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  • Beaucaire: accueil des éléves étrangers ne parlant pas français, le maire FN dénonc le coût et la baisse du niveau

    Par le 03/09/2014

    23h55

    Addendum vidéo (19/20 – France 3 Languedoc-Roussillon – 03/09/14)

     


     

    A l’occasion de la rentrée scolaire, le maire frontiste de Beaucaire s’est fendu d’un communiqué concernant le traitement des élèves étrangers. « Dans un souci d’aider le gouvernement dans sa recherche d’économies », ironise Julien Sanchez. Le maire pointe une dépense dont il se serait bien passée : l’accueil des élèves « allophone ». Les enfants étrangers ne parlant pas le Français.

    (12/13 – France 3 Languedoc-Roussillon – 03/09/14)

     

    "Afin d’aider le gouvernement dans sa recherche d’économies à quelques heures de la rentrée des classes, je tiens, en tant que Maire, à alerter le gouvernement et l’opinion publique sur le coût pour les contribuables et la répercussion sur le niveau des enseignements offerts à nos enfants de l’accueil d’élèves dits allophones (autrefois appelés primo-arrivants) dans les écoles françaises.

    À Beaucaire (16 000 habitants), ce sont ainsi 22 nouveaux élèves étrangers ne parlant pas français que je suis contraint par la circulaire n°2012-141 du 02/10/2012 d’accueillir dans les écoles de ma ville (du CP au CM2) en cette rentrée scolaire, sans compter les 9 élèves de maternelle.

    Pour la plupart originaires du Maghreb et/ou de nationalité espagnole grâce à l’Europe passoire et laxiste en matière de naturalisations ou de droit du sol, ces élèves passent pendant 1 an (durée du dispositif par élève) la moitié de la semaine dans des classes classiques avec les enfants français ou francophones et la moitié de la semaine dans des structures spécialement créées pour eux.

    Ces structures, appelées UPE2A, voient des enseignants (recrutés spécialement et payés par l’Education Nationale via nos impôts pour l’occasion) s’occuper exclusivement de ces enfants (en écoles élémentaires uniquement) pour leur apprendre le Français."

    [...]

    Lire le communiqué en entier

    Les réactions ne se sont pas fait attendre :

    Jean-Paul Boré, conseiller régional (DVG) du Languedoc-Roussillon, en appelle au préfet en envoyant une lettre :

    « Il me semble que Monsieur Sanchez n’est pas dans son rôle de maire, censé́ être le maire de tous, mais participe à la stigmatisation et à la division de certaines populations dans un contexte où nous devons tous agir pour des relations apaisées. Un rappel à ce maire de nos règles républicaines me parait indispensable. Les propos de Monsieur Sanchez sont discriminatoires à l’égard d’enfants qu’il stigmatise. »

    Françoise Dumas, député PS et conseillère municipale à Nîmes (30) :

    “Je condamne très fermement les propos de Monsieur Julien SANCHEZ à l’encontre des enfants non francophones, rapportés par la presse de ce jour. En cette période de rentrée scolaire, il tente d’opposer des familles les unes aux autres, alors qu’en tant que premier magistrat d’une commune, il a le devoir de respecter et favoriser la paix sociale. Il a aussi des devoirs envers les enfants qui, quelques  (SIC) soient leurs conditions de vie et leur nationalité, sont avant tout des élèves de la République, auxquels nous devons l’instruction, l’éducation et la protection. C’est en respectant et en leur appliquant cette obligation de scolarité, qu’ils deviendront, comme beaucoup d’enfants issus de l’étranger avant eux, des citoyens de notre République. Les familles attendent des responsables politiques que nous sommes, autre chose que la stigmatisation ou la désignation de boucs-émissaires. C’est sur nos actions constructives, en lien avec l’intérêt général, qu’elles nous jugeront“.

    objectifgard.com

    FDS

  • Mistral: contrat pas rompu, mais lié à l'évolution de la situation en Ukraine (Hollande)

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    MOSCOU, 4 septembre - RIA Novosti

    Le contrat pour la vente de BPC Mistral à la Russie n'est ni rompu ni suspendu mais la livraison du premier navire dépendra de l'évolution de la situation en Ukraine dans les semaines à venir, a déclaré jeudi le président français François Hollande à Newport, au Pays de Galles.

    "Ce contrat n'est pas suspendu ni rompu mais la livraison du bateau sera fonction de ce qui va se passer dans les prochaines semaines. Il est important d'envoyer ce message clair parce que nous voulons qu'il y ait une issue", citent les médias internationaux les propos tenus par M.Hollande en marge du sommet de l'Otan.

    Mercredi, la présidence française avait fait savoir que les "actions" menées par la Russie dans l'est de l'Ukraine ne permettaient pas pour l'heure de donner le "feu vert" à la livraison du premier bâtiment de projection et de commandement (BPC) de classe Mistral, prévue cet automne.

