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Le racisme ouvert d'un soutien de Mélenchon ! Quelle honte !
Posté par NP Info Ile-de-France le 8 juin 2012
Dimanche dernier, Marine Le Pen était en déplacement dans l’Essonne pour soutenir deux candidates, Brigitte Dupin du Rassemblement Bleu Marine pour la 4e circonscription de l’Essonne et Isabelle Cochard du Front National pour la 9e circonscription.
A Draveil, l’arrivée de la Présidente du Front National a attiré une foule nombreuse et heureuse de la voir en chair et en os, ce qui a mis en colère deux camps. Celui de Tron (l’UMP qui aime masser les pieds) et celui du Front de gauche. Si les militants UMP ont tenté d’empêcher l’avancée de Marine et d’Isabelle Cochard dans les allées du marché, le Front de gauche est lui resté fidèle à lui-même… haineux et vociférant… Savez-vous qu’à notre époque on peut dire « sales Blancs ! » sans craindre les foudres du MRAP et de la LICRA ?
Et Dominique Sopo de SOS Racisme qui nie toujours le racisme anti-Blanc !
Preuves en images de la haine ordinaire d’un soutien de Mélenchon !
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Marine Le Pen invitée du JT de 20h sur France 2
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Molenbeek: deux policiers poignardés par un islamiste venu de Paris
La station de métro Beekkant a été rouverte à 20h30 suite à une très grave agression perpétrée par un musulman radical.
La ministre de l'Intérieur Joëlle Milquet a réagi vendredi soir à l'agression au couteau dont ont été victimes deux policiers dans la station de métro Beekkant, à Molenbeek.Elle condamne "avec fermeté l'agression ignoble" qui s'est produite vendredi soir. La ministre "tient à exprimer toute ses pensées et son émotion à l'égard des policiers blessés dans l'exercice de leurs fonctions de sécurisation des transports en commun", indique-t-elle dans un communiqué.
"Sur base des précisions données par la Justice, les mesures nécessaires continueront à être prises sur tous les plans concernant la sécurité.
Un agresseur actif dans le milieu islamiste
Deux représentants des forces de l'ordre ont été poignardés par un forcené à Molenbeek, dans la station de métro Beekkant. L'agresseur est un homme de 34 ans actif dans le milieu islamiste qui, selon ses propres dires, a commis son agression pour protester contre la politique du gouvernement belge à l'égard des musulmans.
Arrivé de Paris en Thalys, il portait sur lui des documents sur lesquels étaient rédigés des extraits du Coran ainsi qu'un article de presse faisant allusion à la femme contrôlée en niqab jeudi dernier. Après avoir pris ses renseignements sur les événements survenus ces derniers jours à Molenbeek, il a pris le métro vers la commune. Au moment de l'ouverture des portes, il a attaqué les deux jeunes recrues policières par derrière en hurlant "Guerre sainte". Selon nos sources, l'homme était clairement en Belgique pour "tuer du flic".
Les deux victimes, un homme et une femme âgés d'une trentaine d'années, sont hors de danger. La femme souffre d'une blessure au cou et dans le bas du dos, l'homme a été touché à la nuque.
"Nos services étaient en train d'effectuer une action de contrôle pour renforcer la sécurité dans les transports publics et pour lutter contre les bandes urbaines", explique le commissaire Johan Berckmans, de la police de Bruxelles Nord. "Quatre personnes ont été arrêtées administrativement. Les deux agents se tenaient près de ces personnes arrêtées quand un autre homme a soudainement sorti un couteau et les a poignardés."
L'homme a immédiatement été maîtrisé et interpellé. Les deux agents ont été emmenés à l'hôpital, où un des deux était toujours opéré.
L'agresseur a également été emmené à l'hôpital pour une visite médicale puis a été transféré au commissariat pour y être entendu.
Nous vous donnerons davantage d'informations sur les faits et sur la circulation des métros dans cette station dès que possible.
