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GAELLE MANN - Page 1440

  • Strauss-Kahn de retour au tribunal de New York

    Le patron démissionnaire du FMI est arrivé au tribunal de Manhattan qui doit décider de sa libération conditionnelle. DSK s'engage à verser une caution d'un million de dollars et à demeurer à Manhattan. La victime présumée a été auditionnée mercredi par le grand jury du tribunal de New York.

    • Une deuxième demande de remise en liberté

    DSK est arrivé jeudi matin (heure de New York) au tribunal de Manhattan. Une audience destinée à examiner une nouvelle demande de mise en liberté sous caution devrait avoir lieu à 14h15 (20h15 heure de Paris), selon un porte-parole du tribunal pénal de Manhattan. Après un premier échec lundi, ses avocats vont tenter d'obtenir sa libération en proposant des mesures de surveillance strictes.

    Selon la requête à la Cour suprême de l'Etat de New York diffusée mercredi soir sur le site internet du New York Times , DSK propose de demeurer dans une résidence de Manhattan 24 heures sur 24 et d'être sous «surveillance électronique». La requête s'appuie notamment sur ses liens avec sa femme, la journaliste franco-américaine Anne Sinclair, et avec sa fille Camille, qui étudie à l'Université de Columbia et réside de «façon permanente» dans l'Upper West Side, à Manhattan. Objectif : montrer ses liens avec les Etats-Unis.

    Le document ne précise toutefois pas si la résidence de Manhattan où l'ancien ministre demeurerait en cas de libération conditionnelle serait celle de sa fille.

    Autre engagement de la défense : le versement par l'accusé d'une caution d'un million de dollars américains. Les avocats de DSK estiment que ce dernier a les «ressources financières suffisantes» pour s'acquitter de cette somme, faisant référence à une propriété du couple à Washington inscrite au nom de son épouse. La valeur de la demeure est estimée à quatre millions de dollars.

    Enfin, Dominique Strauss-Kahn, qui a démissionné jeudi de ses fonctions de directeur du Fonds monétaire international (FMI), s'engage à remettre son document de voyage de l'ONU aux autorités, afin de prouver qu'il ne quittera pas le territoire américain pendant la durée des procédures légales. Il affirme également «renoncer volontairement à toute procédure d'extradition de toutes sortes», dans une déclaration au tribunal sous serment. DSK, qui a déjà remis son passeport français à la justice américaine, promet aussi de se présenter en cour chaque fois que sa présence sera exigée.

    «Ils (les avocats, ndlr) pensent qu'ils ont une offre que le tribunal va accepter», affirme l'expert judiciaire de CNN, Jeff Toobin. Les avocats de Dominique Strauss-Kahn compteraient également invoquer la santé de leur client pour demander sa mise en liberté, selon la chaîne américaine.

    Dans la lettre de démission qu'il a envoyée au conseil d'administration du FMI, DSK réaffirme par ailleurs être innocent des faits d'agression sexuelle qui lui sont reprochés.

    • La victime présumée se dit prête à témoigner

     

     

    L'accusatrice de Dominique Strauss-Kahn, une femme de chambre guinéenne de 32 ans, est prête à venir témoigner devant les tribunaux face à DSK, selon son avocat, Jeff Shapiro. «Elle est prête à faire tout ce qu'on lui demandera de faire et à coopérer avec la police ou le ministère public», a expliqué le conseil, précisant qu'«elle n'a aucune idée derrière la tête». «Elle fait ça parce qu'elle pense qu'il faut le faire et elle va le faire», a-t-il déclaré sur la chaîne de télévision NBC, rejetant, tout comme le frère de l'accusatrice, toute «théorie du complot».

    Alors que les questions se multiplient autour de la personnalité de Nafissatou Diallo, le New York Post croit par ailleurs savoir qu'elle vivrait dans un appartement du Bronx, exclusivement loué aux adultes séropositifs par une association du quartier. Une information à prendre avec précaution, aucune source officielle ou médicale ne l'ayant confirmée. Le tabloïd n'est pas non plus en mesure de dire si Nafissatou, la victime présumée, est atteinte ou non du virus du sida.

    Lors de son interview à NBC, l'avocat de la femme de chambre a formellement démenti ces informations, qu'il a jugées «scandaleuses». Les envoyés spéciaux du Parisien ont confirmé cette version. La jeune femme habiterait bien dans un immeuble du Bronx où certains logements sont loués aux séropositifs. Mais selon ses voisins, Nafissatou n'occupe pas un appartement réservé aux malades. Elle ne serait en outre pas rentrée chez elle depuis samedi, craignant pour sa sécurité et celle de sa fille, et changerait d'hôtel tous les jours.

    • Le consentement de la femme de chambre, nouvelle ligne de défense ?

