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GAELLE MANN - Page 360

  • Les combats du Front de l’Est (1941-1945) à la une de la NRH

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    02/05/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Après Irlande rebelle (n° 83) et De Gaulle et les Américains (n° 82), la Nouvelle Revue d’Histoire (NRH) consacre le dossier de son numéro 84 daté de mai-juin à 1941-1945 – Front de l’Est.

    « L’immensité de l’espace concerné, le volume des moyens et des effectifs engagés, l’ampleur des sacrifices consentis et l’acharnement des combats ont fait de la campagne de Russie engagée par Hitler la séquence la plus terrifiante de la Deuxième Guerre mondiale », écrit la NRH, qui poursuit : « Les succès initiaux remportés par l’offensive Barbarossa n’ont pas permis d’atteindre les objectifs prévus dans la mesure où l’espace russe et le général Hiver ont été fatals à la blitzkrieg allemande. Notre dossier est aussi l’occasion de regards sur l’Ukraine déchirée par la guerre, sur les officiers allemands ralliés à la cause soviétique, sur la présence des Français dans cette guerre à l’Est : les « Malgré-nous » alsaciens-lorrains, les pilotes de l’escadrille Normandie-Niémen ou, dans le camp adverse, les combattants de la Légion des volontaires français contre le bolchevisme. »

    Le sommaire complet de ce numéro est disponible ici.

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  • HUMOUR

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  • Etat d'urgence mgratoire en Autriche

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    Bravo aux Autrichiens qui sonnent la charge. Ils seront bientôt rejoints par toute l’Europe.

    Juriste

    SG du Collectif Culture, Libertés et Création du RBM

      

    Au début du mois de décembre de l’année 2015, deux faux réfugiés étaient arrêtés en Autriche. Mohamed Usman, de nationalité pakistanaise, et Adel Haddadi, de nationalité algérienne, s’étaient infiltrés parmi les « migrants », missionnés par l’État islamique. Ils avaient accepté de se rendre en France pour commettre un attentat et « mourir en martyrs ». Pour différentes raisons, les deux hommes ont été arrêtés par l’agence Frontex, laquelle les a d’abord pris pour de simples « migrants » économiques munis de faux papiers. Placés dans un centre pour réfugiés à Salzbourg, leur projet a été dévoilé après le 13 novembre quand les services de renseignement se sont intéressés aux « migrants » débarqués le 3 octobre sur l’île de Leros. Les deux Irakiens du Stade de France ont, quant à eux, malheureusement pu se rendre en France. Vous connaissez la suite.

    Cet exemple édifiant témoigne de la perméabilité des frontières européennes, véritables passoires. Si les deux hommes ont été arrêtés, personne n’avait compris qu’ils étaient en réalité des terroristes de l’État islamique. Combien sont-ils dans ce cas ? Des centaines, des milliers ? Peut-être des dizaines de milliers ? Le continent, déjà confronté à l’immigration de peuplement depuis les années 1970, fait aujourd’hui face à une crise migratoire d’une ampleur inédite dans son histoire. Le Sud est prêt à envahir le Nord, sous les effets conjoints d’une démographie irresponsable et d’une incapacité des Européens à assumer qu’ils doivent se protéger.

    Heureusement, certains pays commencent à prendre la mesure de la menace. Les pays d’Europe centrale, formant le cercle de Visegrád, créé en 1991 à la suite de la chute de l’URSS, s’opposent à la politique migratoire décidée par Angela Merkel. Ils ne sont désormais plus seuls. L’Autriche s’allie aux frondeurs, reformant de façon informelle le défunt Empire austro-hongrois au cœur de l’Europe, la France ne jouant tristement plus son rôle de modérateur de l’Allemagne.

    Mercredi 27 avril, le Parlement autrichien a voté une loi prévoyant la possibilité de décréter un « état d’urgence migratoire » qui revient à rétablir le droit d’asile comme il doit être pensé, c’est-à-dire comme une faveur exceptionnelle. Cette loi de bon sens ne trouve d’équivalent qu’en Hongrie. Wolfgang Sobotka, ministre de l’Intérieur autrichien, a très justement indiqué que son pays ne pouvait pas « accueillir toute la misère du monde ».

    Il faut dire que l’Autriche se trouve coincée au croisement des deux principales routes migratoires, via les Balkans et l’Italie. Des centaines de milliers de migrants ont ainsi transité dans cette petite nation alpine en 2015. Vienne n’a d’ailleurs pas manqué de générosité en accueillant pas moins de 90.000 « réfugiés » l’an passé, soit l’équivalent de 1 % de sa population ! Les Autrichiens n’en peuvent plus, ils sont arrivés à saturation.

