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Blog - Page 834

  • 30 ans de la mort du général Raoul Salan

     

    Cette année sera commémorée la mort, il y a 30 ans, du général Raoul Salan.

    Ce militaire de prestige fit surtout parler de lui lors du « putsch des généraux », face à la trahison de De Gaulle en 1961, avant de prendre la tête de l’OAS.

    En cliquant ici, on peut écouter pendant quelques jours une émission de Radio Courtoisie consacrée à cet homme, avec Dominique Salan (sa fille) et Pierre Pellissier, qui vient de faire paître une biographie à son sujet : Salan : à la recherche du soldat perdu (achetable ici).
    Il y a aussi la biographie écrite par Alain Gandy en 1990 (achetable ici).

    Contre-info.com

  • La destruction de Dresde : le pire massacre de l’homme

     

    Par Richard Odorfer

    Il existe des milliers de films, de livres et de mémoriaux consacrés aux victimes de l’Allemagne nazie, mais, pour ce qui concerne la quantité énorme de crimes de guerre commis pendant et après la Deuxième Guerre mondiale par les vainqueurs contre des Allemands innocents, les grands médias en font des sujets officieusement tabous. Ma petite lettre ne fait qu’effleurer une partie de la vérité.

    En 1945 Dresde était une ville splendide de 650 000 habitants. Le 13 février de cette année-là, la ville était envahie par près de 750 000 réfugiés qui avaient fui devant l’invasion de l’armée soviétique et campaient dans les parcs, sur les trottoirs, dans les rues. Chacun se sentait en sécurité puisque Dresde n’était pas une cible militaire, c’était une ville hôpital qui pouvait se vanter de posséder 25 grandes installations médicales. La ville ne fabriquait pas de matériel de guerre, et par conséquent était laissée sans défense.

    À 22h15, 800 bombardiers britanniques, avions d’escorte et de diversion convergeaient sur Dresde et larguaient des bombes incendiaires qui mettaient le feu à la ville d’une extrémité à l’autre. Une fois le ciel dégagé des avions ennemis, ceux qui avaient survécu dans des abris ressortaient dans les rues pour aider les blessés et enlever les morts. Des unités de service de secours de la région environnante se précipitaient dans la ville détruite pour apporter leur aide.

    Les Anglais faisaient alors croire aux Allemands que le raid était terminé pour la nuit, mais ils envoyèrent une deuxième vague de bombardiers pour « faire coup double » en revenant piéger les secouristes dans les rues en feu.

    Ce deuxième raid allait tuer des milliers de personnes qui se trouvaient en plein air, et eut aussi pour effet de produire la tempête de feu planifiée par les Anglais, provoquant dans la vieille ville des températures atteignant le niveau incroyable de 3 000 degrés Fahrenheit [1 600°C].

    Ce crime contre l’humanité était tel que les victimes étaient aspirées dans un mur de flammes par un vent si puissant qu’il en avait renversé des wagons. Les sauveteurs découvriront dans les caves, à plusieurs pieds de profondeur, de la chair humaine fondue et des os.

    En tous les cas, de toutes les horreurs que peut produire une tempête de feu dans une ville surpeuplée, la plus déchirante est quand des milliers d’enfants ont perdu leurs parents dans la panique et, essayant de fuir les incendies, se sont retrouvés les pieds englués dans le goudron et l’asphalte en fusion. « Ils empoignaient leurs membres torturés puisque leurs toutes petites jambes brûlées ne les tenaient plus debout ... puis ils s’effondraient jusqu’à ce que la mort vienne les libérer de leur misère physique. »

    Le massacre continuait le lendemain matin, avec une troisième attaque de 400 avions américains qui larguaient des bombes sur la ville déjà détruite, et des avions de combat, volant à basse altitude, mitraillaient le personnel médical et leurs patients étendus sur des couvertures le long de l’Elbe.

    Mais ce n’était pas tout. Dresde était bombardée encore trois fois, par un total de 1 172 avions : le 15 février, le 3 mars et le 17 avril 1945.

    Le nombre des tués de Dresde oscille entre 250 000 et 400 000. Ce fut le pire massacre de l’homme.

    Le sinistre 13 février devrait être retenu comme un jour de deuil et de souvenir.

    Richard Odorfer, 13 février 2011

    E&R

  • Allemagne, février 1945 : l’enfer sur Dresde

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    Par la rédaction d’E&R

    Février 1945 : le régime nazi n’a plus que quelques mois à vivre.

