Par fandetv le 29/10/2018
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Depuis lundi, un homme réfugié en France depuis 2013 était jugé devant la cour d’Assises du Nord pour des faits de « viol » et de « tentative d’agression sexuelle » à l’encontre d’une très jeune fille. Les faits ont été requalifiés en « atteinte sexuelle ».
Depuis lundi, un habitant de Roubaix, âgé de 29 ans, était jugé devant la cour d’Assises du Nord, à Douai, pour une « tentative d’agression sexuelle imposée à un mineur de 15 ans » et pour « viol sur un mineur de 15 ans ». En raison de l’âge de la victime, qui avait douze ans au moment des faits, le procès s’est déroulé à huis-clos.
L’homme, de nationalité étrangère, est réfugié en France depuis 2013 après avoir été "persécuté" dans son pays. En 2015, il bénéficiait d’un titre de séjour. Il était accusé d’avoir agressé une mineure alors qu’il avait été recueilli dans une famille de Roubaix.
Après trois jours d’audience, le mis en cause a été acquitté des faits pour lesquels il était poursuivi. Il a finalement été condamné à 5 ans de prison dont un avec sursis et mise à l’épreuve de dix-huit mois pour des « atteintes sexuelles ». La Cour d’Assises a estimé qu’en raison de l’âge de la jeune fille, celle-ci n’était pas en mesure de consentir « en pleine conscience » à des relations sexuelles avec un adulte.
(…) Nord Eclair
(Merci à Prosperpine)
NdB: Nous sommes arrivés dans le règne de la délinquantocratie
Allemagne – Il a attrapé un enfant qu’il ne connaissant pas et qu’il a brusquement arraché à sa mère, puis s’est jeté avec lui sous un train qui arrivait en gare.
Depuis mardi, l’homme, un migrant indien qui vivait à Gelsenkirchen, est jugé pour tentative de meurtre et blessures corporelles dangereuses.
L’assaillant a sauté devant un train en marche avec un enfant dans les bras. Devant les yeux de la famille de la petite victime. L’homme s’est couché sur les rails, en tenant l’enfant.
Selon le ministère public, ce n’est que grâce à une coïncidence heureuse et à la rapidité d’action du conducteur que le garçon n’a subi que des blessures mineures à la tête. Si le train était allé un peu plus loin, le choc aurait été fatal.
L’Indien de 23 ans a tenté « insidieusement de tuer un être humain », déclare le bureau du procureur de la République.
Le père, Christian V. (34 ans) a déclaré au tribunal : « Mon fils m’a confié plus tard que l’agresseur lui avait dit qu’il voulait l’emmener à la mort ». Après l’arrêt du train, le père a sauté sur les rails et a récupéré son fils.
Le tribunal de district examine le placement permanent de l’accusé, Jagdeep S., dans un service psychiatrique fermé.
Sandro, la victime âgée de 5 ans, souffre encore aujourd’hui de l’agression qu’il a subie. Son père déclaré : « Quand des gens s’approchent rapidement de lui ou ont la peau foncée, il crie, s’accroche à nous. On ne peut plus prendre le train. Il en a peur. »
Sa mère Daniela V. (24 ans) est toujours très choquée. En larmes, elle a dû interrompre son témoignage devant le tribunal et s’est évanouie dans le hall.
La Cour européenne des droits de l’homme de Strasbourg a statué que l’Italie a violé les droits de feu « patron des patrons » Bernardo Provenzano en maintenant des conditions de détention strictes anti-mafia durant ses derniers mois de vie.
Le tribunal a jugé jeudi que l’Italie n’avait pas à prolonger les conditions de détention strictes quelques mois seulement avant la mort de Provenzano en raison de son « déclin cognitif critique ».
Provenzano, qui aurait dirigé le puissant clan Corleone de la mafia, mourut en juin 2016 à 83 ans après une décennie de prison, les trois dernières années au lit à cause de la maladie. Les avocats de Provenzano ont plaidé en vain pour que son état de santé s’améliore en raison de la santé fragile de leur client.
