Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 437

  • Cheyenne-Marie Carron, cinéaste de l’insoumission. Par P.E. BLAIRON

    1920476_4007963734849_780308879_n.jpg

     

     

    La bataille des régionales aura pour enjeu important la question des subventions attribuées au secteur culturel, là où la droite, suivie de la gauche, sont intervenues pour largement subventionner nombre d’associations dont la vocation consiste à détruire les structures traditionnelles, culturelles et artistiques de notre pays au détriment de créateurs, artistes, écrivains, cinéastes, revues, groupements de préservation de nos racines et traditions qui constituent les fondements même de notre avenir. Cheyenne-Marie Carron est, parmi de nombreux autres, l’exemple vivant de cette injustice et de ces dysfonctionnements.

    AffichePatries1HD.jpg Patries.jpg

     

    Cheyenne-Marie Carron est devenue cinéaste par insomnie, comme beaucoup d’entre nous sont devenus cinéphiles : en regardant les films diffusés dans le cadre de l’émission télévisée Le cinéma de minuit, émission créée par Claude-Jean Philippe et Patrick Brion le 28 mars 1976, quelques semaines avant que Cheyenne vienne au monde.

    Cheyenne, curieux prénom qu’elle s’est choisie elle-même, fille adoptive, lorsqu’elle arriva à l’âge de majorité. Prénom emprunté à une tribu amérindienne, qui véhicule dans les tréfonds de nos âmes, les valeurs de fierté, d’insoumission, d’enracinement, de combat identitaire contre l’envahisseur. Ne sommes-nous pas devenus, nous, Européens, des « Indiens » traqués sur leur propre sol, chassés de nos terres et, si l’on y pense bien, par substitution, au bout du compte, par le même envahisseur qui sait si bien organiser son expansion mondiale ?

    Curieux parcours d’une femme au tempérament gai, passionné, mais affirmé, d’une franchise et d’un naturel qui ont désarçonné plus d’un critique cinématographique, l’intellectuel parisien habitué aux palabres feutrées mais néanmoins féroces, de celles qui poignardent dans le dos. Et qui, pour le coup, se sont intéressés de plus près à cet O.C.N.I., objet cinématographique non identifié. Signalons un entretien télévisé mené par une journaliste intelligente de KTOTV, dans son émission Visages inattendus de personnalités, que vous retrouverez sur youtube, et les interviews accordés à Radio Courtoisie.

    Tout le caractère de Cheyenne est contenu dans son prénom. Mais comment, éduquée par une famille catholique « de gauche », en vient-on à devenir une réalisatrice de la mouvance identitaire, catholique et monarchiste, ayant à son actif déjà une demi-douzaine de longs-métrages ? C’est la première question que nous lui avons posée.

    Je ne souhaite pas appartenir à une mouvance quelconque. Je traite de sujets qui me tiennent à cœur, et j’espère que des gens de tout horizons les apprécient. Je suis catholique, car Dieu m’a sauvée, et monarchiste, car une nation a besoin d’un père.

    Et si la mouvance identitaire apprécie peut-être mes films, c’est peut-être que peu d’artistes sont sensibles à cette question. Moi, je suis une enfant de la DDASS et manquer de repères et d’identité, je sais quelle souffrance cela représente. Alors il est possible que bien des jeunes se retrouvent dans mes films, car ils ont peut-être l’impression d’être traités comme des enfants abandonnés, c’est à dire sans racines…

    La plupart de vos films mettent en scène le multiculturalisme qui est le problème principal auquel est confronté notre pays ; c’est parce que le sujet vous touche, ou parce que vous voulez apporter une réponse à un questionnement qui serait le vôtre, ou bien les deux ?

    Pour ma part, bien que mes géniteurs étaient Kabyles, je n’ai qu’une seule patrie, celle où je suis née, où j’ai été pupille de l’Etat, et où j’ai été élevée. Il s’agit de la France.

    Mais mon éducation m’a conduite à avoir regard ouvert sur le monde, ayant été d’une famille qui a adopté des enfants. Et je crois en l’importance de protéger et défendre les cultures et les traditions de tous les peuples, c’est ce que j’ai essayé de proposer dans mon dernier film Patries.

    La presse, dans son ensemble, a fait un bon accueil à vos films, même si on peut considérer qu’ils ne sont pas politiquement corrects ; vous avez une explication à cet engouement ?

