Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 357

  • États-Unis : suspension du président de la Cour suprême d’Alabama, opposé au mariage gay

     

    Le président de la Cour suprême de l’Alabama a été suspendu vendredi après la plainte d’un organisme de supervision judiciaire concernant ses efforts pour empêcher les mariages entre personnes de même sexe dans cet Etat du sud, ont rapporté des médias.

     

    Roy Moore, 69 ans, pourrait devoir comparaître lors d’une audience devant un panel constitué notamment de juges et d’avocats. Il risque la destitution.

    Selon les médias, la plainte de la Commission d’enquête judiciaire estime que le juge Moore a « fait preuve d’un mépris flagrant et abusé de son autorité » en essayant de bloquer les mariages homosexuels.

     

    love_is_supreme-3efee.jpg

     

    Le juge a rétorqué que la Commission n’avait aucune autorité en la matière, a affirmé qu’il allait combattre ces accusations et qu’il s’« attendait à l’emporter ».

    Il a accusé l’entité de supervision d’écouter des « gens comme (la militante transgenre locale) Ambrosia Starling, qui se présente comme un travesti, et d’autres personnes homosexuelles et bisexuelles, ainsi que des organisations qui soutiennent leur cause ».

    Le juge a essayé à maintes reprises d’empêcher le mariage gay en Alabama, même après le feu vert historique donné au niveau national par la Cour suprême des États-Unis en juin 2015.

    Lire la suite de l’article sur fr.news.yahoo.com

  • 8 Mai : «Nous avons bien redressé le pays depuis 4 ans», assure Hollande

    Capture.PNG Hollande.PNG

     

    | MAJ :

    réagir
    256
     

    François Hollande a célébré ce dimanche matin le 71e anniversaire de la Victoire du 8 mai 1945. Le Premier ministre Manuel Valls et plusieurs ministres ont assisté à la cérémonie, ainsi que la maire de Paris Anne Hidalgo et l'ancien chef de l'Etat Nicolas Sarkozy.



    Le président a déposé une gerbe au pied de la statue du Général de Gaulle en bas des Champs-Elysées, avant de remonter en voiture l'avenue, escorté par la Garde Républicaine à cheval.

    Il a ensuite rejoint les membres du gouvernement, comme Jean-Yves Le Drian (Défense), Emmanuel Macron (Economie), Ségolène Royal (Ecologie) et des personnalités politiques, près de l'Arc de triomphe. Il a ravivé la flamme du Soldat inconnu.

    «Je serai là l'année prochaine»



    L'année prochaine, le 8 mai tombera au lendemain du second tour de la présidentielle. François Hollande présidera toujours les cérémonies en tant que président en exercice mais il sera alors en présence du nouveau président élu qui prendra ses fonctions quelques jours plus tard, si ce n'est pas lui.

    «La seule information que je peux vous donner, c'est que je serai là le 8 mai prochain», a-t-il ironisé sur France 2 avant de défendre son bilan, comme il le fait depuis quelques semaines. «Nous avons bien redressé le pays depuis quatre ans, je fais en sorte qu'il y ait un certain nombre de redistributions, dans la maîtrise de nos finances publiques», a expliqué François Hollande, favorable à «un soutien à des catégories qui ont participé à l'effort».

    «Je veux que les Français soient fiers de leur pays, se disent que nous avons une belle et grande histoire, que nous avons fait des efforts pour être encore plus respectés, que nous avons une parole qui porte», a détaillé le président de la République pour qui enfin cette cérémonie du 8 mai, «ce n'est pas le souvenir, c'est l'avenir que nous avons à faire ensemble».

    Nicolas Sarkozy, qui devrait se présenter à la primaire de son camp après l'été, a lui confié sur France 2 assister à cette cérémonie du 8 mai car c'est «un symbole d'unité nationale».

    Manuel Valls a lui confié que l'«esprit de Résistance» devait encore «nous inspirer» dans «des moments où l'histoire tragique s'invite, comme en 2015 avec la menace terroriste». «Nous sortons d'une certaine manière d'une période d'insouciance» avec la menace djihadiste, a-t-il ajouté avant de conclure sur l'importance «d'entretenir cette mémoire car cela reste plus que jamais d'actualité».

