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Blog - Page 767

  • Bruxelles : un «Français» plus que suspect

     

    Bruxelles : un «Français» plus que suspect - Est-ce vraiment sa nationalité qui détermine l’identité de Mehdi Nemmouche ?

    Est-ce vraiment sa nationalité qui détermine l’identité de Mehdi Nemmouche ?



    Jean Bonnevey
    le 01/06/2014
    Les médias n’ont cessé de titrer sur « un Français » arrêté et suspect de l’attentat du musée juif de Bruxelles. Comme s’il ne fallait retenir, pour définir cet homme, que sa nationalité. Toujours présumé innocent mais affirmé français.

    Une fois de plus les journalistes insultent l’intelligence des citoyens. Mehdi Nemmouche a peut- être des papiers français mais ce n’est pas cela qui est important pour lui et pour nous. Ce qui est important, c’est que ce jeune, issu de l’immigration,  est un délinquant défiant le vivre ensemble et qui s’est radicalisé vers le terrorisme islamique. Cet homme est un terroriste islamiste d’origine arabe- ne voulait il pas aller en Algérie- c’est cela qu’il est, bien plus qu’un français.

    Il faudra bien un  jour prendre à bras le corps le problème de ces renégats, de ces  apostats de la France qui veulent détruire notre mode de vie et nous imposer leur obscurantisme. On a peur de le dire car ce n’est pas politiquement correct. Il est plus facile et valorisant de faire croire que le terrorisme antisémite est le fruit des idées du Front national, une thèse pourtant démentie, terrorisme après terrorisme, par les faits car Nemmouche confirme Merah.
     
    On peut se demander jusqu’à quand la caste médiatique va continuer à mentir pour ne pas se démentir.
    On peut se demander jusqu’à quand la communauté juive effectivement menacée et frappée régulièrement, acceptera d’être représentée par des porte-paroles autistes sur le nouveau visage de l’antisémitisme en  Europe et en France et qui refusent obstinément de changer un logiciel vieux de 70 ans.

    Mehdi Nemmouche a été condamné à sept reprises et incarcéré cinq fois pendant plus de sept ans au total, notamment à Lille et à Toulon. C'est lors de ces séjours en prison qu'il se serait radicalisé. « Il avait un comportement de fort prosélytisme (...) Il faisait des appels à la prière collective lors des promenades en prison ». Fin 2012, début 2013, il quitte la France pour la Syrie où il reste un an. Il y aurait rejoint des forces combattantes. Il était fiché par la DGSI pour ces raisons. Il sort donc de prison en décembre 2012, donne l’adresse de sa mère et de sa tante à Tourcoing, mais n'’y met jamais les pieds. Il part en Belgique, où il est hébergé chez un ami. Puis il part en périple : Grande-Bretagne, Liban, Turquie, et sûrement Syrie. Son départ presque immédiat pour la Syrie laisse penser qu'il se serait radicalisé en prison. Lors de son arrestation, le suspect avait dans ses bagages un « drap blanc » portant une inscription en arabe au nom de l'État islamique en Irak et au Levant ( EIIL ), groupe djihadiste le plus radical combattant en Syrie, et les mots « Allah est grand ». De retour d'un séjour en Asie du Sud-Est, il est repéré par la police allemande qui signale sa présence à la DGSI. Une fiche de surveillance est alors élaborée. Personne ne sait toutefois où il se trouve, Mehdi Nemmouche n'ayant pas de domicile déclaré. Son interpellation dès son retour en France laisse penser qu'il s'agit de « son premier passage sur le territoire national depuis longtemps », souligne le procureur. Originaire de Roubaix (Nord), il a été arrêté à Marseille, à la gare routière Saint-Charles par les douaniers, alors qu'il se trouvait dans un autocar en provenance d'Amsterdam via Bruxelles.

