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GAELLE MANN - Page 406

  • Qu’a-t-il bien pu se passer durant la garde-à-vue du Général Piquemal ?

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    Publié le 9 février 2016 - par

     
     
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    « Honneur et fidélité » est la devise de la Légion étrangère, ce corps d’Armée auquel appartenait le général en retraite Christian Piquemal.

    Ce 4 février, le général Piquemal, ancien membre des trois cabinets ministériels socialistes de Michel Rocard, Edith Cresson et Pierre Bérégovoy, lançait aux patriotes un vibrant appel à manifester à Calais pour dénoncer une situation de plus en plus intenable pour les Calaisiens qui voient leurs droits spoliés au profit de déserteurs illégaux, une manifestation dont « l’organisation en serait attribuée à Pegida », écrivait-il, un mouvement né en Allemagne il y a moins de deux ans et connu de tous aujourd’hui. Il proclamait la « souveraineté du peuple » et affirmait que « du plus profond de notre Patrie jaillira toujours une flamme que rien, ni personne, ne pourra jamais éteindre » et signait cet appel d’un enthousiaste « Gallia patria nostra ! ».

    La présence de Pegida ne semblait pas faire peur à ce fier général qui indiquait vouloir s’y rendre en personne pour manifester « ensemble », précisant que nous « maintenons notre participation, apolitique », invitant même sans distinction « tous les Patriotes et associations patriotiques à se joindre à nous ».

    Notre général savait donc fort bien où il posait ses étoiles.

    Sur le site du Cercle des Citoyens Patriotes, association fraîchement créée en décembre dernier et qu’il préside, on peut lire ceci : « nous marchons allègrement vers un multiculturalisme imposé, menant à des communautarismes religieux fanatiques, encouragés par la plupart de nos élites et dirigeants et par des medias surinformants qui nous abrutissent de pensée unique.

    Nous sommes extrêmement inquiets en regard de l’invasion sourde, mais rapide, du radicalisme religieux et du racisme anti blanc ; il n’y a pas de place dans notre nation pour une religion, ou plutôt un mode unique de vie et de pensée, qui se présente, par la voix de plusieurs de ses représentants reconnus, comme une doctrine politique totalitaire, profondément inégalitaire et intolérante, qui bafoue les plus élémentaires droits de l’Homme et prône la disparition de tous les « mécréants » ».

    Au bas de son appel, un internaute se réjouissait du courage de ce frère d’armes : « Ancien du 19ème bataillon chasseurs j’ai quitté une amicale d’anciens où le président ne souhaitait pas s’engager et se mouiller devant les politicards qui se couchent devant le système ».

    Après son interpellation musclée, alors qu’il s’éloignait de la manifestation durant laquelle on a pu entendre des « on est chez nous ! » ou encore « Francs-Maçons en prison ! », Christian Piquemal a reçu de nombreux soutiens de membres de la grande Muette, en fonction ou en retraite. Un ancien para, le général Dary, s’est notamment indigné de l’excès de zèle entourant l’interpellation de son collègue contrastant étrangement avec le laxisme dont les forces de l’ordre font preuve lorsque les manifestants sont des zadistes ou des clandestins, et s’est interrogé sur l’égalité des citoyens en matière de droits.

    Aussitôt, un fan-club s’est constitué autour de sa personne. Enfin, l’homme providentiel était là avec nous, un général, un vrai, armé d’un mégaphone indiquant qu’il n’était pas venu à Calais juste pour faire provision de chicons. Et tandis qu’il fustigeait « la dictature », nous nous prenions déjà à imaginer l’Armée dans son ensemble se lever enfin pour se ranger aux côtés du peuple qu’elle a le devoir et l’obligation de servir et de défendre. L’espoir renaissait dans les rangs des défenseurs de la France.

    Mais patatras ! C’était sans compter sur la raison d’Etat. Après sa longue garde à vue qui a suivi, après une pétition signée un peu trop rapidement dans le feu de l’indignation pour le soutenir, le général s’est désolidarisé de Pegida qu’il a qualifié de « presque neo-nazi », et qu’il n’aurait côtoyé ce jour-là que par hasard.

