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  • Nogent-sur-Marne: la statue de Carla Bruni fait polémique ! - Une histoire de plumes d'autruche...

    La décision du maire de Nogent-sur-Marne d’ériger une statue à l’effigie de l’épouse du sur une place de la ville crée l’émoi parmi les habitants. C’est « un petit morceau d’Italie » selon l’expression du maire Jacques J.P. Martin, qui passe mal à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne).

     

     

    La cité de 30 000 âmes, qui abrite une importante communauté italienne, comptera bientôt une nouvelle habitante . Et pas des moindres puisqu’il s’agit d’une sculpture en bronze de plus de deux mètres de la "première dame" de , Carla Bruni-Sarkozy. Elle sera inaugurée en mai, en période électorale.


    La statue, dont maquettes et photos restent ultra-secrètes, est l’œuvre de la sculptrice Elisabeth Cibot. Cette statue à l’effigie de Carla Bruni représente une ouvrière en tenue de travail, en hommage aux plumassières, ces femmes qui travaillaient dans une ancienne fabrique de plumes de la ville.


    Cette manière de « donner une existence physique à la mémoire des Nogentais » — dit le maire — sous les traits d’une femme qui n’a aucun rapport avec la ville n’est pas du goût de tout le monde. « C’est triste pour les femmes qui ont fait ce métier, s’étrangle William Geib (PS.) Carla Bruni a dû voir plus de plumes sur les autruches et dans les défilés que dans les usines! »

    Une participation de la ville de 40 000 €

    Même stupéfaction à droite. « Ce léger détail n’avait pas été spécifié lors du vote du budget », fulmine Marc Arazi, du groupe Nogent, c’est maintenant, tandis que Michel Gilles (divers droite), qui a distribué un tract dans la ville à 15000 exemplaires sur le sujet, rappelle que le maire a déjà inauguré en 2011 un dojo au nom de David Douillet. Plus grave, selon Gilles, la participation de la ville à cette œuvre, à hauteur de 40 000 € sur un total de 80 000 € cofinancés par le promoteur immobilier Cogedim. « C’est une idée du maire », assure-t-on à la Cogedim où l’on précise : « Ils ont sollicité la première dame, elle a tout de suite été d’accord et a participé à un shooting photo pour que la sculptrice puisse être la plus fidèle possible. »


    « Mérite-t-elle vraiment une statue ? » s’interrogent Jean et Bernadette, un couple de quinquagénaires nogentais. Une première dame, ça va et ça vient. Et ça risque de ne plus durer très longtemps! » Cavanna, cofondateur de « Hara-Kiri » et « Charlie Hebdo », qui a longtemps habité à Nogent, s’en étoufferait presque : « C’est une blague, non? Quelle idée! C’est grotesque! »

    Le Parisien - 12/02/12 

  • Et encore... Nîmes: un retraité poignardé jeudi soir devant son domicile

    Un retraité a été poignardé, jeudi vers 21 h 30 devant son domicile, dans le quartier du chemin de Russan, à Nîmes. La victime a été opérée dans la nuit, ses jours ne sont pas en danger.

    Le septuagénaire - un médecin à la retraite - et son épouse étaient chez eux lorsque deux ou trois hommes masqués, armés d’une arme de poing et d’un couteau, se sont présentés à leur domicile. Apparemment, le couple serait sorti de la maison. À la vue des hommes masqués, la femme est parvenue à rentrer chez elle pendant que son mari tentait de s’interposer. Il a alors été aspergé de gaz, puis frappé de deux coups de couteau à l’abdomen. Les malfaiteurs ont pris la fuite.

    Cette agression à domicile fait suite à des faits datant de la semaine dernière. Un couple du Chemin-bas d’Avignon à Nîmes a reçu la visite de malfaiteurs frappant à sa porte. Le contexte semblerait différent. Les voleurs ont annoncé être des policiers. Le couple a été frappé et les malfats ont volé leurs bijoux avant de prendre la fuite.

    Le procureur de la République a saisi l’antenne de Nîmes de la police judiciaire qui travaille sur ces deux affaires.

