
Junker, demande d’ores et déjà l’asile à tes amis fascistes musulmans : tu vas en avoir besoin !!!
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vidéo du moment
Magnifique!
TVL

Donald Trump en conférence de presse sur la pelouse du Trump Turnberry, sur la côte ouest de l'Ecosse, le 24 juin 2016. Crédits photo : CARLO ALLEGRI/REUTERS
De notre envoyé spécial en Écosse.
A l'aube vendredi, alors que le Royaume-Uni se réveillait sous le choc du résultat du référendum sur la sortie de l'Union Européenne, un hélicoptère siglé Trump atterrissait sur la pelouse du Trump Turnberry, terrain de golf et complexe hôtelier luxueux en bord de mer sur la côte ouest de l'Ecosse. En voyage de deux jours en Ecosse, où il possède deux terrains de golf, Trump est arrivé au moment où le monde entier avait le regard braqué sur la Grande-Bretagne. Sur la pelouse du golf, Donald Trump a été accueilli au son des cornemuses par les employés. Coiffé d'une casquette siglée «Rendre sa Grandeur à l'Amérique», il a donné une conférence de presse devant le 9e trou du terrain.
«Ce qui s'est passé est une grande chose, un vote incroyable, très historique», déclare Trump en référence au référendum britannique. «Je pense que les gens veulent qu'on leur rende le contrôle de leur pays. Je pense qu'on voir ça de plus en plus. C'est en train d'arriver aux Etats-Unis». Un moment de confusion survient lorsqu'un comédien a déversé des balles de golf décorées de petites croix gammées sur le green aux pieds de Trump. L'intrus a été évacué, et Trump lui a conseillé de «se trouver un boulot et d'aller se faire couper les cheveux».
«En novembre prochain le peuple américain aura l'occasion de déclarer à nouveau son indépendance» a ajouté Trump. «Les Américains auront la chance de voter pour des politiques économiques, étrangères et d'immigration qui seront au profit de nos citoyens. Les électeurs américains auront l'occasion de rejeter le gouvernement actuel par les élites globalisées, et de permettre un vrai changement en faveur d'un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. J'espère que l'Amérique regarde, parce qu'il sera bientôt temps de croire de nouveau en l'Amérique».
Trump doit se rendre samedi sur l'autre côte de l'Ecosse, près d'Aberdeen, où il possède un autre luxueux terrain de golf. Donald Trump est d'origine à moitié écossaise par sa mère, Mary Anne McLeod, née sur l'île de Lewis et qui émigre aux Etats-Unis dans les années 1930. Trump s'est toujours montré très fier de son ascendance, mais n'a jamais été très populaire en Ecosse, où son style flamboyant ne passe pas toujours bien. La construction de ses deux luxueux terrains de golf a rencontré une certaine opposition de la part des habitants du voisinage, dont certains se sont opposés au développement de ces deux complexes hôteliers pour riches touristes.
LE FIGARO
« Cinquante-sept personnes avaient été arrêtées le 29 septembre 2012 après une tentative de rassemblement sur le parvis de Notre-Dame »

(merci à Dirk)
 
Afin de tourner en ridicule un projet de loi en faveur du respect de la diversité sexuelle, un membre du parlement de l’État fédéral de Brandebourg (Allemagne) a énuméré lors de son intervention à l’assemblée pas moins de 60 genres.
Steffen Königer, élu du parti conservateur et eurosceptique Alternative pour l’Allemagne (AfD), a choisi la voie de l’humour pour manifester son opposition à un projet de loi régional déposé par ses homologues écologistes, ayant pour objet d’améliorer « l’acceptation de la diversité des genres et des sexes » et de lutter « contre l’homophobie et la transphobie ».
Montant à la tribune du parlement de Brandebourg pour s’exprimer à ce sujet, l’élu a commencé son intervention par : « Cher Monsieur le Président [de l’assemblée], Mesdames, Messieurs »... avant de saluer – dans un souci ironique de ne discriminer personne – toutes les minorités sexuelles possibles : « Chers homosexuels, chers lesbiennes, chers androgynes, chers bigenres (...) chers genres neutres, chers asxuels, chers non-binaires (...) chers pansexuels (...) ».
Après une minute et douze secondes de salutations de ce type, le président du l’assemblée a tenté d’interrompre Steffen Königer, en lui demandant de « passer au vif du sujet ». Déclinant la proposition, l’élu de l’AfD a assuré qu’il « n’avait pas terminé son introduction » – provoquant des rires dans la salle – avant de poursuivre son énumération.
Près d’une minute de déclinaison de genres et d’orientations sexuelles plus tard, l’homme politique allemand a finalement annoncé – sans grande surprise – que son parti rejetait le texte des écologistes.
59% des Français étaient favorables au Brexit, sortie de la Grande Bretagne de l’Union Européenne, contre 40% défavorables. (26/06/2016, Odoxa, I-TELE)