La décision de jeudi a été immédiatement critiquée par le vice-premier ministre italien Luigi Di Maio, qui a déclaré que « les comportements inhumains étaient ceux de Provenzano ».
Débat Éric Zemmour et Patrick Weil – 23/10/2018
Depuis jeudi dernier, la vidéo partagée sur les réseaux sociaux fait le tour des rédactions. Comme dans un film de série B ou dans un jeu vidéo violent, on y voit un « jeune » mineur âgé de 16 ans – qui, comme les images le montrent, et sans vouloir faire d’amalgame, n’a rien d’un Gaulois aux longues tresses blondes – braquer un pistolet sur la tempe de son professeur.
La scène, qui a suscité l’indignation, s’est déroulée au lycée Edouard-Branly de Créteil. Ce jeudi matin, l’élève braqueur arrivé en retard à un cours de biotechnologie ordonne au professeur, pistolet en main, de rayer la mention « absent » de son carnet de présence et de le noter « présent » pour ne pas avoir de problème avec son père. Durant toute la scène, filmée à l’aide du téléphone portable d’un élève de la classe, on peut voir ses camarades de classe rigoler comme des bossus et faire des doigts d’honneur face à la caméra.
Le pistolet était factice mais l’acte de violence est, lui, bien réel. Depuis qu’Emmanuel Macron s’affiche et joue les « frotteurs » aux côtés de dealers et de repris de justice multirécidivistes comme on a pu le voir lors de sa visite sur l’île de Saint-Martin, les racailles « jeunes » ou moins jeunes se sentent-elles pousser des ailes face au laxisme politique et judiciaire ? Si ce genre de scène d’agression violente n’est pas une nouveauté dans l’enceinte des établissements scolaires (tout comme à l’égard des policiers), elle prouve, s’il en était encore besoin, que dans de nombreux quartiers les racailles, toujours les mêmes, sont bien installées et n’ont peur de rien ni personne. A commencer des profs dont il faut dire, sans vouloir être vieux jeu, que l’allure et la tenue vestimentaire de certains n’incitent guère au respect.
Vendredi, une enquête menée par les policiers du commissariat de Créteil a été ouverte après que le professeur a déposé plainte. Deux « jeunes » apparaissant sur la vidéo ont été placés en garde à vue. Le braqueur, mis en examen pour violences aggravées, risque, nous dit-on, trois ans de prison. Etant donné qu’il est mineur il a toutes les chances de risquer tout au plus une remontrance, quelques mois de travail d’intérêt général et quelques jours d’exclusion du lycée.
Dans une France où l’ultraviolence est du fait de « jeunes » de plus en plus jeunes sans que rien ne bouge, pas sûr que les beaux discours de fermeté d’Emmanuel Macron et de son nouveau ministre de l’Intérieur Christophe Castaner qui, sans jamais oser avouer d’où est issue cette violence, veut « reconquérir mètre carré par mètre carré la souveraineté républicaine », ni même l’annonce par le ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, d’un « plan d’action pour rétablir l’ordre », soient à la hauteur de l’enjeu.
Pierre Malpouge
Article paru dans Présent daté du 22 octobre 2018
Alors qu’elle sortait d’un magasin Super-U à Perpignan, une personne âgée de 91 ans a été victime d’un vol à l’arraché et violemment projetée au sol rapporte France Bleu Roussillon. Le vol a eu lieu alors que la personne venait de terminer ses courses et avait encore son porte-monnaie dans la main.
A ce moment-là, une jeune femme a foncé sur elle pour lui prendre l’objet, moment où « la victime a été déséquilibrée et a chuté lourdement au sol, sa tête heurtant le bitume de plein fouet » explique la police. La personne de 91 ans a été prise en charge par les pompiers et transportée aux urgences.
