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GAELLE MANN - Page 643

  • Liberté d’expression : Quand Charlie Hebdo voulait interdire le FN

     

    17h30

    Article paru en 1996 (donc il y a près de 20 ans) dans Libération

    Les 173 704 signatures de Charlie Hebdo

    Le 26 avril, Cavanna, Val et Charb (trois piliers du journal Charlie Hebdo) débarquent en estafette dans une annexe du ministère de l’Intérieur. Dans leur coffre, des cartons remplis de signatures qu’ils apportent à un conseiller de Jean-Louis Debré. En huit mois, 173 704 personnes ont répondu à l’appel « pionnier » de l’hebdomadaire pour demander l’interdiction du Front national. Loin de l’anonymat des sondages ou de la sempiternelle discussion sur la montée du FN, ces milliers de signataires ont apposé leur nom, profession, adresse, au bas d’un texte réclamant « de dissoudre le Front national, cette ligue dont le but politique est de faire disparaître la République ». Adressé au président de la République et au ministre de l’Intérieur, la pétition est précédée des articles 1, 2, 4, 6 et 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (elle constitue le préambule de la Constitution), avec lesquels « le Front national est en contradiction flagrante ».

    Fin juin 1995, Cabu dessine, à la une de Charlie Hebdo, Jean-Marie Le Pen menottes aux mains entre deux policiers. En titre: « Que faire contre le Front national? L’interdire ! »

    Lire la suite sur Libération

  • Robert Ménard : « Après trente ans d’immigration galopante, ces choses là sont possibles à Paris et en France»

     

    18h43

    (…) « Jamais je n’aurais cru vivre cela dans mon pays, jamais je n’aurais cru cela possible. Personne d’ailleurs, il y a encore quelques années, n’aurait pu l’imaginer.

    Cela étant, il faut cesser la politique de l’autruche. Les assassins ne sont pas des « fous » ou des « marginaux ».

    Ce sont des tueurs islamistes qui veulent imposer la terreur comme leurs congénères de Syrie ou d’Irak. La différence est qu’aujourd’hui, après trente ans d’immigration galopante, ces choses là sont possibles à Paris et en France.

    La rédaction de Charlie Hebdo n’a pas été attaquée par des gens adversaires de la liberté de la presse. Elle a été attaquée parce qu’elle avait osé, courageusement, librement, critiquer l’islam.
    Si des conséquences politiques ne sont pas tirées de cette tragédie, alors, d’autres viendront. Tout doit être fait pour éviter la libanisation de notre pays. Il est encore temps. »

    Bd Voltaire

    FDS

  • Hymne national hongrois

    Traduction

    Bénis les Hongrois, ô Seigneur,
    Fais qu'ils soient heureux et prospères,
    Tends vers eux ton bras protecteur
    Quand ils affrontent l'adversaire !
    Donne à qui fut longtemps broyé,
    Des jours paisibles et sans peine ;
    Ce peuple a largement payé
    Pour les temps passés ou à venir.

    Aux Carpates, sur Ton conseil,
    Nos aïeux osèrent s'étendre.
    Quelle belle place au soleil
    Tu aidas nos pères à prendre !
    Aussi loin que de la Tisza
    Et du Danube le flot danse,
    Aux fils héroïques d'Arpad,
    Tu as prodigué l'abondance...

    Tu fis onduler, à l'instar
    Des mers, les épis dans nos plaines,
    Et Tu permis que du nectar
    De Tokay, nos coupes soient pleines.
    Grâce à toi, nos drapeaux ont pu
    Flotter chez le Turc en déroute,
    Les murs de Vienne être rompus
    Par Matyas et ses noires troupes.

    Hélas! nos fautes, trop souvent
    Ont fait éclater Ta colère,
    Et de Tes nuages ardents
    Tu as fait jaillir le tonnerre.
    Alors ce furent les Mongols,
    Leurs dards sifflants et leurs pillages,
    Puis le Turc qui sur notre col
    Posa le joug de l'esclavage.

    Que de fois, sur l'amas sanglant
    Des cadavres de nos armées,
    Par les cris orgueilleux d'Osman
    La victoire fut proclamée !
    Que de fois, ô patrie, enfin,
    Tes propres enfants t'attaquèrent!
    Et par leurs crimes, tu devins
    L'urne funèbre de leurs frères.

