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22 02 14
22/02/2014 – PARIS (NOVOpress/Bulletin de réinformation)
Un sondage Ipsos de janvier dernier, passé assez inaperçu, montre que le nombre de Français calculant leurs courses à un euro près a plus que doublé depuis août 2012, passant de 14 à 29%. Avec ceux qui calculent à 5 euros près, on atteint 47% des Français. A l’inverse le nombre de ceux qui “ne comptent pas vraiment” pour leurs courses alimentaires a été divisé par deux, il n’y en a plus que 17% alors qu’ils étaient 33%, en août 2012.
Des chiffres terribles qui traduisent l’accélération de la paupérisation de notre pays. Les socialistes aiment sans doute tellement les pauvres qu’ils en créent !
Près de 600 sépultures apparaissent peu à peu à Capitaine Gèze, terminus de la ligne 2 en 2015
Photo Patrick Nosetto
Il faudra certainement une stèle, une plaque, voire une petite salle en forme de musée. La station de métro "Guy Hermier" (15e), futur terminus de la ligne 2 Dromel-Bougainville, devra garder une trace de la découverte effectuée dans le quartier : le cimetière des Petites Crottes ou cimetière des Italiens.
Sur le chantier, ont été mis au jour des dizaines de tombes où reposent, en partie, des Transalpins venus travailler dans l'industrie au XIXe. Des Transalpins dont on sait qu'ils étaient en grande partie installés dans le quartier du Panier mais aussi aux Crottes et à la Cabucelle. Où vécut le plus célèbre d'entre eux, Ivo Livi, dit Yves Montand.
"Le cimetière des Petites Crottes a été construit en 1784 et il a disparu en 1905, explique Anne Richier, archéologue qui travaille sur place avec l'Institut National de Recherche Archéologique Préventive (Inrap). On savait qu'il était situé dans le quartier mais on ne savait pas vraiment où. L'année dernière, 330 tombes avaient été découvertes. Au total, il devrait y en avoir environ 600. On désigne le cimetière comme celui des Italiens parce qu'ils ont fait partie de la vague d'immigrés qui ont vécu dans le quartier."
Travail de mémoire en cours
Mais les premiers défunts à être inhumés dans ce cimetière étaient les Marseillais de l'époque, des meuniers, des aubergistes, des gens humbles qui vivaient dans un univers de champs et de bastides. "C'était jusqu'à la fin du XVIIIe, poursuit l'archéologue. Après, il y a donc eu les Italiens qui ont travaillé dans les huileries, les savonneries. Ils étaient employés du port aussi. À cette période, en pleine industrialisation, Marseille avait besoin de main-d'oeuvre."
Les Italiens pratiquaient-ils des rites funéraires un peu différents ? Quel était leur état de santé ? Autrement dit, comment ont-ils vécu ? Le travail des archéologues devrait permettre d'enrichir un peu plus cette page de l'histoire de l'immigration à Marseille.
"Les os vont être savonnés, lavés, ajoute Anne Richier, puis étudiés par les archéologues et les anthropologues." Puis, ils seront conservés dans une osthéotèque comme il en existe à l'Hôpital Nord. Mais au fait, comment peut-on faire disparaître un cimetière ? "Comme l'industrialisation était très importante, conclut l'archéologue, le cimetière a servi de dépotoir où les déchets ont été jetés."
Voilà comment a été enseveli le cimetière des Petites Crottes, qui renferme l'histoire d'une communauté qui a marqué la ville. Et dont sont issues des centaines de familles marseillaises. Comme en convenaient hier Eugène Caselli et Patrick Mennucci, la future station de métro devra en être la mémoire.
La Provence
NdB: il s'agissait d'une immigration de travail provenant d'une nation chrétienne. Il n'y a jamais eu aucun problème d'assimilation ou d'intégration avec la population marseillaise. Rappelons que la Provence ou Provincia avait été gallo-romaine...
Crottes signifie ici "grottes".