    Malgré l’offensive des Ardennes, ultime baroud d’honneur du IIIème Reich sur le front de l’Ouest, il est évident que la capitulation allemande n’est qu’une question de semaines. Pris en étau entre les armées alliées, ce qui reste de la puissante Wehrmacht ne pourra pas contenir les futures offensives soviétiques et anglo-américaines.

    Comme lors de la progression des Alliés en Italie puis en France, l’US Air Force et la Royal Air Force déploient jour et nuit leurs nombreuses escadrilles de bombardiers, censés écraser tout ce qui participe au puissant instrument de guerre allemand, partout où il se trouve, et tant pis si des civils ont le malheur de se trouver dessous.

    Sur le territoire du Reich, il ne fait pas bon habiter près des zones industrielles, des ponts, des nœuds routiers ou ferroviaires ; d’autant que l’aviation alliée ne fait pas dans la dentelle et a pour habitude de répandre généreusement des tonnes de bombes pour s’assurer de la destruction du moindre objectif.

    Cependant, dans Dresde, cité historique, capitale de la Saxe, l’enjeu industriel et militaire est quasi nul. Des milliers de réfugiés qui fuient l’avancée de l’armée Rouge et de soldats blessés, qui sont soignés dans 25 hôpitaux, s’y entassent. La ville est passée de 630 000 habitants à plus d’un million.

    La Flak (DCA allemande) n’est que peu présente. La proie est sans défense, le crime n’en sera que plus odieux.

    Au cours de la nuit du 13 février, les bombardiers anglais Lancaster sont sur la ville : une première vague de 244 d’entre eux larguent 460 000 bombes à fragmentation. Une seconde vague de 529 bombardiers larguent en vingt minutes plus de 180 000 bombes incendiaires au phosphore... C’est une véritable tempête de feu qui souffle la ville, comme le décrit le journaliste et écrivain britannique Phillip Knightley :

    « [...]une tornade artificielle dans laquelle l’air est aspiré vers le centre à une vitesse de plus en plus rapide. À Dresde, des vents approchant la vitesse de 160 km à l’heure emportèrent débris et individus dans un bûcher dont la température excédait 1 000 degrés centigrades. Les flammes dévorèrent tout ce qui était organique, tout ce qui pouvait brûler. Les habitants moururent par milliers, grillés, incinérés ou asphyxiés [1]. »

    Les avions de la RAF ont lâché sur la ville 1 478 tonnes de bombes explosives et 1 182 tonnes de bombes incendiaires.

    Le 14 février, à 10 h du matin, 311 « forteresses volantes » B-17 états-uniennes lâchent 771 tonnes de bombes sur une ville déjà en ruine. Elles sont escortées par 200 chasseurs Mustang mitraillant au sol les colonnes de civils qui tentent de fuir et les secours qui affluent.

    La « Florence allemande » est anéantie sous un total de plus de 750 000 bombes. Brûlant pendant 7 jours, le brasier pourra être aperçu à 160 kilomètres. Les Alliés n’ont perdu que 8 appareils...

     

    Il sera difficile de chiffrer le nombre exact de victimes, car la plupart d’entre elles ont été vaporisés par les bombes incendiaires, et en hâte, afin d’éviter les épidémies, les secours ont entassés et mis le feu aux cadavres trouvés dans les décombres.

    De 250 000 morts pour l’estimation la plus haute à l’indécent 35 000 morts donné par une étude récente, le lecteur se fera une idée par lui-même par un simple ratio : nombres de bombes par nombre d’habitants.

    De Dresde aux bombardements atomiques d’Hiroshima et Nagasaki, puis des largages massifs sur le Nord-Vietnam (7 millions de tonnes, soit deux fois l’ensemble des bombardements alliés sur tous les fronts de la Seconde Guerre mondiale), jusqu’à la mise en place de la doctrine Shock and Awe, « choc et stupeur » pour mettre à mort l’Irak de Saddam Hussein en 2003, les militaires anglo-saxons, non contents d’utiliser leur immense potentiel industriel de mort, auront aussi pour eux l’ultime privilège d’écrire l’Histoire.

