjà fait état de la bande-annonce du bidule qui fâche, Welcome to New York, juste avant que cette dernière ne soit ôtée de la Toile. Aujourd’hui, après présentation parallèle à Cannes, l’objet du délit fait un carton en « VOD », faute de sortie classique sur les écrans d’autrefois. Et là, juste histoire de voir comment le monde est mal fait et de constater à quel point l’histoire peut être ironique, c’est Dominique Strauss-Kahn qui porte plainte et Anne Sinclair qui se refuse à le faire.

    Passons vite sur le premier des protagonistes, poissé entre Sofitel ricain et Carlton lillois : c’est la vertu outragée ; un peu comme si l’abbé Pierre s’était fait choper dans une tournante ? Il y a de ça. Constitutionnellement, DSK a donc le droit de porter l’affaire en justice ; il nous reste au moins celui de rire sous cape, ou peignoir. Paradoxalement, celle qui serait en droit de faire procès ne le fait pas : Anne Sinclair a toujours eu de la classe et, à son âge, on ne se refait pas. Ainsi, sur la version française du Huffington Post, site Internet qu’elle dirige, ces quelques mots : « Je n’ai pas l’habitude, dans ces colonnes, de faire part de mes sentiments personnels. Mais comme le personnage de Simone dans le film “Welcome to New York” prétend me représenter, je veux seulement dire ici mon dégoût. Dégoût, d’un film où l’exhibition permanente du corps de Gérard Depardieu, présentée comme une audace, donne en fait le haut le coeur. Dégoût des dialogues minables et grotesques. Dégoût de la façon dont M. Ferrara représente les femmes, ce qui doit illustrer ses propres pulsions. Dégoût enfin et surtout du soi-disant face à face des deux personnages principaux, où les auteurs et producteurs du film projettent leurs fantasmes sur l’argent et les juifs. »

    Nous y voilà. Et voilà surtout l’occasion de quelques mises au point. Certes, Anne Sinclair est juive et riche. Et alors ? Son grand-père fit fortune en tant que marchand de tableaux – il avait en tout cas plus de goût qu’un Pinault (même pas simple flic) et ce n’est pas lui qui aurait fait fructifier la carrière d’un Jeff Koons –, et alors ? Le père d’icelle fut un éminent résistant de la première heure, et alors ? On nous dit que par « antiracisme », Anne Sinclair s’est toujours refusée à recevoir Jean-Marie Le Pen dans son émission « Sept sur Sept ». Et alors ? Sauf que là, c’est faux. Car si l’ex-président du Front national ne fut jamais convié dans son rendez-vous du dimanche soir sur TF1, elle se rendit néanmoins chez lui, dans sa maison de La Trinité, pour son émission « Questions à domicile ». Et si elle était alors en froid avec Jean-Marie Le Pen, c’était pour un papier assez idiot, signé du défunt François Brigneau, publié dans les colonnes d’un journal lui aussi défunt, National Hebdo, celui du Front national, dans lequel la dame qui nous occupe était dépeinte comme une « pulpeuse charcutière casher » ; ce qui, on l’admettra, n’était pas du meilleur goût.

    Pour le reste, du temps de ces belles années de TF1, l’un de ses meilleurs copains n’était autre que Patrick Richard, qui la filmait chaque dimanche sur « Sept sur Sept », et par ailleurs militant lepéniste revendiqué dans la maison Bouygues. « Il me fait rire et il est tellement mignon », avait-elle coutume de dire.

    Bref, dans l’ex-couple Sinclair/DSK, on sait désormais qui est l’homme ; et, surtout, qui se comporte en tant que tel. Même si grande dame, à l’évidence.

    Nicolas GAUTHIER

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Léonarda confirme les informations de Valeurs actuelles : elle va rentrer en France

     

    Polémique, Européennes. Invité ce matin de France Info, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius a réagi aux révélations de Valeurs actuelles expliquant comment Léonarda prépare son retour. Le ministre des Affaires étrangères affirme que Léonarda ne rentrera pas en France : « la réponse a été non, cette famille n’aura pas sa place en France ».

     

    Sauf que, sur la même antenne, interrogée, Léonarda confirme les informations de Valeurs actuelles : elle a un passeport Croate. Elle peut donc rentrer en France en toute légalité.

