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  • M. Hollande, vous sombrez dans le ridicule

    Posté par le 17 octobre 2012

     


    Tribune libre de Manuel Gomez, ancien journaliste à
    L’Aurore, témoin des événements d’octobre 1961 à Paris

    Comment pouvez-vous croire tous ces mensonges ? Pourquoi vos services ne vous apportent pas les preuves qu’il s’agit de mensonges ? On abuse de votre crédulité, on se gausse de votre « normalité » et vous sombrez dans le ridicule.

    On vous raconte le 17 octobre 1961 et vous les croyez :

    « Ce fut un « massacre », une hécatombe de corps, 300 Algériens assassinés et 2.300 blessés. Vraiment les forces de l’ordre parisiennes ont fait fort, les mains des gardiens de la paix, des gendarmes mobiles, des CRS et des forces auxiliaires de harkis, sont couvertes de sang à jamais ».

    Il est de notre devoir, à nous journalistes présents sur les lieux, de rétablir la vérité quand elle est évidente et incontestable.

    À l’époque j’appartenais à la rédaction du quotidien L’Aurore et j’ai enquêté dès le lendemain auprès de la morgue et des services hospitaliers, également auprès des établissements et des riverains qui longeaient la Seine. J’ai accompagné le colonel Raymond Montaner, commandant de la force auxiliaire des harkis de Paris, dont le rôle principal était la protection des Algériens de la région parisienne contre les exactions du FLN, qui a enquêté en compagnie de ses deux adjoints le capitaine de Roujoux et le lieutenant Champsavin et voici le résultat absolument vérifiable de ses conclusions :

    Il n’y eut cette nuit du 17 octobre aucune intervention anormale des pompiers parisiens, ni de police secours, ni de la Croix rouge, ni d’aucun service d’ambulance.

     

    Aucun service d’urgence des hôpitaux de Paris et de la banlieue n’a reçu un afflux anormal de blessés. 2.300 blessés en une seule nuit cela laisse pourtant des traces, non ? Toutes les urgences et même les cliniques privées auraient dû être totalement débordées. Où sont donc passés ces 2.300 blessés ? Disparus comme par magie ! Il paraîtrait qu’ils auraient été jetés dans la Seine en même temps que les 300 morts ! L’enquête auprès des barrages en aval de Paris n’a révélé aucune découverte de noyés. Pourtant 300 corps ne se dissolvent pas dans l’eau de la Seine. Les berges sur des kilomètres auraient dû être parsemées de cadavres mais aucun riverain n’en a signalé !!

    La réalité est tout autre. En vérité il n’y eut au cours de cette nuit du 17 octobre que sept morts, dont deux seulement sont imputés aux forces de l’ordre, Achour Belkacem et Amar Malek, tous deux agents du FLN. Les cinq autres morts sont quatre Algériens et un Français, Guy Chevalier.

    Voilà le bilan exact de ce « massacre » du 17 octobre 1961.

    En revanche voici un autre bilan qu’il ne faut pas laisser sous silence mais dont on ne parle jamais : entre janvier 1955 et juillet 1962, les groupes armés du FLN ont assassiné, en France, plus de 6.000 Algériens, tués par balles, strangulation, égorgement. Également 9.000 cas de mutilations (ablation du nez, des oreilles, des lèvres) soit une moyenne de cinq tués ou blessés par jour, pendant sept ans !

    Au cours de ces 7 années il y eu en métropole, 120 gardiens de la paix et 150 civils français assassinés.

    Il faut que cela se sache : il y avait la guerre en Algérie mais il y avait également la guerre en France métropolitaine.

    Malheureusement la très grande majorité du peuple français qui n’a pas vécu ces événements ignore la vérité qui est souvent déformée et parfois même occultée.

    Quand donnera-t-on enfin la parole à ceux qui peuvent apporter la contradiction à ces menteurs qui salissent l’histoire de la France ?