    Un voyou devenu terroriste incontrôlé et arrêté par un heureux hasard après avoir tué avant peut-être de vouloir tuer encore ou de fuir vers un étranger plus proche pour lui que le pays dont il a la nationalité, voilà un parcours de plus en plus ordinaire.

    C’est notre sécurité qui est menacée par des gens qui, en fait, haïssent ce que nous sommes et veulent nous imposer par la force une domination de fait  de ce qu’ils croient être. Il faut leur prouver que leur «  sale guerre »  peut, pour eux, devenir fatale. C’est loin d être le cas.

    Mais ils savent que le système par anti-racisme leur trouvera toujours des excuses et que ceux qui ont tués ne seront jamais exécutés, ni même expulsés, ni même déchus d’une nationalité qu’ils méprisent et salissent. Les djihadistes de nos banlieues n’ont qu’une identité et ce n’est pas la nationalité française.
     
    METAMAG
  • Entretien avec Philippe Randa, auteur de Patton, général audace (éditions Dualpha)

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    George S. Patton  (1885-1945)

      

    (propos recueillis par Aliénor Marquet)

     

    Pourquoi le général américain Patton reste-t-il une figure de légende ?

     

    Sa conception moderne et souvent prémonitoire de la guerre, alliée à la certitude d’avoir vécu plusieurs vies antérieures, font de George Smith Patton, qui commanda notamment la 7e, puis la 3e armée sur le front européen, fut un des généraux les plus controversés de l’histoire contemporaine. Allure de cow-boy, langage haut en couleur et querelles chroniques façonnent sa légende autant que sa bravoure frôlant parfois l’inconscience. Une chance incroyable couronne immanquablement ses exploits les plus téméraires. Il a conduit ses hommes dans les campagnes de Tunisie, puis de Sicile, mena des offensives prodigieuses depuis la Normandie jusqu’en Lorraine, puis dans les Ardennes avant d’entrer en Allemagne au printemps 1945.

     

    Son ambition personnelle est assez démesurée ?

    Indéniablement ! Son ambition personnelle est toujours allée de pair avec sa fidélité à la patrie américaine et son amour de l’Armée. Il fut le plus grand général de l’armée américaine lors du dernier conflit mondial… Son destin hors du commun gêne l’histoire officielle.

     

      Nommé gouverneur de Bavière après la chute du IIIe Reich, quel regard porte-t-il sur les anciens nazis ?

     

    Il veut oublier le passé nazi des Allemands en qui il voit les futurs alliés de la lutte contre les bolcheviques. Il reste obsédé par la menace soviétique et ne s’acquitte que très mollement de dénazifier sa juridiction, écrivant même à sa femme, après une visite de Berlin en ruines : « Nous avons détruit ce qui aurait pu être une bonne race, et nous sommes sur le point de remplacer ces malheureux par des Mongols sauvages et livrer toute l’Europe au communisme. »

     

    Les Allemands comprennent qu’ils ont en Patton un allié de poids et le considèrent vite comme leur sauveur, celui qui les a délivrés des hordes russes.

     

      Patton critiquant ouvertement le programme de dénazification, c’est la disgrâce…

     

    Elle est rendue officielle par l’annonce de son relèvement du commandement de la IIIe Armée et de sa destitution de son poste de gouverneur militaire de Bavière. Il en est brisé et profondément choqué. Le peuple américain réagit avec compassion au châtiment de Patton auquel il garde toute son estime. La grandeur et la gloire de ses campagnes sont intactes dans l’opinion publique de son pays.

     

    Plusieurs rumeurs ont couru après la mort de George Patton. A-t-il été victime d’un simple accident… ou d’un assassinat ?

     

    Il est difficile de se prononcer pour une thèse plutôt qu’une autre, mais les raisons de l’éliminer ne manquaient pas.

     

    Les Soviétiques voyaient en lui un ennemi acharné qui pou­vait très bien entraîner à moyen terme son pays dans une guerre contre le communisme.