    La presse new-yorkaise bruisse depuis mercredi d'une nouvelle stratégie de défense: la thèse de relations sexuelles consenties. Le New York Times et le New York Post citent notamment une source «proche de la défense», affirmant que le rapport pouvait «avoir été consenti». «Les preuves médico-légales, selon nous, ne coïncident pas avec un rapport forcé», avait déjà affirmé lundi devant la cour l'avocat de DSK, Me Brafman. Alors que la défense assure depuis le début que DSK nie en bloc toutes les accusations dont il est l'objet, cette thèse pourrait finalement amener les avocats à plaider coupable. Des prélèvements ADN supplémentaires avaient en outre été effectués dimanche sur l'inculpé, pour éventuellement détecter des traces de violence.

    L'avocat de la femme de chambre a répondu à cette possible ligne de défense, avant même que sa cliente ne témoigne devant les jurés populaires mercredi. Il a ainsi affirmé sur NBC que sa cliente nierait catégoriquement devant la justice avoir eu une relation sexuelle consentie avec DSK. «Quand les jurés vont entendre son témoignage et la voir, quand elle pourra enfin raconter son histoire publiquement», ils vont se rendre compte que «leurs allégations faisant état d'une relation sexuelle consentie ou de rendez-vous sont fausses», a-t-il expliqué.Le grand jury du tribunal de New York doit décider ou non de la mise en accusation de Dominique Strauss-Kahn d'ici à vendredi au vu des preuves apportées par l'accusation et la défense.

     

     

    • La carte magnétique de la chambre d'hôtel pourrait parler

    Le récit des événements dans la suite 2806 pourrait être précisé par un «témoin» étonnant : la clé magnétique de la chambre. Les hôtels new-yorkais ont abandonné les clés traditionnelles pour les remplacer par des badges magnétiques. Or, il est possible retracer les utilisations de ces cartes. «On pourra retrouver la trace de l'ouverture de la porte par la femme de chambre»,explique le fabriquant de ce type de cartes au New York Times. «On devrait aussi savoir combien de temps la porte est restée ouverte avant d'être refermée».

    Toutefois, selon une information du Figaro, la femme de chambre pourrait finalement ne pas avoir utilisé sa carte magnétique pour entrer dans la suite. Un membre du personnel de l'hôtel se trouvait dans la suite de Dominique Strauss-Khan quand la femme de chambre est entrée, selon une source proche du Sofitel de New York. Elle aurait donc simplement poussé la porte entrouverte. Si ce scénario se confirme, l'heure précise de son entrée dans la suite devra être déterminée par d'autres moyens.

    Source Le Figaro - 19/05/11

  • DSK: la Caste tente d'organiser la défense de l'un des siens

     

    Communiqué de presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    La demande d’intervention de l’Etat français en faveur de la libération de Dominique Strauss-Kahn formulée par le numéro 2 du PS, Harlem Désir, est proprement hallucinante.

    Ainsi, sans aucune retenue ni vergogne, l’oligarchie française, sidérée que l’on puisse appliquer à l’un des siens la loi des simples citoyens, demande officiellement au Chef de l’Etat français d’intervenir en faveur d’un membre de la nomenklatura accusé de crime aux Etats Unis, Etat de droit s’il en est.

    Cette demande d’un dirigeant de l’opposition au chef de la majorité montre que si cette affaire de viol présumé s’était passée en France, elle aurait été vraisemblablement purement et simplement étouffée.

    Marine Le Pen, Présidente du Front National rappelle que l’affaire Strauss-Kahn relève de la sphère strictement privée. M. Sarkozy qui avait eu la malséante idée de promouvoir M. Strauss-Kahn à la tête du FMI par pur machiavélisme politicien, serait bien inspiré de laisser la justice américaine suivre son cours normalement. Nicolas Sarkozy et avec lui la France, se sont suffisamment déconsidérés dans cette affaire pour ne pas en rajouter.

    Marine Le Pen appelle les Français à ouvrir les yeux et bien décrypter le spectacle auquel ils assistent. Elle les appelle à la rejoindre pour établir dans notre pays une véritable égalité des citoyens devant la loi et instaurer la même justice pour tous. Les privilèges de caste, ça suffit !

    NPI - 19/05/11

  • La lettre de démission de DSK au FMI

    Voici l’intégralité du communiqué du FMI comprenant la lettre adressée par DSK à l’institution.

    "Le Directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, démissionne.

    Le 18 mai 2011,

    M. Dominique Strauss-Kahn a aujourd’hui fait part au Conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) de son intention de démissionner de son poste de Directeur général avec effet immédiat. M. Strauss-Kahn a fait la déclaration suivante dans une lettre de démission officielle adressée au Conseil d’administration :

    "C’est avec une infinie tristesse que je me vois obligé aujourd’hui de proposer au conseil d’administration ma démission de mon poste de directeur général du FMI. Je pense d’abord en ce moment à ma femme - que j’aime plus que tout - à mes enfants, à ma famille, à mes amis. Je pense aussi aux collaborateurs du FMI avec lesquels nous avons accompli de si grandes choses depuis plus de trois ans.

