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GAELLE MANN - Page 602

  • LE PHILOSOPHE ET LES CRÉTINS

     

    LE PHILOSOPHE ET LES CRÉTINS - Les crétins s'excitent parce qu'ils sont à genoux !

    Les crétins s'excitent parce qu'ils sont à genoux !



    Michel Lhomme
    le 10/03/2015
    S'il y a en ce moment une confrontation, c'est bien celle-là : celle du philosophe et des crétins, les crétins de gauche qui sont paniqués de voir comme le souligne Alain de Benoist dans l'entretien au journal Le Point , le sol du pouvoir se dérober sous leurs yeux.

    Il faut en effet le dire et nous l'avons dit ici à plusieurs reprises , le système perd les pédales car il ne contrôle plus rien. Tout est en roue libre et plus personne, même chez les élites de gauche et surtout d'ailleurs dans les élites de gauche, ne croit plus aux discours. Vue de loin, la France est brisée non seulement économiquement par les choix irrationnels d'hier - la désindustrialisation - comme ceux d'aujourd'hui - la transition énergétique - mais plus grave, elle s'effondre intellectuellement par son délire fascisant, voyant des nazis partout, y compris chez les libraires ou les philosophes. 

    Dans la confrontation du jour (Alain de Benoist, Michel Onfray contre Manuel Valls ou Le Guen, la « mafia de gauche » comme désigne si bien Michel Onfray ceux que nous appelons ici les ''solfériniens"), il y a de l'hystérie dépressive, de la paranoïa latente mais surtout et avant tout un refus du penser, une démission du penser. Or, ce refus, cette démission du penser qui consiste par exemple à ne pas vouloir discuter avec le GRECE ou le Front National, à dénoncer en permanence les intellectuels ou professeurs qui franchiraient la ligne jaune, est une maladie incurable. 

    Cette maladie couvait depuis longtemps, depuis le tournant « libéral » de 83, l'idéologie antiraciste mièvre de "Touche pas à mon pote", depuis la pitoyable et sirupeuse « culture de gauche », ou  le totalitarisme de l'édredon (l'homosexualité à tous les étages). La Gauche, les élites de gauche c'est-à-dire en gros tout le corps enseignant ont ainsi abandonné toute forme de lucidité critique. Mais sans lucidité critique, la culture s'effondre sous son propre poids. C'est exactement ce qui arrive à la France, pays pourtant si cultivé. Elle ne pense plus, pire se refuse à penser. Non seulement, Manuel Valls n'a jamais lu une seule ligne d'Alain de Benoist - ni d'Onfray sans doute - mais il lance un appel sournois à ne pas lire exactement comme cet inspecteur qui réprimandait une professeur de français parce qu'elle faisait « trop lire » ses élèves et risquait du même coup de leur faire « adopter des habitudes élitistes » . Nous avions évoqué ici-même le propos d'une inspectrice de philosophie qui réprimandait un jeune stagiaire parce qu'il donnait à travailler à ses élèves un texte de Kant en classe technologique. Or, ce qu'oublie le pouvoir  - et il faudrait sur ce point reprendre à la lettre les Sophistes si décriés - c'est qu'on ne gouverne pas par la force mais par les mots c'est-à-dire les idées et la pensée. Un pouvoir qui ne pense plus, qui pire en appelle à ne plus penser est un pouvoir mort, un pouvoir nu, un pouvoir abandonné.

    Mais disons autrement et plus positivement : ils sont coléreux parce qu'ils savent qu'ils ont déjà perdu. C'est comme la mer, - qui ne contrôle pas la mer, ne contrôle pas le monde - : qui a perdu le terrain des idées a perdu le pouvoir. La situation est donc pour le moins paradoxale. Le problème des Français est économique,  et le gouvernement répond intellectuellement, crie à l'aide, en appelle aux élites « cultivées » contre le peuple (de gros veaux qui ne savent forcément pas voter !). C'est ainsi, quand tout s'effondre, qu'on croit encore pouvoir s'accrocher aux idées progressistes qu'on a pourtant en permanence toujours trahies sans se rendre compte que ces trahisons soutenues hier, ont du coup rendues obsolètes toutes ces idées.
     
    Le roi est nu, oscillant entre le ressassement édulcoré des anciennes utopies de sa jeunesse et le constat désenchanté de l'état présent du pays. Il devient dès lors colérique, hystérique, nerveux, capable de frapper demain sur quiconque contesterait son angélisme à la croisée des chemins. Mais il est sans bataillon républicain. Il n'y a plus personne même chez les élites de gauche pour rédiger les argumentaires, militer au sens noble du terme, coller les affiches, plus personne capable de soutenir le débat et d'élever la contradiction. Ils ne pensent plus mais dénoncent, insultent, en fait s'excitent pour un rien.

