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  • [Lu sur le net] Quelle légitimité démocratique pour la présence des immigrés en France ?

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    24 octobre 2012

     

    Si l’écrasante majorité des migrants sont toujours venus en France de manière légale, en revanche, la lecture des programmes électoraux des cinq derniers présidents de la république et de leur parti montre que jamais ils n’ont annoncé le nombre de permis de séjours et visas qu’ils allaient octroyer massivement, ni les naturalisations massives et encore moins les régularisations de clandestins massives. Aucun programme politique n’a non plus annoncé la fin des contrôles au frontières nationales, ni le transfert des compétences en matière de droit d’asile et de visas à Bruxelles depuis le Traité d’Amsterdam en 1998.

    Cela pose donc une question extrêmement grave. Si les grandes entreprises ont milité pour l’accueil de cette main d’œuvre bon marché, le peuple français qui en subit les coûts annexes (logement, prestations sociales, scolarisation) n’a pas été consulté. Embêtant pour un pays qui se prétend être une des plus grandes démocraties du monde.

    Rappel des programmes politiques des différentes campagnes électorales des partis au pouvoir depuis 1969 [...]

    Lire la suite : www.islamisation.fr

    Crédit photo : cicilief via Flickr (cc)

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Sur LeFigaro.fr : « L’image de l’islam se dégrade fortement en France »

     

    24 octobre 2012

     

    Sur LeFigaro.fr : « L’image de l’islam se dégrade fortement en France »
     

      

    [...] Une fête [Aïd-el-Kébir] qui tombe dans une France qui conteste de plus en plus cette religion, comme le démontrent un sondage exclusif de l’Ifop pour Le Figaro mais aussi des faits spectaculaires comme l’occupation symbolique, samedi dernier, de la mosquée de Poitiers. « Notre sondage, explique Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’Ifop, démontre une évolution qui va dans le sens d’un durcissement supplémentaire des Français vis-à-vis de cette religion et d’une perception négative renforcée de l’islam. Même si une proportion non négligeable de Français, 40 %, continue à se dire indifférente à la question de la présence de l’islam en France. »

     

    [...] « De ce point de vue, ajoute Jérôme Fourquet, la polémique sur le fast-food halal à Roubaix – certes largement instrumentalisée politiquement – ou certaines publicités halal, ont eu plus d’effets que n’importe quel discours politique. Elles confirment dans l’opinion l’irréversibilité de l’enracinement de l’islam en France qui n’est plus perçu comme un problème passager. Voilà une clé d’interprétation de ce sondage : cette caisse de résonance permanente conduit à une prise de conscience très forte qui n’a peut-être jamais été atteinte à ce point. » [...]

    Lire l’intégralité de l’article sur Le Figaro.fr

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  • Génération Identitaire s’insurge contre “la (ré)pression stupide d’un système aveugle”

     

    24 octobre 2012

    Génération Identitaire s’insurge contre “la (ré)pression stupide d’un système aveugle”
     
     

    24/10/2012 — 17h00
    PARIS (NOVOpress) — Dans un communiqué publié aujourd’hui Génération Identitaire s’insurge contre ce que ce mouvement appelle “la (ré)pression stupide d’un système aveugle”. Ainsi, “le caractère totalement disproportionné et arbitraire (avant même tout jugement, on empêche des militants politiques de défendre leurs idées et de se déplacer) de cette décision (celle qui concerne les quatre militants mis en examen, note de Novopress) est un immense aveu du pouvoir en place. Un aveu de faiblesse, témoignant de l’incapacité à apporter une réponse politique aux problèmes soulignés par notre action. Un aveu de peur face à la tension extrême dans laquelle vit aujourd’hui notre société. Un aveu d’autisme quant à la réalité du pays et à l’opinion de nos compatriotes.”

     

    Ce communiqué ajoute : “L’hystérie des réactions politiques ou médiatiques (heureusement pour nous que les guillotines ne sont plus en activité !) – sans parler des associations prétendument antiracistes et bel et bien anti-françaises – suffit à démontrer la justesse de notre lutte. Les insultes, grognements, menaces unanimes montrent bien à quel point tous les adversaires de façade peuvent s’unir face à leur seul véritable ennemi : ceux qui défendent l’identité et l’enracinement. Seule Marine Le Pen – trop habituée à voir les hyènes chasser en meute – a brisé ce bel élan quasi-totalitaire.”

    Mais surtout, pour Génération Identitaire : “Nous savions qu’il faudrait avoir tout ce monde là contre nous pour avoir le peuple avec nous. Nous savions quels risques nous prenions. Nous ne jouons pas.”

    De plus, Génération Identitaire indique, dans un autre communiqué, que le mouvement poursuit tous ceux qui le diffament, comme c’est le cas pour “Bernard Poirette (journaliste sur RTL) qui a annoncé notre action à l’antenne en titrant ‘les néo-nazis à la mosquée de Poitiers’, le site musulman oumma.com et l’association prétendument antiraciste MRAP qui ont évoqué une ‘parade fasciste’ à propos de la Convention Identitaire d’Orange, et enfin le Premier secrétaire du PS Harlem Désir qui a décrit les jeunes de Génération Identitaire comme des ‘fanatiques violents’”.

