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A lire sur les crimes de l'Epuration
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A lire sur les crimes de l'Epuration
La découverte du corps en contrebas d'un ruisseau a été effectuée par un joggeur vers 17h, a-t-on indiqué de selon une source proche du dossier ainsi que plusieurs témoins à une correspondante de l'AFP venue sur place où l'accès à la zone est bouclée par d'importantes forces de police.
La police scientifique, le maire Jean-Marc Pujol, la préfete des Pyrénées Orientales Josiane Chevalier sont sur place.
Selon L'indépendant.fr, il s'agirait d'une jeune fille entre 17 et 20 ans.
Personne n'a vu le corps, ont rapporté des témoins du quartier venus en masse, en particulier nombre de mères. Il ne semble pas, selon leurs témoignages recueillis par la correspondante de l'AFP, qu'une jeune fille de ce quartier résidentiel du nord de la ville ait disparu. De source proche du dossier, on n'a pas non plus fait état, pour l'heure, d'une disparition de personne.
OUEST-FRANCE
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R.B. avec E.G. | 25 Août 2015, 18h38 | MAJ : 25 Août 2015, 20h24
Les faits se sont déroulés en milieu d'après-midi. Une violente querelle aurait éclaté au sein du camp de gens du voyage, situé tout près de l'autoroute A1. Un homme, peut-être sous l'emprise de la boisson, a ouvert le feu, alors que des gendarmes, alertés, s'étaient rendus sur les lieux.
Les trois blessés graves sont l'homme qui aurait tiré le premier, un autre enfant en bas âge et un gendarme. L'enfant gravement blessé était en arrêt cardiaque et a été mis sous assistance ventilatoire, selon la préfecture.
Le ministre de l'Intérieur a parlé d'une «considérable émotion» après ce drame dans lequel, a t-il dit, le tireur a «tué froidement un bébé de 6 mois, une femme et un homme». «Cet événement montre une fois encore la bravoure des forces de l'ordre», a estimé Bernard Cazeneuve.
Des gens du voyage ne résidant pas le camp auraient accouru sur place, et la situation restait très tendue. Vers 19h30, le ton montait entre journalistes et la communauté des gens du voyage, selon une journaliste du Parisien sur place. Une caméra a été détruite et un homme a été interpellé avec une bombe lacrymogène et un bidon d'essence. Le ministère a dépêché des renforts, aussitôt après ce drame. Tout le quartier est bouclé.
LE PARISIEN
Le « milliardaire insolent » Donald Trump incarne de plus en plus l’homme providentiel pour une amérique dévastée par six années d’Obama. C’est ce que prédisent la majorité des sondages sur la primaire républicaine, certains le plaçant même largement en tête devant ses principaux concurrents, Jeb Bush ou Scott Walker.
Qualifié par la presse française de « raciste, nauséabond, misogyne et offensant » (Vanity Fair), ou encore « virulent et agressif » (Le Monde), il constitue à la fois l’antinomie de l’Obamania, et le contrepied de toutes les fausses valeurs « progressistes », « universalistes » et « démocratiques » prônées par la classe politique occidentale (en fait les valeurs déconstructrices et collectivistes).
Radicalement anti-establishment, il traite les politiciens d’ « imbéciles » aux mains liées par les lobbys. Lui a assez d’argent pour avoir ses propres lobbyistes, « des gens super qui travaillent pour moi ». Ce candidat anti-establishment n’est pourtant pas arrivé là où il en est sans mettre les mains dans le camboui politicien avec son compte en banque estimé à plus de 4 milliards de dollars. Mais il ne le cache pas : «Bien sûr que j’ai dû donner de l’argent. Sinon, l’immeuble dans lequel nous sommes pour cette interview ne ferait que 18 étages, pas 68», affirme-t-il tranquillement sur CNN.
Intransigeant sur l’immigration – clandestine ou officielle – Donald Trump n’a pas peur des mots et son discours est, une fois de plus, plutôt franc : « Quand le Mexique nous envoie ses immigrés, il ne nous envoie pas ses meilleurs » ; « je vais faire construire un grand mur le long de notre frontière sud, et faire régler la note pas le Mexique ». Sur la position des USA face à l’État islamique, il a le meilleur discours qu’un vrai président américain peut avoir : « On revient en Irak, on défonce Daech et on prend le pétrole », une manière de régler rapidement le problème et de cibler la politique désastreuse d’Obama dans la région : « Après être devenu Président, il a abandonné l’Irak. Et quand il est parti, Al Qaida était fini. Le groupe État islamique a été créé en raison du vide que nous avons laissé. »
Quelles chances a-t-il dans la course à la présidentielle ? Largement en tête dans la primaire républicaine, il grapille également, mois après mois, des points à la froide démocrate Hillary Clinton (plus que 6 points d’écarts). Mais d’après une rumeur médiatique, il serait trop obsédé par l’argent : il se retirera de la course après avoir récolté des millions de dollars et bouclé une fabuleuse campagne publicitaire. C’est du moins ce qu’espèrent le monde médiatique et les notables républicains, tremblants à l’idée d’avoir engendré ce golem devenu incontrôlable, parce qu’il est franc et qu’il parle au peuple. Quelle idée !
