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A l’occasion de la sortie du film humoristique « Qu’est qu’on a fait au bon Dieu ? » (sur une famille française dont toutes les filles ramènent des étrangers…), RMC fait intervenir certains auditeurs sur ce thème du métissage.
Sous des airs anodins, ce film diffuse évidemment un message (avec efficacité comme on peut l’entendre ci-dessous), et participe du grand lavage de cerveau des Français, appelés à disparaître dans un grand magma métissé, supposé avantageux…
Contre-info.com
02/05/2014 – PARIS (Bulletin de réinformation) - Mercredi, LCI avait ouvert son plateau à plusieurs têtes de liste de la circonscription Sud Est pour les Européennes, dont Jean Marie Le Pen pour le Front national, crédité de 23 % d’intentions de votes, et Vincent Peillon pour le PS, 13 %.
Ce dernier a une fois de plus nié la réalité de l’immigration, fidèle en cela à la position cardinale du Parti socialiste sur la question : « Tout le débat serait de dire que notre Europe est trop ouverte à tous les vents. Elle ne l’est pas ! Tout le monde le sait : elle ne l’est pas ! Mais nous alimentons un débat extrêmement nocif pour la démocratie et pour tous les partis démocratiques. Ce sont des fantasmes. La réalité des choses, c’est qu’il n’y a pas d’Europe passoire ».
Jean Marie Le Pen a alors ironisé sur le fait que M. Peillon ne devait pas souvent prendre le métro. Dans une réponse très argumentée, le président d’honneur du FN a rappelé que la démographe Michèle Tribalat a démontré dans son livre Les yeux grands fermés que tous les chiffres relatifs à l’immigration sont délibérément truqués. Jean Marie Le Pen a une fois de plus souligné la gravité des phénomènes migratoires dont « nous ne vivons que le début du commencement ».
François doit être aux anges! Va-t-il les accueillir au Vatican?
(regarder de préférence en mode plein écran)
Photo EB - 1er mai 2014
(vu sur NOVOPRESS)
01/05/2014 – LINZ (NOVOpress via Lionel Baland) – Plus de 5.000 personnes ont participé au rassemblement du 1 mai 2014 du FPÖ à Linz en Haute-Autriche. Le président du parti Heinz-Christian Strache a lors de son discours mis en avant l’incapacité du gouvernement au vu du record de nombre de chômeurs et réclamé un arrêt de l’immigration irresponsable de masse. Il a également dénoncé le budget présenté par le Ministre des finances conservateur/social-chrétien Michael Spindelegger : « Rouge [social-démocrate] et noir [conservateur] n’amènent pas le pays hors de la crise mais amènent la crise dans le pays. »
Heinz-Christian Strache a thématisé le désastre de la banque Hypo Group Alpe Adria, la Zone de libre-échange transatlantique et la situation difficile des fermiers autrichiens. Il a réclamé l’introduction de la démocratie directe et une baisse claire des impôts et indiqué qu’il craint que l’actuel gouvernement regroupant les conservateurs et les sociaux-démocrates conduise l’Autriche à une période de plusieurs années de stagnation.
Le président du FPÖ a appelé à voter lors des élections européennes du 25 mai 2014 pour son parti afin de s’opposer au centralisme de l’Union Européenne et de trancher en faveur de la souveraineté de l’Autriche. Heinz-Christian Strache a conclu : « Le 25 mai, on peut se prononcer pour ou contre l’Autriche. »
Crédit photo : DR.
Yannick Noah a touché 11242,40 euros pour chanter lors de la campagne présidentielle de #Hollande de 2012 http://www.lexpress.fr/actualite/politique/presidentielle-2012-comptes-et-legendes-de-campagne_1534112.html#6FlBeVTY4ysWfZtx.99 … #PS
Lors d’un combat contre les troupes de Charles Quint, un coup d’arquebuse tiré par un soldat anonyme tue le chevalier Pierre Terrail, seigneur de Bayard, homme de guerre français, qui en 1515 contribua d’une manière décisive à la victoire de Marignan.
Modèle des vertus du courage et d’honneur militaire, il fut surnommé le « chevalier sans peur et sans reproches ».
Avec lui meurt l’idéal du combat chevaleresque favorisant l’affrontement des vertus, des honneurs et des valeurs individuelles.
Invincible à l’épée, Bayard n’a rien pu contre le mortel hasard d’une rencontre avec une balle ennemie.