    Pire même, il a déclaré sur les ondes de RMC que nous étions « très loin » du « grand remplacement », niant une réalité que nombre de Français vivent de plein fouet dans un déni étatique et médiatique ahurissant, compte tenu de la réalité d’une situation qui, tout de même, saute aux yeux de n’importe quel individu ne vivant pas dans une grotte.

     

    On pourrait présumer que sa volte-face n’est qu’une anticipation de sa défense, une façon de donner des gages au système judiciaire pour éviter une condamnation lors de son procès prévu le 12 mai prochain. Mais comment imaginer une seconde qu’un général 4 étoiles, qui en a vu d’autres, puisse s’effrayer d’un vulgaire procès pour avoir simplement manifesté dans la rue avec un mégaphone, au point d’en renier la défense d’un pays auquel il a donné toute sa carrière ? Ca n’a pas de sens.

    Serait-il si incongru d’imaginer que durant sa garde à vue ou son hospitalisation il ait été menacé de représailles sur sa famille ? A t-il pu recevoir un visiteur de ses anciennes vénérables relations ministérielles pour le rappeler à quelques engagements passés ? Se pourrait-il, si l’on avait vraiment l’esprit tordu, d’imaginer qu’il ait été sciemment propulsé sur le devant de la scène, quelques semaines après la création de son association, afin de semer le trouble dans l’esprit des patriotes, de leur donner un petit jet de douche écossaise pour les distraire un peu tandis qu’était votée une loi sur l’état d’urgence par un hémicycle aux trois-quarts vides, pour faire disjoncter les esprits en même temps que les réseaux mis en place, pour diviser nos rangs en manipulant nos cerveaux mis en ébullition, et pour finalement démoraliser les troupes patriotes aussitôt après leur avoir donné un semblant d’espoir ? Se pourrait-il qu’une manœuvre ait été cyniquement ourdie pour faire en même temps passer le message aux militaires tentés de prendre la défense du peuple qu’ils auraient tout intérêt à oublier l’idée, et que sinon il pourrait leur en cuire ?

    Ce ne sont que pures spéculations. Nous n’en savons rien et n’aurons sans doute jamais le fin mot de ce si décevant retournement.

    Mais comme il faut bien rester un peu positifs, la bonne nouvelle à retenir de cette malheureuse souris accouchée par une montagne, c’est que cela a le mérite de démontrer que le mouvement patriote, même s’il n’est pas forcément visible dans la rue, est tout de même pris au sérieux par le régime qui y voit, semble-t-il, une réelle menace à son pouvoir.

    La mauvaise, c’est que ce régime (PS-LR) est prêt à toutes les pires ignominies totalitaires pour se maintenir en place, avec une répression qui, n’en doutons pas, va aller crescendo, ce qui, pour terrible que ce soit, aura au moins le mérite de se voir à un moment donné par ceux qui ne sont pas, a priori, dans notre camp.

    Caroline Alamachère

    RIPOSTE LAÏQUE

  • Une jeune militante antiraciste sauvagement assassinée par le « migrant » qu’elle hébergeait

     

    Une gauchiste américaine vivant à Vienne a été violée et assassinée par un Africain qu’elle avait délibérément caché dans son appartement pour lui éviter d’être renvoyé en Gambie.

    L’étudiante américaine, identifiée comme Lauren Mann, faisait partie d’un groupe organisé de gauchistes dédié à fournir un hébergement aux envahisseurs non-blancs menacés d’expulsion.

    L’Africain, identifié comme Abdou I., 24 ans, était déjà dans les fichiers de la police après avoir été arrêté pour un précédent crime sexuel. A ce moment, son ADN avait été pris, et cela a fourni l’indice crucial dans l’enquête sur le meurtre de l’étudiante américaine.

    La jeune femme, originaire du Colorado, avait donné l’abri au clandestin dans son appartement situé sur la Wiedner Hauptstraße à Vienne, après qu’il a été informé au « centre pour réfugiés » d’Erdberg qu’il serait sujet à expulsion.

    Le journal Krone, qui rapporte l’affaire, a révélé que l’étranger était arrivé pour la première fois en Europe en 2012 via l’Italie en franchissant illégalement la mer Méditerranée. Il a fait son chemin jusqu’en Allemagne où il a demandé « l’asile ».