Ceux qui vomissent la campagne « téléréalité » et la politique « showbizness » de Trump ont souvent été les premiers moutons à supporter l’Obamania, qui n’a été, à bien des égards, que le même genre de spectacle, mais celui-ci, tout à fait admis. Au-delà du spectacle, il est certain que l’Amérique a davantage besoin d’un entrepreneur que d’un politicien ou d’un acteur pour redresser le pays. Et 2016, Donald Trump, incarne peut-être la dernière chance avant que l’Amérique telle qu’on la connaît ne disparaisse à jamais.
Vivien Hoch, août 2015
NDF
Saturation. Depuis le début de l’année, 252 attaques contre des centres d’hébergement ont eu lieu en Allemagne, soit plus d’une par jour. Ce qui participe à l’augmentation des violences anti-clandestins: « Dans la grande majorité des cas, on ne sait pas qui met le feu à un centre d’hébergement, qui tire dessus, qui fait des graffitis avec des croix gammées », explique Robert Lüdecke, de la fondation Amadeu Antonio contre le racisme.
NDF
Ecrit le 24 août 2015 à 8:21 par Claude Picard dans Poing de vue
Avoir été le dirigeant fondateur, combattant virulent et talentueux, d’un incontestable grand Parti protestataire pour devenir un simple grain de sable dans la chaussure de sa fille est pitoyable. On ne peut pas tomber plus bas. On voudrait prouver, que, finalement, on a été toute sa vie qu’un amuseur politique qui avait peur du pouvoir, et pour qui, l’intérêt de la nation était somme toute secondaire, qu’on ne s’y prendrait pas autrement.
Ce qui est sûr, c’est que Jean-Marie Le Pen est un cabotin, un comédien fou de lui-même et de la scène médiatique, qui préfère l’effet de manche à la matérialité du texte. Seule compte la sensation d’être idolâtré par ses partisans, en s’amusant, d’autre part, à se faire haïr par ses détracteurs. Cela l’empêcha toujours d’être un grand. Dommage, car il avait toutes les capacités pour devenir un homme politique de premier plan et un personnage historique. Le cabotin l’a emporté sur le politique et lui fait rater sa sortie. Celle que l’on souhaitait.
Il n’en reste pas moins qu’un grain de sable, c’est gênant pour aller de l’avant. Surtout quand il colle à la peau. Pour s’en débarrasser, ce n’est pas simple. Marine Le Pen, a employé les grands moyens et ne pouvait pas faire moins : l’exclusion ! Pour le géniteur de la fille, et le maître dépassé par l’élève, fondateur de son parti, c’est un affront impardonnable. Et le grain de sable risque encore de se rappeler à son souvenir… Jean-Marie Le Pen a un gros défaut : il n’aime que lui. Égocentrique par essence, il devient inconséquent et sa haine obsessionnelle, pathologique, le rend politiquement dangereux, incontrôlable. Capable du pire, il perd la boussole et ne sait plus où il va.
Heureusement, Marine Le Pen a un atout, que Jean-Marie n’a jamais eu : elle a une cote de popularité et de sympathie appréciable auprès des Français, à laquelle on peut rajouter à peu près 90 à 95 % des sympathisants et des adhérents du Front National qui sont d’accord avec la nouvelle ligne politique qu’elle a impulsée : cela n’est pas négligeable… Sur combien de partisans Jean-Marie Le Pen peut-il compter ? Apparemment pas beaucoup de monde – il va immanquablement en perdre chaque jour davantage – et ce n’est pas les quelques soutiens de la dernière heure des pleureuses professionnelles, comme Christine Boutin, Nadine Morano ou encore Cambadélis et Sarkozy, qui vont changer la donne. Ceux-ci font plutôt sourire… pour ne pas dire, plus ! Quant au soutien judiciaire, n’en parlons même pas, cela devient grotesque.
Néanmoins, la situation reste inconfortable pour le FN : le père devenait fâcheux pour le parti, et il veut encore le rester au-dehors. Cela nous promet un feuilleton interminable, alors que la France est confrontée à un défi historique pour son redressement moral, identitaire et bien sûr économique. Ce n’est vraiment pas le moment. On voudrait bien se passer de cette « Petite Guerre » interne dans un mouvement qui représente, peu ou prou, un espoir pour nombre de Français. Il va falloir à Marine le Pen et à son équipe, un doigté exceptionnel pour garder le cap et pour parfaire la dédiabolisation, mais surtout le professionnalisme.
