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  • Marine Le Pen invitée sur France 2 - 15 mai 2014

    Marine Le Pen était interrogée par Roland Sicard dans « Les 4 Vérités » sur France 2.

    NdB: il y a une erreur de datation sur la vidéo: avril au lieu de mai.

  • Le bras droit de Poutine en Ukraine

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    Manifestations pro-russes à Slaviansk

    Et si le nouvel album de Blake et Mortimer se passait en Ukraine ? Franchement, à voir le chef militaire des milices pro-russes, on pourrait y croire. Visage allongé, petite moustache tombante sur une bouche boudeuse, regard vif, perçant, et cette froideur sur le visage des hommes d’action. Le colonel Olrik est de retour, il dirige les milices pro-russes et n’a pas envie de faire de cadeau. En voici la preuve irréfutable.

    En l’occurrence il ne s’appelle pas Olrik mais Strelkov. Colonel Strelkov. Ancien membre du GRU (Direction générale des renseignements de l'État-major des forces armées russes et soviétiques), les services secrets de l’armée russe. On dit que jusqu’à présent on n’avait de lui qu’un portrait crayonné à la hâte. Mais dimanche, il est sorti de l’ombre, allant à la rencontre des journalistes à Slaviansk dans son uniforme camouflage, sur lequel le ruban de l’ordre de Saint-Georges orange et noir (feu et poudre) des vétérans de l’armée russe rappelait l’ambiance des commémorations du 9 mai.
     
                                  Le colonel détaille à un journal russe toutes les opérations

    Strelkov-Olrik ne fait plus de mystère. Oui il est bien venu de Crimée, de Sébastopol, où il été basé avec les forces russes et ses commandos. Des hommes de tous horizons à l’entendre, anciens de Tchétchénie ou d’Irak. Ukrainiens ? Russes ? Peu importe. Ils se battent pour leur région d’origine, l’Est de l’Ukraine, et pour leur cause : ne jamais rompre le lien avec Moscou. Quitte à démentir le Kremlin, qui continue de nier une implication militaire russe sur place, il détaille à un journal russe les opérations menées ces dernières semaines. Comment ils ont investi Slaviansk, désarmé la police et l’unité de para ukrainienne basée à proximité et comment depuis ils corrigent les forces spéciales ukrainiennes. Mais aussi comment ils peuvent compter sur les unités régulières russes basées de l’autre côté de la frontière.

     À force de passer du temps dans une caserne, n’importe qui finit par ressortir avec un sobriquet. Celui de Streklov était tout trouvé. On secoue un peu et Streklov devient "Strelok", le "tireur". Idéal. Un tireur que l’on entendait il y a un mois sur un enregistrement audio donné par le ministère de l’Intérieur à Kiev.
    En bon agent, Streklov-Olrik voit des espions partout et justifie l’arrestation de membres de l’OSCE en laissant entendre qu’ils étaient là pour détailler leur dispositif de défense. Avec lui, l’insurrection file droit. Ce qui n’est pas le cas des leaders politiques de la "République autoproclamée de Doniesk" qu’il semble mépriser au plus haut point.

    Olivier Ravanello

    Yahoo! Actualités - 15 05 14

     

     

  • L’Ukraine est-elle le signe précurseur de l’agonie de l’Europe ?

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    Le 14 mai 2014
    Dans l’est et le sud de l'Ukraine, les armes parlent de plus en plus souvent et de plus en plus en violemment.
     

    Avec les résultats attendus des consultations populaires de Donetsk et Lougansk, c’est l’avenir de l’Ukraine tout entier qui est désormais en jeu. Une question se pose alors immédiatement : dans les conditions actuelles, avec la proclamation des deux républiques populaires autonomes, le référendum général du 25 mai est-il encore opportun, voire possible ? Certes, la sécession du Donbass n’a pas été, pour l’heure, assortie d’une demande de rattachement à la Fédération de Russie. Si cela devait advenir, sans doute faudrait-il attendre l’automne et de prochaines échéances électorales locales. Mais d’ici là, beaucoup d’eau aura passé sous les ponts.

