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  • «Grosse truie noire venue d'Afrique» : menacée de mort, la députée Laetitia Avia porte plainte Politique

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    Laetitia Avia, lors d'une réunion publique dans la 8e circonscription de Paris le 7 juin 2017./ SIPA
     

    L’élue LREM de Paris Laetitia Avia, a reçu ce mercredi 28 février un courrier anonyme envoyé dans son bureau de l'Assemblée nationale. Une missive des plus violente que l’élue a choisi de partager sur Twitter avant d’aller porter plainte au commissariat.

    « L'Africain est à mi-chemin entre le singe et l'homme. Compte tes jours, on va s'occuper de toi. » Des mots d’une violence rare que la députée LREM de Paris, Laetitia Avia, a reçu dans une lettre anonyme ce mercredi. « Madame, ce n'est pas une grosse truie noire venue d'Afrique qui va se permettre de se mêler de la vie des Français. Votre passage dans les médias nous donne la nausée », peut-on lire dès les deux premières lignes du courrier publié par la députée sur Twitter.

    La Dépêche

  • Grande-Bretagne : un « prédateur sexuel » afghan condamné pour avoir violé une femme enceinte dans son propre lit et sous la menace d’un couteau

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    13h03

    Un «prédateur sexuel» qui a violé une femme enceinte sous la menace d’un couteau, dans son propre lit, a été emprisonné à vie.

     

    Le ressortissant afghan Aryan Rashidi, 20 ans, entrée illégalement au Royaume-Uni dans un camion, avait également commis une agression sexuelle contre une autre victime en juin 2016 alors qu’elle dormait dans son lit avec son mari dormant à côté.

    En octobre 2016, l’Afghan a pénétré dans un appartement en rentrant via la fenêtre de la salle de bain restée entre-ouverte.

    Il a violé une femme enceinte endormie pour «satisfaire ses besoins sexuels», a entendu la cour de justice de Leeds.

    Le tribunal a constaté que les deux victimes ont été profondément traumatisées et ont dû déménager car elles ne se sentaient plus en sécurité chez elles.

    Daily Mail

  • Les Brigandes - Paroles d'Alain Delon

  • « Française de papier » : quand Nadine Morano use d’une expression d’extrême droite contre Rokhaya Diallo

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    13h17
     

    Nadine Morano puise une nouvelle fois dans le champ lexical de l’extrême droite. Dénonçant des propos tenus par l’activiste Rokhaya Diallo sur le plateau de Cyril Hanouna ce lundi 26 février, l’eurodéputée nommée fin janvier conseillère de Laurent Wauquiez à la tête du parti Les Républicains (LR) a qualifiée celle-ci de « Française de papier ».

    Nadine Morano réagissait à une séquence mettant face à face, dans Touche pas à mon poste (TPMP) sur C8, la chroniqueuse à Bernard de la Villardière, présentateur sur M6 du magazine Enquête exclusive« J’aime pas du tout ce que vous faites », commence Rokhaya Diallo, avant de lui reprocher une « fausse neutralité » et ses positions sur le foulard islamique. « C’est pas un foulard comme un autre, c’est un hijab, qui recouvre non seulement les cheveux mais aussi le cou et les oreilles, c’est une doctrine que je dénonce et j’ai le droit de considérer qu’une femme qui porte le hijab, c’est une régression », se défend le journaliste. Fidèle à sa propre vision idéologique, la militante n’en démord pas, refusant que quiconque porte un jugement sur le hijab : « Je ne suis pas d’accord avec vous, ce n’est pas à vous de dire comment les femmes doivent s’habiller ».

    Réagissant plus tard dans la soirée, Nadine Morano pointe sur Twitter « l’intolérance, l’arrogance, la suffisance de la militante Rokhaya Diallo », ajoutant que celle-ci « combat la culture, les racines de la France et fait la propagande scandaleuse de la régression de la femme avec le hidjab ». Et de conclure son tweet ainsi : « Française de papier ».  (…)

  • Allemagne : plusieurs décès dus à l’incompétence de médecins étrangers

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    J-3

    Le Conseil de l’ordre des médecins de Westphalie-Lippe [région de Rhénanie-du-Nord-Westphalie] sonne l’alarme : des lacunes dans les connaissances professionnelles de médecins étrangers voulant travailler en Allemagne menacent de peser sur la qualité des soins donnés aux patients, selon Theodor Windhorst (Bielefeld), président du Conseil de l’ordre. La raison en est que le Conseil n’a le droit de vérifier que leurs compétences linguistiques, mais pas leurs compétences professionnelles.