    Léonarda est claire : « on attend que notre passeport (croate) soit prêt et on est libre, on peut aller où on veut après. Parce que c’est l’Europe et puis voilà ».

    Laurent Fabius se trompe, Léonarda a raison.

    En vertu d’accords signés le 1er juillet 2013, les ressortissants Croates sont dispensés d’obligation de visa de court séjour, aussi appelé « visa Schenghen » pour voyager librement au sein de l’espace Schenghen. Une simple carte d’identité suffit, les ressortissants croates ne sont même pas obligés d’être détenteurs d’un passeport biométrique. Contactés par Valeurs actuelles, les services de gestion de demande de visa en France expliquent que « la procédure est incontrôlable ». Ils poursuivent : « C’est de cette manière qu’une grande partie des immigrés entrent légalement en France et avec le temps, restent définitivement sur le territoire. C’est imparable ! »

    L’information qui produit l’effet d’une « bombe » à quatre jours des européennes

    UMP et FN se sont écharpés tout au long de la campagne sur la question des frontières et de l’espace Schenghen. Quand certains demandent une révision des accords de Schenghen (libre circulation des biens et des personnes au sein de pays membres de l’espace Schenghen), les autres parlent tout simplement d’une sortie de l’espace Schenghen.

    L’affaire Léonarda, saison 2, met dos à dos les deux partis : cette révélation est l’illustration qu’au-delà de Schenghen, n’importe quelle personne, détentrice d’une carte d’identité croate peut circuler librement partout en Europe. Ce cas d’école montre ainsi au grand public que la notion de frontière autour de l’espace Schenghen n’existe plus.

    E&R

  • Vingtième anniversaire de la disparition de l’écrivain et poète « JEAN DOUTRELIGNE » …

     

    Il y a quelques semaines paraissait dans les pages nécrologiques des quotidiens belges Le Soir et L’Avenir ce texte : « 31 mars 2014 : vingtième anniversaire de la disparition de l’écrivain et poète JEAN DOUTRELIGNE 1906-1994. Auteur de ‘Notre-Dame’ de la ‘Sagesse’, ‘Révolution des âmes’, ‘La Chanson ardennaise’, ‘La Grande Bagarre’… Sa famille, ses amis, ses disciples ne l’oublient pas. » Jean Doutreligne est le pseudonyme de… Léon Degrelle, qui écrivit de magnifiques poèmes. La parution de cette annonce à laquelle les services des deux journaux n’y virent que du feu suscita évidemment la joie chez certains et la fureur chez d’autres.

    Degrelle

    C’est une des nombreuses anecdotes que l’on trouve dans le livre consacré à Léon Degrelle dans la nouvelle collection de Synthèse nationale, pilotée par Roland Hélie et intitulée « Cahiers d’histoire du nationalisme ». On y trouve des contributions de Camille Galic, Francis Bergeron, Pierre Vial, Yvan Benedetti, Alexandre Gabriac, Henri de Fersan et d’autres qui nous pardonneront de ne pas les citer tous. On y trouve aussi un article de Saint-Loup et un important discours de Léon Degrelle, prononcé le 7 février 1943 à Berlin, intitulé : « Pour la révolution nationale-socialiste ». Christophe Georgy nous présente la biographie du « beau Léon ». Ses soldats le surnommaient aussi affectueusement « Modeste 1er de Bourgogne » car il n’avait, à juste titre, pas la réputation d’être d’une modestie excessive.

    Naissance et jeunesse

    C’est dans les Ardennes belges, dans la petite ville de Bouillon, située à trois kilomètres de la frontière française, au nord de Sedan, que nait Léon, Joseph, Marie, Ignace Degrelle, le 15 juin 1906, dans une famille d’origine française, très catholique. Son père, Edouard Degrelle, brasseur de métier, avait quitté la France en 1901 car il était opposé aux persécutions qu’imposait le ‘Petit Père Combes’ aux congrégations religieuses. Léon Degrelle fut très marqué, dans sa jeunesse par l’affreuse guerre qui ravagea l’Europe, n’épargnant pas la Belgique. En novembre 1918, il est choisi pour présenter un compliment aux officiers français qui entrent à Bouillon. Le jeune scout fera à cette occasion le tour de la ville, main dans la main avec un officier dont le nom est… Philippe Pétain à qui il vouera toute sa vie une profonde admiration. Dès l’âge de seize ans, il se passionne pour la littérature et notamment pour l’œuvre de Charles Péguy. Il écrit des poèmes et commence à collaborer à des journaux.

