Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 830

  • Les mondialistes menacent la Suisse

    Conséquence du vote, le 9 février, en faveur d'une limitation de l'immigration en Suisse, l'agence de notation Moody's estime que cette consultation est négative tant pour la note de crédit du pays, l'un des derniers à bénéficier du triple A, que pour les banques helvétiques.

    La Suisse, selon Moody's, a bénéficié de l'afflux de travailleurs étrangers qui ont contribué à compenser les effets du vieillissement de la population et de pénurie de main-d'œuvre qualifiée, contribuant ainsi à sa croissance économique et à l'emploi.

    La semaine dernière, l'agence de notation Fitch Ratings avait également pointé que le choix des électeurs suisses allait accroître l'incertitude pour l'économie du pays.

    Michel Janva

    Le Salon Beige  18 02 14

  • L'Ukraine plonge dans le chaos: 11 morts, des centaines de blessés

    http://www.lefigaro.fr/international/2014/02/18/01003-20140218LIVWWW00324-ukraine-violents-affrontements-a-kiev-entre-manifestants-et-forces-de-l-ordre.php

  • Camus, Goasguen et Gollnisch attaqués : des points communs ?

     

    bruno-gollnisch-iphone

    Tête de liste FN/RBM dans le 18ème arrondissement de Paris, Philippe Martel sera présent vendredi prochain  à la  la XVIIe Chambre du palais de Justice de Paris où il assistera  au   procès intenté par le MRAP  à l’écrivain et dirigeant du parti de l’In-nocence Renaud Camus. Il est accusé d’incitation à la haine raciale pour le contenu de son discours prononcé le 18 décembre 2010  lors des  « Assises sur l’islamisation » dans lequel il évoquait un changement de peuple et de civilisation, une conquête territoriale en cours dans les pays européens. « Je suis confronté chaque jour aux conséquences dévastatrices d’une immigration non maitrisée régulièrement dénoncée par M. Camus » a souligné dans un communiqué le candidat FN/RBM. Contempteur lucide  de l’immigration de peuplement qu’il a théorisé sous le terme générique de « grand remplacement », M. Camus sera  défendu par notre ami  Me Karim Ouchikh. Les témoins cités pour sa défense  sont l’écrivain et professeur d’origine marocaine Farid Tali, mais aussi, deux personnalités connues pour leur hostilité au FN,  les très controversés  Robert Redeker  et Alain Finkielkraut.

    Peu importe après tout car si Bruno Gollnisch ne partage pas toutes les obsessions  et les tropismes de  Renaud  Camus et de certains de ses amis, il faut encore et toujours défendre la liberté d’expression, que ce soit celle d’un Camus ou d’un Dieudonné. Il faut   saluer le  courage  de cet écrivain qui a osé braver la pensée unique en signant en 2012  une tribune libre dans Le Monde dans laquelle il apportait son soutien à la candidate  Marine Le Pen…ce qui lui a valu par mesure de rétorsion  de perdre dans  la foulée son éditeur.

    C’est aussi la raison pour laquelle il faut se féliciter de l’évolution de certaines figures  du Système, comme Alain Finkielkraut qui affirmait encore  il y a quelques années,  dans un  entretien accordé au  quotidien israélien Haaretz (18 novembre 2005) en parlant de la France que «ce pays mérite notre haine».  Nous le  notions  il y a peu,  il  « n’est plus (systématiquement)  dans l’anathème délirant contre le FN et a tourné radicalement la page du cosmopolitisme à tout crin,   de l’apologie de l’immigration,  du métissage généralisé et de la disparition des Etats nations qu’il célébrait encore dans les années 90   aux côtés des  Jacques Attali,  BHL et autres  Alain Minc. »

    Une prise de conscience qui suscité bien des réactions hystériques. A commencer par celle de la socialiste Naïma Charaï, présidente de l’Agence nationale de la cohésion sociale et l’égalité des chances, laquelle a  saisi le CSA  au motif que M. Finkielkraut,  lors de l’émission « Mots croisés » du 6 février sur France 2,  a eu l’impudence d’utiliser le terme de  «  Français de souche ». Des propos « « inacceptables »,  « en totale contradiction avec la Constitution »  (sic) selon  la citoyenne Charaï. Ce qui est ici faire preuve d’un culot et d’une mauvaise foi assez crasse quand on sait que par le biais notamment  de  son  laboratoire d’idées Terra Nova, ce concept  irrigue implicitement  la plupart de réflexions du PS concernant sa  stratégie électorale  de clientélisation et de communautarisation

    Autre signe de la judiciarisation de plus en plus étouffante et insupportable de la vie politique française,   le  député maire UMP du 16e arrondissement de Paris, Claude Goasguen, est   cité à comparaître au tribunal correctionnel de Nîmes le 7 avril pour diffamation, par  Abdallah Zekri, président de l’Observatoire national de l’islamophobie (une émanation du Conseil français du Culte musulman).

    En mars 2011, alors  chargé de faire de la retape pour le parti sarkozyste  au sein de la communauté mahométane,  M. Zekri , en tant que  président de la fédération régionale du sud-ouest de la Grande mosquée de Paris et chargé de mission au Conseil Français du culte musulman (CFCM),  avait déchiré sa carte de l’UMP devant la caméra d’I-télé,  appelant ses coreligionnaires à faire de même. Il entendait dénoncer l’islamophobie rampante de l’UMP.