     

    Aux dires du gouvernement régional, c’est une tâche qui est du seul ressort des gouvernements d’arrondissement. Windhorst : « Nous trouvons inadmissible d’être condamnés à l’inaction lorsque nous constatons des insuffisances professionnelles. » De telles déficiences ont déjà coûté des vies humaines en Westphalie-Lippe, ce qui est attesté par des décisions de justice. Un enfant est par exemple mort à la naissance dans un hôpital de Westphalie-Lippe, suite au manque manifeste de connaissances, pourtant certifiées par son pays, d’une gynécologue venue de Libye. Cette doctoresse a été condamnée à une peine avec sursis pour homicide par imprudence et elle a continué à travailler dans un autre hôpital.

    […]

    La région ne peut se passer des médecins étrangers. Leur pourcentage parmi les internes des cliniques se situait début 2016 en Westphalie Est-Lippe entre 48 pourcent à Bielefeld et 80 pourcent au moins dans le district de Höxter. Tout patient a sans doute fait l’expérience du niveau de langue variable chez les médecins du monde entier. […]

    (Traduction Fdesouche)

    Neue Westfälische

  • La soupe populaire d’Essen en Allemagne instaure la préférence nationale

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    27/02/2018 – ALLEMAGNE (NOVOpress)
    Depuis le mois de janvier, la banque alimentaire d’Essen, dans le bassin de la Ruhr, refuse de distribuer de la nourriture à de nouveaux réfugiés étrangers.

    Le président de l’organisation fédérale, la Tafel, ainsi que le gouvernement de Westphalie-Rhénanie se sont aussitôt désolidarisés de la décision en affirmant que le niveau de pauvreté plus que l’origine devait être décisifs.

    De leurs côtés, les responsables locaux justifient cette mesure par le comportement des réfugiés qui « manque de respect envers les femmes » et provoque des « bousculades » dans les files d’attente.

    Jörg Sartor, responsable d’Essen a ainsi déclaré : « Nous voulons que la grand-mère allemande puisse continuer à venir ».

  • Renaud Camus sur la Jeanne d’Arc métissée : « Un piège diabolique »

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    Par Renaud Camus, écrivain ♦ La désignation d’une jeune française aux origines mixtes (polonaises par sa mère et béninoises par son père) pour incarner Jeanne d’Arc lors des prochaines fêtes johanniques d’Orléans n’en finit pas de faire couler de l’encre dans le milieu de la droite française. Renaud Camus, écrivain et infatigable combattant du Grand Remplacement a lui aussi pris la parole sur cette affaire qui semble déchirer la grande famille de la droite.


    Plieux, vendredi 23 février 2018, minuit.  Les réseaux sociaux ne bruissent que de l’affaire d’Orléans, autour du choix d’une jeune métisse d’origine béninoise et polonaise, Mathilde Edey Gamassou, pour incarner Jeanne d’Arc aux prochaines fêtes johanniques. Il y avait là, pour les adversaires du changement de peuple, un piège diabolique, évidemment. Ils se sont empressés d’y tomber, moi le premier, car le moyen de faire autrement ?

     

    Parmi ces antiremplacistes la majorité ne trouve rien à redire, je le constate, à cette innovation un peu forte, une Jeanne d’Arc noire, ou demi-noire : la jeune fille est catholique, elle habite Orléans depuis longtemps, elle est profondément attachée, nous dit-on, à l’héroïne nationale et à la France. Bien, très bien : il n’est évidemment pas question — c’est encore trop d’avoir à l’écrire — d’insulter si peu que ce soit cette jeune personne, de mettre en doute sa sincérité, ou de lui causer le moindre chagrin, si du moins on peut l’éviter. Il reste qu’il n’est pas possible non plus d’envisager cet épisode en dehors du contexte politique, qui n’a pas grande importance, mais surtout du contexte historique, démographique, ontologique : celui du changement de peuple imposé, du remplacement ethnique, du génocide par substitution. Voici que la Pucelle d’Orléans, d’héroïne de la résistance qu’elle était, devient emblème du consentement, de la résignation, de la soumission. Et encore il faudrait applaudir, remercier.