    Cependant, avant que sa demande puisse être étudiée, le criminel non-blanc a été arrêté pour un certain nombre de crimes sérieux, dont des vols, des cambriolages, et des agressions sexuelles. Alors qu’il faisait l’objet d’une enquête, il a réussi à fuir en Autriche, où il s’est mêlé aux milliers de « demandeurs d’asile » nouvellement arrivés à Vienne.

    Un ami de Lauren Mann a dit au Krone qu’elle avait « un grand coeur pour les pauvres » et « allait souvent aux gares et aux centres d’asile, où elle aidait à distribuer de la nourriture et des couvertures pour les nécessiteux ».

    C’était lors de l’une de ces visites qu’elle a rencontré l’Africain, qui lui a dit qu’il était menacé d’expulsion. C’est alors qu’elle a décidé de l’aider, le laissant rester caché de la police dans son appartement. Elle l’a aussi nourri et lui fournissait nourriture, cigarettes et vêtements, indique le journal.

    Ce ne fut que le 25 janvier, après qu’elle ne se soit pas présentée à ses activités de routine, que ses amis – qui étaient tous au courant de ses activités, et la soutenaient – commencèrent à être inquiets. Ils ont appelé la police, qui s’est rendue dans son appartement.

    Ils ont trouvé la femme de 25 ans visage contre terre, morte sur son lit. Son visage était recouvert d’un pull, et son pantalon avait été descendu jusqu’à ses genoux. Sang et vomis se trouvaient sur le lit et le sol, et des serviettes mouillées, froissées, étaient dispersées dans la salle de bain.

    Une autopsie du corps de la femme a révélé qu’elle avait été violée et étouffée à mort. Le sperme a été analysé et relié à l’ADN déjà enregistré de l’envahisseur africain lors de sa précédente arrestation en Allemagne.

    Bien qu’il ait fui, la police a été capable de le pister via les données de géolocalisation dans les photographies qu’il continuait de mettre en ligne, et deux semaines plus tard, il a été arrêté dans un « centre d’asile » à Berne, en Suisse.

    Source

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  • Le coup de colère de Gilbert Collard après les menaces de l'Etat islamique contre le Front National


    Collard attaque Valls sur les menaces de Daech... par LeLab_E1

  • L’orthographe considérée comme un fascisme d’exclusion

     

     

    Jean Ansar ♦

    Les antiracistes du ridicule continuent à frapper. Il nous manque, il faut le dire et le répéter, un Molière pour tuer par le ridicule les nouvelles précieuses de l’antiracisme.
    Une chronique des antiracistes ridicules serait possible presque au quotidien. Nous ne nous en priverons pas.

    Le dernier avatar de la lutte contre l’exclusion concerne notre orthographe. On peut penser ce qu’on veut des difficultés de la langue française et juger même parfois qu’on se complique la vie pour rien. Ce n’est pas le problème.  Le problème, c’est ce que sous-tend cette tentative de nivellement par le bas, qui bien sûr n’en est qu’à son début. Le ph de ce pauvre nénuphar a bon dos.

    En fait il s’agit de justifier par le sms et le texto entre autres, le droit de modifier pour être de son temps. La vérité c’est qu’on veut adapter une langue liée à une culture et une civilisation à l’inculture du métissage mondialiste.  Comme notre éducation nationale est incapable d’amener des masses de jeunes au niveau de l’écrit français, on va adapter cet écrit à leurs possibilités. On préfère un mauvais français à l’existence de bons élèves en français qui risqueraient de stigmatiser les autres. Tout va dans le même sens :  haine de l’effort et de la difficulté considérés comme fascisants.

    On ne peut que souscrire aux indignations sur le web comme celle de Bruno Guigue : « Ne nous leurrons pas : cette ahurissante « réforme de l’orthographe » n’est pas une bévue socialiste de plus, mais la dernière étape d’un vaste chantier de démolition. Car, depuis des années, le gouvernement s’acharne contre ce qui fonde la transmission même du savoir scolaire : l’acquisition des connaissances par l’apprentissage de règles communes. Relâchement de la discipline et banalisation de l’incivisme, tyrannie des parents d’élèves (désormais indemnisés pour siéger aux conseils de classe), dissolution des savoirs disciplinaires au profit d’une « interdisciplinarité » vaseuse, suppression des classes bilingues, des langues anciennes et des bourses à caractère méritoire jugées « élitistes », mise en cause de la notation chiffrée au motif qu’elle serait « blessante » ….