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • FSSPX : Mgr Williamson est officiellement exclu

     

    WL'information vient de tomber : Mgr Fellay vient d'exclure Mgr Williamson de la FSSPX. Cette information est une exclusivité du Salon Beige.

    Au cours du printemps et de l'été, la Fraternité sacerdotale Saint-Pie X a été le théâtre d'une crise importante liée aux pourparlers que menaient leurs autorités avec Rome. Le paroxysme a sans doute été atteint avec la publication d'une lettre secrète mais qui manifestait une opposition frontale des trois évêques de la FSSPX à l'encontre de leur supérieur général (et par ailleurs confrère dans l'épiscopat), Mgr Fellay.

    GCette lutte a continué de manière ouverte au cours de l'été par le biais de la lettre d'information de Mgr Williamson, qui s'en est vigoureusement pris à son supérieur et au chapitre général auquel il ne participait pas. L'évêque britannique s'est tellement enfermé dans une spirale d'insoumission que sa place au sein de la FSSPX est désormais en péril, certains journalistes ayant même avancé qu'il pourrait prochainement être rejeté canoniquement de la fraternité fondée par Mgr Lefebvre.

    Le 13 octobre, Mgr Alfonso de Galarreta (photo de droite), le plus discret des évêques de la FSSPX, a donné une conférence à Villepreux qui, tout en proposant une ligne assez ferme propre à l'esprit de sa maison, prend radicalement le contre-pied de son confrère anglais pour justifier la politique de la Maison générale. Il a défendu les décisions du chapitre général, envisagé la normalisation de la FSSPX sans exiger que Rome revienne entièrement aux normes traditionnelles, et conseillé aux fidèles de dédramatiser la situation en affirmant que la crise traversée par la communauté était désormais dépassée. Au-delà des querelles du monde traditionnel - qui dépendent essentiellement de la gravité des enjeux - on notera dans le texte de cette conférence publiée sur le site d'information de la Maison Générale de la FSSPX, le réenclanchement prudent et discret des propositions faites à Rome par un évêque argentin qui semble bien s'être fait à cette occasion le porte-parole de son supérieur et qui en a profité par la même occasion pour se distancer du très radical et non moins original Mgr Williamson.

    Michel Janva

    Le Salon Beige - 23/10/12

     

  • [Lu sur le net] Belgique : Marocaine d’origine, future bourgmestre grâce à la N-VA

     

    23 octobre 2012

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    23/10/2012 — 21h00
    BRUXELLES (via Le Parisien) — Nadia Sminate (photo ci-dessus, note de Novopress), Belge d’origine marocaine, affiche pleinement son appartenance au parti indépendantiste flamand N-VA qui prône la séparation du pays. Elle deviendra même la première bourgmestre (maire) d’origine marocaine de Belgique lorsqu’elle prendra dans trois ans les commandes de la commune flamande de Londerzeele, sous les couleurs de la formation de Bart De Wever qu a récemment raflé aux socialistes la seconde ville du pays, Anvers.

     

    Née en 1981 dans la région de Malines, dans le centre du pays, d’un père marocain et d’une mère belge, la jeune femme, diplômée en philologie romane de l’université flamande de Bruxelles VUB, siège depuis 2010 comme députée fédérale au Parlement belge. Lors des élections municipales du 14 octobre dernier, elle menait la liste de la Nouvelle Alliance flamande (N-VA) à Londerzeel, une commune de 18 000 âmes située à une quinzaine de km au nord de Bruxelles. Elle est arrivée en tête avec 21% des suffrages. Ce qui lui a permis de négocier un accord de coalition avec les autres formations politiques.

    (…)

    Une semaine après le scrutin, l’accord a été signé pour les six prochaines années entre les représentants locaux de la N-VA, des écologistes de Groen, des socialistes et des chrétiens-démocrates (CD&V) du bourgmestre sortant Jozef De Borger. L’accord stipule que De Borger exercera, à nouveau, la fonction de bourgmestre durant les trois prochaines années, avant de céder la place à Mme Sminate pour les trois suivantes. Le chef de la N-VA, Bart De Wever, s’est dit « fier que (son) parti soit le premier à livrer un bourgmestre qui soit d’origine marocaine tout en se sentant parfaitement flamande ».

    (…)

    Si la Belgique compte de nombreux élus, adjoints au maire d’origines marocaine et turque, aucun d’entre eux n’avaient jusqu’ici exercé la fonction de bourgmestre. A Saint-Josse, l’une des 19 communes formant l’agglomération bruxelloise, c’est un socialiste d’origine turque, Emir Kir, qui sera bourgmestre à partir de janvier.

    [cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Incendie criminel contre une église à Aurillac

     

     

    Encore une tentative d’incendie criminel contre une église en France. Voici le peu qu’en dit aujourd’hui Radio Totem reprenant le quotidien La Montagne… D.H.

    L’enquête se poursuit suite à l’incendie qui a touché l’église Notre-Dame-aux-Neiges, à Aurillac, samedi. Seule la sacristie a été touchée.