    En effet, tous les accidents de parcours sont à partir de maintenant envisageables. Ce pourquoi peut-être, à l’Ouest, de nombreuses voix — Schrőder, Védrine, Attali — commencent à s’élever contre ce qui semble devoir être une irrépressible montée des extrêmes. Ceci parce que l’irréversible a peut-être été commis vendredi 2 mai à Odessa avec la mort aussi horrible que suspecte de dizaines de militants désarmés. Des milices sont à l’œuvre dans les région dissidentes et s’efforcent de briser par la violence le mouvement séparatiste que l’inconséquence du gouvernement de Kiev a fait prospérer à l’est du pays, notamment par son absurde décision d’interdire l’usage officiel de la langue russe.

    Qui sont ces miliciens volontiers assassins ? Aux côtés des bandéristes extrémistes de Pravy Sektor, l’on sait à présent que se trouvent des hommes des grandes sociétés de mercenariat américaines, telle “Academi”, fille puînée de Blackwater, de sinistre mémoire… ainsi que des djihadistes montés du front syrien avec le soutien de la famille royale saoudienne, humiliée par le refus du Kremlin d’abonner son allié Bachar el-Assad. L’affaire ukrainienne s’internationalise donc à l’instar de ce qui se passa voici trois ans en Syrie.

    En conséquence de quoi, dans l’est et le sud de l’Ukraine, les armes parlent de plus en plus souvent et de plus en plus en violemment. La semaine qui vient de précéder le référendum a connu deux bains de sang particulièrement odieux, drames qui donnent le ton et la mesure des événements en cours. Le premier fut l’incendie, le 2 mai, de la Maison des syndicats à Odessa, dans lequel une quarantaine de personnes trouvèrent la mort dans des circonstances non élucidées. L’autre, le 9 mai à Marioupol, port de la mer d’Azov, avec une vingtaine de morts après que des paramilitaires eurent ouvert le feu sur la foule.

    Désormais, une question se pose avec acuité : l’Ukraine entre-t-elle en agonie et, avec elle, l’Europe ? Certes, l’Europe réelle survivra à la crise de l’euro et à celle de l’Ukraine, deux crises parmi les plus graves que nous ayons connues depuis les années 1930. Mais une chose est presque certaine : l’Union européenne telle que nous la connaissons, celle des sorciers libertariens, est entrée en agonie. Beaucoup, d’ailleurs, voient dans la victoire au concours de l’Eurovision, à Copenhague, du travesti à barbe Conchita Wurst, ce très symbolique dimanche 11 mai, la marque d’une fracture essentielle civilisationnelle entre l’Ouest et l’Est. Le choc des cultures entre un monde né d’un catholicisme émancipé avec le concile Vatican II, associé à des Églises luthériennes et anglicanes résolument modernistes, et un monde orthodoxe traditionaliste rené de ses cendres après la longue nuit du totalitarisme collectiviste. Ce choc, de tout évidence, ne paraît pas devoir être à l’avantage final d’une Europe crépusculaire atteinte d’une démence sénile qui lui fait aujourd’hui oublier d’où elle vient et où elle risque d’aller.

    Jean-Michel Vernochet

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Incident christianophobe à Anvers

    11 mai 2014

     

    Traduction de cet article néerlandais :

    "À Essen [banlieue d'Anvers], des musulmans se sont rendus coupables de violences ce dimanche à la terrasse d’un café. Ils ne toléraient pas de voir la croix que portait un diacre sur ses vêtements et l’ont agressé verbalement. La situation s’est compliquée quand le patron du café s’est interposé. Cinq blessés.