     

    Les démocrates américains pouvaient craindre que leurs adversaires républicains ne présentent ce général, devenu terri­ble­ment populaire à la fin de la IIe Guerre mondiale, à l’élection présidentielle. Patton aurait alors eu de fortes chances de l’emporter.

     

    Des juifs auraient pu vouloir l’assassiner à cause de ses sympathies envers les anciens nazis et de son antisémitisme certain.

     

    Dernière hypothèse, reprise par le cinéma, celle d’un crime crapuleux commis par une organisation de malfaiteurs à laquelle le « Vieux Sang et Tripes » se serait attaqué.

      

    Cela explique-il le succès de votre livre (actuellement la 4e édition augmentée) ?

     

    Cela explique en tout cas qu’il soit un des rares livres en français qui lui ait été consacré. Il est évidemment que l’anticonformisme du personnage, ses idées politiquement incorrectes (euphémisme !) n’ont guère incité les éditeurs français à lui rendre beaucoup d’hommage posthume.

     

    Patton, général audace,  Philippe Randa,  préface de Jacques Borde,  éditions Dualpha, collection « Vérités pour l’Histoire », 178 pages, 23 euros. Très nombreuses illustrations + index.

     

     

     

  • Brachay, le village le plus patriote de France

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    Situé dans la Haute-Marne, Brachay et ses 28 votants ont massivement voté pour le Front national.

     
     

    C'était le village symbole de la campagne présidentielle censé représenté «la France des oubliés» chère à Marine Le Pen. Cette dernière s'est même déplacée deux fois à Brachay (Haute-Marne), cette commune de 60 habitants qui a donné au FN son meilleur score en 2012: 72 % des suffrages. En avril 2012 puis en octobre 2013, où elle avait tenu un meeting sur la place du village.

    Dimanche, à Brachay, les partis eurosceptiques ont fait recette. La petite commune a offert 22 voix à Florian Philippot (FN), soit 84.62% des suffrages. Le Front de gauche a reçu trois voix. Un autre suffrage a été attribué à un petit parti anti-euro, l'Union populaire républicaine (UPR). «Brachay reste le village le plus patriote de France, Bravo», a tweeté le vice-président du FN, Florian Philippot.

    Mais l'UMP et le PS n'ont reçu aucun vote.

    En 2012, cette commune, proche de Colombey-les-Deux-Eglises avait fait l'objet d'un article de Rue89. Gérard Marchand, le maire frontiste d'alors y décrivait l'ambiance: «Les gens se côtoient le 14 Juillet et au goûter de Noël, c'est tout. Sinon ils travaillent leur jardin. Quand ils voient ce qu'il se passe à la télé, ils ont peur d'être attaqués la nuit. Ils sont barricadés. C'est flagrant l'hiver: les habitants ont trois verrous à la porte à 19 heures.»

    Le Figaro

  • Une jeune touriste française enterrée vivante au Maroc

    Un homme, arrêté au Maroc, aurait paniqué quand la jeune femme, diabétique, a perdu connaissance. La croyant morte, il l’aurait enterrée dans son jardin… où elle serait réellement décédée, peu après.

    Une femme de 25 ans domiciliée à Cadenet (Vaucluse) est morte dans des circonstances troublantes lors d’un séjour touristique au Maroc. Un voyage programmé à Fès entre le 19 et le 23 mai. « Tout ce que je sais c’est qu’elle a été retrouvée dans un jardin », confie la sœur de la victime.

    Fils d’un notable de Fès

    Plusieurs journaux dont Yabiladi au Maroc et El Periodiquito en Espagne relatent que la malheureuse a été enterrée vivante dans la propriété d’un homme qu’elle avait comme « ami » sur Facebook. Ce dernier est le fils d’un notable domicilié à Fès. Il y a été arrêté par la police marocaine et écroué, mercredi soir, après avoir été déféré devant le procureur général de la cour d’appel de la ville.