    Toutes les catastrophes qui ont été infligées à notre peuple depuis un demi-siècle l’ont été par ce procédé simple, et d’une efficacité sans pareille : obliger l’adversaire, s’il entend protester contre elles,  à tenir l’emploi du méchant — que personne ne souhaite assumer, évidemment : qui veut chagriner Mlle Gamassou ? qui veut jouer le rôle de l’affreux raciste ? C’est à quoi tout opposant est contraint, pourtant, à moins qu’il ne se résigne à se taire, et à accepter le fait accompli, dès lors qu’à la jeune Mathilde  échoit le rôle de Jeanne d’Arc. Or c’est là, d’évidence, une étape décisive dans l’effacement du peuple français, dans l’éradication de sa mémoire, dans la suppression de tout lien charnel entre sa pauvre existence d’aujourd’hui et ses aïeux, qui sont à peu près tout ce qui lui reste.

    Tous les vertueux ont répété à l’envi, toute la journée, la bonne doctrine, et l’article de catéchisme afférent : « être français, ce n’a jamais été une couleur de peau ». Or il faut avoir le courage de l’assumer, avec quinze, vingt ou trente siècles de l’histoire de ce territoire, dès avant qu’il ne s’appelle France : bien sûr que si, c’est une couleur de peau. Ce ne l’est pas exclusivement, bien entendu, c’est bien autre chose aussi, ce peut aussi ne pas l’être, il y a de nombreuses exceptions, mais elles restent des exceptions, car ce l’est es-sen-ti-el-le-ment. De Gaulle a dit là-dessus tout ce qu’il y avait à dire, comme souvent ; et sa phrase fameuse est plus que jamais d’actualité, selon laquelle c’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns, mais à condition qu’ils restent une petite minorité :

    « Sinon, la France ne serait plus la France ».

    Pour ma part je n’en démords pas.

    Pareille conviction est allée absolument sans dire pour tous nos aïeux sur des dizaines de générations, jusqu’aux deux ou trois dernières. Elle est d’ailleurs, mutatis mutandis, celle de tous les peuples de la terre, et notamment de ceux qui sont en train de nous remplacer, et qui ne peuvent le faire qu’à raison de notre silence. C’est ce silence qui nous livre. C’est ce sans dire qui nous perd, car il est exploité contre nous par les envahisseurs, bien sûr, mais d’abord, et surtout, plus cyniquement, par les omniprésents lobbyistes de l’industrie de la MHI. Il ne reflète à la vérité qu’une évidence si forte et si partagée que nul n’aurait seulement songé, aussi longtemps que la France fut la France, à la traduire en mots. Mais à présent qu’elle ne l’est plus, ou si peu, et si mal, ce sans dire est interprété et présenté, de la façon la plus mensongère, par ceux qui veulent à tout prix noyer les Français dans la pâte humaine universelle, comme un consentement doctrinal, consubstantiel à la nation.

    Pour faire disparaître les races et les peuples, l’antiracisme est bien plus efficace que le racisme. Le remplacisme ne s’y trompe pas, d’ailleurs, qui l’a choisi comme allié privilégié, jusqu’à se confondre avec lui. Ils ont compris qu’un vrai génocide, pour être efficace et mené jusqu’à terme, ne saurait être accompli, désormais, qu’au nom du bien : c’est la condition nécessaire pour obtenir le soutien indispensable des génocidés — qu’il importe de convaincre, non seulement qu’ils n’existent pas, mais qu’ils n’ont jamais existé : d’où la formidable campagne actuelle pour mettre des arabes et des noirs partout, non seulement dans tous les coins et recoins du territoire, par le truchement du prétendu “logement social’, et par le biais de la redistribution des non moins prétendus “réfugiés”, mais dans tous les coins et recoins des siècles, aussi bien, de l’histoire et de la littérature : qu’il s’agisse des chevaliers de la Table ronde, des Trois Mousquetaires ou des courtisans de Louis XV. Avec Jeanne d’Arc, un pas décisif de plus est franchi. Bientôt on ne pourra plus distinguer Napoléon de Roustan.