    __________

    Note NPInfos : nous avons illustré ce texte avec quelques Unes de quotidiens de l’époque parues au lendemain des faits. Ces documents illustrent parfaitement l’ambiance d’alors : la violence fut essentiellement du côté des manifestants et la répression fut particulièrement limitée du côté des forces de l’ordre.

  • Mises en examen pour racisme anti-blanc : la preuve que tout combat doit être mené

     

    17 octobre 2012

     

    Mises en examen pour racisme anti-blanc : la preuve que tout combat doit être mené
     

     

    17/10/2012 — 19h45
    ROUBAIX (NOVOpress) —
    Les temps sont-ils en trains de changer ? Telle est la question que l’on peut se poser suite à la mise en examen pour… racisme anti-blancs du “sociologue”, et surtout militant de la haine anti-française, Saïd Bouamama et de “Saïdou” animateurs du groupe ZEP, tous deux co-auteurs de l’explicite Nique La France (image ci-dessus).


    Comme le rappelle dans un communiqué le Bloc identitaire, “il semble évident que ces mises en examen se veulent un contre-feu à la polémique récente – nourrie par les propos de Jean-François Copé – sur l’incroyable silence entourant le développement du racisme anti-blanc et du racisme anti-Français. Mais au-delà, elles témoignent de toute la légitimité du combat mené sur ce sujet par les Identitaires depuis 10 ans.”

    De plus, toujours selon le Bloc, “lorsque nous faisons annuler les concerts du groupe de rap haineux Sniper en 2003, lorsque les Jeunesses Identitaires menaient une grande campagne contre le racisme anti-blanc en 2005, lorsque le Bloc Identitaire assignait Houria Bouteldja en justice pour ses propos sur les “sous-chiens” voici moins d’un an; à chaque fois nous avons entendu des voix expliquer que cela ne servait à rien, que c’était inutile. Nous savions qu’ils avaient tort, que nous semions pour le futur. Et nous avions raison.”

    Ce qui fait dire au Bloc : “Sur le racisme anti-blanc, comme sur nombre d’autres combats : les identitaires ont 10 ans, mais surtout 10 ans d’avance !”

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  • La Grèce autorise la vente à bas prix des produits alimentaires qui ont dépassé leur date de péremption

     

    Le journal espagnol Voz Populi rapporte que le gouvernement grec a autorisé la vente à bas prix de produits alimentaires périmés.

    Il ne s’est pas justifié de cette mesure, mais le journal indique que des groupes de consommateurs l’ont interprétée comme un signe de son incapacité à stopper l’augmentation irrésistible du prix des denrées de base.

    « Cette loi [qui autorise les commerces à vendre les produits alimentaires après la date de péremption] a existé pendant des années. Et c’est quelque chose qui est autorisé dans le reste de l’Europe », a déclaré Yorgos Moraitakis Efe, conseiller au ministère du Développement, de la Concurrence et de la Marine Marchande.

    En Grèce, les prix des produits alimentaires n’ont pas cessé d’augmenter, dans un contexte de hausse continue du chômage, de baisse des salaires de certains salariés, et de réduction des pensions de retraite.

    Entre août 2011 et août 2012, le prix du sucre a augmenté de 15%, celui des œufs de 6,8%, celui du beurre de 3,2%, et celui du café de 5,9% selon l’agence de statistiques du pays. Les produits laitiers et carnés sont cependant exclus des produits alimentaires visés par cette nouvelle loi.

    L’Agence Nationale des produits alimentaires doute de l’efficacité de cette mesure, arguant qu’il n’est pas évident que ces produits seront revendu à des prix inférieurs, compte tenu que les mécanismes de contrôle des prix ne fonctionnent plus.

    Yannis Mijas, son président, pointe aussi une question morale, celle de la séparation des consommateurs en deux groupes : ceux qui pourront se permettre d’acheter les produits de base à leur prix normal, et ceux qui seront contraints de choisir des produits de qualité douteuse à cause de la pauvreté.