    Degrelle journaliste

    Il commence à s’intéresser à la politique et grâce à la lecture de Charles Maurras dans l’Action française, il se forge ses premières convictions personnelles. Il lit aussi Léon Daudet et Jacques Bainville. C’est au cours de ses études en faculté de lettres et de philosophie thomiste à l’Université catholique de Louvain qu’il est repéré par Mgr Picard qui voit déjà en lui un vrai meneur. Il lui propose, alors qu’il n’a que vingt ans, de prendre la direction d’un journal d’étudiants dont il portera, grâce à son talent d’éditorialiste, les ventes à 10 000 exemplaires, chiffre impressionnant pour ce type de publication. Mais la consécration viendra avec sa rencontre avec l’abbé Norbert Wallez, directeur du grand journal catholique Le Vingtième siècle, qui l’engage.

    Degrelle rencontre Hergé

    Au même moment débute le jeune Georges Remi, qui se fera connaître sous le pseudonyme d’Hergé. Comme le raconte Francis Bergeron, leur amitié fut immédiate et définitive. Un vrai coup de foudre ! Hergé est fasciné par son nouvel ami et certains, dont Degrelle, prétendront qu’Hergé s’est inspiré de lui pour le personnage de Tintin. N’allons pas aussi loin. Degrelle, envoyé en reportage au Mexique où le gouvernement franc-maçon exterminait les chouans catholiques entrés en rébellion (les Cristeros), en profita, au retour pour se rendre en Amérique du Nord. Sur une photo connue, on voit Degrelle au pied des gratte-ciels new-yorkais, image transcrite presque à l’identique dans Tintin en Amérique. Hergé s’est évidemment inspiré des récits de son ami, des photos rapportées et aussi des bandes dessinées américaines, alors inconnues en Europe, que lui apporta son ami. Ils se rencontrèrent la dernière fois au début de l’Occupation mais restèrent en correspondance. On sait, raconte Bergeron, qu’Hergé a lu les deux livres de souvenirs de Degrelle dont La Campagne de Russie, qu’il avait trouvé « émouvant et bien écrit » et qu’il en conseillait la lecture à ses amis.

    Degrelle, patron de presse

    Journaliste, Degrelle lance plusieurs publications dont Rex, dont il deviendra le propriétaire en 1933. A 27 ans ! Il avait annoncé au lancement du journal : « Notre journal politique va y aller carrément. Nous servirons le Parti catholique de toutes nos forces, en le critiquant ou en l’encourageant, en attendant de le conquérir ». En 1934, il se rend en Espagne, y rencontre José Antonio Prima de Rivera qui fait de Degrelle le premier membre non espagnol de la Phalange ! La rupture avec les organisations catholiques, qui se méfiaient de plus en plus de son activisme, se produit en 1935. Arrivent les élections législatives du 24 mai 1936. Degrelle n’y va pas de mainmorte durant la campagne électorale. Un évêque sera même traité de « clown » et de « prêtre de foire ».

    Degrelle crée le Rex

    Rex a désormais vocation de devenir un part politique à part entière. Il s’appellera Rex. Degrelle trouve de nouvelles formes de manifestations. Il veut faire le ménage dans le Système. Il fait défiler des milliers de porteurs de balais. Il qualifie les politiciens vendus de « banksters ». Le soir des élections, le parti rexiste obtient 11,5% des voix, 21 députés et douze sénateurs. Robert Brasillach rencontre Degrelle et publie un reportage dans Je suis partout intitulé Visite à Léon Degrelle. Le chef du Rex se fait aussi inviter en Italie où il rencontre Benito Mussolini qui lui offrira une aide financière. Le 26 septembre 1936, il est reçu à Berlin par Adolf Hitler et son ministre des Affaires étrangères Joachim von Ribbentrop qui rapportera le commentaire du Führer : « Je n’ai jamais vu de tels dons chez un garçon de cet âge ». En janvier 1937, Rex organise au Palais des Sports de Bruxelles les fameux Six jours de Rex, rassemblant chaque soir douze à quinze mille personnes. Des élections ont lieu en avril 1937. Degrelle qui se présente en face d’une sorte de Front républicain, si l’on peut utiliser ce terme pour la Belgique, subit un revers. Il obtient 19% contre 76% à son adversaire qui était le Premier ministre…Il visite l’Espagne en 1938 et est reçu par le Caudillo. Lors des élections législatives du 2 avril 1939, il est cette fois-ci élu député à Bruxelles.