    Peut-être parce que mes films sont bons !

    Je n’ai pas l’impression de traiter de sujets « politiquement incorrects », mais de traiter de sujets de mon temps. Et je veille à le faire avec humanité, vérité et justesse.

    Quels sont les éléments que vous aimeriez apporter, après une certaine expérience, à votre façon de travailler et de concevoir les films, pour progresser dans votre métier ?

    J’aimerais parvenir à faire des films avec un peu plus de budget, car faire un long-métrage avec 50 000 euros, ça rend les choses très, très compliquées. Je pense avoir gagné mes galons, mais les subventions d’Etat me sont toujours refusées[1].

    Vous avez eu beaucoup de mal à trouver des producteurs, ce qui vous a amené à financer vous-même vos films ; comment faites-vous ?

    C’est une galère sans nom, mais ça, c’est ma cuisine interne, je ne suis pas sûre qu’il soit utile que je pleurniche publiquement en vous expliquant mes galères. Le spectateur paye sa place au cinéma pour voir mes films, au même prix qu’une superproduction américaine, et il s’en fiche de savoir si j’ai fait mon film avec un millième du budget de la superproduction, et il a raison de s’en ficher. C’est à moi à parvenir à faire du bon travail avec très peu ; c’est peut-être ça qu’on appelle la magie du cinéma.

    1. Vous tournez actuellement ?

    Non, je ne suis pas en tournage actuellement.

    Parmi vos projets, vous avez mis en chantier un film qui reprend l’une de vos préoccupations majeures, c’est la confrontation des religions ; dans L’Apôtre, cette confrontation concernait deux religions monothéistes, l’islam et le christianisme, mais vous voulez élargir le débat, si l’on peut dire, avec La morsure des dieux ?

    Effectivement, je prépare deux films. L’un qui s’intitulera La Chute des Hommes, et racontera l’histoire d’une chrétienne prise en otage par des djihadistes. Et l’autre, s’intitulera La Morsure des Dieux, qui racontera l’histoire d’un agriculteur français qui se bat pour sauver son exploitation, ce film sera une déclaration d’amour pour la cause pagano-chrétienne.

    Je suis catholique pratiquante, et j’ai découvert le paganisme il y a peu de temps. Ce nouveau monde, nouveau pour moi ! me fascine, car j’y vois non seulement beaucoup de beauté, mais aussi une nouvelle force d’enracinement antérieure à ma religion, et pour cette raison, le paganisme est un trésor à préserver.

                                                                                                  Pierre-Emile Blairon

     

    [1] « Pourtant ces aides sont généreusement allouées à des réalisateurs politiquement corrects, sociologiquement copains et artistiquement médiocres, dont les productions sont à cent coudées en-dessous des œuvres de Cheyenne-Marie Carron." (Guillaume Faye)

  • ITALIE Par respect des musulmans, pas de chants de Noël à l'école

    http://www.bvoltaire.fr/audreydaguanno/italie-respect-musulmans-de-chants-de-noel-a-lecole,223831

    creche-noel-271379_5.jpg

  • La vidéo que Hollande ne veut pas que vous regardiez !

    http://www.bvoltaire.fr/videos/la-video-que-hollande-ne-veut-pas-que-vous-regardiez,176634?mc_cid=73e5fc264f&mc_eid=0b0d8f3739

    Raison de plus pour le faire et partager! 

  • Une religion ?

    Dans un communiqué de presse, Donald Trump souligne que la haine des musulmans envers l’Amérique risque de conduire à de nouvelles tueries. « Nous devons déterminer d'où vient cette haine et pourquoi elle existe. Jusqu'à ce que nous soyons en mesure de comprendre ce problème et la dangereuse menace qu'il représente, notre pays ne peut être victime d'horribles attaques par des gens qui ne croient qu'au jihad, et n'ont aucun sentiment de raison ou de respect pour la vie humaine. » En conséquence il prône la « fermeture totale » des Etats-Unis aux musulmans jusqu’à ce que le Congrès « agisse ».

    Réplique immédiate de la Maison Blanche : « C'est totalement contraire à nos valeurs en tant qu'Américains. Le respect de la liberté de religion est inscrit dans notre Déclaration des droits. »

    Le respect de la liberté de religion, ce n’est pas Donald Trump qui est contre, c’est l’islam…

    D’autre part, est-ce que c’est une religion dont on doive respecter la liberté qu’une doctrine (en réalité une idéologie totalitaire), dont le livre saint édicte l’obligation du jihad pour tout croyant, dont tous les recueils de hadiths ont une section « jihad », dont tous les traités de théologie ont un chapitre sur le jihad ?

