http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-quenelle-de-Beatrice-Bourges-22865.html
E&R
(pas de code embed)
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
http://www.egaliteetreconciliation.fr/La-quenelle-de-Beatrice-Bourges-22865.html
E&R
(pas de code embed)
22/01/2014 – 10h30
PARIS (NOVOpress) – VIDÉO - Reportage de la télévision russe sur la mouvance pédophile en Allemagne, étroitement liée aux Verts. Le reportage revient notamment sur les propos que Daniel Cohn-Bendit avait tenu en 1982 dans l’émission Apostrophes face à Paul Guth. Pour le journaliste russe : « Il est absolument incompréhensible, après de tells paroles, que cet homme soit en liberté et fasse de la politique ». Si Daniel Cohn-Bendit s’est toujours défendu d’avoir été pédophile, expliquant ses propos par la volonté de « choquer le bourgeois des années 1970 », il est directement accusé (ainsi que d’autres membres fondateurs des Verts) par Eckhard Stratmann-Mertens, cofondateur du parti Vert allemand et ancien député au Bundestag, dans une interview accordée à Die Welt en juillet 2013.
Le Char de la Fidélité conduit par l'Amour, une des pendules du salon d'Argent de l'Elysée
INFO LE FIGARO - La rumeur selon laquelle la compagne du Président de la République a vandalisé le bureau de François Hollande est «infondée» selon l'établissement public.
Après deux jours de folle rumeur, le Mobilier national sort de sa réserve et «dément catégoriquement» au Figaro que le bureau de François Hollande à l'Élysée ait été vandalisé par Valérie Trierweiler. La rumeur s'est propagée très rapidement, dès lundi 20 janvier, à partir d'une lettre anonyme publiée sur le Web. Selon l'auteur, une scène de ménage aurait opposé «Valérie T. à François H.» le 10 janvier, dans le bureau présidentiel et le boudoir d'Argent. Par fureur, la première dame se serait livrée à du vandalisme, projetant à terre vases, pendules et objets d'art appartenant aux prestigieuses collections du Mobilier national. Coût de cette supposée scène: 3 millions d'euros.
Jusque-là, l'Élysée a opposé un silence prudent, estimant que la présidence n'avait pas à commenter ce type de rumeur. Selon nos informations, l'entourage du président pourrait s'exprimer à son tour dans les prochaines heures.
22 01 14
Photo thierry garro
Les charges, les plus terribles les unes que les autres, continuent de s'accumuler contre l'adolescent de 16 ans, placé en garde à vue mardi vers 1h, pour l'homicide d'un homme de 69 ans, à son domicile de la rue Chaix (7e) à Marseille. Le garçon, qui vient de sortir du bureau du juge, est mis en examen pour homicide volontaire et également pour viol.
Selon les éléments de l'enquête confiée à la police judiciaire, le jeune homme est bien à l'origine du décès de la victime. Mais avant de le frapper à coups d'arme blanche, il l'aurait également violé. Des faits qui viennent en écho à la séquestration et au viol qu'a subis une femme de 77 ans, dimanche matin, boulevard Baille, que l'adolescent est également soupçonné d'avoir commis. La Sûreté départementale, en charge de cette deuxième enquête, entendra le garçon dans les jours prochains sur ces faits.
L'adolescent, placé dans un foyer depuis l'âge de 6 ans, selon son avocat, aurait vécu une enfance extrêmement tourmentée. Au moment des crimes, il n'était cependant plus suivi dans ce type d'établissement. Il avait quitté le foyer du centre-ville dans lequel il était hébergé en avril dernier, pour une peine de prison à l'Etablissement pénitentiaire pour mineurs de la Valentine. Après quelques semaines de détention, il avait été placé dans un hôtel par les services sociaux. Il aurait alors multiplié les vols et les agressions jusqu'à commettre l'irréparable à la fin de l'année.
La Provence
La garde à vue de Dieudonné M’bala M’bala a été levée mercredi soir après une confrontation avec un huissier qui a porté plainte pour violence après avoir essuyé lundi soir un tir de flashball au domicile du polémiste, a-t-on appris auprès du procureur de la République de Chartres.
La garde à vue entamée mercredi en milieu de matinée à la gendarmerie de Dreux a été levée à 20h25. "Il a fait l’objet d’une confrontation avec l’huissier de justice et a maintenu avoir été absent de la propriété du Mesnil-Simon (Eure-et-Loir) au moment des faits", a indiqué dans un courriel Patrice Ollivier-Maurel, procureur de la République Chartres.