  • Le bombardement de Dresde - Documentaire de la 2nde Guerre Mondiale

    Pour ne jamais oublier les victimes innocentes des criminels de guerre anglo-saxons

  • Dresde, 13 février 1945 : démonstration d’éthique démocratique, crime contre l'humanité jamais jugé

     

    Le 13 février 1945, les démocraties anglaise et américaine commencent le plus brutal bombardement de la 2e Guerre mondiale (excepté le Japon).
    7 000 tonnes de bombes incendiaires sont larguées sur la ville de Dresde, joyau architectural, où s’étaient réfugiés de très nombreux civils.

    Des dizaines de milliers d’hommes, femmes, vieillards, enfants (entre 135 000 et 250 000 victimes) meurent, souvent brûlés au phosphore, dans des souffrances indescriptibles.

    La destruction de cette ville ne répondait pas à des objectifs militaires ou économiques mais s’inscrivait dans une logique de terrorisme, hors de toute morale, visant à ébranler le moral des Allemands.

    Civils habitant ou réfugiés à Dresde.

    Dresde, avec Hiroshima et Nagasaki, sont les exemples les plus connus de la barbarie anglo-américaine, mais on ne doit pas oublier les civils volontairement assassinés par de lâches bombardements un peu partout, dont des dizaines de milliers en France (voir Quand les Alliés bombardaient la France).

    Tandis que les USA, toujours flanqués de la Grande-Bretagne, se permettent de donner continuellement des leçons de morale au monde entier et n’hésitent toujours pas à pratiquer le terrorisme (comme en Serbie il y a peu), la résistance nationale d’outre-Rhin rend chaque année hommage aux morts de Dresde, au cours d’un défilé généralement perturbé par la police.

    Contre-info.com

  • Entretien avec Renaud Camus. Intégration : l’égalité est destructrice…

     

                      

    Le 12 février 2014

    Jean-Marc Ayrault a publié sa feuille de route sur l’intégration. Il s’agit de « déconstruire les stéréotypes à caractère raciste et transmettre une culture de l’égalité et de respect de la pluralité dès le plus jeune âge ». Cela part d’un bon sentiment : pourquoi, selon vous, est-ce voué à l’échec ?

    Parce que tous les mots mentent dans cette affaire, sauf déconstruire qui, après un long détour pseudo-philosophique, a fini par retrouver sa vérité première et par signifier détruire, tout simplement. L’égalité entre les parents et les enfants détruit la famille. L’égalité entre les maîtres et les élèves détruit le système scolaire. L’égalité entre les citoyens et les non-citoyens détruit la citoyenneté. L’égalité entre ce qui est français et ce qui ne l’est pas, sur le territoire de la France, détruit la France. Mais l’égalité n’était qu’une étape. Les conquérants veulent à présent que leur supériorité, déjà patente, soit officiellement consacrée.

    Les Suisses ont voté dimanche contre l’immigration de masse : du baume au cœur, pour vous ?

    Oui, une grande joie, mais un peu gâchée par les médias remplacistes qui affectent de croire que la Suisse a dit non à l’Europe. La Suisse a surtout dit non à l’Afrique, y compris quand l’Afrique vient de France ; et non à l’Europe, soit, dans la mesure où l’Europe, dans son aveuglement criminel, installe l’Afrique au cœur du continent.

    Vous êtes poursuivi sur plainte du MRAP pour « incitation à la haine raciale ». Votre jugement doit avoir lieu vendredi 21 février à Paris. Le MRAP vous reproche d’avoir affirmé qu’« il était absurde d’envisager la masse des dites “incivilités”, la délinquance en général et la violence sous la plupart de leurs formes actuelles, comme une simple accumulation de faits divers, relevant de la répression pénale et policière ; mais qu’il fallait les considérer, d’un point de vue politique et historique, comme l’expression même du changement de peuple et de civilisation, le moyen de la conquête territoriale en cours. » Si vous étiez condamné, ce serait là encore un sacré coup de canif à la liberté d’expression, non ?

    En ce qui concerne le changement de peuple, c’est-à-dire ce qui est arrivé de plus traumatisant à la France depuis quinze siècles, il n’y a aucune liberté d’expression. C’est ce dont il ne faut parler à aucun prix. Cette chose énorme et monstrueuse doit se dérouler jusqu’au bout dans le silence complet car le peuple, s’il commençait à soupçonner où il est conduit, se révolterait, malgré l’hébétude qu’on a pris soin de lui inoculer. Contre ceux qui essaient de parler, le pouvoir remplaciste dispose d’une arme formidable, qui les réduit à néant dès qu’ils font mine d’ouvrir la bouche : l’accusation de racisme. Elle n’a aucune espèce de pertinence en l’occurrence mais ça ne fait rien — c’est comme si on faisait condamner pour tapage nocturne des malheureux qui crieraient « au feu ! » pendant un incendie.