    E&R

  • Le discret soutien de Valérie Trierweiler à Florence Cassez...

    Il y a longtemps que l’on n’avait pas reparlé de Florence Cassez. Depuis que la Cour suprême du Mexique, en mars, s’était déclarée dans l’incapacité de prendre une décision sur le cas de la Française, renvoyant son rapport aux calendes grecques.

    Incarcérée en décembre 2005, Florence Cassez purge une peine de soixante ans de prison pour une participation à des enlèvements — qu’elle a toujours niés — aux côtés de son ancien compagnon, Israel Vallarta.

    Alors que en avait fait une affaire nationale, jusqu’à fâcher le Mexique, l’Elysée a décidé cette fois d’agir de plus façon plus discrète. Depuis son élection, a reçu les parents de la Française de 37 ans et lui a téléphoné plusieurs fois en prison. Récemment, c’est Valérie Trierweiler qui a pris le relais. Selon nos informations, la première dame a expédié, il y a quelques jours, un colis rempli de livres, de produits de beauté et de chocolats à la prisonnière. Et compte faire de même tous les mois jusqu’à son éventuelle libération. « C’est un geste précieux que Florence a beaucoup apprécié, confirme Jean-Luc Romero, élu apparenté de la région Ile-de-France et président de son comité de soutien. L’appui de l’Elysée, c’est important. Cela montre que la France est toujours derrière elle, qu’on ne la laisse pas tomber. Elle est passée par des moments difficiles ces derniers temps. »

    Hollande doit recevoir son homologue mexicain mi-octobre

    Le colis a été envoyé par la valise diplomatique et remis vendredi à Florence Cassez par un membre de l’ambassade de France à Mexico et un représentant du consulat. Mais échaudé par les échecs à répétition dans ce dossier, Paris avance prudemment et laisse la justice mexicaine travailler. « Toute nouvelle tentative de pression serait mal vécue. Il faut avancer à pas de loup », admet un diplomate qui suit l’affaire depuis des années. « Hollande nous a demandé quelle était la meilleure façon de s’y prendre pour éviter ce qui pourrait être considéré comme une provocation. On a retenu la leçon », renchérit Jean-Luc Romero, qui accompagnait le chef de l’Etat au G20 de Mexico en juin.

    Même si la date ne figure pas encore à l’agenda officiel, le président français doit recevoir son homologue, Enrique Pena Nieto, à l’Elysée le 17 octobre. Un déjeuner entre Valérie Trierweiler et son épouse, Angelica Rivera, une ex-actrice de telenovela, est également au programme. Certainement l’occasion d’aborder une nouvelle fois l’épineux dossier qui a envenimé les relations entre les deux pays. Car l’arrivée au pouvoir de Pena Nieto (élu en juin mais qui prendra seulement ses fonctions le 1er décembre, selon le délai imposé par la Constitution mexicaine) suscite l’espoir dans le camp français. « Son prédécesseur, Felipe Calderon, s’était braqué. Nul doute qu’il a pesé sur le cours de la justice. Le nouveau président, lui, n’a jusqu’ici envoyé aucun signal négatif », commente-t-on à Paris.

    Aujourd’hui, la balle est à nouveau dans le camp de la justice mexicaine. Une magistrate doit terminer son rapport sur lequel se prononceront les membres de la Cour suprême. Toutes les hypothèses sont sur la table, d’une confirmation de la condamnation à une relaxe pure et simple en passant par un nouveau procès. Si aucune date n’est fixée pour ce nouvel examen de passage, son entourage espère qu’il surviendra dans quelques mois (lire ci-dessous). Emprisonnée depuis bientôt sept ans, Florence Cassez doit encore s’armer de patience.


