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GAELLE MANN - Page 29

  • Marine Le Pen rencontre Salvini en Italie : à quand, l’union des droites en France ?

     
     

    Christophe Barbier, Monsieur Je-sais-tout, n’a pas besoin de son éternelle écharpe rouge pour qu’on le reconnaisse : non pas à la finesse de ses analyses, mais au conformisme de ses propos. Sur BFM TV, commentant la rencontre entre Marine Le Pen et Matteo Salvini, il a souligné, d’un ton péremptoire, que tous deux ont un « ennemi commun » en la personne d’Emmanuel Macron et qu’ils ont mené « une aventure politique parallèle » dont ils souhaitent le prolongement au Parlement européen. Le pire, c’est qu’ils se sont donné rendez-vous, horresco referens, dans les locaux d’« un syndicat proche de l’extrême droite italienne » !

    Quoi de plus naturel que de se réunir au siège d’un syndicat pour parler « croissance économique et perspective sociale dans une Europe des nations » ? Qu’importe ! Le mot est lâché : le sulfureux ministre de l’Intérieur italien et la diablesse de Marine Le Pen sont d’« extrême droite », donc a priori condamnables et condamnés. Dénoncer ensemble une Europe technocratique ? « Extrême droite ! » vous dis-je. Quand on voit l’augmentation du nombre d’eurosceptiques en France, quand on sait que Matteo Salvini culmine dans les sondages, c’est la majorité des Français et des Italiens qui doit être acquise au « populisme », comme disent ces donneurs de leçons imprégnés de bien-pensance.

    Sans doute Matteo Salvini et Marine Le Pen ont-ils besoin l’un de l’autre pour donner un coup de fouet à leur campagne européenne ; sans doute chacun d’eux espère-t-il trouver, dans la notoriété de l’autre, un supplément de dynamisme. Mais ils montrent surtout l’exemple d’une alliance qui se dessine et se réalisera, à coup sûr, au Parlement européen. Pour atteindre un tel objectif, il faut se parler et se mettre d’accord sur un programme. Une telle alliance est la seule alternative aux dirigeants européens, de moins en moins nombreux, qui (Macron en tête) prétendent changer l’Europe avec plus d’Europe.

    Ne faudrait-il pas qu’en France, également, tous les partis et mouvements qui ne veulent plus de l’Europe de Bruxelles dialoguent davantage et songent plus à ce qu’ils pourraient gagner ensemble qu’à se distinguer de leurs rivaux ? C’est, incontestablement, Marine Le Pen qui, malgré sa défaite à la présidentielle, se trouve largement chef de file de l’opposition nationale. Nicolas Dupont-Aignan, même si l’on peut comprendre qu’il veuille renforcer Debout la France, l’a bien soutenue au second tour. Des personnalités issues des Républicains, à défaut de Laurent Wauquiez, empêtré dans ses contradictions, pourraient rejoindre ce grand mouvement : beaucoup commencent à le faire.

    Les élections européennes peuvent offrir la chance de rassembler une majorité de Français contre l’européisme et le mondialisme : pour une immigration maîtrisée, pour une économie libérale, soucieuse de se mettre au service de l’homme plus que de la finance, pour une Europe qui n’ait pas honte de ses racines chrétiennes, de son patrimoine intellectuel et culturel. Tous ceux qui partagent ces principes doivent se réunir et définir une stratégie commune : soit pour présenter une liste d’union, soit pour anticiper une alliance après les élections.

    Savoir qui pourrait conduire une telle liste n’est pas un préalable : il ne manque pas de personnalités qui puissent faire consensus. Le grand vainqueur de l’élection européenne sera celui ou celle qui sera capable de forger cette union. Cerise sur le gâteau : cette victoire affaiblirait Macron et favoriserait l’alternance, ce qui n’est pas rien ! 

    BV

  • Un crédit d’impôt pour héberger des migrants : le lointain plutôt que le prochain ?

     

     

    Aurélien Taché est un député LREM pro-migrants. Il avait récemment proposé que les réfugiés travaillent dans la restauration qui manque de bras. Il récidive et va déposer une proposition de loi pour instaurer un crédit d’impôt de 1.500 euros par an en échange de l’hébergement d’un réfugié en règle. Que la personne accueillie ait des papiers est la moindre des choses, sinon, son hôte tomberait sous le coup de la loi pour aide à l’immigration clandestine.

    Un crédit d’impôt de 1.500 euros serait, à la différence d’une déduction d’impôt de 1.500 euros, entièrement versé par l’État. Si le montant de vos impôts sur le revenu est de 700 euros, dans le premier cas de figure, les finances publiques vous donnent 800 euros, et rien dans le second cas. Avec M. Taché, recueillir un migrant serait donc payé, grosso modo, cinq euros par jour.

    Précisons quand même qu’un réfugié régularisé a déjà droit au RSA et aux APL. Il n’est donc pas sans ressources, loin de là. Ensuite, un premier problème viendra du contrôle. Quand vous versez une pension alimentaire à un de vos parents ou enfants, le destinataire est clairement identifié et il devra réintégrer les sommes perçues dans sa propre déclaration d’impôts. En serait-il de même dans le cas d’un réfugié ?