    Emmanuel Macron, qui doit ensuite partir à Orléans pour un discours sur Jeanne d'Arc, a lui été interrogé par France 2 sur un éventuel malaise avec François Hollande. «Il n'y en a jamais eu, je vous rassure, il ne faut pas croire tout ce que vous pouvez lire», a répondu le ministre de l'Economie. 

     LE PARISIEN

  • Suède: La photo symbole d'une militante noire face à des néo-nazis

    http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/suede-une-militante-noire-dresse-son-poing-face-a-un-defile-neo-nazi-04-05-2016-5767359.php?_ope=eyJndWlkIjoiMzUzNjg3In0=

    5767359_revolte_545x460_autocrop.jpg

    Suède, le 1 er mai 2016 : une militante anti-racisme veut stopper un cortège néo-nazi.  David Lagerlöf

     + 2 VIDEOS

  • Autriche : la police conseille aux blondes de se teindre en brunes pour ne pas se faire agresser

    601134572df153c36188aa558b456a.jpg

     

    16h21

    Une étudiante attaquée par quatre hommes à la Gare de l’Ouest, à Vienne, affirme que la police l’en a rendue responsable à cause de ses cheveux blonds, ses vêtements sexy alors qu’elle attendait son train.

     

    «Après l’attaque, ils [la police] m’ont dit que les femmes ne doivent pas être seules dans les rues après huit heures du soir. Ils m’ont donné un autre conseil, que je colore mes cheveux en noir et que je ne m’habille pas de manière aussi provocatrice. Indirectement, cela signifie que je suis partiellement responsable de ce qui m’est arrivé. C’est une insulte», a confié Sabina, jeune fille de 20 ans dont on ne connaît que le prénom, au journal autrichien Heute.

    Sabina attendait son train dans la gare principale de Vienne quand elle a été attaquée par quatre hommes, des Afghans, comme elle affirme. D’abord un homme s’est approché d’elle et lui a touché ses cheveux blonds. «Il m’a fait savoir qu’il n’y avait pas ou très peu de femmes blondes dans sa culture», explique la jeune femme. Après qu’elle lui a dit de la laisser, il est parti, avant de revenir un peu plus tard avec trois autres hommes qui ont volé son sac à main et ses cartes de crédit. Ils l’ont ensuite battue jusqu’à la faire tomber par terre avant de prendre la fuite, tout cela sous l’œil impassible de témoins qui n’ont pas bronché, a déploré la jeune fille.

    (…)

    Source

  • Mozart La Marche turque

    C'est quand nous aurons perdu définitivement le Génie européen que nous le pleurerons amèrement. Mais il sera trop tard.

     

  • Marion Maréchal-Le Pen devant l'Action française : « Le FN est le plus monarchiste des partis français »

     

    Le mouvement royaliste et nationaliste de l'Action française tenait un colloque samedi à Paris. Y sont intervenus la député du Vaucluse Marion Maréchal-Le Pen et le maire de Béziers Robert Ménard.

     

    Rue de la Croix-Nivert, dans le XVe arrondissement de Paris, la salle est pleine pour le colloque de l'Action française (AF) intitulé «Je suis royaliste, pourquoi pas vous?» Les jeunes hommes aux cravates fleur-de-lysées se bousculent. Dans les stands, on vends des t-shirt avec une photo de poilu de 14 et la mention «0% hipster», des briquets «Vive le roi», des CD de Jean-Pax Méfret et des oeuvres de Maurras et de Daudet. On trouve aussi des autocollants que ne renieraient pas les militants de Nuit debout: «A bas la dictature de la finance» ou «Coucou c'est la démocratie» avec un avion lâchant des bombes, et «nike la République».