    Fuir ! Mais d'asile il n'est point
    Contre le fer et sa furie.
    Dans son propre pays, en vain
    Le fuyard cherchait sa patrie.
    Il allait par monts et par vaux,
    Pour compagnon, douleur et doute,
    Pour horizon du sang à flots,
    Et des flammes pour clef de voûte.

    Là, ces ruines furent un fort,
    Autrefois y régnait la joie.
    A sa place, un râle de mort
    Et des plaintes de cœurs qu'on broie.
    La liberté ne fleurit point,
    Hélas dans le sang des victimes !
    Les yeux de l'orphelin sont pleins
    Des pleurs de ceux que l'on opprime.

    Prends pitié du Hongrois, Seigneur !
    Si souvent il fut dans les transes !
    Tends vers lui un bras protecteur
    Dans l'océan de ses souffrances !
    Donne à qui fut longtemps broyé
    Des jours paisibles et sans peines.
    Ce peuple a largement payé
    Pour les temps passés ou qui viennent.



    Source : Wikipédia

  • Florian Philippot chez Bourdin Direct

  • Un sanglier nage dans la calanque d'En-Vau: la Gaule est encore là!


    Un sanglier nage dans la calanque d'En-Vau par LaProvence

     2 janvier 2015

    Regarder en mode plein écran

  • Stéphane Ravier chez les coptes de Marseille qui l'ont invité - 05 01 15

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    Les coptes ont une petite église à Marseille  (15e) où ils peuvent célébrer leurs offices

  • Stéphane Ravier en visite aux Baumettes

     

    Mardi 06/01/2015 à 15H33 Marseille

     

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    Suite à la polémique suscitée par la revélation d'une page Facebook tenue par des détenus de la prison des Baumettes, Stéphane Ravier, sénateur-maire du 7e secteur de Marseille, s'est rendu en début d'après-midi à la maison d'arrêt. Comme l'y autorise la loi, le parlementaire Front National a entamé une visite vers 14h30.

  • Lettre ouverte des Identitaires à Michel Houellebecq : “N’aie pas peur Michel, on est là !”

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    06/01/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Monsieur,

    Demain paraîtra votre livre “Soumission” dans lequel vous avez cru utile de nous citer, et même de faire de nous des acteurs de l’histoire, ou tout du moins de votre histoire.

    Qu’est-ce que votre livre ? Nous l’ignorons, à l’instar d’ailleurs des critiques littéraires qui, nous expliquant chacun tout ce qu’il est et tout ce qu’il n’est pas, s’annulent avec une invariabilité mathématique.

    Une chose nous apparaît cependant certaine : vous nous connaissez mal. La chose en soi a fort peu d’importance puisqu’elle est réciproque. De vous, nous ne savons au fond que ce que vous voulez bien montrer, au hasard d’une interview. Pour autant, vous conviendrez que se retrouver dans un ouvrage promis à des ventes zemmouriennes et être si mal servi dans sa description, son être et son objet, en chagrinerait de moins délicats que nous.

    Écrire, c’est, paraît-il, toujours parler de soi. C’est en tous les cas ce qu’écrivent les gens savants à qui nous empruntons cette réflexion. Aussi, peut-être, à travers nous, ne parlez-vous que de Michel Houellebecq. De ses névroses, de ses freins, de ses limites. Peut-être l’observateur du monde que vous êtes aurait aimé être un militant, c’est-à-dire un faiseur du monde… Là encore, nous l’ignorons.

    Mais ce que nous savons, en revanche, c’est que votre livre est une création du réel. Sans l’immigration massive, sans l’islamisation qui en est la conséquence, “Soumission” n’aurait pu voir le jour.

    C’est dans ce contexte – que vous nous pardonnerez de qualifier par anticipation d’historique – que votre livre restera peut-être. Non en ce qu’il annonce ou pas, mais en tant que prise de conscience d’un nombre toujours grandissant d’intellectuels, bien après la prise de conscience populaire, de l’invasion subie par l’Europe. C’est sans doute cette prise de conscience que vous décrivez quand, dans un intéressant entretien réalisé pour la revue littéraire américaine Paris Review, vous dîtes avoir été frappé « des énormes changements » constatés en France au retour de votre paisible exil irlandais. Oui la France a changé, à commencer par ses habitants. Ce changement, certains le nomment le Grand Remplacement. Votre livre se situe dans la continuité fictive de cette réalité bien effective.