    Immanquablement, le Haut Commissariat pour les réfugiés de l’ONU s’est indigné, ainsi que Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’organisation transnationale. Si l’on en croit cette entité mondialiste, un pays souverain n’aurait pas le droit de surveiller ses frontières, d’installer une clôture au col du Brenner, de bloquer des migrants aux frontières, sans même leur accorder la possibilité de formuler une demande d’asile, si les services de l’État sont jugés « dépassés », ou bien de restreindre le regroupement familial. En somme, une nation n’aurait donc pas le droit de décider qui peut rentrer chez elle, qui peut faire nation avec elle. Ce serait là une terrible régression, et même une atteinte majeure aux libertés humaines fondamentales.

    Le propre de la souveraineté politique est de pouvoir décider du moment où le droit commun se suspend, et par quoi il est remplacé, quand un danger crée un « état d’exception ». La crise migratoire, et ses corollaires que sont le terrorisme islamiste, l’insécurité quotidienne et l’atomisation culturelle des nations européennes, sont constitutifs d’un « état d’exception » chimiquement pur. Bravo aux Autrichiens qui sonnent la charge. Ils seront bientôt rejoints par toute l’Europe.

    BV

  • Le FN ne veut plus des soutiens de Jean-Marie Le Pen dans ses instances

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/couacs/2016/05/02/25005-20160502ARTFIG00092-au-lendemain-du-1er-mai-reglement-de-comptes-a-la-tete-du-fn.php

  • Face aux afflux migratoires grandissants, la Hongrie va rouvrir un camp de transit pour migrants

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    Un camp près de la frontière autrichienne

    Malgré tous les efforts du gouvernement de Viktor Orbán et la construction d’une barrière à ses frontières avec la Serbie et la Croatie, la Hongrie subit de nouveau une pression migratoire de plus en plus forte.

     

    C’est la raison pour laquelle la réouverture d’un camp de transit pour migrants est envisagée dans la commune de Körmend. Le choix géographique de la commune n’est sans doute pas anodin : située à quelques kilomètres de la frontière autrichienne, cela devrait sans doute faciliter le passage des migrants vers l’Autriche. En effet, extrêmement peu de migrants semblent intéressés par la perspective de s’établir dans les pays d’Europe centrale, où le niveau de vie est très faible en comparaison des pays d’Europe occidentale.

    Une reprise des flux migratoires

    Désormais, la Hongrie reçoit plus de 200 migrants par jour qui franchissent la barrière frontalière. Ceux-ci sont généralement appréhendés, mais étant donné que la Serbie n’est pas spécialement désireuse de les récupérer, ils reçoivent un avis d’expulsion de la Hongrie puis sont stationnés dans un camp de transit d’où la plupart du temps ils s’en vont pour rejoindre l’Europe occidentale.

    Ce regain des flux migratoires en Hongrie, qui avaient quasiment totalement cessé durant l’hiver, s’explique par la relative fermeture de la route des Balkans.

    Durant des mois, le transport des migrants a été organisé par voie ferroviaire de façon officielle par les États de transit (à ce sujet, revoir le documentaire de TV Libertés).

    Ce système a plus ou moins pris fin aux alentours de février-mars, à partir du moment où les réticences d’un nombre grandissant de pays (notamment l’Autriche) a amené l’Union Européenne et la Turquie à un accord consistant à envoyer les migrants considérés comme réfugiés directement en Europe par avion depuis la Turquie, moyennant le renvoi de migrants économiques (venant du Maghreb, du Pakistan, di Bengladesh, etc…) stationnés en Grèce vers la Turquie.

    Sauf que la Grèce compte encore plus de 100.000 migrants qui ne comptent pas retourner en Turquie puis dans leurs pays d’origine. D’où leurs tentatives de passage en Italie via l’Albanie ou par la route des Balkans (Macédoine, Serbie, Hongrie) avec des filières de passeurs.

    Le gouvernement hongrois poursuit sa politique contre l’immigration

    Loin de se laisser démobiliser, Orbán poursuit sa politique, au niveau national comme au niveau européen, pour tenter d’endiguer la vague migratoire.

    Début avril, le gouvernement a lancé les premiers travaux permettant le déploiement d’une barrière à la frontière hungaro-roumaine, avec la pose des points de repères sur lesquels mettre en place la barrière.

    Cette semaine, Orbán déclarait encore que la Constitution qu’il a fait adopter en 2011 était un rempart contre l’islamisation : « Nous avons le droit de choisir avec qui nous voulons vivre, et avec qui nous ne le voulons pas. […] Pour être clair et sans équivoque, je dirai que l’islamisation est constitutionnellement interdite en Hongrie ».

    En automne 2016, un référendum se tiendra en Hongrie, avec pour question : « Acceptez-vous que l’Union européenne puisse imposer l’installation de citoyens non hongrois sans le consentement du Parlement ? »

    Si la réponse négative des électeurs ne fait aucun doute, l’enjeu majeur de ce référendum sera le taux de participation.