    Le défi qui nous est lancé, d’ailleurs, doit être considéré de façon plus large encore, philosophique, presque métaphysique. Il s’agit toujours, en conformité avec les caractères fondamentaux du remplacisme global — cette haine de l’être —, et selon les pulsions constantes de la modernité prométhéenne, de refuser le donné, le déjà-là, l’acquis, l’irréversible ; et de jeter à la face des dieux que l’homme est tout-puissant, même sur le passé : pourquoi les géants en surpoids ne pourraient-ils être jockeys, les personnes de petite taille basketteurs, les hommes enceints, les homosexuels mariés (ensemble) et pères de famille ; et pourquoi les blancs ne pourraient-ils incarner Mandela ou Martin Luther King, et les noirs figurer Jeanne d’Arc ? Qui dit que ce doive être une femme, d’ailleurs ? Pourquoi ne serait-ce un garçon ? Je suis sûr que les statuts des fêtes johanniques n’ont même pas songé à l’exclure…

    Mlle Gamassou doit bien s’en convaincre, et ceux qui nous accusent d’humilier Mlle Gamassou doivent bien le comprendre : ce n’est pas une humiliation, de ne pouvoir incarner Jeanne d’Arc. On me dirait que je ne peux pas incarner Anne Frank, ou Nelson Mandela, je ne le prendrais pour une insulte personnelle. Et je trouverais fort niais de consacrer ma vie à bien prouver que si, je le peux, ou à devenir critique musical, si j’étais  sourd, ou peintre, si je n’avais pas de bras, ou contrefait et monstrueux, si j’étais très beau et très bien bâti : c’est tout ordonnancer autour d’une impossibilité, se laisser obséder par elle, au lieu d’exploiter le champ du possible, et d’y fonder sa liberté.
    Le remplacisme global est bien l’enfant de mai 68 et de la révolution petite-bourgeoise. Il s’interdit de s’interdire. Tout lui est bonheur de ce qui abolit les frontières, les empêchements, les distinctions, les limites, qu’elles soient géographiques, conceptuelles ou morales. Rien de ce qui est ne l’entrave. Il ne veut surtout pas d’héritage, ce facteur d’inégalité, de discrimination, de grumeaux. Il est toujours prêt à tout reprendre au début : d’autant que le passé n’est jamais bien profond, à ses yeux, ni le futur bien distinct. Tout lui est présent, rien ne lui est présence. Que les choses soient, voilà ce qui lui est intolérable : et surtout qu’elles soient ce qu’elles sont. Être lui semble une prétention abusive, et surtout qu’il comprend mal. Ce n’est pas dans sa culture, comme il dit. Il échange, déconstruit, subtilise, remplace. L’important est que les usines tournent vingt-quatre heures sur vingt-quatre, que la MHI soit livrée, que ceux qui l’ont produite l’achètent, et ainsi se dévorent eux-mêmes.

    Renaud Camus
    23/02/2018

    Source : Journal en ligne de Renaud Camus

    Crédit photo : Albert Lynch [Domaine public], via Wikimedia Commons

  • JT TVL 27 FEVRIER 2018

  • Clash chez Hanouna : Bernard de la Villardière Vs Rokhaya Diallo (MàJ : extrait entier)

    http://www.fdesouche.com/961197-clash-chez-hanouna-bernard-de-villardiere-vs-rokhaya-diallo

    2 vidéos à voir absolument!

  • Découverte en Espagne de peintures rupestres de 64.000 ans

    Dans une grotte de La Pasiega, en Espagne, sur la paroi, on devine une sorte d'échelle rouge et une silhouette d'animal, puis une bête à cornes, des formes géométriques. Ce serait l'oeuvre du plus vieil artiste de l'humanité découvert à ce jour. "Le plus fantastique, c'est que ce panneau a un âge minimum de 64 000 ans. Il y a 64 000 ans, ici en Espagne, il n'y avait qu'une seule espèce humaine : l'Homme de Néandertal", explique Dirk Hoffmann, de l'Institut Max Planck (Allemagne).

    30 000 ans avant Lascaux

    Cette découverte spectaculaire permet de réviser tous nos préjugés sur notre lointain cousin. Sur l'échelle humaine depuis des millions d'années, Néandertal est le dernier avant l'homme moderne, l'Homo sapiens, notre espèce humaine. Néandertal, artiste méconnu de la grotte espagnole, œuvrait ici 30 000 ans avant les peintres des célèbres grottes de Lascaux (Dordogne).

     

  • Bouchemaine (49) : Estelle, assassinée et jetée dans la Loire par son ex-compagnon Badr Smati

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    10h21
     
    Estelle Veneut avait disparu jeudi soir, à Bouchemaine, près d’Angers. Badr Smati, son ancien compagnon, a reconnu, samedi 24 février, être responsable de sa mort. Il a été mis en examen ce dimanche 25 février et écroué.