  
 Sortant de son rôle de pasteur de l’Église catholique, le pape François, en accueillant quatorze migrants dans un geste théâtral à Saint Pierre de Rome, a fait de la propagande pour l’invasion de l’Europe en appelant celle-ci à accueillir tous les immigrés, par une interprétation profane et biaisée des Évangiles.
  
 Comparant les migrants à de modernes « lépreux », le pape François a affirmé que Jésus touchait les exclus, mais que les chrétiens d’aujourd’hui le font rarement. « Jésus nous apprend à ne pas avoir peur de toucher les pauvres et les marginalisés  car il est en eux. » Un bel exemple de vérité d’évidence mis au service d’une phraséologie compassionnelle par un petit glissement invisible : Notre Seigneur Jésus-Christ, c’est pour cela que les zélotes ont voulu sa mort, ne prétendait pas agir d’abord dans l’ordre politique, il n’est pas venu pour sauver l’Israël temporel ni changer les lois, ni chasser les Romains ni ouvrir les frontières de la Judée. Si un Etat catholique a le devoir d’agir conformément à l’esprit des Evangiles et de faire des lois catholiques, nos Etats et l’Europe maçonniques utilisent des vertus catholiques devenues folles pour détruire le substrat culturel que nos sociétés véhiculent encore et pour imposer une révolution éthique et l’islamisation de la chrétienté. Ainsi le pape François transpose abusivement la parole d’Évangile de la charité privée à l’action politique, par une opération non sans ressemblance avec celle que Notre Seigneur Jésus-Christ a condamnée hautement et qui lui a valu d’ailleurs l’hostilité des juifs.
  
 
 Sur cette lancée, le pape François a poursuivi : « Beaucoup pensent que cela aurait été mieux pour eux de rester dans leur pays, mais ils souffraient tant là-bas. (…) Ce sont nos réfugiés, mais beaucoup les considèrent comme exclus : s’il vous plaît, ce sont nos frères ! Un chrétien n’exclut personne, fait de la place pour tous, laisse tout le monde venir à lui. »
 
Ce qui est terrible chez le pape François, c’est qu’il utilise l’autorité de sa fonction, l’aura de sa soutane blanche, et la sympathie facile que lui gagnent des manières d’apparence bonhommes pour faire passer des messages politiques en tordant à sa manière le dépôt de la foi catholique qu’il a pour mission de garantir.
  
 
 Ce qui est terrible, c’est que Notre Seigneur Jésus-Christ laissait vraiment venir à lui les petits enfants, les publicains, les prostituées, c’est qu’il est vraiment du devoir du chrétien de se dévouer pour les pauvres, et que souvent, soit faiblesse, égoïsme, hypocrisie, nous manquons à ce devoir : mais cela n’a rien à voir avec la propagande politique que fait le pape François ni avec l’invasion de l’Europe qu’il encourage. Quand il affirme, « nous sommes tous des migrants », c’est vrai si l’on entend par là que l’homme est en pèlerinage sur la terre, c’est faux si l’on prétend en faire une maxime d’organisation du monde – or c’est cela que le monde entend, et que le pape François veut qu’il entende. Le pape François pousse objectivement et subjectivement à l’invasion de l’Europe, et cette invasion n’est pas un vain fantasme, elle est mesurable. Les Anglo-Saxons, qui ont le droit de tenir des statistiques de ce genre, nous rappellent qu’un million de demandeurs d’asile se sont installés chez nous en dix mois (telle est la partie officielle) et que la « composition ethnique de certains pays commence à changer considérablement ».
  