    Midi Libre - 11/02/12

  • Montpellier - Pour la deuxième fois, il tue et brûle une victime

    YANICK PHILIPPONNAT
    10/02/2012, 12 h 07
     
    L’accusé est jugé pour la troisième fois devant une cour d’assises.
    L’accusé est jugé pour la troisième fois devant une cour d’assises. (Croquis ALINE CHAMPSAUR)

    On ne peut pas encore parler de tueur en série mais Habachounez Dekkiche, 37 ans, jugé depuis hier, affiche un profil très inquiétant. C’est son troisième passage devant une cour d’assises. En 1997, à Valence, il écope de quinze ans de réclusion pour avoir tué un rival avec un couteau avant d’incendier le corps. Il affirme que la victime lui aurait fait des avances homosexuelles. Libéré, ce toxicomane commet une série de braquages qui lui coûte huit ans de plus. Et lorsqu’il bénéficie d’une libération conditionnelle pour aller voir sa mère malade, en avril 2008, il ne réintègre pas la prison. En cavale, il est interpellé début 2009 pour des agressions chez des personnes âgées. Mais entre-temps, il est aussi passé par Béziers où, le 7 novembre 2008, la dépouille de Christian Barros est retrouvée carbonisée et présentant des traces de strangulation.

    "La victime m’a mis deux coups de poing, j’ai frappé dans la carotide sans faire exprès"
    H. Dekkiche, l’accusé

    "Oui, je reconnais", lance, à la surprise générale, l’accusé, costaud, cheveux ras, petite moustache, à l’élocution pâteuse pour cause de traitement de substitution à l’héroïne. Parce que depuis le début de cette affaire, malgré les preuves accablantes contre lui, Dekkiche avait toujours nié toute implication. Mais hier, ce coup de théâtre en préambule des débats n’en fut pas vraiment un. Parce qu’ensuite l’accusé a livré une explication des faits que tout vient contredire, le président Mocaer s’employant minutieusement à lui mettre le nez dans ses contradictions et l’incohérence de ses propos.

    "Je sais pas... Je sais pas quoi dire... J’arrivais pas à penser", répète-t-il en boucle dès qu’une question le gêne. La version de celui qui, fasciné par le feu se fait appeler “François le pompier” : ce soir-là, dans un quartier populaire du centre-ville biterrois, il avait beaucoup bu avec des amis, chez la victime qu’il ne connaissait pas. Puis il s’est retrouvé seul avec Christian Barros, lui aussi très alcoolisé.

    "La victime s’est levée et elle m’a dit : “Qu’est-ce qui y a ?” C’est parti en bagarre. Je sais plus pourquoi. Elle m’a mis deux coups, je lui ai mis des coups de poing et j’ai frappé dans le cou, dans la carotide, sans faire exprès", détaille-il avec hésitation. Mais dans la foulée, le médecin légiste contredit formellement cette affirmation expliquant que la victime, présentant trois fractures du larynx, a été étranglée. "Des coups avec la main ? Non, il faut une compression longue et violente", indique l’expert.

    "Vous l’avez étranglé ? C’est possible ?", interroge le président Mocaer.

    "Peut-être... J’ai pas le souvenir... Non, je l’ai pas étranglé", répond-il.

    La suite de son récit est tout aussi invraisemblable. Il reconnaît avoir déshabillé Christian Barros, l’avoir mis sur le canapé avant de le couvrir, puis aurait mis une bougie sur la table, laquelle aurait provoqué l’incendie. "Ça a pris feu mais j’arrivais pas à éteindre."

    Là, c’est le policier du SRPJ qui explique le feu a d’abord touché la tête de la victime et qu’il n’y avait pas de bougie, alors que des dizaines d’allumettes et un liquide inflammable ont été retrouvés. Dekkiche refuse l’idée d’une mise en scène pour faire croire que la victime dormait et que le feu devait servir à effacer ses empreintes. Tout comme il ne reconnaît aucun mobile crapuleux, alors que le directeur d’enquête indique qu’il a dérobé le téléphone de la victime, une partie du RMI qu’elle avait touché la veille, mais aussi un poulet, des pâtes et un yaourt pris dans le frigo...

    "Vous vous faites passer pour pompier, avez une attirance pour le feu ?" questionne le président. Non, répond l’accusé. "

    Comment vous expliquez que c’est la deuxième fois que ça vous arrive, un mort ensuite carbonisé ?", s’étonne le magistrat.