Le piège est toujours là, paradoxalement, en la figure du père et du fondateur de ce parti, dont la fille a repris le flambeau avec les succès électoraux que l’on sait. Et, le grain de sable risque de revenir dans sa chaussure…
Comment s’en débarrasser ?
NDF
La Bulgarie a envoyé des blindés aux quatre postes-frontières avec la Macédoine pour soutenir la police frontalière en cas d'afflux de migrants, a annoncé mardi le ministère de la Défense.
Plusieurs milliers de migrants ont forcé dimanche la frontière gréco-macédonienne pour gagner en train le sud de la Serbie
Dans une déclaration conjointe, le président français et la chancelière allemande soulignent la «gravité» de la situation et exigent des Vingt-Sept la mise en place rapide d'un «droit d'asile unifié».
Les formules sont quasiment identiques pour souligner la gravité de la situation. Angela Merkel évoque «des défis considérables». François Hollande parle d'une situation «extrêmement grave», «exceptionnelle mais qui va durer». À Berlin, lundi en fin d'après-midi, la chancelière et le chef de l'État semblent sur la même longueur d'onde pour décrire la crise migratoire qui touche l'Europe: des milliers de réfugiés qui tentent chaque semaine depuis des mois de rejoindre le continent, en passant par l'Italie, la Grèce ou les Balkans. Les deux dirigeants ont profité d'une rencontre trilatérale dans la capitale allemande avec le président ukrainien, Petro Porochenko, pour pousser le dossier des réfugiés sur le devant de la scène. En mettant tout leur poids dans la balance, Angela Merkel et François Hollande veulent forcer l'Europe à réagir et à mettre en œuvre «un droit d'asile unifié». «Le plus rapidement possible», a insisté Angela Merkel.
En France comme en Allemagne, le sujet est brûlant. «Ce sont des épreuves pour les familles concernées (de réfugiés, NDLR) mais aussi pour les pays qui sont responsables de les accueillir», a insisté le président de la République lors d'une déclaration conjointe avec la chancelière. Outre-Rhin, les demandeurs d'asile devraient être 800.000 cette année. Un record en Europe. La question vire même à la crise nationale. L'afflux de demandeurs d'asile a ravivé les tensions xénophobes. À Heidenau, en Saxe, trois nuits de violence ont opposé l'extrême droite à la police. Les militants entendaient protester par la force contre l'ouverture d'un nouveau centre d'hébergement. Angela Merkel a dénoncé les actes «racistes inacceptables». «C'est une honte», s'est-elle offusquée. Ce week-end, la chancelière avait été critiquée par l'opposition pour son manque d'indignation face à ces mouvements.
«Ce sont des épreuves pour les familles concernées (de réfugiés, NDLR) mais aussi pour les pays qui sont responsables de les accueillir»
L'Europe reste divisée sur la question de la répartition des réfugiés. Après avoir envisagé des quotas, refusés par ses partenaires, Berlin a dû faire machine arrière. Lundi, Angela Merkel et François Hollande ont seulement évoqué, sans en donner la clé, «une répartition équitable» entre les pays membres. «Ce qui n'est pas le cas à l'heure actuelle», a insisté la chancelière. Pour distinguer les réfugiés qui auraient vocation à demeurer en Europe, notamment ceux provenant de pays en guerre comme la Syrie, d'une migration pour raison économique «qu'on peut comprendre mais qui ne peut être acceptée en tant que telle», selon la formule de François Hollande, les deux dirigeants ont de nouveau réclamé l'ouverture de «centres d'accueil et d'enregistrement» dans les pays d'arrivée. Angela Merkel souhaite leur ouverture dès «cette année». «Nous ne pouvons accepter aucun retard», a-t-elle ajouté. Pour rendre la mesure efficace, la France et l'Allemagne attendent aussi de l'Europe qu'elle harmonise ses normes d'accueil en établissant une liste de «pays sûrs», vers lesquels les expulsions seraient plus faciles. Pour l'instant, l'impulsion franco-allemande ne s'est pas montrée suffisante.
NdB: C'est un CRIME de laisser envahir l'Europe sans réagir! - Quelle hypocrisie dans ces déclarations qui préparent en fait le Grand Remplacement!
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Calais subit toujours de plein fouet l’afflux de ces milliers de migrants qui tentent de trouver refuge en Angleterre.
Pourtant, certains d’entre eux renoncent à la Grande-Bretagne au profit de la Bourgogne. A Pouilly-en-Auxois, un immeuble leur est entièrement consacré, cela grâce à Adoma, une société de service public qui s’occupe des logements des travailleurs migrants. [...]