    Degrelle persécuté

    Pendant la « drôle de guerre », il soutient la politique de neutralité du Roi. Il estime que la responsabilité de la France et de la Grande-Bretagne, et plus spécialement des forces occultes de la franc-maçonnerie et de la finance juive, est à l’origine du conflit. Arrêté en mai 1940 ainsi que 6000 personnes soupçonnées appartenir à une « cinquième colonne » (dont des trotskistes, des nationalistes flamands, et même des réfugiés juifs allemands), il subira une incarcération avec passage à tabac, simulacre d’exécution, et sera déplacé dans 21 prisons françaises. Il sera libéré le 24 juillet sur ordre du Maréchal Pétain. Il aura eu plus de chance que le grand leader nationaliste flamand Joris Van Severen et un vieux militant rexiste qui furent exécutés par des soldats français avinés.

    Degrelle engage le Rex dans la Collaboration et la guerre

    Rentré à Bruxelles, il engage résolument le Rex dans la voie de la collaboration avec l’Allemagne. L’invasion de l’Union soviétique, le 22 juin 1941, constitue un tournant. Les rexistes peuvent concrétiser leur volonté de collaboration militaire contre le Bolchevisme. C’est ainsi qu’est créée la Légion Wallonie. Lors d’un rassemblement à Liège, le 22 juillet 1941, Degrelle annonce qu’il s’engage comme simple soldat. 730 militants rexistes l’accompagnent. Faisant preuve d’un grand courage sur le front, Léon Degrelle est décoré de la Croix de fer et nommé Feldwebel (adjudant) en mars 1942. La Légion a perdu 63% de ses effectifs… Degrelle considère que le moment est venu d’intégrer la Légion Wallonie dans la grande armée européenne que représente, à ses yeux, la Waffen SS. Degrelle, qui n’a pas froid aux yeux, négocie avec Himmler l’intégration mais exige le maintien de l’aumônier catholique belge et du français comme lange de commandement. Incroyable, Himmler accepte… Arrive janvier 1944 et la gigantesque bataille de Tcherkassy. C’est là que la Légion va obtenir tous ses titres de gloire. Degrelle est promu SS-Hauptsturmführer. Sur les 2000 volontaires engagés en novembre 1943, il n’en reste plus que 632. Envoyé à Berlin, il est reçu par Adolf Hitler qui le décore le 24 février 1944 de la Ritterkreuz (Croix de Chevalier de la Croix de Fer), une des plus hautes distinctions allemandes. Il fait la une de Signal. Il participe dans les semaines qui suivent à un meeting à Paris, au Palais de Chaillot, aux côtés de Jacques Doriot, Marcel Déat, Joseph Darnand et Fernand de Brinon. C’est la gloire.

    Degrelle se bat héroïquement jusqu’au bout

    Mais les choses ne vont pas tarder à se gâter. Son frère, Edouard, pharmacien à Bouillon est assassiné en juillet, alors qu’il ne joue quasiment aucun rôle dans le mouvement rexiste. Il retourne sur le front en Estonie où la Légion, avec des forces limitées, réussit à bloquer l’avance soviétique. Reçu à nouveau par Hitler, il se voit accrocher les Feuilles de Chêne sur sa Ritterkreuz. Hitler lui aurait déclaré : « Si j’avais eu un fils, j’aurais aimé qu’il fût comme vous ». Hitler le nommera Volksführer der Wallonen (chef de peuple des Wallons) le 23 novembre 1944. Mais les Alliés sont à Bruxelles et imposent une épuration sans relâche. La situation sur le front est mauvaise. C’est fini.