L’admiration suscitée par le chevalier Bayard, à la fois de son vivant et longtemps après sa mort, peut être rapprochée de celle inspirée par les épopées de Jeanne d’Arc ou Bertrand Du Guesclin.
Détails sur sa fin :
Bayard est mortellement blessé par un coup d’escopette dans le dos le 29 avril 1524, à Romagnano Sesia (Novara) ou Rovasenda (Vercelli), tandis qu’il couvre la retraite de l’armée française.
La colonne vertébrale brisée, il enjoint à ses compagnons de le quitter et leur dit : « Je n’ai jamais tourné le dos devant l’ennemi, je ne veux pas commencer à la fin de ma vie ».
Le connétable de Bourbon, qui s’était retourné contre le roi de France, poursuit les Français à la tête des troupes de Charles Quint. Il vient devant Bayard et dit :
— « Ah ! Monsieur de Bayard, que j’ai grand-pitié de vous voir en cet état, vous qui fûtes si vertueux chevalier ! »
— « Monsieur, » répondit le mourant, « il n’est besoin de pitié pour moi, car je meurs en homme de bien ; mais j’ai pitié de vous, car vous servez contre votre prince et votre patrie ! ».
Il agonise dans le camp adverse, pleuré par ses ennemis.
Son corps est ramené en France et, après des obsèques solennelles à la cathédrale de Grenoble, il est enterré au couvent des Minimes de Saint-Martin-d’Hères (près de Grenoble). Ses restes présumés sont transférés le 24 août 1822 en la Collégiale Saint-André de Grenoble.
Pour en savoir plus: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Terrail_de_Bayard
Contre-info.com
D’Alstom, (rare) fleuron industriel français encore débout, aujourd’hui convoité par des mains étrangères, ce qui met directement en péril notre filière nucléaire, au pacte euro-austéritaire, dit de stabilité, que défend Manuel Valls, c’est bien une nouvelle fois la soumission de nos dirigeants aux diktats bruxellois qui est ici aussi en cause. Le sondage CEVIPOF de janvier dernier indiquait que seulement un Français sur trois (35%) pense que l’Union européenne est « une bonne chose » (ils étaient 47% en 2011). Selon l’étude OpinionWay réalisée pour Le Figaro et LCI du 23 au 25 avril, 44 % des sondés estiment que la participation de la France dans l’Union est une « bonne chose », 33 % des personnes interrogées affirment que ce n’est ni «une bonne chose, ni une mauvaise» chose; un quart des Français (23 %) jugerait que c’est une «mauvaise chose». Malgré la propagande officielle, seulement 56 % des personnes interrogées se disent opposées à la disparition de l’euro, 26 % y sont favorables.
L’érosion continue de l’adhésion vis-à-vis de la construction européenne est surtout patente au regard de l’abstention : six Français sur dix bouderaient ce scrutin, un taux équivalent aux européennes de 2009 (59,4%). Abstentionnistes, nous l’avons souvent dit, mais il faut le répéter, dont la grève du vote ne fait que renforcer le Système qu’ils rejettent. L’adage de Périclès n’a rien perdu de sa vérité : « un citoyen qui ne fait pas de politique n’est pas un citoyen paisible, c’est une citoyen inutile »…
Quant aux 40% d’électeurs qui se déplaceraient le 25 mai, 20% d’entre eux voteraient pour les listes FN, les listes européistes peinant à susciter l’enthousiasme (22% pour l’UMP, 18% pour l’alliance PS-Radicaux de gauche, 11% pour l’UDI-MoDem, 7% pour Europe Écologie-Les Verts…).
Ivan Rioufol écrivait sur son blog 17 avril que l’Union européenne « s’est rendue odieuse à beaucoup de ceux qu’elle devait protéger. Les partis en conviennent, quand ils assurent que l’Europe doit changer. Mais ils n’ont jamais rien fait pour obliger cette construction, froide et distante, à préserver les souverainetés. Le législateur français a été dépossédé de près de 80 % de ses pouvoirs (…), il faut tendre l’oreille pour percevoir, chez les mandarins, l’écho d’une autocritique ou d’un débat. Changer, oui. Mais pour qui, pour quoi ? Personne n’ose s’avouer l’ampleur de la reconstruction. Les eurosceptiques et autres populistes ont là l’occasion historique d’imposer un coup d’arrêt à cette UE si peu démocratique, confisquée par les juges, les experts, les banquiers, les moralisateurs… ».