    Plus important est évidemment le problème moral de ce cadeau fiscal par rapport à ce qui existe par ailleurs pour les personnes âgées. Si vous recevez sous votre toit un senior de plus de 75 ans, pour qui vous n’avez aucune obligation alimentaire (frère, sœur, oncle, tante, etc.), vous pouvez déduire de vos revenus un peu moins de 3.500 euros. Si vous êtes taxé à 14 %, vous obtenez un gain de 490 euros (1.050 si vous êtes à 30 %) : un montant, dans tous les cas, plus faible que les 1.500 euros de M. Taché.

    Et puis, comment peut-on oser évoquer des efforts budgétaires pour les migrants sans parler de l’accueil des SDF français ? Certes, les « pro-migrants » rétorquent souvent, pour clouer le bec à ceux qui évoquent cette question, que l’aide au profit des uns n’est pas concurrentielle de celle faite aux autres. Voire. Que ce sont des budgets distincts. Mais au bout du compte, l’argent public vient bien de la même poche : celle du contribuable. Alors, ne pas étendre cet avantage fiscal proposé par M. Taché pour les réfugiés à l’ensemble des SDF, ces exilés de la rue dans leur propre pays, relèverait d’une préférence non nationale pour le moins discriminatoire, pour ne pas dire plus.

    C’est ce qu’on doit appeler préférer son lointain plutôt que son prochain.

    BV

  • JT TVL 09/10/18

  • Alexandre Benalla invité d’un déjeuner d’investisseurs chinois : « Il est venu sans sa matraque et sans son casque »

     

    22h39

    L’ancien collaborateur d’Emmanuel Macron a été aperçu lundi parmi les convives du très sélect Chinese Business Club. Explications.

    Devine qui vient dîner… Certains convives du très chic déjeuner du Chinese Business Club, qui met en relations entreprises françaises et investisseurs chinois, ont été surpris de découvrir à l’une des tables un invité surprise, lundi 8 octobre : Alexandre Benalla, l’ancien chargé de mission sécurité d’Emmanuel Macron à l’Elysée, sous le coup d’une mise en examen pour des violences commises en marge d’un manifestation le 1er mai à Paris. Pierre-Henri de Menthon, directeur délégué du magazine Challenges, l’a reconnu et a tweeté la photo (…)

    dementhon@dementhon
     
     

    Alexandre Benalla était tout à l'heure au déjeuner du Chinese business club à l’hôtel Intercontinental de Paris. Il a monté sa boite de sécurité et va très bien merci.

     

     

    « Il a un très bon carnet d’adresses »

    L’ex-collaborateur d’Emmanuel Macron n’est toutefois « pas membre du club », assure son fondateur. Selon lui, la présence du très médiatique invité n’a pas fait de remous : « Les membres n’étaient pas étonnés. Les gens savent que le club est assez hétéroclite et qu’on y trouve un peu de tout. Il était déjà venu avant et personne ne l’avait remarqué. » Ce n’est désormais plus le cas. « Il doit être habitué à ce genre de choses », sourit Harold Parisot. Et de glisser, sur le ton de la plaisanterie : « Il est venu sans sa matraque et sans son casque. »

    Le Chinese Business Club a pour vocation de « faire rayonner la France auprès des investisseurs chinois ». « J’essaie de faire en sorte qu’ils viennent chez nous plutôt que chez nos voisins », résume son initiateur. On vient à ses rendez-vous « pour faire du business et réseauter » (…)

    France Info

  • EXCLU EUROPE 1 - Les dérives du communautarisme à l’école pointées par une note des services de renseignement

     

    EXCLU EUROPE 1 - Les dérives du communautarisme à l’école pointées par une note des services de renseignement

    Repas, sorties scolaires, mixité garçon-fille… Dans certains établissements scolaires en France, des élèves reproduisent un comportement jugé communautaire, adopté par leurs parents. Et cela inquiète l'Education nationale.

    L'école est-elle de plus en plus victime de dérives communautaires ? Europe 1 a pu consulter en exclusivité une note ultra-confidentielle des services de renseignement, reçue par le cabinet du président de la République, du Premier ministre et de Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Education nationale, sur les signalements de cas de communautarisme musulman dans les établissements scolaires.

    Des cas parfois extrêmes. Si le nombre des faits rapportés est stable, les motifs sont de plus en plus inquiétants. Certaines choses ne sont tout simplement plus faisables dans toutes les écoles, pour des motifs religieux. L'exemple le plus frappant, le plus nouveau, signalé dans cette note, est celui d'élèves qui refusent d'avoir cours dans des classes comportant du mobilier rouge, jugé "haram", c'est-à-dire interdit par le Coran. Cet exemple remonte d'un établissement du Nord de la France.