Aussitôt alertée, plusieurs effectifs de police ont quadrillé le quartier avec un signalement précis de la jeune fille. Ils sont parvenus à l’interpeller en compagnie d’une complice et finalement découvert qu’elle n’avait que 12 ans. Déjà connue des services police pour plusieurs infractions, la jeune fille a été orientée vers un hôpital psychatrique dans un « état de surexcitation avancée ». Sa complice sera quant à elle jugée en février au tribunal correctionnel de Perpignan.
par Soeren Kern • 22 octobre 2018
Le réseau – que le ministère de l'intérieur espagnol nomme le « Front Prison » des djihadistes (« Frente de cárceles ») – a pour mission de recruter, endoctriner et radicaliser d'autres détenus, dans le but de monter de nouvelles attaques.
« Nous voulons nous préparer au djihad pour Allah. J'ai une bonne nouvelle : j'ai créé un nouveau groupe et tous sont prêts à mourir pour Allah à tout moment. Nous nous y attellerons dès notre libération. Nous avons des hommes, des armes et des cibles. Tout ce qui nous manque, c'est la pratique. » - Mohamed Achraf, lettre de prison à un autre détenu.
« La majorité des djihadistes ayant fait l'objet d'une enquête, loin d'être déradicalisés, sont restées actifs. Et leur incarcération a contribué à les radicaliser plus encore ». - Ministère de l'intérieur espagnol.
La police espagnole a démantelé un réseau djihadiste opérant de manière coordonnée sur plus d'une douzaine de prisons espagnoles. Le réseau, apparemment lié à l'État islamique, a été initié et piloté - au nez et à la barbe des autorités pénitentiaires - par l'un des plus implacables djihadistes du système pénitentiaire espagnol.
L'existence de ce réseau a jeté le doute sur l'efficacité des procédures de sécurité dans les prisons espagnoles, mais également sur les programmes espagnols de « déradicalisation » qui cherchent à « réhabiliter » les militants islamistes en vue d'une éventuelle « réinsertion » dans la société.
Gatestone
Trump remercie le nouveau président du Mexique de garder sa frontière contre les migrants, accuse les Démocrates d’encourager des millions de clandestins à submerger les Etats-Unis, et rappelle que le mur est en construction (3.2Mds$ déjà votés).
– 20 et 21 octobre 2018
«Les autorités mexicaines ont repoussé les migrants sous la pression de Donald Trump : “Beaucoup de ces gens sont des criminels, de vrais durs, et je n’en veux pas dans notre pays ! Il nous faut un mur, et il faut le construire très vite.”»
– France 2, 20 octobre 2018, 20h)
Des milliers de Honduriens sont comme suspendus entre deux frontières. Ils sont agglutinés sur un pont depuis plus de 24 heures, dans l’attente que les gardes-frontières mexicains leur ouvrent les portes de leur pays. Le but des Honduriens : rejoindre les États-Unis. « Nous ne sommes pas de mauvaises personnes, explique l’un d’eux. Nous avons fui notre pays et nous voulons travailler. » Cette marche vers l’Amérique du Nord a été entamée la semaine du 8 octobre après un appel lancé sur les réseaux sociaux. Ainsi, 4.000 Honduriens ont décidé de quitter leur pays, miné par la violence et où 68% des habitants vivent sous le seuil de pauvreté.
À pied ou en bus, ils ont parcouru près de 700 kilomètres jusqu’à la frontière mexicaine. Vendredi 19 octobre, certains ont forcé une clôture côté Guatemala et se sont engagés sur un pont entre les deux pays. Mais ils ont été repoussés par les autorités mexicaines, sous la pression notamment de Donald Trump. « Beaucoup de ces gens sont des criminels, de vrais durs et je n’en veux pas dans notre pays« , a-t-il déclaré en rappelant sa volonté d’ériger un mur.
Un marocain d’une trentaine d’année constate qu’il est assis à côté d’un prêtre.
Il trouve la situation très ennuyeuse et appelle l’hôtesse.