La libre.be - 08/06/2012
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Meurtre de Marie-Jeanne Meyer, 17 ans
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Anthony Draoui a avoué le meurtre de la joggeuse Marie-Jeanne Meyer
Anthony Draoui, interpellé jeudi soir en gare de Port-Bou en Espagne, a avoué durant son audition devant le juge d'instruction, le meurtre de Marie-Jeanne Meyer, en juin 2011, en Ardèche.
«Il dit qu'il l'avait rencontrée de façon fortuite. Mais il n'est pas rentré dans les détails, ni du meurtre, ni de ses motivations» a indiqué l'avocat des parents de la victime.
Il a ensuite été placé en détention provisoire.
Anthony Draoui a été arrêté alors qu'il avait sur lui un couteau, des fils électriques et des rubans adhésifs.
Le suspect, déjà bien connu des services de police pour vols aggravés, avait été arrêté le jour de la découverte du corps pour un autre délit. Armé d'un marteau et ivre, il avait menacé la gérante d'un salon de coiffure.
Après sa garde à vue, il avait disparu. C'est seulement après qu'on a fait le lien avec le meurtre de la joggeuse. Son ADN ayant été retrouvée sur les lieux.
Photo : document exclusif de M6.Faits Divers - 08/06/12
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Eric Zemmour: le polémiste et sa famille menacés de mort
Le chroniqueur Eric Zemmour a reçu une lettre de menaces de mort, adressée à la radio RTL, son employeur, comme l'annoncent nos confrères du site Le Parisien. En effet, hier, jeudi 7 juin, le courrier a été réceptionné au siège de la station de la rue Bayard dans le VIIIe arrondissement à Paris.
Le ou les auteurs de cette missive s'en prennent de manière très virulente à l'ex-cerbère de Laurent Ruquier, le traitant notamment de "gros facho" et de "SS en liberté". Ces derniers vont même jusqu'à laisser entendre qu'ils pourraient s'en prendre physiquement à Eric Zemmour ainsi qu'à sa famille.
Informé, le parquet de Paris a aussitôt saisi la brigade de répression des violences contre la personne (BRDP) des investigations. Le chroniqueur, que l'on retrouve aux côtés de son compère Eric Naulleau dans Zemmour et Naulleau chaque vendredi sur Paris Première, se retrouvait une fois de plus, pourrait-on dire, il y a quelques jours, au coeur d'une sérieuse polémique...
En effet, dans une chronique tenue sur RTL le 23 mai dernier, le polémiste avait tenu des propos sur Christine Taubira, nouvelle Garde des Sceaux, qui avait poussé le MRAP et SOS Racisme à critiquer violemment ce dernier. "En quelques jours, Taubira a choisi ses victimes, ses bourreaux. Les femmes, les jeunes des banlieues sont dans le bon camp à protéger, les hommes blancs dans le mauvais", avait-il notamment déclaré. Une phrase qui avait mis le feu aux poudres et entraîné une cascade de réactions.
L'Express avait notamment annoncé le départ du chroniqueur, entraînant un dépôt de plainte d'Eric Zemmour par le biais de son avocat, pour "diffusion de rumeurs malveillantes". Sur RTL, le chroniqueur s'était expliqué sur les termes employés, évoquant une polémique qui selon lui n'avait pas lieu d'être et dénonçant "des professionnels du choquage, de l'indignation tarifée, (...) des torquemadas de café".
Espérons que la brigade de répression des violences mette rapidement un terme à cette histoire...
Chloé BreenPure People - 08/06/12
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La photo officielle de Françoios Hollande deva-t-elle être refaite?
La place accordée aux drapeaux français et européen pose un problème, selon un article de Sud-Ouest. Et un député UMP demande à ce que la photo soit refaite...