    Souvenez-vous : De Gaulle et les Sartriens. Quand on attaque les philosophes, c'est qu'on a déjà perdu.

    Illustration en tête d'article : Alain de Benoist et Michel Onfray
     
    METAMAG
  • Face à l’esprit du 11 Janvier, opposons-leur l’esprit de 732 !

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    10/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Plusieurs semaines ont passé depuis les attentats qui ont frappé la France en Janvier dernier. Politiques et médias ont fait feu de tout bois pour mettre en avant « l’esprit du 11 janvier », une sorte de fierté collective qui aurait été acquise dans la douleur –à n’en pas douter- et qui aurait forgé l’unité nationale, renforcée après cette terrible épreuve. Cette opération commando menée par l’Elysée et ses relais (le Parti Socialiste et la gauche en général) est l’exemple parfait de ce que peut être une manipulation médiatico-politique. Les responsables politiques, censés rendre des comptes après un tel échec, ont pris la tête d’une manifestation dont l’objectif était principalement de masquer cet échec cuisant, et de créer un sentiment d’unité factice pour éviter l’implosion du pays. La France avait été attaquée par l’Islam radical, et on manifestait contre l’islamophobie et l’amalgame. La France avait été attaquée par les fils de l’immigration musulmane, et on allait exclure –par l’intermédiaire du Front National- la seule force politique majeure qui remettait en question la politique d’immigration.

    « L’esprit du 11 janvier » se résumant au syndrome de Stockholm, où la victime éprouve de la compassion envers son bourreau. Cette manipulation politique ayant fonctionnée après le choc, Génération Identitaire lance aujourd’hui la campagne « JE SUIS CHARLIE MARTEL », pour mettre en avant un autre esprit, qui plonge ses racines dans la plus longue mémoire du roman national et de la civilisation européenne : l’esprit de 732 !

    Cette nouvelle campagne a pour objectif de briser la fatalité ambiante que nous servent les politiques au pouvoir : l’Islam et les musulmans feraient partie intégrante de notre société, et il va falloir trouver des solutions pour pouvoir « vivre ensemble », et confectionner de toutes pièces un « Islam de France » compatible avec la République. Pendant que ces discours utopiques occupent les politiques, les Français trinquent : attaquent à l’arme blanche à Joué-Les-Tour, en voiture à Dijon et à Nantes, avant le carnage de Charlie Hebdo et de la porte de Vincennes. Génération Identitaire représente ces jeunes Français qui refusent que leur société ait pour seul avenir la violence terroriste. Pour lutter efficacement contre un fléau, il s’agit premièrement de bien le nommer. Le débat politique a trop souvent été tronqué par l’utilisation de mots qui masquent la réalité, notre campagne vient dénoncer ce mal qui ronge notre société : la fracture ethnique.

    Oui, ces actes terroristes sont bien le fruit d’une fracture ethnique qui est en train de diviser la France en deux. Une fracture entre le peuple autochtone (français et européens de souche) et les populations issues de l’immigration maghrébine et africaine, dont l’unité est scellée par le ciment de l’Islam. L’islam radical n’aurait pas frappé la France s’il n’y avait pas eu de musulmans dans notre pays. Il n’y aurait pas eu de musulmans en France si nous n’avions pas subi 60 ans d’immigration massive et incontrôlée. L’Histoire est souvent expliquée par des faits simples, des rapports de force entre peuples différents défendant leurs intérêts, leurs modèles ou s’évertuant à survivre. Alors que les politiques actuels tentent d’apporter des solutions techniques pour « rattacher les banlieues sensibles à la République » à coup de milliard s d’euros, nous avons vocation à pointer la dimension purement identitaire du problème : deux peuples, les européens autochtones d’un côté et les descendants d’immigrés extra européens de l’autre, aux identités si différentes, ne peuvent pas vivre en paix sur une même terre. Renouer avec l’esprit de 732, c’est prendre conscience de cette dimension purement identitaire de la problématique actuelle.

     

    Cette problématique identitaire n’est pourtant pas si compliquée à concevoir. Elle est le fruit de l’observation du réel : dans nos écoles où les jeunes issus de l’immigration musulmane refusent de participer à la minute de silence en l’hommage aux victimes ; sur les réseaux sociaux, où #JeSuisKouachi concurrence #JeSuisCharlie , les signes du refus de l’intégration et de la manifestation de la prédominance de l’Islam sur les « valeurs républicaines » sont systématiques. En plus d’une observation de la réalité, elle est aussi une observation de l’Histoire. L’Europe du sud connait depuis des siècles des affrontements contre ceux qui veulent l’envahir. Que ce soit Charles Martel face aux musulmans, les Balkans envahis par les Ottomans, ou les Maures en Espagne et en Méditerranée, l’Europe a toujours été condamnée à se défendre pour survivre. L’Histoire est un éternel ressac. L’esprit de 732 c’est aussi ça, être conscient que l’Histoire ne s’est jamais arrêtée, et que nous ne sommes jamais « sortis de l’Histoire » comme l’ont théorisé certains. C’est d’ailleurs l’Etat Islamique lui-même qui nous le rappelle dernièrement, en affirmant être « aux portes de Rome » depuis leur installation sur les côtes libyennes.