    La note mélange différents types de cas, plus ou moins préoccupants. Selon elle, certains enfants refusent de dessiner des représentations humaines (un interdit religieux formel pour de nombreux musulmans). D'autres se bouchent les oreilles quand on passe de la musique en classe, et de jeunes garçons refusent de donner la main à une petite fille. Par ailleurs, les enfants pratiquent le ramadan de plus en plus jeunes, et cela peut poser des problèmes dans l'organisation des cours. À Troyes, des élèves de 6ème ont refusé d'aller à la piscine avec leur classe de peur de "boire la tasse et de casser leur jeûne".

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    Les repas, moment de crispation. De nombreux incidents sont d'ailleurs liés à la question des repas. Dans les Bouches-du-Rhône, certains élèves refusent de déjeuner à côté de ceux qui mangent du porc. Dans un collège de Saint-Denis, lors d'un voyage scolaire où on s'apprêtait à servir du poulet et des frites au repas, un incident est survenu. "Sur une cinquantaine d'élèves, 35 d'entre eux ont refusé de manger la cuisse de poulet qui leur était proposée au dîner, parce que ce n'était pas halal. Nous n'avions pas été prévenus, donc nous avons jeté ces 35 cuisses de poulet et ils n'ont mangé que des frites", raconte Yannis Roeder, leur professeur d'histoire.

    Plus préoccupant, en Seine-et-Marne, des élèves musulmans sont aussi stigmatisés par d'autres élèves parce qu'ils mangent de la nourriture ordinaire (non halal) à la cantine. De même, dans le Nord des élèves musulmans sont insultés par d'autres élèves musulmans quand ils mangent des produits qui ne sont pas halal.

    De nombreux signalements. Pour certaines familles, il est inconcevable que leur enfant ne mange pas halal, même l'espace d'une semaine. De fait, en Haute-Savoie par exemple, certaines écoles n'organisent plus de séjours en classes de neige, parce que c'est devenu "ingérable", selon elles.

    Il y a quelques mois, l'Education nationale a mis en place une plateforme permettant à un enseignant qui se trouve face à une question touchant à la religion de recevoir une réponse, un soutien dans les 24 heures. Elle enregistre environ 30 signalements par jour.

  • JT TVL 08/10/18

  • Présidentielle au Brésil : Jair Bolsonaro, classé à l’extrême-droite, largement en tête au 1er tour (MàJ)

    Par  le 08/10/2018

    0h44
    BFMTV
     
    @BFMTV
     
     

    Au Brésil, le candidat de l'extrême droite est en tête au premier tour de la présidentielle

     

     

    Le candidat de l’extrême droite est arrivé en tête du premier tour de l’élection présidentielle brésilienne, dimanche 7 octobre. Avec plus de 46% des suffrages, Jair Bolsonaro affrontera au second tour le candidat du Parti des travailleurs, Fernando Haddad, qui totalise près de 29%.

    Jair Bolsonaro n’est pas passé loin d’une victoire dès le premier tour, dimanche 7 octobre. Le candidat de l’extrême droite brésilienne arrive largement en tête du premier tour de l’élection présidentielle.

    mathieu gallard@mathieugallard
     

    
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  • L’ex-président Giscard confie que le regroupement familial est « son plus grand regret ». Il aurait projeté de renvoyer 500.000 immigrés algériens.

     

    20h11

    Comme rarement, l’ex-chef de l’État s’est livré au biographe Éric Roussel. Ses blessures, ses doutes, ses idéaux… Extraits en avant-première du livre.

    (…)

    « Son grand regret, le regroupement familial, décidé par un simple décret de Jacques Chirac en 1976. (…)

    L’idée de faire venir les familles des immigrés paraissait, à l’époque, naturelle. Avec l’augmentation massive de l’immigration en provenance de pays musulmans, elle divise profondément. Raymond Barre, d’ailleurs, le suspendit pour trois ans, avant que le Conseil d’État annule cette décision au motif que le regroupement familial faisait désormais partie de principes généraux du droit.« 

    Valéry Giscard d’Estaing : «L’idée en soi était juste et généreuse (…) Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité (…) Nous visions le noyau familial tel que nous le connaissons et nous avons vu arriver des noyaux familiaux totalement différents.»

    Dans son essai, Le sens de la République, l’historien Patrick Weil a aussi révélé que le président avait eu le projet de dénoncer les Accords d’Evian pour pouvoir rapatrier quelque 500 000 Algériens en cinq ans.

    (…) Le Point

     NdB: un regret qui vient beaucoup trop tard. D'autant plus  que VGE a reçu, comme Merkel, le prix Kalergi - Coudenhove!
  • Lyon: les familles des jeunes filles tuées dans une attaque à Marseille veulent poursuivre l'Etat

    Il y a 1 an, les deux cousines Mauranne et Laura, 20 ans, étaient assassinées par un terroriste, Ahmed Hanachi, sur le parvis de la gare Saint-Charles à Marseille. Leur famille veut maintenant attaquer l'Etat, au Tribunal administratif de Lyon, pour "faute" devant le tribunal administratif de Lyon.