La photo officielle de François Hollande, prise par Raymond Depardon, devra-t-elle être refaite? Un article du journal Sud-Ouest pointe plusieurs anomalies, qui pourraient la rendre non conforme aux règles en vigueur.
D'abord, le drapeau français n'est pas à l'horizontale mais à la verticale. Présenté ainsi, c'est le drapeau des Pays-Bas (c'est à dire celui de... la Hollande) et pas de la France. Ce qui ne plaît pas à Jean-Paul Garraud, député UMP. Interrogé par Sud-Ouest, cet élu de la Droite populaire estime que "cela opère une confusion" et demande que le portrait "soit refait".
Ensuite, comme le rappelle un spécialiste interrogé par le jounal, les règles établies par une brochure du ministère de l'Intérieur précisent que le drapeau doit flotter et être attaché à son support dans le sens vertical. Or il est plaqué contre un mur de l'Elysée, et attaché dans le sens horizontal.
Le drapeau européen peut, lui, être posé sur un mur, selon une circulaire du 4 mai 1963 citée par le quotidien et un décret des ministères de la Défense et de l'Intérieur. Mais il doit être placé à la droite du drapeau français, ce qui n'est pas le cas ici. Enfin, si les drapeaux longent les bâtiments, ils ne doivent en aucun cas toucher le sol. Or il semble qu'ils tombent en l'occurrence sur les marches de l'Elysée.
Et Photoshop?
L'image controversée a été prise lors d'une séance d'une demi-heure seulement. 200 clichés ont été pris "en mouvement" avec un projecteur d'appoint et trois appareils différents.
Au final, le photographe a retenu la dernière des douze photos prises avec son Rolleiflex, "un tout petit peu retouchée" en arrière-plan, a-t-il. Mais pourquoi Raymond Depardon n'en a pas profité pour corriger les anomalies de l'image?
Le photographe a confié vouloir "une photo qui traverse le temps". Pas sûr...
L'Express - 08/06/12
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Marseille: la dame de 83 ans agressée et violée chez elle était juive - S'agit-il d'un acte antisémite?
Ce matin, la presse française a annoncé qu’une grand-mère juive a été violée, agressée et séquestrée chez elle, dans la nuit de samedi 2 à dimanche 3 juin 2012.
Lu sur ...
« selon la presse, son agression et ce qui s’en est suivi ont été déclenchés à la vue de la mezouza fixée à sa porte »
Selon la presse, c’est en sortant les poubelles que cette habitante du quartier depuis plus de 40 ans a été attaquée par trois personnes.
Toujours selon la presse, son agression et ce qui s’en est suivi ont été déclenchés à la vue de la mezouza fixée à sa porte.
Crif - 08/06/12
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VIDEOS - Grèce: les néo-nazis ont encore frappé !!!
REUTERS/Yannis Behrakis
Jeudi matin, le porte-parole du parti Aube dorée s'en est physiquement pris à deux élues de gauche avec lesquelles il débattait en direct sur la chaîne Ant1. Alors qu"Ilias Kasidiaris reste toujours introuvable, les actes de violences des néonazis grecs semblent se multiplier.
L'attaque d'Ilias Kasidiaris en direct à la télévision a médiatisé la violence du parti néonazi et bouleversé les citoyens grecs à quelques semaines d'un scrutin crucial le 17 juin.
Mais, comme l'a déclaré, Rena Dourou, la candidate de la gauche radicale (Syriza) agressée par Kasidiaris, "nous rendrons un très mauvais service à la démocratie grecque si nous considérons l'épisode d'hier comme un événement isolé". En l'espace d'une semaine, l'Aube dorée a en effet multiplié les actions violentes.