    Poser la question c’est y répondre. Encore faut-il la poser.

    Blog d'Yves DOUADAL

  • LES SCHIZOPHRÈNES DU BULLETIN DE VOTE

    Accueil >> Monde en action

    LES SCHIZOPHRÈNES DU BULLETIN DE VOTE -

     
    Bernard Plouvier & Philippe Randa
    le  

    Les décisions du peuple souverain sont à la fois stéréotypées et peu nobles dans leurs motivations, étant à la mesure de ce que l’on sait de l’animal humain moyen : bêtise et ignorance, suivisme et peur du lendemain, ingrédients qui assurent la pérennité des majorités assez sages pour ne rien faire et le succès de démagogues au sourire trompeur et au programme aussi vague qu’attirant.

    Est-ce parce que le dictateur Adolf Hitler l’a affirmé qu’on ne peut plus aujourd’hui estimer que, oui, la démocratie parlementaire est affaire d’argent avant tout ? Un vote, consubstantiellement, s’achète. Toujours. Et il en a été de tous temps pareil ! Autrefois, de façon sonnante et trébuchante, directement de la main d’agents électoraux à celle de l’électeur incité de se rendre dans les bureaux de vote pour faire « le bon choix » qui leur était ainsi désigné ; de nos jours par des avantages plus souvent « en nature » (logement, contrat de travail, allocations financières d’ordre social ou culturel, etc.), sur fond de gabegie d’affiches, de tracts et spots radios, télévisés ou internet et soutenus par des journalistes aux ordres des plus offrants financièrement. La corruption règne durant les périodes électorales aujourd’hui quasiment continues ; rares désormais  sont les années sans consultation électorale.

    Une élection, c’est avant tout des dépenses considérables que les partis institutionnels se sont employés à faire payer au cochon de contribuable en rendant obligatoire leur remboursement, et cela, comble de l’hypocrisie ! au nom d’une prétendue moralisation de la vie politique française. Pourquoi se gêner, n’est-ce pas ? Une fois encore, c’est en arguant de grands principes qu’une classe auto-proclamée défenseuse des libertés publiques pille sans vergogne des finances justement publiques.

    En renouvelant quasi-systématiquement son vote en faveur d’une classe politique corrompue, une fois de gauche, une fois de droite, le citoyen-électeur fait perdurer, malgré ses incessantes récriminations, un système schizophrène… Sa démarche est aussi étonnante que de s’adresser à un cambrioleur notoirement connu de la Justice pour assurer la garde de son domicile !

    Il s’agit donc moins pour nos gouvernants d’être compétents dans leurs fonctions une fois élus que suprêmement habiles dans leurs tactiques électorales.

    La démocratie parlementaire est ainsi assujettie aux « moins doués » parmi les électeurs, si l’on se réfère aux études de populations étendues, menés durant le XXe siècle dans tous les pays civilisés, jusqu’à ce qu’on les interdise de fait pour éviter de choquer le public. En tous pays et indépendamment du degré de scolarisation, les sujets moyennement doués (au QI de 110 à 90) et les authentiques sous-doués (QI inférieur à 90) représentent 75 % des sujets testés (respectivement 40 et 35 %). La simple loi du nombre assure le triomphe des roublards sachant manipuler les médiocres… En 1944, dans un écrit prudemment publié quarante années plus tard, Jacques Benoist-Méchin évoquait « la part immense de la fatalité de la bêtise » dans l’histoire humaine (De la défaite au désastre, 2 volumes, Albin Michel, 1984).

    L’ignorance peut être le résultat soit d’une fainéantise crasse soit d’une idiotie congénitale (ou acquise par traumatisme crânien). Elle est gênante pour le pays quand une majorité d’électeurs ignore tout des rapports entre l’économie (gagner de l’argent par le travail) et les œuvres sociales (redistribuer les retombées, quand il en reste après la part obligatoire de consommation).

    Nos merveilleux politiciens ont ainsi inventé le déficit budgétaire et la Dette publique extensible pour distribuer même quand il ne reste rien, pour faire « du social » quand l’économie va très mal.