    Il reproche cette fois-ci  à M.  Goasguen, vice-président du groupe d’amitié France-Israël à l’Assemblée nationale, les propos «haineux» qu’il aurait tenu le  2 février au Palais Brongniart (Bourse)  à Paris  lors d’un gala de soutien  à l’Etat hébreu.   «On n’ose plus enseigner (la shoah)  dans les lycées, tant on a peur de la réaction des jeunes musulmans qui ont été drogués dans les mosquées» a ainsi déclaré l’élu UMP au cours de ce rassemblement.

     Une réunion organisée par  une vénérable institution  sioniste,   Keren Kayemeth LeIsrael (KKL, Fonds national juif). Ce fonds  créé en 1901  «  qui possède et gère plusieurs centaines de milliers d’hectares de terres en Israël » et «  s’occupa du rachat de terres en Palestine et de la préparation des futurs pionniers sur le terrain » (wikipedia) est très décrié sur les sites communautaires musulmans. Le KKL est   souvent accusé par les militants pro-palestiniens de participer de la politique d’usurpation et d’expropriation des arabes sur les terres de leurs ancêtres…Bref d’être selon eux  l’un des outils d’une politique de « grand remplacement » en quelque sorte…

    Contacté par l’AFP, Claude Goasguen a  tenté de rattraper le coup et affirmé que«Les propos qui (lui)  sont attribués hors de leur contexte (…) visaient la dérive islamiste qui dénature le monde musulman. J’ai en effet toujours (sic)  dénoncé l’intégrisme religieux, qu’il soit juif, chrétien ou musulman. Mes propos ne visaient en aucune manière l’ensemble de la communauté musulmane française». « Je voulais dire intoxiqués (et non pas drogués)», a-t-il fait valoir.

    Rappelons pour notre part que  M. Goasguen, que ce soit  par conviction profonde, clientélisme   ou par souci  de flatter ses auditoires,   est un habitué des déclarations  stigmatisantes. En mars  2011 il affirmait avec sa  finesse  proverbiale que «  Le FN est un parti de primates et l’on ne discute pas avec les primates. »

     Enfin, le fond du problème ici n’est pas tant  l‘utilisation du terme « drogués » ou  « intoxiqués » mais l’affirmation selon laquelle un jeune et  pieu musulman devient dans les lycées de la république un individu  conditionné et potentiellement  violent lorsque la shoah est évoquée.

     Ce qui ne veut pas dire bien  sûr que cela ne puisse pas être le cas. D’ailleurs les exemples ne manquent pas,  si l’on en croit  de nombreux témoignages de professeurs rapportés dans  les médias ces dernières années, des difficultés rencontrées dans l’enseignement de l’Histoire notamment (et pas seulement  celui de la seconde guerre mondiale),  dans les classes babélisées de nos banlieues plurielles.

    Mais il n’est pas certain  que les élèves les  plus vindicatifs  soient  ceux qui fréquentent le plus les mosquées.  De la  même façon,  les racailles élevés au biberon de la sous-culture des ghettos américains, ceux  qui pourrissent la vie de nos compatriotes,  n’ont que très rarement le profil du barbu décrit dans les films hollywoodiens. M.  Goasguen serait bien inspiré de regarder un peu moins  la télévision, de réfléchir et   de vivre un peu plus dans le réel, un conseil qui s’adresse aussi à beaucoup de ses amis/électeurs.

    Electeurs  Français de toutes confessions qui sont  de moins en moins dupes des grands numéros de tartuffes clientélistes auxquels se livrent les élus de l’UMP ou du PS, qui jouent en général une mi-temps dans chaque camp en espérant gagner sur tous les tableaux.

    Pour ne rien dire des organismes entretenant  fantasmes et  mensonges,  sans assises réelles dans les communautés qu’ils sont censés représenter,  mais décrits comme représentatifs  par les médias et  leurs dirigeants. Cela est vrai aussi   du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif)   de Roger Cukierman.

    Ce dernier dans un entretien publié  aujourd’hui dans le quotidien  Var matin,   a violemment attaqué Bruno Gollnisch et le FN. Interrogé sur le fait de savoir s’il considérait le Front National comme « un parti antisémite », M. Cukierman a eu cette réponse : « en apparence non mais il recèle certainement  de négationnistes et d’antisémites notoires que ce parti n’a toujours pas exclu. Des gens comme Gollnisch ou d’autres sont connus pour cela ».

    Les   outrances proférées ici, diffamatoires et qui pourraient lui valoir un procès,  s’expliquent aussi par la volonté de faire payer au  FN sa défense de la France et des Français d’abord,  son refus  d’un communautarisme qui lui interdira notamment  toujours d’assister au dîner du Crif.  Roger Cukierman  tente donc  de jouer son rôle habituel de chien de berger en période électorale. Il se trompe lourdement s’il pense empêcher les Français patriotes, même ceux   de confession ou d’origine juive, de voter pour leurs idées.

    D’ailleurs quelle  est encore la crédibilité d’un Cukierman lui qui dans un entretien accordé au quotidien israélien Haaretz au lendemain de la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle de 2002, se félicitait de celle-ci,   affirmant  que « Le score de Le Pen sert à réduire l’antisémitisme musulman et le comportement anti-israélien, parce que son score est un message aux musulmans leur indiquant de se tenir tranquilles ».

