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GAELLE MANN - Page 436

  • Paris Plages : le rapport qui accable la mairie

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    Par

    valeursactuelles.com

    En 2015, l'opération aurait coûté près de 4,8 millions d'euros. Photo © SIPA

    Paris. La Cour des comptes a rendu un rapport dénonçant une gestion hasardeuse de l’opération Paris Plage par la mairie, qui plaide une différence dans les méthodes de calcul. 

    Le temps vire à l’orage pour la Mairie de Paris. La Cour des comptes a, en effet, rendu un rapport épinglant les « sérieux dysfonctionnements » des éditions successives de Paris Plages. Mise en place en 2002 par Bertrand Delanoë, alors maire de la ville, l’opération consiste à offrir à « ceux qui sont privés de vacances »  « un moment de convivialité ». Paradoxalement, un sondage de 2008 avait montré que seul 4% du public était issu du monde ouvrier, la majorité des plagistes étant des touristes venus visiter Paris.   

    Aux mois de juillet et août, les berges de la Seine se transforment ainsi, depuis 14 ans, en plage urbaine grâce. Un dépaysement permis notamment grâce à l’importation de sable de Normandie. Seulement, l’addition s’avère plus salée que prévue.

    4,8 millions d’euros au lieu des 1,5 annoncés

    Alors que l’Hôtel de Ville chiffre le coût annuel aux environs de 2 millions d’euros, il serait en réalité bien plus élevé. Le rapport de la Cour des comptes que s’est procuré Le Point, révèle ainsi que pour la seule année 2015, là où un budget de 1,5 millions d’euros avait été fixé, c’est près de 4,8 millions qui ont été dépensés, soit plus du triple.

    Mais ce n’est pas la seule « défaillance » que pointe le rapport. La gestion des sponsors, censés alléger la facture, est mise à l’index pour son inefficacité. Ainsi, en 2014 « six partenariats ont été autorisés par une délibération du conseil, un ou deux mois après la fin de l'opération » déplore la Cour des comptes, qui préconise donc logiquement d’ « anticiper la négociation »

    Différence dans les méthodes de calcul

    Plus troublant encore, la mairie fait également prendre en charge des dépenses d’organisation à ses sponsors afin de ne pas les faire apparaitre dans le budget. En 2010, par exemple, la  Cofitem-Confimur , société spécialisée dans l'acquisition et la location de bureaux, s’est engagée à payer 50 000 euros pour l’opération. Les factures ont été envoyées à la Cofitem, mais libellées à l'attention d'un agent de la ville de Paris, qui a ensuite validé les documents, avant que la société tiers ne procède aux paiements. Un procédé qui, selon le rapport, « contrevient au principe d'universalité budgétaire ».

    Par ailleurs l’administration municipale n’a pas hésité à rattacher une facture de 6 590 euros, pour la pose des caillebotis en bois en 2012, à un marché public passé en 2009. « Ce marché conclu pour une durée deux mois était échu depuis longtemps », indique la Cour.

    De son côté, la municipalité a jugé que le rapport n’était « pas accablant mais exigeant » Sur la question des dépassements de budget, Philippe Chotard, secrétaire général de la Mairie de Paris estime qu’il s’agit d’une simple différence dans les méthodes de calcul. « Les coûts de l'intervention des personnels ne sauraient être intégrés dans le bilan financier global de l'opération » a-t-il justifié.

  • EN DIRECT - 195 pays adoptent l'accord contre le réchauffement climatique

    http://www.leparisien.fr/environnement/cop21/en-direct-cop21-le-projet-d-accord-est-finalise-11-12-2015-5362495.php

    Nombreuses vidéos

  • Réfugiés : Merkel dit «nein» à la fermeture des frontières

    http://www.leparisien.fr/international/refugies-merkel-dit-niet-a-la-fermeture-des-frontieres-12-12-2015-5364621.php

  • État d’urgence : le bâtonnier de Paris déplore le recul des libertés publiques

     

    Le bâtonnier de Paris, Me Pierre-Olivier Sur, a appelé vendredi 11 décembre à la mobilisation pour la défense de libertés publiques qui sont selon lui « en recul » depuis l’instauration de l’état d’urgence.

    Lors de la rentrée solennelle du premier barreau de France, Me Sur, qui effectuait là sa dernière grande prise de parole publique comme bâtonnier – il cédera sa place en janvier à Frédéric Sicard, après deux ans à ce poste – a lancé :

    « Il y a en ce moment quelque chose qui recule dans nos libertés publiques. Nous avons commencé notre action contre la loi sur la surveillance et nous la terminons en plein état d’urgence. Si les mesures de sûreté administratives sont évidemment nécessaires, rien ne justifie qu’on déroge au droit. Plus que jamais, nous avons un rôle à jouer. »

    Le bâtonnier a estimé que le recours à ce régime d’exception était « un subterfuge permettant à l’État de contourner le manque d’enquêteurs, de magistrats instructeurs et d’avocats ».

