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GAELLE MANN - Page 28

  • L’Italie annonce avoir expulsé trois migrants africains, dont l’un voulait tuer des « touristes blancs » et des chrétiens

     

    21h01

    Rome a annoncé avoir expulsé de son territoire trois migrants africains représentant «un danger pour la sécurité nationale». L’un d’eux avait exprimé le désir de tuer des «touristes blancs» et des «chrétiens» dans son pays d’origine.

    (…) Dans sa publication, le ministère donne quelques détails sur les individus, pour expliquer ce qui a motivé sa décision. Le premier, un Marocain âgé de 22 ans, avait menacé en octobre 2017 des passants devant la synagogue de Florence en brandissant un couteau de cuisine et en criant «Allah Akbar».

    Le second, un Gambien de 24 ans, avait été arrêté pour des crimes de droit commun tout en étant accusé d’être lié à «des groupes terroristes internationaux». Dans un carnet retrouvé en sa possession, l’homme avait, selon Rome, reproduit des schémas d’engins explosifs avec des instructions pour leur montage et leur utilisation. Dans ce même carnet, il aurait confié être proche d’une formation paramilitaire active dans le centre-ouest de l’Afrique, et avait exprimé le désir de «tuer les touristes blancs» et les «chrétiens» en Gambie, en attaquant des hôtels et des églises.

    Les autorités italiennes ont également expulsé un Tunisien de 28 ans qui avait été arrêté à Modène pour vandalisme et vente de drogue. Lors de son procès, celui-ci avait vanté à maintes reprise les mérites de l’Etat islamique. Refusant de retourner dans sa cellule, il avait agressé des représentants de la police.

    (…) RT

  • Le couple Macron danse en Arménie !

  • Grèce : les 11 passagers d'un véhicule transportant des migrants meurent brûlés vifs

     

    Grèce : les 11 passagers d'un véhicule transportant des migrants meurent brûlés vifs
    La carcasse carbonisée d'un camion dans lequel ont péri 11 migrants présumés le 13 octobre 2018 dans le nord de la Grèce.

     13 octobre 2018 à 20h12

     

    Les onze passagers d'un véhicule soupçonné de transporter clandestinement des migrants sont morts brûlés vifs à la suite d'une collision frontale avec un camion, samedi dans le nord de la Grèce, a annoncé la police.

     

     

    Le chauffeur du camion, qui se dirigeait vers Kavala, une ville de la côte nord-est, s'en est en revanche sorti indemne. Le camion a entièrement brûlé.

     

     

    Les pompiers ont extrait onze corps du véhicule à bord duquel se trouvaient très probablement des migrants et qui faisait route vers Thessalonique, une agglomération également située dans la partie septentrionale de la Mer Egée.

     

     

    La police grecque a souligné dans son communiqué que ce véhicule avait par le passé été utilisé pour le passage illégal de migrants et que son conducteur n'avait pas obtempéré, plus tôt dans la journée de samedi, aux injonctions des policiers qui voulaient procéder à un contrôle.

     

     

    En juin dernier, une camionnette utilisée par des passeurs transportant 16 personnes, pour l'essentiel originaires de Syrie et d'Iran, avait eu un accident près de Kavala qui avait fait six morts, dont trois enfants. 

     

     

    "Nous sommes profondément attristés par ces informations catastrophiques venant d'une zone où des milliers de réfugiés ont risqué leur vie et sont entrés en Grèce par des voies clandestines", a commenté dans un communiqué le représentant dans le pays de l'Agence des Nations unies pour les réfugiés (HCR), Philippe Leclerc. 

     

     

    Plus de 12.700 réfugiés et migrants sont entrés dans le nord-est de la Grèce depuis le début de l'année, soit plus du double de 2017, selon les chiffres compilés par le HCR.

     

     

    Au moins 40 morts ont été enregistrées dans la région en 2018, dont près de la moitié pour des cas de noyades dans les eaux rapides du fleuve Evros.  

     

     

    "Ces morts épouvantables sont une partie des dangers plus larges auxquels font face ces personnes, qui se trouvent à la merci de trafiquants qui exploitent leur vulnérabilité", a ajouté le HCR dans son communiqué, appelant à trouver des "alternatives à ces trajets dangereux pour des personnes nécessitant une protection internationale"

  • Vérone, la nouvelle ville pro-vie italienne

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    12/10/2018 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Quarante ans après l’adoption de la loi sur l’avortement en Italie, la ville de Vérone, cité emblématique de Roméo et Juliette vient d’approuver une motion soutenant les associations catholiques anti-IVG.