Une information de ce jour parue dans Le Dauphiné sur une profanation survenue dans la nuit de mercredi à jeudi. Le communiqué du diocèse de Grenoble-Vienne, signalé dans l’article, est introuvable sur le site du diocèse qui a porté plainte.
Dans un communiqué envoyé ce matin [21 février], le diocèse de Grenoble s’est insurgé contre la profanation de la chapelle du village olympique. « Lorsqu’un fidèle est arrivé pour préparer la messe de jeudi [20 février], il a constaté une effraction puis remarqué que le ciboire contenant les hosties consacrées avait été volé. Il n’y a pas eu de revendication particulière, mais pour nous cela constitue une profanation que nous ne voulons pas banaliser. Nous ne pensons pas qu’il s’agit d’un acte de christianophobie, mais d’un vol », explique le responsable de la communication du diocèse.
Si ce n’est pas de la christianophobie, ce n’est assurément pas non plus par “christianophilie” qu’un individu a fracturé le tabernacle…
Source : Le Dauphiné
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Observatoire de la Christianophobie
Menacé de mort, le président de la Rada ukrainienne, Volodymyr Rybak, a démissionné, le 22 février 2014, et a quitté le parlement.
Immédiatement, les membres présents de la Rada ont adopté plusieurs motions, dont la libération de l’ancienne Premier ministre, la personne la plus riche du pays, Ioulia Tymochenko (condamnée à sept ans de prison pour abus de pouvoir dans la négociation d’un contrat gazier avec la Russie).
Simultanément, des groupes nazis ont envahi les principaux bâtiments du pouvoir après s’être emparés d’une armurerie militaire.
NdB: Des groupes nazis ou des groupes communistes masqués?
La communauté internationale ne réagit pas aux slogans néonazis des extrémistes en Ukraine, a souligné jeudi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Alexandre Loukachevitch.
« On ne peut que s’étonner de l’absence de toute réaction de la communauté internationale aux slogans lancés par une multitude d’éléments radicaux sur Maïdan, alors qu’il s’agit de slogans manifestement néonazis, et que la croix gammée apparaît de plus en plus souvent sur des bâtiments et à l’intérieur de ceux-ci », a déclaré le diplomate lors d’un point de presse à Moscou.
Selon M. Loukachenko, même des organisations juives internationales ont perçu une certaine « odeur d’antisémitisme », sans que les politiques et les médias internationaux y réagissent de façon adéquate.
NPI
Le président de l'Ukraine
Timochenko libre
Kiev, 22 février, RIA Novosti 19h06
Le président ukrainien Viktor Ianoukovitch n'a pas l'intention de démissionner de son poste ni de signer des accords "avec les bandits", rapporte samedi l'agence ukrainienne UNIAN.
"On tente de m'intimider et de me pousser à présenter ma démission, mais je n'ai pas l'intention de le faire (…). Je ne signerai aucun accord avec les bandits qui terrorisent aujourd'hui le pays et le peuple ukrainien", a annoncé M.Ianoukovitch dans un message vidéo diffusé à la télévision nationale.
Il a en outre promis de solliciter l'aide de la communauté internationale pour mettre fin aux activités des "éléments radicaux" opérant dans le pays.
"Ce ne sont pas des opposants, ce ne sont que des bandits", a martelé le chef d'Etat ukrainien.
Toujours selon lui, les protestataires antigouvernementaux ont brûlé près de 200 bureaux de son Parti des régions à travers l'Ukraine.
Vendredi 21 février, M.Ianoukovitch et les chefs de file de l'opposition ont conclu un accord sur le règlement de la crise politique en Ukraine qui prévoyait un retour au régime parlementaire, la formation d'un gouvernement d'union nationale et la tenue de l'élection présidentielle anticipée avant la fin de l'année en cours.
Le document a été signé à l'issue de plusieurs jours d'extrêmes violences à Kiev, où près de 80 personnes avaient trouvé la mort dans des affrontements entre forces de l'ordre et protestataires.