     

    Le Parisien - 08/10/12

  • La République hollandaise reconnaît les massacres du 17 octobre 1961

    C'est un communiqué de l'Elysée qui était attendu depuis des décennies des deux côtés de la Méditerranée. Le a déclaré mercredi que «la République reconnaît avec lucidité ces faits» à propos de la «sanglante répression» de la manifestation d'Algériens à Paris le 17 octobre 1961.

    Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes", a-t-il ajouté.

    A cinq mois de la fin de la guerre d'Algérie, le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d'Algériens manifestent pacifiquement à l'encontre du couvre-feu qui les vise. Organisée par le Front de libération nationale (FLN), cette manifestation vise aussi à dénoncer la répression du préfet de police de la Seine, Maurice Papon. La police ouvre le feu. Des centaines d'Algériens sont exécutés froidement. Des corps sont retrouvés dans la Seine. Un massacre à Paris.

    Hollande en Algérie en décembre

    Lundi, le Parti socialiste avait réclamé «une reconnaissance officielle» de la répression de cette manifestation. Un an plus tôt jour pour jour, le 17 octobre 2011, François Hollande, qui venait de remporter la primaire PS pour être candidat à l'Elysée, s'était rendu à Asnières (Hauts-de-Seine), commune de proche banlieue parisienne, pour témoigner «de sa solidarité» avec les familles endeuillées par ces événements. Il avait relevé que «trop longtemps cet événement (avait) été occulté des récits historiques» et qu'il était «important de rappeler ces faits». François Hollande doit se rendre début décembre en voyage officiel en Algérie.

    Le Sénat va étudier mardi, en séance publique, une proposition de résolution du groupe communiste «tendant à la reconnaissance de la répression de la manifestation du 17 octobre 1961». Cette proposition avait été déposée par Nicole Borvo Cohen-Seat, ancienne sénatrice de Paris, et plusieurs de ses collègues communistes.

    Propositions de loi au Sénat et à l'Assemblée

    A l'Assemblée nationale, François Asensi (Front de gauche), a annoncé ce mercredi, lors d'un débat sur les questions européennes, que son groupe déposait une proposition analogue à celles des sénateurs communistes. «Son adoption serait un geste de concorde à l'adresse du peuple algérien, ce peuple ami», a-t-il souligné dans un communiqué.

    De son côté, le chef de file des députés UMP Christian Jacob a estimé qu'il est «intolérable de mettre en cause la police républicaine et avec elle la République toute entière» même si, pour lui, «il n'est pas question de nier les événements du 17 octobre 1961 et d'oublier les victimes.» «François Hollande doit rassembler et sa tentative de politiser les enjeux de mémoire d'une période difficile de notre histoire est dangereuse pour la cohésion nationale», ajoute Jacob dans un communiqué, demandant au président de la République de «préciser si son simple et très court communiqué vaut reconnaissance de la responsabilité de la France.»

    La mémoire ou plutôt la guerre de la mémoire entrave la normalisation des relations entre Paris et Alger. Notamment suite à l'adoption à l'Assemblée nationale de la loi du 23 février 2005 dont l'article 4 reconnaît les «bienfaits de la colonisation». Un article finalement abrogé par le président Chirac en janvier 2006. Un mois plus tard est proposée à l'Assemblée nationale la date du 19 mars 1962, en souvenir du cessez-le-feu suivant les accords d'Evian. Proposition rejetée par les députés, au motif que les affrontements se sont poursuivis (fusillade de la rue d'Isly le 26 mars 1962, enlèvements et assassinats d'Européens à Oran le 5 juillet et massacres de harkis à partir de l'été 1962).

    L'inauguration, en novembre 2007, du «mur des victimes du FLN», à Perpignan (Pyrénées-Orientales), a finalement lieu. Elle se déroule en présence du secrétaire d'Etat à la Défense chargé des Anciens Combattants, Alain Marleix, qui a souhaité «une politique de mémoire assumée». En toile de fond, la signature de gros contrats portant sur le gaz et le pétrole avec l'Algérie. Mais la question de la mémoire a longtemps empoisonné et donné le ton des relations entre la France et l'Algérie.