L’éditorialiste du Figaro estime donc que cette Europe bruxelloise, confisquée est réformable…ce qui imposerait alors un aggiornamento radical puisque c’est l’idéologie même défendue par les propagandistes bruxellois que les défenseurs des souverainetés et de identités nationales jugent nocives.
Les dirigeants du FN l’ont souvent dit, les patriotes auraient pu abandonner un certain nombre de leurs préventions contre la construction européenne, si les défenseurs de l’Europe étaient habités, éclairés par des principes et des valeurs conformes au génie de notre civilisation helléno-chrétienne…et par la volonté de les défendre dans un monde chaotique et dangereux.
Après les terribles saignées des deux guerres mondiales, autant de guerres civiles européennes, comment ne pas avoir de la sympathie en effet pour le rêve du mosellan Robert Schuman, homme respectable, visant à créer les conditions durables de la paix sur notre continent. Et ce, par la construction économique puis politique d’une Communauté ressuscitant peu ou prou l’empire carolingien, contours de la Communauté européenne qui avaient les faveurs d’un De Gaulle…
Dans une France et une Europe agitées par les passions nationalistes, souvent les plus extrêmes et les plus agressives, Charles Maurras évoquait déjà dans son «Enquête sur la monarchie» (1900), avant les cataclysmes à venir, la question du maintien de la paix. Il considérait la monarchie comme « le plus national et le plus international de tous les gouvernements. » Les « nations souveraines », guidées seulement par leurs intérêts et leurs passions sont condamnées à la division quand «elles ne succombent pas fatalement au démon de la destruction réciproque ». La « race internationale des rois » qui porte le drapeau des nationalités particulières historiques serait la condition d’une entente et d’une vie commune.»
Une pensée organique, respectueuse du fait national, très éloignée de la philosophie qui animait l’autre père de l’Europe, Jean Monnet, économiste mondialiste très influencé par les Etats-Unis, qui ne cachait pas de son côté son souhait de créer les Etats-Unis d’Europe, marchepied d’une gouvernance mondiale. Jean Marie Le Pen le disait il y a déjà plus de vingt ans : «et si encore ils détruisaient les nations occidentales pour construire une nation européenne, nous serions contre, bien sûr, mais enfin il y aurait une apparence de justification à leur visée … ».
En l’occurrence leur visée s’appuie sur un mélange d’ultra libre échangisme et de défense des droits de l’homme, le socle de la vision du monde de l’Etat profond bruxellois et de ses vassaux de l’UMPS. Doxa droit de l’hommiste qui peut apparaître comme une forme de sécularisation de principes chrétiens, en fait largement dévoyés, mais utilisée le plus souvent à des fins proprement subversives, comme une machine de guerre contre les peuples européens, pour affaiblir leurs défenses immunitaires.
Bruno Gollnisch dénonçait dans l’entretien qu’il a accordé à Présent que nous avons mis en ligne sur notre blog hier, l’ appel permanent « au brassage universel » qui selon les têtes pensantes européistes, résultera de la «libre circulation des marchandises, des capitaux et des personnes ». Un « véritable dogme religieux de l’actuelle Union Européenne », avec comme « habillage idéologique à tout cela », « les Droits de l’Homme sans Dieu.»
Défense des droits de l’homme au nom desquels le nouvel ordre mondial sous pavillon américain a mené des guerres particulièrement iniques aux conséquences humaines et géopolitiques dramatiques. Droits de l’homme, support moral de l’idéologie marchande, qui seraient la base de la culture commune des peuples européens, une des conditions requises selon les européistes pour former une Union supranationale.
Pour autant, il est évident que la civilisation, progressiste, cosmopolite, hors-sol, aboutissement extrême de tendances et de maux qui eurent précisément leur foyer d’origine en Europe, est désormais commune non seulement aux Européens, mais aussi au monde occidental ou en voie d’occidentalisation, elle n’a pas de frontières. Ce nivellement général de fait, qui s’étend aux façons de vivre et aux goûts, associé à celui qu’entraînent la science, la technique, la mondialisation économique sert d’argument à ceux qui entendent dépasser l’Union européenne. La prochaine étape pour les idéologues supranationaux les plus extrémistes est bien celle d’un monde unifié, dans le cadre d’une organisation ou d’un Etat mondial. Encore faut-il que les habitants-électeurs de nos nations européennes en soient bien conscients.