Dieudonné "a par ailleurs indiqué qu’était en revanche présent sur les lieux un de ses frères dont l’identité reste à vérifier et qu’il met en cause comme étant l’auteur du coup de feu", a-t-il ajouté. La compagne de Dieudonné, Noémie Montagne, ainsi qu’un témoin "ont fait des déclarations convergentes sur son absence du domicile", a précisé le procureur. Mme Montagne "a par ailleurs déposé plainte pour violation de domicile contre l’huissier de justice", a noté M. Ollivier-Maurel.
De son côté l’huissier de justice a maintenu que Dieudonné était présent à son domicile lors de sa venue et il a même précisé "le connaître pour lui avoir déjà signifié des actes par le passé". "Il est intervenu à une heure légale et a décliné son identité et sa qualité", selon le procureur. "Une perquisition est intervenue dans l’après midi au domicile" de Dieudonné, a ajouté M. Ollivier-Maurel.
Lors d’une première garde à vue dans la nuit de mardi à mercredi, Dieudonné avait déjà contesté toute présence sur les lieux le soir des faits et être l’auteur du coup de feu, d’où la confrontation organisée dans la journée de mercredi. Mme Montaigne avait été auditionnée elle-aussi par les gendarmes dans la nuit avant d’être à nouveau auditionnée et confrontée comme Dieudonné à l’huissier mercredi.
E&R
"La novlangue politique est une variante de la langue de bois, avec une ambition particulière: enlever tout clivage, donner l'impression de rassembler tous les citoyens. C'est un rideau de fumée. En inventant des mots, il s'agit de faire passer la pilule, de rendre apaisantes des situations désagréables ou impopulaires. C'est masquer par le langage, avec des formules positives, des réalités politiques difficiles pour les rendre acceptables auprès de l'opinion. «Flexibiliser» cache «faciliter le licenciement» par exemple, et «ouverture du capital» signifie «privatiser». Le «pacte de responsabilité» de François Hollande est caractéristique de la novlangue: il ne veut rien dire mais l'association de deux mots puissants et symboliques veut conjurer une réalité négative, en l'espèce masquer une concession faite au Medef (...)
On utilise d'autant plus la novlangue qu'on est en difficulté. Mais c'est le cas depuis que le pays connaît la crise économique. C'est ainsi qu'est née la plus savoureuse formule: «croissance négative» (...)
La langue de bois a toujours existé en démocratie, avec pour grand principe la loi du contournement, tout l'art des mots qui ne veulent rien dire. Mais comme ils sont désormais insuffisants, on s'ingénie à en inventer de nouveaux qui soient capables de faire pression sur la pensée. À l'enfermer même, car quand le langage s'impose dans l'usage c'est que sa réalité est admise. Tout le débat qui pourrait en découler est muselé. On empêche tout esprit critique. Le «Faire-France» de François Hollande est exemplaire: il nie toute discussion, tout antagonisme - social, ethnique, religieux ou autre - en donnant une coloration patriotique, que ne donnait pas le «vivre-ensemble».
Le Salon Beige - 20 01 14
+ 3 VIDEOS
22 janvier 2014
1923 : assassinat du militant nationaliste Marius Plateau, secrétaire général de l’Action française et chef des Camelots du roi, par Germaine Breton (militante anarchiste), dans les locaux du journal royaliste.
Elle sera acquittée par la justice républicaine en décembre et embauchée – en guise de récompense – à l’Humanité !
Contre-info.com
22 janvier 2014
Peu importe la crise et les graves problèmes des Français, la priorité pour le gouvernement reste le combat idéologique, poussé dans les détails les plus incongrus !
Ainsi, nos braves députés ont-ils voté ces jours-ci un amendement, visant à supprimer des textes législatifs l’expression classique « en bon père de famille » (qualifiant une gestion convenable).
Les députés proposant l’amendement expliquaient tout simple que :
« Issu du latinisme « bonus pater familias », l’expression « en bon père de famille » est contenue 15 fois dans les parties législatives des codes en vigueur. C’est une expression désuète qui remonte au système patriarcal. Régulièrement incomprise par les citoyennes et les citoyens, elle pourrait pourtant être facilement remplacée. »
Contre-info.com
22 janvier 2014
La rumeur court sur internet : dans la matinée du vendredi 10 janvier, le Mobilier national en charge de l’aménagement des palais nationaux et autres résidences de l’État (ministères et ambassades) est appelé en urgence à l’Élysée pour procéder à une intervention sur site.