    «Nous avions invité le ministre Emmanuel Macron, mais il a la meilleure excuse, il est à Orléans pour célébrer Jeanne d'Arc», expliquent les organisateurs. Faute d'Emmanuel Macron et de Jean-Luc Mélenchon, qui a lui aussi refusé l'invitation, c'est Marion Maréchal-Le Pen qui était la grande invitée politique. Elle arrive en baskets, ce qui à le don «d'agacer» certains militants plutôt vieille France. Interrogée par les royalistes, elle s'est dite «relativement sceptique quant à la capacité de rétablir la monarchie héréditaire de droit divin» mais favorable «au régime de la Ve République» tout en louant le «miracle capétien». La benjamine du Front national est revenu sur ces propos où elle disait être «saoulée» par les «valeurs de la République». «La France, c'est mon pays, la République est un régime, ce n'est pas à mettre sur le même plan. Je suis lasse, pour le subir systématiquement, de l'invocation des valeurs républicaines comme un réflexe pavlovien qui est une forme de paresse intellectuelle.» «Je dérape régulièrement sur le sol glissant du politiquement correct, ce ne sera pas mon premier, ni mon dernier bleu républicain», a-t-elle ironisé. «La révolution française fait partie de notre histoire. Je prends la France comme un bloc. De Clovis à François Hollande, même si ce n'est pas facile, il faut tout assumer». Elle a tout de même concédé que «l'essentiel de l'histoire de France s'est faite sous la monarchie». Elle a évoqué son rapport aux partis politiques, conspués par l'Action française: «Je n'ai pas un attachement total au système des partis, leur dogmatisme en premier lieu. Un parti politique, ce n'est pas une fin en soi, c'est un moyen, je n'ai pas un attachement dynastique à un parti politique». «Hélas, ça ne sert pas à grand chose d'être élue au Parlement français» dit-elle dans un tonnerre d'applaudissements.

    «Le Front national est peut être le plus monarchiste des partis français, en ce sens où il est le dernier à défendre les fonctions régaliennes de l'Etat» a-t-elle conclu. Les militants l'ont chaleureusement applaudie.

    De Villiers, Chevènement ou Debray comme références

    Avant elle, Robert Ménard, en duplex depuis Béziers avec une connexion Skype chaotique était invité à débattre de la «crise de civilisation», en compagnie du rédacteur en chef du service politique de Valeurs actuelles Geoffroy Lejeune. «Quand je vois un musulman élu à la tête de Londres, peut-être qu'il est très sympathique, je n'ai rien contre lui, mais symboliquement c'est une gifle terrible à la civilisation européenne et chrétienne», a osé le maire de Béziers. Sa critique des médias dominants reçoit un franc succès. «Mon rapport aux médias est un rapport de combat. Je n'ai pas pire ennemie dans ma ville que la presse locale, régionale et nationale. Si j'avais le pouvoir, la première mesure que je prends, j'arrête toutes les subventions aux médias. Ils n'auront plus un sou.»

    Etre 400 et 600 personnes étaient présentes à cette après-midi de débats. Si le courant attire quelques partisans du FN et du Parti Chrétien-démocrate, ici, on vomit la droite traditionnelle. Samuel a sa carte à l'UMP, mais il l'a rendue lorsque le parti a décidé de s'appeler «Les Républicains». «J'ai fait des études de droit, j'ai compris que le système le plus efficace est le système monarchique», explique-t-il.

    Quand on leur demande qui sont leurs références actuelles, les militants citent pêle-mêle Philippe de Villiers, Jean-Pierre Chevènement, ou encore Régis Debray, qui incarnent selon eux le lien entre l'Etat et la nation.

    L'Action française, pour son passé antisémite et son nationalisme est classée à l'extrême droite, étiquette que récuse François Bel-Ker, le secrétaire général de l'AF: «Les gens qui pensent que l'AF est d'extrême droite n'ont pas une bonne grille de lecture idéologique. Tous les débats que nous abordons (écologie, souveraineté, nation) sont transversaux aux partis politiques.»

    LE FIGARO

  • Accord de Bruxelles sur les visas : tutelle des Turcs sur l’UE et invasion alternative

    Visas-Turcs-UE-Invasion-Bruxelles-Accord-e1462369512697.jpg

     


     
    L’accord de la Commission européenne à l’exemption de visas pour les ressortissants turcs entrant dans l’Union européenne (UE) est vu par Bruxelles et les médias sous le seul angle des droits de l’homme. Or il lèse la souveraineté de l’UE et de ses Etats membre et prépare une invasion alternative à celle des migrants.
     