    Les proches de la victime, inquiets, ont découvert des éléments suspects.  Une plainte a été déposée dès lundi dernier à la gendarmerie de Cadenet. L’enquête a mis au jour la relation virtuelle entretenue avec le suspect. Le suspect serait passé aux aveux. Et d’expliquer, toujours selon nos confrères, qu’il aurait paniqué en voyant son amie perdre connaissance.

    Le Dauphiné libéré  01 06 14

  • Frédéric Haziza le 24 mai avait dû voir un blond aux yeux bleus au Musée juif de Bruxelles comme pour Merah !

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    Le journaliste Frédéric Haziza (en particulier éditorialiste sur La Chaîne parlementaire – Assemblée nationale, LCP-AN, et chef du service politique de Radio J) a publié le tweet ci-dessous le 24 mai, veille des élections européennes.

    Il avait dû voir au Musée juif de Bruxelles un blond aux yeux bleus, comme l’avaient vu plusieurs grands médias (TF1, France 2, M6…) pour Mohamed Merah avant qu’il soit arrêté et alors qu’il portait un casque intégral !

     

  • "Attention Mme Merkel", prévient Marine Le Pen

    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/01/97001-20140601FILWWW00090-attention-mme-merkel-previent-le-pen.php

  • Ministre de l’Éducation communautaire

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    Benoît Hamon cède aux injonctions du CRIF

    Benoit Hamon, ministre de l’Éducation nationale, a promis à Roger Cukierman, président du CRIF, la nomination prochaine d’un Conseiller sur les questions de discriminations, de racisme et d’antisémitisme au sein de son cabinet.

    L’entretien s’est déroulé le lundi 19 mai 2014. Le ministre Benoit Hamon recevait une délégation du CRIF composée de Roger Cukierman, Robert Ejnes et Jean-François Bensahel. L’entretien a porté essentiellement sur l’antisémitisme à l’école.

    Le CRIF a demandé une application plus rigoureuse des lois contre l’antisémitisme, le racisme et les discriminations au sein de l’enseignement public, souhaitant que les chefs d’établissement scolaire dénoncent tout ce qui pourrait être considéré comme incitation aux discriminations, préjugés et actes à caractère raciste, antisémite ou homophobe. Le CRIF a proposé à ce sujet une formation à la lutte contre les comportements et discours discriminatoires, à dispenser aux directeurs d’écoles primaires.

    Selon le communiqué du CRIF, « le Ministre a apporté son soutien à ces propositions et a annoncé la nomination prochaine d’un Conseiller sur les questions de discriminations, de racisme et d’antisémitisme au sein de son cabinet. Il a invité le CRIF, au travers de sa Commission Education, à participer et à faire des propositions dans ces dossiers ainsi que dans la refonte en cours des programmes éducatifs. »

    Précisons que Benoit Hamon fait partie des socialistes qui fréquentent les dîners du CRIF.

    E&R

  • Canton de Vaud : Des logements à bas loyers réservés aux Suisses de souche

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    La Municipalité de la Côte (canton de Vaud) a autorisé lundi la construction d’appartements à bas loyers. Seuls les Suisses de souche y auront accès. Une trentaine de logements sociaux seront bientôt bâtis à Coppet.

    Jusque-là, rien d’exceptionnel, sauf que les occupants de ces appartements devront être «de nationalité suisse, en principe dès leur naissance» .

     

    La précision figure dans les statuts de la Fondation privée Pierre et Esther Duvillard, qui érigera l’immeuble. Le Conseil communal de la Municipalité vaudoise a autorisé ces constructions lundi. Il ne se prononçait que sur le plan partiel d’affectation.