     

    Dans ce même entretien, vous avez déclaré : « En fait, on ne sait pas bien de quoi on a peur, si c’est des identitaires ou des musulmans. » Sérieusement Michel, vous ne savez pas qui vous fait peur ? Ceux qui font de l’islam une arme politico-religieuse totalitaire, ceux qui méprisent toute notion de liberté individuelle, ceux qui aujourd’hui au nom du Califat rétabli décapitent, ou bien ceux qui face à l’islamisation se font des éveilleurs de peuple, ou pour le dire autrement, en reprenant un terme à la mode, des lanceurs d’alerte ?

    Vous, qui déclariez en 2001 : « Dès que l’islam naît, il se signale par sa volonté de soumettre le monde. Sa nature, c’est de soumettre. C’est une religion belliqueuse, intolérante, qui rend les gens malheureux », avez donc titré en toute connaissance de cause votre ouvrage “Soumission” – traduction du mot arabe… « islam ». Vous l’avez intitulé “Soumission”, et pas « Identité » par exemple, car votre livre se situe bien dans l’avenir fictif d’une France et d’une Europe aujourd’hui en cours d’islamisation. Et sans doute, que vous le reconnaissez ou non, est-ce bien cela qui vous fait peur. Vous n’êtes pas le seul d’ailleurs : en janvier 2013, dans un sondage IPSOS, 74% des Français interrogés considéraient que la pratique de l’islam n’était pas compatible avec les valeurs de la société française. Une opinion majoritaire parmi les Français donc, mais aussi chez tous les peuples européens, qu’elle s’exprime dans les urnes ou bien dans la rue, comme nous le voyons actuellement avec les très importantes manifestations anti-islamistes en Allemagne.

    Ainsi, cette Europe prête à s’abandonner, à s’offrir, à se soumettre, à l’islam que vous décrivez dans votre ouvrage n’est pas l’Europe réelle. Ni celle du passé, bien sûr, ni celle du présent, contrairement à l’apparence à laquelle vous vous en tenez.

    Dans votre entretien toujours, vous avez présenté votre livre comme « une accélération de l’Histoire [...] à mon avis vraisemblable ». Pourtant, l’histoire que vous racontez n’arrivera jamais.

    D’abord parce qu’une France dirigée par un président musulman et un mouvement islamiste serait peut-être une république mais de français elle n’aurait plus rien. Ensuite et surtout parce qu’il existe dans ce pays, comme ailleurs en Europe, des mouvements de résistance qui n’accepteront jamais, nous disons bien jamais, en aucune circonstance, de voir l’arrivée au pouvoir d’une religion-idéologie étrangère à l’Europe, étrangère à sa civilisation, étrangère à son histoire. Ces mouvements ne sont pas isolés. Ils sont la conscience active des peuples européens qui, dans leur immense majorité, débarrassés des électrodes médiatiques, ne veulent pas – et n’ont jamais voulu ! – de l’immigration et de l’islamisation.

    L’histoire est avare de leçons reproductibles. Mais il est rare que la conjonction d’une minorité agissante et d’une majorité populaire ne débouche pas sur des victoires historiques.

    De cela comme du reste, nous serions ravis de discuter avec vous, et sans doute ainsi de vous rassurer sur l’avenir de notre pays, dans les prochains jours.

    Le Bureau Politique du Bloc Identitaire

    Crédit photo : DR

  • Marseille - Un dentiste retrouvé égorgé à son cabinet

     

    Mardi 06/01/2015 à 11H17 - mis à jour à 16H35 Marseille

     

     
     
     

    Un dentiste de 57 ans a été retrouvé mort cette nuit à son cabinet de l'avenue du Prado à Marseille (8e). Il portait une plaie ouverte à la gorge. Le coffre de son cabinet était ouvert. La police judiciaire a été chargée des investigations. Les enquêteurs ne privilégient pour l'heure aucune piste.  Selon France Bleu Provence, le corps du praticien a été découvert hier lundi entre 21h et 22h par des proches. Ils s'inquiétaient en effet de ne pas le voir de retour après sa journée de travail.