    Degrelle réussit à rejoindre l’Espagne

    Degrelle gagne la Norvège, réquisitionne un bimoteur appartenant au ministre Albert Speer, et… s’envole vers l’Espagne où l’avion, en panne de carburant, s’écrase dans la mer. Degrelle est sérieusement blessé : quatre fractures à l’épaule, une fracture du pied et de la jambe. Des blessures somme toute miraculeuses car elles lui évitent d’être ramené derechef en France. Débutent de longues années où les autorités belges chercheront par tous les moyens à obtenir son extradition, sans compter les six tentatives d’enlèvement dont il sera l’objet.

    La vie de Degrelle en Espagne

    Il va entreprendre un énorme travail d’écriture. On retiendra La cohue de 1940, son premier livre paru en 1949, La campagne de Russie, dans lequel il raconte ses souvenirs du front de l’Est, La grande bagarre, son seul roman écrit sous le pseudonyme de… Jean Doutreligne, Hitler pour mille ans, paru en 1969, et tant d’autres. Naturalisé espagnol en 1954, il se trouve enfin, de facto, protégé. Il va, petit à petit, réapparaitre en public. IL sera durant les années 60 et 70, le correspondant en Espagne du Spectacle du Monde sous pseudonyme, bien sûr. Il recevra beaucoup de visite de toute l’Europe, particulièrement de France et de Belgique. Camille Galic raconte une de ces rencontres où Dominique Jamet était présent. Dominique Jamet a, il est vrai, toujours été un esprit libre. François Mitterrand l’imposera trois ans plus tard comme Président de l’Etablissement public de la Bibliothèque nationale… Un banquet sera organisé tous les ans par le Cercle Franco-hispanique présidé par notre cher Olivier Grimaldi, qui vient, hélas de nous quitter. Léon Degrelle s’éteint à l’âge de 87 ans, le 31 mars 1994 à Malaga. Jean Vermeire, ancien officier de la Légion Wallonie révèle qu’il a dispersé les cendres du Chef à Berchtesgaden.

    Pour commander le livre Léon Degrelle : 20 € plus 3 € de frais de port.

    Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris

    article de Robert Spieler paru dans Rivarol du 24 avril dernier

    ALTERMEDIA FRANCE BELGIQUE

  • Léonarda prépare son retour en France !

    20 mai 2014   Willy Legrand                                                

    Leonarda prepare son retour en France

    Revue de presse de Valeurs actuellesExtraits. Polémique. Dans une note confidentielle datée du 12 février, adressée par le Service de sécurité intérieure (SSI) de l’ambassade de France à Pristina (Kosovo) à Manuel Valls, il apparaît que la famille de Léonarda a entamé des procédures pour changer de nom.

    Dans ce rapport que Valeurs actuelles s’est procuré, les policiers et les gendarmes en poste relèvent  « que M. Reshat Dibrani (…) père de la jeune Léonarda Dibrani, [a changé] de patronyme pour celui de Reshat Tahiri ».  Ce nouveau patronyme « correspond à celui d’un autre membre de la fratrie (…) installé en Croatie ».

    Au cours de leur enquête, ils se sont aperçus « que M. Dibrani / Tahiri […] ne se trouvait plus avec sa famille au Kosovo, qu’il était parti, depuis le 10 février 2014, rendre visite à son frère, installé en Serbie ».

    Les services français ont demandé à leurs homologues kosovars les raisons de ce changement de nom, sans obtenir de réponse.

    Deux hypothèses sont envisageables : lire la suite de l’article sur Valeurs actuelles

     

    NPI

  • Immigration: "Monseigneur Ebola peut régler ça en trois mois" selon Jean-Marie Le Pen

    http://www.leparisien.fr/politique/europeennes-le-pen-pere-predit-le-remplacement-des-populations-francaises-21-05-2014-3857085.php

  • SNCF: les nouveaux TER sont trop gros, 1 200 quais à raboter

    21 mai 2014

    Deux mille rames flambant neuves, plus larges que les précédentes, ne passent pas dans les gares les plus anciennes, révèle le « Canard enchaîné » daté de mercredi.

    Champions !