    - "La malchance".

    Midi Libre

  • Ahmadinejad: " L'Iran a brisé l'idole de l'Holocauste "

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    L'Iran a brisé l'idole de l'Holocauste, a affirmé samedi le président Mahmoud Ahmadinejad lors d'un discours à l'occasion du 33ème anniversaire de la révolution islamique de 1979.

     "L'Occident et les colonialistes, pour dominer le monde, ont créé une idole qu'ils ont appelée le régime sioniste. L'esprit de cette idole est l'Holocauste (...) et la nation iranienne, avec courage et clairvoyance, a brisé l'idole, préparant la libération des peuples occidentaux", a déclaré M. Ahmadinejad, qui a suscité de vives réactions internationales en niant à plusieurs reprises, dans le passé, le génocide des Juifs durant la Seconde guerre mondiale.

    Europe 1 avec Reuters - 11/02/12

  • Nantes - A l'entrée du HLM, les jeunes exigent ses papiers

    untitled.bmp HLM jeunes.jpg

    (Cliquez sur le dessin)

    Première occupante d'une tour dans une cité de Nantes en 1976, elle a vu les incivilités s'incruster. La dernière en date ? Un jeune a voulu voir les papiers d'un ami qui était avec elle...

    L'histoire

     

    On lui demande de se choisir un prénom d'emprunt pour protéger son anonymat, condition sine qua non pour recueillir son témoignage. Elle voudrait se choisir « un nom de bonbon », un truc enfantin mais ne trouve pas... Voilà deux choses que l'on sait déjà sur Rose : elle ne veut pas se taire et, retraite en vue, elle est toujours espiègle.

    Sans être tragique, l'histoire qui l'amène ce soir-là à dérouler sa vie, installée devant une menthe à l'eau, n'est pas drôle. « La nuit était tombée mais il n'était pas tard, autour de 19 h. Je rentrais chez moi, dans la tour où je vis depuis trente-cinq ans, dans ma cité populaire des quartiers nord de Nantes. J'étais accompagnée d'un ami. Comme d'habitude, ils étaient là. »

    Ils ? « Une bande, un groupe de garçons. Ils squattent les halls. Ils fument, boivent, vous ouvrent la porte, peuvent même vous dire bonjour, adossés aux boîtes aux lettres. »

    Ils annexent les cages d'escalier comme des bouts de territoire. « Pas forcément agressifs, parfois même souriants. Mais ils sont là. Il faut les contourner, leur demander de bouger - avec respect !  - pour prendre son courrier ou l'ascenseur. Il y a les reliefs de repas, l'urine, la fumée, les tags... Ça tape sur le système. Pfioouuu... »

    « On va où ? »

    Ce soir-là, donc, Rose est accompagnée d'un ami. Halte-là ! Un jeune joue les videurs ou le policier : « Il se met à lui dire, un peu rigolard mais pas seulement : « Vous n'habitez pas l'immeuble, vous ! Qui êtes-vous ? Vos papiers ! » »

    Rose ne se laisse pas démonter. « Je me suis fâchée ! « Non mais, ça va ? Présenter ses papiers pour rentrer chez soi ? J'ai été une des premières occupantes de l'immeuble ! Je te demande tes papiers, à toi qui n'habites pas ici ? On va où ? » » Difficile de dire si cette pratique est courante, mais un autre cas identique est arrivé aux oreilles de Rose.

    Ce soir-là, un jeune ripostera en vidant une bombe de Noël sur Rose. « Au début, j'ai pas pensé que c'était une agression. Après coup, je me suis dit : si, c'est quand même ça. J'ai voulu déposer plainte. On n'a pris qu'une main courante car aucun coup n'avait été porté. »

    Il y a quelques années, un jeune tenant le mur de son palier lui avait cisaillé les jambes d'un coup de pied. Lourdement tombée au sol, Rose avait passé une partie de sa nuit aux urgences de l'hôpital.

    L'an dernier, après l'incendie criminel de sa voiture, elle a demandé sa « mut'» à son bailleur social (requête qu'elle vient de renouveler). « Oui, comme beaucoup d'autres, finalement je veux partir. Ras le bol. On a le droit de rentrer chez soi tranquille quand on a bossé toute la journée. Surtout dans les conditions actuelles. »

    Comme un échec

    Investie depuis toujours dans la vie associative, éprise de son quartier, cette demande de déménagement lui reste en travers de la gorge. Comme un échec.