    Croyant atténuer les indignations de cette réforme, nos dirigeants, de plus en plus incultes d’ailleurs eux aussi, ont cru bon d’ajouter qu’en fait, désormais, « plusieurs orthographes seraient possibles pour un même mot . Ponce Pilate du français crucifié! il signifie que c’est sans importance, que c’est la même chose, d’écrire « oignon » ou « ognon ».

    On peut voire une photo de manifestants, des profs sans doute, brandissant une pancarte « tous égaux, tous incultes ». On ne saurait mieux résumer une évolution à la quelle depuis mai 68 en tout cas participent des hordes de profs de gauche.

    On s' aperçoit de la régression, on la condamne mais on ne va pas au fond des choses. Pourquoi faire du français une langue simplifiée dans le but de devenir simpliste ? La réponse est simple et évidente par idéologie antiraciste, par haine de la chère petite tête blonde qui dépasserait encore du lot de la diversité souhaitée.

    METAMAG

  • Un tweet du Devin

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  • Marine Le Pen "candidate de la vérité" en 2017 (vidéo complète)

  • VIDEO - Bretagne: l'impressionnant sauvetage d'un couple âgé emporté par les vagues

    http://www.leparisien.fr/environnement/nature/video-bretagne-l-impressionnant-sauvetage-d-un-couple-emporte-par-les-vagues-09-02-2016-5529645.php

    Regarder la vidéo jusqu'au bout

     

  • L’étonnant revirement du général Piquemal

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    09/02/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Après avoir été salué comme le « général courage » du mouvement anti-immigration pour sa présence à Calais le 6 février et son arrestation musclée, Christian Piquemal s’est désolidarisé de la manifestation interdite de PEGIDA.

    Le général Piquemal a déclaré au micro de RTL se désolidariser complètement de la manifestation du 6 février organisée à Calais par les représentants français de PEGIDA « dans la mesure ou [il] n’en était pas l’organisateur et où il y a eu des débordements excessifs » . Il affirme ne rien avoir avec ce mouvement qu’il a qualifié d’extrême-droite, « presque pro-nazi ».
    Ces propos, où il explique s’être retrouvé en compagnie de PEGIDA de manière « fortuite » et n’avoir pas réellement eu l’intention de manifester, peinent à convaincre, tant on l’a vu impliqué, mégaphone à la main. Ils font en tout cas bruisser les réseaux sociaux et les commentateurs atour de plusieurs hypothèses :

    • Ses déclarations sont simplement une ligne de défense en vue de son procès.
    • Il a subi des pressions politiques.
    • Il a reculé devant l’ampleur médiatique et politique que prenait sa présence active durant cette manifestation.
    • Ou s’il était bien contre le chaos et l’insécurité engendrés par l’invasion migratoire de Calais, il ne se reconnaît pas dans l’image de PEGIDA, du moins celle qu’en renvoient les médias.

    En tout état de cause, des déclarations sont d’autant plus étonnantes que le même général Piquemal semblait encore sur une ligne ferme lundi dans la journée, en sortant de garde à vue, selon les propos retransmis par TV Liberté. Il expliquait notamment que « La justice est entre les mains du pouvoir (…) On se rapproche peu à peu d’une dictature ! »

    NdB: Qui sont ces deux hommes qui l'entourent sur la photo? Des manifestants ou des agents du NOM?  

     

     

     

  • Le Général Piquemal se débine encore…

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    Il ne prend pas le métro ou le RER, le général…

    NDF

    NdB: Soit il le pense vraiment soit il est menacé ?

  • Entretien avec Robert Ménard :« Le FN ne peut pas se contenter de changements cosmétiques dans son programme »

     

    Robert Ménard, maire de Béziers, a participé ce week-end au séminaire de réflexion du FN. Il confie ses impressions à Boulevard Voltaire.