Réinformation TV
La pétition qui a récolté à ce jour plus de 3,8 millions de signatures exhorte à mettre en œuvre une règle selon laquelle si le vote pour rester ou pour sortir est de moins de 60% et que le taux de participation est de moins de 75%, un autre référendum doit être tenu. Le document est d'ailleurs rédigé par un des partisans de la sortie…
Mais quels qu'en soient ses auteurs, la question primordiale est de savoir si la pétition a la force juridique ou non. Sputnik a demandé à la Commission électorale s'il existait une loi ou une règle stipulant de tenir un nouveau référendum lorsque le taux de participation est au-dessous de la barre des 75% et le vote au-dessous des 60%.
"Il n'y a pas de telles exigences dans la législation référendaire", a déclaré une porte-parole de la commission.
Le premier ministre britannique David Cameron a également exclut la possibilité de tenir un autre référendum sur l'appartenance du pays à l'UE, cette annonce intervenant lors de la première réunion au parlement britannique après le référendum sur le Brexit.
Le nombre nécessaire de signatures est de 100.000, alors que le chiffre a depuis longtemps dépassé ce cap. La pétition est en train d'être examinée par le gouvernement du pays après des révélations selon lesquelles quelque 77.000 signatures seraient en réalité des faux provenant essentiellement d'Islande, de Tunisie et des îles Cayman.
"Le service digital gouvernemental s'emploie à investiguer et, si besoin, à effacer les fausses signatures", a précisé la présidente de la commission des pétitions Helen Jones.
Ainsi, bien que le nombre de signatures non frauduleuses ait tout de même dépassé la barre des 100.000, le parlement n'entend rien entreprendre à ce propos.
SPUNIK
Merveilleuse Marion!
Altermedia France Belgique
(Merci à Dirk)
Organiser un référendum en France aujourd’hui serait totalement irresponsable », met en garde Alain Juppé, dans une interview publiée sur le site du journal Le Monde ce lundi, et dans son édition papier datée de mardi. D’autres candidats déclarés ou probables à la primaire de la droite, comme Bruno Le Maire ou Nicolas Sarkozy, n’excluent pas eux un recours au référendum.
S’il ne faut pas de référendum maintenant, « en revanche, les peuples européens ont le sentiment que la construction européenne s’est faite sans eux. Ce sentiment fait partie du rejet actuel. Il faudra un référendum, non pas seulement en France, mais dans tous les pays concernés, à un certain stade de la reconstruction de l’Europe », affirme Alain Juppé. « Si la France et l’Allemagne se mettent d’accord sur un accord de reconstruction de l’UE, et que des partenaires y sont associés, on pourra alors proposer aux peuples de l’approuver. » « Je ne suis pas contre un référendum – ce serait paradoxal pour un gaulliste – mais je pense qu’une telle consultation populaire se prépare », tient-il à préciser.
« Il y a des moments historiques où les hommes d’Etat ne sont pas faits pour suivre l’opinion. Ils sont là pour la guider: voilà ce que nous pensons et ce que nous proposons à nos peuples et, à ce moment-là, il est possible d’organiser un référendum. Pas avant. »
BV

 
   