    L’affaire a commencé en 2013. A l’époque les bureaucrates de la Commission de Bruxelles ont mis en chantier l’exemption de visas pour les ressortissants turcs en l’assortissant de 72 (6×12, pas une de moins) conditions portant aussi bien sur la police des frontières que sur les libertés fondamentales. L’UE, qui ne se définit plus comme une réalité ethnique et géographique, se considère en effet comme une entité philosophico juridique. Elle a officiellement renié, cela fut acté dans son projet de Constitution, ses racines chrétiennes, et se présente comme un Empire incarnant l’Etat de droit, inspiré par un panthéisme humaniste qu’on pourrait dire néo-pythagoricien. Quoi qu’il en soit, l’accord devait originellement entrer en vigueur en 2017 et s’inscrire dans le processus d’intégration graduel de la Turquie souhaité par les maîtres de l’UE à Bruxelles sinon par les peuples d’Europe.
     

     

    Bruxelles donne son accord en se pinçant le nez ?

     
    On a avancé cette date à 2016 (Pourquoi ? en raison de la bonne conduite exceptionnelle des Turcs et de leur premier ministre Erdogan ?), plus précisément au mois de juin. C’est pourquoi la date du consentement de Bruxelles a été fixée au quatre mai, le temps de rendre la chose possible, en comptant les formalités administratives – y compris la ratification par les législateurs des Etats membres. Cependant, ces derniers jours, diplomates et parlementaires européens humanistes ont fait part de leurs états d’âmes, tant et si bien que, selon la BBC, la Commission de Bruxelles ne devait donner son accord qu’en « se pinçant le nez ». Certains disaient que les Turcs ne satisfont qu’à la moitié des conditions posées, d’autres, plus précis, à 64 sur les 72. Mais lesquelles manquent-elles, ce n’est pas précisé : la liberté d’expression, le respect des minorités ?
     
    Cette approche n’est qu’un enfumage. Pour trois raisons. La première est que les conditions portant sur la police des frontières n’ont aucune efficacité sans ferme volonté politique. Jean Yves Le Gallou, dans son livre Immigration, la catastrophe : que faire ? démonte avec précision l’illusion technologique de l’UE. Notamment son fétichisme du passeport biométrique, qui ne sert à rien dans les faits – si ce n’est à ficher les honnêtes gens – les moyens humains de contrôle aux frontières manquant.
     

    Les courbettes d’Angela Merkel dans l’affaire des visas

     
    En deuxième lieu, les 72 conditions posées par Bruxelles sont une blague parce que nulle part dans l’UE les droits fondamentaux que l’on soupçonne les Turcs de bafouer ne sont vraiment respectés. Ni en Allemagne ni en France la liberté de parole et le droit à une justice indépendante et impartiale ne s’exercent. Des lois liberticides et une jurisprudence perverse s’y opposent, sans compter, si besoin, le fait du prince. La meilleure illustration, toute récente, est l’autorisation donnée par la chancelière Angela Merkel à la justice allemande de poursuivre l’humoriste de télévision Jan Böhmermann, coupable d’avoir chansonné Recep Tayyip Erdogan : en pleine négociation sur les visas et les migrants, elle a fait cette fleur au premier ministre turc pour l’amadouer.
     
    Cette petite courbette place le problème là où il se situe vraiment, la souveraineté. C’est la troisième raison pour laquelle les états d’âme des bureaucrates de Bruxelles et des parlementaires humanistes de l’UE ne doivent pas entrer en ligne de compte. Avec ses 72 propositions, le Kama soutra européen de l’Etat de droit humaniste a pour mission de faire oublier aux yeux des Européens la vraie nature de l’Europe, de les éloigner de leur réalité charnelle et spirituelle. Dans cette intention, il déplace sur le plan des droits de l’homme (sans Dieu) ce qui est une question de souveraineté.
     

    L’UE abandonne sa souveraineté pour la tutelle turque

     
    L’UE, très efficace pour spolier peu à peu les Etats membres de leur souveraineté et pour la dissoudre, est incapable en revanche d’affirmer la souveraineté qu’elle aurait pu acquérir par ce processus de spoliation. Elle en est incapable parce qu’elle n’en a pas la volonté. Cette caractéristique constitutive est apparue aux yeux de tous avec la « crise des migrants ». Il aurait été loisible à Bruxelles, répondant à la demande pressante de plusieurs Etats membres, de prendre le destin de l’UE en main, et de rejeter les migrants, au besoin par la force en ramenant les clandestins dans leurs eaux territoriales. Les moyens militaires existent. Mais, liée par ses engagements moraux, son idéologie humaniste, et pour tout dire par le projet politique mondialiste qu’elle sert, l’oligarchie européenne a choisi la voie inverse, « l’accueil ». Puis, quand les débordements de celui-ci ont fait grogner les peuples, l’UE s’en est remise à la Turquie par l’accord dit du 18 mars. Pour parler proprement, elle a abandonné sa souveraineté entre les mains d’Ankara, s’est mise sans honte sous tutelle du Grand Turc, en achetant sa (toute relative) tranquillité six milliards d’euros (pour l’instant).
     