    Vous avez participé au séminaire du FN ce week-end. Dans quelles conditions avez-vous pu participer aux débats ?

    Dans les meilleures. Marine Le Pen a réellement laissé la discussion ouverte. Les débats ont duré de longues heures. Je ne suis pas sûr que d’autres partis politiques accepteraient en leur sein, et à ce niveau de direction, une telle liberté d’expression. C’est un bel exercice de démocratie interne dont certains donneurs de leçons, de gauche comme de droite, pourraient s’inspirer.

    Sur quels points avez-vous insisté ?

    Sur ce qui me semble essentiel, évidemment. Que voulons-nous ? Gagner. Le pouvons-nous ? À cette heure, non, si le Front national se contente de changements cosmétiques dans son programme. Je prends le cas de l’euro. S’accrocher à une sortie de l’euro, alors même que c’est un facteur anxiogène pour l’électorat, c’est commettre, me semble-t-il, une erreur politique.

    Il s’agit cependant d’un principe cohérent : celui de la souveraineté. Celle-ci ne se partage pas. On ne peut pas se dire souverainiste sur tout, sauf dans le domaine monétaire.

    Il y a le monde des principes et puis il y a le monde réel. Moi, je m’intéresse à la réalité. Et la réalité, c’est que la France n’est plus souveraine dans bien des domaines. Où est notre souveraineté dans certaines cités ? Où est notre souveraineté à Calais ? Le combat politique, ce n’est pas seulement la cohérence des principes, mais aussi l’urgence des combats et la hiérarchie des priorités. Est-il urgent de prendre le pouvoir pour sauver la France ? Oui, pensent des millions de Français. Et cette urgence n’a rien de monétaire…

    Il semble que vous n’ayez pas été davantage entendu sur le changement de nom du FN ou sur la distance que vous souhaiteriez voir Marine Le Pen prendre vis-à-vis du FN durant le temps de la campagne présidentielle.

    En effet. Je peux comprendre l’attachement affectif de militants envers leur organisation et son nom. Ils ont collé pour le FN, ils ont pris des risques pour le FN, ils se battent pour lui. En revanche, les arguments « rationnels » avancés ne me semblent pas valides. Affirmer que le FN est une « marque » et qu’on ne change pas le nom d’une marque qui fonctionne, c’est esquiver l’enjeu principal. Oui, le FN est une marque qui a fait ses preuves. Mais une marque qui ne dépasse pas les 30 % au niveau national. S’il s’agit donc de gérer le FN comme une marque d’opposition, il n’y a aucun problème. Ne changeons rien ! Mais s’il s’agit de prendre le pouvoir, alors, il faut changer de « marque ». Il y a, certes, un risque. Mais la politique, comme la vie, c’est le risque.

    Plus important encore que ce changement de nom du FN, qui devrait s’accompagner d’une évolution de fond sur l’économie, il y a celle de son élargissement. Ne pas changer, c’est ne pas être attractif. Or, pour conquérir le pouvoir, et même pour seulement progresser, il y a une nécessité d’attirer à soi de nouveaux profils, de nouvelles personnalités. Attention à ne pas se replier sur soi.

    Pour ce qui est de la distance entre Marine Le Pen et le FN, c’est un geste qui, seul, n’aurait guère de sens. Dans mon optique, il aurait parachevé un ensemble de changements.

    Vous sortez donc déçu de ce week-end ?

    On n’a pas le droit d’être déçu lorsque l’on a été invité et qu’on vous a donné la possibilité de défendre vos positions. Maintenant, les choses sont claires. Je suis en désaccord avec certaines orientations politiques qui risquent, sauf rebondissement, d’être celles du FN pour l’élection de 2017. Cette élection se gagnera à droite, sur les questions de l’identité et de l’économie. Or, sur ce dernier point, le FN n’est pas raisonnable.

    Cela va changer vos relations avec Marine Le Pen ?

    Certainement pas. Je continue à la soutenir. Nos désaccords sont ce qu’ils sont mais la gravité de la situation exige ce soutien. C’est une excellente candidate. Sa prestation sur TF1 ce lundi soir a été de grande qualité. Cela n’avive que davantage mon regret que tout ne soit pas fait pour la placer dans les meilleures conditions. En attendant, le combat continue !