    Vérité sur les bords du Jourdain, erreur en deçà ?

    Blog de Bruno Gollnisch

  • Explosion de l'immigration clandestine en Europe : le silence ahurissant de la presse française

     

     
     

    Communiqués / 18 février 2014 /

    Communiqué de Presse du Front National

    Les chiffres de l’immigration clandestine communiqués par l’agence Frontex, prétendument chargée de contrôler les frontières européennes, attestent d’une explosion de l’immigration clandestine de près de 48% en un an seulement !

    Pourtant, à cette heure, pas une ligne dans la presse française, aucune information sur ce sujet majeur qui concerne l’ensemble des pays de l’Union européenne.

    Ce silence médiatique est d’autant plus insupportable que ces chiffres sont révélateurs d’une politique incitative à l’immigration proprement scandaleuse. Une politique à l’origine des nombreux drames humains que nous connaissons chaque mois en Méditerranée.

    Ils reflètent évidemment l’Europe passoire que nous dénonçons avec force et qui justifie plus que jamais le retour à des frontières nationales maîtrisées.

    Devant de tels chiffres, le Front National s’indigne de la non-information des citoyens et du refus obstiné de nos dirigeants d’admettre et d’assumer les échecs d’une folle politique d’immigration massive.

    Nous rappelons l’impératif besoin de mettre un terme à cette immigration illégale, en coupant les pompes aspirantes de nos systèmes sociaux et en prenant acte de l’impossibilité du contrôle des frontières extérieures de l’Union européenne, ce qui suppose de revenir à un système national plus efficace.

  • Corse: des pirates armés s'emparent d'un yacht

    3602423_campomoro-illustr.jpg

    Plage de Campomoro

    C'est un acte de piraterie peu commun dans ces eaux très fréquentées de la Méditerranée. Un yacht a été attaqué dimanche après-midi au large de Roccapina, dans le sud-ouest de la Corse.

    et cagoulés, quatre hommes ont d'abord enfermé les trois passagers dans une cabine avant de les abandonner sur la petite annexe du bateau et de partir avec le bateau.

     

     

    Selon France 3 Corse, le propriétaire, son épouse et leur ami n'ont réussi à rejoindre la côte que vers minuit. Accostés sur la plage de Campomoro, près de Propriano, ils ont alors prévenu les secours. Mais l'Armageddon, leur yacht de dix-sept mètres, n'a pas encore été retrouvé.

    Trois heures dans une cabine

    Les pirates en tenue de camouflage ont abordé le navire par l'arrière, grâce à un puissant semi-rigide. Les propriétaires, résidents de l'île de Beauté, n'ont pu lutter face aux fusils de leurs assaillants. Enfermés trois heures dans une cabine, les otages ont ensuite été priés de monter sur la petite embarcation de secours et ont été laissés seuls face à la houle nocturne.

    Une a été ouverte et a été confié à la gendarmerie. Bien que rare grâce à la prévention des patrouilles en mer, de tels actes de piraterie arrivent parfois au large du sud de l'île, prisé par les millionnaires. Mais les vols se déroulent généralement plutôt l'été, en pleine saison touristique. 



                                                

    LeParisien.fr  18 02 14

  • Hommage de Hollande aux soldats musulmans. Marine Le Pen parle d'une politique d'apartheid

    http://www.leparisien.fr/politique/videos-hommage-de-hollande-aux-soldats-musulmans-marine-le-pen-parle-d-apartheid-18-02-2014-3602591.php

     

  • Expulsion des délinquants étrangers : la Suisse aggrave son cas !

    out-565x250.jpg

        

    Le 18 février 2014
    Si on laisse la Suisse expulser les délinquants étrangers, l'UDC demandera un jour, qui sait, l'interdiction des kebabs sauce blanche.
             

    Déjà mise au ban de l’humanité depuis l’immonde votation du 9 février, la sinistre Confédération helvétique vient une nouvelle fois de faire honte à tous les démocrates de la « communauté internationale ». Cette fois-ci, la Suisse s’attaque à une des populations les plus fragiles et les plus discriminées : les « délinquants » étrangers sont désormais menacés d’expulsion !

    Unies dans une course contre la montre, les lumineuses forces démocratiques – du moins celles qui survivent dans ce quatrième Reich parfumé à la raclette – avaient pourtant tout fait pour ne pas appliquer un texte voté par ce peuple dégénéré en … 2010.

    Fiers comme des gestapistes, 52,9 % des Suisses avaient en effet voté le 28 novembre de cette année-là pour l’expulsion systématique de tous les étrangers condamnés pour « meurtre, viol, brigandage, traite d’êtres humains, trafic de drogue ». Un véritable scandale, indigne d’une civilisation avancée. Plus horrible encore (ne lisez pas ce qui suit si vous êtes sensibles), ceux qui avaient « perçu abusivement des prestations des assurances sociales ou de l’aide sociale », même étrangers nés en Suisse, devaient aussi être déportés, pardon expulsés.

    Heureusement, Conseil fédéral et Parlement résistèrent pendant ces trois années pour ne pas appliquer cette décision populaire nauséabonde. Le parti néo-fasciste (UDC) décida donc de faire son maximum pour faire passer dans la réalité cette loi d’expulsion, appelant encore une fois démagogiquement au peuple, réunissant – sans doute sous la contrainte – plus de 150 000 signatures pour appuyer ladite application.