    Selon la conseillère d’Etat Béatrice Métraux, citée par «La Côte» et «Le Courrier» qui rapportent l’affaire, l’Etat de Vaud ne peut s’opposer à un projet privé fondé sur la préférence nationale. «Nous n’avons pas de pouvoir d’examen sur les relations entre privés, dit-elle. En l’occurrence, le terrain appartient à un privé et cette fondation est privée. La décision des autorités de Coppet concerne seulement l’aménagement du territoire.»

    Les logements accueilleront des bénéficiaires de l’AI ou de l’AVS.

    20 minutes.ch (Merci à abrutix, Flamm et Picton)

    FDESOUCHE

  • Musée juif de Bruxelles: une vidéo du suspect évoque l'attentat

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    http://www.laprovence.com/article/actualites/2902607/musee-juif-de-bruxelles-une-video-du-suspect-evoque-lattentat.html

  • Fusillade de Bruxelles: du braquage au jihad, parcours de Mehdi Nemmouche, le tireur présumé

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    Un profil jihadiste, un casier criminel, une enfance difficile. Le voile se lève peu à peu sur la personnalité et la vie de Mehdi Nemmouche, un Français de 29 ans arrêté vendredi à Marseille, et soupçonné d'être le tireur qui a abattu quatre personnes au Musée juif de Bruxelles le 24 mai dernier.

     

     

    Impossible, en découvrant la parcours de ce délinquant présent sur les radars du renseignement français depuis plusieurs mois, de ne pas penser à Mohamed Merah, l'auteur des tueries de Toulouse et Montauban en 2012.

    Accablé mais silencieux. Arrêté à la gare routière Saint-Charles à Marseille par les douaniers, lors d'un simple contrôle, alors qu'il se trouvait dans un autocar en provenance d'Amsterdam, via Bruxelles, cet homme originaire de Roubaix (Nord) se présente pour l'instant aux policiers comme un sans domicile fixe, et a gardé le silence durant les 24 premières heures de sa garde à vue. Les éléments semblent pourtant accablants : il était en possession d' du même type que celles utilisées à Bruxelles, ainsi que d'une caméra GoPro et d'une casquette correspondant aux images de vidéosurveillance du Musée juif, où un couple d'Israéliens, une bénévole française et un employé belge, ont été tués par balles le 24 mai dernier. Plus accablant encore, il revendique dans un saisi sur lui l'attaque de Bruxelles.

    Un profil de jihadiste à la «Merah».  Lors d'une conférence de presse, le procureur de la République François Molins s'est étendu sur le parcours de ce délinquant multirécidiviste, qui «s'est radicalisé lors de sa dernière détention», suite à une condamnation en 2009 à deux ans de prison pour aggravé. «Il a fait preuve de radicalisme religieux et s'est rapproché de groupes jihadistes», ce que l'administration pénitentiaire a immédiatement signalé aux services de renseignement. Mais, trois semaines après sa libération en décembre 2012, Mennouche quitte la France pour la Syrie via Bruxelles, Londres, Beyrouth et Istambul. S'il n'a jamais été localisé durant cette période, le Renseignement français assure qu'«il a passé plus d'une année en Syrie, où il a rejoint les groupes combattants de l'Etat islamique en Irak et au Levant» avant de revenir en Europe «en brouillant les pistes», selon les mots du procureur qui a notamment évoqué un séjour d'un mois en Malaisie. Repéré dans un aéroport allemand en février 2014, il disparaît une nouvelle fois des radars...avant d'être interpellé en France.

    Un parcours qui n'est pas sans rappeler celui de Mohamed Merah, jeune délinquant radicalisé dans ses convictions islamistes qui avait séjourné en Afghanistan et au Pakistan avant de tuer trois parachutistes puis trois enfants et un enseignant juifs à Toulouse et Montauban en mars 2012. 

    Des condamnations pour vols et braquages.  Délinquant notoire, le suspect avait déjà été condamné à 7 reprises pour conduite sans permis,  vols et braquage, entre 2004 et 2009. En 2009, il avait notamment été condamné avec deux autres prévenus à deux ans de prison pour le braquage le 13 août 2006, d'une supérette de Tourcoing (Nord), le «Penny Market». Au total, Mehdi Nemmouche a passé plus de 5 ans en prison.