    Sans nostalgie, cette femme ne verse pas dans le « c'était mieux avant ». « C'est un fait : l'atmosphère se dégrade. Des groupes se sont approprié des territoires. La loi n'est plus celle de la société mais celle de la cité. Aujourd'hui, des femmes téléphonent pour qu'on vienne les chercher à leur arrivée au tram. La police ou le bailleur nous disent de ne pas baisser les bras, de nous mobiliser. Mais que fait-on pour nous ? »

    Rose a raconté cette histoire dans un mail adressé à une trentaine de personnes ayant des responsabilités à Nantes, voilà un mois. Elle concluait : « Qu'avez-vous à me proposer pour vivre tranquillement ? » Elle n'a reçu aucune réponse écrite.

     

    Thomas HENG.
     
    Ouest-France - 11/02/12
  • Haute-Savoie: un fermier de 76 ans roué de coups lors d'un cambriolage

    C’est un bien triste spectacle qu’ont découvert les gendarmes de la compagnie d’Annecy jeudi soir, vers 21 heures. Appelés suite à un cambriolage dans une ferme isolée de Lay-Devant, à Montagny-les-Lanches, ils ont découvert le propriétaire, âgé de 76 ans, le visage défiguré par des coups.

    L’homme aurait été victime d’un cambriolage d’une rare violence. Pour l’heure, difficile de reconstituer le déroulement précis des faits. L’occupant des lieux, hospitalisé en urgence au centre hospitalier de Metz-Tessy, n’a pas été en mesure d’apporter un témoignage clair.

    Hier soir, son état était jugé stable. Son pronostic vital n’était pas engagé, mais il souffrait de nombreuses contusions et d’un traumatisme crânien sévère.

    Appel à témoins pour retrouver l’agresseur

    Une enquête a été ouverte par la gendarmerie, avec le concours de la brigade de recherches, de la cellule d’investigations criminelles et de la brigade territoriale de Seynod. Les enquêteurs ont tenté de retrouver des indices permettant de remonter la trace de l’agresseur dans la ferme entièrement dévastée.

    La gendarmerie lance un appel à témoins à toute personne ayant remarqué un véhicule ou un individu suspect dans le secteur de Montagny-les-Lanches, dans la journée et jeudi et plus particulièrement l’après-midi ou en soirée.

    Pour témoigner, composer le 04 50 66 65 34.

    par Stéphane BOUCHET le 11/02/2012
     
    Le Dauphiné
  • A voir absolument ! Marine Le Pen invitée d'Europe 1 Soir, présentée par Arlette Chabot


    Le Pen : "Sarkozy m'empêche d'être présente" par Europe1fr

    11/02/12

  • 11 février: fête de Notre-Dame de Lourdes

     

    Libres propos d’Alexandre Simonnot

    En mémoire de Jacques Vassieux

    En cette belle Fête de Notre-Dame de Lourdes, particulièrement populaire en France, ayons une précieuse et affectueuse pensée pour tous nos malades.

    Nous avons, toutes et tous, dans notre famille, nos relations, nos proches, notre voisinage, des personnes frappées par la maladie et qui souffrent dans leur corps et leur chair. Ne les oublions jamais. Prenons le temps de les visiter, de les assister, de les aider, de les aimer.

    Dans cette société de plus en plus individualiste et égoïste, ayons toujours à cœur de nous occuper des autres. C’est le grand message et la grande leçon de Lourdes, ce lieu miraculeux où de nombreux souffrants ont été guéris et guérissent encore chaque jour.

    On voudrait toujours aider et secourir toute la misère, occupons-nous déjà et surtout de celle qui nous entoure.

    N’hésitons jamais à emmener à Lourdes un malade. Il peut être guéri définitivement. Combien n’y croyaient pas et y ont été exaucés ? Beaucoup.

    La Vie est le bien, le don le plus précieux ; la Santé, la bonne santé l’est également. La maladie n’est jamais une fatalité lorsque l’on trouve le courage de la combattre. Elle devient alors une épreuve que l’on accepte avec sourire et détermination.