    Le plus triste, c’est que vendredi dernier, l’UDC s’est trouvée confortée dans sa manœuvre par la « commission des institutions politiques du Conseil national » qui a… désavoué le gouvernement ! Une victoire, donc, pour les réactionnaires, les racistes et les Suisses affreusement de souche. On imagine que de l’autre côté de la frontière, Bernard-Henri Lévy et Daniel Cohn-Bendit sont sur le qui-vive, fulminant contre ces référendums qui nous rappellent les fondues les plus odorantes de notre histoire !

    Espérons que l’Union européenne, les USA et l’OTAN sauront remettre au pas ce pays décadent d’ici peu. Cette pratique du référendum, complètement rétrograde, doit être interdite au plus vite sous peine d’exclusion définitive de toutes les instances internationales. Si on laisse la Suisse expulser les délinquants étrangers, l’UDC demandera un jour, qui sait, l’interdiction des kebabs sauce blanche. Une idée qui donne le frisson à tout humaniste qui se respecte !

    Joris Karl

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Kiabi accusé de racisme pour ses déguisements «zoulous»

    3602205_deguisements_545x341.jpg

                               

     

    Marie Poussel | 18 févr. 2014, 13h21 | MAJ : 17h41

     
     
    Les déguisements «zoulous» vendus sur le site de Kiabi ne sont pas du goût de nombreux internautes qui taxent la marque de racisme.

                                                              

    Une perruque style afro, des os coincés dans les cheveux, des franges et des pagnes aux motifs zèbre... C'est la panoplie du déguisement «Zoulou» proposé par la marque Kiabi sur le site dans le cadre d'une collection spécial carnaval.

    Les mannequins, qui portent ses tenues, ont eux été grimés en «noir» . .. Une légende accompagne la tenue sensée être festive. « La préhistoire est une époque lointaine, mais si vous aimez l'ambiance décalée, ce déguisement zoulou est fait pour vous ! Le set comprend un pantalon, une tunique, un bandeau», détaille le site.

    «Kiabi est désolé que ce déguisement puisse heurter la sensibilité de la communauté africaine»

    Autant de clichés qui ont mis hors d'eux de nombreux internautes et des associations anti-racistes. «Le mythe des noirs anthropophages a encore la cote apparemment, s'agace Suleymane sur . En tout cas, les Zulus sont un grand peuple !». «Sans pression, en 2014 Kiabi vend des déguisements zoulous présentés par des mannequins grimés en Noirs », tweete Faiza Rezoula. « La préhistoire est une époque lointaine, […] ce déguisement zoulou est fait pour vous ! C'est aussi con et raciste que du Barèges!», s'énerve Pierre Kanuty, conseiller régional en Ile-de-France sur son compte twitter. L'élu fait référence à la maire UMP de Montauban qui a fait une blague douteuse le week-end dernier en qualifiant Jean Tepkri, seul candidat noir sur sa liste, de «tâche».




    Pointé du doigt, la marque se défend sur les réseaux sociaux. «Le site Kiabi.com propose en effet un déguisement zoulou dans le cadre d’une offre spécifique mise en avant pour le carnaval, s'explique la marque sur son compte officiel Facebook. Kiabi est sincèrement désolé que ce déguisement puisse heurter la sensibilité de la communauté africaine car ce n’est bien évidemment pas l’objectif. Nous avons conscience de la maladresse réalisée dans la présentation du produit, évoquant la préhistoire. Le commentaire de présentation du produit est en cours de modification car il est effectivement maladroit et inapproprié.»

    Ce commentaire, posté lundi après-midi, n'avait toujours pas été suivi d'effets le mardi en début d'après-midi. La maison de vêtements bon marché n'a pas retiré de son site, ni la description, ni la vente des deux déguisements. Contacté, le service de presse n'a pas donné suite à nos appels.
    Le Parisien - 18 02 14
     
    NdB: En quoi est-il permis de se déguiser?
    Quelques suggestions:
    En curé en soutane, en bonne sœur à cornette, en franchouillard (avec béret et baguette de pain), en pirate blanc, en clown blanc, etc...
  • « Paris d’après »

    ob_5a0268_metro.jpg

     

     

    Source

    Contre-info.com

  • TVL Journal du 17 février

  • Dans la forêt en hiver...

    nikcorbleau-1614091-75300.jpg

  • Bruno Lemaire: "Sur la sortie de l'euro, là encore, Marine parle vrai "


    Sur la sortie de l'euro, là encore, Marine Le... par MarineLePen

    Bruno Lemaire, conseiller Economie, Budget et Fiscalité de Marine Le Pen, docteur en mathématiques, docteur ès Sciences économiques et diplômé d’Harvard, ancien professeur de Management à HEC, a été responsable Recherche et Développement d’IBM-Conseil, après avoir été doyen associé d’HEC chargé de technologies de communication.

  • Moscovici face à Marine Le Pen : quand la mauvaise foi est érigée à la hauteur d’un principe de gouvernement

     

         4 février 2014

    65

    Communiqué de Bruno Lemaire, conseiller économique de Marine Le Pen

    Je n’ose croire qu’un ministre de la république française soit totalement incompétent : vu les énormités proférées par le ministre actuel de l’Economie et des Finances, on pourrait pourtant le penser. Comme ce n’est sans doute pas le cas, il ne reste qu’une explication, la mauvaise foi.