    Invasion : les Turcs tiennent les deux voies de l’alternative

     
    Mais une fois qu’on est sous tutelle on est sous tutelle, et les Turcs, leur premier ministre Erdogan en tête, se font un plaisir de faire mijoter l’UE à petit feu en augmentant sans cesse leurs exigences. Ils ont posé comme condition sine qua non à l’application de l’accord du 18 mars l’exemption de visas pour leurs ressortissants. Là, il ne s’agissait plus d’élégances humanistes : si vous ne cédez pas sur les visas, on ouvre le robinet de l’invasion. De ce moment là, Bruxelles était dans la nasse : soit, par un improbable sursaut d’orgueil, elle refusait l’accord sur les visas au motif que les 72 (prononcez septante-deux) conditions n’étaient pas satisfaites, et, dans l’année des millions de migrants se déversaient sur notre continent. Soit elle acceptait l’accord, et les 79 millions de turcs peuvent venir chez nous sans visas. C’est le coup du pile ou face truqué : pile je gagne, face tu perds. Dans les deux branches de l’alternative, l’invasion est assurée, tantôt par des Irakiens, Syriens, Pakistanais et divers peuples de la communauté islamique, tantôt par des Turcs – qui iront rejoindre leurs cinq millions (au bas mot) de frères et cousins turcs installés en Allemagne et en France. Et auxquels pourront se joindre quelques uns des cent-vingt millions de Turcs et turcophones qui peuplent la ceinture altaïque, jusqu’aux Ouighours de Chine.
     

    Les humanistes de l’UE mentent : l’invasion continue

     
    Car il ne faut croire aux paroles lénifiantes que prononcent les politiques pour rassurer les peuples. L’invasion se poursuit. L’accord actuel n’en est qu’une phase alternative et complémentaire des migrants. Sans doute Jean Claude Junker a-t-il promis que les choses avaient été discutées « sans concession ». Sans doute la France et l’Allemagne ont-elle obtenu un dispositif visant à suspendre l’entrée sans visa des Turcs dans l’UE en cas d’afflux trop brusque. Mais qui décidera que cet afflux est trop brusque ? Et les Turcs ont exigé que ce mécanisme s’applique à tous les pays qui bénéficient d’une exemption de visa. Quel gouvernement l’appliquera à tous ces pays ? Les prétendues garanties ne sont donc que des mots destinés à faire passer la pilule auprès des peuples et des parlements, y compris le PE qui, farci d’humanistes et d’hommes de gauche, a une petite dent contre Erdogan – non en tant que maître de l’invasion, mais en tant qu’Attila de la démocratie.
     

    On peut « intégrer » les Turcs sans les institutions de Bruxelles

     
    Il faut savoir en effet qu’aux yeux d’Amnesty International, et de la plupart des ONG humanistes et mondialistes, y compris le lobby immigrationniste en Europe, Erdogan est considéré comme un dangereux autocrate, et l’accord du 18 mars (« l’accord de la honte ») pire qu’un crime, une faute énorme commise par Bruxelles sous la poussée égoïste de certains Etats membres. Les maximalistes rêvent toujours d’une UE maison commune ouverte à tous les biens et personnes du monde, sans frontière ni d’autre contrainte que les droits de l’homme. Mais la colère qui monte en Europe de l’Est, en Allemagne, en Angleterre, en France, mène les plus avisés à une stratégie de remplacement. Nous en avons parlé récemment à propos du Brexit. Il en va de même pour la Turquie.
     
    Le premier agenda prévoyait l’entrée de celle-ci dans l’UE. Mais l’expansion permanente de l’Europe de Bruxelles, conjuguée à l’extension toujours plus contraignante de ses règles, qu’elles touchent au fonctionnement ou à la morale, et au désastre programmé d’une expérience économique absurde, ne pouvaient conduire à l’explosion de l’usine à gaz de Bruxelles ou à l’implosion des peuples qu’elle tyrannise. Le dissident Boukovski l’avait prévu voilà dix ans au parlement européen : « J’ai vécu votre futur et ça n’a pas marché ».
     