    A tous, je veux dire que je réfute avec la plus extrême fermeté tout ce qui m’est reproché. Je veux préserver cette institution que j’ai servie avec honneur et dévouement, et surtout, surtout, je veux consacrer toutes mes forces, tout mon temps et toute mon énergie à démontrer mon innocence".

    Dominique Strauss-Kahn

    Le FMI se prononcera sous peu sur la procédure que suivra le Conseil d’administration pour désigner un nouveau Directeur général. Dans l’intervalle, M. John Lipsky continue d’assurer les fonctions de Directeur général par intérim".

    Source Europe 1 - 19/05/11

  • Le Parti socialiste à l'heure du grand déballage...

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    Autoproclamé parti de défense des opprimés et des minorités (ethniques, religieuses, sexuelles…), les réactions des grands bourgeois du PS, sûr d’eux mêmes et dominateurs,  dans l’affaire DSK a suscité une certaine stupéfaction, voire un certain dégoût.  L’Express.fr  se faisait l’écho des propos de Philip Gourevitch qui sur son  blog du New Yorker, conclut sa recension des démêlés judiciaires du directeur général du FMI «  par le malaise de la classe politique française. Selon lui, le Parti socialiste s’occupe plus de mettre un terme à la destruction de son fils favori Dominique Strauss-Kahn, que de soutenir la victime, une working woman de 32 ans. Tout comme en 1978, la France attachait plus d’importance à l’accusé Polanski qu’à la victime Samantha Geimer ».

     Les associations féministes s’indignent  elles aussi de cette situation et du peu de considération du PS, pour la victime présumée de DSK, modeste employée  d’origine guinéenne tombée dans les griffes de l’un des hommes les plus puissants de la  planète…

     Les éructations de Bernard-Henry Lévy criant implicitement au fascisme voire à l’antisémitisme dans son dernier  éditorial   du Point pour y  défendre son « ami » Dominique sont assez habituelles et toujours aussi involontairement comiques. Mais la palme de l’arrogance maladroite revient sans conteste à ce symbole de la gauche progressiste, à savoir Jack Lang.  L’ancien ministre de la culture a déclaré  au journal de France 2 que dans cette affaire « tout de même, il n’y a pas mort d’homme » !  Les victimes d’agressions sexuelles apprécieront.

     Avec la même délicatesse, le patron du groupe PS à  l’Assemblée, Jean-Marc Ayrault a expliqué à ses collègues  que « Dans cette affaire, nous savons qu’il y a une victime, mais nous ne savons pas encore si cette victime est la plaignante ou l’accusé ». La victime présumée et l’agresseur présumé placés sur  le même plan, merci de cet aveu (inconscient ?)  M Ayrault…

     MM  Lévy, Ayrault et Lang qui devaient donc être les seuls à ignorer  ce que  le quotidien France-Soir a  publié ce mercredi dans son dossier sur le cas DSK sous le titre en Une   « Tout le monde savait ». Apparemment le grand déballage a commencé et il risque d’éclabousser toute la direction du PS, « présidentiables » compris .

    « Un proche de Dominique Strauss-Kahn » explique ainsi qu’il avait demandé « depuis plusieurs mois » que DSK  «  ne se déplace plus sans être accompagné par deux ou trois gardes du corps » « pour empêcher (son)  ami  de céder à la complexité de sa vie sexuelle. Cela, bien sûr, dans l’éventualité de sa candidature à l’élection présidentielle de 2012. »

    Le quotidien évoque également d’autres affaires  qui « auraient eu pour victimes plusieurs jeunes femmes, dont des militantes du PS et des Beurettes » et  précise  que « (leurs) informations (émanent) de proches, pourtant bienveillants à l’égard de DSK ». « Toutes ces affaires, est-il encore écrit,  se seraient réglées à l’amiable entre les parents de ces victimes et des responsables du PS. Ces derniers auraient réussi à calmer, avec beaucoup de difficultés, ces sympathisants socialistes (certains s’étaient armés d’une hache ou d’un couteau, selon notre source) les persuadant de ne pas déposer plainte. » 

    Encore un effort et le nom de ces courageux  responsables socialistes, glorieux défenseurs dans leurs fiefs électoraux, n’en doutons pas, de la veuve et de l’orphelin, seront connus. Premier dommage collatéral de ces révélations, leur publication sur les sites communautaires musulmans dont le PS drague les voix depuis des années…

    Blog de Bruno Gollnish - 18/05/11

  • Un nouveau témoin dans l'affaire Strauss-Kahn

    INFO LE FIGARO - Selon nos informations, un employé de l'hôtel était présent dans la suite de DSK au moment où la victime présumée est entrée.