    Un texte, qui fait écho aux réclamations de nombreux parlementaires, demande l’ouverture d’un débat pour abroger cette loi de 1978 sur l’IVG. A Vérone en tout cas, le texte prévoit plusieurs actions de marketing coup de poing avec l’argent public des caisses communales, un réel soutien financier aux associations pro-vies implantées et l’accès facilité aux centres des plannings familiaux.

    Les associations pro-avortement se désolent du taux de plus en plus élevé de gynécologues et paramédicaux objecteurs de conscience et atteignant les 90% dans certaines régions. L’impact de Vérone est tel que les régions avoisinantes sont également en train de basculer du coté des militants pro-vies.

  • Est-ce-que-marks-spencer-vend-vraiment-des-hijabs-pour-petites filles?

    https://www.liberation.fr/checknews/2018/10/12/est-ce-que-marks-spencer-vend-vraiment-des-hijabs-pour-enfants_1684833

     

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  • Grèce : une grande croix chrétienne détruite pour ne pas « offenser les migrants », la population locale en colère (MàJ)

     

    21h30

    Grèce – Une grande croix chrétienne en ciment, construite sur le rivage rocheux d’Apelli, sous le château de Mytilène sur l’île de Lesbos, érigée en l’honneur des gens qui sont morts en mer, a été détruite après qu’une ONG ait indiqué à la municipalité qu’elle était « offensante pour les migrants ».

    « C’était un acte de haine ! Cette croix a été faite en béton armé, ils ont utilisé des outils lourds pour niveler la croix au sol… Nous ne voulons pas d’ennuis mais nous n’accepterons pas ce comportement… C’est inacceptable ! »

    Le placement de la croix, début septembre, a provoqué des réactions négatives de la part des organisations d’aide aux migrants et une lettre a été envoyée au capitaine du port de Lesbos et au maire de la ville, indiquant que la croix avait été placée à cet endroit pour empêcher les migrants de se baigner.

    « Il y a quelques jours, ils ont placé une grande croix, afin d’empêcher les migrants de venir nager. Cet acte est illégal, inesthétique mais surtout offensant pour le christianisme, une religion d’amour et de sacrifice, et non de racisme et d’intolérance. (…) S’il vous plaît, nous vous demandons de vous débarrasser de ce symbole religieux inapproprié (…) » dit l’ONG pro-migrants.

    Quelques jours plus tard, la croix a été enlevée pendant la nuit.

    L’annonce de cette affaire a provoqué de vives réactions de la population locale qui estime que cette destruction va à l’encontre des croyances religieuses de la majorité des habitants de l’île. Certains ont promis de reconstruire la croix.

    Greek City Times / Naftemporiki.gr

  • JT TVL 12 OCTOBRE 2018

  • Paris (16e) : la grogne monte chez les riverains du centre qui doit accueillir 300 migrants

     

    23h00

    Dans une lettre ouverte adressée au préfet Michel Cadot, à l’adjoint au logement de Paris Ian Brossat, et à la maire du 16e arrondissement, Danièle Giazzi, des riverains dénoncent l’absence de concertation préalable à l’installation de 300 migrants et réfugiés dans les anciens locaux de la gendarmerie du boulevard Exelmans.

    Lors de l’inauguration en septembre, le préfet de région Michel Cadot l’assurait: «Le site ne pose pas de problème de voisinage», et «se prête à une intégration réussie dans le quartier». Trois semaines plus tard, les riverains du centre pour migrants et demandeurs d’asile du boulevard Exelmans, dans le 16ème arrondissement de Paris, font valoir l’inverse. «À aucun moment, nous n’avons été consultés par les autorités, ni même informés», assurent-ils dans une lettre ouverte adressée au préfet Michel Cadot, à l’adjoint au logement de Paris Ian Brossat, et à la maire du 16e arrondissement, Danièle Giazzi.