Un jour avant l'assaut du porte-parole du parti néo-nazi Ilias Kasidiaris, mercredi 6 juin, un journaliste du Jerusalem Post, Gil Shefler, a été frappé violemment à la tête, dans le centre d'Athènes. Un groupe d'une vingtaine de personnes, armées de pieds de biche, était entrain de tabasser des immigrés et des junkies, près du musée archéologique. Le journaliste a alors voulu les prendre en photo, ce qui leur a fortement déplu... Gil Shefler était en Grèce pour faire un reportage sur l'extrême droite. Il avait même tenté de rencontrer Ilias Kasiriadis. Ce dernier avait refusé de répondre à ses questions. "Nous ne donnons pas d'interview aux Israéliens pour des raisons politiques" avait-il alors déclaré.
Jeudi matin, à Serres, dans le nord de la Grèce, Nikitas Siois, un élu d'Aube dorée, s'en prenait quant à lui à l'ancien député PASOK de cette circonscription, Stathis Koutmeridis.
Par ailleurs, à l'université de sciences politiques d'Athènes, une trentaine de membres d'Aube dorée a déferlé, jeudi en fin d'après-midi, dans un amphithéatre. Les étudiants attaqués écoutaient une conférence sur "les mouvements armés en Europe et leur histoire". Les scènes de violence se sont poursuivies à l'extérieur de l'université. Au total, trois personnes ont été blessées selon le journal Ta nea. Le journaliste note que "quand la police est arrivée sur les lieux, les affrontements étaient terminés". La police grecque est souvent accusée de laisser agir les membres d'Aube dorée, notamment lors des ratonnades contre les immigrés qu'ils organisent dans les quartiers désherités du centre d'Athènes. "Beaucoup de policiers sont eux-mêmes membres d'Aube dorée", avait confié à L'Express, peu avant les élections du 6 mai, Michalis Spourdalakis, professeur de sciences politiques à l'université d'Athènes.
Cette fois, les forces de l'ordre, par la voix de leur porte-parole Thanassis Kokkalakis tente de prouver qu'ils "font tout leur possible pour arrêter Ilias Kasidiaris". Reste que l'agresseur est toujours en liberté... Son prochain rendez-vous avec la justice est lundi prochain, pour une précédente agression, contre un étudiant en 2007.
Après l'épisode de jeudi matin, les partis politiques ont déclarés unanimement ne plus vouloir participer à des débats avec des représentants d'Aube dorée. Les membres du mouvement néonazi ont immédiatement répliqué dans un communiqué et décrété un embargo sur les chaînes de télévision et les journaux, qualifiés d'"organes de propagande marxiste".
Des rassemblements contre l'Aube dorée doivent se tenir, ce vendredi soir, dans toutes les grandes villes du pays (à Athènes, Patras, Thessalonique...).
Les néo-nazis sont entrés au parlement lors des élections législatives de mai dernier, où ils ont obtenu près de 7% des voix. Ils sont toujours crédités à 4% pour les prochaines élections le 17 juin.
Après cet événement les électeurs d'Aube dorée modifieront-ils leur choix?
L'EXPRESS - 08/06/12
A voir sur le même sujet:
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EN DIRECT - Moscovici dénonce un rappprochement UMP-FN dans le Doubs
http://www.leparisien.fr/politique/en-direct-la-campagne-des-legislatives-08-06-2012-2038505.php
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Tueur présumé de la joggeuse Marie-Jeanne arrêté : Portrait d'un fugitif
Joggeuse disparue en Ardèche
Le tueur présumé de la joggeuse Marie-Jeanne Meyer vient d'être arrêté après un an de cavale. Portrait d'un jeune homme connu pour sa violence.
« Incontrôlable, dangereux, violent et impulsif » : après douze mois de cavale, celui que les enquêteurs décrivent en ces termes a été interpellé dans un train entre la France et l'Espagne. Anthony Draoui, 20 ans, est soupçonné d'avoir en juin dernier mortellement poignardé puis brûlé le corps de Marie-Jeanne Meyer, innocente jeune fille de 17 ans qui faisait un jogging dans une forêt ardéchoise, à Tournon.