    154 ans après les premières apparitions de la Vierge Marie à Ste Bernadette Soubirous, que l’on soit croyant ou non, regardons toujours Lourdes avec espoir, force et confiance.

    Cela nous dépasse évidemment, on aimerait voir, avoir un miracle… La vie, chaque battement de notre cœur en est un.

    Rendons enfin un bel hommage à toutes celles et ceux qui, professionnels ou simples bénévoles, consacrent leurs vies à s’occuper des malades, panser les blessures, veiller les agonisants, soulager ceux qui souffrent. Ils sont un modèle à suivre et à méditer tant ils ont à nous apprendre.

    Ne perdons jamais confiance, gardons toujours l’optimisme. Cette petite grotte de Lourdes est l’exemple même du dernier recours lorsque l’on croit avoir tout perdu alors qu’il nous reste l’Espérance.

  • "Le quota craint" - Sophia Aram devrait voter pour Marine Le Pen !

     

    Libres propos

    Le 28 janvier dernier se tenait à l’espace Cardin à Paris, une conférence en partenariat avec la chaîne Canal+ (chaîne gauchiste par excellence mais bon…). Sophia Aram a clôturé cette réunion. Son intervention sous forme de sketch avait pour thème la « discrimination positive ».

    Depuis toujours le Front National au travers de la voix de Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle, ne cesse de dénoncer la discrimination positive mise en place par Nicolas Sarkozy durant son quinquennat, cette discrimination qui prévoit qu’un employeur préfère autre chose que « le mâle blanc » comme le disait en son temps Anne Lauvergeon, présidente d’Areva à l’époque. Marine Le Pen répète inlassablement que seule la méritocratie doit prévaloir et non pas cette discrimination qui s’apparente comme le dénonce si bien dans son intervention Sophia Aram à une ségrégation. Comme le rappelle Sophia Aram dans son sketch, le blanc lui ne fait pas partie de la diversité de nos jours en France… points de suspensions comme on dit…

     

    Voilà où mène la politique communautariste défendue, depuis au moins 30 ans, par des associations comme SOS Racisme qui viennent d’abord en aide à la mise en place d’un racisme qui ne veut voir que la couleur de peau des Français ou leurs origines, puis par un racisme d’état légalisé qui différencie les individus en fonction de leur couleur de peau ! Un racisme d’état qui prône le métissage ! C’est quoi un métissage ? Un mélange de couleur ? Un j’aime pas le tout noir, le tout jaune, le tout rouge, le tout blanc ? Prôner le métissage ne revient-il pas à dire que si t’es pas mélangé chromatiquement t’es un facho ? Socialement t’as pas la bonne couleur ? 

     

    Revenir à la méritocratie est l’un des fondements de la politique de Marine Le Pen. La République ne reconnaît aucune communauté, quelle que soit la de couleur ou la confession des individus, aucune différence entre eux ne doit être mise en place, la République est une et indivisible ! Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, n’avait pas à reconnaître l’Islam comme religion officielle, car la République ne reconnait aucun culte ! Mais il l’a fait. La loi de 1905 demandait que la religion reste chez elle, dans le cercle de l’intime. Sarkozy et le PS ne devaient pas piocher dans les impôts des contribuables pour financer les mosquées. La République ne reconnaît ni ne finance aucun culte ! L’Etat ne doit pas financer les associations communautaristes qui prolifèrent sur le sol de France !

    Si Sophia Aram, qui a dénoncé plus d’une fois les électeurs du Front National de manière absurde et sans saisir le fondement de leurs valeurs, ainsi que la politique du Front National, ne comprend pas qu’elle est dans la même logique que les frontistes, à savoir la volonté de sauvegarder une République « Une et indivisible »… c’est que peut-être parce qu'elle est soumise involontairement aux diktats imposés par la pseudo bien-pensance déversée depuis des dizaines d’années par ceux qui préfèrent démonter les peuples pour mieux les diviser.

    Bizarrement, malgré ses attaques répétées et trop faciles, Sophia Aram est Front National sans le savoir…

    Pour preuve voici son sketch pas très drôle et venu du coeur !

     

    NdB: Attention !  Une seule question: pour qui roule aujourd'hui Sophia Aram, à la veille des présidentielles? Peut-être bien pour Nicolas Sarkozy qui copie sans vergogne Marine Le Pen !