À l’arrivée au Palais, le haut fonctionnaire découvre dans des salons et dans le bureau attribué à Hollande, du mobilier et des objets décoratifs tels que vases précieux de Sèvres, pendule signée par un grand horloger du début du XIXe siècle, consoles, guéridons, fauteuils renversés voire brisés comme pour les garnitures de cheminée gisant en morceaux épars au milieu de papiers et de matériel de bureau, le dessus de la table de travail ayant été balayé avec violence semble-t-il (vases de la manufacture de Sèvres en porcelaine et monture en bronze doré, objets d’art de très grande valeur artistique et historique).
Les dégâts sont estimés à trois millions d’euros, compte tenu de la grande valeur patrimoniale de ce mobilier d’art et du coût de la restauration pour ce qui est réparable.
Valérie Trierweiler aurait piqué une crise de nerf : voulant se jeter sur Hollande, elle aurait été empêchée par le service de sécurité et la harpie se serait vengée sur le mobilier…
Contre-info.com
Quelques mots sur la scène de ménage qui a récemment opposé Valérie T. à François H., dont nous autres contribuables feront finalement les frais (les faits sont rapportés par un haut fonctionnaire du Mobilier national – condisciple d’un ami).
Dans la matinée du vendredi 10 janvier, le Mobilier national en charge de l’aménagement des palais nationaux et autres résidences de l’État (ministères et ambassades) est appelé en urgence à l’Élysée pour procéder à une intervention sur site. À l’arrivée au Palais, le haut fonctionnaire découvre dans des salons et dans le bureau attribué à Hollande, du mobilier et des objets décoratifs tels que vases précieux de Sèvres, pendule signée par un grand horloger du début du XIXe siècle, consoles, guéridons, fauteuils renversés voire brisés comme pour les garnitures de cheminée gisant en morceaux épars au milieu de papiers et de matériel de bureau, le dessus de la table de travail ayant été balayé avec violence semble-t-il (vases de la manufacture de Sèvres en porcelaine et monture en bronze doré, objets d’art de très grande valeur artistique et historique).
Les dégâts sont estimés à trois millions d’euros, compte tenu de la grande valeur patrimoniale de ce mobilier d’art et du coût de la restauration pour ce qui est réparable. Les débris ont été soigneusement récupérés pendant que les aides de camp réunissaient les papiers confidentiels éparpillés sur le tapis ; de nouveaux objets ont été livrés pour remplacer ceux brisés ou mutilés.
Explication officielle : aucune ! Explication officieuse dans le cornet de l’oreille des fonctionnaires du MN par ceux de l’Élysée : scène terrible entre Hollande et sa maîtresse en titre Valérie quelques heures plus tôt. Après les cris et hurlements, la mégère a eu une crise de folie furieuse, se jetant sur Hollande ; écartée par les gardes, la furie s’est livrée à du vandalisme dans le palais national, après avoir jeté les papiers et objets du bureau présidentiel, elle a projeté à terre vases, pendule et autres objets précieux, renversé fauteuils et guéridons, elle est neutralisée par les gardes dans le Boudoir d’Argent ou elle a poursuivi son œuvre destructrice. Le médecin sur place lui administre un calmant (sous forme de piqûre) et l’expédie dans la plus grande discrétion à l’hôpital (où elle séjourne depuis une semaine). Avant que la dose fasse effet et que la donzelle soit évacuée, hurlements, pleurs, imprécations et menaces ont été proférés par l’offensée remplissant le palais de l’écho de sa hargne.
Gros émoi donc à l’Élysée, mais une seule question demeure : qui paye ? Quand un type se dispute avec sa régulière ou sa copine et que les deux protagonistes en viennent à casser la vaisselle et plus si mésentente très grande, ce sont les deux tourtereaux en rupture d’affection qui payent avec leurs deniers sous les bris et dégâts. Mais dans ce cas, ce sera facturé aux contribuables (pour ce qui est réparable, le reste étant du patrimoine perdu définitivement). De quel droit Hollande et sa mégère règlent-ils leurs comptes avec le patrimoine de la France ?