    Les auteurs du courrier, signé par plus de 150 personnes selon eux, demandent «sans délai un réunion d’information pour tous les habitants du quartier». «Faut-il vous rappeler qu’en tant que voisins directs, nous sommes les principaux intéressés par cette décision qui nous est imposée?», poursuivent-ils dans ce texte également publié sous forme de pétition sur change.org.: « Nous sommes très inquiets sur les conséquences de cette concentration (très largement masculine) pour notre quartier et notre vie quotidienne, à bien des égards », ajoutent-ils. […]

    Ouvert depuis 1 mois dans une ancienne caserne de gendarmerie, le site doit accueillera à terme 300 migrants, réfugiés et familles pauvres pendant deux ans, le temps que des travaux commencent pour faire des logements sociaux. Dans le détail, il y aura 150 demandeurs d’asile, 100 réfugiés statutaires (qui ont obtenu le statut et un titre de séjour), et disposera de 50 places pour héberger des familles sans abris. Les étrangers accueillis sont essentiellement Erythréens, Soudanais et Afghans. […]

    Le Figaro

     

     

     

  • Yves Lévy, mari de la ministre de la Santé, nommé conseiller d'Etat extraordinaire

     

    RECASAGE A la tête de l’Inserm depuis 2014, le mari de la ministre de la Santé Agnès Buzyn, prendra ses fonctions le 12 octobre...

    20 Minutes 

     

     — 

    Yves Lévy et Agnès Buzyn, le 18 septembre 2018.
    Yves Lévy et Agnès Buzyn, le 18 septembre 2018. 

    Son nom a été proposé par la garde de Sceaux. Le médecin et scientifique Yves Lévy a été nommé mercredi conseiller d’Etat extraordinaire​, à l’issue du conseil des ministres. Celui qui est à la tête de l’Inserm depuis 2014 et mari de la ministre de la Santé Agnès Buzyn, prendra ses fonctions le 12 octobre, indique le compte-rendu du conseil des ministres.

    En plein cœur de l’été, Yves Lévy avait annoncé le retrait de sa candidature à un nouveau mandat de président de l’Inserm, face à de possibles conflits d’intérêts, compte tenu de la fonction de son épouse. Son maintien à la tête de l’organisme public de recherche médicale avait valu des critiques à la ministre et au gouvernement.

    Pas de conflit d’intérêts

    La ministre s’est constamment défendue en faisant valoir que la tutelle de l’Inserm lui avait été retirée par décret, au profit du Premier ministre.

     
     

    « C’est important pour le ministère de la Santé d’être en capacité de parler de recherches biomédicales, la décision a été prise non pas parce qu’il y avait conflit d’intérêts mais pour faciliter le travail du ministère », avait souligné début août Agnès Buzyn, après l’annonce du retrait de la candidature de son mari à un nouveau mandat.

    Depuis l’expiration le 12 juin de son mandat de quatre ans, Yves Lévy restait président par intérim de l’Inserm, dans l’attente de la désignation de son successeur. « Le processus de recrutement du PDG de l’Inserm sera relancé dans les prochaines semaines », avait annoncé Matignon fin juillet.

    20minutes

  • LES 4 VERITES - MARINE LE PEN

    11/10/2018

    Ecoutez Marine Le Pen!

  • Allemagne : par souci de « neutralité », l’AfD crée un site internet pour que les écoliers puissent dénoncer le militantisme « anti-AfD » de leurs profs

     

    21h46

    Les écoliers allemands sont invités par le parti de droite anti-immigration Alternative für Deutschland (AfD) à dénoncer les enseignants qui affichent une opinion politique anti-AfD, abandonnant ainsi toute neutralité.

    Neutral Schools, une plate-forme internet, a été lancée à Hambourg et l’AfD a annoncé son intention de la déployer dans tout le pays.

    Les élèves peuvent écrire le site des plaintes anonymes concernant des enseignants qui, selon eux, enfreignent les règles de neutralité et attaquent l’AfD.

    L’AfD a déclaré que l’initiative vise à « renforcer un discours démocratique et libre » dans les écoles, ainsi qu’à souligner le code de neutralité et à donner aux élèves des conseils sur la manière d’agir s’ils pensent que l’enseignant est trop engagé politiquement.

    La plate-forme a suscité de vifs débats et le parti est confronté à des appels croissants de la part des enseignants et des personnalités culturelles pour mettre fin au projet, beaucoup accusant l’AfD d’adopter les tactiques utilisées à l’époque nazie et communiste.

    (…) Mais le parti, qui a remporté, grâce sa position anti-migrants, 90 sièges parlementaires lors des dernières élections, a riposté. Il dit que son site Web n’a rien à voir avec de la dénonciation. Selon Bernd Baumann, l’un des principaux membres du groupe parlementaire de l’AfD, c’est l’occasion de se pencher sur les preuves considérables que le parti dit avoir recueillies, montrant que les écoles dressent souvent « un tableau très sévère de l’AfD, dépeint comme un parti radical, inhumaine et rance ».