    L’électeur de base comprend-il qu’une dette se rembourse un jour ? C’est peu probable et il n’y est pas encouragé par ses élus ou ses informateurs, politiciens et journalistes « de la gamelle ».

    Dernier livre paru de Bernard Plouvier : Les Juifs dans le Reich hitlérien (2 volumes, éditions Dualpha).
    Dernier livre paru de Philippe Randa : Le roman noir des demandeurs d’asile (éditons de l’Æncre).
     
    METAMAG
  • VIDEO. Régionales : quand Bourdin et Estrosi s'écharpent en direct

     

    Marie Poussel | | MAJ :

     
    réagir
    29
     
    Jean-Jacques Bourdin et Christian Estrosi se sont écharpés ce matin en direct sur RMC. Le candidat des Républicains a accusé le journaliste «d'avoir soutenu le Front National de manière honteuse». 
    DR

    Au lendemain du premier tour des élections régionales, les esprits s'échauffent. Les auditeurs de RMC ont assisté ce lundi matin, un peu avant 8 heures, à un clash en bonne et due forme, au téléphone, entre Jean-Jacques Bourdin et Christian Estrosi.

    Sur le ton qui fait sa réputation, le journaliste-vedette propose au candidat Les Républicains en Paca de débattre avec Marion Maréchal Le Pen, arrivée en tête à l'issue du premier tour des régionales. Le député-maire de Nice botte en touche mais argumente. «Vous m'avez posé la question au mois de juin, je vous ai répondu "oui" et madame Le Pen l'a refusé et vous nous avez refusé, alors (aujourd'hui, ndlr), je ne réponds pas aux convocations de Madame Le Pen »

    Jean-Jacques Bourdin insiste : «Acceptez-le jeudi matin, vous n'allez pas laisser la chaise vide. Ce n'est pas Madame Le Pen qui convoque. Est-ce que je peux rendre publics tous les messages que je vous ai envoyés ? C’est un mensonge absolu que vous proférez ce matin ! », tempête-t-il. Le ton monte et Estrosi met alors en cause «la chaîne qui a soutenu le Front National de manière honteuse. Oui, oui, oui. Vous voulez que je décompte les minutes que vous leur avez accordées par rapport à ma candidature ? Vous voulez que je les décompte ? Eh bien on va les décomptez, je vais les décompter». 

    Après quelques minutes d'un dialogue de sourds, Bourdin s'étrangle et rétorque : «Décomptez-les, vous verrez. Le CSA veille scrupuleusement à l’équité du temps de parole». Il met alors fin à la passe d'armes. «Je ne vais pas débattre de ça publiquement pendant des heures». La suite au prochain épisode.

  • Jusqu’où peut aller la haine antipatriote: appel au viol des "petites frontistes décérébrées"

     

    "Maîtrisons sexuellement les petites frontistes décérébrées"

    Tribune de Thierry Lecoquierre, médecin généraliste au Havre, publiée le 8 décembre 2015 sur L’Obs et retirée suite à la réaction de Caroline De Haas sur Twitter :

    La femme frontiste n’apparaît pas moins mammifère que les autres femmes, même si on la sait nantie d’un cerveau reptilien plus proéminent que la moyenne. Comme tout une chacune, elle est soumise aux humeurs hormonales. Avec une particularité que l’ethnologie nous confirmerait : elle mouille surtout devant l’homme brute qui la rabaisse.

    La sympathisante FN nous offre assurément des verges pour se faire battre. Comme elle apprécie la botte et le macho, exècre les idées féministes, jouons son jeu : battons-la de nos verges. Prenons-la au mot, prenons-la tout court. Puisqu’elle nous donne la recette pour métisser le bleu Marine, utilisons-la contre son camp. Maîtrisons sexuellement les petites frontistes décérébrées, engrossons-les sans hésiter pour la survie d’une humanité souriante. Comme elles sont sottes et tombent facilement face aux arguments épais, bécasses attirées par la gâchette du chasseur en treillis, les choses devraient être aisées. Fabriquons une descendance crépue (j’allais dire frisée, mais je me suis fait peur !) au parti d’extrême-droite, crêpons le chignon de « la France aux français » terrorisée par l’altérité.

    Refusant les avancées du planning familial, chaque grossesse débouchera sur un petit métis ou un bâtard, artiste de demain qu’elle finira bien par adopter.