     

  • Méditerranée : l’Espagne recueille près de 1 200 migrants en deux jours

     

    0h42

    Au cours des 48 dernières heures, les gardes-côtes espagnols ont secouru près de 1 200 migrants. Ils étaient répartis dans 30 embarcations de fortune.

    Les gardes-côtes espagnols ont annoncé ce dimanche avoir secouru en Méditerranée au cours des dernières 48 heures près de 1 200 migrants qui tentaient de rejoindre l’Espagne, première porte d’entrée de l’immigration clandestine en Europe, à bord d’embarcations de fortune.

    « Le Secours maritime a secouru samedi et dimanche 1 181 personnes dans 30 embarcations », a indiqué cet organisme sur son compte Twitter.

    L’Espagne est devenue cette année la première porte d’entrée de l’immigration clandestine en Europe, après que l’Italie a largement fermé ses frontières sous la pression de son ministre de l’Intérieur d’extrême droite Matteo Salvini. Ce dernier a par ailleurs menacé ce dimanche, de refouler les avions allemands avec des migrants à bord. (…)

     

  • Le juge Kavanaugh confirmé à la Cour suprême des Etats-Unis après plusieurs semaines de contestation

     

    Le juge Kavanaugh confirmé à la Cour suprême des Etats-Unis après plusieurs semaines de contestation© Mary F. Calvert Source: Reuters
    Brett Kavanaugh le 27 septembre 2018 à Washington (image d'illustration).
     

    Le Sénat a confirmé la nomination de Brett Kavanaugh à la Cour suprême des Etats-Unis par 50 voix contre 48, offrant une victoire à Donald Trump face aux démocrates. Le magistrat va donner une teinte conservatrice à la plus haute juridiction du pays.

    Les accusations de dernière minute – non corroborées – d'agressions sexuelles à son encontre n'auront finalement pas pesé dans la balance : Brett Kavanaugh a été confirmé à la Cour suprême ce 6 octobre par les sénateurs américains. Ces derniers ont majoritairement voté selon leur affiliation politique, pour un résultat de 50 voix en sa faveur contre 48 en sa défaveur.

    A quelques semaines des élections de mi-mandat, capitales pour conserver une majorité républicaine et pouvoir gouverner, la séquence politique tourne à l'avantage du président américain Donald Trump. Le parti démocrate avait en effet mis un point d'honneur à bloquer cette nomination, électrisant comme rarement le pays.

    Les vidéos de militants d'organisations (accusées d'être liées à George Soros) qui invectivent violemment des sénateurs républicains ont, par exemple, fait le tour de la toile, tout comme les nombreuses manifestations, très médiatisées, qui se sont déroulées aux Etats-Unis depuis deux semaines. Cette colère a pris racine dans les graves accusations portées contre du Brett Kavanaugh, formulées par Christine Blasey Ford. Elle affirme qu'un soir d'été en 1982, alors qu'elle allait aux toilettes, Brett Kavanaugh et un ami, Mark Judge, «totalement ivres» l'auraient isolée dans une chambre. Après l'avoir poussée sur un lit, le futur juge se serait jeté sur elle, tentant de la déshabiller tout en la touchant partout sur le corps. L'avocat Michael Avenatti, que de nombreux commentateurs voient dans la peau du candidat démocrate à la présidentielle de 2020, n'a quant à lui pas hésité à rapporter le témoignage d'une de ses clientes, assurant que le magistrat choisi par Donald Trump avait participé dans sa jeunesse à des viols collectifs. Le FBI, dans l'enquête qu'il a menée sur le juge Kavanaugh, n'est pas parvenu à trouver la trace d'un comportement inapproprié de la part de celui qui siégera désormais à la Cour suprême.

    Une défaite amère pour le Parti démocrate 

    La tension est encore montée d'un cran ces derniers jours lorsque Jackson Cosko, un assistant travaillant pour des sénateurs démocrates, a publié sur Wikipédia les informations personnelles, dont l'adresse exacte, de trois sénateurs républicains. Du doxxing, pratique consistant à rechercher et à révéler sur internet des informations sur l'identité et la vie privée d'un individu dans le but de lui nuire. Arrêté le 4 octobre, le jeune homme de 27 ans risque une lourde peine de prison.

    Après tous ces efforts, la défaite n'en est que plus amère pour le Parti démocrate. Elle pourrait même lui coûter davantage. Si l'on croit les récents sondages, le cirque politique offert au monde dans le cadre de cette nomination profite ainsi aux républicains et au président, qui progressent sensiblement dans les sondages. Le non-respect par l'état-major démocrate du «procès équitable» ( le due process), principe fondateur de la justice américaine selon lequel il revient à l'accusation d'apporter les preuves de la culpabilité de l'accusé, semble avoir clairement joué en sa défaveur. Une double défaite donc, maintenant que Brett Kavanaugh donne une majorité conservatrice à la Cour suprême.

  • Etats-Unis : le chômage au plus bas depuis 1969, à un mois des élections de mi-mandat

     

    Etats-Unis : le chômage au plus bas depuis 1969, à un mois des élections de mi-mandat© Leah Millis Source: Reuters
    Le président des Etats-Unis Donald Trump.
     