     

    « La routine de la liberté redevient une conquête »

    L’avocat s’est ensuite adressé à la ministre de la justice, Christiane Taubira, assise à quelques mètres de lui, et a « exigé » des pouvoirs publics « que l’état d’urgence soit limité dans le temps, que les procédures prévoient le respect des droits de la défense et soient soumises au juge judiciaire » pour éviter toute dérive.

    Lire la suite de l’article sur lemonde.fr

  • Territoire occupé

     

    Barack Obama célèbre Hanoucca et réaffirme son soutien au sionisme

    Le président de l’État, Réouven Rivlin, a allumé mercredi les bougies de Hanoucca à la Maison-Blanche, en compagnie du président américain Barack Obama.

    Le président israélien et son épouse Nehama Rivlin ont été accueillis par Barack Obama et sa femme Michelle pour la réception traditionnelle tenue chaque année à la Maison-Blanche pour célébrer la fête juive.

    « Nous souhaitons vous remercier de tout notre cœur, de la part du peuple d’Israël, pour tout ce que vous avez fait pour nous aider ces dernières années sur les plans financier, diplomatique et militaire », a dit le président Rivlin à son hôte.

    M. Obama, de son côté, a déclaré : « Nous considérons notre engagement à l’égard de la sécurité d’Israël comme l’un des plus importants principes de la politique étrangère des États-Unis. »

  • Hollande veut remettre la Légion d’honneur aux victimes du Bataclan

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    Nous sommes encore descendu d'une marche. Voici qu'à présent les pauvres victimes sont distinguées comme des héros. Tout est confondu, mélangé, brouillé.

    Pauvre vieille Légion, je t’écris ces quelques lignes les yeux gonflés. Tu as été conquise par la ruse et la surprise. Les grognards et les poilus doivent s’agiter dans leurs caveaux.

    40 ans de névrose victimaire et de repentance psychotique viennent de produire la plus belle perle jamais vue dans le parc à huîtres des idées molles : La « rouge » pour les victimes civiles de l’attaque du 13 novembre.

    Cet ordre dont la tradition est plusieurs fois séculaire, distingue une noblesse, une élite. Il s’inscrit dans la continuité de l’ordre de saint Louis (croix de Malte blanche sur ruban écarlate) qui élevait à la noblesse héréditaire la troisième génération des officiers distingués par cette décoration au service des armées françaises. Il fallait un siècle pour faire un gentilhomme. Que de fidélités, de sacrifices, d’efforts et de combats pour y accéder!

    Organisé par Napoléon Bonaparte le prestigieux Ordre était pour ainsi dire « dans l’esprit » : militaire, avec la même idée de constituer une élite, une noblesse, dans le service des armes. C’est ainsi qu’elle était portée par la moitié seulement des « grognards » et des « briscards » de la vieille garde, ceux qui n’ont jamais battu en retraite et cumulaient les « brisques » (galons) sur la manche de leur  habit.

    On ne s’attardera pas sur cette société civile fascinée par l’apparat militaire sans en accepter les sujétions… De même qu’ils veulent une grosse rente et pas de travail, une bonne baise mais pas de gosses, ils veulent une belle médaille mais pas de combat, et des ordres de chevalerie secrets en pagaille, grotesques et sans religion. C’est ainsi que l’auguste décoration est aujourd’hui attribuée majoritairement aux pékins éligibles ; hauts fonctionnaires, avocats, médecins, et autres notables. Et puis « la rouge » fut distribuée largement aux artistes engagés et autres clowns de cirque. Artistes qui donnent des leçons électorales au peuple français, avec une montre à cinquante plaques au poignet, depuis leur résidence californienne. On les comprend, la fermeture des frontières pour ces gens là… leur vie de jetset va devenir un enfer.

    Nous sommes encore descendu d’une marche. Voici qu’à présent les pauvres victimes sont distinguées comme des héros. Tout est confondu, mélangé, brouillé, comme dans le regard d’un cœur brisé.

    Pauvre vieil ordre écarlate séculaire, je t’ai aimé, je t’ai admiré, j’ai rêvé de t’offrir ma poitrine, remise par un chef victorieux, sur un champ de bataille. Mais je me suis réveillé, triste époque, je ne pourrais jamais être une assez bonne victime pour te porter.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Au pied du mur

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  • « Engrosser la femelle du Front National » : buzz fatal pour le Dr Lecoquierre

    http://www.agoravox.fr/actualites/politique/article/engrosser-la-femelle-du-front-175280

  • LA MESURE 24 (rediffusion)

    La mesure 24

     

    A Marlène

     

     

    « Plonger dans ces souvenirs n’a, vous l’imaginez, rien de réjouissant. Mais enfin, puisque vous insistez, je vais tout vous dire. »

    Instantanément, les conversations cessèrent. Tous les convives, une dizaine, firent cercle autour d’elle, après que la maîtresse de maison, consciente que quelque chose d’important, voire de grave, allait se jouer, eut invité les enfants à aller s’ébattre dans le jardin.