    L’esprit de 732, c’est aussi renouer avec la conscience de soi, la conscience du « nous », la conscience de peuple. Nous savons que c’est face à l’altérité et au danger que la conscience de peuple se réveille. Cette conscience de peuple ne saurait se résoudre à un « contrat social », auquel chacun peut adhérer d’où qu’il vienne et dans n’importe quelle proportion. L’esprit de 732 invoque volontairement Charles Martel, car nous savons que la crise identitaire qui frappe notre pays ne peut pas être résolue par des meusurettes emprunts de frilosité politique. Ce sont bien des choix historiques qu’il faudra faire pour envisager un avenir serein et pacifié. Pour ce faire, notre peuple doit se reposer sur ses fondements, son identité, son histoire et sa longue mémoire. Il en va de même pour tous les peuples du monde. Un peuple qui oublie ses racines est un peuple voué à disparaître. Charles Martel est un symbole de résistance face à une invasion violente qui menaçait notre civilisation en voulant en imposer une autre. Les événements de janvier 2015 nous prouvent que des événements similaires peuvent avoir lieu à nouveau sur notre terre. Alors oui, si certains se complaisent dans la posture du « Je suis Charlie », oui, nous, nous sommes Charlie Martel. Oui, nous savons que la Remigration –le rétablissement sur leur terre d’origine- de ces populations hostiles à notre civilisation sera au centre du débat politique de demain. Les identitaires sont les seuls à proposer une solution politique durable à ce problème majeur. Les « 26 mesures pour une politique de l’identité et de la Remigration » sont là pour le prouver : seul le courage politique permettra d’en finir avec la crise identitaire qui se déroule sous nos yeux, avant que l’Histoire, parfois tragique, ne ramène à la réalité les plus naïfs d’entre nous.

    Arnaud Delrieux pour Novopress

  • Une pétition pour débaptiser l’hôpital Charles Richet de Villiers-le-Bel

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    16h10

     


    C’est une banale recherche sur internet qui a conduit Paola Charles-Manclé à découvrir les thèses racistes défendues par Charles Richet, physiologiste français et lauréat du prix Nobel de médecine en 1913. Depuis, elle se bat pour débaptiser l’hôpital situé à Villiers-Le-Bel qui porte le nom du médecin. (…)

    Car Charles Richet, Prix Nobel de médecine 1913 pour ses travaux sur l’anaphylaxie, est aussi l’auteur de thèses racistes. Dans L’Homme stupide (1919), il affirme : « Voici à peu près trente mille ans qu’il y a des Noirs en Afrique, et ils n’ont pu aboutir à rien qui les élève au-dessus des singes. » Ou encore : « Les nègres continuent, même au milieu des Blancs, à vivre une existence végétative, sans rien produire que de l’acide carbonique et de l’urée. Crédules, obscènes, frivoles, paresseux, menteurs, ils déshonorent l’espèce humaine. (…)

    La pétition qui a recueilli 30 000 signatures, porte finalement ses fruits. Le conseil municipal de Villiers-le-Bel s’apprête à voter fin mars le changement de nom de la rue où est situé l’établissement. Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, s’est également montré réceptif même si dans les faits, l’opération pourrait se heurter à un obstacle budgétaire.

     Jeune Afrique

    Merci à susu

    FDS

  • Marion Maréchal-Le Pen: Question à Manuel Valls sur les attaques contre le Front National et ses candidats - Le Premier ministre sort de ses gonds!

  • Un tweet de Jean-Marie Le Pen

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  • Afrique du Sud : 3389 blancs doivent prendre la porte de la compagnie d’électricité

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    10/03/2015-Johannesburg (NOVOpress)

    Eskom, première compagnie sud-africaine d’électricité et dixième fournisseur au monde a reçu un ultimatum pour réduire son nombre d’employés blancs de 44,3 % au cours des cinq prochaines années. Cela signifie que 3 389 blancs devront prendre la porte. Cette demande fait partie du programme fédéral « Black Empowerment ».

    Pendant des années Eskom a été poussée à n’engager que des non-blancs. La firme déclare d’ailleurs que c’est un souci majeur que de trouver des candidats non blancs assez qualifiés. Actuellement les cadres intermédiaires chez Eskom sont à 30 % blancs et à 21% pour sa main-d’œuvre qualifiée.

    Parmi les 3 389 employés qualifiés de race blanche dont va se séparer Eskom, 1 081 sont des ingénieurs et des administratifs, afin d’améliorer sa politique de discrimination positive vers les hauts postes.