    L’UE plus grande morte que vivante ?

     
    L’Europe se trouve aujourd’hui à la croisée des chemins, mais l’alternative que lui proposent ses élites est piégée. Tout est fait pour qu’elle n’échappe ni à l’invasion, ni à la soumission. Imaginons que l’UE, malgré l’avis de tempête actuel, s’en tire et se renfloue au prix de quelques arrangements cosmétiques. L’URSS B (comme Bruxelles) se remet à fonctionner, exerçant une tutelle toujours plus étroite sur des peuples privés de souveraineté. Ou bien cette URSS B explose et elle sera encore plus grande, id est plus mortifère, morte que vivante. La « région », c’est à dire le continent, Europe, sera organisée autrement par la gouvernance globale. Peut-être une UE allégée expédiera-t-elle les affaires touchant aux droits de l’homme tandis que, dans d’autres cadres mondialisants, les nations qui auront retrouvé une petite apparence d’autonomie subiront de la même façon le libre échange des biens et personnes, c’est-à-dire l’invasion, la sujétion économique et la ruine.
     
    Des maçons de la Babel moderne, ceux qui se sont attachés aux murs se désespèrent des difficultés de Bruxelles, ceux qui œuvraient pour l’esprit au contraire se réjouissent : l’effondrement de l’UE n’empêchera ni la punition du continent européen ni l’avènement de l’homme nouveau. On peut même dire que l’Union européenne, par son échec, a réussi, que ses institutions survivent ou ne survivent pas. Sa mise en tutelle par les Turcs en est une magnifique illustration.
     

    Pauline Mille

    RT

  • Mozart censuré pour complaire à la Turquie

    erdogan-merkel.jpg

     

    Download PDF

    La Turquie serait- elle devenue la nouvelle maîtresse de l’Europe ?

    L’air dit « du catalogue » est l’un des plus célèbres du Don Giovanni de Mozart. Rappel de la situation : Donna Elvira, séduite et abandonnée par Don Giovanni, le cherche pour se venger. Don Giovanni s’enfuit, laissant son valet Leporello lui dire la vérité. Pour ce faire, le valet se réfère à une liste des noms des conquêtes de son maître. Il propose à Donna Elvira de la lire avec lui. Donna Elvira découvre qu’elle n’est qu’un élément de la longue liste de femmes séduites et abandonnées. Le texte chanté par Leporello ne contient aucun nom propre, mais des noms collectifs ou des catégories : « En Italie six cent quarante, en Allemagne deux cent trente, une centaine en France, en Turquie quatre-vingt-onze « .

    Or, la dernière partie de la phrase vient d’être censurée à Berlin, au Komische Oper qui programme actuellement Don Giovanni. La « Turquie » a été remplacée par la « Perse ». Cette initiative de la direction a été prise pour ne pas offenser la sensibilité des millions de citoyens turcs vivant en Allemagne, mais surtout pour ne pas créer de malentendus diplomatiques avec Erdogan, qui ces derniers mois a exercé de fortes pressions auprès des autorités allemandes et des médias en ce qui concerne l’image de la Turquie dont il convient de ne pas se moquer publiquement.

    L’ordre de modifier le texte du livret écrit par Lorenzo da Pont, et donc de censurer le chef d’œuvre de Mozart (ou plutôt, est venu des responsables du théâtre en question, mais la demande émane directement du gouvernement fédéral. Comme si les négociations en cours avec le gouvernement turc pour la gestion des flux migratoires impliquaient l’obligation de ne pas créer une source de tension avec Erdoğan. Même au prix de la censure. La demande du gouvernement était d’effacer complètement la partie « fautive » l’opéra, le théâtre a négocié un compromis, en remplaçant la Turquie par la Perse.

    La priorité du gouvernement allemand est, en ce moment, de satisfaire les demandes de la Turquie et la « diplomatie » de Madame Merkel est prête à tout. Même à censurer notre patrimoine culturel.