    Gladys ferma les yeux, inspira longuement. Se recueillit un instant, comme pour mettre de l’ordre dans ses pensées ou juguler son émotion, avant de commencer.

    « C’était il y a huit ans. En janvier, peu après les fêtes. Vous vous souvenez sans doute des affiches dans Paris, des annonces dans les journaux : «Après sa tournée triomphale en Europe et aux Etats Unis,  Gladys de Prouges donnera un récital à Pleyel » Tout était loué un mois à l’avance. Plus une place. J’avais choisi, un peu par défi envers moi-même, car j’étais plus familière de Chopin et de Schumann que de ce répertoire, un programme de musique espagnole. De Falla, Rodrigo, Albéniz. Des pépites pour lesquelles je venais de m’engouer et qu’il s’agissait de débarrasser de quelques scories pour les mettre en valeur.

    «  D’Albéniz, j’avais puisé, parmi les douze pièces de la suite Iberia, celles qui me paraissaient les plus brillantes. Dignes de clore le concert en apothéose. Il me restait huit jours pour en parfaire l’exécution. Pas de quoi s’affoler. Pas de quoi lambiner non plus. Je travaillais tous les jours d’arrache-pied – si je puis dire. D’autant que je trébuchais sur un passage, toujours le même. La vingt-quatrième mesure de la dernière pièce. Une succession de doubles croches résolue par un accord en mineur que devait magnifier un imperceptible décalage rythmique de la main gauche. »

    Elle s’interrompit. A la subite altération de sa voix, chacun comprit qu’elle revivait avec intensité ce moment de son existence.

    « Le dénouement, reprit-elle enfin, vous le connaissez. L’annulation in extremis du récital. Les rumeurs, les supputations. Les insinuations venimeuses des magazines people. « Gladys de Prouges atteinte d’une maladie incurable ». Ou encore « Une tentative avortée de suicide la contraint à renoncer ». « Un chagrin d’amour à l’origine du caprice d’une diva ? ». Enfin celui-ci, qui fut sans doute le plus douloureux parce que plus proche de la vérité : « Consciente de n’être plus la meilleure, Gladys de Prouges abandonne la scène ».

    Murmure réprobateur qu’elle apaisa d’un geste avant de poursuivre :

    « Je reprenais donc sur mon piano, inlassablement, le passage s’ouvrant sur la mesure 24. Comme s’il s’agissait d’effacer au fer à repasser un faux pli sur un tissu. Je savais que, si je n’arrivais pas à le jouer convenablement, que dis-je, aisément, tout risquait de capoter le jour du récital.

    « J’étais en pleine répétition quand il s’est présenté avec ses outils. Une espèce de grand dadais, un peu rustaud. Il m’a tout de suite prévenue que changer des volets roulants n’était pas une mince affaire. Surtout dans l’état de vétusté des miens. Il en avait au moins pour la journée, et il connaissait son métier !

    «  Pas question, bien sûr, d’interrompre pour autant mon travail. Je me remis à la tâche, reprenant inlassablement le passage litigieux. Peine perdue. Quand je croyais l’avoir dominé par quelque artifice, il se dérobait à nouveau et je trébuchais au même endroit, cette fameuse mesure 24, aussi indomptable que diabolique.

    « Au début, mon ouvrier endura sans rien dire, ses grosses mains s’activant sur les rails à fixer le long des murs. Puis, au bout de trois heures, il donna quelques signes d’impatience, avant d’exploser.

    - Ecoutez, me dit-il, vous n’y arriverez jamais si votre accentuation porte sur le la bémol. Vous faussez la cadence. Laissez-moi faire.

    Il m’extirpa littéralement du tabouret, s’installa à ma place. Reprit depuis son début la pièce d’Iberia. Sous ses doigts maculés de cambouis, elle acquérait un relief inattendu. Que dis-je, j’avais l‘impression qu’elle prenait vie. En comparaison, mon interprétation me semblait fade, dépourvue de la moindre saveur. J’attendais pourtant mon homme au tournant de la vingt-quatrième mesure. Il franchit l’obstacle avec brio. Pas la moindre hésitation.

    Et puis, sans un mot, il se leva, reprit ses outils, se remit au travail. »

    Gladys se tut. Ses mains tremblaient. Chacun respecta son silence, tant le moindre commentaire eût paru incongru.