Extrait Audio :
Un ancien HLM de près de 90 studios, en parfait état, tout confort, qui accueille depuis plusieurs mois des migrants, parmi eux Mahamat, un soudanais de 28 ans : « La France, c’est ce qu’il y a de mieux pour moi, je peux enfin dormir, il y a des medecins, j’ai de quoi manger, de quoi boire, je suis vraiment bien ici, j’ai fait une demande pour des papiers français » [...] La sécurité, mais surtout le repos, c’est en effet ce qui plait le plus à Mahamat [...]
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La Croix Rouge ne se doutait pas que ses colis si bien préparés seraient refusés avec des cris et des hurlements !
Comme nous pouvions nous y attendre, voici quelques titres concernant Ayoub El-Khazzani, l'auteur de l'attaque :
Attaque du Thalys : Ayoub El Khazzani, "un bon garçon travailleur", selon son père (FranceTV Info)
Thalys: Ayoub El Khazzani "ne parlait que de football et de pêche" (L'Express)
Ayoub El Khazzani décrit par son avocate: un "SDF" "squelettique", "peu instruit" et "paumé" (RTL)
Ayoub El Khazzani décrit comme un "SDF paumé" par son avocate (Le Point)
Ayoub El-Khazzani : "je n’ai aucune idée de ce qui lui est passé par la tête" explique son père (L'Info.re)
Ayoub El Khazzani : du "bon garçon" au "SDF paumé" (Yahoo)
N'oubliez pas : 1 comprimé matin et soir
LE SALON BEIGE
Marion Maréchal-Le Pen se mordillait légèrement les lèvres avant d'aborder l'exclusion du Front National de son grand-père. Faisant craqueler son habituelle maîtrise de la communication. "J'étais contre", a-t-elle lâché d'emblée dans nos colonnes, lors d'une rencontre samedi à Digne, où elle effectuait sa rentrée.
"Cette exclusion, c'est s'ouvrir la porte à des ennuis supplémentaires, justifiait la députée FN de Vaucluse. J'aurais préféré un temps mort avant d'entamer le marathon de trois mois et demi de la campagne", ajoutait la tête de liste aux élections régionales de décembre en Provence Alpes Côte d'Azur.
En signalant qu'elle était contre l'exclusion de Jean-Marie Le Pen, une décision prise jeudi soir par le bureau exécutif où ni elle, ni Marine Le Pen ne siègent, la Vauclusienne garde néanmoins ses distances et lève le voile sur sa stratégie. Qui vise à ne pas froisser son grand-père, toujours capable de monter une liste dissidente en Paca, sans trop offusquer sa tante.
"La stratégie de l'apaisement, pointe son directeur de campagne Frédéric Boccaletti. Elle a toujours été comme cela, mais n'en a pas fait étalage. Ce n'est pas dans sa culture. Mais elle a pris du recul justement pour ne pas envenimer."
Un des proches de Marion Maréchal-Le Pen glisse aussi qu'au moment où la crise était la plus forte, lorsque Jean-Marie Le Pen tirait tous azimuts, y compris sur sa petite-fille, "cela n'aurait servi à rien de chercher à calmer le jeu."
Quand le "Menhir" l'a ainsi traitée publiquement de "perfide", elle s'est contentée d'un texto, écrivant "sympa..." à son grand-père. "Elle garde de l'affection et de l'admiration pour lui." Un message qu'elle a voulu faire passer à sa tante Marine lors d'une longue conversation, juste avant l'exclusion. "Je n'ai pas ses contraintes de présidente", glisse-t-elle, déçue.
L'analyse bienveillante fond dans l'ironie des adversaires politiques qui, à l'image du candidat PS Christophe Castaner, dénoncent "de la stratégie pure, aucune solidarité avec son parti" et "le passage d'une aventure familiale à une aventure personnelle."
La défiance des fidèles de Jean-Marie Le Pen acidifie également le propos. "Marion Maréchal cherche à préserver l'électorat de Jean-Marie Le Pen. Je doute de ses cris d'orfraie et de ceux qui la manipulent après avoir vendu l'âme du parti au diable", cingle l'élu marseillais Laurent Comas, suspendu du FN. "Elle joue double jeu", ajoute celui qui a préparé une liste dissidente en Paca, espérant l'aval du grand-père.
Tout à la préparation du recours contre son exclusion, dont plusieurs éléments indiquent qu'il devrait l'emporter une nouvelle fois juridiquement, Jean-Marie Le Pen pourrait profiter des universités d'été du parti, les 5 et 6 septembre à Marseille, pour lever les doutes.
"Ce serait l'occasion pour lui de lancer un appel à l'union derrière Marion, plaide le sénateur marseillais Stéphane Ravier. Elle ne mérite pas qu'on lui savonne la planche. Il dynamiserait sa campagne au lieu de la dynamiter." Il va cependant en falloir un peu plus pour amadouer le cofondateur du FN. "L'agitation médiatique retombera, mais lui ne lâchera pas", sait Marion Maréchal-Le Pen.
LA PROVENCE