    Au niveau européen, outre le soutien des pays du groupe de Visegrád (Hongrie, Slovaquie, République Tchèque, Pologne), Orbán peut désormais compter sur l’Autriche. En effet, le chancelier Faymann, qui n’avait pas manqué de mots extrêmement durs à l’endroit d’ Orbán, a été rattrapé par les réalités migratoires et électorales (avec une poussée inédite du FPÖ) et a durci sa politique migratoire.

    La jugulation de la crise migratoire sera un enjeu politique majeur en Hongrie lors des élections législatives qui auront lieu dans deux ans. En cas d’échec, Viktor Orbán pourrait se voir sérieusement concurrencer par le parti nationaliste Jobbik.

    NDF

  • Les Russes font exploser une salle de prière musulmane ! (VIDEO)

    https://youtu.be/NryMeO4XAKs

    Des explosifs découverts lors d’une descente dans une salle de prière musulmane illégale près de la ville russe de Samara ont été éliminés à l’intérieur de l’immeuble. Une équipe de démineurs a jugé trop dangereux de les faire sortir.

    La vidéo de l’explosion contrôlée par les démineurs russes montre qu’une partie considérable du bâtiment a été détruite dans l’opération.

    Un chien policier leur avait permis de retrouver plus d’un kilo d’explosifs d’origine inconnue dans une salle de prière musulmane illégale, en banlieue de la ville de samara. Un expert en déminage a estimé qu’il était trop dangereux de faire sortir les explosifs, raison pour laquelle ils ont été neutralisés sur place, causant les dégâts que l’on sait, mais aucune victime.

    La route fédérale M5 qui passe devant la maison a été bloquée dans les deux sens et les habitants de tous les immeubles voisins avaient été évacués au préalable.
    Avant sa destruction partielle, cette maison était utilisée pour des réunions de salafistes, ces partisans d’une vision parmi les plus rigoristes de l’islam sunnite, sans être enregistrée comme un lieu de culte officiel dans la communauté musulmane régionale.

    Lors de cette opération, les forces spéciales russes ont arrêté 53 jeunes hommes, dont l’un entre eux faisait la promotion de Daesh sur internet.

    Selon une source du FSB, ces arrestations ont provoqué une série de raids dans d’autres maisons qui ont aidé à trouver d’autres d’explosifs, des armes, des grenades et des munitions. Selon la même source, d’autres membres de cette communauté salafiste combattraient actuellement en Syrie aux côtés des djihadistes.

    Source

    Délitd'Images (02 05 2016)

  • La Knesset va adopter une loi pour annexer la Cisjordanie occupée à Israël

     

    image: http://www.alterinfo.net/photo/art/grande/9405247-15066057.jpg?v=1462135969

    image: http://www.alterinfo.net/photo/art/default/9405247-15066057.jpg

    La Knesset va adopter une loi pour annexer la Cisjordanie à "Israël



     Un Chef de colons juifs en Cisjordanie occupée, Sheila Eldar, a révélé que la Knesset sioniste adoptera bientôt un projet de loi pour annexer la Cisjordanie occupée à Israël.

    Le journal sionisme "Maariv" a rapporté dans son édition du dimanche, que le chef de colons extrémistes, Eldar qui appartient au parti "Likoud" a déclaré qu' il a obtenu des engagements des ministres et des députés et les leaders du parti "Maison juive" à adopter une loi d'annexion de la Cisjordanie, tout en soulignant que le projet sera une priorité absolue pour les blocs parlementaires de l'extrême droite.

    Le journal a noté que les paroles de Eldar ont reçu le soutien du sous-ministre de la guerre, Rabbi Eli Ben-Dahan, un chef dans le parti "Maison juive".

    Il a ainsi souligné que Ben Dahan a déclaré lors d'une cérémonie à Hébron, le jeudi: que l'annexion de la Judée et la Samarie (le nom hébreu donné à la Cisjordanie) est une nécessité, régionale et de circonstances internationales qui le permettent.

    Le journal a noté que les hauts ministres, tels que le ministre de l'Éducation, Nephtali Banet, proposent l'annexion d'une manière progressive de la Cisjordanie, notant qu'il faut tout d'abord annexer les zones «C», qui constituent 60% de la Cisjordanie occupée.

    Maariv" a cité que Nephtali a dit: La «zone C comprend 400 mille Juifs et 70 mille Arabes, et nous allons convaincre les Arabes, soit de l'obtention de la citoyenneté israélienne ou le droit de résidence.

    Le journal fait remarquer que le Conseil des colonies juives a formé un «lobby» au sein du parlement, de faire pression pour l'annexion de la Cisjordanie sous la loi, le plus tôt possible.