     

    Jacques Aboucaya

  • Joachin RODRIGO Paco de Lucia Concerto d'Aranjuez adagio

    Concerto pour guitare et orchestre de Joachin RODRIGO composé en 1939

     

  • Exclusif : Quand François Baroin fréquentait la mosquée du mentor d’un tueur du Bataclan

    http://www.fdesouche.com/680051-exclusif-quand-francois-baroin-frequentait-la-mosquee-du-mentor-dun-tueur-du-bataclan

    Le FM qui veut interdire les crèches de Noël !

  • LE PEUPLE FRANÇAIS NE SE LAISSERA PLUS FAIRE !

       
     

    La propagande anti-FN imposée à tous les Français n'aura pas empêché la vague patriote de déferler sur nos régions. Premier parti de France, le Front national bénéficie aujourd'hui d’une dynamique de second tour spectaculaire.

    Les minables combinaisons politiciennes de l'ex-UMP et du PS pour tenter d'écarter notre mouvement des exécutifs régionaux auront creuser un peu plus encore le fossé entre ces prétendues « élites » et le peuple que nous défendons. Au mépris de la démocratie, au mépris de leurs propres électeurs, le PS s'est livré à un véritable suicide collectif tandis que les têtes de liste UMP sont devenues les candidats assumés et officiels de la gauche et de ses supplétifs. L'UMPS dans toute sa splendeur !

    Soutenue par les médias, le showbiz et les syndicats du grand patronat et d'extrême gauche, la propagande d'Etat aura utilisé tous les moyens à sa disposition pour diaboliser les patriotes. Ce à quoi on a assisté tout au long de cette dernière semaine de campagne est une véritable honte pour la démocratie. Le site internet du magazine l'Obs est même allé jusqu'à publier une tribune d'un médecin appelant ouvertement au viol des électrices Front National !

    Alors que la France est confrontée au péril islamiste, que notre pays a été frappé il y a moins d'un mois par des attentats qui ont fait 130 morts, Manuel Valls a de nouveau endossé le costume de directeur de campagne du PS, ostracisant d’un ton péremptoire tous ceux qui ne pensent pas comme lui. Les injures, les poncifs, la logorrhée du vieux logiciel des années 80 pour jouer sur les peurs à l'encontre d'un parti qui a réuni 30% des suffrages, soit plus de 6 millions d'électeurs, en disent long sur le sectarisme de la caste aux abois.

    Pourquoi un tel acharnement ? Parce que le FN est le seul mouvement politique non compromis dans la ruine de la France. Si, parvenu aux responsabilités d'une région, le FN apportait la preuve qu’il est meilleur que tous les caciques de l'UMPS qui l’ont précédé et qui se succèdent depuis quarante ans, comme il l'a remarquablement démontré dans les villes qu'il dirige, alors c'en serait fini de cette mascarade qui ne profite qu'à une petite minorité.

    Tout au long de cette campagne régionale, les Français auront bien vu que la priorité des partis politiques du système qui se prétendent “républicains” ne consistait pas à lutter contre le chômage et l’immigration de masse, la paupérisation et le terrorisme islamiste, mais seulement à pérenniser leurs places et les avantages qui vont avec.

    À l'heure où nous faisons face à une machine politico-médiatique absolument déchaînée, l’union des patriotes est aujourd’hui et plus que jamais une nécessité. Rassemblés autour du même amour de notre patrie, de notre terre, de nos traditions, de notre culture, de notre terroir, de notre histoire glorieuse, nous vaincrons tous ensemble le règne de la caste au pouvoir. C’est l'espoir de retrouver une nation libre et un peuple respecté que les Français attendent et ont exprimé le 6 décembre. Tous aux urnes pour transformer l'essai ! Tous aux urnes pour la victoire !

       

    Nicolas Bay
    Secrétaire Général du Front National

       
  • EXCLUSIF : Marine Le Pen, Louis Aliot, W. de Saint-Just, en interview avant le second tour des régionales

    Pour Boulevard Voltaire, Charlotte d’Ornellas est allée à la rencontre des candidats du FN.

  • Valls menace les électeurs : le FN peut conduire à la « guerre civile », affirme-t-il




     
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    Manuel Valls a affirmé vendredi sur France inter que le Front national pouvait conduire à la « guerre civile ». Interrogé à ce sujet alors qu’il faisait campagne à Sainte-Geneviève-des-Bois aux côtés de Claude Bartolone, le Premier ministre a réitéré ses propos: « la division et la stigmatisation portent en elles les germes de guerre civile bien-sûr ». Il a ajouté qu’il fallait opposer à cela « un projet de rassemblement et de vivre ensemble, de concorde autour des valeurs de la république. C’est ce que nous portons aujourd’hui lorsqu’on soutient les associations qui font de l’aide alimentaire ou les clubs sportifs qui transmettent des valeurs ».

    NDF

    Mais quelles sont ces valeurs, à la fin? Cracher sur la pelouse à la fin de La Marseillaise par exemple?

  • MIEGE

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