    Le diacre permanent Léo Van Gink était assis à la terrasse du café « ‘t Gildenhuys », lorsqu’éclata un incident. Des musulmans qui avaient remarqué la croix sur son costume l’ont traité de pédophile. « Je ne pouvais tolérer cet écart de langage, je leur ai donc demandé de s’en aller » déclare Richard Arnouts, le patron du café, sur son lit d’hôpital. Les musulmans n’ont pas obtempéré et se sont mis à le frapper. L’homme est en ce moment à l’hôpital avec une vertèbre cassée. Ils ont également blessé quatre autres personnes. “Ma femme a le petit doigt cassé, mon beau-frère a le tympan déchiré et la cheville foulée” explique Arnouts. Le diacre, lui aussi, en état de choc, a été conduit à l’hôpital. L’incident s’est terminé à l’arrivée de la police. Les coupables ont été arrêtes, mais la police se refuse à tout commentaire."

    Posté le 11 mai 2014 à 20h24 par Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Strasbourg: arrestation de six jihadistes de nationalité française

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/strasbourg-arrestation-d-un-groupe-de-jihadistes-francais-13-05-2014-3836751.php

     

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  • L'héritage colonial de la famille de Manuel Valls

    A regarder en mode plein écran pour lire les sous-titres

  • La "journée de la jupe" dénoncée à l'Assemblée

     

    Question du député UMP Véronique Louwagie aujourd'hui à l'Assemblée :

    "Ma question s’adresse à Monsieur le Premier ministre,

    Nous vous avions interpellé il y a quelques semaines sur des livres au contenu soi-disant pédagogique aux titres aussi explicites que « Tous à poil » ou « Mehdi met du rouge à lèvres ».

    Alors qu’il s’agit de dérives idéologiques de la théorie du genre, vous nous aviez expliqué à l’époque qu’il n’y avait pas de sujet.

    Or, qu’apprend-on ce jour ? Que l’académie de Nantes invite les lycéens de la région à porter une jupe vendredi prochain !

    Vous avez donc sciemment caché les actions que vous envisagiez pour poursuivre dans cette voie visant à imposer la théorie du genre.

    D’ailleurs, c’est avec stupeur que nous constatons que les documents relatifs à cette initiative ont été retirés du site internet de l’académie ! Vous aviez procédé de la sorte pour les bibliographies des soi-disant ABCD de l’égalité qui avaient suscité l’émoi légitime de nombreux parents d’élèves. Elles avaient disparu des sites web…

    Oui, notre jeunesse a besoin de repères.

    Oui, l’éducation nationale doit remplir tout son rôle dans l’apprentissage des savoirs fondamentaux.

    Alors, Monsieur le Premier ministre,

    Oui ou non, allez-vous faire cesser cette entreprise de démolition systématique des repères qui structurent la construction de nos enfants ?

    Oui ou non, allez-vous vous arrêter l'expérimentation du dispositif ABCD de l'égalité qui met en oeuvre la pédagogie du genre, construits sans concertation et en méprisant les inquiétudes légitimes des parents ?"

    Le Salon Beige  -  14 05 14

  • Ukraine: 7 soldats tués dans un accrochage avec des pro-russes

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    Publié le 13-05-2014 Modifié le 13-05-2014 à 22:49

     

    Un véhicule de l'armée ukrainienne patrouille près de Sloviansk, le 13 mai 2014.REUTERS/Yannis Behrakis

    Sept militaires ukrainiens ont été tués par des tirs au lance-roquette de la part d'insurgés pro-russes près du village d'Oktiabrské, situé entre les villes rebelles de Sloviansk et Kramatorsk (région de Donetsk). Il s'agit de l'attaque la plus meurtrière contre les militaires ukrainiens depuis le début de l'opération lancée à la mi-avril par les autorités à l'encontre des séparatistes dans l'Est. 

    Avec notre correspondante à Kiev, Caroline Larson

    Au lendemain de la déclaration d'indépendance des régions de Donetsk et de Lougansk, les combats meurtriers se sont poursuivis dans l'est de l'Ukraine. Ce mardi, en début d'après-midi, une colonne blindée de l'armée ukrainienne a essuyé des tirs alors qu'elle approchait d'un pont à la périphérie d'un village, à une vingtaine de kilomètres de Kramatorsk.