    Des experts de la section incendie de la police scientifique de Lyon ont inspecté les lieux, lundi. Selon les premières constatations l’incendie serait d’origine criminelle. Quatre micros-foyers ont été identifiés selon La Montagne.

    Source : Radio Totem

    Observatoire de la christianophobie


     

  • Les manuels scolaires bientôt vecteurs de l’idéologie homosexualiste

     

    Le ministre des Droits des femmes et porte-parole du gouvernement, Najat Vallaud-Belkacem, a accordé un entretien au magazine « Têtu », dans lequel elle annonce vouloir « passer en revue » les manuels scolaires à propos de l’homosexualité. Dans la revue gay, le ministre déplore qu’ « aujourd’hui, ces manuels s’obstinent à passer sous silence l’orientation LGBT (lesbienne, gay, bi et trans) de certains personnages historiques ou auteurs, même quand elle explique une grande partie de leur oeuvre comme Rimbaud« .

    L’homosexualité de Rimbaud n’est pourtant pas inconnue du grand public. Mais faut-il pour autant associer systématiquement les personnages historiques à ce qui, de leur vivant, s’est passé en dessous de leur ceinture, à ce qui relève davantage de leur vie intime que de leur vie publique ? Faut-il souligner par exemple l’hétérosexualité de la plupart de ces personnages ? Mais à quelle fin ? Absurde.

    Contre-info.com

  • L’histoire (oubliée) de l’isolationnisme américain (Partie 2)

     

     

     

    Malgré ses fondements peu susceptibles d’entraîner l’émergence d’un État diplomatiquement interventionniste, le changement dans la politique étrangère a bien eu lieu. Après les prémices des années 20 et 30, le tournant définitif s’opère en 1945.

    Suite à la victoire des Alliés, les États-Unis sont la seule économie majeure à sortir renforcée de la guerre, n’ayant pas connu de destruction sur son propre territoire. Avec le Plan Marshall, les Guerres de Corée et du Vietnam, les États-Unis vont devenir une « superpuissance » politique mondiale. Ces événements ont cependant lieu dans le cadre de la guerre froide. A l’avènement du monde unilatéral qui succède à l’écroulement du bloc soviétique, les interventions militaires américaines ont notablement continué, dans différentes opérations armées menées entres autres au Moyen-Orient, au nom, officiellement, d’un messianisme démocratique et de la sécurité nationale.

    Nombreuses sont pourtant les voix qui se sont levées, dès les années 20, pour dénoncer un interventionnisme contraire à la nature et à l’intérêt profond du pays. Ces contestations ne sont pas le fait de pacifistes de la génération Woodstock, mais bien celle d’hommes politiques se réclamant d’un certain traditionalisme et conservatisme américain, et refusant le rôle leader militaire (et économique) des États-Unis, au nom même de la tradition nationale. Depuis les tenants de la Old Right jusqu’à Ron Paul, en passant par les « paléo-conservateurs », voici quelques illustrations de la constante résistance isolationniste se réclamant d’un patriotisme authentique.

    Howard H Buffet, un congressiste républicain (anticommuniste) critiqua la pertinence et la moralité de l’interventionnisme militaire américain, en particulier au sujet de la guerre froide. Voici, traduit par mes soins, une de ses citations tirée d’un article du Québecois Libre écrit par Christ Leithner : « Nos idéaux chrétiens ne peuvent être exportés vers d’autres pays par les dollars et la force armée…. Nous ne pouvons utiliser la puissance et la force à l’étranger et conserver la liberté au niveau national. ». Fait très intéressant : Howard H Buffet fut connu pour être un virulent partisan du retour à l’étalon or… Les mêmes propos se retrouvent dans l’article The transformation of the American Right (paru dans la revue Continuum en 1964) de Murray Rothbard, célèbre économiste et politologue de « l’école Autrichienne ». Rothbard note par exemple qu’un pays basé sur les libertés individuelles se retrouve en pleine contraction en voulant « libérer » par la violence les peuples qui ont fait le choix du communisme. D’une manière générale, il identifie l’impérialisme américain comme le « problème essentiel de [son] temps ».

    Les différentes générations d’isolationnistes qui se sont succédé ont aussi insisté sur le fait que l’interventionnisme militaire allait à l’encontre de l’intérêt du peuple américain. Durant la campagne présidentielle de 2000, Patrick J. Buchanan, un républicain rattaché au groupe des « paléo-conservateurs » lance : « n’a-t-on pas assez souffert, depuis PanAm 103, l’attentat à la bombe du WTC de 1993, jusqu’aux attentats des ambassades à Nairobi et Dar Es Salaam, pour comprendre que l’interventionnisme est l’incubateur du terrorisme ? ».