    Ces détails proviennent du syndicat Solidarity  –  principale représentation des salariés en Afrique du Sud – qui précise que service public d’électricité reflétera alors la démographie nationale au 31 mars 2020.

    “Selon ces objectifs, il y a environ 3 400, soit 44 %, d’employés de race blanche en trop chez Eskom. Les niveaux d’emploi qui seront les plus durement touchés sont ceux de spécialistes expérimentés et de cadres intermédiaires. Les syndicats doivent maintenant être consultés sur les nouveaux plans d’Eskom,” a ajouté Dirk Hermann le directeur général de Solidarity.

    “Nous sommes complètement abasourdis par ces nouvelles demandes. Eskom connaît actuellement une crise et nous, ainsi que d’autres syndicats, devons maintenant travailler avec eux sur ces mesures très agressives. On devait plutôt parler avec eux sur des solutions à trouver pour faire face à la crise actuelle. »

    Solidarity a déclaré que les postes visés sont d’une importance cruciale pour Eskom qui doit déjà faire face à des plans sociaux en série.

    « Sur les 3 400 blancs environ qui doivent partie, 3 200 occupent des postes critiques aux niveaux techniques et managériaux, » précise Hermann.

    Eskom étalera son objectif de 2020 sur cinq ans, selon des objectifs annuels par type de d’emploi, ajoute Solidarity.

    Citant la documentation d’Eskom, le syndicat a déclaré que la démographie provinciale pourrait également rentrer en compte lors de la détermination des postes.

    “Dans le cas d’Eskom cela peut aggraver la perte de compétences techniques. La majorité des centrales électriques du groupe est située dans le Mpumalanga. Dans cette province les Africains noirs constituent 90,8 % de la population totale,” dit-il.

    En supposant que 1 000 personnes travaillant dans une centrale électrique, cela signifierait que seuls d’entre eux 92 peuvent être Blancs ou Indiens.

    Dans le Limpopo, où se trouvent de nouvelles centrales telles que celle de Medupi, 95,4 % des habitants sont des noirs africains. Dans ce cas seulement 46 employés pourraient être blancs ou Indiens par tranche de 1 000 salariés.

    « La priorité absolue d’Eskom est que les lumières s’allument, » a déclaré le parti de la DA (Democratic Alliance – parti anti apartheid) dans un communiqué ce dimanche (9 mars).

    « Jouer la carte de la victimisation raciale ne servira à rien pour justifier des dysfonctionnements qui au final, pénaliseront les sud-africains pauvres et pour la plupart noirs. Les plans sociaux sont désormais une réalité quotidienne et touchent durement les plus défavorisés et la DA demande à Eskom d’utiliser les compétences de tous ses ingénieurs pour trouver une solution aux difficultés actuelles au lieu d’aggraver le problème. “

    Le parti politique a cependant noté que l’Afrique du sud est confrontée à une grave pénurie d’ingénieurs. Le ministre des Sciences technologiques, Naledi Pandor, a récemment déclaré que malgré le nombre élevé d’étudiants inscrits chaque année en ingénierie, l’Afrique du Sud ne produit environ que 1 500 ingénieurs diplômés par an – dont seulement la moitié va travailler sur le terrain.

    Le ministre a ajouté que la pénurie de professionnels en ingénierie signifie que nous n’avons pas assez de professionnels disponibles pour les travaux en cours. Et cela ne tient pas compte des dernières instructions de ce gouvernement décidément très populiste.

  • VIDEO - Bruno Gollnisch contre la meute anticomplotiste

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Bruno-Gollnisch-contre-la-meute-anticomplotiste-31567.html

  • Chômage: "Il serait peut-être temps de copier les Américains" (Marc Fiorentino)

    Ajoutée le 9 mars 2015

    Marc Fiorentino s'est penché sur la baisse spectaculaire du chômage aux États-Unis. Selon lui, aux États-Unis, en Allemagne, on se rapproche de plus en plus du plein-emploi, tandis qu'en France, le chômage atteint des records, mais personne ne réagit. De ce fait, il serait peut-être temps de copier les Américains, ou au moins les Allemands. - Good Morning Business, du 9 mars, sur BFM Business

  • VIDEO Marion dénonce le "florilège de crapules UMP" dans l'Essonne et parle de l'enquête envisagée par Martin Schulz


    Marion Maréchal-Le Pen dénonce le "florilège... par FranceInfo

  • Soupçons de fraude inédits contre le FN au Parlement européen

     

     
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    STRASBOURG (Reuters) – Les soupçons de fraude relative aux conditions d’emploi de vingt assistants parlementaires du Front national au Parlement européen constituent une première, à cette échelle, dans l’histoire de l’institution.