 Les Britanniques ont « mal » voté, il faut donc les punir. Ce n’est pas dit si crûment à Bruxelles, mais c’est ainsi que l’on entend traiter ces impertinents qui ont osé claquer la porte. Ils sont simplement « coupables » d’avoir utilisé la possibilité offerte par le traité de Lisbonne de quitter l’UE, un passage par les urnes dont devraient se féliciter les dirigeants européens qui se gargarisent tous les matins du mot « démocratie. » Mais l’article 50 ne devait être pour eux qu’une simple clause de style, car qui pouvait sérieusement songer à une « marche en arrière » et abandonner cette merveille que serait l’Union européenne ? C’est cet aveuglement qui a engendré d’abord la stupéfaction, puis la colère, chez les Tusk, Schultz, Hollande, Merkel et autres Junker, qui sont à Bruxelles ce que le Politburo était à Moscou.
Le président de la Commission, Junker, a proclamé : « Ce n’est pas un divorce à l’amiable », c’est donc à torts réciproques, mais il omet de dire quels sont ceux de Bruxelles ayant poussé nos voisins d’outre-Manche à prendre congé. Ceux des Britanniques ? De ne pas avoir cédé aux objurgations de l’intelligentsia. Rappelons tout de même que le peuple a dû faire face aux pressions conjuguées du parti travailliste, de la moitié du parti conservateur, des libéraux, de quatre anciens Premiers ministres, conservateurs et travaillistes lançant un appel commun, de la plupart des représentants de la City, du patronat dans son ensemble, des dirigeants des multinationales américaines. On a même vu le président Obama faire le voyage de Londres pour exprimer son soutien à Cameron en campagne pour le « in ». Sans compter aussi l’archevêque de Canterbury, primat des Anglicans, et une grande partie de la hiérarchie de l’épiscopat catholique, qui se prononcèrent publiquement contre le « out ».
C’en est fait des paroles prudentes quand, pour ne pas effaroucher les électeurs, Bruxelles évitait d’aborder les sujets qui fâchent. Maintenant, les propos sont expéditifs : puisqu’ils ne sont pas rentrés dans le rang, qu’ils partent le plus tôt possible ! Le président du Parlement européen, Martin Schultz, dénonce comme « scandaleux » d’attendre octobre avant de faire jouer l’article 50, c’est une « prise d’otage » de l’Union, assure-t-il. Junker aussi veut les voir partir rapidement. « Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement britannique a besoin d’attendre jusqu’au mois d’octobre pour décider si oui ou non il envoie la lettre de divorce à Bruxelles. J’aimerais l’avoir immédiatement. » Même son de cloche à l’Elysée.
Le but de cette urgence soudaine ? Empêcher Londres de procéder aux nécessaires adaptations législatives et réglementaires pour remplacer les règlements bruxellois (plus de 7 000 !), dans l’espoir de susciter chaos et confusion qui affaibliraient l’économie britannique. Punir la Grande-Bretagne pour l’exemple aussi et, surtout, afin de dissuader ceux qui, en Europe, voudraient suivre leur « mauvais » choix « Voyez ce qui arrive quand on quitte l’Union ! » Mais ce chantage sera contre-productif, il ne fera que souligner l’arrogance de Bruxelles et son impérialisme, incitant les peuples non point à s’y soumettre, mais à s’en libérer eux aussi.
Guy Rouvrais
Article paru dans Présent daté du 28 juin 2016
NOVOpress

Extraits d’une tribune de Bernard-Henri Lévy, (écrivain, philosophe, et membre du conseil de surveillance du « Monde ») sur la victoire du Brexit, intitulée « Etrange défaite à Londres »*.
* Le titre de la tribune fait allusion à « L’Étrange Défaite » un témoignage écrit en 1940 sur la bataille de France par Marc Bloch, officier et historien. [NDLR]
Ce sera, toujours, la victoire de l’ignorance sur le savoir. Ce sera, chaque fois, la victoire du petit sur le grand, et de la crétinerie sur l’esprit.
Ce « Brexit », c’est la victoire, non du peuple, mais du populisme. Non de la démocratie, mais de la démagogie. C’est la victoire de la droite dure sur la droite modérée, et de la gauche radicale sur la gauche libérale. C’est la victoire, dans les deux camps, de la xénophobie, de la haine longtemps recuite de l’immigré et de l’obsession de l’ennemi intérieur. C’est, dans tout le Royaume-Uni, la revanche de ceux qui n’ont pas supporté de voir les Obama, Hollande et autres Merkel donner leur avis sur ce qu’ils s’apprêtaient à décider.
[...]
C’est la victoire, en France, des Le Pen et autres Mélenchon qui rêvent d’une variante française de ce « Brexit », alors qu’ils ignorent, l’un comme l’autre, jusqu’à la première lettre de l’intelligence française, de l’héroïsme français, de la radicalité et de la rationalité françaises.
[...]
C’est la victoire des casseurs et des gauchistes débiles, des fachos et hooligans avinés et embiérés, des rebelles analphabètes et des néonationalistes à sueurs froides et front de bœuf. [...]
Cela pourra se dire en engliche, en rital, en franglais. Cela va se dire en grognant, en cognant, en virant, en renvoyant à la mer, en interdisant de rentrer ou en proclamant bien fort le dérisoire et fiérot : « Je suis anglais, moi, Monsieur » – ou écossais, ou français, ou allemand, ou n’importe quoi d’autre.[...]
NdB: Quel triste imbécile! S'il savait comme ses insultes racistes glissent sur les Français comme l'eau sur les plumes d'un canard!
Sondage Valeurs Actuelles 26 06 2016