    Selon une source proche du Sofitel de New York, un membre du personnel de l'hôtel se trouvait dans la suite de Dominique Strauss-Khan quand la femme de chambre est entrée. Elle aurait simplement poussé la porte qui était entrouverte.

    Cet homme, affecté au room service, débarrassait le couvert dans la suite. Sa collègue lui aurait demandé si elle pouvait commencer à nettoyer. L'homme lui aurait répondu qu'il avait terminé et que la suite était inoccupée, puis il est sorti. Il ne savait pas que DSK pouvait se trouver dans la salle de bains. Nafissatou Diallo pensait alors être seule… jusqu'à ce que l'occupant surgisse, selon elle.

    Aucune caméra dans le couloir

    Si la présence de son collègue masculin était avérée, il serait le seul témoin connu à avoir une telle proximité avec la victime présumée, juste avant la scène de violence qu'elle décrit. Ses impressions et sa description des lieux et l'état dans lequel se trouvait Nafissatou Diallo avant l'agression sexuelle dont elle dit avoir été l'objet seraient précieuses pour l'enquête. D'autant qu'aucune caméra ne serait installée dans le couloir menant à la chambre. Les seules disponibles dans l'hôtel se trouveraient dans le hall d'entrée et les parties publiques du rez-de-chaussée. Ainsi qu'au premier et au second étage, où se trouvent les salles de réunion.

    Ces précisions sont également importantes à l'heure où la police s'intéresse aux informations révélées par les cartes d'accès à la suite. Car, si la porte était déjà entrouverte, la femme de chambre n'a peut-être pas eu besoin d'introduire son pass électronique pour accéder à la chambre. Et l'heure précise de son entrée devrait alors être déterminée par d'autres moyens.

    18/05/11

  • a femme de chambre est-elle séropositive? Son avocat dément la rumeur

    Selon une information publiée ce matin par le New York Post, Nafissatou Diallo, la femme de chambre qui a porté plainte pour agression sexuelle par Dominique Strauss Kahn, "vivrait dans un appartement spécialement réservé aux personnes séropositives ou malades du Sida".

    Toujours selon le journal, lla femme de chambre de l'hôtel aurait auparavant occupé un autre appartement du Bronx avec sa fille de 15 ans, là aussi réservé par une association (la Harlem Community AIDS United) aux adultes victimes du virus et leurs familles.

    Le New York Post cite un employé de cette association de Harlem selon lequel au moins un adulte doit être séropositif ou malade du Sida pour vivre dans cet immeuble. Un adulte en bonne santé avec un enfant avec le VIH ou le SIDA n’y a pas droit » précise-t-il

    "L'appartement actuel n'est pas loué à son nom. C’est L’association de Harlem qui place ses bénéficiaires dans notre immeuble » explique un employé du propriétaire de l’immeuble.

    Les responsables de l’association ont refusé de commenter ces faits en raison de leur confidentialité. Ils estiment que le journal n’apporte aucune preuve sur cette information et plusieurs sources pensent que "l'information" viendrait des avocats de Dominique Strauss-Kahn eux-mêmes.


    Il y a une heure, le Sun Média Canada annonçait que l'avocat de Nafissatou Diallo niait les allégations du New-York Post. Il aurait déclaré : "Plutôt que de défendre l'homme qui a agressé sexuellement ma cliente, ses avocats préfèrent dénigrer publiquement sa victime en lançant des rumeurs sur elle. Mme Diallo n'habite pas ce type d'appartement. Il s'agit de rumeurs ineptes de toute façon, puisque ce n'est pas l'état de santé de ma cliente qui a amené Dominique Strauss-Kahn en prison."

    Source La Dépêche - 18/05/11

  • Affaire DSK: un morceau de moquette examiné

    Auj. à 22:32

    Selon des sources proches de l'enquête, les enquêteurs américains examinent un morceau de la moquette de la chambre d'hôtel où résidait DSK.

    Le morceau a été prélevé là où la femme de chambre affirme avoir craché après que le patron du FMI l'a forcé à lui prodiguer une fellation. Selon les enquêteurs, la moquette pourrait contenir des traces de sperme, et constituer une preuve cruciale dans le dossier.

     Source Boursorama - 18/05/11

  • La troisième affaire DSK s'appelle "Martina"

    Une journaliste trentenaire a assuré à The Times que le directeur du FMI lui avait dit sans équivoque qu’elle devrait coucher avec lui pour avoir une interview. Un nouveau coup dur alors que la femme de chambre du Sofitel nie catégoriquement toute relation sexuelle consentie.