    Vous publiez le 27 février prochain un « pamphlet » aux Éditions Mordicus sous le titre France : suicide d’une nation. Il sera bien sûr disponible sur le site de Boulevard Voltaire. Quel message tenez-vous à faire passer par le biais de ce nouveau titre ?

    Le message qu’il est juste, qu’il est urgent, qu’il est profondément moral de se révolter contre le Grand Remplacement : que cela seul est moral, même. Le pouvoir remplaciste a procédé au rapt de la morale et il est arrivé à persuader le peuple remplacé qu’il serait criminel de se révolter contre le sort qui lui est fait. Mais la morale n’est pas du côté des remplacistes, et cela pour plusieurs raisons : parce qu’ils mentent comme des arracheurs de dents, parce qu’ils instaurent une société horrible, de la méfiance de tous à l’égard de tous et de la nocence généralisée, parce qu’ils nous adjurent à tout moment, quand leurs protégés sont mis en cause, de suspendre le jugement moral. Non seulement il est parfaitement moral de refuser le changement de peuple, mais il est honteux de ne pas le faire.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • VIDEO - "Nous vivons en France un temps de ténèbres..."

     

    Ne manquez pas cette formidable admonestation du Père Jean-Régis Fropo, prêtre catholique. Comment dit-on déjà ? Ah, oui ! ça décoiffe…

    - See more at: http://www.christianophobie.fr/videos/video-nous-vivons-en-france-un-temps-de-tenebres#sthash.0aZWM8gz.dpuf

    L'Observatoire de la Christianophobie

  • VIDEO - Le 18:18 avec Karim Zéribi et Stéphane Ravier : l'immigration et la sécurité enflamment le débat

    http://www.dailymotion.com/video/x1bw8z5_le-18-18-avec-karim-zeribi-et-stephane-ravier-l-immigration-et-la-securite-enflamment-le-debat_news

  • « Il faut enseigner l'arabe dans le service public »

    12 février 2014

    Tel est le titre d’une tribune très militante publiée par Le Monde, rédigée par deux enseignants, et dont voici une partie de la conclusion :

    « Il faut aujourd'hui de toute urgence une politique claire qui mette les rectorats devant leurs responsabilités, pour développer sans faux-fuyants l'offre d'enseignement d'une discipline qui constitue la deuxième “langue de France”, et l'une de nos principales langues d'échanges économiques et culturels. »

    Il y a une erreur grossière dans ce propos, qui permet d’expliquer l’erreur qui sous-tend tout le texte et enlève toute force à son titre : l’arabe n’est pas du tout la deuxième langue de France. A supposer qu’il y ait véritablement davantage de locuteurs de ce que ces enseignants appellent « l’arabe » que de locuteurs des parlers occitans (par exemple), ou du corse, ou du basque, il ne s’agit pas de la langue arabe, mais d’un des patois maghrébins, qui sont si éloignés de l’arabe véritable que les Maghrébins du Maghreb comprennent beaucoup mieux leurs dirigeants quand ils s’expriment en français que quand ils font leurs discours officiels en arabe classique. Et en France, dans les banlieues, cela devient un véritable sabir.

    En réalité, l’apprentissage de l’arabe dit littéral ou classique (qui est l’arabe parlé au Machrek : Syrie, Liban, Palestine, Irak) sert uniquement, chez nous, à apprendre le Coran puis à s’endoctriner davantage dans l’islam, c’est-à-dire dans l’islamisme. Est-ce vraiment ce que veulent les enseignants français ?

    Le blog d'Yves Daoudal

  • La science contre le gender : des structures cérébrales spécifiques entre hommes et femmes

     

     

    12/02/2014 – CAMBRIDGE (NOVOpress) - Une équipe de chercheurs de Cambridge vient de publier dans le prestigieux magazine Neuroscience and Biobehavioral Reviews les résultats d’une méta-étude portant sur la recherche des structures des cerveaux de ces 20 dernières années.

    Ils ont testé les volumes et répartition cérébrales par sexe à partir d’études publiées en 1990 et 2013, soit 126 articles portant sur des enfants jusqu’à à des personnes de 80 ans. Ils ont constaté qu’en moyenne les hommes avaient des cerveaux plus volumineux de 8 à 13% que les femmes mais répartis de manière inégale selon les emplacements tels que matière grise, matière blanche, cerebrum etc.