  • Le référendum sur l'indemnisation des chômeurs critiqué de toutes parts

    Lire l'article: http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-2012/candidats/la-gauche-vent-debout-contre-le-referendum-sur-l-indemnisation-des-chomeurs-10-02-2012-1854889.php

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    Le Parisien - 10/02/12

  • Villejuif: premier mariage gay célébré en Ile-de-France

     

     

     
    Rencontre avec Alexis et Fabrice avant leur "mariage"
     
    11/02/12
     
  • Au FN oui, on'est pas couché !

    Ce n’est pas une surprise pour les militants les plus chevronnés de l’opposition nationale, rien ne sera épargné à Marine et au FN au cours de cette campagne, y compris (surtout) les procédés les plus dévoyés,les plus pervers, les plus antidémocratiques.

     Victime d’une violation de sa correspondance privée, certains médias –tout de même un peu gênés par cette intrusion fort peu déontologique- ont rapporté un échange de deux courriels il y a trois ans entre Bruno Gollnisch et le professeur Faurisson. Le député européen s’est contenté d’indiquer qu’il reçoit « environ 200 courriels par jour » et qu’il a « des échanges avec quantité de gens ».

    En pleine course contre la montre pour rassembler les parrainages, cette cyber-attaque ne doit rien au hasard. Climat de haine et de violence dont Marine a été également victime lors de son déplacement à La Réunion.

    Si les partis de gauche sur l’île, notamment EELV et le Front de gauche, avaient appelé leurs militants à ne pas perturber le déplacement de la candidate national au nom de la libre expression démocratique, quelques dizaines d’excités gravitant autour de l’association altermondialiste ATTAC ont agressé la délégation frontiste, notamment lors de la visite d’un temple tamoul.

    Marine en a déduit fort justement que cette agression relevait bien de la mise en scène orchestrée indirectement par l’Elysée puisque le préfet s‘est trouvé « incapable de maintenir l’ordre ». « Nicolas Sarkozy est incapable d’assurer la sécurité dans notre pays. Merci, nous le savions ! Comment voulez-vous lutter contre les criminels, quand on n’est pas capable de repousser 50 types, de 50 mètres ? », a-t-elle noté. Il s’agit bien sûr d’associer une nouvelle fois dans l’esprit de nos compatriotes l’image du FN et de sa candidate à la violence.

    De ces méthodes dignes d’un régime totalitaire,relèvent bien évidemment les déclarations émanant de l’UMP et du chef de l’Etat contre l’anonymat des parrainages, les consignes explicites qui ont été données de ne pas accorder de signatures à Marine pour assécher le vivier. Bruno Gollnisch le rappelait samedi lors de son passage dans l’Aisne, cette course aux signatures n’a jamais été une partie de plaisir au FN, « il nous est même arrivé de cacher l’ampleur des difficultés que nous rencontrions pour ne pas effrayer nos sympathisants et électeurs ».

    Se voulant confiant dans l’issue heureuse de cette collecte, il a tout de même prévenu que « si d’aventure ce n’était pas le cas, s’en serait définitivement fini de la démocratie. » Mais, si Marine Le Pen est bien présente dans la course « il n’en restera pas moins vrai que nous y aurons consacré une grande partie de la campagne. C’est un handicap tout à fait anormal. »

    A cet handicap là, s’ajoute l’absence criante d’égalité de temps de parole entre les (grands ) candidats qui frappe particulièrement l’opposition nationale a relevé notamment le directeur du cabinet de Marine Le Pen, Bruno Bilde, dans une lettre adressée au Président de France Télévisions. Sur TF1, la candidate du FN obtient 4,2% du temps de parole politique (29,7% pour M. Sarkozy, 24,4% pour M. Hollande (24,4%). Sur France 2, le CSA estime que François Hollande et le PS bénéficient de 39% du temps de parole, Nicolas Sarkozy et ses soutiens de 22,9% du temps d’antenne politique, le FN et Marine Le Pen n’obtiennent que 2,6% du temps de parole. Même portion congrue sur France 3 (7,8%), France 5 (0,1%), France Ô (5,7%).