    Après l’affaire du viol au Sofitel et l’affaire Tristane Banon, pour laquelle la victime ne devrait plus tarder à porter plainte, le bourreau des cœurs devra également répondre de cette nouvelle affaire de harcèlement. Tout aurait commencé après une conférence presse à laquelle participait la journaliste qui refuse de divulguer son identité et de dire pour quel(s) média(s) elle travaille :

    « Il a eu mon numéro par l’ambassade ou l’Institut Français et a commencé à m’appeler, en me disant que si je sortais avec lui, je pourrais avoir un entretien personnel. Il voulait venir à mon travail; j’ai dit non. Il en était presque à me supplier et j’ai raccroché le téléphone. »

    D’après le Times, DSK est revenu à la charge deux ans après, alors que la journaliste attendait un enfant. « Il m’a dit que je pouvais avoir un entretien avec lui, mais qu’il fallait l’accompagner en week-end à Paris ou autre part », avance-t-elle. « Il était très insistant. Il me faisait comprendre de façon quasiment explicite que je devais coucher avec lui pour obtenir un entretien. »

    Un témoignage de plus à la charge du patron du FMI, officiellement toujours patron de l’institution.

    Source Nouvelles de France - 18/05/11

  • Qui est-ce? n°10

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  • Forte poussée des violences sur un an: Marine Le Pen demande qu'on s'intéresse enfin aux victimes

     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Le bilan d’avril de l’Observatoire national de la délinquance et de la réponse pénale montre une nouvelle très forte poussée des violences en France :

    - Violences contre les personnes : +2,43 % en un an, entre mai 2010 et avril 2011
    - Violences crapuleuses : +6,3 % en un an
    - Homicides : +4,81 % en un an
    - Tentatives d’homicides : +16,3 % en un an
    - Cambriolages : +3,69 % en un an


    Les violences contre les personnes auront donc bondi de 35 % depuis 2002, date à laquelle Nicolas Sarkozy a été nommé ministre de l’Intérieur en charge de la sécurité, avant de devenir président de la République.

    Ces résultats catastrophiques soulignent l’échec gravissime du pouvoir en matière de lutte contre les violences. Comme jamais, la barbarie et les zones de non droit prospèrent en France et l’Etat passif laisse la situation pourrir un peu plus chaque jour. Nos jeunes, nos parents, nos anciens sont quotidiennement victimes de ce déchaînement de violence, sans que le pouvoir ne réagisse. 19.000 postes de policiers et gendarmes ont été supprimés depuis 2005. C’est criminel.

    Marine Le Pen, Présidente du Front National, estime que le niveau d’insécurité et de violence a franchi le seuil d’alerte dans notre pays. Elle juge le pouvoir sarkozyste gravement coupable de n’avoir strictement rien fait contre les violences au-delà des mots et des discours sans lendemain.

    Elle s’alarme notamment du sort inadmissible réservé aux victimes et à leurs proches, pour lesquels nos dirigeants n’ont ni respect ni considération.

    Elle appelle à un changement de cap radical : la victime doit cesser d’être méprisée, la culture de l’excuse doit être combattue, la tolérance zéro doit être appliquée et l’égalité républicaine de tous devant la justice doit enfin être assurée.

    Nations Presse Info - 18/05/11

  • Cannes: Lars von Trier "comprend Hitler"

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    Il aura fallu attendre le huitième jour du Festival 2011 pour assister au premier dérapage en règle sur la Croisette. Il est l'œuvre du réalisateur danois Lars Von Trier qui s'est adonné, mercredi, à un numéro particulièrement déroutant en conférence de presse, à l'issue de la projection de son dernier long métrage, Melancholia (*). "Je comprends Hitler", a lancé le cinéaste réputé pour ses coups de provoc' en réponse à une question sur ses origines. Lars Von Trier, 55 ans, a longtemps cru que son père était juif jusqu'à ce que sa mère lui révèle sur son lit de mort qu'il était en fait allemand. "Je pense qu'Hitlera fait de mauvaises choses, oui absolument, mais je peux l'imaginer assis dans son bunker à la fin", a ajouté, sibyllin, celui qui s'était présenté avec le mot "fuck" écrit sur le poing, lors de la traditionnelle séance photos sur le tapis rouge.

    "Oh my God!"

    A ses côtés, l'actrice américaine Kirsten Dunst, qui partage l'affiche de Melancholia avec Charlotte Gainsbourg, n'a pu retenir un "Oh my God!", tandis que dans l'assistance, la sortie de Von Trier a créé un malaise certain. Ce qui n'a pas empêché celui-ci de poursuivre un monologue aussi décousu que nauséabond. "Je dis seulement que je comprends l'homme. Il n'est pas vraiment un brave type, mais je comprends beaucoup de lui et je sympathise un peu avec lui. Mais bien sûr je ne suis pas pour la Deuxième Guerre mondiale, je ne suis pas contre les juifs, mais pas trop, parce qu'Israël fait vraiment chier", s'est encore enfoncé le réalisateur multi-primé sur la Croisette - et notamment récompensé de la Palme d'Or en 2000 pour Dancer in the dark, avec la chanteuse Björk.