     

    C’est désormais une certitude, confirmée, ce dimanche après-midi par Céline Maigné, vice-procureur du parquet d’Angers. Estelle Veneut est morte. La jeune femme de 34 ans, assistante pédagogique à l’Université catholique de l’Ouest d’Angers (Maine-et-Loire), avait disparu jeudi soir, après avoir assisté à un pot de départ à la retraite d’une collègue.

    Au bout de quelques heures, ses proches, sans nouvelles, avaient lancé des appels sur les réseaux sociaux, pour tenter de la retrouver. Son meilleur ami, par exemple. Et, surtout, son ex-compagnon, Badr Smati. « Merci de partager et surtout de donner la moindre nouvelle. Même qui semble insignifiante. Je vous en supplie », écrivait-il, notamment, sur sa page Facebook. Il avait même changé sa photo de profil pour la remplacer par celle d’Estelle Veneut. Souriante.

    Badr Smati, 33 ans, s’était d’ailleurs présenté aux gendarmes en audition libre, vendredi matin. Mais selon une source proche de l’enquête, ses déclarations, confuses, avaient semé le trouble dans l’esprit des enquêteurs. Les propos de la fille âgée de 6 ans que le couple avait en commun, recueillis à la Permanence d’accueil pédiatrique de l’enfant en danger (Paped), avaient renforcé leurs doutes. L’ex-compagnon d’Estelle, impliqué dans le cyclisme local, a finalement été placé en garde à vue. Cette dernière a été prolongée samedi matin. C’est en étant entendu dans ce cadre que, selon Céline Maigné, « il a reconnu être impliqué dans le décès d’Estelle Veneut ».

    Quoi qu’il en soit, l’enquête se poursuit. Notamment pour faire toute la lumière sur les circonstances du drame qui s’est joué jeudi soir. Le parquet ne divulgue aucune information à ce sujet. Une dispute conjugale serait à l’origine du drame. Son ex-compagnon l’aurait étranglée.
    Ce que Céline Maigné confirme, par contre, c’est que Badr Smati a reconnu s’être débarrassé du corps et de la voiture de sa compagne dans la Loire, aux environs de la commune de Béhuard. Les recherches s’y poursuivaient, dimanche, pour retrouver son cadavre.

    Selon nos informations, Badr Smati, présenté comme un homme particulièrement jaloux, était séparé de sa compagne depuis trois semaines. Il a été déféré dimanche matin au juge d’instruction, mis en examen et placé en détention.

    Ouest France

  • En Turquie, la morale islamique défie la raison

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    18h49
     

    Sous la tutelle du gouvernement Erdogan, la Diyanet, direction des affaires religieuses, veut façonner « une génération pieuse ». Quitte à affirmer que la Terre est plate ou que Noé avait un téléphone portable.

    « L’épilation est-elle un péché ? », « Je me suis fait une teinture des cheveux, mon jeûne est-il valable ? », « Puis-je mâcher un chewing-gum pendant le ramadan ? », « Les rapports sexuels sont-ils autorisés pendant le mois sacré ? » Voici le genre de questions qui arrivent sur le standard d’« Allô Fatwa », une ligne verte disponible 24 heures sur 24 en Turquie, que Diyanet met à la disposition du public. […]

    «La Terre est plate », constatait récemment Tolgay Demir, le chef des jeunes stambouliotes au sein du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) dans un article publié sur le site du parti. Selon lui, ceux qui pensent que la Terre est ronde « se sont fait mener en bateau» par la « franc-maçonnerie» et par les « photos truquées» de la NASA.

     

    La palme de l’absurde revient sans conteste à l’universitaire Yavuz Örnek, qui s’est illustré en affirmant en direct, le 5 janvier, sur la chaîne turque TRT 1 que Noé avait pu joindre son fils au moyen d’un téléphone portable juste avant le Déluge.

    « Noé et son fils se trouvaient à plusieurs kilomètres l’un de l’autre. Le Coran dit que Noé a parlé avec son fils. Mais comment ont-ils pu communiquer ? Par quel miracle ? Nous pensons qu’ils ont utilisé un téléphone portable. » Une théorie que M. Örnek, qui prétend «parler au nom de la science», a tout le loisir d’enseigner aux étudiants de la faculté des sciences de la mer de l’université d’Istanbul, où il donne des cours.