    Le journaliste proche de la tendance Old Right Garet Garrett, en s’adressant aux défenseurs du « nouvel ordre mondial » dit : « Est-ce la sécurité que vous voulez ? Il n’y a pas de sécurité au sommet du monde ». Howard H Buffet semblait pour sa part avoir déjà compris que derrière l’impérialisme américain se cachait l’intérêt d’une oligarchie réduite. A propos du projet de construction d’un pipeline en Arabie Saoudite soutenu par le gouvernement américain, en 1944 (! !), il dit carrément qu’il s’agissait là d’une politique « garantissant pratiquement l’envoi des enfants [de la Nation] mourir dans un endroit éloigné, pour défendre les intérêts marchands de la Standard Oil ou les rêves mondialistes de nos planificateurs du monde unilatéral ». Une filiation directe est donc visible entre l’isolationnisme explicite que l’on retrouve dans les éléments fondateurs du pays (insistons encore une fois sur le contenu du discours de fin de mandat de Georges Washington) et les différentes générations d’opposants à l’interventionnisme militaire.

    Il est intéressant pour conclure de noter que la plupart des tendances de pensée isolationnistes, depuis le mouvement Old Right jusqu’aux années 2000, montreront clairement le lien entre l’aggravation de l’interventionnisme militaire extérieur et l’émergence de l’interventionnisme intérieur, économique ( sur-protectionnisme, poids croissant de la fiscalité et de la redistribution bancaire (centralisation bancaire privée, interdiction temporaire de détenir de l’or, politique de la FED…) et sociétale (Patriot Act, lois sur la régulation d’internet…) qui ensemble portent atteinte à la neutralité et à la précieuse liberté individuelle originelle du peuple américain.

    Cette politique d’interventionnisme double est à présent nommée le « Welfare-Warfare ». Garet Garrett insiste sur les racines libérales du pays dans son ouvrage The American Story. Il s’oppose à la fois au New Deal et à l’implication américaine dans la Seconde Guerre Mondiale qui ensemble symbolisent le passage d’ « une république à un Empire », mettant à mort l’héritage américain le plus précieux : la liberté. Connu pour son opposition à l’interventionnisme militaire, Ron Paul est aussi connu pour son engagement contre l’oligarchie privée et étatique. Il fait d’ailleurs très clairement le lien entre le géopolitique et l’économique, dans cette célèbre et simple phrase extraite de son ouvrage End The Fed : « Ce n’est pas une coïncidence si le siècle de la guerre mondiale coïncide avec celui de la centralisation bancaire ».

    Nous avons donc ici en quelques paragraphes rappelé que les États-Unis en tant que Nation sont basés en premier lieu sur la liberté individuelle, ce qui a pour conséquence directe l’affirmation d’une tradition de démocratie et d’économie locale, d’une défiance vis-à-vis d’institutions publiques ou privées fortes, et donc de tout type d’interventionnisme ou de centralisation du pouvoir. L’ensemble des évolutions interventionnistes de l’État américain en interne et en externe, tout comme l’hégémonie financière de Wall Street, sont en tous points exogènes à la Tradition américaine authentique. Les argumentations des patriotes refusant l’évolution qu’a connu la politique gouvernementale mettent en lumière le fait que le soutien populaire à ces politiques relèvent de la pure manipulation : sous le prétexte des menaces aux libertés individuelles venues de l’intérieur (communisme) et de l’extérieur (terrorisme) l’État s’est engagé dans un double interventionnisme, aux dépends finalement de ces mêmes valeurs cruciales de liberté.

    Certainement avons-nous, par ces quelques paragraphes, enfoncé des portes ouvertes, mais il nous semble important aujourd’hui de bien montrer à quel point les Nations, au sens des peuples et de leurs valeurs, sont utilisées, à la fois comme fer de lance et comme bouc émissaire, dans un conflit de civilisations qui se profile. On s’étonnera facilement de cet acharnement des manifestants en Libye et ailleurs à s’attaquer aux symboles nationaux américains, suite à cet étrange film anti-Islam, fait par on-ne-sait-pas-vraiment-qui (l’identité du « réalisateur » ayant changé d’un jour à l’autre) et on s’étonnera encore plus de l’acharnement des médias occidentaux à parler de ces débordements et à nous montrer des images de drapeaux qui brulent.

    Il semblerait que, d’un coté comme de l’autre, on monte de toutes pièces une haine réciproque, qui amènera inexorablement les conflits armés prochains, au travers desquels coulera le sang des peuples laborieux. Pour trouver qui sont les fauteurs de troubles, peut-être devrions nous commencer par chercher qui, en fin de compte, en tirera profit

  • De la bonne "viande de brousse" saisie à Roissy !

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    Plusieurs centaines de kilos de «viande de brousse» ont été saisies à Roissy hier lundi. C’est une opération d’envergure que mène la Douane depuis le début de la semaine et qui devrait se prolonger plusieurs jours. Lundi plusieurs centaines de kilos de viande d’antilope, de pangolin, de singe ou de crocodile ont été découverts dans les valises de passagers arrivant d’Afrique par un matinal.

     

    L’opération de la douane a duré quatre heures, dans un climat tendu qui a nécessité l’intervention de la police. D’après les premiers éléments de l’enquête, ces viandes de brousse, cachées au fond des sacs et des valises de certains passagers, étaient notamment destinées au africain du quartier Château-Rouge à . Ce matin, les douaniers poursuivaient leur chasse à la viande de brousse à Roissy.

     

    LeParisien.fr - 23/10/12

  • Avignon - Un chaton emmuré au tribunal est sauvé de justesse: une belle histoire pour changer...