Il avait disparu à l'issue de sa garde à vue, avant que les enquêteurs n'obtiennent des résultats d'analyse confirmant la présence de traces ADN d'Anthony Draoui sur le lecteur MP3 de Marie-Jeanne, retrouvé à proximité de son corps, et fassent de lui le suspect n°1 dans l'affaire.
L'an dernier, Le Parisien révélait le parcours quelque peu chaotique d'Anthony Draoui. Arrêté le jour même de la découverte du corps carbonisé de la joggeuse pour tentative de braquage dans un salon de coiffure, il n'en était pas à son coup d'essai. Le principal suspect traîne en effet un lourd passé."Il forçait sa mère à faire le trottoir"
Le quotidien indiquait ainsi qu'Anthony Draoui était déjà connu des services de police pour des faits de vol et de dégradation commis en 2008, quand un an plus tard il s'en est violemment pris à une femme dans la rue. « Il n'avait pas supporté que je le regarde », expliquait au journal la victime, « rouée de coups de pieds ».
Enfant, Draoui a grandi avec une mère toxicomane. Alors qu'ils logeaient tous deux dans un hôtel de Saint-Rambert-d'Albon (Ardèche), le jeune aurait détruit leur chambre à coups de démonte-pneu. Le duo aurait alors déménagé à Tournon. Le Parisien rapportait que le jeune marginal y était « déscolarisé » et passait « ses journées à jouer aux jeux vidéo et à fumer du cannabis ». Les témoignages des amis de sa mère étaient encore plus édifiants quant au comportement pour le moins étrange du jeune homme. Tandis que l'un racontait qu' « il la (sa mère, NDLR) frappait, lui réclamait de l'argent tout le temps » et « avait même menacé de la jeter par la fenêtre », le second expliquait qu' « il forçait même sa mère à faire le trottoir pour gagner de l'argent » et qu' « il portait tout le temps de grands couteaux le long de sa jambe ».Crime "méthodique"
Au moment où le corps de Marie-Jeanne avait été retrouvé, enterré dans un trou et camouflé sous des branchages, aucune piste n'était privilégiée : accident ou crime d'un rôdeur, d'un familier, d'un chasseur. Une chose seulement était sûre : le meurtrier avait pris soin d'enfouir le cadavre au fond d'un trou, méthodiquement creusé par des chasseurs pour enterrer les viscères de gros gibier, et de le dissimuler sous des branchages. Un scénario qui ne pouvait être suivi que par un familier des lieux, étant donné « la très grande difficulté d'accès, tant par le haut que le bas » de cet endroit très accidenté, selon le procureur.
Par Actu France-Soir / Service Faits Divers -
Israël construit des camps d'internement pour les immigrés africains
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Florian Philippot - "Preuves en 3" sur Public Sénat - 07.06.12
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Béziers (34), La Devèze : « Nous sommes calfeutrés chez nous, derrière nos clôtures et des grilles »
« Nous n’en pouvons plus, assurent les représentants d’un collectif d’habitants qui demeurent à proximité de la rue d’Alger dans le quartier de La Devèze. Nous n’osons plus rien dire de peur des représailles.
Certains d’entre-nous vivent dans ce quartier depuis presque 50 ans. Aujourd’hui des petits jeunes nous insultent, nous intimident. Ce n’était jamais arrivé. Ce sont des menaces à peine déguisées. Résultat, nous sommes calfeutrés chez nous, derrière nos clôtures et des grilles alors que certains jouent les maîtres de la rue. Ce sont les rois. On ne leur dit rien. »
Exaspérations
Nos témoins sont exaspérés, à bout de nerf. Ils ont bien appelé les policiers qui se sont déplacés, mais rien n’y fait. Dès le jeudi soir, cela depuis 3 ans, et jusqu’au dimanche, les riverains nous racontent être ennuyés par des jeunes qui jouent au foot, tapent contre les murs, crient, font du rodéo avec leurs voitures et qui se servent des rues d’Alger, de Constantine et d’Oran, comme des salons.