    Blacks, nègres, bougnoules, juifs, gauchistes, romanos, gitans, handicapés, francs-maçons et même mes gays amis solidaires : haut les queues ! Mettons nos consciences sous l’oreiller, et haro sur la croupe offerte (hélas parfois jolie !) pour une vaste copulation altruiste. Assurons une multicolore descendance à ce pays qui sombre.

    Avec un seul objectif : noyer le poison dans l’œuf.

  • Après avoir menti pour se faire élire, Chauprade donne des leçons de morale aux Le Pen

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Apres-avoir-menti-pour-se-faire-elire-Chauprade-donne-des-lecons-de-morale-aux-Le-Pen-36597.html

  • Quand Marine Le Pen révélait le népotisme socialiste au Conseil régional


    Marine LE PEN divulgue ce que les socialistes... par laresilience

    Dans le cadre des élections régionales de 2010, Marine Le Pen, tête de liste Front national dans le Pas-de-Calais, révélait la liste du personnel des collectivités locales sous administration socialiste 

  • Estrosi marchande ses voix

    8501-Chard.jpg

     

     

    10/12/2015 – POLITIQUE (Présent 8501)

    À trois jours du second tour, les associations juives appellent à voter Estrosi pour s’assurer leurs subventions. Christian Estrosi avait déjà reçu dès le 1er tour le soutien du recteur de la mosquée de Paris, Dalil Boubakeur qui l’avait qualifié d’« homme de bonne foi » le remerciant d’avoir construit cinq lieux de culte à Nice. Cette fois c’est le CRIF Marseille-Provence, le consistoire israélite et le Fonds social juif unifié qui ont écrit un communiqué commun pour le soutenir et appeler à faire barrage aux listes conduites par Marion Maréchal Le Pen.
    8501P1
    On sait qu’Estrosi achète ces voix en échange de subventions, en plus de celles du PS et de l’Alliance écologiste indépendante. (Cette dernière a reçu l’assurance signée de la création d’un institut pour l’écologie doté de 30 millions d’euros sur six ans). Estrosi a promis au PS une « conférence régionale » pour les conseillers socialistes qui ne siégeront plus à la région. Une sorte de conseil régional parallèle, un entre-soi convenable sans les conseillers FN ! (il a assuré ne pas partager le sentiment de Nicolas Sarkozy, pour qui le vote Front national n’est pas immoral) Et a également promis une augmentation de subventions aux associations de protection animale…

    Complice de l’islam radical

    Le maire de Nice s’est fait une spécialité du subventionnement communautaire dans sa commune avec le soutien, en contravention à la loi de 1905, à la future grande mosquée de la ville. Il a fait voter une subvention « sportive » de plusieurs milliers d’euros à l’association des Jeunes Musulmans de France totalement liée à l’UOIF et partage même l’adresse de sa section départementale à la mosquée de l’Ariane.
    Comme l’a déclaré Marion Maréchal Le Pen dans Présent du 21 novembre : « Je suis très méfiante parce que je sais que la gauche et certains élus de droite entretiennent une relation et une complicité malsaines aujourd’hui avec l’islam radical. Pour la simple et bonne raison qu’ils y voient aussi un vecteur électoral. À partir du moment où ils achètent certains représentants par des contournements de la loi de 1905, par des subventions ou par des permis de construire de mosquées, ils achètent la communauté. Ce dont on parle très peu, c’est l’ensemble des associations humanitaires, sportives, culturelles, qui sont en fait des associations satellites de l’islamisme et notamment de l’UOIF, proche des Frères musulmans, qui pullulent sur le territoire et qui sont autant de courroies de transmission du développement de l’islam radical. Nous avons énormément d’élus aujourd’hui comme Christian Estrosi à Nice qui financent l’islamisme radical avec l’argent public ».

    Comme l’avait rappelé Philippe Vardon, cinquième sur la liste de Marion Maréchal-Le Pen dans les Alpes-Maritimes, Estrosi « favorise l’islam radical à Nice et contribue ainsi au climat qui a fait de notre ville une véritable base de recrutement pour le djihad, une ville aussi où commence à s’installer une police de la charia qui peut reprocher à certains “mauvais musulmans” de vendre de l’alcool par exemple ».

    On continue avec Estrosi ?