L’hôtesse :
- “Que puis-je faire pour vous ?”
Le marocain :
- «Vous ne voyez donc pas que je suis placé à côté d’un prêtre…
Je ne veux en aucun cas être placé à côté d’un être qui appartient à cette répugnante religion. Cherchez moi une autre place.»
L’hôtesse :
- «Calmez-vous, monsieur». Toutes les places ont été réservées dans cet avion. Mais je vais voir si nous trouvons une solution.
Quelques minutes plus tard, l’hôtesse revient et dit :
- «Comme prévu, il n’y a plus de place en classe économique…
Après en avoir référé au pilote, celui-ci admet qu’il reste une place en classe business mais aussi une en first class.
Avant que le marocain n’ait ouvert la bouche…
L’hôtesse ajoute :
- «La compagnie n’a pas pour habitude de déplacer un voyageur de la classe économique vers la ‘first class’. Mais vu les circonstances, le commandant de bord trouve en effet, qu’il serait honteux de laisser quelqu’un à côté d’une personne comme vous dites ‘aussi ignoble’.»
À ce moment, elle se tourne vers le prêtre et dit :
- «C'est pourquoi, monsieur, je vous prie de prendre vos bagages, il y a un siège en 'first class' pour vous.»
C’est l’instant où les passagers se sont tous levés pour applaudir, ils avaient suivi les échanges avec intérêt.
Ceci s’est réellement passé à bord de la British Airways et a été magistralement résolu par son personnel !
Après l’attaque du siège de l’association, le 5 octobre à Marseille, 22 assaillants ont déjà été mis en examen pour « violences en réunion, séquestration, participation à un groupement en vue de commettre des violences, enregistrement et diffusion d’images violentes ».
SOS Méditerranée va se constituer partie civile dans le cadre de l’information judiciaire en cours contre les personnes qui ont attaqué son siège à Marseille le 5 octobre dernier, annonce l’association dans un communiqué diffusé mercredi 17 octobre. Elle annonce également poursuivre ceux qui ont tenu des propos diffamatoires ou haineux pendant cette attaque, ainsi que ceux qui les ont relayés.
SOS Méditerranée et ses salariés demanderont la réparation de l’ensemble des préjudices, physiques, matériels, moraux, psychologiques subis.
SOS Méditerranée dans un communiqué
L’avocat de l’association, Maître Sébastien Mabile, a notamment évoqué, dans ce communiqué, des propos accusant SOS Méditerranée d’être « complice des réseaux de passeurs ou de trafic d’êtres humains ».
Ces allégations « tombent sous le coup de la loi pénale dès lors qu’elles portent atteinte à l’honneur et à la considération de SOS Méditerranée », a-t-il précisé. « Des poursuites seront intentées contre toute personne ayant fait l’apologie de cette attaque et/ou ayant repris les messages diffamatoires », a ajouté Sébastien Mabile.
22 assaillants ont déjà été mis en examen pour « violences en réunion, séquestration, participation à un groupement en vue de commettre des violences, enregistrement et diffusion d’images violentes ».
Le 7 octobre, des membres de Génération identitaire ont brièvement envahi les locaux de l’association d’aide aux migrants SOS Méditerranée, déployant une banderole dénonçant l’aide aux clandestins apportée par l’ONG. Une opération qui a valu à 22 d’entre eux d’être immédiatement arrêtés par les forces de l’ordre et d’être mis en examen pour « violences en réunion », « séquestration », « participation à un groupement en vue de commettre des violences » et « enregistrement et diffusion d’images violentes ». Aujourd’hui, 56 personnalités, parmi lesquelles l’ex-ministre Thierry Mariani, le maire de Béziers Robert Ménard ou encore l’élu de Paris Charles Beigbeder, cosignent un appel à abandonner les poursuites contre les membres de Génération identitaire.