    Selon le ministère de la Défense, plus de 30 assaillants étaient placés en embuscade à l'approche des blindés, cachés dans des buissons, le long de la rivière. Deux soldats ont péri lors d'une attaque au lance-grenade, cinq autres sont morts dans la fusillade qui a suivi. Huit soldats ont également été blessés dont un grièvement. Le triste bilan intervient à la veille d'une table ronde de négociations qui doit rassembler à Kiev les autorités ukrainiennes et les séparatistes pro-russes.


    Une table ronde aux contours flous a été programmée mercredi à 13H30 GMT. Elle rassemblera selon le gouvernement le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk, trois anciens présidents d'Ukraine, les actuels candidats à l'élection présidentielle prévue le 25 mai, ainsi que des responsables régionaux. Les chefs séparatistes de l'est, que Kiev qualifie de « terroristes », ne semblent en revanche pas être invités malgré des appels répétés de Moscou en ce sens.

    Les discussions seront modérées par l'ancien diplomate allemand Wolfgang Ischinger et se pencheront notamment sur des questions de décentralisation et de lutte contre la corruption. Pour le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier,
    qui s'est rendu mardi à Kiev puis à Odessa (sud), « ce n'est bien sûr qu'un début ».

  • VIDEO - Farida Belghoul au défilé de Civitas: " Il faut mouiller la chemise"

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/farida-belghoul-au-defile-civitas_107581.html

  • Européennes: le Front National donné en tête

    http://www.leparisien.fr/elections-europeennes/sondage-europeennes-le-front-national-donne-en-tete-14-05-2014-3840223.php

  • La photo de propagande du Parlement européen

     

    pour inciter les gens à aller voter :
    un européen handicapé et sa femme africaine.

    Contre-info.com

  • A qui le pape baise la main

    14 mai 2014

     

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    C’était le 6 mai dernier, à l’issue de la messe du pape à Sainte-Marthe. François avait invité don Michele de Paolis, un prêtre salésien de 93 ans. Qui eut l’honneur de dire l’évangile du jour.

    Donc, après la messe, le pape s’est profondément incliné devant Michele de Paolis, et lui a baisé les mains. Il va de soi qu’on ne peut qu’être très ému de voir le souverain pontife faire preuve une fois de plus de son extrême et très sainte humilité, et se demander qui est donc le très saint prêtre devant lequel le très saint pape s’incline ainsi au point de lui baiser la main.

    Eh bien, pour faire court, il s’agit d’un militant LGBT, qui milite aussi, bien entendu, pour le mariage des prêtres, le sacerdoce des femmes, etc.

    Sur sa page Facebook, il se présente ainsi :

    « Je me sens laïc, humble croyant, toujours en recherche, prêtre pour un service disponible, désintéressé, gratuit dans la communauté chrétienne et dans la société, aux côtés des derniers. Anticlérical, c’est-à-dire n'appartenant pas à une caste, à une catégorie ; pas un fonctionnaire de la religion. Cherchant à donner de la paix et de la joie aux personnes qui se trouvent vivre dans les situations les plus dramatiques : non croyants, séparés, divorcés, tombés dans l'avortement, homosexuels, désespérés, la multitude des exclus. Cherchant la lumière de l'Evangile sur les thèmes discutés dans l'Eglise, comme le célibat des prêtres, le sacerdoce des femmes, la pédophilie, la maladie et la fin de vie. »

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    Dans les années 70, le P. Michele de Paolis était le responsable des salésiens en Amérique centrale : en pleine période de l’essor de la théologie de la libération. En 1978 il revient en Italie. Il fonde à Foggia un foyer pour marginaux, délinquants, drogués, etc., qui devient une coopérative : la "Communauté sur la route d'Emmaüs":

    « Emmaüs est né en 1978 dans la splendide saison post-conciliaire, comme une expérience significative de l’Eglise dans l’esprit de Don Bosco à la paroisse du Sacré-Cœur, dans un quartier défavorisé de la périphérie de Foggia. »

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    En 2010 il a fondé, avec un autre prêtre et avec un athée, Gabriele Scalfarotto, président régional d’Avis et père d’Ivan Scalfarotto, vice-président du parti démocrate et aujourd’hui secrétaire d’Etat, le groupe de Foggia de l’AGEDO, l’association des parents d’homosexuels, groupe qui est devenu le plus actif et le plus important de ce lobby LGBT en Italie.