    Passons sur les explications plus qu’embarrassées du ministre sur la reculade gouvernementale sur le projet de loi qui devait être proposé sur la famille et qui est repoussé sine die, dans l’attente peut être d’un coup de pouce « imposé » par la commissions européenne qui « contraindrait » le gouvernement français à proposer une loi infâme rejetée par la majorité de nos compatriotes, et évoquons seulement 2 ou 3 points économiques sur lesquels Moscovici, une fois de plus, a tenté de tromper les français.

    Tout d’abord, la question des dettes : notre ministre, qui a répété plusieurs fois, tout content sans doute, qu’il parlait en tant que ministre de l’économie et des finances, a confondu sans vergogne le fait que 2/3 de la dette était détenue par des ‘étrangers’ avec le fait beaucoup plus important que seul 3% de cette dette était de droit international. Dit autrement, 97% de la dette doit être remboursée en monnaie « nationale française », l’Euro pour le moment, le franc nouveau si nous assistons à la renaissance de notre monnaie nationale.

    La différence n’est pas minime, puisque l’erreur de Moscovici concerne 60 à 65 % de 1950 milliards, soit 1200 milliards bruts, ou, en supposant une dépréciation de 15% (même si Marine a parlé d’une dépréciation/dévaluation de 20%, en s’appuyant sur les chiffres de J. Sapir) l’erreur nette est de 180 milliards: une paille. Quand on pense que le ministre dit disposer de 150 000 collaborateurs à Bercy …

    Autre point concernant l’épargne des français et la situation des banques. De récentes études ont montré que les 1500 milliards d’épargne des « petits épargnants français » – ceux qui ont moins que les 100 000 euros prétendument garantis par un fonds d’épargne se montant à … 2 milliards – ne pouvaient en aucun cas être véritablement garantis, en cas de faillite d’une ou de plusieurs banques.

    Là encore Moscovici nie cette évidence, et la réalité que plusieurs de nos banques ont insuffisamment de capitaux « propres » – curieuse expression pour des capitaux dont on ne connait pas toujours la provenance – pour que leur survie, une fois de plus, ne dépende pas d’un soutien de l’état, et donc de nouveaux efforts demandés aux contribuables.

    Je passerai sur les 70 milliards que le sauvetage – provisoire – de l’Euro a déjà coûté à la France, et dont Moscovici feint de croire à leur remboursement ultérieur – aux calendes grecques, c’est le cas de le dire – pour aborder la question du pacte de responsabilité, et des 30 ou 35 milliards que l’Etat va devoir trouver pour le financer.

    En supposant que, par miracle – sans ponctionner une fois de plus les ménages français – Monsieur Moscovici trouve quelque part ce financement, comment peut-on nous faire croire que ces 35 milliards, un peu moins de 2% du PIB, vont être plus efficaces pour relancer l’économie française que ce que propose Marine, à savoir une dévaluation de 15 à 20% appuyée sur la renaissance du franc, et par là même de notre puissance économique.

    Notre commerce international – qui ne date pas d’hier, et qui avait valu à la France, il y a 15 ans, avant l’Euro donc, la position de la troisième nation exportatrice mondiale – est caractérisé par 420 milliards de produits et biens exportés, et d’environ 490 milliards importés.

    Cette dépréciation-dévaluation compétitive, selon les calculs de plusieurs experts – qui sont très loin d’appartenir tous au FN/RBM – amènerait notre commerce à se rééquilibrer, autour d’un chiffre export-import de l’ordre de 450 milliards d’euros, ou encore de 500 à 520 milliards de francs nouveaux. Dans ce contexte, comment Moscovici ose-t-il parler d’une France rabougrie, se repliant sur ses frontières.

    Une preuve de plus que le gouvernement actuel ne croit pas à la France, et qu’il imagine qu’en dehors des diktats imposés par Bruxelles, il n’y a point de salut pour notre nation.

  • Pierre de RONSARD (1524-1585)

    Comme une belle fleur assise entre les fleurs,
    Mainte herbe vous cueillez en la saison plus tendre
    Pour me les envoyer, et pour soigneuse apprendre
    Leurs noms et qualités, espèces et valeurs.
     

    Était-ce point afin de guérir mes douleurs,
    Ou de faire ma plaie amoureuse reprendre ?
    Ou bien, s’il vous plaisait par charmes entreprendre
    D’ensorceler mon mal, mes flammes et mes pleurs ?
     

    Certes je crois que non : nulle herbe n’est maîtresse
    Contre le coup d’Amour envieilli par le temps.
    C’était pour m’enseigner qu’il faut dès la jeunesse,
     

    Comme d’un usufruit, prendre son passe-temps :
    Que pas à pas nous suit l’importune vieillesse,
    Et qu’Amour et les fleurs ne durent qu’un Printemps.

    (Sonnets pour Hélène - 1578)

  • Ce que propose Hollande pour rendre la France plus attractive aux investisseurs étrngers

    Le président de la République a détaillé huit mesures pour attirer les capitaux et les talents étrangers dans l'Hexagone.