    Selon nos informations, Lars Von Trier, qui avait suscité la controverse avec le sulfureux Antichrist en 2009 à Cannes, devrait revenir dans la journée sur ses propos et tenter d'éteindre la polémique naissante. Ce qu'il a fait aux alentours de 18 heures, via une communication officielle de la direction du Festival. "Le cinéaste précise qu'il s’est laissé entraîner à une provocation. Il présente ses excuses, est-il écrit. La direction du Festival en prend acte et transmet les excuses de Lars von Trier. Elle tient à réaffirmer qu'elle n'admettra jamais que la manifestation puisse être le théâtre, sur de tels sujets, de semblables déclarations."

     Avant cela, dans un autre communiqué, l'association américaine des survivants de l'Holocauste et leurs descendants s'était empressée de condamner "les commentaires répugnants de Von Trier", considérés "comme une exploitation insensible de la souffrance des victimes pour des buts de promotion et de publicité".

    (*) La fiche détaillée de Melancholia sur Parismatch.com

    Source Le JDD - 18/05/11

     

  • DSK surveillé pour éviter un suicide

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    DSK songerait-il à se suicider ? Une équipe médicale de la prison de Rikers Island – où a été placé le patron du Fond monétaire international depuis lundi - ne veut prendre aucun risque. Après avoir soumis le détenu numéro 1225782 à un entretien psychologique, l'administration de la maison d'arrêt a décidé de le placer sous surveillance. « Le règlement exige que chaque détenu soit évalué en fonction du risque qu'il puisse se faire du mal ou en faire aux autres », a indiqué un porte-parole de l'administration pénitentiaire de New-York.

    Une surveillance accrue

    Si Dominique Strauss-Kahn a d'office été placé dans une cellule du du West Facility – unité spéciale pour les détenus souffrant de maladies transmissibles – et mis quelque peu à l'écart des autres prisonniers afin d'éviter d'éventuelles agressions en raison de sa célébrité, il est désormais contrôlé toutes les 15 à 30 minutes. Et alors que le porte-parole a précisé que « l'administration pénitentiaire de la ville de New-York observe les mêmes règles de sécurité et de santé pour tous les détenus », DSK a également dû revêtir la combinaison carcérale et porter ses chaussures sans lacets.

    Agé de 62 ans, l'époux d'Anne Sinclair est accusé d'agression sexuelle et de tentative de viol sur une employée de l'hôtel Sofitel de New-York. Tandis que sa demande de mise en liberté sous caution a été refusée lundi, DSK comparaîtra vendredi devant une vingtaine de juré populaires. Jusqu'à présent, Dominique Strauss-Kahn réfute toutes les charges qui pèsent sur lui.

    18/05/11

  • Rikers Island: l'enfer carcéral

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    14 000 détenus vivent sur cette île - (Cliquez sur la photo)

    On la surnomme « The Rock » (le Rocher), à l'instar de l'ancienne prison légendaire située de l'autre côté du pays, sur l'île d'Alcatraz. Un endroit « surpeuplé », où la nourriture « est horrible » et où « il existe un véritable danger pour les personnes célèbres de se faire agresser »... Bienvenue à Rikers Island, gigantesque complexe carcéral construit dans les années 1930 sur une petite île du même nom, sur l'East River, à l'est de Manatthan. Pour y accéder, une seule option : emprunter le Francis R. Buono Memorial Bridge, un pont qui relie l'île au quartier du Queens.

    Le complexe est gigantesque : plus de 14.000 détenus y vivent, répartis dans dix bâtiments, et plus de 7.000 officiers y travaillent. Considérée comme la plus grande maison d'arrêt au monde, Rikers Island s'étend sur plus de 2 km². A titre de comparaison, la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne), la plus grande d'Europe, abrite 3.800 détenus sur 0,7 km²...

    Réputation « ultra-violente »

    Pourtant, ce qui impressionne le plus n'est pas la taille, mais la réputation ultra-violente de la prison, qui a d'ailleurs inspiré plusieurs morceaux de rap. Et pour cause : Lil Wayne et Tupac Shakur, deux chanteurs qui cumulent plusieurs millions d'albums vendus, y ont séjourné. Le premier a été libéré après une courte peine pour port d'arme en 2010. Le second, reconnu coupable d'abus sexuels, y a passé une dizaine de mois quelques années avant qu'il ne soit abattu en 1996 à Las Vegas.