    (…) The Guardian

  • Francophonie : Emmanuel Macron impose Louise Mushikiwabo

     

    20h51

    Par Isidore Kwandja Ngembo

    Les Africains savent bien que Louise Mushikiwabo n’est pas la candidate de l’Afrique, mais bien celle d’Emmanuel Macron imposée aux chefs d’État africains.

    Nul n’ignore que l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) est un instrument d’influence au service de la diplomatie française sur la scène internationale. C’est depuis toujours que la France exerce son influence considérable à tous les niveaux : en amont, par une forte pression sur les décideurs politiques africains notamment ; en aval, par sa contribution substantielle à la réalisation des objectifs et missions prioritaires que cette organisation s’est assignée, en dictant le choix des domaines prioritaires qui servent ses intérêts et lui permettent d’étendre son influence politique au reste du monde.

    Mais la France l’a toujours fait en restant un peu discrète et en donnant l’impression que les décisions se prenaient par consensus dans cette organisation, alors qu’en réalité elles sont souvent imposées par la volonté de certains États influents. Avec Emmanuel Macron, les masques tombent peu à peu et l’on voit clairement que c’est la France qui dicte ce qu’elle entend faire de cette organisation, quelles sont les missions qu’elle devrait accomplir ou non, au mépris des dispositions de la Charte de la Francophonie.

    Il convient de souligner néanmoins les efforts louables réalisées par l’OIF pour promouvoir la démocratie, l’État de droit, le respect des droits de la personne, la dignité humaine, ainsi que la liberté d’expression, plus spécialement les missions d’accompagnement, d’observation et de suivi des élections, qui marquent un pas important dans le processus de démocratisation et jouent un rôle considérable dans la réduction des conflits avant, pendant et après les élections, surtout dans le continent africain marqué fréquemment par de graves violations flagrantes des droits de la personne en période électorale notamment.

    En effet, contrairement au Commonwealth qui rassemble essentiellement d’anciens territoires britanniques, excepté le Rwanda, l’OIF, elle, s’est ouverte à tous les pays qui n’étaient forcément pas d’anciennes colonies françaises, mais qui partagent les valeurs communes fondées sur les droits de la personne, la démocratie, l’État de droit et la liberté d’expression, comme des valeurs essentielles, en plus de promouvoir la langue française et la diversité culturelle.

    Une chose est sûre et qu’on doit se dire est que tous ces pays, comme l’Arabie saoudite et bien d’autres encore, qui espèrent un jour pouvoir rejoindre la famille francophone et ceux qui l’ont déjà intégrée comme membres associés ou observateurs, n’ont pas en commun la langue française et ce n’est pas non plus la langue qui les attire. Ce qui les attirent davantage, c’est plutôt la force de cohésion et de rassemblement que l’espace francophone leur offre, les perspectives d’ouverture à un marché potentiel à moyen terme et pour l’avenir ; ce sont des liens de coopération et de solidarité qui unissent les États membres, particulièrement dans le contexte actuel marqué par des préoccupations sécuritaires accrues, pour agir collectivement et efficacement face aux défis réels auxquels le monde est confronté, dont notamment le terrorisme, l’extrémisme, l’intolérance, le racisme, la xénophobie et le cercle vicieux de la pauvreté. […]

    Contrepoints

  • JT TVL JEUDI 11 0CTOBRE 2018

  • "Les premiers pas " de VAN GOGH

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  • En Belgique aussi, les progressistes se font « remplacer » !

     

    Le dimanche 14 octobre prochain se dérouleront les élections communales et provinciales belges. L’occasion pour les Belges d’élire leurs représentants locaux. Sans surprise, c’est la NVA (Nieuw-Vlaamse Alliantie – Nouvelle Alliance flamande) qui dominera le scrutin coté flamand même si ce parti conservateur connait une baisse dans les sondages au profit de son concurrent, plus identitaire celui-là, le Vlaams Belang. À noter également une poussée du parti Groen, le parti écologiste de gauche. Autre bouleversement dans ce rendez-vous électoral : selon une étude de l’université de Gand menée par Bram Wauters, professeur de sciences politiques, le nombre de candidats issus de l’immigration a fortement augmenté cette année par rapport aux scrutins de 2012 et de 2006.

     

     

    LI
    BP 13
    06301 Nice Cedex 

  • JT TVL MERCREDI 10 OCTOBRE 2018