    Caroline Parmentier

  • Joyeux Noël provençal à la mairie de Stéphane Ravier

    IMG_0102.JPG crèche mairie.JPG

    IMG_0103.JPG sapin noël.JPG

    IMG_0104.JPG coin des treize desserts.JPG

    Le coin des treize desserts traditionnels, déjà pillé!

    (Photos EB - Marseille, 8 décembre 2015)

  • Régionales Paca : les représentants juifs appellent à voter Estrosi

    RIU8K6H.jpg

     

    11h53

     

    Les représentants de la communauté juive à Marseille appellent les électeurs de Provence-Alpes-Côte d’Azur «à se rendre massivement aux urnes dimanche» et à voter pour la liste Les Républicains de Christian Estrosi au second tour des élections régionales.

    Ils saluent également dans un communiqué «l’attitude républicaine» des candidats de gauche. Appelant à faire barrage au Front national, le chef de file socialiste Christophe Castaner a retiré sa liste PS-PRG arrivée troisième derrière le FN et Les Républicains (LR). «Nous, Français de confession juive, à travers nos institutions, Crif, Consistoire, Fonds social, appelons tous les Français à se rendre massivement aux urnes dimanche 13 décembre afin que les valeurs qui sont le socle de nos actions au quotidien prévalent sur la haine et l’obscurantisme», écrivent le Crif Marseille Provence, le consistoire israélite et le Fonds social juif unifié en appelant à voter Estrosi.

    La présidente du Crif Paca Michèle Teboul s’est dite «sonnée» après le premier tour. «On s’y attendait (à l’arrivée du FN en tête, ndlr), mais pas de manière aussi écrasante». Elle a dit reconnaître l’«immense sacrifice» que représente «l’absence de tout représentant de gauche au Conseil régional pendant six ans». Elle a également fait part de son inquiétude sur l’avenir du tissu associatif local en cas d’élection du Front national. «Si (Marion Maréchal-Le Pen) refuse l’aide aux communautés comme elle l’a dit, autant dire que notre travail au quotidien sera réduit à zéro», estime Michèle Teboul.

    «Tout ce travail de lien social, c’est fini!», s’exclame-t-elle. «Fermer, c’est ce qui va arriver à toutes les associations, les unes après les autres!». «Il va falloir que j’aille chercher des dons, des sponsors, pour chacune des activités du tissu associatif», ajoute-t-elle. «Là où on va avoir une grosse difficulté, c’est que, au dîner du Crif, une fois par an, toutes les autorités territoriales sont représentées. Est-ce que vous croyez que je vais inviter Mme Maréchal-Le Pen, si elle est élue? Jamais de la vie!», affirme-t-elle.

    Le Figaro

  • Cible de l’oligarchie : le catholicisme, pas l’islamisme. Par Guillaume Faye

     

    9 décembre 2015 par Guillaume Faye

    Les crèches sont interdites, le ramadan est subventionné. Malgré les attentats islamiques et l’invasion migratoire musulmane, c’est le catholicisme traditionnel français que déteste principalement l’oligarchie au pouvoir, parce qu’il est pour elle le symbole d’une tradition détestée. La hiérarchie de l’Église est souvent la complice silencieuse et suicidaire de cette démission phénoménale.

    La rupture symbolique avec le catholicisme

    À propos de la cérémonie solennelle organisée aux Invalides le 26 novembre, en hommage aux 130 tués dans les attentats islamiques du 13, François d’Orcival note : « La cour d’honneur des Invalides donne sur la cathédrale Saint-Louis, l’église du soldat. Napoléon n’aurait pas imaginé une cérémonie dans la cour sans Te Deum ou requiem dans l’église. […]Mais la République n’a jamais manqué de le faire pour ses soldats tombés au feu. Pas cette fois pour ses morts. Chacun a organisé de son côté sa cérémonie religieuse, à Notre Dame de Paris, à la Grande Synagogue, à la mosquée de Lyon, au temple…On dirait que la France, dans un lieu porté par l’Histoire comme les Invalides, a perdu la mémoire d’avoir été Notre Dame la France par dessus les siècles – ”la madone aux fresques des murs” ». (Valeurs actuelles, 26/11/2015 – 02/12).