    Depuis, le taux de criminalité dans l'enceinte a chuté drastiquement, mais « cela reste néanmoins une prison et certains détenus peuvent se montrer violents, et les gardiens pas toujours capables de contrôler la situation », explique un avocat new-yorkais. « Les détenus se regroupent en général par couleur de peau et par ethnie, à l'image des quartiers de la ville de New York », précise Ted Conover, ancien maton qui a travaillé à la centrale de Sing Sing, une autre prison de New York, au début des années 2000. « Il y a, entre autres, le gang des Cinq pour cent, composé d'Afro-Américains musulmans. C'est l'un des gangs les plus développés dans les prisons de l'Etat. Il y a aussi le gang des Latin Kings, essentiellement composé de Portoricains. Et puis le BTK (Born to Kill, "Né pour tuer", NDLR)... »

    « Si tu es blanc, tu n'as droit à rien »

    Johnny, 24 ans, un Américain blanc provisoirement détenu à Rikers, dépeint, lui, un « enfer sur terre ». « Les détenus se battent, se provoquent, se volent entre eux. Ça se passe souvent au grand jour, sous les yeux des surveillants, qui ne bougent pas le petit doigt. A chaque fois que j'allais les voir pour me plaindre, ils me répondaient : "C'est ça, la prison. Il faut que tu t'y fasses." De plus, les Blancs sont en minorité dans les prisons new-yorkaises. Et si tu es blanc, tu n'as droit à rien. » Robert, 51 ans, un éducateur spécialisé venu rendre visite à un ami qui lui donnait des coups de fil désespérés parce qu'il voulait changer de vêtements, se souvient. « J'y suis allé un vendredi : c'est le jour de visite des détenus dont la première lettre du nom est comprise entre A et L. Tu as entre 45 minutes et une heure pour leur parler. Mon ami avait des traces de coups sur sa tête. Il m'a dit que, la veille, quatre types sont arrivés à 4 heures du matin dans sa cellule pour le violer. Il m'a aussi dit que les surveillants laissaient les détenus les plus forts diriger la prison... »

    Seul dans sa cellule

    DSK, surveillé jour et nuit par un gardien, est, lui, incarcéré dans le West Facility, la plus petite des unités, spécialisée dans la détention de prisonniers souffrant de maladies transmissibles. Seul dans sa cellule, il vivra complètement à l'écart de la trentaine de détenus de son unité, notamment au moment des activités physiques ou pour se rendre dans la salle commune de télévision. « Il ne s'agit pas d'isoler un détenu de tout contact humain, il s'agit de s'assurer qu'un détenu n'est pas agressé d'une manière quelconque en raison de sa célébrité », expliquait mardi un porte-parole de l'administration pénitentiaire américaine. Seuls « loisirs » autorisés : la possibilité pour l'ancien ministre d'accéder à la lecture de la presse chaque jour. Mais l'extinction des feux opérera pour lui comme pour les autres. A 23 heures. 

     
    Source France-Soir - 18/05/11
  • Accès à la contraception gratuit et anonyme pour les mineures

     

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    14.500 avortements pratiquées sur des mineures en 2007

    « Il est terrible et insupportable de commencer sa vie sexuelle et amoureuse par une IVG. » Tels ont été les mots de Bérengère Poletti, députée UMP des Ardennes et mandatée par la délégation aux droits des femmes de l’Assemblée nationale. « C'est paradoxal qu'on réponde correctemen (sic)t à une urgence (pilule du lendemain et IVG gratuite et anonyme pour les mineures) mais pas à une attitude responsable des mineures cherchant un moyen de contraception », poursuit-elle. 

    Que faire, donc pour réduire le nombre des interruptions volontaires de grossesse dont 14.500 ont été pratiquées en 2007 sur des mineures contre 11.300 en 2001 ? Bérengère Poletti propose de rende l'accès aux moyens de contraception gratuit et anonyme. Cela pourrait passer notamment par la mise en place d'une visite médicale auprès d'un professionnel de santé prescripteur mais également par la délivrance d'une méthode contraceptive adaptée à la personne. 

    « Courage politique » 

    Cette solution aurait bien évidemment un coût. Le rapport estime que rendre gratuit la contraception aux filles âgées entre 15 et 20 ans coûterait 18,5 millions d'euros. Mais Bérengère Poletti assure qu'une grande partie de ces frais – entre 9,2 et 10,3 millions d'euros – pourrait être déduit du coût des IVG pratiquées sur des mineures. 

    Selon la député, Xavier Bertrand, ministre de la Santé, est « plutôt sensible au sujet ». Même constat auprès de Luc Chatel. Mais, comme le reconnaît Bérangère Poletti elle-même, « la décision (de rendre gratuit et anonymes l'acès à la contraception ) suppose un certain courage politique »

    Source France-Soir - 17/05/11

  • Qui est vraiment Nafissatou Diallo, la victime de DSK ?