Note NPInfos : Les habitants de La Devèze n’ont qu’un choix à faire pour changer leur triste quotidien : dimanche, ils voterons Guillaume Vouzellaud, candidat du Front National – Rassemblement Bleu Marine.
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Florian Philippot invité de "La Matinale" sur Canal+ - 08.06.12
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Il brûle le drapeau tricolore devant le commissariat à Nice (texte manquant)
Un drapeau tricolore. Un briquet. Un geste provocateur. Et voilà le symbole national qui s'embrase aux portes du commissariat Foch, à Nice, dans la nuit de lundi à mardi. L'incendiaire présumé est ressorti libre du palais de justice hier, en attendant de venir répondre de ses actes devant un tribunal.
Centre-ville de Nice, avant-hier. Il est minuit et demi quand ce gaillard au physique imposant se plante avenue Maréchal-Foch, face au commissariat central du même nom. Il tient à la main un drapeau français. Sort de sa poche un briquet. Et y met le feu. Les fonctionnaires se ruent pour éteindre le début d'incendie et interpeller l'individu.
En 2010, l'affaire du drapeau…
Le drapeau est partiellement détruit. Le suspect, lui, est conduit à la caserne Auvare, au service du Quart. Il doit répondre d'outrage au drapeau, infraction passible d'une contravention de cinquième classe. Mais aussi de recel de vol, un délit, pour le coup. La provenance du drapeau reste en effet une énigme.
On ignorait hier encore la motivation de son geste. Voilà, en tout cas, le genre d'incident qui passe d'autant plus mal en période électorale. Et pour lequel le mauvais plaisantin encourt une sanction pécuniaire. Déféré au parquet de Nice, il s'est vu remettre une convocation ultérieure devant le tribunal de police.
C'est à Nice, déjà, qu'une affaire au retentissement national avait éclaté en avril 2010. A l'occasion d'un concours photo, la Fnac avait distingué un cliché montrant un homme qui s'essuyant le postérieur avec le drapeau tricolore.
La direction de l'enseigne culturelle avait présenté ses excuses. Mais la polémique s'était située sur un plan plus moral que pénal.
Nice Matin - 07/06/12
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Les "Bleus"..
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Cannibalisme et communisme dans la Chine des années 60
07/06/2012 – 10h00
PARIS (NOVOpress) — L’affaire, ces derniers jours, du cannibale de Miami ne peut se réduire à une potacherie geek sur le début de l’apocalypse zombie. Si ce fait divers a suscité un buzz aussi important c’est parce que le cannibalisme, dans une société civilisée, est tabou. Seuls quelques psychopathes tueurs en série s’y adonnent : Jeffrey Dahmer « le cannibale de Milwaukie » ou Andréi Chikatilo « le monstre de Rostov » par exemple (plus d’infos sur la question).Pourtant il existe un pays dans lequel le cannibalisme fut il y a moins de cinquante ans non seulement « autorisé », mais encouragé par l’appareil d’État : il s’agit de la Chine des années 60. La plupart des cas de cannibalisme recensés le furent pendant la période de la Révolution culturelle, non pas à cause des famines poussant la population à la dernière extrémité, mais bien dans le but idéologique de « manger le bourgeois ».
La Révolution culturelle commence en 1966. Son but : éradiquer les traditions culturelles chinoises. Il faut « détruire les vieilles idées, la vieille culture, les vieilles coutumes et les vieilles habitudes des classes exploiteuses » (maréchal Lin Biao).