    Cette initiative est choquante a priori et rappelle des souvenirs nauséabonds. Mais le côté ridicule de l’affaire devrait l’emporter et recadrer les auteurs d’une telle décision dans les limites étroites de leur champ de vision, car si les autres chefs d’état sont aussi médiocres, il faut s’attendre à des conséquences tragiques :

    • L’Italie, la France et les mouvements féministes allemands vont demander la suppression du début de la phrase.
    • L’Iran va faire valoir que tout le monde sait que la Perse, c’est eux et qu’une fois de plus l’occident a choisi le camp des Sunnites contre les Chiites.
    • Les Lettres Persanes de Montesquieu vont remplacer « turqueries » dans le Bourgeois Gentilhomme de Molière.
    • Les atlas devront être refondus car La Marche Turque va devenir le Marché Persan.

    « Le respect que tu veux obtenir, c’est toi qui en décideras ». Proverbe turc.

     

    Source Agoravox, confirmée Radio Classique

    Riposte Catholique

  • VIDEO - Génération Identitaire défend Calais

    https://youtu.be/Vj9Wlv3uIcM

    Plusieurs vidéos inédites sur Calais et le dernier carré des résistants à l'occupation, une résistance pacifique comme l'attestent les images.

    Il reste encore des jeunes couillus dans ce pays, et ils viennent du petit peuple !

    "La patrie est toujours défendue par les gueux et livrée par les riches" Charles PEGUY.

                                                                                                                   

    A comparer avec le traitement "soft" des racailles de "Nuit debout" qui cassent tout à Paris, à Nantes et ailleurs !

     

    (merci à Dirk)

  • TVL - D’Erdogan à Clinton, la menace des idéologues islamistes et néocons.

    https://youtu.be/P7S0i-em73I

    Jean-Christophe Mounicq reçoit Roland Hureaux, essayiste normalien, agrégé d’histoire.

    La menace du frère musulman idéologue Erdogan.

    Grande passivité de l’Europe et de Merkel à son égard.
    – La principale personnalité européenne.
    – Pas un nationaliste, un frère musulman, idéologue de l’expansion de l’islam.
    – Guerres de Syrie et d’Irak n’auraient pas eu lieu si la Turquie avait fermé sa frontière.
    – Une armée et une mafia puissante.
    – La Turquie laisse passer l’armement et les combattants de l’Etat Islamique.
    – Les Syriens souffrent des sanctions économiques alors qu’ils sont les seuls à se battre contre l’Etat Islamique.

    La déstabilisation de l’Europe par la diversité ethnique et religieuse.

    – La revanche de l’Empire ottoman défait à Lépante et à Vienne.
    – Le roi de Jordanie a dit qu’Erdogan infiltrait des terroristes.
    – La presse turque avait averti la France et la Belgique.
    – Merkel la nihiliste avait soutenu la campagne d’Erdogan.
    – 3 milliards d’euros avant les attentats, 3 milliards après.
    – La libre circulation des Turcs pourrait servir à se débarrasser des Kurdes.
    – L’Institut du Bosphore à Paris compte tout le gratin parisien.
    – Certains stratèges américains souhaitent l’affaiblissement de l’Europe.
    – A Davos, l’OCDE et le FMI expliquent que les réfugiés feront la prospérité européenne.

    Clinton une idéologue va-t-en guerre dangereuse.

    – Une néconservatrice qui veut les épreuves de force et imposer la démocratie.
    – Hillary avait convaincu Bill de bombarder la Serbie.
    – A organisé le renversement du régime ukrainien par la CIA selon Valéry Giscard d’Estaing.
    – Est farouchement sioniste.
    – Trump a des positions modérées comme Kerry.
    – Obama met des missiles en Lithuanie et en Pologne.
    – Nixon, Carter, Reagan furent favorables à la France.
    – Eisenhower, Kennedy et Clinton furent anti-français.
    – L’Amérique a favorisé Kagamé et les Hutus.
    – F. Mitterrand avait dit que la France ne le savait pas mais qu’elle était en guerre contre les Etats-Unis.
    – Depuis 1945, les US prennent parti pour les musulmans contre les chrétiens.
    – Les néoconservateurs sont des idéologues dangereux.

     

  • "On the run": 24 heures dans la peau d'un "migrant" à Embrun

    http://www.laprovence.com/article/societe/3922593/on-the-run-24-heures-dans-la-peau-dun-migrant.html

    20160507_1_3_2_1_0_obj11684369_1.jpg embrun.jpg

    NdB: l'endoctrinement des jeunes: un pur scandale!