    La Provence

  • Pour Bernard Kouchner : “L’Europe ne fait rien pour les immigrés”


    Bernard Kouchner dans "Le club de la presse... par Europe1fr

     

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    06/01/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Bernard Kouchner était l’invité du “Club de la Presse”, le lundi 5 janvier sur Europe 1. Face à Alexandre Kara, Serge July et Philippe Gildas, l’ancien ministre des Affaires étrangères s’est notamment exprimé sur les immigrés syriens, la politique étrangère française et la Russie.

    Alors que la pression migratoire n’a jamais été aussi forte, Bernard Kouchner a tout de même osé déclarer : “l’Europe ne fait rien pour les immigrés”…

     

  • Paris : Un lycée se mobilise pour ses élèves clandestins et SDF

    16h30

    Lycéens et sans-abri, neuf élèves africains du lycée Hector-Guimard, dans le 19e arrondissement de Paris, espèrent surtout que 2015 leur apportera un logement stable, pour mener à bien une scolarité compliquée par l’absence de toute famille en France.

    Pour mettre un terme à cette situation « inacceptable« , un collectif rassemblant des enseignants du lycée menaçait de reloger d’autorité les élèves dans le gymnase de l’établissement. On n’en arrivera sans doute pas là. « Une solution d’accueil a été proposée à l’ensemble des neuf lycéens« , a indiqué vendredi 2 janvier la préfecture de Paris. Les lycéens devraient être relogés dans des foyers du 13e arrondissement.

    D’après un enseignant : « certains ont escaladé des frontières…« 

  • PEGIDA s'étend et fait des émules en Europe

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    Le mouvement anti-islam continue à drainer les foules en Allemagne

    Les «Patriotes européens contre l’islamisation de l’Occident» (Pegida) continuent de rassembler en Allemagne. Hier soir, 18 000 personnes ont participé à la marche du lundi à Dresde, défilé que le mouvement anti-islam organise depuis le 20 octobre. Lors du premier rassemblement, ils n’étaient que 200 à défiler contre «l’immigration musulmane» dans la capitale de la Saxe… Et hier soir, des défilés, certes de moindre ampleur, ont eu lieu dans d’autres villes allemandes, se heurtant à des contre-manifestations dénonçant la xénophobie.

    Militants d’extrême droite, néonazis mais aussi de simples citoyens participent à ce mouvement anti-islam, réclamant un durcissement de la politique d’immigration et du droit d’asile.

    Selon un sondage Forsa publié en fin de semaine dernière dans le magazine Stern, treize pour cent des Allemands – soit un sur huit – seraient prêts à participer à une marche contre les musulmans en cas d’organisation de ce genre de manifestation dans leur ville. Plus globalement, près de 30% des personnes interrogées soutiennent Pegida, trouvant que l’islam occupe une place trop importante dans la société allemande. En revanche, deux tiers des sondés estiment que l’idée d’une «islamisation» de l’Allemagne est exagérée, même s’ils sont nombreux à s’inquiéter de l’arrivée massive de réfugiés. Cette année, près de 200 000 demandeurs d’asile sont arrivés en Allemagne – destination privilégiée des migrants – soit quatre fois plus qu’en 2012.

    Pegida semble faire des émules ailleurs en Europe. En Suisse, plusieurs pages se revendiquant de la mouvance allemande ont fleuri sur les réseaux sociaux depuis la mi-décembre, selon la Schweiz am Sonntag. Elles réunissent déjà plus de 1500 fidèles qui n’hésitent pas à faire l’apologie d’actes islamophobes, précise l’hebdomadaire. En France, une page Facebook «Pegida Breizh» rassemblant plusieurs centaines de sympathisants et appelant à combattre l’islamisme en Bretagne a fait son apparition depuis quelques jours sur la Toile. Tandis qu’à Paris, des groupes d’extrême droite exigeant l’expulsion de tous les islamistes de France appellent à manifester le 18 janvier.

    Même scénario au Danemark où deux manifestations de soutien aux marches contre l’islamisation qui se déroulent en Allemagne sont prévues le 19 janvier. Et la liste est loin d’être exhaustive, dans plusieurs pays d’Europe comme la Grande-Bretagne ou la Suède, l’immigration est au cœur du débat public avec la montée d’une vague populiste et de manifestations hostiles aux étrangers.