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    Hôtel Sofitel de Manhattan

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    (Cliquez sur les photos pour les agrandir)

    Qui est Nafissatou Diallo, la jeune femme que Dominique Strauss-Kahn est accusé d’avoir agressée sexuellement? Pas la jeune fille dont la photo Facebook a été diffusée par la presse [NDLE: les contenus ont depuis été supprimés]. Celle qui a d’abord été connue sur le prénom d’Ophelia n’est ni sénégalaise, ni ghanéenne, ni portoricaine, comme l’ont rapporté différents organes de presse, mais de nationalité guinéenne.

    Selon un membre de sa famille, qui préfère rester anonyme et qui a contacté SlateAfrique, Nafissatou Diallo, 32 ans, est installée depuis treize ans aux États-Unis, où elle menait jusqu’à samedi 14 mai une vie sans histoire.

    Voici ce qu’il nous a confié.

    Fille d’un commerçant appartenant à l’ethnie peule (40% de la population dans un pays qui compte 10,3 millions d’habitants), originaire de la région de Labé, en Guinée, Nafissatou Diallo a suivi son mari, un commerçant guinéen, aux États-Unis en 1998. Elle a ensuite divorcé et élève seule sa fille de 15 ans dans le Bronx. Elle a par ailleurs de la famille à Harlem, notamment sa sœur, mariée à un homme d'affaires guinéen opérant dans l’import-export.

    Détentrice d’une carte verte, employée comme femme de chambre par la chaîne hôtelière Sofitel depuis trois ans, Nafissatou Diallo a la réputation d’être une fille sérieuse.

    «Une grande bosseuse comme sa sœur», selon un autre cousin, que nous avons également eu au téléphone. Ses proches, issus d'une grande famille de commerçants guinéens n'ont pas encore eu directement accès à elle. Comme tout le monde, ils ont lu la presse, mais ils espèrent que l’agression a eu des proportions «moins importantes» que ce qui est rapporté.

    Mamadou Chérif Diallo, parent de la victime, un Guinéen de 35 ans qui travaille pour une agence de la ville de New York, et chargé de représenter la famille déclare:

    «C'est une bonne musulmane. Elle est vraiment très jolie, comme beaucoup de femmes peules, mais dans notre culture, on n'accepte pas ce type d'agressivité. Franchement, Dominique Strauss-Kahn est tombé sur la mauvaise personne! C'est un scandale et c'est vraiment triste, cet accident!»

    Sous protection policière

    La famille explique que Nafissatou Diallo a été emmenée par la police de New York dans un endroit tenu secret, pour la protéger des médias. Elle est assistée par un avocat  (qui n'a pas été commis d'office).

    Le bureau de l'attorney general de Manhattan, contacté par SlateAfrique, a refusé de confirmer l'identité de Nafissatou Diallo, une mesure qui relève de la protection des victimes aux États-Unis.

    La famille paraît dépassée par les événements, et insiste sur le fait que Nafissatou Diallo n’a pas encore formellement porté plainte [NDLE: formellement, c'est le procureur qui porte plainte au pénal, la victime peut en revanche choisir ultérieurement de porter plainte au civil, pour un procès en dommages et intérêts].

    Son statut d'immigré, certes légal, est précaire et en tant que résidente étrangère aux États-Unis, sa famille sait qu’elle n’a pas le droit à l’erreur.

    A-t-elle été manipulée? Son cousin, Mamadou Chérif Diallo proteste: 

    «Non, non, non! Les gens doivent comprendre qu'ici, on vit dans le communautarisme et que Nafissatou vit dans sa communauté, les Peuls de Guinée, et qu'elle ne s'intéresse pas à la politique. Elle n'a pas le droit de vote aux États-Unis et ne participe même pas à nos associations politiques guinéennes.»

    Alors que le monde entier s’interroge sur la possible corruption de cette jeune femme à des fins hautement politiques, il paraît quelque peu ironique que ce soit une femme de chambre guinéenne qui puisse être à l’origine d’un scandale mettant en cause le patron du Fonds monétaire international (FMI). Une institution avec laquelle son pays, dirigé depuis décembre par un nouveau président, Alpha Condé, cherche à renouer pour sortir de l’ornière. (...)

    Par Sabine Cessou

    Source SlateAfrique

  • Carla enceinte: "C'est une chance pour la France!"

     


    NdB: Pensons aux 220.000 bébés avortés chaque année dans notre pays! Eux aussi étaient des chances pour la France! Alors les trémolos de Bernadette Chirac...

     C'est Jacques Chirac et Simone Veil qui ont légalisé l'avortement appelé pudiquement "IVG".