    "Je vous ai confirmé notre décision de ne pas livrer d'armes dans le contexte d'aujourd'hui", a notamment indiqué jeudi le président français en présence de son homologue ukrainien Piotr Porochenko.

    Jeudi, le quai d'Orsay a précisé les conditions qui permettraient de livrer les BPC: un cessez-le-feu appliqué et un accord mettant fin au conflit entre Ukrainiens et Russes. Pour le moment, le Mistral reste à quai.

    © RIA Novosti.

     

    Plus tard, un porte-parole de l'Elysée a expliqué à RIA Novosti que la livraison du navire n'était pas suspendue et que la déclaration de François Hollande n'entraînait aucune conséquence juridique. Selon le porte-parole, le président a tout simplement déclaré qu'il n'approuverait pas la livraison du bateau si la situation en Ukraine ne s'améliorait pas.

    Les autorités françaises ont affirmé jusqu'ici que les sanctions américaines et européennes contre Moscou sur fond de crise en Ukraine n'empêcheraient pas Paris d'honorer son contrat de 1,2 milliard d'euros prévoyant la livraison de deux BPC de classe Mistral à la Russie.

  • Hollande à 13% ! Valls dégringole à 30%, plus bas que J.-M. Ayrault!

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    http://www.leparisien.fr/politique/hollande-et-valls-degringolent-dans-les-sondages-04-09-2014-4110079.php

  • Forces tusses "sans précédent" à la frontière ukrainienne selon le Pentagone

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    http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/forces-russes-sans-precedent-a-la-frontiere-ukrainienne-selon-le-pentagone-04-09-2014-4110193.php

  • Démission du secrétaire d'Etat au Commerce extérieur: des problèmes d'impôts...

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    http://www.leparisien.fr/politique/gouvernement-le-secretaire-d-etat-au-commerce-exterieur-demissionne-deja-04-09-2014-4110121.php

    Il n'aura pas duré plus d'une semaine!

  • 4 septembre 1768 : naissance de François René de Chateaubriand

    4 septembre 2014 par admin4 

    à Saint-Malo. Il fut un écrivain romantique et homme politique français. Il est considéré comme l’une des figures centrales du romantisme français et de la littérature française en général.

    Il fut ministre d’Etat en charge des Affaires étrangères de Louis XVIII.  Catholique, royaliste, traditionaliste, défenseur des « Ultras »,  il mit son talent au service de la revue Le Conservateur et du Journal des débats.

    Il démissionna de toutes ses charges et pensions à l’avènement de l’usurpateur Louis-Philippe, refusant sa monarchie « bâtarde ». Il mourut à Paris le 4 juillet 1848.

    Parmi ses ouvrages les plus célèbres : Le Génie du christianisme, Atala, Renée, Les Martyrs, Mémoires d’outre-tombe.

    Contre-info.com

  • Béziers: belle manifestation de soutien aux chrétiens d'Orient

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    http://www.christianophobie.fr/breves/beziers-belle-manifestation-de-soutien-aux-chretiens-dorient

    + PHOTOS

  • Marseille: rentrée des classes et des clashs !


    Le 18:18 : rentrée sous les sifflets pour Jean... par LaProvence

    Marseille / Publié le Mercredi 03/09/2014 à 05H24

     

    Hier des parents ont pris à partie Jean-Claude Gaudin à Bompard (7e). Le maire accuse toujours le gouvernement

     

     
     

    Mur de caméras, bouquet de micros, parterre d'élus et policiers en faction : hier matin, la petite école Amédée-Autran, à Bompard (7e) a vécu une rentrée scolaire pas comme les autres. C'est ici, dans ce chic et d'ordinaire très paisible quartier de Marseille, que Jean-Claude Gaudin avait choisi de marquer le retour dans les 445 écoles maternelles et primaires marseillaises, de quelque 74 000 élèves.

    Mais en pleine polémique sur l'application de la réforme des rythmes scolaires, l'exercice convenu et débonnaire a tourné au clash. Car même dans ce bastion de droite, le fait que les enfants soient livrés aux familles le vendredi après-midi ne passe pas.

    Avant même l'arrivée du sénateur maire, les langues se délient : "Cette histoire du vendredi, on l'a appris au dernier moment", enrage ainsi Latifa, assistante maternelle dont le fils entre en CM2. À côté, Marc, superviseur dans un centre d'appel et Silvana, chargée de logistique-achat, paniquent. "Ce que je ressens ? Du désespoir ! soupire la jeune femme. Je suis hors de moi, je n'arrive même pas à croire à cette situation. On finit à 18 h, nous n'avons pas de famille sur place pour récupérer Valentine et les centres aérés sont pleins." A Amédée-Autran, dans la majorité des familles, les deux parents travaillent. C'est encore le cas de Sandra, fonctionnaire de police, comme son mari : "J'ai été obligée de faire venir de Paris ma grand-mère de 80 ans. Elle va rester chez nous jusqu'à la Toussaint. Nous n'avons pas d'autre solution."