E&R
Au moment où les États-Unis et la Russie démontrent qu’une sortie de crise pacifique est possible à propos de l’Iran, Paris choisit de s’aligner sur les positions bellicistes de l’Arabie saoudite face à la Syrie et l’Iran.
Comment expliquer que la France qui, du général de Gaulle jusqu’à Jacques Chirac, avait maintenu séculairement notre tradition d’équilibre en politique étrangère, puisse aujourd’hui autant s’en écarter ?
L’Arabie saoudite est certes le premier producteur et exportateur de pétrole mais elle est, avant tout, le cœur « nucléaire » d’un islam rigoriste, conquérant et même terroriste. Longtemps allié des États-Unis aux côtés d’Israël pour détruire les régimes arabes modernisateurs, le royaume wahhabite est, partout dans le monde, la source première de la radicalisation de l’islam. Tant que l’État profond saoudien et ses services secrets séviront, aucun islam apaisé ne pourra l’emporter dans le monde musulman, aucune tradition locale ne pourra tempérer le Coran et aucune paix véritable ne sera possible entre le monde islamique et les autres civilisations. L’État saoudien est responsable de l’implosion syrienne et des 130 000 morts qui en résultent, des décapitations de chrétiens par les hordes salafistes, comme il est sans doute derrière l’attentat de Volgograd en Russie.
Est-ce donc avec ce pays qui coupe des mains d’enfants, réprime physiquement les homosexuels et réduit les femmes et les travailleurs immigrés à l’esclavage, que le « pays des droits de l’homme » entend refonder sa politique arabe au Moyen-Orient? J’ai toujours défendu la realpolitik et je ne ne suis pas un partisan de l’idéalisme en politique étrangère, mais il y a des limites au cynisme et au « court-termisme ». Or, avec l’Arabie saoudite, nous, Français, entrons en contradiction avec ce que nous sommes !
Nous avons, au minimum, 6 millions de musulmans qui vivent sur le territoire français, dont l’immense majorité est sunnite. Voulons-nous que l’enchevêtrement économique de la France et de l’Arabie saoudite favorise la radicalisation des Français musulmans ? On ne peut pas faire la guerre contre le fondamentalisme islamique, soutenu par l’Arabie saoudite et le Qatar, au Mali et jusqu’en Centrafrique, et prétendre, en même temps, faire de Riyad notre meilleur allié au Moyen-Orient. Notre politique étrangère ne peut s’asseoir sur ce paradoxe intenable alors que bien d’autres choix sont possibles, à commencer par un retour en Iran, un pays bien plus prometteur sur le plan économique et humain.
L’Iran a autant de pétrole (2e réserve mondiale) et bien plus de gaz (2e réserve mondiale) que l’Arabie saoudite ; c’est surtout un État multimillénaire solide qui se réformera quand l’Arabie saoudite, wahhabite dans ses fondements, ne pourra le faire. Avec la Russie, l’Iran est sans doute l’allié stratégique et énergétique naturel de l’Europe, sur le continent eurasiatique où la Chine de demain pèsera lourd.
Les États-Unis sont en train de se dégager en douceur de l’alliance avec l’Arabie saoudite et ce n’est pas un hasard si, au même moment, des voix (Congrès, justice) s’élèvent à Washington pour réexaminer les liens troubles entre Al-Qaïda et l’Arabie saoudite à propos du 11 septembre. Il n’est pas impossible que les Américains « gardent au chaud » quelques révélations qui pourraient s’avérer bien embarrassantes pour la France lorsque celle-ci se sera enfoncée plus profondément et imprudemment encore dans l’alliance saoudienne…
BOULEVARD VOLTAIRE
Dieudonné: sa compagne aurait molesté un... par BFMTV
Plainte d'un huissier: "Dieudonné en garde à... par BFMTV
Le président de la République a déclaré :
« Valérie Trierweiler va mieux et elle se repose en ce moment à la résidence de la Lanterne. »
Madame Massonneau Valérie, divorcée de monsieur Trierweiler Denis, qui n’a à l’état civil aucun lien avec monsieur Hollande François, étant autorisée à se prélasser dans une (autre) résidence de la République, cela veut-il dire que tout autre citoyen(ne) n’ayant aucun lien à l’état civil avec monsieur Hollande François peut également aller s’y reposer ?