    Donald Trump peut se réjouir : le recul du chômage en septembre est encore plus fort que ce qui était prévu. Il descend ainsi à 3,7%. Du jamais vu depuis 1969. De quoi faire sourire les Républicains à un mois d'élections cruciales pour eux.

     

    Le taux de chômage américain est tombé à 3,7% en septembre, un niveau inédit depuis décembre 1969 malgré un ralentissement marqué des créations d'emplois, qui ont notamment pâti du passage de l'ouragan Florence sur la côté est.

     

    A un mois des élections de mi-mandat, le 6 novembre, cette bonne nouvelle devrait conforter le président républicain Donald Trump, qui a fait de l'économie sa carte maîtresse dans ce scrutin, lors duquel certains prédisent une «vague bleue», couleur des démocrates. D'autant que de nombreux économistes s'attendent à ce que la baisse du chômage se poursuive.

    «Ca tourne!», s'est félicité Larry Kudlow, le conseiller économique de la Maison Blanche, estimant que l'économie avançait «à plein régime». De fait, le recul du chômage est plus marqué que prévu puisque les analystes tablaient sur 3,8%, après 3,9% en août.

    Dans le détail, six millions de chômeurs étaient recensés en septembre aux Etats-Unis, soit une diminution de 270.000 personnes, dont une majorité de femmes, a précisé vendredi le département du travail. Encore 4,6 millions de personnes n'ont néanmoins trouvé que des emplois à temps partiel.  Le taux de participation à l'emploi était, lui, de 62,7%, un «niveau solide», ont commenté les économistes d'Oxford Economics.

    Alors que l'opposition démocrate peine à se remettre de la défaite cuisante d'Hillary Clinton il y a deux ans, le camp républicain espère mobiliser les électeurs sur la base de ces bons résultats économiques. Donald Trump est arrivé à la Maison Blanche quand l'économie avait certes déjà été assainie par l'administration de son prédécesseur, Barack Obama. Mais la mesure phare du mandat de Donald Trump, la réforme fiscale adoptée fin 2017, est brandie par les soutiens de Donald Trump comme l'exemple même de la réussite économique de leur champion.

     Lire aussi : «La plus grande baisse d'impôts» : la réforme fiscale adoptée, Trump savoure sa victoire

  • Michel Onfray annulé sur France 5 après sa lettre "aux relents homophobes" sur Emmanuel Macron

     

    Michel Onfray affirme être censuré sur France 5 après sa lettre sur Emmanuel Macron.

     

    Voici la lettre qu’il a publié sur son site :

    Je devais venir parler de mon dernier livre sur l’AVC (Le Deuil de la mélancolie) dans Le Magazine de la santé sur France 5. La date était prise depuis longtemps : lundi 8 octobre de 13h à 14h05.

    Mon attaché de presse a reçu ce matin un coup de fil de la production annulant mon passage à l’émission au motif de la publication hier de ma "Lettre à Manu sur le doigté et son fondement".

    Cela a été clairement dit.

    Après France-Culture, c’est donc France 5 qui me prive de micro. Cela confirme la censure dont je fais l’objet de la part du service public audiovisuel et dont je parlais dans ma satire.

    Michel Onfray

    La photo d’Emmanuel Macron aux Antilles entre deux hommes torses nus, dont l’un fait un doigt d’honneur, a inspiré Michel Onfray. Sur son site internet, dans une vidéo, l’essayiste et sa Lettre à Manu sur le doigté et son fondement livre un discours aux relents jugés homophobes et qui fait scandale sur les réseaux sociaux ; beaucoup dénonçant la dérive du philosophe.

     

     

     

     

    Lire la suite de l’article sur jeanmarcmorandini.com

  • Montpellier : elles se font attaquer par des migrants mineurs en revenant du rassemblement pour le bateau de migrants Aquarius

     

    14h22

    INFO MÉTROPOLITAIN. Un courageux commerçant du boulevard du Jeu de Paume, à Montpellier a neutralisé trois mineurs âgés de 13 ans pour deux d’entre-eux et de 15 ans, samedi après-midi en les coursant au guidon de son scooter. Des scènes surréalistes dignes d’un polar vécues par des centaines de témoins.

    (…) « J’ai entendu des cris de femmes et j’ai aperçu deux dames de 50 à 60 ans courir dans le hall d’un immeuble poursuivies par trois jeunes. Le trio est ressorti et a détalé, après avoir arraché le collier en or autour du cou de l’une des victimes. »

    (…) Pour l’anecdote, les deux femmes agressées revenaient du rassemblement organisé sur la place de la Comédie en faveur du bateau des migrants Aquarius. Et elles ont croisé le chemin des trois arracheurs de colliers en or : des mineurs étrangers de 13 et 15 ans non accompagnés…

    (Merci à Auréliane et Bruno)

    On ne va pas les plaindre... 