    Et quand les nationaux sont invités, ils sont souvent agressés, coupés dans leur démonstration, vilipendés et moqués bassement, notamment en leur absence sur le plateau comme ce fut le cas hier sur Canal plus qui a diffusé un bref entretien avec Bruno Gollnisch. On est toujours courageux et classieux sur Canal…

    A cette aune, beaucoup de sympathisants s’inquiètent d’un possible traquenard à l’occasion du passage de Marine dans l’émission de Laurent Ruquier pour son émission On n’est pas couché sur France 2, programmée le 18 février. Une présence de la candidate de l’opposition nationale qui a été imposée à cet animateur au nom de l’équité mais qui, à l’instar d’un Michel Drucker, ne fait pas mystère de son anti-frontisme militant.

    Certes, Marine n’est pas la pauvre Eva Joly que les téléspectateurs frontistes, non sans un certain malaise parfois malgré l’abîme qui nous sépare, ont vu se faire lyncher de manière impitoyable samedi dernier en toute fin d’émission, par la très « progressiste » Audrey Pulvar, qui partage la vie de l’apparatchik socialiste Arnaud Montebourg et Natacha Polony, membre du MRC qui appellera bientôt à voter Hollande…

    Aussi, le site internet du Journal du Dimanche rapporte que l’équipe de campagne de la candidate du FN souhaite déminer le terrain, en souhaitant notamment que l’enregistrement se déroule dans les conditions du direct.

    Bruno Bilde a expliqué que l’équipe de Marine «(veut) éviter les montages. Il faut des critères pour couper ce que dit Marine Le Pen, quels sont-ils? » « Nous ne voulons pas que le public soit trié, qu’il soit composé uniquement de gens hostiles à Marine Le Pen », a-t-il ajouté. C’est bien le moins !

    A l’évidence, cette fébrilité des anti-nationaux, la multiplication des coups bas contre le FN et sa candidate sont bien la preuve que nous avons le vent en poupe. C’est bien pourquoi la vigilance s’impose car comme nous l’avons dit, rien, vraiment rien ne nous sera épargné…tant que nous refuserons de nous coucher devant le Système.

    Blog de Bruno Gollnisch - 08/02/12

  • Bettencourt/Woerth: prescription sur une grande partie du volet politique

    Cette petite bombe figurait depuis longtemps dans le dossier Bettencourt, mais elle a manifestement explosé aux yeux de tous mercredi et jeudi, durant les auditions d'Eric Woerth par les juges. Au cœur du débat : le délit de financement illicite de parti politique ou de campagne électorale. C'est une infraction du code électoral. Sont punis ceux qui ont reçu ou donné une somme supérieure au plafond légal de 7.500 euros.

    L'enquête porte donc sur la remise d'argent liquide qu'a dénoncée Claire Thibout, l'ancienne comptable des Bettencourt. Elle évoquait un retrait de 50.000 euros, précisément daté au 26 mars 2007. Des soupçons se portaient également sur 100.000 euros retirés directement par Patrice de Maistre en janvier 2007.

    Dans les deux cas, selon les déclarations de la comptable, les sommes étaient destinées au trésorier de l'UMP. Problème : la prescription du délit de financement illicite de parti politique est de trois ans.

    Et la première fois que ces soupçons sont apparus aux yeux de la justice, c'était le 5 juillet 2010, lors d'une audition de Claire Thibout par la brigade financière. Le 5 juillet 2010, c'est-à-dire trois ans et trois mois après les remises de fonds présumées.  Les faits seraient donc prescrits, impossibles à poursuivre. En l'état du dossier (qui encore susceptible d'évoluer), le juge n'a donc pas la capacité de prononcer de mise en examen pour financement politique illicite...

    Eric Woerth, par ailleurs, aurait devant les juges de Bordeaux foncièrement nié avoir reçu cet argent en liquide pour l'UMP.

    Deux mises en examen pour Woerth

    Eric Woerth a été de nouveau mis en examen jeudi dans l'enquête sur l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt, cette fois pour "recel" de 150.000 euros qui auraient financé la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.

    L'ancien ministre UMP, 57 ans, avait déjà été mis en examen mercredi pour "trafic d'influence passif" au terme d'une première audition-fleuve d'une douzaine d'heures devant les juges bordelais. Il a encore été entendu jeudi pendant neuf heures.