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    Publié le mardi 23 octobre 2012 à 08H03
     

    Un chaton, coincé entre le revêtement en pierres et le mur en béton, a été sauvé

    "C'est lui", "qu'il est mignon !"... À 13h45 c'était l'heure de gloire au secrétariat de l'ordre des avocats pour "Tom Sawyer" le chaton emmuré au tribunal et sauvé par une "chaîne de solidarité".

    Ph A. Esposito

    Vive émotion hier matin à la "parlotte" de la Cité judiciaire d'Avignon qui abrite l'Ordre des avocats du barreau d'Avignon : le mur miaule !Il n'y a pas l'ombre d'un doute pour Me Perrine Corru, Me Valéry Dury, "Fred" la secrétaire de l'ordre et sa fille : un chat est là, "dans" le mur. Les petits miaulements persistent. Il y a urgence. Il n'y a aucune issue et personne ne comprend comment un chat peut se trouver à cet endroit : entre le parement en pierres et le mur en béton de la cité judiciaire.

    Des coups de téléphone sont passés à la sécurité, à l'entretien, à la Présidence du tribunal.... rien n'y fait. En substance tant pis pour le chat. Il n'a qu'à se débrouiller. Les avocats sondent le mur. Le chat est là, toujours vivant mais reste inaccessible. Une trappe qui surplombe la porte d'entrée de l'Ordre est soulevée. L'espoir est de courte durée, c'est une mauvaise piste.

    L'architecte autorise le sauvetage

    Un appel est alors adressé aux pompiers qui font comprendre que l'urgence reste tout de même à l'assistance aux personnes. Néanmoins une équipe est envoyée sur les lieux : le bilan est vite dressé. Impossible d'atteindre l'animal. Il faut desceller une pierre. Et pour cela il faut l'accord de l'architecte apprennent les avocats. Ni une ni deux. Une petite recherche pour identifier l'architecte qui a dessiné le palais. Un fax lui est envoyé est en retour arrive rapidement l'accord tant attendu pour ôter l'une des pierres agrafées au mur. Les pompiers peuvent intervenir : un pied-de-biche, la pierre saute. Le chaton est sauvé.

    Il est immédiatement adopté par Me Perrine Corru : "Tom Sawyer", la nouvelle mascotte de l'Ordre est bichonnée. Il a droit à une gamelle, un peu de nourriture, de l'eau et une brassée de câlins.

    La Provence

  • Lettre ouverte de Génération Identitaire à M. le Premier ministre

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    22/10/2012 — 16h00
    PARIS (NOVOpress) — Suite aux réactions hystériques des mondes politique et médiatique à l’occupation symbolique et non violente du chantier de la future mosquée de Poitiers, Génération Identitaire a adressé une lettre ouverte au Premier ministre Jean-Marc Ayrault. Lettre que nous reproduisons ci-dessous.

     


    Monsieur le Premier ministre,

     

    Samedi 20 octobre, à six heures du matin, en compagnie d’une centaine de jeunes militants, nous sommes entrés sur le chantier de la Grande Mosquée de Poitiers. En fin de matinée, alors même que vous étiez en déplacement en Asie, vous avez publié un communiqué officiel. Si nous regrettons votre condamnation morale de notre action, nous nous félicitons, en revanche, de l’intérêt que vous portez à notre mouvement, et dont témoigne votre célérité à réagir.

     

    Pour autant, nous voulons croire que votre point de vue découle d’une appréciation inadéquate des faits. En effet, si notre pays connaît régulièrement des occupations d’usines, de bureaux, d’églises, notamment du fait de la CGT ou d’associations de soutien à l’immigration clandestine, celles-ci ne sont pas toujours pacifiques et ne relèvent pas forcément du débat politique. Or, notre occupation du chantier de la Grande Mosquée de Poitiers a été non-violente et est à inscrire dans notre volonté d’un débat public. Notre présence se résume à la pose d’une banderole et à des slogans. L’évacuation s’est faite dans le calme.

    Notre objectif était – et reste – d’attirer l’attention de l’opinion publique sur le problème de l’immigration et de l’islamisation en France. Nous savons que sur ces points, vous êtes d’un avis contraire. Ainsi, alors que vous étiez maire de Nantes, vous avez versé 200 000 euros de subvention publique à un centre “culturel” musulman, pourtant proche des mouvances islamistes radicales. Depuis votre nomination à la tête du gouvernement, vous inscrivez clairement votre action dans le développement et l’enracinement de l’immigration en France. Soit ! C’est votre droit et, peut-être, votre devoir au regard d’exigences d’Etats comme le Qatar ou l’Algérie.

    Nous avons, quant à nous, un avis contraire. Nous sommes de ceux qui pensent – car nous avons encore le droit de penser – que si les Français devenaient minoritaires, alors la France ne serait plus la France. Fantasme ? Non. Il suffit pour s’en convaincre de considérer les récentes études chiffrées de l’INSEE sur les jeunes d’Ile-de-France ou le nombre de mosquées construites ces dernières années chez nous.