Auparavant, la Verkhovna Rada a adopté une résolution sur « l’auto-désengagement du président ukrainien à exercer les pouvoirs constitutionnels » et a fixé de nouvelles élections pour le 25 mai 2014.
De son côté, le président de l'Ukraine Viktor Ianoukovitch ne reconnaît pas la décision de la Verkhovna Rada sur sa démission. Selon son conseiller, le président Ianoukovitch reste actuellement chef du pays et continuera à exercer ses fonctions.
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A voir!
21/02/2014 – 19h00
MUNICH (NOVOpress) - Ce paysage de carte postale se trouve en Bavière (plus précisément dans ce qu’on appelle la Souabe), et il s’agit d’Oberstdorf. Ville la plus au sud d’Allemagne, Oberstdorf est très connue pour ses tremplins de saut à ski. La ville pratique depuis plusieurs années une politique écologique innovante : 10% de son territoire et de ses communes avoisinantes sont interdits à la circulation automobile. La plus grande centrale solaire de Bavière y est également implantée.
Crédit photo : fkhuckel via Flickr (cc)
L'oligarque avec Hillary Clinton
Incarcérée depuis août 2011, l'opposante a été condamnée en octobre de la même année à passer sept ans de prison pour abus de pouvoir. Son emprisonnement, dénoncé par l'opposition comme une "vengeance politique", a provoqué une grave crise entre Kiev et l'Union Européenne.
En moins de trois ans d'incarcération, l'égérie de la Révolution orange est devenue un véritable symbole d'espoir au sein de la population pro-occidentale de son pays et d'Europe. L'espoir, une notion que l'on retrouve aussi dans son propre parcours en prison à travers les nombreuses tentatives d'organiser sa libération, en vain.
En prison malgré les boycott, manifestations et menaces de l'UE
Le Parlement ukrainien a voté vendredi une loi abolissant l'article du code pénal au titre duquel a été condamnée l'opposante. Cette résolution surprise est passée avec 310 voix sur un total de 450. Même si la mesure doit encore être signée par le président Ianoukovitch pour entrer en vigueur, elle représente la première vraie lueur d'espoir pour Timochenko.
Avril 2012
L'opposante médiatise pour la première fois sa situation en frappant fort. Elle annonce vouloir faire avancer la condition des opprimés politiques — et donc la sienne — en entamant en avril 2012 une grève de la faim. Une grève annoncée comme"illimitée", selon les termes de son avocat, le jour de son transfèrement à l'hôpital pour soigner des graves problèmes de dos.
Mai 2012
Quelques semaines plus tard, les appels au boycott politique de l'Euro 2012 de football, co-organisé en juin par l'Ukraine et la Pologne, se multiplient en Europe en raison de son emprisonnement. La Commission européenne elle-même fait savoir début mai qu'aucun de ses membres ne se rendra dans le pays pour assister à des rencontres si l'ex-premier ministre n'est pas libérée d'ici là. En vain.
Mai 2013
Un an a passé mais le soutien ne faiblit pas. Environ 15.000 personnes, menées par l'opposant ukrainien Vitali Klitschko, défilent à Kiev pour demander la libération de Ioulia Timochenko. La manifestation génère quelques heurts avec des militants pro-pouvoir qui s’étaient rassemblés sur une place proche et fait alors plusieurs blessés.
Juillet - octobre 2013
L'état de santé de l'égérie de la Révolution orange se détériore. Selon sa fille Evguenia, l'ex-Première ministre ukrainienne a besoin de se faire opérer d'urgence par des médecins allemands de la clinique berlinoise de la Charité. Un accord semble enfin se dessiner pour laisser Timochenko rejoindre l'Allemagne quelques mois plus tard quand l'accord de rapprochement entre l'UE et l'Ukraine se finalise, avant d'être écarté par le président qui, dans une volte-face, se retourne vers la Russie.