    LeParisien.fr - 17/10/12

     
  • Alpes-Maritimes: un gendarme meurt après un contrôle routier

    Un gendarme est mort en tentant d'arrêter un voleur de voiture, ce mercredi à Peille près de Nice.

    Le fuyard a abandonné son véhicule, une Mini Cooper, un peu plus loin. Il était activement recherché ce mercredi soir.

    L'accident s'est produit vers 15h sur un pont situé à La Grave-de-Peille. Le gendarme tué participait, avec plusieurs collègues, à une "planque" pour retrouver un véhicule volé.

    Arme au poing

    Surpris par les militaires, le voleur présumé a mis les gaz, renversant le gendarme qui lui barrait le passage. "Il avait son arme à la main et le brassard gendarmerie", expliquait -on sur place.

    Le fonctionnaire a été conduit en urgence jusqu'à l'hôpital, où il est décédé.

    La Mini-Cooper partiellement brûlée

    La voiture, une Mini-Cooper, a été découverte partiellement brûlée à quelques centaines de mètres du lieu de l'accident.

     Nice- Matin - 17/10/12
  • Gilbert Collard dans "On ne va pas se mentir" sur I>TELE

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  • Blanchiment: l'élue verte vend aussi des sex-toys "bio" !

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    Florence Lamblin est décidément une élue pas comme les autres. Mêlée à une affaire présumée de blanchiment d'argent lié au trafic de drogue, l'élue écologiste de est par ailleurs actionnaire d'une boutique en ligne de sex-toys «bio».

    «Paris-Match» et «Le Canard enchaîné» révèlent mardi que l'adjointe au maire du XIIIe arrondissement possède 40% des parts d'une société qui édite le site sexecolo.com.

    Huiles de massage 100% naturelles, lingerie bio, jouets sexuels sans phtalates, ces «additifs ajoutés dans les plastiques pour les assouplir»... Le site a pour slogan «le plaisir naturellement». Dans la rubrique «qui sommes-nous ?», pas de réponse mais ce commentaire : «Vaste question !». Tout juste sait-on que les détenteurs du site sont «très attentifs aux sextoys (...) sans phtalates»...

    Selon «Paris-Match», la société éditrice, Kobisha Sarl, est immatriculée au domicile de Florence Lamblin, architecte et urbaniste de profession.
     
     
    Le Parisien
  • Un livre à lire: "Une femme à Berlin. Journal, 20 avril-22 juin 1945 (anonyme)", par Dominique Venner

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    Image de Berlin en ruine en 1945. Crédit photo : DR

    16/10/2012 — 16h00
    PARIS (via le site de Dominique Venner) — Sur ma table de travail, un livre dont je n’avais pas encore trouvé le temps de parler. Je répare cette défaillance en attirant l’attention sur cet ouvrage exceptionnel qui nous change des sempiternels rabâchages sur la défaite du IIIème Reich. Il réunit les souvenirs dantesques d’une jeune Allemande dans les jours tragiques du printemps 1945. Selon sa volonté, ce Journal écrit à chaud est resté anonyme. Après l’avoir lu, on comprend et on admire cette décision qui va tellement à l’encontre des déballages obscènes d’aujourd’hui. Ce Journal a été publié après la mort de son auteur, exilée aux États-Unis. La traduction française a pour titre, Une femme à Berlin. Journal, 20 avril-22 juin 1945.