    Un homme «vif et intelligent» mais «pas religieux». Pour son avocate, Mehdi Nemmouche «n'avait aucune pratique religieuse. Cela ne correspondait pas à sa personnalité». «Ce ne serait pas étonnant qu'en maison d'arrêt des jeunes hommes finissent par, malheureusement, dévier, notamment quand ce sont des jeunes gens en déshérence», a toutefois ajouté l'avocate sur BFMTV, évoquant un «grand gâchis». «Pour quelqu'un qui s'est retrouvé seul à la rue à 17 ans, qui était intelligent et vif d'esprit, je ne crois pas que la prison soit la meilleure solution», a-t-elle expliqué, se souvenant  d'un homme «qui voulait s'en sortir».

    Une enfance difficile, sa famille «choquée» «On est très choqués. On n'est pas bien et on ne s'y attendait pas», a déclaré à la presse une des tantes de Mehdi Nemmouche, interrogée devant la maison d'un quartier résidentiel de Tourcoing (Nord), où il a vécu quelque temps. «On l'a appris ce matin aux infos», a-t-elle ajouté, décrivant son neveu comme «quelqu'un de gentil, d'intelligent, scolarisé, qui avait fait une année d'université», mais aussi «très discret» et qui «ne se confiait pas facilement». Elle a rappelé qu'il avait été placé peu après sa naissance avant d'être hébergé par sa grand-mère à l'âge de 17 ans. La famille n'a «plus eu de contact avec lui» à partir du milieu des années 2000, alors qu'il était en détention.
    «Apparemment, il était dans une prison dans le sud. Nous, on ne savait plus rien. Il ne voulait pas donner de ses nouvelles, il ne voulait pas nous causer de problèmes», a expliqué un autre proche requérant l'anonymat. A sa sortie de prison, fin 2012, la famille a «eu la surprise de le revoir. Il est venu faire un petit bonjour, pour nous rassurer, puis on ne l'a plus jamais revu», a témoigné sa tante. «Il ne fréquentait pas la mosquée, il ne parlait pas de religion (...). C'est forcément en prison (qu'il a pu se radicaliser)», a-t-elle ajouté. Un autre membre de sa famille, qualifiant la tuerie de Bruxelles d'«acte horrible, odieux», ressent son arrestation comme «un fossé».

    Le Parisien  01 06 14

  • Qui connaît Christophe Rambour, torturé et séquestré durant des semaines ?

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    Le 30 mai 2014
    Le meneur de cet autre gang des barbares, Narin Bun, est semble-t-il tout aussi effroyable que son prédécesseur, l'immonde Youssouf Fofana.
             

    Christophe Rambour est mort à 27 ans, au début de l’année 2012. Il a fallu sept mois d’enquête aux gendarmes d’Amiens dans la Somme, pour découvrir l’atroce vérité. Les meurtriers n’ont été arrêtés qu’il y a quelques jours comme l’a révélé Le Courrier Picard, les parents de la victime ont appris à cette occasion les terribles conditions de sa mort.

    Le jeune homme était un maître-chien sans histoire, sans emploi depuis peu, et n’ayant jamais eu d’ennuis avec la justice. Il était gentil et serviable, rapporte Le Courrier Picard. Ses derniers jours furent un calvaire inhumain. Torturé et séquestré durant plusieurs semaines, par une fratrie de cinq personnes âgées de 25 à 31 ans (dont deux femmes) motivées par l’appât du gain et incapables d’empathie.

    Le meneur de cet autre gang des barbares, Narin Bun, est semble-t-il tout aussi effroyable que son prédécesseur, l’immonde Youssouf Fofana.