    Plus spécifiquement les hommes ont des volumes supérieurs et une plus grande densité de tissus sur l’hippocampe, cortex insulaire, le putamen et le lobe droit…..

    De leur côté les femmes ont des cerveaux plus développés sur le lobe frontal et droit. « Ces résultats montrent une asymétrie lié au sexe dans le développement du cerveau, souligne Amber Ruigrok, qui a conduit cette partie de l’étude. Pour la première fois nous avons pu compiler un volume de données important et établir qu’il existe des différences de structures entre les cerveaux des hommes et des femmes. Cela ne doit plus être ignoré en neuroscience et en particulier dans les traitements de conditions  psychiatriques. »

    Le Professeur Suckling ajoute que « ces différences dans le système limbique explique les ratios inégaux en pathologies telles que autisme, schizophrénie et dépression selon le sexe des individus ». La science va-t-elle mettre un terme aux délires des partisans de la “théorie du genre” ?

    Source : Neuroscience and Biobehavioral Reviews

     

    NdB: La théorie du genre étant une idéologie, elle n'a que faire des réalités anatomiques...

  • Destitution du président : Marion Maréchal Le Pen cosigne la proposition de loi organique

     ... présentée par Jacques Bompard et qui permettra, si elle est votée, de rendre applicable l'article 68 de la Constitution prévoyant la destitution du Président de la République.  Elle l'annonce sur son blog.

    Louise Tudy

    Le Salon Beige

  • Les cinq cercles de glace

     

    Les Jeux Olympiques sont toujours l’occasion pour le pays hôte de se présenter au reste du monde. Mais à Sotchi, comme à Pékin, ce devait être l’inverse : une opportunité pour l’Occident de présenter sa vision du pays hôte à ses téléspectateurs. C’est pourquoi, la grande majorité des articles et émissions consacrés aux Jeux, en Europe et en Amérique du Nord, ne sont pas informatifs, mais tentent par tous les moyens de dénigrer « la Russie du tsar Poutine ».

    | Rome (Italie) | 12 février 2014
     
     
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    Cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques d’hiver, à Sotchi. Interprétation de l’hymne national de la Fédération de Russie.

    Des vents de guerre froide soufflent sur les Olympiades hivernales de Sotchi, ou plutôt sur les « Olympiades du tsar Poutine » comme les appellent à l’unisson les médias occidentaux. Les splendides prestations des athlètes du monde entier, qui se sont préparés pendant des années pour les jeux, passent au deuxième plan ou bien sont ignorées, sauf si c’est un athlète national qui gagne.

    Tandis que s’assombrissent les Olympiades, fruit d’un travail collectif colossal, on fournit des informations détaillées sur l’élimination des chiens errants à Sotchi et sur le fait qu’à la cérémonie d’ouverture un des cinq anneaux olympiques ne s’est pas éclairé, en gardant l’apparence d’un flocon de neige (funeste présage, auraient dit les antiques). En même temps est lancée l’alarme à un attentat terroriste qui pourrait bouleverser les Olympiades, après ceux qui ont eu lieu ponctuellement à Volgograd.

    À Washington, où on s’y entend en terrorisme, on a exprimé sa préoccupation pour un possible attentat à Sochi en décidant d’intervenir militairement : le Mount Whitney, navire amiral de la Sixième flotte, a levé l’ancre de Gaète (Latium) pour entrer en mer Noire avec la frégate Taylor. Se tenant prêts à évacuer de Sotchi les athlètes et les spectateurs étasuniens, les deux navires de guerre, flanqués d’unités géorgiennes, s’exercent en attendant aux limites des eaux territoriales russes.

    Barack Obama, David Cameron et François Hollande, vaillants défenseurs des droits humains par lesquels ils motivent leurs guerres et les massacres y afférant, ont fait comprendre qu’ils ne sont pas allés aux Olympiades parce qu’en Russie la propagande gay est interdite ; et Enrico Letta (président du Conseil italien, NdT) a promis de réaffirmer à Sotchi la contrariété de l’Italie face à toute norme discriminatoire à l’égard des gays. Il l’a déclaré quelques jours seulement après avoir fait officiellement les louanges à Dubaï de « la position humanitaire des Émirats » et avoir exprimé des appréciations analogues à l’égard des autres monarchies du Golfe, dont les codes pénaux punissent les rapports consentis entre adultes de même sexe de dix ans de prison et, en Arabie saoudite, de flagellation ou de lapidation. Ces mêmes monarchies, si appréciées par Obama et par les autres leaders occidentaux, se préparent maintenant à soumettre les immigrés à de non mieux précisés « tests médicaux » pour éviter que des homosexuels n’entrent dans les pays du Golfe.