     

    Jeune journaliste allemande apolitique, certainement vive et jolie, ayant beaucoup voyagé pour son travail, parlant un peu le russe, elle fut saisie, comme tant d’autres femmes dans le piège fatal qu’était devenu Berlin à la fin d’avril 1945, lors de l’effondrement du Reich, à l’arrivée des troupes russes. Plus aucun homme dans la grande ville, sinon quelques vieillards. Tous les autres étaient morts ou mobilisés pour les ultimes combats. La jeune Berlinoise subit alors le sort de toutes les femmes qui ont été prises dans cet atroce guêpier, les viols à répétition accompagnés de toue sorte de violences de la part d’une soldatesque frustre, ivre de vodka, de victoire et de revanche. Sans eau, sans services, sans nourriture, la ville démolie par les bombardements était retournée à l’âge de pierre. La jeune anonyme raconte son sort et celui des autres femmes autour d’elle. Question bientôt rituelle et comme détachée : « combien de fois vous ont-ils ?… » L’épouvante et l’horreur sont décrites heure par heure. Mais avec une pointe d’humour et de détachement qui l’a sauvée. « Vaincre la mort rend plus fort », cette remarque revient plusieurs fois dans ce Journal. De fait, elle a survécu à tout, physiquement et moralement. Et cette victoire sur le sort et le malheur est sans doute la part la plus admirable de ce livre pathétique et pourtant tonique. Le lecteur est saisi de compassion horrifiée autant que d’admiration. Rarement fut écrit un témoignage aussi poignant et véridique du fond de l’enfer. Dans ces épreuves, après des jours de panique et d’horreur, après ce qu’elle a subi de répugnant comme tant d’autres, cette jeune femme est parvenue à une sorte de sérénité. Dans ce Journal d’épouvante se manifeste une vigueur, un courage et une tonicité indestructibles.

    On perçoit que cette jeune femme a été sauvée en partie pour avoir tenu chaque jour son Journal sur les restes d’un méchant cahier ou de simples bouts de papier, ce qui a eu sur elle un effet de catharsis, évacuant le mal en le crachant sur le papier. Dans une situation infiniment pire, elle a fait ce que faisait Marc Aurèle en campagne, consignant ses Pensées après les combats. Ainsi ne s’est-elle jamais abandonnée. « Nous avons besoin de nourriture spirituelle », note-t-elle. Étant détachée de toute religion, cette nourriture spirituelle, elle la trouve en elle-même et dans sa riche culture. Lucide, elle écrit : « Je sais maintenant que nous, Allemands, nous sommes fichus, mais notre bon vieux soleil brille toujours dans le ciel ». Et ailleurs : « Je sais que je fais partie de mon peuple, même maintenant ». Aucun apitoiement. La défaite et ce qui l’a accompagnée ne l’ont pas écrasée et n’ont pas annulé sa capacité de penser. Sa liberté intérieure a résisté à tout.

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

     

  • Caroline Fourest: " Dans un pays [la France] où on a exterminé 6 millions de Juifs..."

    Caroline Fourest fait de plus en plus fort dans la désinformation et dans la repentance de la France (la phrase en titre est à 1min35 dans la vidéo).
    Peut-être est-elle restée traumatisée de son expulsion manu militari de la fête de l’Humanité par des islamistes alors qu’elle devait participer à un débat sur… “Comment combattre le FN” le 15 septembre ?
    Comme le nombre total de victimes juives attribué à la Shoah est de 6 millions, il n’y en aurait donc pas eu ailleurs, en particulier en Allemagne !

     

    Peut-être Caroline Fourest viendra-t-elle expliquer ceci à la Convention Identitaire (3 et 4 novembre) où le Bloc Identitaire l’a invitée pour qu’elle puisse s’exprimer plus librement qu’à la fête de l’Humanité ?

    Extraits de la chaîne de télévision France 24 le 9/10/2012. Capture vidéo : www.fdesouche.com

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  • Marine Le Pen invitée de "Politique Matin" sur LCP

    Posté par le 16 octobre 2012

     

    Marine Le Pen, Présidente du Front National et députée française au Parlement européen, était l’invitée de Patrick Chêne dans l’émission « Politique matin » sur LCP.