  • Nouveau scandale pédophile dans une école juive aux États-Unis

     

    Fera-t-il la une des journaux ?

    Un scandale d’attouchements sexuels sur enfants éclabousse la plus grande yeshiva du village hassidique de Satmar de Kiryas Joel, dans l’état de New York.

    Deux vidéos tournées en caméra cachée montrent le directeur principal de ce centre d’étude de la Torah et du Talmud caressant et embrassant des petits garçons. Les faits se déroulent dans le bureau directeur de cette école.

    La mise en ligne de la première vidéo avait entraîné l’ouverture d’une enquête de police. L’individu est le principal de l’Académie talmudique unie, une école d’éducation primaire et secondaire qui compte 6 000 élèves, dans le village de Satmar à Orange County, New York.

    Il s’agit d’un rabbin bien connu et très respecté dans la communauté hassidique.

    Les personnes qui ont diffusé ces vidéos ont déclaré que leur motivation est avant tout de protéger les enfants de la communauté contre les abus sexuels.

    L’un d’eux, Boorey Deutsch, lui-même juif hassidique, a déclaré qu’il se déroule tant d’abus sexuels sur enfants dans cette communauté qu’il y a moyen d’écrire plusieurs livres sur le sujet.

  • Scandale en vue : Cannes prépare le triomphe des actrices blanches!

     

     

    07/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : La polémique débute sur les réseaux sociaux et pourrait se transformer en scandale : la diversité ethnique est totalement absente du sujet sur les « nouvelles reines » de Cannes que vient de diffuser l’AFP, illustré par les portraits de six actrices (Lily-Rose Depp, Kirsten Dunst, Elle Fanning, Adèle Haenel, Kristen Stewart et Léa Seydoux) qui ont pour point commun d’être toutes blanches et blondes ! On suggère à tous les indignés le hashtag #CannesSoWhite, qui ferait écho au #OscarSoWhite qui avait mené au boycottage, en janvier dernier, de la cérémonie des Oscars par des acteurs afro-américains.

    http://fr.novopress.info/200862/scandale-en-vue-cannes-prepare-le-triomphe-des-actrices-blanches/

  • Mairie de Londres : « La victoire de Sadiq Khan reflète le profond changement démographique »

    http://www.fdesouche.com/727071-mairie-de-londres-la-victoire-de-sadiq-khan-reflete-le-profond-changement-demographique

     

    NdB: Le 4 mai, l'anneau de sainte Jeanne d'Arc est restitué officiellement à la France; le lendemain, 5 mai,  Sadiq Khan, pakistanais musulman, est élu maire de Londres. Quelle étrange coïncidence!

  • La reine d’Angleterre a tranché : l’anneau de Jeanne d’Arc restera en France

    http://fr.novopress.info/200827/reine-dangleterre-tranche-lanneau-jeanne-darc-restera-en-france/

  • Des jumelles pas comme les autres dans une famille britannique

    https://fr.sputniknews.com/societe/201602111021662309-jumelles-famille-peau-soeur-code-genetique-parent-gene-foetus/

  • Israël obtient un bureau permanent au siège de l’OTAN

     

    L’atlanto-sionisme s’officialise

    L’OTAN a décidé d’accepter la présence d’un représentant officiel d’Israël et de lui accorder un bureau permanent au quartier général de Bruxelles, a annoncé mercredi le ministère des Affaires étrangères israélien.

     

    « L’OTAN a informé Israël qu’il pourra ouvrir un bureau au siège de l’organisation à Bruxelles et achever le processus de remise de lettre de créances de son représentant à l’OTAN », indique le ministère dans un communiqué.

    L’annonce intervient après « des efforts diplomatiques prolongés » de la part d’Israël, qui profite actuellement d’une coopération militaire dans de nombreux domaines mais n’est pas membre de l’Organisation du Traité de l’Atlantique nord.

    Benyamin Netanyahou, Premier ministre mais également ministre des Affaires étrangères, a qualifié la nouvelle « d’étape importante et positive pour la sécurité d’Israël ».

    Certains États de l’OTAN s’étaient opposés par le passé aux tentatives de resserrement des liens avec Israël, estimant que cela pourrait porter atteinte aux relations avec des pays arabo-musulmans.