    Le parti d’extrême droite y voit pour sa part un coup de pouce de l’Allemand Martin Schulz, président social-démocrate du Parlement de Strasbourg, au gouvernement français, à moins de deux semaines des élections départementales.

    « C’est la première fois qu’on est confronté à des cas de fraudes supposées dans de telles proportions. Il y a eu des précédents, mais ça concernait des députés à titre individuel, a dit mardi à Reuters Jaume Duch, porte-parole de l’institution.

    Martin Schulz a saisi lundi l’Olaf, l’Office européen de lutte antifraude, du cas de ces vingt assistants parlementaires qui travailleraient essentiellement pour le parti de Marine Le Pen et non pour ses 23 eurodéputés.

    L’Olaf devra évaluer le bien-fondé de la dénonciation, dans un délai de un à deux mois. Si elle décide alors de lancer une enquête, celle-ci pourrait prendre un à deux ans, selon les statistiques de l’institution.

    Les députés européens peuvent recruter un ou plusieurs assistants parlementaires jusqu’à concurrence d’une somme mensuelle de 21.379 euros. Certains sont dits « accrédités » s’ils secondent le député au sein des institutions européennes, les autres, chargés d’animer la permanence parlementaire, sont qualifiés de « locaux ».

    Les accusations du Parlement se fondent sur la consultation de l’organigramme de la direction du Front national, publié en février, où apparaissent vingt assistants, quatre accrédités et seize locaux, selon un communiqué.

    Parmi les locaux, « dix ont conclu un contrat de travail qui indique comme adresse d’exécution l’adresse du siège du Front national à Nanterre », précise le Parlement.

    PEUT-ÊTRE 7,5 MILLIONS D’EUROS DE PRÉJUDICE

    Comme le révélait Le Monde, lundi soir sur internet, le préjudice pour le budget communautaire pourrait atteindre 7,5 millions d’euros si la fraude était avérée, soit le montant des salaires litigieux durant cinq années de mandat parlementaire.

    « Nos assistants sont très souvent des gens qui militent pour leur parti et pour ses idées, ce qui est encore autorisé en euro-dictature », a justifié à Reuters Florian Philippot, député européen et vice-président du parti.

    Il a précisé que certains travaillaient seulement à mi-temps au sein du parti.

    « M. Schulz (…) a appliqué à la lettre les ordres de M. (Manuel) Valls qui hier expliquait qu’il fallait que les élites se mobilisent contre le Front national », a pour sa part réagi Marion Maréchal-Le Pen sur France Info.

    « C’est de l’acharnement politique, évidemment, en période électorale », a-t-elle estimé, alors que des sondages placent le parti de Marine Le Pen en tête des intentions de vote pour le premier tour des départementales, le 22 mars.

    Le Parlement européen brandit de son côté les mesures d’application du statut des eurodéputés qui prévoient que « seuls peuvent être pris en charge (par le budget européen) les frais correspondant à l’assistance nécessaire et directement liée à l’exercice du mandat parlementaire des députés ».

    Les salaires versés aux assistants par le Parlement « ne peuvent servir directement ou indirectement à financer des contrats établis avec des groupes politiques du Parlement ou des partis politiques », précise ce règlement.

    Le statut des assistants a fait l’objet de plusieurs réformes visant à moraliser un domaine longtemps marqué par l’opacité et l’emploi de membres de la famille de l’eurodéputé.

    Il a fallu attendre 2001 pour que les parlementaires soient tenus de produire un contrat de travail et le justificatif de paiement des charges sociales pour bénéficier des indemnités.

    Depuis 2009, les assistants sont rémunérés directement par le Parlement et assimilés à une catégorie particulière de fonctionnaires.

    (Gilbert Reilhac avec Sophie Louet à Paris, édité par Yves Clarisse)

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Marion Maréchal-Le Pen pointe "un florilège de crapules UMP" dans l'Essonne

    http://www.leparisien.fr/politique/marion-marechal-le-pen-pointe-le-florilege-de-crapules-ump-dans-l-essonne-10-03-2015-4591401.php

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  • Israël : un archéologue dit avoir découvert la maison de Jésus

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    Europe 1Noémi Marois Publié à 22h48, le 08 mars 2015, Modifié à 17h46, le 09 mars 2015

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    ARCHÉOLOGIE - Un archéologue britannique avance avoir retrouvé la maison où a grandi Jésus à Nazareth, en Israël. (en Palestine)

    Une découverte tellement incroyable qu'on peine à y croire. Et pourtant. Ken Dark, archéologue britannique de la Reading University, pense avoir mis la main sur les ruines de la maison de Jésus. C'est ce que nous enseigne son compte-rendu de fouille, publié en mars dans la revue Biblical Archaelogical Review et rapporté par le Huff Post américain. Selon le Nouveau Testament, Jésus, né à Béthléem, a passé son enfance à Nazareth, en Galilée, au nord d'Israël.