    Marine Le Pen réagit à l’amateurisme du gouvernement Hollayrault en place qui ne peut répondre aux priorités des Français : « Les Français eux ce qu’ils veulent ce sont des réponses sur ce qui les blesse, ce qui les frappe. C’est la situation économique, c’est l’effondrement social, c’est le recul de leur pouvoir d’achat, c’est l’insécurité qui explose, c’est l’aggravation des périls que vit notre pays et, notamment et bien évidemment, la montée du fondamentalisme islamique. »

     

    NdB: Une seule personnalité politique ose dire la vérité aux Français de France et c'est Marine Le Pen ! 

  • Marie-Antoinette d'Autriche, reine de France et martyre

    Lire en entier: http://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Antoinette_d'Autriche

    Nombreux tableaux et dessins

  • Hommage à la reine Marie-Antoinette (1755-1793)

     

     

    Par Alexandre Simonnot

    Rendons un hommage tout particulier à notre reine Marie-Antoinette assassinée il y a aujourd’hui 219 années.

    Femme, reine et mère, Marie-Antoinette est lâchement exécutée après un procès en sorcellerie dont s’inspireront les pires réquisitoires staliniens.

    Reine de France, et non « citoyenne Capet », Marie-Antoinette meurt en martyre comme une grande sainte. Veuve, elle endure un calvaire physique et moral abominable qui lui fera dire qu’elle n’a « plus de larmes pour pleurer ». Aux fenêtres de sa prison, à travers les barreaux de sa cellule, les barbares révolutionnaires lui présentent la tête empalée de sa meilleure amie, la princesse de Lamballe.

    Montant à l’échafaud, la reine de France présente ses excuses à Sanson, son bourreau, pour lui avoir effleuré le pied.

    Parfaitement innocente des crimes dont on l’accuse, Marie-Antoinette est sauvagement guillotinée, et rend sa belle âme à Dieu le 16 octobre 1793, elle n’avait que 37 ans. Sa lettre testamentaire à madame Élisabeth, sœur du feu roi Louis XVI, demeure un chef-d’œuvre poignant de foi, de fidélité, d’amour, d’abnégation, de courage et de vérité.

    Que Marie-Antoinette bénisse et protège, du haut du ciel, la France, son royaume qu’elle aimait tant.

  • Au sujet des « quelques erreurs » reconnues par Jean-Marc Ayrault

     
     
     

    Communiqué de Florian Philippot, vice-président du Front National

    Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault vient de confesser « quelques erreurs ». Cet aveu à la Jospin, qui en son temps avait reconnu avoir péché par « naïveté », est bien en deçà de la triste réalité.

    Ce ne sont pas quelques erreurs que le gouvernement doit déplorer, mais une totale trahison de ses promesses.

    En aucune façon ce gouvernement n’est « l’adversaire de la finance » : comme le précédent il est à plat ventre devant les grandes banques.

    Le Traité budgétaire n’a pas été renégocié, et c’est l’infâme traité Merkel/Sarkozy que François Hollande a imposé aux Français : encore moins de souveraineté nationale et encore plus d’austérité.

    Oublié le protectionnisme vanté par Arnaud Montebourg : comme les précédents, ce gouvernement soumet les Français à la loi de la jungle, celle de l’ouverture totale de nos frontières à la mondialisation sauvage.

  • Florian Philippot invité de "Ca vous regarde" sur LCP


    Dépénalisation du cannabis : l'éternel débat ... par LCP

    Posté par le 16 octobre 2012

     

    Florian Philippot, vice-président du Front National, est l’invité d’Arnaud Ardouin dans l’émission « Ça vous regarde » sur LCP.

    Les trois autres invités du débat « Êtes-vous favorable à une dépénalisation du cannabis pour lutter contre les réseaux souterrains ? » sont Sergio Coronado, député EELV de la 2e circonscription des Français établis hors de France, Geoffroy Didier, secrétaire national de l’UMP et conseiller régional d’Île-de-France, Jean-Marie Le Guen, député PS de la 9e circonscription de Paris.