    Cette analyse est intéressante. Le gouvernement français se déconnecte de la symbolique catholique avec laquelle les régimes républicains laïcs n’avaient jamais rompu. Ce choix avait une portée culturelle (l’identité catholique majoritaire d’une France couverte de son ”manteau d’églises”) et non pas religieuse. Mais l’immigration musulmane massive a changé la donne. Sans le dire, on n’ose plus se réclamer d’une référence catholique, de peur de s’aliéner la ”nouvelle population”. Dont on a peur.

    Le gouvernement et ses relais enjoignent aux maires de France d’interdire la crèche traditionnelle de Noël dans les lieux publics, d’abolir cette tradition pluricentenaire. Une telle position, faussement prise au nom de la ”laïcité”, est une éclatante hypocrisie, une manifestation de lâcheté et de soumission, surtout après les attentats meurtriers du 13 novembre. C’est sur les fêtes et symboles d’origine catholique que tape cette ”laïcité républicaine”, qui est d’une partialité sans gêne, tout simplement parce que la ”République” oligarchique redoute les populations immigrées musulmanes de plus en plus radicalisées, et qu’elle veut leur donner des gages. Logique de collaborateurs.

    Pourtant, la mairie de Paris – et bien d’autres – qui ont supprimé les crèches et les arbres de Noël, organisent aux frais du contribuable des fêtes et des repas de rupture du jeûne du ramadan, énorme entorse à la ”laïcité”. Et la maire de Paris, Mme Hidalgo, énonçait cette contre-vérité, le 8 juillet dernier : «  le ramadan est une fête qui fait partie du patrimoine culturel français ». Mais pas les crèches…Par ailleurs, à l’occasion des fêtes musulmanes (Aït el–Kébir, etc.) divers élus territoriaux ou régionaux, voire des membres du gouvernement, se rendent dans les mosquées pour participer à des festivités ou commémorations. À aucun moment les mêmes ne font la démarche réciproque pour les fêtes chrétiennes. Autrement dit, les autorités ”laïques” sont très soucieuses de l’islam mais négligent parfaitement les traditions catholiques. Deux poids, deux mesures,   

    Préférence islamique et hostilité anti–catholique

    Cette attitude indigne de soumission, remplit de joie et de mépris les djihadistes, réels ou dissimulés, ravis de voir les autorités leur faire des salamaleks. Il y a quelque chose – que la psychanalyse pourrait peut-être expliquer – de maladif, de morbide dans cette attitude, qui relève du syndrome de Stockholm : prendre faussement l’islam comme une partie de nos traditions pour essayer d’exorciser le danger, d’amadouer l’agresseur et l’envahisseur. Orchestrer la défaite et la reddition sans les nommer ainsi, pour sauver sa peau.

    L’idéologie dominante, qui se dissimule sous le concept très flou de ”laïcité”, prétend limiter l’influence ”religieuse” sur la société. Mais, comme on n’ose pas avouer que seule l’emprise musulmane est menaçante, on s’en prend, par procuration, à ce pauvre catholicisme, qui ne menace plus personne depuis longtemps. Outre l’offensive contre les crèches, on se souvient de la répression policière et de la diabolisation de la ”Manif pour tous” ou des ”Veilleurs” qui furent assimilés à une ”réaction catholique” insupportable et subversive. Le salafisme, lui, peut dormir tranquille. Bref, sous prétexte de vigilance envers les ”religions”, la pseudo laïcité républicaine n’ose pas s’en prendre sérieusement à l’islam mais charge un catholicisme affaibli et totalement inoffensif.

    Dans les émissions TV de palabres (talk shows), les reportages ou les feuilletons (series), surtout sur les chaînes du ”service public” (de propagande idéologique de gauche), le catholicisme traditionnel est soit ridiculisé, soit ignoré, soit caricaturé et dénoncé comme dangereux. La jeune réalisatrice Cheyenne–Marie Carron, auteur – entre autres – du film exceptionnel, L’Apôtre, qui retrace la conversion d’un musulman au catholicisme, et qui est repérée par les radars idéologiques officiels comme une artiste ”catholique”, n’obtient aucune subvention pour ses nouveaux projets en cours. Pourtant ces aides sont généreusement allouées à des réalisateurs politiquement corrects, sociologiquement copains et artistiquement médiocres, dont les productions sont à cent coudées en dessous des œuvres de Cheyenne– Marie Carron.