    De nombreux objets retrouvés. Débutées en 2006, les recherches menées par le Britannique ont révélé une maison creusée dans du calcaire, à flanc de colline. Les scientifiques ont découvert une avant-cour, une série de pièces et d'escaliers ainsi qu'un sol en partie dans sa forme originale. Une des portes d'entrée a même été retrouvée intacte. De nombreux objets ont également été dégagés dont un pot de cuisine. Deux tombes de l'époque encadrent enfin le site.

    S'il n'est révélé qu'aujourd'hui, le site était connu depuis le 19e siècle, quand des nonnes l'avaient découvert sous une église, dans leur couvent de Nazareth. Mais ce n'est qu'avec le lancement de la mission britannique que des fouilles plus approfondies ont pu être menées.

      

    Un faisceau d'indices troublants. Ken Dark avance qu'il ne peut pas formellement prouver que Jésus a grandi dans cette maison. "Il est toujours très difficile de relier des preuves archéologiques à des personnes spécifiques", explique-t-il. Cependant, un faisceau d'indices lui permet de supposer fortement que les pierres dégagées ont vu évoluer le Messie des chrétiens, ainsi que ses parents, Joseph et Marie.

    Premier indice, Ken Dark a découvert qu'une partie des ruines de la maison ont été réutilisées pour être incorporées, durant le Moyen-Âge, dans des constructions d'églises. Ce qui voulait dire, selon l'archéologue, que cette maison avait une valeur particulière aux yeux des religieux de l'époque. "De grands efforts ont été faits pour inclure les vestiges de ce bâtiment. À la fois les tombes et la maison ont été décorées de mosaïques à l’époque byzantine, ce qui laisse penser qu’elles étaient d’une importance spéciale, et peut-être vénérées ", précise l'archéologue dans la revue Biblical Archaeological Review.

    Deuxième indice, Ken Dark se base, pour appuyer son hypothèse, sur un texte datant du 7e siècle. Le livre Au sujet des lieux saints, écrit en 670, raconte le voyage en Palestine d'un moine franc. La maison de Jésus à Nazareth y est décrite : située entre deux tombes et sous une église. Ce qui concorde avec le résultat des fouilles archéologiques. Enfin, des méthodes archéologiques classique ont permis au chercheur de dater la maison au 1er siècle après le début de l'ère chrétienne.

  • Mantes-la-Ville (78) Le maire FN retire à la LDH son local municipal - Une adhérente de la LDH "dérape" gravement

    http://www.fdesouche.com/573355-mantes-la-ville-78-la-mairie-fn-retire-la-ldh-son-local-municipal

  • Gueule de haine

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  • [Tribune libre] Ukraine : Les Etats-Unis veulent la guerre… sur le sol européen

     par MUSAVULI
    vendredi 6 mars 2015

     

    On ne devrait plus se bercer d’illusions sur les intentions des dirigeants américains : ils veulent la guerre. Une guerre qui doit se dérouler sur le Vieux Continent et qui doit entraîner le plus d’Européens possible dans une confrontation militaire avec la Russie. Les Ukrainiens, sauf un grand sursaut des masses populaires, devraient se résigner à voir leur pays servir durablement de champ de bataille à ce conflit des grandes puissances dont les enjeux leur échappent, depuis qu’ils ont perdu le contrôle des manifestations « Place Maïdan », un soir de février 2014. 

     

    Soldats américains en Lithuanie 

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    De l’EuroMaïdan à l’escalade militaire

    En tout cas, les derniers développements aux Etats-Unis ne sont guère rassurants. Un an après les manifestations de l’EuroMaïdan, odieusement dévoyées par « des atlantistes  », les États-Unis ont officialisé la décision d’envoyer en Ukraine quelques 600 parachutistes appartenant à la 173ème brigade aéroportée. L’annonce a été faite lundi dernier par le colonel Michael Foster, commandant de la brigade, et confirmée par Ben Hodges, haut commandant des forces américaines en Europe. Les premières unités combattantes de la brigade devraient se poser en Ukraine d’ici le 8 mars. Officiellement, pas pour combattre, mais pour former les troupes ukrainiennes (en débâcle dans le Donbass) au maniement des armes américaines en voie d’expédition[1].

    Au sujet, justement, de l’expédition des armes américaines à Kiev, on sait qu’elle entraînerait réciproquement l’accroissement des moyens militaires des républiques autonomes de l’Est (Donetsk et Lougansk) par Moscou. Parce que, pour la Russie, il est hors de question que les forces des pays de l’OTAN se déploient jusque sur les frontières russo-ukrainiennes, et ils n’ont pas tort. Les Russes n’ont jamais digéré d’avoir été bernés par les Occidentaux en marge de la réunification allemande[2]. C’est pour essayer de contrer ce risque d’escalade militaire que la France et l’Allemagne ont décidé, début février dernier, d’entrer directement en contact avec Vladimir Poutine, sans consulter Washington. Il s’agissait de rassurer le chef du Kremlin sur le fait que Français et Allemands s’opposeront à l’envoi en Ukraine des armes américaines[3]. Le président russe s’est montré ouvert aux propositions franco-allemandes, et accepté les Accords de Minsk II[4] du 11 février 2015. Le hic avec Minsk II est qu’il y avait deux grands absents : les Britanniques et les Américains. N’étant pas liés par ces accords, ils vont continuer d’attiser le conflit.