Le 8 août 1966 le Parti communiste chinois adopte une résolution en 16 points pour détailler le projet : « La grande révolution culturelle prolétarienne vise à liquider l’idéologie bourgeoise, à implanter l’idéologie prolétarienne, à transformer l’homme dans ce qu’il a de plus profond, à réaliser sa révolution idéologique, à extirper les racines du révisionnisme, à consolider et à développer le système socialiste. Nous devons abattre les responsables du Parti engagés dans la voie capitaliste. Nous devons abattre les sommités académiques réactionnaires de la bourgeoisie et tous les “monarchistes” bourgeois. Nous devons nous opposer à tous les actes de répression contre la révolution. Nous devons liquider tous les génies malfaisants. Nous devons extirper énergiquement la pensée, la culture, les mœurs et coutumes anciennes de toutes les classes exploiteuses. Nous devons réformer toutes les parties de la superstructure qui ne correspondent pas à la base économique du socialisme. Nous devons purger la terre de toute la vermine et balayer tous les obstacles ! » (communisme-bolchevisme.net, page 26)
Résultat : confiscations de logements, destruction du patrimoine culturel et des édifices religieux, exécutions en masse et déportation dans des camps de travail des « contre-révolutionnaires », rééducation des « intellectuels » (pas au sens français contemporain mais au sens de toute personne qui travaille dans un domaine intellectuel – cela inclut donc les instituteurs ou les petits employés un peu éduqués) par le travail manuel. Bien que la Révolution culturelle soit la période la moins meurtrière de la Chine maoïste, elle se solda tout de même en deux ans (1966-1968) par un bilan de un million de morts.
« A côté des horreurs quasi astronomiques de la réforme agraire et du Grand Bond en avant, les quelques un million de morts (…) pourraient presque sembler modestes. Si, plus que tout autre épisode de l’histoire contemporaine de la Chine, elle frappa le monde entier et reste dans les mémoires, ce fut par le radicalisme extrême de son discours et de quelques-uns de ses actes » (Livre noir du communisme) Nous allons le voir.
« La lutte que nous menons contre eux ne peut donc être, elle aussi, qu’une lutte à mort, nos rapports avec eux ne sont en aucune façon des rapports d’égalité, c’est l’oppression d’une classe par une autre, c’est-à-dire la dictature du prolétariat sur la bourgeoisie ; dans ces rapports, il ne saurait y avoir place pour autre chose, ni égalité, ni coexistence pacifique entre classes exploitées et classes exploiteuses, ni rien de ce qui se nomme humanité, justice ou vertu. » (circulaire du parti communiste chinois, 16 mai 1966)
Cette lutte à mort « sans humanité, justice ou vertu » va justifier des campagnes de cannibalisme de masse dans les provinces chinoises.
L’écrivain Zheng Yi va raconter dans son ouvrage « Stèles rouges : du totalitarisme au cannibalisme » (éd. Bleu de Chine 1999) l’enquête qu’il a menée à ce sujet dans la province de Guangzi. Il recensera environ 10.000 cas sur cette seule région.
Morceaux choisis (si l’on peut dire…)
Après avoir obligé leur professeur à une séance de pidou (autocritique) musclée et l’avoir battu à mort : « Quelques élèves les escortaient fusils en main, le gros de la troupe suivait au loin… …Fu Bingkun (élève de deuxième année du second cycle) jeta un couteau de cuisine à côté du corps en disant : “Espions, coupez dans la chair ! Mangeons-en cette nuit ! …N’abîmez pas l’intestin en découpant ! Si vous le faites, je vous précipite avec dans le fleuve ! Je veux seulement le cœur et le foie.” Nous, les quatre membres de la “clique noire”, nous nous agenouillâmes sur le sol et quelqu’un me fourra d’abord le couteau dans la main. Je tenais le couteau. Ma main n’arrêtait pas de trembler. Il n’y avait rien à faire : je n’arrivais pas à passera l’action ; je ne pouvais pas commencer à trancher. Tout en m’insultant, les élèves donnèrent le couteau à Tan Chineng. A la lumière d’une lampe de poche, celui-ci se mit à l’œuvre, serrant les dents. (S’il ne s’était pas exécuté, les élèves nous auraient sans doute vraiment liquidés, nous aussi ! Ils avaient l’air prêts à en découdre). Après le cœur et le foie, ce fut au tour de la chair des cuisses d’être découpée. Certains en remplissaient des sacs en plastique, d’autres repartaient, des morceaux de viande dégoulinante de sang accrochés aux longs canons de leurs fusils. Par la suite, l’enquête établit qu’ils avaient procédé à la cuisson en trois lieux différents :
- dans la grande cuisine, on avait crié à Zhang Gongyou (une femme) d’ouvrir la porte. Une fois cuite, soixante-dix à quatre-vingt élèves mangèrent de la viande humaine ;
- dans le dortoir du responsable adjoint du comité révolutionnaire, Huang Yuanlou, où l’on utilisa des marmites pour la cuisson. Lui-même n’y goûta pas, mais quatre élèves en mangèrent ;
- sous l’auvent de la galerie, devant les salles des classes 31 et 32.