    RTL Info - 10/02/12

  • IMMIGRATION: le gouvernement bidonne les chiffres. On s'en doutait, c'est confirmé

     Immigration : le gouvernement bidonne les chiffres

       

    10/02/2012 – 13h30
    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinfo) —
    C’est en toute discrétion que le ministère de l’Intérieur a rendu public hier le rapport annuel qui contient les derniers indicateurs “officiels” des flux migratoires en France. Les chiffres livrés par ce rapport prennent le contre-pied des déclarations gouvernementales. Flairant le danger, le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, s’était empressé de donner d’autres chiffres il y a un mois.

    C’est officiel, avec Nicolas Sarkozy, les chiffres de l’immigration ont explosé

    Le nombre total de premiers titres de séjour délivrés entre 2007 et 2010 a bondi de plus de 7 %. Chaque année, quelque 200 000 personnes obtiennent ce fameux sésame pour s’installer en France. On est donc loin des rodomontades de Nicolas Sarkozy ou de Claude Guéant sur la baisse de l’immigration. Au niveau de l’immigration de travail, c’est même pire, +51 % depuis 2007 pour les immigrés extra-européens !

    La prétendue « lutte contre l’immigration » est donc une vaste mascarade ?

    En matière de reconduites à la frontière, le rapport rendu au Parlement montre aussi qu’entre 2009 et 2010 celles-ci avaient baissé de 4,4 % passant de plus de 29.000 à environ 28.000. Comme le note le journal Le Monde, contrairement au discours d’extrême fermeté affiché à l’époque, particulièrement à la suite du discours de Grenoble de l’été 2010, le système d’éloignement des étrangers en situation irrégulière a été entravé par l’essor d’une jurisprudence favorable aux étrangers et par l’inflation de recours contentieux.

    Quid des régularisations ?

    Traditionnellement, dans ce rapport annuel, il existe une ligne statistique qui permet de connaître leur nombre approximatif. Celui-ci tourne généralement autour de 30.000. Cette année, et pour la première fois, la case n’est pas renseignée. Il est donc impossible de savoir le nombre de régularisations ces dernières années. Un sujet sensible à quelques mois de l’élection présidentielle. Autre perle de ce rapport : pour faire baisser le nombre d’étrangers en France, le gouvernement n’a rien trouvé de mieux que d’ouvrir les vannes des naturalisations. Près de 110.000 par an depuis 2007.

    Article reproduit avec l’aimable autorisation du Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie

    Photo : Ministère de l’intérieur, place Bauveau à Paris. Crédit : fredpanassac via Flickr (cc)

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  • Marine Le Pen a accordé un entretien à ELLE sur les mesures à mettre en place en faveur des femmes

  • Manifestation de policiers contre le parquet d'Evry (Essonne)

     

    Communiqué de Michel Thooris, conseilller politique à la Sécurité de Marine Le Pen

    Plus d’une centaine de policiers étaient rassemblés jeudi devant le Tribunal de grande instance d’Evry pour protester contre la politique du parquet, qui, selon eux, ne les soutient pas en cas d’outrages et d’agressions.

    Après avoir suscité une immense vague d’espoir chez les policiers, les forces de l’ordre sont rattrapées par les conséquences de la politique menée par Nicolas Sarkozy depuis 2002.

    Le chef de l’Etat avait promis de nettoyer les cités au Karcher. Bilan ? Les gangs ont pris le contrôle des quartiers. Le Karcher de Sarkozy ressemble plus à un Vaporetto sans vapeur qu’à un véritable Karcher. Les policiers sont rendus impuissants face à la racaille qui contrôle désormais des villes entières.

    Dépassés par les milliers de crimes et délits commis chaque jour en France et en Outre-mer, les parquets ne peuvent poursuivre qu’une infime partie des affaires tant les tribunaux sont engorgés et les prisons pleines. Les décisions prises par les parquets sont rarement idéologiques. Elles sont plus la conséquence de la masse quotidienne d’infractions à traiter en temps réel et du manque de moyens pour parvenir à une réponse pénale adaptée.

    Le hold-up électoral de la présidentielle 2007 ne se reproduira pas. Les Français ont été trompés, trahis. Les électeurs ont compris que Marine Le Pen est la seule à pouvoir redresser l’appareil policier et judiciaire français abandonné par les pouvoirs publics de Gauche comme de Droite.