    La sortie d’Obama, de Letta et d’autres leaders aux côtés des gays en Russie est donc totalement instrumentale. Comme l’est l’accusation contre Moscou d’avoir trop dépensé pour les Olympiades et de vouloir les utiliser à des fins de propagande nationale, ce que font tous les pays qui les accueillent, à cause du mécanisme même de cet événement international qui devrait être profondément revu. Ces accusations, tout en ayant une base de vérité, ont un but bien précis : alimenter dans l’opinion publique un nouveau climat de guerre froide, correspondant à la stratégie USA/Otan qui rencontre à Moscou une opposition croissante. Si Eltsine était encore au pouvoir en Russie, disposé à toute concession aux USA et à l’Occident, personne ne définirait Sochi comme « Les Olympiades du tsar Eltsine ».

    Selon un incontestable jugement de ceux qui à Washington établissent la note en conduite des gouvernants, Eltsine est inscrit dans la liste des « gentils », tandis que Poutine va dans celle des « méchants ». La liste où est choisi, chaque fois que c’est nécessaire, « l’ennemi numéro un » (comme l’ont été Saddam Hussein, Slobodan Milosevic et Mouamar el-Kadhafi), qui sert à justifier l’escalade militaire jusqu’à la guerre. La cible sur laquelle, chaque fois que c’est nécessaire, se concentrent les attaques politiques et médiatiques, en rendant ses défauts gigantesques pour cacher ceux bien plus gros de celui qui s’érige en tuteur des droits humains.

  • Le Front National lance une pétition nationale pour un référendum sur l'immigration

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    Communiqué 12 février 2014  

     

    Suite au résultat positif de la votation suisse, le Front National lance une pétition nationale pour l’organisation en France d’un référendum sur la politique d’immigration.
    Cette pétition sera largement diffusée à travers notre pays.

    Voici le texte de la pétition : http://www.frontnational.com/exigeons-nous-aussi-un-referendum-sur-limmigration/

    Il demande en outre la mise en place en France d’un véritable référendum d’initiative populaire, sur le modèle des votations suisses.

    NdB: Je viens de signer la pétition

  • Marine le Pen à Dijon le 7 février

    Marine Le Pen lors de sa venue à Dijon le vendredi 7 février a été accueillie par plus de 350 Dijonnais. Marine Le Pen était présente pour soutenir le candidat pour le Rassemblement Bleu Marine : Edouard Cavin, secrétaire départemental de la Côte d’Or. Une conférence de presse a eu lieu en présence de nombreux journalistes locaux, suivi d’un apéritif militant.

  • Têtes humaines rôties dans un état du Nigéria

    Aujourd'hui, 19:51
     

    Par La Voix de la Russie | Les autorités de l’Etat d’Anambra ont fermé un restaurant au sud du Nigéria qui proposait des plats de viande humaine, annoncent les médias. Des têtes humaines rôties figuraient même dans le menu.

     

    La police a arrêté 11 personnes après avoir découvert 2 têtes humaines fraîches dans un hôtel (nom non communiqué). Des fusils AK 47 et d’autres armes ont aussi été trouvées dans l’hôtel.

    L’arrestation fait suite à des dénonciations de résidents de la zone jeudi matin.

    Un pasteur qui était parmi les personnes qui ont donné l’information à la police a déclaré jeudi : « Je suis allé à l’hôtel en ce début d’année, après avoir mangé, on m’a dit que le morceau de viande était vendu à N700, j’ai été surpris. Donc, je ne savais pas que c’était de la viande humaine que j’ai mangé à un prix aussi cher ».

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • La vie en rose !

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  • Sondage: plus d'un Français sur trois dit adhérer aux idées du FN

     

    http://www.leparisien.fr/municipales-2014/sondage-plus-d-un-francais-sur-trois-dit-adherer-aux-idees-du-fn-12-02-2014-3583199.php

     

     

  • TV Libertés : Jean-Yves Le Gallou analyse le traitement médiatique des manifestations pro-famille

     

    Dans l’émission I-média