La chair une fois complètement enlevée, le squelette de Wu Shufang fut alors jeté dans le fleuve… Au moment du “règlement des problèmes laissés par la Révolution culturelle”, le responsable adjoint du comité révolutionnaire à l’école secondaire de Wuxuan fut exclu du Parti pour cannibalisme, mais il affirma encore avec assurance : “Cette chair humaine, c’était de la chair de propriétaire foncier ! C’était de la chair d’espion qu’on a mangée !”
Au fil de l’ouvrage, Zheng Yi recense un grand nombre de témoignages, tous plus atroces les uns que les autres.
Si le responsable du Parti cité précédemment fut exclu du PCC, ce fut non pas en raison de ses actes de cannibalisme (l’enquête montre que ces crimes étaient tolérés à l’époque) mais parce que à partir de 1968, les différentes factions des gardes rouges opérèrent entre elles des règlements de compte.
Au moment où le livre fut publié en Chine en 1986 (son auteur dut s’exiler suite à son implication dans le mouvement de 1989), beaucoup de responsables de l’époque étaient encore en poste. Zheng Yi parle de véritables « campagnes » de cannibalisme dans la ville de Wuxuan. Les gens sont découpés alors qu’ils sont encore vivants. On assiste à des « repas communautaires cannibales » : « Le 10 juillet 1968, dans la région de Sanli, devant l’entrée du canton de Shangjiang, se tint une grande séance de pidou, au cours de laquelle furent tués à coups de bâton Liao Tianlong, Liao Jinfu, Zhong Zhenquan et Zhong Shaoting. La chair des quatre corps fut découpée puis transportée jusqu’aux cuisines de la brigade, où on la fît cuire dans deux grandes marmites. Vingt à trente personnes en mangèrent. Au vu et au su de tous, on avait donc osé faire cuire de la chair humaine aux sièges même des gouvernements de niveau cantonal et régional, puis organiser sur place un repas communautaire ».
Sans détailler plus avant le catalogue des horreurs (les lecteurs intéressés peuvent se rapporter soit à l’ouvrage, soit aux larges extraits disponibles sur internet), l’auteur s’interroge sur la barbarie intrinsèque du totalitarisme communisme. « En principe, après avoir commis un crime, on est en proie au remord. Comment se fait-il que de la terre de Wuxuan seule la haine pousse ? Pourquoi cette haine implacable ? Pourquoi une haine si profonde qu’elle ne s’éteigne même pas après avoir mis à mort et dévoré des hommes ? »
A méditer à l’heure où l’extrême gauche française d’Alain Badiou à Jean-Luc Mélenchon, n’a toujours pas fait son autocritique sur les crimes abjects du maoïsme…
Spoutnik, pour Novopress
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
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Syrie - Tchourkine: " Assad n'est pas Kadhafi, l'Occident soutient l'opposition armée" - 11 février 2012
http://www1.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=49839&frid=18&cid=18&fromval=1&seccatid=37