    Les voisins des tortionnaires n’ont rien remarqué. Encore sous le choc, ils témoignent, toujours dans Le Courrier Picard : « Je suis retournée. Nous n’avons rien vu, rien entendu. Ils ont même dû nous surveiller pour être sûrs que l’on ne s’apercevait de rien.» Provocateur, agressif, propriétaire de chiens dangereux,Narin Bun intimidait le voisinage et les agents de l’état par ses regards agressifs et ses menaces. Croulant sous les dettes, il aurait décidé de capturer Christophe Rambour afin de profiter de son argent, notamment en l’obligeant peut-être à vendre sa voiture. Une fois rassasié et Christophe Rambour mort, lui et ses complices se sont débarrassés du corps en le découpant puis en le brûlant.

    Cette affaire illustre le caractère barbare et aveugle des faits divers actuels, toujours plus violents, toujours plus incompréhensibles. Combien faudra-t-il de martyrs pour que la prise de conscience soit réelle et que la lutte soit efficace ? La victime était d’un milieu simple, un brave garçon, il n’avait pas mérité un tel sort et doit susciter notre compassion et celle des milieux politiques et médiatiques.

    En effet, ce cas est tout à fait semblable à celui d’Ilan Halimi qui a beaucoup fait réagir, à juste titre. Christophe Rambour doit être traité sur un pied d’égalité, car pour l’instant son histoire n’a été abordée que dans la presse régionale. Pas d’émissions spéciales, pas même à ma connaissance d’entrefilet sur une chaîne nationale.

    Le gouvernement devrait donc se prononcer sur cette affaire et faire la pleine lumière sur les tortionnaires, à la suite des grand médias cruellement silencieux jusque lors. Par exemple, Narin Bun et ses sœurs étaient-ils de nationalité française ? Sont-ce des récidivistes ? Etaient-ils connus des services sociaux et de police ?

    La mort de ce jeune homme, dramatique et choquante, n’est pas à oublier. Il faudra s’en souvenir et honorer sa mémoire à la mesure de la gravité des faits.

    Gabriel ROBIN

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Affaire "Bornand" : le Parquet fait appel des contrôles judiciaires

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    Marseille / Publié le Samedi 31/05/2014 à 11H12
     
     
     

     Une caution de 50 000 €, l'interdiction de se rendre à son cabinet, d'exercer sa profession et de rencontrer les protagonistes du dossier : le strict contrôle judiciaire auquel est soumis l'avocat marseillais, Maître Antoine Béraud, depuis jeudi, sur décision du juge des libertés et de la détention, ne satisfait pas le parquet de Marseille.

    À l'issue de la mise en examen de l'avocat pour des faits de "corruption active et d'escroquerie en bande organisée", le parquet avait requis un mandat de dépôt. N'ayant pas été suivi dans ses réquisitions, il a, hier, interjeté appel de cette décision, réclamant qu'il soit placé en détention provisoire. "Ce sont des faits financiers pour lesquels il n'y a aucun risque de déperdition de preuve", a réagi, surpris, Maître Perez, un des conseillers de l'avocat. "Par ailleurs, son sort professionnel est entre les mains du conseil de l'Ordre. La détention provisoire n'a aucun intérêt dans ce dossier".

    Un des deux inspecteurs des impôts mis en cause devrait comparaître à ses côtés devant la chambre de l'instruction dans les prochains jours. Le parquet conteste aussi sa remise en liberté sous contrôle judiciaire. Pour l'heure, une seule personne a été écrouée dans ce dossier, Patrick Sitbon, le gérant de la bijouterie Bornand, située rue Paradis. La justice cherche à savoir d'où proviennent les 450 000 € retrouvés dans le coffre de la bijouterie et pourquoi ils n'ont pas été déclarés aux impôts. 

    La Provence

  • Photo du jour: contagion ?