    Il faut vous entretuer pour l’Amérique

    Dix jours seulement après la signature des Accords de Minsk, David Cameron annonçait l’envoi de soldats britanniques en Ukraine. Une semaine plus tard, John Sawers, l’ancien patron du MI16, (sorte de CIA britannique) affirmait que « la guerre contre la Russie ne fait que commencer »[5]. Avec l’envoi des unités de combat en Ukraine par les USA, les Britanniques sont ainsi rejoints par leurs cousins américains qui tiennent à ce que la situation continue de se dégrader et qu’elle finisse par dégénérer. Bien évidemment, les armées américaines et britanniques ne vont pas s’engager en première ligne contre l’armée russe. Ce déploiement atlantiste vise plutôt à entretenir durablement un climat de haine entre populations, un environnement de violence permanente et de désolation.

    Une des stratégies utilisées par les fauteurs de troubles états-uniens contre les pays qu’ils ciblent consiste à frapper directement les populations soit par des violences aveugles, soit pas des embargos, soit par des humiliations en mettant systématiquement ces drames collectifs sur le dos de l’« ennemi » qu’ils se sont choisis. Il ne faudrait pas s’étonner si les populations russes/russophones des pays frontaliers deviennent la cible des tueries aveugles et des famines provoquées volontairement, ce qui les amènera à demander de plus en plus l’aide de Moscou. Une aide que Poutine ne pourra pas durablement leur refuser, au risque de se mettre à dos les Russes de l’intérieur[6]. Sauf qu’en intervenant davantage en Ukraine ou, le moment venu, dans les pays baltes, le président russe deviendrait un « agresseur ». Exactement l’image que les médias occidentaux et les dirigeants d’outre-Atlantique s’emploient à lui coller à la peau. Dès lors, des forces européennes, plus ou moins officiellement, chemineraient vers les « pays agressés » par la Russie. Le début d’un engrenage meurtrier au cœur de l’Europe.

    Face à ces agissements américains, on est tenté de dire : ils sont fous ces Américains ! Pas du tout. En réalité, les Etats-Unis, une puissance à bout de souffle, misent sur le conflit ukrainien pour entraîner le plus d’Européens possible dans une confrontation militaire avec la Russie[7]. Le pari est que, sauf usage d’armes stratégiques (scénario suicidaire), le sol américain devrait être préservé des ravages de cette guerre qui commence. Lorsque tout cela sera fini, Européens et Russes, quel que soit le camp qui l’aura emporté sur l’autre, seront ruinés économiquement, voire exsangues. Comme à l’issue de la Première et de la Seconde Guerre mondiale, il ne restera qu’une puissance d’ultime recours : les Etats-Unis d’Amérique.

    Des milliards de dollars de contrats de reconstruction, une remise sous tutelle des nations européennes et la préservation, par l’Amérique, de son statut de « superpuissance planétaire ».

    Boniface MUSAVULI

    AGORA VOX

     

    (merci à Dirk)

     

    [2] Le 9 février 1990, James Baker, secrétaire d'Etat américain (de George Bush), avait assuré à Mikhaïl Gorbatchev que l'alliance occidentale n'étendrait "pas d'un pouce" son influence vers l'Est si Moscou acceptait que l'Allemagne réunifiée entre dans l'Otan. Le lendemain, 10 février, Hans-Dietrich Genscher, le ministre allemand des Affaires étrangères, refit cette promesse à Edouard Chevardnadze, son homologue russe : « l'Otan ne s'étendra pas à l'Est ». Mais depuis, la Pologne, la République Tchèque, la Hongrie, la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie, la Lituanie, la Lettonie et l’Estonie ont adhéré à l'Otan. Avec les événements de l’EuroMaïdan, l’enjeu était, entre autres, de faire également entrer l’Ukraine dans l’Otan. Cf. http://www.courrierinternational.co...

    [3] C’est en tout cas ce qu’assure le journaliste italien Giulietto Chiesa : https://www.youtube.com/watch?v=1w6...

    [4] Parce qu’il y a eu Minsk I, Protocole signé le 11 septembre 2014, et qui ne fut pas respecté.