    Gabriele Scalfarotto s’est suicidé en octobre 2013. Le P. Michele de Paolis a alors déclaré : « Je n’aurais aucun scrupule à célébrer ses funérailles à l’église ». Mais il semble qu’il ne l’ait pas fait : les photos montrent un hommage dans une salle des fêtes.

    Voici la traduction intégrale d’un texte du P. de Paolis, publié sur le site de l’AGEDO de Foggia en mai 2011, sous le titre : Dans l’Eglise de Dieu tout le monde n’est pas malade d’homophobie, repris sur le site des "chrétiens LGBT de Palerme" :

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    Mettons-nous dans la peau d’un gars ou d’une fille qui se découvre homosexuel. Peut-être ont-ils déjà vécu l’expérience amère du rejet et de la moquerie du groupe de leurs propres camarades.

    Cependant ils sentent fort en eux un désir de vie spirituelle, le désir d’en apprendre davantage au sujet de Jésus et de l’Evangile, mais ils se heurtent au mur de caoutchouc de prêtres ou de religieux qui les rejettent, considérant leur situation comme « péché » ou « contre nature ». Que faire ?

    Je conseille à ces jeunes amis de prendre courage, parce que tout le monde, dans la sainte Eglise de Dieu, n’est pas malade d’homophobie.

    Ce n’est pas vrai que vous êtes dans le péché, parce que Dieu vous aime et il a mis en vous cette tendance : c’est un don qu’il vous a fait. C’est votre « nature », qui doit être acceptée et respectée. Vous n’êtes pas malades, vous n’avez pas à « guérir » de cette tendance.

    Vouloir faire de vous des « hétérosexuels » serait vous pousser vers quelque chose de « contre nature » et vous deviendriez des psychopathes malheureux. Nous devons nous mettre en tête que Dieu, notre Père, veut que nous, ses fils, nous soyons heureux, que nous grandissions dans la joie, faisant fructifier tous les dons que Lui a mis dans notre « nature » !

    Dieu veut que vous fassiez grandir votre personne dans un réseau de relations empreintes d’amour vrai, d’« agapè », c’est-à-dire d’amour comme don joyeux.

    Vous avez le droit de chercher un partenaire qui partage avec vous des relations de cette qualité. Soyez tranquilles : là où est l’agapè est Dieu. Vivez l’amour avec joie.

    Et nous devons avoir patience envers notre mère l’Eglise. Son attitude avec les homosexuels va changer. Déjà sont nées de nombreuses initiatives en ce sens.

    En Italie, des groupes d’homosexuels chrétiens ont des contacts occasionnels avec les diocèses, empreintes généralement de cordialité. Parfois, l’évêque local nomme un responsable diocésain pour ce type de dialogue.

    Par exemple, à Turin, les délégués diocésains pour le dialogue avec les groupes de croyants homosexuels sont don Walter Danna et don Ermis Segatti.

    A Turin a été récemment constitué un Centre de documentation sur la foi et l’homosexualité intitulé « Ferrucio Castellano »*. D’autres groupes ont développé des partenariats avec des diocèses. Cette approche a été réaffirmée par le président de la CEI le cardinal Angelo Bagnasco, quand, parlant des homosexuels, il a déclaré que l’Eglise travaille avec « l’esprit et la pratique d’un accueil total et convivial de toutes les personnes ».

    Les réunions de groupe ont généralement lieu en deux parties. La première présente un thème biblique, et suit une discussion basée sur des expériences personnelles. Dans la seconde partie nous prions ensemble. A Emmaüs personne n’est rejeté ou retiré de la communion avec Jésus.

    * Militant homosexuel, fondateur des premiers groupes italiens d’homosexuels « chrétiens ». Comme dit don Michele, cela l’a épanoui : il s’est suicidé en 1983, à l’âge de 37 ans.