  • Salvini va fermer les aéroports italiens aux migrants venant d’Allemagne

     

    15h50

    L’Italie va fermer ses aéroports aux avions de ligne non autorisés transportant des migrants en provenance d’Allemagne, a annoncé dimanche le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini accentuant les tensions entre Rome et Berlin.

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    L’Allemagne et l’Italie travaillent à un accord aux termes duquel des migrants résidant en Allemagne pourraient être renvoyés en Italie, pays où ils ont déposé une demande d’asile. L’accord n’a pas été signé pour le moment.

    Le quotidien La Repubblica rapportait samedi que l’office allemand pour les réfugiés avait adressé « des dizaines de lettres » à des migrants les informant d’un possible transfert vers l’Italie via des vols charters. Le premier vol est prévu mardi prochain.  (…)

  • LETTRE A MANU (Michel Onfray)

    Votre Excellence,
    Votre Sérénité,
    Mon cher Manu,
    Mon Roy,
    Mais aussi :
    Mon Chéri,

    Je me permets en effet cette familiarité, mon cher Manu, car des photos t’ont récemment montré partout sur la toile aux Antilles enlaçant un beau black, bodybuildé en prison, luisant de sueur tropicale, ce qui semblait te ravir jusqu’au plus profond – si tu me permets l’expression… Ton sourire béat montre en effet que ta dilection va plus facilement à qui accompagne son selfie avec toi d’un doigt d’honneur qu’aux intellectuels qui n’ont pas l’heur de te plaire parce qu’ils ne te font pas la cour. Décidément, tu sembles n’aimer que ceux qui te font savoir leur amour d’une façon qui ne prête pas à confusion : il faut t’enlacer torse nu pour te plaire, essuyer sa transpiration sur ta chemise blanche, et passer plus de temps en salle de sport qu’en bibliothèque. Je comprends dès lors que le philosophe Étienne Balibar, avec lequel tu dis avoir rédigé un mémoire universitaire sur Machiavel, n’ait plus le souvenir de toi. Il n’est probablement pas assez couvert de sueur, trop âgé et trop intellectuel à ton goût.

    À ceux qui voudraient augmenter un peu leur culture, ce qui n’est pas de trop ces temps-ci, consultons l’encyclopédie en ligne Wikipédia, soyons fous ! Elle nous donne cette signification du doigt d’honneur : « Le majeur dressé autour des autres doigts baissés évoque un phallus et le reste de la main, un scrotum ». Traduction pour qui ne maîtriserait pas toutes ces subtilités lexicales, il s’agit tout bonnement d’un « doigt dans le cul ». Le doigt, on voit bien à qui il appartient, le cul, on se tâte – si je puis dire ! Est-ce le tien personnellement ? Auquel cas c’est ton affaire, mais n’en fais pas un étalage public : un président, ça ne devrait pas faire ça, comme dirait l’autre… Ce cul, est-ce le nôtre en tant que tu incarnes la souveraineté populaire ? Est-ce celui de la France dont tu es le corps mystique ? – On ne sait. Mais cette fois-ci, ça nous concerne. Et permets qu’on puisse ne pas jouir d’une pareille intromission dans notre intimité sans notre consentement. Demande à madame Schiappa : c’est la définition légale du viol.

    Quoi qu’il en soit de ce fondement et de son propriétaire, c’est proprement manquer de doigté envers la République que de se laisser mettre de la sorte en arborant ce sourire radieux qui témoigne de ton contentement. Pareil goût relève de ta vie privée qui est celle du second corps du roi, elle ne devrait pas affecter ton premier corps qui est politique et républicain. Ce sourire, c’est le même que tu arborais sur les marches de l’Élysée le jour de la fête de la musique en compagnie d’une brochette d’individus, eux-aussi férus de ce très subtil langage des signes. On ne dira pas que tu caches ton jeu. Il n’y a que les crétins pour feindre que tu dissimules. Tu es du genre à nous le mettre bien profond, pour dire clairement ce qui ne devrait pas te choquer sous forme de mots, puisque la chose te ravit quand elle se trouve exprimée sous forme de geste. Mais « mettre ou ne pas mettre », là est la question…

    Or, cette question, tu l’as franchement résolue. Car, depuis quelque temps, tu montres en effet que, toi ou tes services, vous n’avez pas grand souci de la légalité (je ne parle plus de moralité, on sait désormais dans quelle estime tu tiens toute morale…), je parle de légalité. En adoptant cet angle de vue, on voit bien comment tu nous la mets, tu nous le mets, tu nous les mets…

    D’abord, premier doigt, il y eut cette étonnante évaporation de tes bénéfices en tant que banquier chez Rothschild : tu sembles en effet avoir habilement fait disparaître cette somme considérable de ta déclaration de patrimoine avant les présidentielles. Quid en effet des cinq millions d’euros que tu as engrangés comme banquier pendant huit ans et dont personne ne retrouve la trace ? (Source : « Cinq millions d’euros en huit ans, où est l’argent, Emmanuel Macron ? » dans Économie Matin du 16 février 2017). Cinq millions, ça en fait des billets de cinq euros que tu voles dans la poche des étudiants qui reçoivent l’APL !