    B.V.

  • L’ex-patron de la ZDF: ‘Les actualités diffusées doivent plaire à Mme Merkel’

     

    Un ancien directeur de la chaîne de télévision publique allemande ZDF (Zweites Deutsches Fernsehen) a admis lors d'une interview sur la station  de radio Deutschlandfunk(de la 27e à la 30e minute) que les journalistes reçoivent des instructions du radiodiffuseur public pour fournir une couverture des informations en fonction “des préférences de Mme Merkel”.

    Dr. Wolfgang Herles  était en train de commenter le paysage médiatique allemand lorsqu’il a fait cette déclaration. Evoquant la liberté de la presse, Herles a estimé que “les Allemands ordinaires perdaient totalement confiance dans les médias”.

    “... Les sujets que nous rapportons sont définis par le gouvernement. Il y a beaucoup de sujets qui seraient bien plus importants que ce dont le gouvernement souhaite parler. Mais bien sûr, ils veulent détourner l'attention de ce qui ne se produit pas. Mais ce qui ne se produit pas est souvent bien plus important que ce qui se produit, plus important que la gestuelle politique”.

    Herles a également confirmé que les journalistes “recevaient des directives d’en haut”. Les entreprises des médias recevraient des consignes d’officiels du gouvernement dont la position n’est pas déterminée, et les retransmettraient aux journalistes par l’entremise du rédacteur en chef. Celui-ci pourrait par exemple ordonner que les informations soient présentées d’une manière “qui serve l’Europe et le bien public”.

    “Aujourd’hui, il n’est pas permis de dire quoi que ce soit de négatif au sujet des réfugiés”, a affirmé Herles. “C’est du journalisme gouvernemental et cela a mené à ce que les gens ne nous fassent plus confiance. C’est un scandale”.  

    Lügenpresse

    La presse allemande est vivement critiquée pour avoir tardé à rapporter les agressions sexuelles qui se sont produites à Cologne lors de nuit de la Saint-Sylvestre. Le mouvement d'extrême droite contre l'immigration islamique en Allemagne, PEGIDA, lui a même  forgé le surnom de “Lügenpresse”, “la presse mensongère”.

    http://fr.express.live/2016/02/04/presse-dictee-par-merkel/

    (merci à Dirk)

  • Morano s'insurge contre l'accueil de "migrants" de Calais au château de Tantonville

    11h51

    Lundi, Nadine Morano s’est indignée de l’accueil de onze migrants dans le château de Tantonville, en Meurthe-et-Moselle. « Le gouvernement est en train de vider la jungle de Calais et de répartir les migrants dans nos villages », a-t-elle déclaré. Pour la député européenne, il y a deux poids deux mesures: « pour des SDF on ne l’aurait pas fait ». Selon elle, c’est un symbole qui pose des questions. « On les met dans un château on va les occuper, on ne sait pas ce qu’ils vont faire et c’est le contribuable qui paie », a-t-elle estimé.

    FDS

  • Le général Piquemal regrette d'avoir participé à la manifestation anti-migrants !

    Arrêté samedi 6 février lors d’une manifestation anti-migrants interdite à Calais, le général Christian Piquemal a vu son procès être reporté en raison de son état de santé. Au micro de RTL, lundi 8 février, l’ancien patron de la Légion étrangère affirme qu’il « regrette » d’avoir participé à ce rassemblement initié par Pegida, le mouvement extrémiste allemand avec qui il « ne partage aucun lien ». « Personnellement, je n’aurais pas voulu les voir sur place. Ils ont une connotation extrêmement négative », assure-t-il.

    Président d’un « cercle de citoyens patriotes », le général Piquemal affirme qu’il s’est rendu à cette manifestation « reconnaître les lieux et voir s’il n’y avait pas des solutions pérennes à mettre en place » pour les migrants à Calais. « J’aurais préféré qu’on soit seuls car ça ne se serait pas passé comme ça. On n’est pas racistes, islamophobes ou xénophobes. J’ai commandé la Légion étrangère pendant 5 ans, il y a 140 nationalités dedans. Donc s’il y a bien quelqu’un à qui on ne peut pas reprocher d’être raciste, c’est bien moi », se justifie-t-il.