     
     

    «Nous n'avons pas peur des capitaux qui viennent s'investir en France, nous ne voulons pas nous protéger.» C'est avec ces mots que le président François Hollande a présenté les conclusions d'un «conseil stratégique de l'attractivité» de l'économie française réuni à l'Élysée, après avoir reçu au palais présidentiel une trentaine de dirigeants de groupes industriels et de fonds d'investissements internationaux. «Nous n'avons pas une conception étriquée de notre intérêt national», a insisté le chef de l'État, «nous considérons même que la mobilité des investissements - français à l'étranger, étrangers en France - fait partie de la réussite d'un pays.»

    Pour François Hollande, «le premier défi est de faire venir davantage d'investissements des pays émergents» en France où ils ne représenteront encore, selon lui, «que 10 % des décisions d'investissements» étrangers cette année. «C'est trop peu», a-t-il dit. Le chef de l'État a conclu son discours comme il l'avait commencé, affirmant que «la France n'a peur de rien» et «n'a pas peur de s'ouvrir au monde». «Tous les six mois, je réunirai ce conseil de l'attractivité pour que vous puissiez juger de nos réformes», a-t-il également promis à l'adresse de ses hôtes.

    Le chef de l'État a présenté aux patrons une série de mesures, dont certaines sont déjà en vigueur, visant à simplifier les démarches administratives, sociales et douanières ainsi qu'assurer plus de stabilité pour rattraper le retard de la France sur ses voisins européens, comme le Royaume-Uni et l'Allemagne.

    Une nouvelle agence pour l'export: Il a annoncé la fusion de l'Agence française des investissements internationaux et d'Ubifrance, la structure qui suit les entreprises françaises à l'export, pour former un organisme unique: France international entrepreneurs.

    Titre de séjour jeunes diplômés : Un «passeport talents», titre de séjour de quatre ans en France, accordé aux jeunes diplômés qualifiés, aux chercheurs, aux investisseurs, aux mandataires sociaux et aux travailleurs hautement qualifiés sera mis en place. Cette mesure existe déjà puisque le titre de séjour pluriannuel a été introduit par la loi Fioraso de juillet 2013.

    Carte de séjour pour les talents étrangers : À compter de 2014, les étudiants et chercheurs étrangers pourront également bénéficier d'une carte de séjour dont la durée sera équivalente à celle de leurs études.

    Créations d'un visa entrepreneur: Les entrepreneurs qui viennent régulièrement en France pour des échanges économiques pourront disposer de visas valables 5 ans. Le délai pour les obtenir sera réduit à 48 heures.

    Faciliter l'installation des start-up étrangères: D'ici à la fin du premier trimestre, les start-up étrangères qui souhaitent s'implanter en France devraient disposer d'un interlocuteur unique pour leurs démarches et bénéficieront d'une aide financière de 25.000 euros.

    Douanes: En 2015, le régime de la TVA applicable aux entreprises importatrices sera simplifié et, dès la fin de 2014, toutes les procédures en douane, à l'export comme à l'import, seront dématérialisées.

    Fiscalité des investissements : François Hollande a assuré de la pérennité du crédit d'impôt recherche, et a indiqué que les entreprises françaises ou étrangères pourront valider avec le fisc les règles qui s'appliqueront à leurs investissements.

    Démarches allégées : La déclaration préalable pour créer une entreprise en France par un investisseur étranger va être supprimée. À compter de 2014, une déclaration sociale unique, mensuelle et dématérialisée, permettra de gérer une trentaine de procédures concernant les salariés avec l'administration.

    Le Figaro 17 02 14

  • L’UE veut payer des «trolls» pour contrer les eurosceptiques sur les réseaux sociaux

    17 février 2014

    Deux millions et demi d’euros. C’est la somme que le Parlement européen prévoirait de débourser pour financer des patrouilles de « trolls » (personne pourrissant une discussion sur internet, sur les forums ou dans les commentaires par exemple) .
    D’après le Daily Telegraph, relayé cette semaine par le site français AgoraVox, des équipes de cyber-communicants financées par l’UE seront mises en place d’ici la fin du mois de février pour lutter contre les eurosceptiques qui s’expriment sur les réseaux sociaux. Une traque méthodique des conversations qui devra prouver son efficacité avant les élections européennes de juin 2014.

    «Contrôle de l’opinion»

    Le Daily Telegraph aurait eu accès à des propositions de dépenses confidentielles. D’après le journal anglo-saxon, le document évoque la mise en place d’«outils de contrôle de l’opinion publique». Objectif: «Identifier rapidement les débats à caractères politiques (…) dans les médias sociaux et les blogs, qui ont le potentiel d’attirer les médias et l’intérêt des citoyens.»

    Une fois les lieux des conversations repérés, les «trolls» de l’Europe auront pour mission de les «surveiller», afin de décrypter les sujets les plus commentés, puis de les «influencer», «par exemple en fournissant des faits et des chiffres pour déconstruire les mythes».

    Source et suite

     

    Contre-info.com

  • Les deux papes

    Une nouvelle réflexion fort intéressante d’Antonio Socci sur "les deux papes" (alors qu'il ne peut y en avoir qu'un): chez Benoît et moi.