    Ensuite, deuxième doigt, il y eut cette soirée de levée de fonds à Las Vegas qui a permis, via des facturations de Havas-Business – le prestataire de service de cette soirée apparemment effectuée sans appel d’offre, donc illégalement – de dégager de considérables marges, en dizaines de milliers d’euros, pour le candidat que tu étais alors. Qui organisait ce genre de soirée fort peu légale ? Muriel Pénicaud, ton actuelle ministre du travail (source : « Déplacement de Macron à Las Vegas : la très chère soirée organisée par Havas » dans Le Parisien du 8 juillet 2017). Fillon est tombé pour trois costumes : cette seule soirée t’aurait permis d’acheter des pardessus et des pantalons pour tout ton gouvernement et leurs cabinets pendant de longues années. Or, ce ne fut pas la seule soirée ayant permis des largesses à ton endroit.

    Troisième doigt, devenu président, il y eut l’affaire Benalla. Chacun a eu le loisir, durant ce feuilleton de l’été débordant sur la rentrée, de voir combien et comment tu couvrais qui te couvre. Entre mensonges, stratégies de communication, enfumage, intoxication, désinformation, instrumentalisation, bien malin qui peut désormais savoir où se trouve la vérité. Dans cette affaire, je veux n’en retenir qu’une. C’est une affaire dans l’affaire. Quand ton petit protégé s’est retrouvé en garde à vue, la police n’a pu effectuer une perquisition à son domicile pour cause de légalité : elle n’intervient pas la nuit. Comment se fait-il qu’une équipe ait pu être diligentée pendant ce temps-là au domicile de Benalla pour ouvrir son coffre et faire disparaître son contenu, dont des armes à feu ? Qui a dit quoi, et à qui, pour que ce forfait qui entrave la bonne marche de la justice ait été commis ? Et par qui ? Il faudrait demander à feu Gérard Collomb et lui demander si ça n’a pas un peu à voir avec sa récente démission… On ne fera croire à personne que ce faux cambriolage ait pu avoir lieu à cette heure, dans ce lieu, dans cet endroit de l’appartement d’un homme que tu protèges contre vents et marées, sans que tu sois un peu au courant ! Qu’y-a-t-il entre lui et toi pour que se trouvent détruites les preuves des coups tordus de cette affaire ? De quels doigts et de quels fondements symboliques (ou non) est-il ici question ? (Source : « Affaire Benalla. Compagne introuvable, coffre-fort disparu… les zones d’ombre subsistent » dans Ouest-France du 23 août 2018).

    Puisque nous sommes dans la cambriole, ajoutons un autre forfait, ce sera le quatrième doigt, nous ne sommes pas bien loin de toute la main. Chacun sait désormais que la communication de monsieur Benalla, qui mettait tant dans l’embarras monsieur Collomb (un nom qui, je le jure sur ta tête, n’entre en rien dans ma métaphore filée du doigt et du fondement…), est pilotée par la Reine Mimi.

    Qui est Mimi ? Laissons parler les éditions Grasset qui publient bientôt une biographie non autorisée du personnage. Voici la quatrième de couverture du livre en question : « On l’appelle ‘Mimi’. Michèle Marchand, la papesse des paparazzis, la gardienne des rumeurs, des secrets de la politique et des affaires. Elle collectionne les scoops sur les puissants mais elle a compris que le plus utile n’était pas de les vendre. Les posséder suffit. Et en parler, ici ou là. Elle ne dispose d’aucun titre officiel mais ‘Mimi’ se rend tous les jeudis à l’Élysée. Son agence de presse, Bestimage, a l’exclusivité de l’image de la Première Dame et de celles, privées, du couple Macron (sic !). Une manne. Et une première. Jamais un couple présidentiel n’avait concédé un tel passe-droit à une ‘petite marchande de photos’. Comment ‘Mimi’ a-t-elle pris le contrôle des secrets de Paris ? Pourquoi lui est-il accordé tant de privilèges ? Que sait-elle ? Que tait-elle ? Difficile d’enquêter sur cette femme, puissante et redoutée. Ses amis se taisent et ses obligés ont peur. Et puis ceci, qui ne manque pas de piment : « Garagiste, tenancière de boîte de nuit, mariée à des braqueurs puis à un policier, championne de ski, reine de la presse people… avant d’arriver au cœur du pouvoir. La vie de ‘Mimi’ est une énigme et un vertige. »

    On comprend que ce vertige en donne à d’autres. Voilà pourquoi, fort étrangement, l’appartement de l’un des journalistes a été cambriolé. Par qui ? Toi seul le sait me semble-t-il. Ou Monsieur Collomb, qui a récemment fait ses valises… comme un voleur ! Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que l’équipe de monte-en-l’air qui a œuvré sur le coffre-fort de Benalla était aussi de service chez l’un des biographes de la désormais fameuse Mimi (source : « Un des biographes de ‘Mimi’ Marchand mystérieusement cambriolé » dans L’Obs du 26 septembre 2018).