Comme l'explique Le Monde sur son site, si la libération de Ioulia Timochenko n'est pas encore actée, elle est aujourd'hui probable. Le président peut en effet choisir de ne pas donner son accord mais si le parlement valide une deuxième fois la loi avec plus de deux tiers des votes (comme il l'a fait aujourd'hui), le président ne pourra plus s'opposer à son application.
Des insurgés: sont-ils tous ukrainiens?
L'agitateur arrêté
Publié le : vendredi 21 février 2014
Cette organisation non-gouvernementale « rassemble sans distinction de grade, de sexe, de race, de couleur, de langue ou de religion des membres des services de police, en activité ou à la retraite, en vue de créer entre eux des liens d’amitié et de coopération internationale. [...] L’IPA a été reconnue comme interlocuteur par des organisations internationales telles que l’ONU et le Conseil de l’Europe. Elle est régulièrement consultée pour des matières de police et de sécurité à caractère supranational.»
Se battre contre les policiers ukrainiens : une drôle de manière d’honorer ses engagements associatifs officiels...
E&R
Conférence de presse du mouvement JRE par ERTV
ALTERMEDIA
Enrico Macias: "Les Arabes qui vivent en Israël... par globereporter
A écouter jusqu'au bout - 21 02 14
Le président Viktor Ianoukovitch et l’opposition ukrainienne ont signé vendredi un accord de sortie de crise prévoyant d’importantes concessions du pouvoir, mais qui pourraient apparaître insuffisantes au lendemain du bain de sang qui a endeuillé Kiev.
L’accord, signé vendredi au palais présidentiel en présence des médiateurs européens, prévoit notamment une élection présidentielle anticipée, la formation d’un gouvernement de coalition et une réforme constitutionnelle. Il survient après des violences qui ont fait près de 80 morts depuis mardi à Kiev.
Les trois principaux leaders de l’opposition ukrainienne, Vitali Klitschko, Arseni Iatseniouk et Oleg Tiagnibok, ont signé, de même que les ministres des Affaires étrangères allemand Franz-Walter Steinmeier et polonais Radoslaw Sikorski, a constaté l’AFP. Le représentant de la Russie n’a pas signé. L’opposition, représentée par le « Conseil du Maïdan », avait auparavant donné son feu vert à l’accord à condition que l’actuel ministre de l’Intérieur Vitali Zakhartchenko ne fasse pas partie du prochain gouvernement et que le procureur général Viktor Pchonka ne conserve pas ses fonctions, selon Oleg Tiagnibok.
« Retour à la constitution de 2004 »
Ces deux hommes sont mis en cause pour leur rôle dans la répression policière et judiciaire contre les manifestants en Ukraine. Le président Ianoukovitch avait annoncé dans la matinée le lancement d’une procédure en vue d’une « présidentielle anticipée », sans pour autant avancer de date précise. La prochaine élection présidentielle est programmée pour mars 2015. Il a également promis un « processus de retour à la Constitution de 2004 », qui réduirait les pouvoirs présidentiels au profit du gouvernement et du Parlement, ainsi que la formation d’un « gouvernement d’unité nationale ».
Il répondait ainsi à des revendications majeures de l’opposition, qui occupe depuis trois mois jour pour jour la place Maïdan au cœur de la capitale ukrainienne. Elles pourraient toutefois ne pas être considérées comme suffisantes après les violences qui ont fait près de 80 morts depuis mardi, un niveau de violence inédit pour ce jeune pays issu de l’ex-Union soviétique. Sur l’emblématique place Maïdan où entre 25 000 et 30 000 personnes étaient rassemblées vendredi sous le soleil, les manifestants ne semblaient pas prêts à lâcher du lest, même si l’atmosphère était nettement moins tendue que la veille, avec certains manifestants se prenant en photo ou allumant des feux d’artifice.
E&R
NdB: Le piège mondialiste s'est-il refermé sur l'Ukraine?
Le HuffPost | Publication: 21/02/2014 18h55 CET | Mis à jour: 21/02/2014 19h41 CET