    Une tradition incorrecte et nauséabonde…

    Les défilés des ”Manif pour tous”, comme le mouvement des ”Veilleurs”, manifestement représentatifs de la population catholique, ont été qualifiés de « France nauséabonde » par plusieurs élus ou cultureux de gauche. Et dans le même temps, le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, déclarait le 5 août 2014 : « ce n’est pas un délit de prôner le djihad, ce n’est pénalement pas répréhensible ». Non, pas grave…130 morts le 13 novembre. Le djihad, c’est autorisé et sympa. En revanche, le traditionalisme catholique et d’ ”extrême–droite”, c’est très dangereux.

    En France, les juges, en interprétant les lois, poursuivent l’affreuse ”islamophobie” mais pas la ”christianophobie”, parfaitement autorisée. Quand une mosquée est taguée (faits rarissimes), on assiste à une mobilisation judiciaire, mais quand des cimetières chrétiens ou des églises sont profanés (faits nombreux), le pouvoir ne s’émeut pas de ces faits divers. Quand l’universitaire et historien George Bensoussan dénonce sur la radio France Culture l’antisémitisme répandu dans les milieux arabo-musulmans, il est victime d’une cabale et d’ennuis judiciaires ; mais quand des sites Internet ou des revues salafistes (vendues souvent dans les grandes surfaces) se répandent en propos antisémites et antichrétiens avec souvent appels implicites au meurtre, personne ne bouge. Lâcheté et complicité font bon ménage.     

    Le ministère de la Culture, dirigé par une incompétente sans culture, a ordre de ne pas augmenter les subventions aux cathédrales et églises classées monuments historiques qui souvent menacent ruine ; en revanche, violant la loi de 1905, les municipalités et les régions financent par des moyens détournés la construction de mosquées, pour acheter la paix sociale et par clientélisme électoral. On tait aussi leur financement par des pays arabo-musulmans qui sont officiellement nos ”alliés”. Creuser sa propre tombe semble devenu un mot d’ordre. Mais les autorités catholiques paraissent indifférentes, congelées dans le mutisme.

    La grande faiblesse du catholicisme actuel

    En dépit des persécutions abominables contre les Chrétiens d’Orient – récurrentes dans l’Histoire –, que seule la Russie essaie de défendre, la hiérarchie catholique et vaticane donne l’impression de fermer les yeux ; elle garde un silence prudent, en tout cas ne se mobilise pas sérieusement. Le Pape François appelle à l’accueil des ”migrants”, en immense majorité musulmans. Il insiste davantage sur la solidarité avec nos ”frères” musulmans que sur l’affreux scandale des persécutions antichrétiennes dans tout le monde musulman. Étant païen aristotélicien, sans vouloir entrer dans les arcanes d’un débat théologique sur la ”charité” chrétienne qui m’est totalement étranger, j’estime cette position à la fois illogique, absurde et suicidaire.

    De même, l’Église de France n’a jamais émis le moindre commentaire sur l’islamisation du pays, laissant entendre qu’elle y serait plutôt favorable. On marche sur la tête. En France, le catholicisme subit un déclin majeur dans ses pratiques rituelles et ses vocations de prêtres, alors que l’islam progresse à grande vitesse. Sa pratique fait boule de neige et se radicalise, le wahhabisme et le salafisme gagnant partout du terrain. On a l’impression que l’Église catholique est paralysée, comme le moineau face au serpent.   

    Cette haine suintante des racines de la France – et de l’Europe –qu’elles soient chrétiennes ou païennes, a des origines marxistes et trotskistes, en particulier. Elle est relayée par l’islam. C’est pourquoi, il est objectivement juste de parler d’ ”islamo-gauchisme”. Simplement, les trotskistes ne feront pas le poids face à l’islam dont ils sont les idiots utiles. 

    Certains commentateurs parlent, malgré tout, d’un renouveau du catholicisme en France, par un effet de réactivité. On attend de voir. Pour combattre l’emprise de l’islamisation, il n’est pas sûr que le sentiment chrétien soit suffisant. Il existe un Plan B, peu charitable, qui s’inspire d’une tradition beaucoup plus ancienne que le christianisme. Et là, pour reprendre une expression de Nietzsche, « il faudra que cesse toute forme de plaisanterie ». Voilà les pièces du puzzle. La solution de l’équation sera plus dure que tout ce que les barbares pratiquent et imaginent.   

    1. Les commentaires sur la poussée du FN ne seront publiés qu’après le deuxième tour des élections régionales.