    Vous voulez que cela continue ? Nous voulons que cela cesse !

    Vous ne voulez pas demander l’avis des Français ? Nous désirons un referendum !

    Tel était le but de notre action à Poitiers. A cette dernière, votre parti, le PS, mais aussi vos alliés du Front de gauche et d’Europe écologie les Verts, ont répondu unanimement par la haine. Pensez-vous vraiment, monsieur le premier ministre, que, dans une république, on puisse légitimement interdire d’expression des personnes qui réclament un referendum ? Si votre république n’est pas qu’un mot, n’est pas un rapt sémantique, alors, bien évidemment, la réponse est non.

    Nous ne vous demandons pas de nous comprendre. Nous vous demandons, Monsieur le premier ministre, de reconnaître notre droit à l’expression.

    Nous voulons un débat public et apaisé ? Les partis qui soutiennent votre gouvernement répondent par des invectives et des menaces. Nous voulons ouvrir les urnes ? Ils brandissent le bâton. N’est-ce pas eux, pourtant, qui, naguère, défendaient les Pussy Riot, entrées dans une église russe ?

    Certes, vous nous répondrez que la justice a décidé de nous poursuivre. Mais, soyons sérieux, Monsieur le Premier ministre. Pourriez-vous nous jurer que pas un seul de vos ministres n’ait appelé Monsieur le procureur de Poitiers ? Savez-vous d’ailleurs la raison de la mise en examen de quatre d’entre nous ? “Incitation à la haine raciale” pour avoir scandé, entre autres slogans : “Charles Martel !”. Est-ce cela votre république ? Est-ce là votre réponse aux centaines de milliers de jeunes Français qui refusent l’immigration parce qu’ils en souffrent régulièrement ?

    C’est de tout cela, Monsieur le Premier ministre, que nous souhaitons vous entretenir. Nous vous demandons donc de nous fixer un rendez-vous ou, à défaut, une rencontre avec l’un de vos conseillers.

    Dans cette attente,

    Nous vous prions de croire, Monsieur le premier ministre, à l’expression de notre très haute considération.

    La direction de Génération Identitaire

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  • Face aux islamistes, les chrétiens syriens craignent pour leur vie et fuient leur pays

     

     

    Islamistes armés affiliés à l'ASL : pas de pitié pour les chrétiens !

    Pour une raison qu’ils qualifient de « miraculeuse », Fadi, Myriam et Teresa, un couple de Syriens chrétiens et leur petite fille, ont obtenu leur visa pour l’Europe. Ils attendent aujourd’hui la reconnaissance de leur statut de réfugiés. Anciens résidents de Bab Touma, le principal quartier chrétien de Damas qui vient d’être touché par un attentat sanglant pour la première fois depuis le début de la guerre, ils évoquent douloureusement ce qu’ils viennent de quitter : un pays en guerre certes, mais aussi parents et amis. Nous les avons interrogés quelques heures avant l’attentat du 21 octobre qui a fait 13 morts et des dizaines de blessés dans leur quartier.

    Comment se déroulait le quotidien avant votre départ ?
    Fadi : La vie a évidemment beaucoup changé à Bab Touma. Avant, il y avait du monde dans les rues jusqu’à minuit. Aujourd’hui, vers 20h, il n’y a plus un chat. Chacun se terre chez soi. La moitié des restaurants sont fermés, il n’y a plus d’activité. Nous avons souvent des problèmes d’alimentation de pain. Devant les boulangeries, les gens font la queue dès 6h du matin. Une fois, nous n’avons pas eu de pain pendant trois jours. Bab Touma est un quartier protégé par les soldats de l’armée. En revanche, les quartiers voisins sont bombardés. Dès qu’une bombe explosait, c’était toute notre maison qui tremblait.

    Mais la vie civile suit son cours ?
    Myriam : A Bab Touma, une partie des écoles sont encore ouvertes, mais les parents y amènent de moins en moins les enfants. A Damas, de manière plus générale, la plupart des institutions sont maintenant fermées. Les hommes armés font pression pour que la vie civile s’arrête. A Jaraman, un quartier voisin, une de mes amies est allée inscrire sa fille à l’école, en septembre. Une voiture piégée a explosé à côté de la mère et la fille et les a tuées toutes les deux.
    Fadi : Les opposants disent aux écoles de fermer. Ils veulent mettre fin à toute vie normale. L’armée dit aux gens de continuer à vivre normalement, qu’elle les protège. Les gens sont entre deux feux. Ils doivent obéir aux deux s’ils veulent rester en vie. Ma tante était institutrice à Homs. Elle disait à ses élèves de continuer à venir. Elle militait pour que la vie continue coûte que coûte. Son mari l’a retrouvée égorgée. Sur le mur, ils avaient marqué, avec son sang, « Allah akbar ».

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    L'Islam, une religion d'amour et de tolérance!