    Le Monde

  • Ferrette : l’institutrice enseigne aux migrants, les enfants du village sans école depuis 5 semaines

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    Voilà une histoire inhabituelle. Ferrette est une commune du Sundgau (sud de l’Alsace, à la frontière suisse, notre illustration à la une) de 683 habitants. Le village avait fait la une il y a un an, car c’était un des premiers villages en Alsace à accueillir des migrants. Plus de 80 migrants, soit plus de 10 % de la population du village, y ont été accueillis. Aujourd’hui, loin de l’idylle décrit par les journalistes, les habitants en ont assez. En cause, l’absence d’école pour les enfants du village depuis 5 semaines.

    Acte I – L’institutrice du village part enseigner le français aux migrants

    Comme dans beaucoup de centres d’accueil, des cours sont dispensés par l’Éducation Nationale, afin de favoriser une meilleure intégration des nouveaux venus : la langue française est ainsi enseignée, car peu la maîtrisent vraiment. Une vingtaine d’enfants de 4 à 8 ans sont arrivés en début d’année dans ce centre. L’institutrice du village est ainsi affectée à leur instruction. Bien évidemment, une remplaçante vient faire cours aux élèves de Ferrette : pas question en effet d’abandonner ces enfants, leur instruction est obligatoire, rappelons-le. Tout a été prévu.

    Vraiment ?

    Acte II – La remplaçante tombe malade

    Les aléas de la santé, la remplaçante tombe malade. Visiblement c’est assez grave, puisque voilà 5 semaines que celle-ci n’a pas pu donner des cours. Le problème est ici : rien n’a été prévu pour remplacer la remplaçante, et les enfants de Ferrette n’ont donc pas école depuis 5 semaines. Une situation difficilement acceptable pour les habitants, sachant que les migrants ont eux des cours assurés par l’ancienne institutrice.

    Acte III – Les habitants en colère

    Pour les parents d’élèves, la pilule est difficile à avaler. Leurs enfants vont avoir des lacunes à cause de cette interruption longue de l’enseignement. Il faudra rattraper ce retard. Bien évidemment, une telle situation ne renforce guère la sympathie des autochtones pour les migrants. Le maire aurait ainsi fait détruire l’ancienne caserne de pompiers pour éviter qu’on y loge des migrants supplémentaires.

    L’Éducation Nationale, mise en cause, va devoir trouver rapidement une solution…

    [source : Alsace Actu]
  • Jean-Marie Le Pen n'ira pas au congrès du FN et appelle ses soutiens à le boycotter

     

    Invité sur RTL ce lundi matin avant la publication du premier tome de ses Mémoires ce 1er mars, Jean-Marie Le Pen a déclaré qu'il ne se rendrait pas au congrès de refondation du Front national dans deux semaines. "Je ne me rendrai pas à Lille car je ne veux pas me rendre complice de l'assassinat du Front national", a-t-il expliqué.

    Il appelle ses soutiens au boycott : "Je demande à tous mes amis qui souhaitaient venir à Lille pour me soutenir, de ne pas le faire. Je n'irais pas à Lille, parce que je ne veux pas être complice de l'opération de force qui a été annoncée par Steeve Briois".

    L'Obs

  • JT TVL 26 FEVRIER 2018

  • Massacre en Suède : une jeune femme de 21 ans tuée d’une centaine de coups de couteau par un Syrien car « elle faisait trop de bruit en jouant de la musique ». La sœur de la victime, elle aussi poignardée, est entre la vie et la mort.

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    19h24

    Vetlanda (Suède). Un Syrien de 26 ans a été arrêté pour le meurtre brutal d’une jeune femme de 21 ans, ainsi que pour une tentative de meurtre sur la sœur de la victime, âgée de 24 ans, qui est grièvement blessée.

    La jeune femme tuée a été atteinte d’une « centaine de coups de couteau ».

     

    Selon les informations parues dans la presse locale, le meurtrier et la victime habitaient une résidence dans la municipalité de Vetlanda, ils étaient voisins, et se sont disputés sur des nuisances sonores supposées dans l’appartement de la jeune suédoise qui jouait parfois de la musique chez elle.