    Il rappelle que Benoît XVI a décidé de continuer à s’appeler Benoît XVI, Sa Sainteté Benoît XVI, avec ses armoiries qui ont les clefs de saint Pierre (tandis que celles de François n’ont pas le pallium…), qu’il a choisi le titre de « pape émérite », ce qui est une nouveauté absolue (y compris pour les canonistes qui en perdent leur latin), et il souligne un propos dont on n’avait pas (non plus) remarqué la portée dans le discours du 27 février 2013. Benoît XVI revenait sur le moment où il avait accepté d’être pape : « La gravité de la décision a été vraiment aussi dans le fait qu’à partir de ce moment, j’étais engagé sans cesse et pour toujours envers le Seigneur. Toujours – celui qui assume le ministère pétrinien n’a plus aucune vie privée. Il appartient toujours et totalement à tous, à toute l’Église. (...) Le "toujours" est aussi un "pour toujours"- il n’y a plus de retour dans le privé. Ma décision de renoncer à l’exercice actif du ministère ne supprime pas cela. »

    Et il laissait entendre ensuite qu’il y avait bien un exercice passif du ministère pétrinien

    Le plus stupéfiant, si l’on y réfléchit bien, étant peut-être le tweet de François, le 11 février : « Aujourd'hui, je vous invite à prier pour Sa Sainteté le Pape Benoît XVI, un homme de grand courage et humilité. »

    Le blog d'Yves Daoudal

  • " Un mariage en couleur n'est pas un mariage blanc"

     

     
    Marseille / Publié le Dimanche 16/02/2014 à 05H35
     

    Une association aide les couples binationaux à s'unir, malgré les obstacles

    Actualités - Un mariage en couleur n'est pas un mariage blanc
    Amélie et Ballo, qui attendent une petite fille pour bientôt, ont raconté leur galère pour vivre leur amour entre France et Mali et l'aide apportée par le collectif "Amoureux au ban public".

    Photo Patrick Nosetto

    Ces amoureux du "ban public" vivent des moments chaotiques et des galères pas sympathiques. Ce sont les couples binationaux où l'un des conjoints est français et l'autre étranger et qui vivent les pires difficultés pour que la situation de ce dernier soit régularisée. Ou pour se marier.

    Hier, l'association qui les rassemble et les défend organisait une Saint-Valentin tardive mais festive à Marseille, bd Longchamp, pour "proclamer le droit et la liberté d'aimer" et affirmer qu'"un mariage en couleur n'est pas un mariage blanc". "Nous sommes amoureux, pas dangereux", sont venus témoigner plusieurs couples mixtes. En racontant comment "Amoureux au ban public" les a soutenus dans leur parcours.

    "La loi et surtout l'interprétation de la loi sont de plus en plus restrictives pour ces dossiers qui mêlent le droit de la famille et celui des étrangers, explique Serge Navarro, membre du collectif. La Cimade, qui défendait déjà les étrangers, a créé en 2007 cette association spécifique pour aider ces couples." Les permanents racontent la suspicion continue à laquelle sont confrontés ces amoureux sans frontières mais pas sans souci.

    "Les préfectures, les mairies rechignent à les informer, reprend Monia Bennegueouch, l'une des juristes du collectif. Nous avons de multiples exemples de procédures vexatoires où un couple doit reconstituer plusieurs fois son dossier sans raison et après avoir été mal renseigné. Malgré l'arrivée de la gauche au pouvoir et les promesses de François Hollande, nous constatons que la situation n'évolue guère."

    "Amoureux au ban public" rappelle, à l'encontre des clichés, que s'unir avec un Français ou une Française ne donne pas le droit à un titre de séjour ou à la nationalité française. "Le conjoint va devoir attendre quatre ans généralement pour avoir la nationalité française", reprend une militante.

    Le collectif rappelle les enquêtes de police à domicile, les interrogatoires intimes au commissariat pour vérifier la vie commune, l'intention de se marier. "On ne pose pas de question sur une grosse différence d'âge entre des conjoints alors qu'on bloque sur le fait qu'un des deux soit étranger, résume Serge. Or, la loi ne demande pas qu'une personne soit en situation régulière pour se marier."

    Le collectif, par des actions publiques comme celles d'hier, mais aussi par un travail quotidien, aide les couples à vivre leur amour et à être ensemble malgré les obstacles et intervient en situation de crise. "L'année dernière, dans les Bouches-du-Rhône, nous avons pris en charge 350 couples, reprend Monia. Nous sommes là aussi lorsqu'il y a une menace d'expulsion du territoire français, qui peut arriver même après trois ans de vie commune." Et cela même si des enfants français de droit sont nés d'une union mixte.

    Les Amoureux au ban public, 8 bis, rue Jean-Marc-Cathala (Marseille, 2e), 06 68 79 55 48, mail : amoureuxauban13@gmail.com, site : www.amoureuxauban.net


    "Nous avons eu le coup de foudre au Mali"

    Le sourire de Ballo Koromakan s'agrandit comme le ventre d'Amélie Désigaux s'arrondit. Dans trois semaines, cette institutrice provençale et son mari malien deviendront les parents d'une petite fille dont ils ont déjà le prénom, Safia. Mais leur chemin d'amour pour arriver à Marseille a été tortueux.