  • Pas d’école maternelle musulmane en Suisse

             

       dans Europe, International / Par / le 31 mai 2014 à 11:25 /

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    Le canton de Zurich s’est prononcé le 27 mai contre l’ouverture de ce qui s’annonçait comme la première école maternelle musulmane de Suisse. Le département de la formation zurichois a notamment mis en avant la proximité de l’association Al Huda, porteuse de ce projet, avec le Conseil central islamique suisse (CCIS) classé radical. La vice-présidente d’Al Huda et responsable administrative du projet d’école serait membre du CCIS.

    Les autorités zurichoises ont diffusé un communiqué : « En raison des objectifs du Conseil central, un danger subsiste que les enfants soient éduqués selon des valeurs partiales, qui seraient incompatibles avec les préceptes de l’école obligatoire, tels que la tolérance, l’ouverture et le dialogue. Ce qui contrevient à la loi », explique Martin Wendelspiess, le responsable du département de formation. « Nous doutons, de plus, que le jardin d’enfants puisse remplir les objectifs du programme scolaire zurichois », ajoute-t-il.

    Al Huda avait déposé sa demande en juin 2013. Son projet de jardin d’enfants avec enseignement de l’arabe et du Coran prévoyait d’accueillir entre 15 à 25 élèves âgés de 4 à 6 ans dans un appartement d’un centre islamique situé à Volketswil.

    MPI

  • Chroniques de l’Europe assiégée (suite) : des djihadistes arrêtés à Melilla (Espagne)

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    31/05/2014 – MELILLA (NOVOpress) - Sept personnes ont été arrêtées à Melilla (Espagne) dans le cadre d’une opération conjointe de la gendarmerie et de la Police espagnoles, qui ont démantelé un réseau international de recrutement djihadiste pour le compte d’organisations islamistes installées au Mali et en Libye. Parmi les personnes arrêtées figure le premier djihadiste “espagnol” tout juste rentré du Mali. Melilla est une petite ville espagnole située sur la côte Nord-Ouest de l’Afrique, et formant une encoche dans le territoire marocain. À l’image de Lampedusa en Italie, Melilla sert de point de passage aux africains subsahariens pour rentrer illégalement en Europe : rien que cette semaine, près de 500 d’entre eux sont parvenus à rejoindre Melilla.

    Depuis le mois de mars, les polices espagnole et marocaine ont porté un coup dur à la cellule djihadiste la plus active en Espagne, responsable du recrutement de volontaires pour les djihad notamment à destination de la Syrie et du Mali.

    En France, le Bloc identitaire et le député Jacques Bompard militent pour la suppression de la nationalité française aux djihadistes : près de 300 Français issus de l’immigration se battraient actuellement dans des groupes terroristes musulmans en Syrie. Le cocktail explosif immigration/islam, dont Mohamed Merah et sa famille sont la plus parfaite illustration, ne fait que commencer en Europe…

  • Les chiffres effarants de l'austérité en Grèce (cliquez sur le lien)

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  • Italie : 3 000 migrants secourus en 24 heures en Méditerranée

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    La marine italienne a annoncé samedi avoir secouru en 24 heures près de 3 000 migrants qui tentaient la dangereuse traversée de la Méditerranée en bateau.

    Environ 1 300 ont été secourus samedi dans le cadre d’une opération importante destinée à sauver les vies de milliers d’immigrants qui sont à bord d’embarcations de fortune surchargées.

    Près de l’île de Lampedusa

    Vendredi, des bateaux de la Marine se sont portés au secours de 1 443 personnes et de 200 migrants près de l’île de Lampedusa, où plus de 400 personnes avaient trouvé la mort l’an dernier. Dans le courant du mois, 14 personnes avaient trouvé la mort dans un naufrage entre la Libye et l’Italie.

    Le journal La Repubblica, qui parle d’un « exode sans fin vers les côtes de la Sicile », avait rapporté que les migrants étaient principalement des Syriens et Egyptiens.

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