La présidente du Front national appelle à la mobilisation pour les élections européennes, où elle ambitionne de voir son parti remporter la première place.
Trois semaines avant les européennes, Marine Le Pen a transformé le défilé du 1er mai en tribune nationale contre l'Union européenne. Durant un peu moins d'une heure, la présidente du Front national a prononcé un discours de combat sous la pluie et les applaudissements de milliers de militants et sympathisants (5300 selon la police, 20.000 selon le FN).
Deux heures plus tôt, avant d'entendre l'appel à la mobilisation pour le scrutin du 25 mai, que l'eurodéputée lancera en soulignant le risque de laisser «aux partisans de cette Union européenne la possibilité de continuer leur œuvre funeste», la foule allume des fumigènes tricolores rue de Rivoli. Deux Femen surgissent seins nus et font subitement grimper la nervosité du service de sécurité. Ceinturées, les jeunes femmes se retrouvent entre les mains des CRS en hurlant «fasciste épidémie» sous les huées de militants.
Toutes les figures du parti, invitées en tête de défilé, lancent la marche lorsque Marine et Jean-Marie Le Pen s'extirpent d'une nuée de caméras pour les rejoindre. «Marine présidente!» clament déjà les militants alors que le député Gilbert Collard cherche les Femen disparues: «Je suis pour les laisser se déshabiller totalement. Tant qu'il y a du spectacle, pourquoi s'en priver?» plaisante-t-il. Élie, étudiant de 22 ans, brandit un drapeau français. «L'euro ne va pas nous sauver», confie-t-il en dénonçant ses «profs» qui «balayent» les questions eurosceptiques. Adhérent depuis huit mois, il pense que «la nouvelle génération est pour la patrie et pour la France parce qu'elle voit bien que le pays est oublié».
Les cadres du FN avancent vers la statue de Jeanne d'Arc, place des Pyramides. «Nous n'avons jamais été aussi puissants», estime Alain Jamet, l'une des mémoires du parti. Lorsqu'on demande au premier vice-président comment il explique ces «succès», le témoin de tous les cortèges défend «quarante ans de combat. Sans la création du Front en 1972, nous n'en serions pas là. On ne peut pas oublier les racines comme certains auraient tendance à le faire aujourd'hui.» Un peu plus tard sur la tribune, son compagnon de lutte n'a pas oublié. Jean-Marie Le Pen répond aux remerciements de ses supporteurs en saluant leur «fidélité aux valeurs de la patrie». Puis, après avoir rappelé l'histoire de Jeanne d'Arc, il introduit le discours de la présidente en criant: «Honneur à Marine Le Pen!»
Acclamée, l'élue consacre l'ensemble de son intervention à la défense du «peuple de France» et au démontage de l'Union européenne. Elle vante, s'inspirant du chancelier Bismark, les qualités des Français, «peuple de lions quand ils ne sont pas gouvernés par des ânes». Patrick, ex-chef d'équipe coffreur de 56 ans, est hébergé par l'Armée du salut avec 499,46 euros par mois de RSA depuis quatre ans. Cette année, il voulait absolument marcher en tête de cortège avec une pancarte accrochée au cou. On peut y lire trois mots en latin: «Delenda est Europa»: «Il faut détruire l'Europe».
Le Figaro
NdB: J'ai suivi en direct à partir de 11h15 le meeting du 1er mai à l'Opéra et je peux dire que ce fut un moment magnifique, un moment intense et vibrant où l'on entendait de nouveau la voix de la France par la bouche de Marine Le Pen. Des centaines de personnes l'acclamaient en agitant des drapeaux tricolores sous la pluie battante! Un succès incontestable, un franc succès pour notre patrie! Une fête magnifique pour tous les Français qui ne veulent plus plier sous le joug des dirigeants occultes de Bruxelles, qui veulent retrouver une France libre et souveraine chez elle, une France heureuse et respectée. Où la sécurité de tous ne sera pas un vain mot! Notre longue histoire redeviendra l'avenir auquel nous avons droit! Chassons ce défaitisme qui fait la joie de nos ennemis, cette désespérance mortelle qui tue l'espoir dans les cœurs et fait baisser les bras... Rien n'est inéluctable, et encore moins que tout la mort de la France. Elle est vivante plus que jamais en chacun de nous! Le 25 mai, votons pour retrouver la jeunesse et la beauté de notre Nation!
http://fr.euronews.com/2014/04/30/les-astronautes-americains-dans-le-collimateur-du-kremlin/