    "Nous nous sommes rencontrés en 2010 au Mali où j'effectuais un stage dans le cadre de ma formation à l'IUFM, raconte Amélie. Nous avons eu un vrai coup de foudre. Mais malgré une invitation que j'ai fait parvenir aux autorités, Ballo n'a pu obtenir de visa." Alors, Amélie a effectué pas moins de huit voyages au Mali. "Comme ma venue en France était toujours bloquée, nous nous sommes mariés à Bamako le 27 décembre 2012, dans mon pays, raconte Ballo. Après des démarches sur notre capacité à nous unir, le mariage a ensuite été enregistré par l'ambassade de France." Le collectif "Amoureux au ban public" a été à leurs côtés pour les conseiller et pour toutes les démarches. Comme si un ange veillait sur cette belle histoire, Ballo a obtenu son visa pour la France le 3 mars 2013.

    "Quelques jours avant que l'ambassade de France ne ferme alors que les troupes françaises étaient engagées avec les Maliens dans des combats contre les groupes djihadistes." Ballo, lui aussi enseignant, ne peut exercer, faute d'équivalence, en France. Il suit une formation de frigoriste-climatiseur.

    La Provence

  • Le Bloc identitaire présente sa « Feuille de route pour la politique d’identité et de remigration »

     

     

    17/02/2014 – PARIS (NOVOpress) La semaine dernière, le gouvernement socialiste avait présenté sa « feuille de route pour la politique d’égalité républicaine et d’intégration ». En réaction, le Bloc identitaire a décidé de publier aujourd’hui sa « feuille de route pour la politique d’identité et de remigration ».

    Au sujet du projet socialiste, le Bloc identitaire est très clair :

    Détaillée en 26 points, cette note est un véritable concentré de haine de la France et de son identité. Elle révèle le fond de la pensée de nos actuels gouvernants : les Français de souche européenne doivent s’adapter aux masses immigrées, pour mieux disparaître en silence. Parti de la résistance et de la persistance française et européenne, le Bloc Identitaire a décidé de répondre à cette énième provocation en proposant dès aujourd’hui sa « Feuille de route pour la politique d’identité et de remigration ».

    En 26 mesures également, le Bloc Identitaire entend montrer qu’en politique il n’y a pas de fatalité, mais simplement de la volonté. Répondant ainsi aux mondialistes – de gauche comme de droite – mais aussi à ceux qui, se réclamant pourtant patriotes, ont baissé la garde face au multiculturalisme, par fatalisme ou confusion idéologique. Loin des fantasmes de « réconciliation » ou d’assimilation massive, nous pensons que le seul moyen d’éviter le chaos qui découle fatalement des sociétés multiculturelles (et donc multiconflictuelles) c’est aujourd’hui d’envisager, de manière pacifique et concertée, la remigration. C’est-à-dire le retour dans leurs pays d’origine d’une majorité des immigrés extra-européens présents sur notre territoire. Si ces mesures peuvent sembler aujourd’hui « impossibles » ou « radicales » à certains, nous sommes persuadés que les temps à venir se chargeront de les rendre à la fois possibles et nécessaires.

    Voici les 26 propositions du Bloc identitaire :

    1. Abrogation du droit du sol.

    2. Abrogation du regroupement familial.

    3. Expulsion automatique et interdiction de territoire de tout étranger commettant un délit ou un crime sur notre sol.

    4. Mise en place d’accords avec les pays d’origine pour que les peines de prison de leurs ressortissants soient effectués chez eux.

    5. Déchéance rétroactive de la nationalité française pour tout étranger naturalisé ayant commis un délit ou un crime ces 10 dernières années.

    6. Déchéance automatique de la nationalité française pour tout binational ayant commis un crime ou délit.

    7. Mise en place d’un Fond d’Aide au Retour associé au lancement d’une campagne de sensibilisation incitant les immigrés à rentrer chez eux.

    8. Création d’un Haut-Commissariat à la Remigration.

    Lire la suite

  • Pédophilie : soupçonné d’entrave à la justice, un ministre allemand démissionne

     

    Angela Merkel n’a pas hésité à pousser vers la sortie son ministre de l’Agriculture. Hans-Peter Friedrich a démissionné vendredi après avoir été accusé d’avoir communiqué des informations confidentielles sur une enquête judiciaire en cours.

    L’histoire avait commencé de manière sordide, elle tourne en affaire politique. La mise en cause cette semaine, d’un député SPD dans une affaire de pédophilie avait déjà suscité le scandale. Sébastian Edathy est soupçonné par la justice allemande, qui a perquisitionné son domicile et son bureau au Bundestag, d’avoir consulté des images pédophiles. Son nom est revenu aux enquêteurs suite au démantèlement d’un réseau au Canada l’automne dernier. Il a démenti avec véhémence les accusations. Mais les répercussions politiques sont déjà là.

    L’ancien ministre de l’Intérieur Hans-Peter Friedrich a démissionné vendredi de son nouveau portefeuille de ministre de l’Agriculture. Dans ses précédentes fonctions, il aurait été au courant de l’enquête sur Edathy. Il est soupçonné d’avoir entravé les démarches de la justice et d’avoir informé durant l’automne le leader du SPD Sigmar Gabriel de l’enquête en cours. Sigmar Gabriel est aujourd’hui vice-chancelier...

    Lire la suite de l’article sur lefigaro.fr

     

    Voir aussi, sur E&R : « Pédocriminalité : l’étau se resserre autour de Cohn-Bendit et des Verts allemands »