     

    15:22 Publié dans François (pape) | Lien permanent

    Le blog d'Yves Daoudal

  • Lycées: l'académie de Nantes demande aux garçons à se mettre en jupe le 16 mai

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    http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/lycees-l-academie-de-nantes-demande-aux-garcons-de-se-mettre-en-jupe-le-16-mai-5320/

  • À Rouen, une pierre runique taguée devant l'abbatiale Saint-Ouen

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    La pierre runique de Jelling située devant l'abbatiale Saint-Ouen et offerte à Rouen par le Danemark lors du millénaire de la Normandie a été recouverte de tags. Explications.

    Dernière mise à jour : 11/05/2014 à 17:45

       

    Des tags bleus ont recouvert la pierre runique située devant l'abbatiale Saint-Ouen, à Rouen (Photo © Daniel Caillet)

    La pierre se trouve près de l’abbatiale Saint-Ouen à Rouen : c’est une copie de « la grosse pierre de Jelling offerte à la ville par le Danemark, lors du millénaire de la Normandie en 1911 », rappelle Le P’tit Pat rouennais. La pierre runique comme on l’appelle, faisant référence à ces pierres essentiellement érigées dans les pays scandinaves, a été recouverte d’inscriptions bleues. Des tags, qui ne passent pas inaperçus et détonent sur cet élément du petit patrimoine.

    Un art pour les uns, du vandalisme pour les autres

    Elevés au rang d’expression artistique par certains, décriés et ressentis comme des pollutions visuelles par les autres : les tags qui recrouvrent les murs des villes (mais pas seulement) représentent un vrai casse-tête pour les élus qui savent bien qu’à peine « nettoyés », ils refleurissent de plus belle. D’ailleurs, nombre de « grafeurs », « tagueurs » et autres adeptes du « graffiti »  vous le diront : les espaces vides ont un pouvoir d’attraction sur eux et créent l’envie immédiate de les recouvrir de dessins… souvent incompréhensibles pour le plus grand nombre, mais tous codés et porteurs de signatures. Ainsi, les tagueurs se reconnaissent entre eux.

    Toutefois, là où le problème devient plus sensible, c’est lorsque ces tags recouvrent des œuvres d’art, des lieux de patrimoine. Là, les opérations se compliquent :

    On n’a pas le droit d’intervenir sans les préconisations de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC) » confie-t-on à demi-mot, dans les services de la ville de Rouen, qui soulignent que les procédures sont longues, complexes à mettre en application… retardant souvent d’autant la remise en état des éléments de patrimoine dégradés.

    Quelle solution pour protéger le petit patrimoine des tags ?

    La solution pourrait donc être de prévenir les tags en protégeant les œuvres comme la pierre runique de Jelling. Le P’tit Pat Rouennais signale d’ailleurs qu’à Jelling, où se trouve l’original de la pierre runique, on a opté pour une protection dans une sorte de coffre de verre : le patrimoine reste ainsi visible sans risque de dégradation. Des dégradations qui touchent d’ailleurs d’autres sites de la ville, à l’image de la statue de Rollon, qui a déjà été victime de vandales à plusieurs reprises.

    Rouen, 76
  • Ukraine/Donbass: contre -offenseive à Kramatorsk

    http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukraine-donbass-contre-offensive-a-kramatorsk

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    A peine a-t-elle déclaré son indépendance que la République populaire de Donetsk (est de l’Ukraine) lance une « opération antiterroriste ». Igor Strelkov, commandant en chef des « forces armées » du nouvel État, et chef de la milice du Donbass à Slaviansk, veut éradiquer les milices d’extrême droite envoyées par Kiev. C’est la guerre !

  • Entretien avec Damien Rieu. "Les seuls qui ont le droit d’être armés dans ce pays, ce sont les racailles !"

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    Le 11 mai 2014

    Entretien réalisé par Charlotte d’Ornellas.