    [7] Provoquer un conflit brutal entre Européens et Russes permet aux Américains de se prémunir contre une éventuelle alliance stratégique entre Européens et Russes, alliance qui entraînerait de fait la fin de l’hégémonie américaine. Dans Le Grand échiquier de Zbigniew Brzezinski (1997), où il est question, entre autres, de « briser la Russie » en trois entités (une Russie européenne, une république de Sibérie et une république extrême-orientale), il est également question de cultiver la docilité des « sujets protégés » et d’empêcher les rivaux potentiels de former des alliances offensives. Un rapprochement stratégique entre la Russie et les nations européennes (sujets protégés) est ainsi un scénario que les tenants de l’hégémonie états-unienne n’admettraient en aucune manière. 

  • Dernière "trouvaille" contre le FN? Le Parlement européen enquête sur 20 assistants parlementaires pour fraude et emplois fictifs

                                                        6Medias 09-03-2015 - 21:45

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    Les instances de l'institution ont saisi l'Office européen de lutte anti-fraude. Elles soupçonnent 20 assistants parlementaires siglés Front national de ne pas travailler pour le Parlement. Le FN dénonce une démarche dictée par Manuel Valls.

    Le Front national doit faire face à une nouvelle procédure compromettante. C'est ce que révèle Le Monde, ce lundi 9 mars : les instances du Parlement européen ont saisi l'Office européen de lutte anti-fraude à propos de 20 assistants parlementaires rattachés aux 24 députés européens du parti frontiste. La formation politique dirigée par Marine Le Pen doit déjà faire face à une enquête judiciaire à Paris pour blanchiment en bande organisée.

    Le Monde apporte des détails sur les postes occupés par certains assistants : cinq sont conseillers spéciaux de Marine Le Pen et trois oeuvrent aux côtés du président d'honneur frontiste, Jean-Marie Le Pen. Seulement voilà : ces assistants sont fortement suspectés de ne jamais travailler sur le front européen. Or, tous sont rétribués par le Parlement. Selon Le Monde, l'un d'eux reçoit mensuellement 10 535 euros.

    Un préjudice de plus de 7,5 millions d'euros ?

    Ces pratiques allant à l'encontre de la morale et du règlement intérieur interne du Parlement européen, le président de l'institution, Martin Schulz, a saisi les organes d'enquête sur cette possible fraude. Le préjudice se chiffrerait au-delà de 7,5 millions d'euros. Le dirigeant social-démocrate allemand a par ailleurs adressé un courrier à la ministre de la Justice française, Christiane Taubira, pour l'avertir de son initiative. Selon les éléments qui seront révélés ou non par l'enquête, le parquet national financier pourrait se saisir du dossier.

    La présidente du FN n'a pas tardé à réagir. Sur Twitter, elle accuse le Premier ministre Manuel Valls : "Manuel Valls mobilise ses amis socialistes contre le FN : le président du Parlement européen sort la grosse caisse. Une plainte sera déposée contre lui pour dénonciation calomnieuse". Le vice-président du parti, Florian Philippot, renchérit sur le réseau social : "Dernière trouvaille de Valls l'enragé : aller chercher papa Schultz (sic) et monter une affaire bidon ! (...) Conseil de communication à papa Schultz (sic) : la prochaine fois, attendez un peu plus de 24 heures après les envolées délirantes de Valls contre le FN".



    Nicolas Bamba - 6Medias

  • Frédéric Mitterrand rêve de s’accoupler avec El Blanco !

     

    À quelques jours d’une déculottée électorale, Manuel Valls multiplie les déclarations extravagantes et les déplacements dans l’Hexagone.

    L’agitation du ténébreux catalan n’a pas manqué d’attirer l’attention de Frédéric Mitterrand, qui a profité de son passage sur le plateau de Salut les Terriens, l’émission d’Ardisson sur Canal +, pour avouer son attirance sexuelle pour le Premier ministre :

    « Je l’adore, je le trouve très mignon. J’ai même fait des rêves érotiques avec Valls ! »

    Des propos qui ont fait saliver Ardisson, imaginant déjà des ébats tauromachiques entre l’ex-ministre de la Culture de Sarkozy et l’ancien maire d’Évry :

    « Vous aviez la muleta et il faisait le petit taureau ? »

    « Ça ne se passait pas dans l’arène, ça se passait dans un lit directement. C’était vachement bien ! » a répondu le neveu de l’ancien Président de la république qui déjà, en 2013, avait avoué avoir un faible pour François Fillon et Laurent Wauquiez...

    Après le tourisme sexuel en Thaïlande et l’Indonésie, il semble que l’auteur de La Mauvaise Vie, ait décidé de relocaliser ses partenaires sexuels.

    Une bonne nouvelle pour le Premier ministre, qui, au fond du trou après la future débandade des Départementales, pourra se consoler dans les bras du franco-tunisien [1] Mitterrand.

    Notes

    [1] Double nationalité acquise en 1995.

    E&R