Tribune signée par : Louis Aliot, Député RN des Pyrénées-Orientales ; Marie-Christine Arnautu, Députée Européen du RN ; Viktor Auber, Président Académia Christiana ; Wilfried Baron, Responsable départemental des Jeunes LR de la Nièvre ; Charles Beigbeder, Entrepreneur et élu de Paris, Président de la fondation « Le Pont Neuf » ; Guillaume Bernard, Historien de droit, Politologue ; Stéphanie Bignon, Présidente de Terre et Famille ; Jacques Bompard, Maire d’Orange (Ligue du Sud) ; Marie-Claude Bompard, Maire de Bollène (Ligue du Sud) ; Yann Bompard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; François Bousquet , Rédacteur en chef de la revue Eléments, Gérant de « La nouvelle librairie » ; Christine Boutin, Ancienne ministre, membre honoraire du Parlement ; Claude Chollet, Président de l’Observatoire des journalistes et de l’information médiatique ; Thibaud Collin, Philosophe et essayiste ; Paul-MarieCouteaux, Haut fonctionnaire, essayiste et homme politique français ; Alain de Benoist, Philosophe et essayiste ; Jacques de Guillebon, Essayiste, directeur de la rédaction de L’incorrect ; Florent de Kersauson, Président fondateur de Nestadio Capital ; Quentin de Lacoste, Porte Parole de Racines d’Avenir (LR) ; Guillaume de Thieulloy, Politologue ; François de Voyer, Président de « Audace » ; Charles de Williencourt, Responsable Jeunes de l’Avant Garde ; Thierry Devige, Secrétaire général de « Audace » ; Aymeric du Chambon, Responsable jeunes de la Vienne du parti Chrétien-Démocrate ; Cédric Dudieuzère, Adjoint à la mairie du 7ème secteur de Marseille, RN ; Xavier Fruleux, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Marie-Thérèse Galmard, Conseiller départemental de Vaucluse (Ligue du Sud) ; Emmanuelle Gave, Directrice de l’Institut des Libertés, candidate aux Européennes 2019 sur la liste des Amoureux de la France ; Charles Gave, Economiste, financier, écrivain et entrepreneur français ; Vivien Hoch, Docteur en philosophie et entrepreneur ; Sébastien Jallamion, Président de l’association « Andèle », écrivain ; Michel Janva, Rédacteur en chef du site « Le salon beige » ; Patrick Jardin, Père de Nathalie Jardin, tuée par des terroristes islamistes au Bataclan ; Baptiste Laroche, Porte-parole des jeunes du parti Chrétien-Démocrate ; Christelle Lechevalier, Députée Européen du RN ; Rémi Ledoux, Délégué Jeunes LR 8e circonscription du Pas-de-Calais ; Quentin Limongi, Président de la « Cocarde Étudiante » ; Marie-France Lorho, Députée (Ligue du sud) ; Thierry Mariani, Ancien ministre, Membre honoraire du Parlement (LR) ; Barbara Mazières, Présidente du cercle Anjou conférence ; Emmanuelle Ménard, Députée de l’Hérault ; Robert Ménard, Maire de Béziers ; Jean Messiha, Haut-fonctionnaire ; Charles Millon, Ancien ministre de la Défense, Président de « L’Avant-Garde » ; Paul Nafilyan, Avocat au Barreau de Paris ; Frédéric Pichon, Avocat au Barreau de Paris ; Joseph Poidevin, Secrétaire général des jeunes du parti Chrétien-Démocrate ; Jean-Frédéric Poisson, Président du Parti Chrétien-Démocrate ; Stéphane Ravier, Sénateur RN ; Julien Rochedy, Ancien président du FNJ, entrepreneur ; Jean Servin, Président des jeunes du Parti Chrétien-Démocrate ; Erik Tegner, Président de Racine D’avenir (LR) ; Mylène Troszczynski, Députée Européen (RN) ; Christian Vanneste, Député honoraire du Nord, Président du RPF et de La Droite Libre.