    Pour les besoins de ma démonstration – je sais que tu me comprendras – j’ai besoin d’un cinquième doigt. De sorte qu’ainsi, nous pourrons franchement parler d’un « Fist Fucking » – autrement dit, pour ceux qui se trouveraient autant déroutés par cette expression formulée dans la langue de Shakespeare que par les subtilités lexicales du corps humain, voici une libre traduction de mon cru : « La main, puis tout le bras dans le cul ». Tu m’excuseras toutes ces variations proctologiques, mais c’est toi qui m’y contrains, après avoir commencé aux Antilles…

    À plusieurs reprises, celui qui te sert de Benalla pour tes discours, Sylvain Fort, a fait savoir que tu n’appréciais pas un certain nombre d’intellectuels – dont ma pomme ! Il fut dit un temps qu’un genre de « cellule-riposte » allait être mise en place pour répondre aux idées « nauséabondes », bien sûr, de ces personnes dont j’étais et dont je suis. Notre Sylvain avait alors sorti du chapeau les noms de Michel Serres et de Pierre Nora : tu voulais du sang neuf et rajeunir la société française, ces académiciens totalisent 174 ans à eux deux, c’est réussi. (Source : « Le devoir de mémoire de Macron » dans Le Parisien du 11 juin 2017).

    Tout le monde a pu voir que tu étais capable de changer la loi pour récompenser Philippe Besson qui est à ta personne ce que Heidegger fut à Hitler, Sartre à Staline, Sollers à Mao (puis à Balladur…) Tu as en effet décidé de faire voter un texte permettant d’ouvrir une vingtaine de postes de consuls généraux supplémentaires à des fonctionnaires comme à des non-fonctionnaires afin de rendre possible ce hochet à offrir à ton ami avec l’argent de la République. (Source : « Ce décret qui permet de nommer Philippe Besson consul à Los Angeles » dans Le Parisien du 30 août 2018).

    Un homme qui est capable de passer par-dessus la loi pour récompenser un intellectuel qui le…, qui le…, disons, qui chante ses mérites, n’aurait pas à se forcer beaucoup pour faire savoir combien il lui plairait que ce philosophe, qui lui déplaît, cesse de voir ses cours diffusés sur le service public ! Je dis ça comme ça ! Après la fraude fiscale, trois doigts, les cambriolages, deux doigts, la promotion d’un ami comme avers d’une médaille dont le revers est l’éviction d’un ennemi, cinq doigt, voilà, le compte est bon : la main est passée tout entier, le bras peut suivre…

    Voilà un an que Votre Altesse, Votre Excellence, Votre Sérénité, Mon cher Manu, Mon Roy, mais aussi : Mon Chéri, tu es au pouvoir. Et tu nous régales chaque semaine avec de nouvelles aventures. Il te reste quatre ans de règne.

    Je t’annonce une bonne nouvelle : comme je dispose de plus de temps pour moi depuis que mes cours à l’Université populaire sont passés dans la moulinette de ton rectum citoyen, je me réjouis de pouvoir t’annoncer que je t’écrirai plus souvent que je ne l’avais prévu lors de ma première lettre. Cette perspective nouvelle me donne le même sourire que toi, mais pour d’autres raisons : je suis ravi !

    On sait que le sage montre la lune et que l’imbécile regarde le doigt : pour ma part, j’en prend le ferme engagement, je ferai part égale entre la lune et le doigt…

    Salut Manu !

     

    Michel Onfray
    https://michelonfray.com/

  • L'Aquarius, le navire de l'ONG pro-migrants SOS Méditerranée doit être saisi ! Pétition à signer

     

    L'Aquarius, le navire de l'ONG pro-migrants SOS Méditerranée doit être saisi !
    Lancée le 04-10-2018, sera close dans 4 semaines

    Cette pétition sera remise aux destinataires suivants :

    • Emmanuel Macron - Président de la République
    • Edouard Philippe - Premier ministre

    Le navire « l’Aquarius » affrété par l’ONG SOS Méditerranée est revenu à Marseille depuis le 4 octobre. Depuis 2015, SOS Méditerranée récupère les migrants abandonnés en mer par les passeurs pour les débarquer sur le sol européen

    L’association a ainsi permis à plus de 30 000 clandestins d’entrer en Europe. Sous couvert « d’humanitaire », elle collabore avec les mafias de passeurs. Elle constitue un maillon de la grande chaîne de tous ceux qui profitent de l’immigration massive, des mafias libyennes aux vendeurs de sommeil en Europe, en passant par la cohorte d’associations subventionnées qui ont fait de l’immigration leur fonds de commerce.

    Complice des mafias, les agissements de l’ONG SOS Méditerranée doivent cesser.
    Au mois d’août 2017, la justice italienne avait saisi le « Iuventa », le bateau d’une autre ONG pro-migrants, pour avoir encouragé l’immigration illégale en coopérant avec les passeurs.
    Afin d’envoyer un signal fort à toutes ces ONG complices du trafic d’êtres humains, nous exigeons la même sanction contre l’Aquarius ! 

    Cette pétition a été signée 1957 fois.