    (…) RTL.Fr

    Vive PEGIDA !!!

  • Lyon / Police de la pensée / Un commando d’avocats pour lutter contre le racisme!

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     Un groupe de treize avocats spécialement formés prendra en main des dossiers liés aux questions de racisme, d’antisémitisme et autres discriminations. Une première en France.

    1″C’est une initiative totalement lyonnaise dont nous nous serions bien passés. » Me Philippe Genin, avocat au Barreau de Lyon et ancien Bâtonnier, a présenté ce lundi « l’équipe commando » qui vient d’être formée au sein de l’ordre professionnel des avocats.

    « Si Lyon est historiquement une terre de résistance, nous observons depuis près de huit ans une montée en puissance de groupuscules violents et haineux d’extrême droite comme les Jeunesses nationalistes ou les identitaires, explique Me Genin. Nous constatons par ailleurs un afflux de dossiers concernant le racisme ‘ordinaire’ dans la rue, dans les entreprises ou en matière de discrimination au logement. Nous nous devions de réagir. »

    Pour la première fois en France, un groupe de treize avocats lyonnais volontaires, bénévoles et spécialement formés sur les questions de racisme ou d’antisémitisme sera à l’écoute des associations (LicraSOS RacismeLigue des droits de l’Homme…) et des particuliers afin de lutter plus efficacement et plus rapidement sur ces sujets.

    « Une police de la pensée » pour Gabriac

    « Il y a des progrès à faire dans la lutte contre les discriminations. A Lyon, moins de dix affaires relatives au racisme sont jugées chaque année, affirme Roger Benguigui, secrétaire général de la Licra. Car ce sont des cas difficiles à prouver, c’est souvent parole contre parole. »

    Et Me Johanne Sfaoui, avocate au sein de la nouvelle équipe, d’enchaîner : « En nous rassemblant au sein de cette entité, nous aurons plus de poids et de réactivité. Ainsi, la mobilisation sera plus grande sur ces sujets », assure-t-elle.

    Alexandre Gabriac, ancien leader des Jeunesses nationalistes et élu à la région Rhône-Alpes, s’inquiète pour sa part de la formation de ce « commando de la police de la pensée. » « Ce sont des personnes en mal de notoriété qui s’érigent en ligue de la vertu. Mais je me réjouis qu’un groupe d’avocats citoyens prenne en main la question du racisme anti-blanc et anti-catholique », ironise-t-il.

    Source

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  • Communiqué du Général Didier Tauzin

    http://www.ndf.fr/nos-breves/07-02-2016/declaration-du-general-didier-tauzin?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+ndf-fr+%28Nouvelles+de+France%29#.VrlCj5X2aM8

  • Christian Estrosi, anticonstitutionnel et antirépublicain

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    Il a décidé d'établir une assemblée parallèle où siègeront des membres non élus appartenant à divers partis, y compris battus tels que le PS ou EELV.

     

    La Constitution française précise que « la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. » Pourtant, Christian Estrosi, président de la région PACA, a décidé d’établir une assemblée parallèle où siégeront des membres non élus appartenant à divers partis, y compris battus tels que le PS ou EELV.

    Nous sommes donc face à une infraction à la Constitution, en flagrant délit. Mais existe-t-il une instance quelconque compétente pour juger une telle affaire ? Devrait-on qualifier d’antirépublicain tout parti y participant ? Pour l’heure, seul le Front national a refusé d’y participer, comme l’a annoncé Marion Maréchal-Le Pen. Devrait-on déchoir de ses droits civiques ou rendre inéligible toute personne y prenant part ? Doit-il y avoir une condamnation de ce genre d’action de la part des élites  ? Y aura-t-il des personnes pour condamner publiquement de tels agissements ? On en voit, dans d’autres cas de figure, prendre position publiquement : où sont-ils, aujourd’hui ?