    Le journal a souligné que les dirigeants des établissements du conseil sont prêts à mettre en œuvre la décision de l'annexion progressive afin qu'Adumim soit inclus en premier plan, puis l'annexion de toutes les colonies qui entourent Jérusalem, notamment Maale Adumim, les plus grandes colonies de la Cisjordanie.

    Le journal a noté que le premier à introduire l'idée de l'annexion de la Cisjordanie est l'organisation feministe de droite appelé «Femmes en vert", dirigée par Nadia Matar et Yehudit Kedzovr, tout en louant le rôle de la coopération de sécurité des services de l'Autorité palestinienne et leur activité à préserver la stabilité et la protection des colons extrémistes, selon les déclarations du journaliste sioniste Avi Sekharov estimant que l'Ap avait déjouté des dizaines d'attaques contre des cibles israéliennes.

    http://french.palinfo.com/site/pages/details.aspx?itemid=46993
     


    En savoir plus sur http://www.alterinfo.net/notes/La-Knesset-va-adopter-une-loi-pour-annexer-la-Cisjordanie-a-Israel_b9405247.html#Qoml2wmxWudBjKaE.99
  • Hallucinant! Embrun (05) : des élèves se mettent dans la peau de clandestins durant 24 h

    http://www.fdesouche.com/725017-embrun-05-des-eleves-se-mettent-dans-la-peau-de-clandestins-durant-24-h

    Lire!

  • Le 1er Mai de Marine Le Pen

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    NdB: Notre irremplaçable Marine Le Pen, si courageuse et si hardie pour défendre la nation française, notre patrie en réel danger de disparition!

     

  • VIDEO - Jean-Marie Le Pen prédit la défaite de Marine en 2017

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    Devant quelques centaines d'irréductibles fans, l'ex-président du FN a pronostiqué une défaite de sa fille lors de la présidentielle 2017, « peut-être même au premier tour».

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    Lors du rassemblement organisé par Jean-Marie Le Pen devant la statue de Jeanne d'Arc à Paris, l'ex-président du FN a prédit une défaite de sa fille Marine Le Pen à l'élection présidentielle Reuters / Philippe Wojazer

    Environ 350 personnes étaient réunies, ce dimanche matin, pour écouter le discours de Jean-Marie Le Pen devant la statue de Jeanne d'Arc, place des Pyramides à Paris. L'occasion pour l'ancien président du Front national, n'a toujours pas digéré son exclusion du parti en août 2015, d'adresser une nouvelle salve contre les dirigeants du FN et en premier lieu sa fille Marine, qui lui a succédé à la tête du parti.



    Un FN où tous ne le fuient pas comme en atteste la présence de Bruno Gollnisch, député européen et membre du Bureau politique, et de Marie-Christine Arnautu, vice-présidente du FN. A leurs côtés également Jérôme Bourdon, le directeur de l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol.

    Revenant sur son exclusion, Jean-Marie Le Pen l'estime comparable à... la décapitation de Louis XVI en 1793 . Sans bénéfice pour le FN assure-t-il puisque, de son point de vue, la dédiabolisation voulue par la nouvelle présidente et ses proches «n'a pas marché». Pour preuve, les défaites de Marine Le Pen, en Nord-Pas-De-Calais-Picardie bientôt nommée Haute-France, et de Marion Maréchal-Le Pen, sa petite-fille en Provence-Alpes-Côte-d'Azur) aux régionales de décembre 2015.

    «Errare humanum est, perseverare diabolicum», rapelle-t-il en latin, c'est-à-dire que «l'erreur est humaine, mais persévérer est diabolique», avant d'avertir : «Il est encore temps de réparer l'erreur». Sinon prédit-il, «puisque aucun signe n'a été mis dans le sens de la conciliation, la présidente du FN sera battue au deuxième tour et peut-être même au premier». «Il n'y a, pour le Front national, qu'une seule voix, celle de l'opposition au système», a-t-il martelé.

    Plus que le discours du patriarche, c'est la présence de quelques cadres FN (Gollnisch, Arnautu...) qui risque d'avoir des suites. Marine Le Pen l'avait interdite, menaçant d'exclusion ses militants s'il participaient à ce rassemblement traditionnel, maintenu par Jean-Marie Le Pen.  « Je ne sais pas, ça m'étonnerais, elle est trop intelligente pour cela», a estimé Bruno Gollnisch, le premier concerné, interrogé par France 3.

    LE PARISIEN

  • Pour Marine Le Pen, les mois qui viennent vont donner le tournis aux Français

    http://www.leparisien.fr/politique/pour-marine-le-pen-les-mois-qui-viennent-vont-donner-le-tournis-aux-francais-01-05-2016-5758657.php

  • Les Femen s'invitent encore au 1er mai du Front National

    http://www.leparisien.fr/diaporama/en-images-les-femen-s-invitent-encore-au-1er-mai-du-fn-01-05-2016-5758189.php