    Contre-info.com

  • 21 mai 1681 : ouverture du canal du Midi

    21 mai 2014

    Le canal du Midi ou canal des Deux-Mers est un canal français, long de 321 km, qui relie la Garonne à la mer Méditerranée.
    Il fut considéré par ses contemporains comme le plus grand chantier du XVIIe siècle.
    Sous le règne de Louis XIV, Pierre-Paul Riquet supervisa ce projet aux allures d’improbable défi, et fit preuve d’une grande largesse à l’égard des ouvriers et artisans (12 000 au total), posant d’indiscutables avancées sociales.

    Il ne verra pas la fin de l’oeuvre débutée en 1666, rendant l’âme en 1680.

    Le canal fournit, avec le canal latéral à la Garonne, une voie navigable de l’Atlantique à la mer Méditerranée.
    Il a été prolongé par le canal du Rhône à Sète. D’abord nommé canal royal en Languedoc, les révolutionnaires le rebaptisent en canal du Midi en 1789.
    Prisé des vacanciers, il est l’un des plus anciens canaux d’Europe encore en fonctionnement, .

    Plus d’informations sur wikipedia et sur ce site bien illustré.

    Contre-info.com

  • Linge aux fenêtres dans le centre historique de Naples

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    Un classique du centre historique, c'est aussi les panni stesi (en français : linges étendus). Toute l'année et par n'importe quel temps (soleil, pluie, vent), dans ce quartier, on trouve du linge étendu aux fenêtres ! À tel point qu'un proverbe populaire en napolitain dit: « Ma sti pann nun s'asciuttano maje? » (« Mais ces linges ne sèchent-ils, donc, jamais? »). Wikipédia

  • Une photo de François Hollande qui fait jaser

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    Bon, d’abord, ce maladroit n’arrive pas à utiliser correctement son arrosoir (l’eau s’échappe par le haut…), mais avec lui, ce genre de chose est devenu classique.

    Mais d’après certains, la forme du dos de sa veste indique qu’il porte quelque chose en dessous.

    Corset, soutien-gorge ? Ou peut-être un gilet pare-balles ?

    Ce qui prouverait qu’il prend très au sérieux son impopularité…

    Contre-info.com

  • Verdun La Voie Sacrée profanée

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    Un massacre. C’est au sacré que l’on vient d’attenter. C’est presque une profanation tant ces bornes sont symboliques. Surtout l’année du Centenaire de la Grande Guerre. Derrière ces blocs de béton rouge et blanc surmontés d’un casque de bronze orné d’une couronne de laurier se cache toute la souffrance des soldats de la Bataille de Verdun. Par-delà l’asphalte et la circulation routière, on sent encore la poudre des combats, la sueur des combattants montants au front et le sang de ceux qui revenaient de l’enfer. On entend encore le bruit des moteurs des camions amenant hommes, munitions et matériels. C’est grâce à ce cordon ombilical tendu entre l’arrière et l’enfer que Verdun a tenu.

    Hier, c’était la stupeur.

    L'Est Républicain  20 05 14

  • Ukraine : le Parlement promet de décentraliser le pouvoir

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    KIEV, 20 mai - RIA Novosti/La Voix de la Russie La Rada suprême (parlement ukrainien) a promis de décentraliser le pouvoir dans le cadre de la réforme constitutionnelle, lit-on dans le « mémorandum de paix et de consensus », approuvé mardi.

    La Rada s'engage « d'assurer la réalisation immédiate d'une réforme constitutionnelle reposant sur le principe de décentralisation du pouvoir », est-il indiqué dans le document.

    Le mémorandum prévoit en outre de proclamer l'Ukraine république semi-présidentielle, de rétablir l'équilibre entre les branches du pouvoir, de lancer une réforme judiciaire d'envergure en vue de garantir l'indépendance du système judiciaire et protéger les droits des citoyens.

    252 députés ont voté pour cette décision, la majorité qualifiée étant de 226 voix. Ledit mémorandum a été adopté sous forme de résolution ayant force de loi. Cette décision entre en vigueur dès le moment de son adoption.

     

    RIA Novosti
    Lire la suite:
    http://french.ruvr.ru/news/2014_05_20/Ukraine-le-parlement-promet-de-decentraliser-le-pouvoir-4050/

  • Le 25 mai, châtiez dans les urnes les fossoyeurs de la France

    http://ripostelaique.com/le-25-mai-chatiez-dans-les-urnes-les-fossoyeurs-de-la-france.html