    Face à cette vague d’islamophobie, la résistance s’organise. De nombreuses contre-manifestations ont eu lieu en Allemagne hier, avec un nombre de participants souvent plus important que ceux qui défilaient sous la bannière de Pegida. A Berlin par exemple, 5000 personnes dénonçant l’intolérance faisaient face à 200 «patriotes» anti-islam. Hier soir, comme l’avaient déjà fait les responsables de l’Opéra Semper, à Dresde, les lumières de la cathédrale de Cologne sont restées éteintes, en signe de désapprobation. (TDG)

    Créé: 05.01.2015, 22h41

    Tribune de Genève

     

  • Mon pays m'a fait mal

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    Robert Brasillach  (1909 - mort fusillé le 6 février 1945)

    Procès et exécution

    En septembre 1944, sa mère et son beau-frère, Maurice Bardèche, ayant été arrêtés pour faire pression sur lui, il se constitue prisonnier auprès de la Préfecture de police de Paris. Il est emprisonné à la prison de Fresnes (actuel Val-de-Marne) et poursuivi pour intelligence avec l'ennemi. Son procès, qui s'ouvre le 19 janvier 1945 devant la cour d'assises de la Seine, dure 6 heures. Il est condamné à mort le jour même après une délibération de vingt minutes. Sa défense avait été assurée par Me Jacques Isorni, lequel fut également, quelques mois plus tard, avocat du maréchal Pétain.

    Dans les jours qui suivirent, une pétition d'artistes et intellectuels renommés, parmi lesquels Paul Valéry, Paul Claudel, François Mauriac, Daniel-Rops, Albert Camus, Marcel Aymé, Jean Paulhan, Roland Dorgelès, Jean Cocteau, Colette, Arthur Honegger, Maurice de Vlaminck, Jean Anouilh, André Barsacq, Jean-Louis Barrault, Thierry Maulnieretc.[5], demanda au général de Gaulle, chef du gouvernement provisoire, la grâce du condamné. Le général choisit de ne pas commuer la peine prononcée, ce qui entraîna l'exécution de la sentence, le 6 février suivant, lorsque Brasillach fut fusillé au fort de Montrouge.

    Bien des biographes s'interrogent sur les raisons ayant poussé le général de Gaulle à laisser exécuter Robert Brasillach. Selon les témoignages successifs de Louis Vallon et de Louis Jouvet, qui l'interrogèrent sur le sujet[6], de Gaulle aurait vu dans le dossier de Brasillach la couverture d'un magazine le montrant sous l'uniforme allemand. Il y aurait eu une confusion avec Jacques Doriot[7]. Lacouture, qui rapporte cette rumeur, ne croit pas à cette interprétation. Il penche pour l'hypothèse d'une concession faite aux communistes pour pouvoir être plus ferme sur d'autres points.

    « [...] Le général de Gaulle a écouté Mauriac, et a refusé la grâce. Quoi qu’il en pensât, de Gaulle ne pouvait s’opposer à toutes les exigences des communistes qui constituaient un tiers du pouvoir, sinon davantage. Ils exigeaient la tête de Brasillach, qui avait conduit bien des leurs au poteau. Je pense que de Gaulle a fait la part du feu. [...] » (Wikipédia)

     

    ZENTROPA

     

     

  • Eric Zemmour dénonce le laïcisme et l'islamisme

    Éric Zemmour : « La déchristianisation de la France a été une catastrophe »

     

    Nos confrères de TV Libertés ont rencontré Éric Zemmour et filmé son intervention au Salon du livre organisé dimanche 7 décembre 2014 à Villepreux par Renaissance catholique.

    Bréviaire des Patriotes

  • VIDEO - Naissances de Noël à Nantes

    http://breizatao.com/2015/01/02/remplacement-de-population-les-naissances-de-noel-nantes-vues-par-la-propagande-detat-francaise/

  • Manif record «contre l'islamisation» à Dresde, des contremanifestations dans toute l'Allemagne

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    La manifestation «contre l'islamisation» de la société a réuni lundi 18 000 personnes, selon la police, à Dresde, dans l'est de l'Allemagne, un record depuis le début de ce mouvement qui s'est cependant heurté à une vaste contre-mobilisation dans plusieurs autres grandes villes.

    05 Janv. 2015, 22h23 | MAJ : 05 Janv. 2015, 23h24

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                                                         Des milliers de manifestants défilent depuis le mois d'octobre contre «l'islamisation» de l'Allemagne au cri de «Nous sommes le peuple !».
    (DR.)