    Damien Rieu est porte-parole du mouvement Génération identitaire, à l’origine des tournées de sécurisation organisées dans les métros lillois, lyonnais et maintenant parisien.

    Vendredi 9 mai, Génération identitaire a fait une « tournée de sécurisation » dans le métro parisien, après l’avoir fait à Lille et Lyon. Vous appelez également ces tournées « anti-racailles ». C’est quoi, une racaille ?

    Je crois que les usagers du métro voient bien de qui nous voulons parler !
    Ces personnes qui marchent en bande, se souciant de rien ni de personne, écoutent leur musique à fond, mettent les pieds sur les sièges, accostent les jeunes filles et parfois agressent… Ceux qui arrivent tellement sûrs d’eux que personne n’oserait leur demander de revoir leur comportement. Ils sont souvent jeunes, c’est vrai, mais nous refusons de les appeler « jeunes » car ce serait une insulte à la jeunesse française. Quant à leur éventuelle origine, je laisse chacun faire le bilan de ses propres expériences avec ces « racailles »
    Sur Twitter, SOS Racisme crie au racisme contre notre opération ; ce sont donc eux qui font un lien entre racailles et immigration. Je n’en demandais pas tant !

    Ne pensez-vous pas outrepasser votre droit en essayant de vous substituer à la police ?

    Force est de constater que la police et l’État ont démissionné de leurs responsabilités. La morale et le civisme nous obligent à porter secours à toute personne en danger, et la loi nous le permet. L’article 73 du Code de procédure pénale indique : « Toute personne a qualité pour appréhender l’auteur d’un crime ou d’un délit et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche. » Nous agissons donc en toute légalité.

    Notre action s’inscrit surtout dans la prévention et la dissuasion. Nous ne sommes pas une milice, nous ne sommes pas armés, et nous faisons simplement notre devoir de citoyen : rester vigilant dans le métro, être prêt à protéger ses voisins… Nous voulons simplement ressusciter le civisme ! Un wagon d’usagers solidaires et vigilants, c’est un wagon sûr! Mais nous n’avons rien inventé : dans les années 80, les citoyens volontaires « Guardian Angels » ont permis d’éradiquer la violence dans le métro new-yorkais. Ils allaient là où la police n’intervenait plus. Le maire de l’époque, Ed Koch, avait d’abord condamné cette initiative… avant de changer d’avis quelques années plus tard. Enfin, nous voulons réveiller les autorités. À Lyon, suite à notre action, la police locale a créé une nouvelle brigade spécialisée pour le métro. C’est à la une du Progrès du vendredi 9 mai.

    Jusqu’où irez-vous ? L’insécurité n’est pas que dans le métro… Pensez-vous à des groupes de quartier ?

    Cette opération s’inscrit dans le cadre de notre campagne 2014 « Génération anti-racailles » qui comporte plusieurs niveaux d’action : une campagne d’affichage, un stage de self-défense avec une centaine de participants le mois dernier, des cours de défense gratuits plusieurs fois par semaine partout en France. Nous réclamons la mise en place d’une sensibilisation et d’une initiation en milieu scolaire. On fait de la prévention pour la drogue et le SIDA, rien contre les agressions !

    S’il faut aller ailleurs, nous irons, mais nous ne sommes pas des têtes brûlées. Nous agissons de manière réfléchie, en conjuguant action et interpellation des responsables politiques endormis.

    Et si votre action poussait d’autres groupes dans le même genre, ou opposés, à s’armer ?

    Les seuls qui ont le droit d’être armés dans ce pays, ce sont ces racailles ! Si la situation continue, la question du port d’arme pour les citoyens se posera. A priori, je suis contre, mais à condition que mes agresseurs potentiels n’en portent pas non plus ! Pourquoi s’interdire de poser la question ? Si les autorités ne se réveillent pas, ce thème va revenir de lui-même dans le débat public. Quand l’État n’assure plus son devoir de protection, le citoyen est obligé de recourir à l’autodéfense. Bienvenue dans le Far-West…

    BOULEVARD VOLTAIRE