Pendant combien de temps ?
Y a-t-il une liste d’attente ?
Faut-il fournir un certificat médical ?
Le blog d'Yves Daoudal
Communiqué de la Fédération anglaise de football :
« A la 40e minute de jeu, Anelka a fait un geste qui était abusif et/ou indécent et/ou insultant et/ou déplacé, contraire à l'article E3 du règlement de la FA. Les faits sont aggravés par les références à l'origine d'une ethnie et/ou d'une race et/ou d'une religion, comme le définit l'article E2 du règlement. »
Il s’agit de la fameuse « quenelle » du 28 décembre.
Le geste était si l’on veut indécent, dans la mesure où la « quenelle » est un geste obscène comme le « bras d’honneur » ou sa version mini le « doigt d’honneur »…
Mais on se demande où est la référence à une « ethnie », une « race » ou une « religion ».
Il y en a un qui sait : Alex Chesterman, patron de Zoopla, le principal soutien financier de l’équipe où joue Nicolas Anelka. Alex Chesterman (photo) est un juif militant et il a décidé que la quenelle était « antisémite ». Il a donc mis fin au partenariat financier avec l’équipe : perte sèche de 3,6 millions d’euros.
Donc Anelka est condamné.
A quoi ? Il le saura plus tard, car il a le droit, mais oui, de présenter sa défense.
Heureusement que la peine de mort n’existe plus en Angleterre. Cela dit, comme il a 34 ans, s’il est condamné à une longue suspension, ce sera une peine de mort de sa carrière.
Blog d'Yves Daoudal
Birobidjan, l'Etat juif du bout du monde par Ali-Fredo
E&R
Ainsi que le révèle le site d’information japonais The Asahi Shimbun, un ancien soldat qui a vécu caché dans la jungle aux Philippines jusqu’en 1974, ignorant la fin de la Seconde Guerre mondiale, et attendant en vain des renforts, est mort aujourd’hui à 91 ans.
Jusqu’en 1974, Hiroo Onoda, un officier de renseignement et spécialiste des techniques de guérilla a vécu sur l’île de Lubang aux Philippines, où on l’y avait envoyé en 1944 avec l’ordre formel de ne jamais se rendre, et de tenir jusqu’à l’arrivée de renforts qui ne viendront jamais.
Avec trois autres soldats, il est resté dans la jungle, ignorant que la guerre avait pris fin. Leur existence est d’abord connue dans les années cinquante, lorsque l’un d’eux décide de rentrer au Japon.
Dès lors, des tracts sont largués par avion, annonçant que la guerre était terminée depuis longtemps et que l’armée impériale avait été battue, mais le soldat refuse d’y croire. En 1959 les recherches sont arrêtées, Japonais et Philippins étant persuadés qu’Onoda et son dernier coéquipier sont morts.
Pourtant, en 1972, ils refont surface pour attaquer des troupes philippines. Onoda réussit à s’enfuir alors que son dernier homme est tué. C’est finalement l’ex-commandant d’Onoda, envoyé par Tokyo dans la jungle qui, en 1974, doit lui ordonner de déposer les armes pour qu’il accepte de rentrer chez lui.
L’annonce de la capitulation, le 15 août 1945, par l’empereur Hirohito considéré comme un dieu vivant au Japon, avait alors laissée perplexe de nombreux soldats dévoués corps et âme à la cause impériale.
E&R
Le spectacle de Dieudonné s’est déroulé hier soir 19 janvier 2014 aux Arènes de Metz sans encombre et devant 4 000 personnes.
Même si l’humoriste polémique Dieudonné a largement été applaudi lors de sa représentation messine, le spectacle s’est tout de même joué sous la surveillance de représentants de la justice et de la police, chargés de contrôler le contenu du show.
C’est initialement le spectacle Le Mur, jugé antisémite et raciste, qui avait été interdit par le maire de Metz. C’est pour cette raison que c’est un autre spectacle qui a été joué, intitulé Asu Zoa, consacré à l’Afrique, dont les passages les plus choquants ont été supprimés.
Avant sa représentation à Metz, Dieudonné a tenu à tourner une vidéo où il revient sur la polémique et règle ses comptes.
Le final du spectacle à Metz est identique à celui de Nancy, on peut y voir le public reprendre en chœur une « petite chanson » à destination du président de la République François Hollande.
E&R