    Lors de son allocution du Nouvel An, la chancelière Angela Merkel avait appelé ses compatriotes à ne pas participer aux manifestations anti-islam organisées en Allemagne.

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    Elle estimait qu'elles étaient organisées par des gens au «cœur» rempli de «préjugés» et de «haine», lors de son allocution du Nouvel An. Visiblement, elle n'a pas été entendue de tout le monde ce lundi.

    La manifestation «contre l'islamisation» de la société a réuni lundi 18 000 personnes, selon la police, à Dresde, dans l'est de l'Allemagne, un record depuis le début de ce mouvement qui s'est cependant heurté à une vaste contre-mobilisation dans plusieurs autres grandes villes.

    A Dresde, la capitale de la Saxe, où le mouvement a été déclenché en octobre par un groupe se faisant appeler les «Européens patriotes contre l'islamisation de l'Occident» (Pegida), la précédente manifestation en date, trois jours avant Noël, avait réuni 17 500 participants.

    Lundi, en dépit des messages dénonçant le mouvement, adressés par les politiques de tous bords, et en particulier par la chancelière Angela Merkel, les manifestants ont de nouveau scandé «Wir sind das Volk !» («Nous sommes le peuple !»), un slogan naguère entonné par les manifestants contre le régime de la RDA, peu avant la chute du Mur de Berlin.

    L'église catholique opposée au mouvement Pegida

    En face, lundi à Dresde, quelque 3000 contre-manifestants, selon la même source, s'étaient rassemblés avec pour slogan «Venez, on va parler ! Attaquons-nous vraiment aux problèmes !», notamment à l'initiative d'un collectif d'associations baptisé «Dresde pour tous».

    Dans le reste de l'Allemagne, le rapport de force entre partisans et détracteurs de Pegida était cependant inversé. A Rostock, autre ville d'ex-RDA, ce sont en effet les opposants au mouvement qui se sont fait entendre, scandant en particulier «Willkommen im Abendland !» (Bienvenue en Occident !).

    A Cologne (ouest), «quelques milliers» d'opposants à Pegida faisaient face à «quelques centaines» de personnes dénonçant l'«islamisation». Les ponts sur le Rhin, l'hôtel de ville et l'emblématique cathédrale avaient été éteints en signe de protestation contre Pegida, l'église catholique expliquant qu'elle militait contre les discriminations, pour la liberté religieuse et ne voulait pas «offrir de beau décor» à ce mouvement.

    A Berlin, environ 300 militants anti-«islamisation» s'étaient réunis aux abords de l'hôtel de ville tandis que quelque 5000 contre-manifestants, selon l'agence de presse allemande DPA, se sont dirigés vers la porte de Brandebourg, parmi lesquels le ministre fédéral de la Justice, Heiko Mass. L'éclairage du bâtiment symbole de la capitale allemande avait lui-aussi été coupé.

    Le Parisien

    Des milliers de contre-manifestants

    Dans les villes de Munster (nord-ouest, 10 000 personnes), Stuttgart (sud, 8000) ou encore Hambourg (nord, 4000), les anti-Pegida s'étaient également mobilisés.

    Le mouvement Pegida affirme refuser «l'islamisation» de la société allemande, s'opposer aux jihadistes ou aux étrangers qui refuseraient de s'intégrer. Ses cibles : l'islam, les étrangers, les médias («tous des menteurs»), les élites politiques, le multiculturalisme, etc., qui dilueraient la culture allemande.

    Le mouvement Pegida tente de se tenir éloigné des néo-nazis. Son emblème, sur ses banderoles, est d'ailleurs un bonhomme stylisé qui jette dans une poubelle à la fois le drapeau de l'Etat islamique, le logo «anti-fa» (anti-fasciste), l'étendard communiste et une croix gammée. Pour certains observateurs, il s'apparente davantage à un mouvement identitaire de type «völkisch», de défense d'un peuple germanique.

    Dans l'Hexagone, certains tentent de lancer un Pegida à la française. Des mouvements comme Riposte laïque et Résistance républicaine appellent à un premier rassemblement parisien, place de la Bourse, le dimanche 18 janvier à 14h30, sous le slogan «Islamistes hors de France».

    Le Parisien

    Malvenue en Occident !