  • Accouchement de l'A20: "Ma grossesse n'était pas à risque" - Témoignage d'Anne-Sophie Delestre

    L’enfant avait déjà un prénom, Béatrice. Elle est née à 7 mois de gestation, dans une voiture, sur l’A20, à la hauteur du péage de Montfaucon. Et n’a survécu que "quelques minutes", faute de soins adaptés. Un drame qui a entraîné une polémique sur les déserts médicaux et les conditions de prise en charge des naissances dans les zones isolées. François Hollande a demandé l'ouverture d'une enquête administrative, qui est en cours. Très perturbée par les articles de presse sur le drame, "qui disent des choses fausses", la mère de l’enfant a décidé de prendre la parole. Anne-Sophie Delestre, 35 ans, qualiticienne dans une entreprise, installée avec son compagnon Emmanuel Vaissières à La Capelle-Marival (Lot), confie pour la première fois au "Nouvel Observateur" sa version du drame.

    Vous contestez la version du drame véhiculée par les médias. Que s’est-il passé précisément vendredi 19 octobre ?

    - Je n’ai jamais fait "plusieurs fausses couches", comme j’ai pu le lire. C’était ma première grossesse, et elle n’était pas "à risque". On m’avait juste recommandé de ne pas conduire et de ne pas porter de poids lourds parce que j’avais un léger décollement du placenta, qui pouvait entraîner quelques saignements. Cela arrive à beaucoup de femmes. Mais je n’ai pas été alitée, ma grossesse s’est déroulée normalement. J’ai été très bien suivie par mon obstétricien à Figeac. Un praticien reconnu, qui a 25 ans de métier.

    Il n’a pas fait d’erreur en vous envoyant à Brive-la-Gaillarde plutôt que dans une maternité plus proche ?

    - Non. La petite commençait à descendre et j’avais des contractions, mais le col de l’utérus était fermé. Le gynécologue a estimé que j’avais quatre heures devant moi pour arriver à Brive, ce qui est très large. On m’attendait là-bas. Personne ne pouvait savoir que le bébé arriverait aussi vite.

    Mais pourquoi Brive plutôt que Cahors, Villefranche-de-Rouergue ou Aurillac, plus proches de Figeac sur la carte ?

    - Tous ces trajets prennent plus ou moins une heure, à 10 minutes près. Quand on m’a demandé où je voulais accoucher au début de ma grossesse, j’ai choisi Brive parce que la route est plus facile. Comme je devais accoucher en décembre et qu’il y a beaucoup de verglas dans la région, c’était important. Et puis il fallait bien que j’en choisisse une ! Il n’y avait aucune raison pour que j’accouche d’un prématuré. C’est à Brive que j’ai fait mon amniocentèse, tout s’est très bien passé.

    Vous quittez donc Figeac pour Brive en voiture. Qui conduit alors ?

    - Mon compagnon ! Evidemment pas moi ! Mais 20 minutes après être partis de Figeac, j’ai perdu les eaux. Il devait être 12h40. Puis tout s’est enchaîné. Quand la petite est née, elle vivait. Elle bougeait contre moi. Mais au bout de quelques minutes, c’était fini. Un bébé prématuré de sept mois ne tient pas s’il n’est pas mis en couveuse immédiatement.

    Quand les pompiers sont-ils arrivés ?

    - Ils ont dû mettre un quart d’heure, 20 minutes à venir. Puis le Smur est arrivé aussi. Mais la petite était morte. Ils l’ont constaté à 13h25. En tout cas, il est faux de dire que nous n’avons pas appelé les pompiers suffisamment tôt. On cherchait un endroit pour se garer. C’est pour ça qu’on a atterri à l’aire de La Bastide-Murat. Je n’accuse personne, on aurait fait différemment, ça n’aurait rien changé. La petite pesait 700 grammes.

    700 grammes, c’est vraiment très peu à 7 mois…

    - Marisol Touraine a dit qu’elle était très petite. Mais non, elle faisait 31 cm ! 700 grammes, ce n’est pas si petit pour 7 mois. C’est dans les deux derniers mois qu’elle devait prendre du poids.

    Ils n’ont pas détecté d'anormalité à l’échographie ?

    - Non, mais on ne détecte pas tout. C’est toujours approximatif. En tout cas, pour un bébé de ce poids, dans ces conditions, il n’y avait aucune solution. Si j’avais été sur place, oui, ils me l’auraient sauvée certainement. Mais là, je ne serais arrivée à temps dans aucune maternité. Ni nous, ni l’obstétricien, que je soutiens totalement, sont en cause. C’est une douleur immense, un deuil horrible. Et quand je vois que ça fait la Une le lendemain, ça amplifie…

    Vous parlez du débat sur les déserts médicaux ?

    - On a été indigné par la politisation de notre drame. Et le manque de compassion total à notre égard. Jamais un mot pour nous. Les journalistes, eux, se sont pointés à la maison. RTL est resté devant chez nous. Ils nous ont trouvés parce que France Inter a diffusé le nom de mon compagnon. Mais surtout, j’ai été choquée par les journaux à scandale. Des journalistes de "Paris Match" sont venus jusque dans les couloirs de l’hôpital à Cahors pour prendre des photos. C’est inadmissible. C’est du voyeurisme. Profiter du drame des personnes, c’est inhumain.

    Vous êtes désormais rentrée chez vous...