    Le meurtrier, né en Syrie et arrivé en Suède en mai 2013, vivait dans l’appartement du dessous et n’aurait pas supporté le volume sonore…

    La sœur de la femme assassinée a également été attaquée, elle a survécu au massacre en « faisant la morte », mais elle a été gravement blessée.

    Elle a reçu une « trentaine de coups de couteau ».

    « C’est un horrible massacre » a déclaré la police.

    Samnytt.se / Samtiden.nu

  • Marine Le Pen sur TVLibertés

  • Stéphane Ravier alerte les Français sur la "Loi Asile et Immigration" et le Rapport Taché

    https://www.facebook.com/search/top/?q=St%C3%A9phane%20Ravier

    Vous n'avez qu'à cliquer sur ce lien pour voir la vidéo du sénateur Stéphane Ravier.

    Avec cette Loi mortifère, nous sommes au coeur du Grand Remplacement. C'est l'explosion programmée de l'identité française. Ne faisons pas les autruches.

  • Macron veut priver Pologne et Hongrie d'aides européennes, car elles «ne respectent pas les valeurs»

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    Viktor Orban, Angela Merkel et Emmanuel Macron à Bruxelles le 23 février 2018
     

    Alors que Bruxelles cherche à faire des économies pour pallier le départ du Royaume-Uni, le président français a proposé de conditionner le versement des fonds européens au respect des «valeurs» de l'UE, pointant du doigt la Hongrie et la Pologne.

    Le Brexit devrait laisser un trou d'environ 10 à 13 milliards d'euros par an dans le budget de l'Union européenne : de quoi raviver les tensions entre les Etats membres et notamment entre les pays occidentaux et les pays de l'Est. A l'occasion d'un premier sommet européen consacré à la question budgétaire post-Brexit qui se tenait le 23 février à Bruxelles, le président français Emmanuel Macron a brandi la menace d'une éventuelle diminution des versements de l'UE aux pays ne respectant pas la ligne politique fixée par les 28 Etats, qui ne seront bientôt plus que 27.

    Le chef de l'Etat estime en effet que la Pologne et la Hongrie tirent excessivement profit des règles européennes dans leur propre intérêt. «Ils nous prennent un peu pour des imbéciles», a-t-il déclaré au sujet de Viktor Orban et Mateusz Morawiecki, respectivement Premier ministre hongrois et Président du conseil des ministres polonais.

    Si le président français tente bien évidemment de s'imposer comme le porte-voix de la refondation de l'UE sur la scène européenne, son irritation reflète bien les tensions qui s'accroissent depuis plusieurs mois entre Bruxelles et ces deux pays. Alors qu'une procédure contre la Pologne a été déclenchée par la Commission européenne le 20 décembre 2017, l'UE estimant que Varsovie commettait une «violation grave» de l'Etat de droit avec sa réforme judiciaire, Emmanuel Macron a fortement condamné les choix politiques du gouvernement polonais, allant jusqu'à  évoquer des sanctions : «Il serait de bon sens de suspendre le versement de fonds [...] quand les gens ne respectent pas les valeurs» européennes.

    Quant à Viktor Orban, Emmanuel Macron lui a réservé ses propos les plus durs. Si les différends entre Bruxelles et Budapest sur la question des quotas de migrants font régulièrement surface dans le débat politique, le chef de l'Etat français a élargi sa critique de la ligne politique hongroise à la question économique. «Quand on détricote l'Europe, quand on utilise les fonds [européens] pour faire du dumping social et fiscal, on prend les contributeurs nets un peu pour des imbéciles : la solidarité se justifie parce que nous avons des valeurs et des projets communs. Ce n'est pas un self-service», s'est agacé Emmanuel Macron.

    La perspective de la sortie du Royaume-Uni de l'UE impose aux 27 pays restants de rogner sur certaines dépenses. Si la Politique agricole commune (PAC) devrait en faire les frais, les fameux fonds de cohésion et les aides territoriales, supposés égaliser les niveaux économiques des différents Etats membres, devraient être les premières dépenses réduites : ils représentent près d'un tiers du budget de l'UE. Or, la Hongrie et la Pologne comptent parmi les premiers bénéficiaires de ces aides, touchant respectivement 25 milliards et 80 milliards d'euros pour la période 2014-2020.

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    RT

    NdB: L'accueil de plusieurs milliers de migrants - une "ligne politique" de l'UE qui coûte des milliards d'euros! Macron se garde bien  de parler de cette immigration massive dont les peuples européens ne veulent pas.