    On accuse le Front national d’être antirépublicain, mais lorsque les autres partis foulent au pied les fondements mêmes de la République, personne ne bouge. La meilleure façon d’enrayer la progression du Front national ne serait-elle pas de condamner fermement les agissements des politiciens responsables d’une telle mascarade ? En effet, plus les représentants de la gent politique traditionnelle se moquent de leurs électeurs, plus le Front national progresse…

    J’appelle donc publiquement Agathe Mélinand, Jacky Ohayon, Hervé Sansonetto, Pierre Villepreux, Dr Jean-Louis Bensoussan, Francis Loubatières, Bartolomé Bennassar, Georges Boyer, Amandine Bourgeois, Stéphane Tournié, Rémy Pech, Yannick Delpech, Francis Fourcou, Pierre Soulages, Claude Marti, Simon Cohen, Daniel Crozes, Pierre Perret, Bertand Chamayou, Jean-Claude Drouot, Ganesh Pedurand, Jean-Louis Étienne, Christian Signol, Nicole Yardéni, Claude Onesta, Abdellatif Mellouki, Jean-François Mignard, Magyd Cherfi, Pascal Dessaint, Catherine Jeandel, Jean-Michel Minovez, Anne Fraïsse, Gilles Halbout, Jean-Michel Minovez, Brigitte Pradin, Bertrand Raquet, Michel Robert, Amal Sayah et Olivier Simonin à condamner publiquement Christian Estrosi et tous ceux qui, avec lui, s’attaquent à notre République, ou à se taire à tout jamais !

     

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Menacé par Daech, le FN réclame une protection au ministère de l'Intérieur

    http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2016/02/08/25001-20160208ARTFIG00086-menace-par-daech-le-fn-reclame-une-protection-au-ministere-de-l-interieur.php

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  • Carnaval de Cologne: la police enregistre 400 plaintes

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    International
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    Crise migratoire (515)
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    Lors du carnaval traditionnel de Cologne, les festivités se déroulent en paix, affirment les services de l'ordre allemands. Entre-temps, la police a reçu dimanche plusieurs centaines de plaintes, ce qui est beaucoup plus qu'auparavant.

    Ces dernières années, les services de l'ordre allemands recevaient en moyenne environ 50 plaintes suite aux festivités du carnaval.

     

    Selon la police, le carnaval traditionnel de Cologne se tient dans une ambiance plus calme que l'année dernière. Cependant, à la date du 7 février, plus de 400 personnes ont porté plainte à la police, rapporte le quotidien allemand Die Welt.

    La plupart des crimes sont des vols à la tire et des blessures. Les services de l'ordre ont également enregistré 35 cas de violences sexuelles.

    Le carnaval, qui a débuté le 4 février, est le premier évènement de masse après le Nouvel An, lors duquel plusieurs centaines de femmes avaient été agressées par des migrants.

    Les événements qui se sont produits début janvier à Cologne ont déclenché une vague d'indignation dans le monde entier. Une série d'agressions sexuelles commises par des jeunes "d'apparence arabe ou nord-africaine" avait eu lieu dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. A l'époque, la police avait reçu près de 500 plaintes de la part de victimes d'agressions.

     

    A l'approche du carnaval, les autorités de Cologne ont décidé de renforcer les mesures de sécurité. Les policiers travaillent au sein de 12 équipes, la place de la gare est surveillée à l'aide de caméras vidéo, alors que certaines zones de la vielle ville bénéficient d'un éclairage supplémentaire.

    Il est impossible de comparer plus précisément la situation actuelle avec celle de 2015, parce que, l'année dernière, la police n'avait pas fait de bilan intermédiaire, a expliqué le service de presse de la police allemande.

    En outre, selon la police, un jeune homme de 17 ans, qui avait harcelé la journaliste belge Esmeralda Labye alors qu'elle tournait un reportage en direct à Cologne, s'est volontairement rendu vendredi au commissariat. Selon les services de l'ordre, il a admis qu'il se trouvait dans l'une des vidéos publiées sur Internet en toutefois niant que ses gestes étaient obscènes.

     

    Le carnaval de Cologne est considéré par ses participants comme la cinquième saison de l'année ainsi que comme la fête la plus importante après Noël. Les célébrations finales durent une semaine. Un des principaux événements du carnaval est la Weiberfastnacht, journée d'émancipation des femmes qui est fêtée jeudi. Pendant cette journée les femmes coupent les cravates des hommes et embrassent les passants sur les joues.



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