    - Oui. La prise en charge psychologique à l'hôpital de Cahors a été très bonne. Nous attendons le retour du corps de la petite pour l'inhumer, parce que j'ai demandé une autopsie. Je veux que la cérémonie se passe juste entre mon compagnon et moi. Nous ne voulons personne d'autre.

    Propos recueillis par Morgane Bertrand le 23 octobre 2012 - Le Nouvel Observateur

  • Florian Philippot invité de Sciences-Po TV

    Posté par le 22 octobre 2012

     

    Le 7 octobre, Florian Philippot, vice-président du Front National, était l’invité du Grand O sur Sciences Po TV.

  • Le Journal de Syrie 22 octobre 2012

  • L'Iran condamne l'attentat au Liban et accuse Israël

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    L'Iran a condamné samedi l'explosion qui a tué le chef des renseignements de la police libanaise à Beyrouth. Il a accusé Israël d'être derrière cet attentat que l'opposition libanaise a au contraire attribué au régime de Damas allié de Téhéran.

    «L'Iran condamne l'explosion terroriste perpétrée par ceux qui ont cherché à créer des divisions entre les différents groupes libanais, au détriment de l'intérêt du Liban», a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères Ramin Mehmanparast sur le site internet du ministère.

    «Sans aucun doute, l'ennemi principal du peuple libanais est le régime sioniste, à qui profite le plus l'instabilité et l'absence de sécurité dans la région», a-t-il ajouté.

    De son côté, le ministre des Affaires étrangères Ali Akbar Salehi a accusé «les ennemis de la région» de «chercher à accroître l'insécurité pour réaliser leurs objectifs malveillants», lors d'un entretien téléphonique vendredi soir avec son homologue libanais Adnan Mansour, selon le site du ministère.

    La Syrie a condamné cet attentat, mais l'opposition libanaise a accusé le régime de Damas, soutenu par Téhéran, d'en être responsable.

    Attaque condamnée

    Huit personnes, dont le chef des renseignements de la police libanaise, ont été tuées et 86 autres blessées vendredi dans un attentat à la voiture piégée à Beyrouth, selon un bilan de la défense civile. L'attaque a été unanimement condamnée, y compris par la Syrie.

    L'attentat a visé le chef des renseignements des Forces de sécurité intérieure (FSI) du Liban, le général Wissam al-Hassan, un musulman sunnite proche de Saad Hariri, chef de l'opposition libanaise opposée au régime de Damas. Il était pressenti pour prendre la tête des FSI à la fin de l'année.

    Les renseignements des FSI avaient joué un rôle majeur dans l'arrestation le 9 août de l'ex-ministre libanais Michel Samaha, un partisan du régime syrien, dans le cadre d'une affaire d'explosifs saisis qui devaient être notamment placés dans le nord du Liban. (ats/Newsnet)

    Créé: 20.10.2012

    Tribune de Genève

  • Des jeunes Israéliens se font tatouer des numéros de déportés

     

     et apparemment ce ne serait pas de la nostalgie.

    Plutôt un mélange d’indécence et de névrose…

    Il y a en effet une mode chez certains jeunes Israéliens, consistant à reproduire sur leur peau les tatouages de leurs grands-parents qui avaient été déportés par l’Allemagne.

    Atlantico nous en parle en ces termes : « « Quand j’ai montré pour la première fois le numéro à mon grand-père, il a pleuré et il a embrassé mon bras« , raconte-t-elle. Peu de temps après, sa mère et son oncle ont d’ailleurs décidé de faire la même chose qu’elle.
    En Israël, le poids de la Shoah est extrêmement lourd, pour ne pas dire intrinsèquement lié à la création de l’Etat hébreu. L’histoire du nazisme est enseigné aux enfants dès l’école primaire, et on trouve à Jérusalem un très grand musée consacré à cette période sombre de l’histoire, le musée Yad Vashem. »

    Contre-info.com

  • Quand Ivry lutte contre la "discrimination"...

     

    Ce soir, à 18H30, Ivry inaugure une exposition contre la discrimination et pour l’égalité des droits. La municipalité affiche en outre sa volonté de promouvoir une ville métissée. Entre autre question posée : « Qu’est-ce qu’une discrimination ? »

    Alors tentons de les éclairer rapidement. « Discriminer » partage la même racine étymologique que « discerner« , qui signifie « être en mesure de faire un choix ». Alors évidemment, faire un choix, c’est en exclure un autre. Épouser une femme, par exemple, c’est en discriminer des milliards d’autres. C’est sûr. Mais la discrimination n’est pas mauvaise en soi, au contraire. Il faut juste s’interroger sur son caractère juste : elle est injuste, en effet, toutes les fois où elle ne rend pas à autrui son dû. La vraie question est donc de savoir ce qui est dû ou ce qui ne l’est pas.

    Ériger ainsi une lutte idéologique contre la discrimination comme telle, c’est finalement refuser les choix et les considérer comme mauvais en tant que tels. Cette démarche repose nécessairement sur la vision d’un monde indistinct et uniformisé, où les différences sont nivelées, les homme indifférenciés, aussi bien asexués qu’apatride, c’est-à-dire déracinés. Magnifique !

    Contre-info.com