    Jean-Claude Gaudin arrive, suivi de son premier adjoint Dominique Tian, de Danielle Casanova, élue à l'Éducation, de la maire de secteur Sabine Bernasconi, et s'engouffre dans une classe. Compacte, façon pack de rugby, la presse est à ses trousses. Quitte à légèrement perturber les enfants : "C'est stressant pour eux et... pas que pour eux", glisse une maîtresse.

    "Vous voulez qu'on aille dans le privé !" 

    Face à la presse, aux parents, Jean-Claude Gaudin refait le même discours que celui égrèné depuis une semaine dans tous les médias : "Nous avons proposé un moratoire, un projet alternatif qui ont été refusés par le recteur. Mais on ne peut pas confier les enfants à n'importe qui, il y a des appels, on me dit que j'ai eu deux ans pour ça, mais c'est un mensonge ! Nous n'avons su qu'en juillet que le recteur refusait notre projet."

    Le maire rappelle le coût pour la Ville de ce nouveau temps périscolaire ("D'ici Noël, 9 M, puis 22 M après", estime-t-il, alors que le groupe socialiste mise, lui, sur "une dépense nette de 1 à 4 M"). "Les parents récupéreront les enfants le vendredi jusqu'à la Toussaint. Qu'ils se tournent vers la ministre!" "C'est vous qui vous y êtes pris trop tard ! Vous voulez qu'on aille dans le privé !" lance Thierry, un papa excédé. "Occupez-vous aussi de vos enfants !" lui rétorque le maire, ce qui déclenche les huées. "C'est honteux" crient des mamans. Les enfants, eux, roulent de gros yeux : "C'est pour les trucs scolaires, c'est ça ?" demande Iris, blondinette de CM1.

    Les parents improvisent 

    À la tribune, Patrick Guichard, l'inspecteur d'académie remet la Ville face à ses responsabilités : "Depuis 18 mois, nous préparons cette réforme avec l'ensemble des maires de France. Cette réforme est ambitieuse, elle propose un rythme propice à la réussite des élèves. On ne pouvait pas déroger aux cinq matinées Monsieur le maire (le projet de Marseille gardait la semaine de 4 jours, NDLR)". Après avoir distribué des dictionnaires, Jean-Claude Gaudin rejoint l'école privée Sacré-coeur du Roucas.

    Devant l'hôtel de ville, l'Unsa Territoriaux et Sep-Unsa fustigent "le pire scénario de rentrée possible" et rappellent qu'il "était possible de faire autrement. Depuis 2012, on demande au maire de répartir le périscolaire sur plusieurs jours et d'utiliser les vacataires de la Ville", appuie Gilles Prou-Gaillard.

    Une option in fine rejetée par la mairie. Élu écologiste au conseil municipal, Karim Zéribi prêche pour un "comité de suivi" d'élus de tous bords pour "réajuster les manques" de la rentrée. Sur Facebook, des parents proposent de le faire à leur manière : en improvisant tous les vendredis une garderie à la mairie.


    Les repères

    Ce mercredi, les parents récupèrent les enfants à 11 h 30. Pas de cantine.

    Vendredi, ils viendront après la cantine à 13 h 30 ou à 11 h 30. Attention : en raison d'un appel à la grève des agents, certaines écoles fermeront à 11 h 30.

    La Provence

  • Sur une route de Provence

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    Route vers Beaurecueil, près d'Aix-en-Provence

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    Ruisseau du pont de Bayeux

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    Montagne Sainte-Victoire

    (Photos EB - 2 septembre 2014) DR

  • Un peu de répit pour la dame de 93 ans expulsée de Cagnes

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    Son infirmier vient la voir tous les jours

    L’huissier s’est présenté à la porte de cette Cagnoise cette semaine pour lui dire de quitter les lieux. Une nouvelle fois, la préfecture lui a accordé un délai pour qu’elle puisse se retourner dignement.

    Quelques tableaux au mur. Les napperons brodés de nos grands-mères sur chaque petite table. Et les volets mi-clos pour empêcher la chaleur de trop envahir la pièce...

    Rosa-Charlotte, 93 ans, est assise sur le petit fauteuil de cuir, collé à la fenêtre du salon. Encore alerte et lucide, la petite dame fragile a les yeux rouges de retenir ses larmes.

    Jeudi matin, vers 8h30, c'est un huissier de justice qui a tapé à sa porte. Avec le concours de la force publique, il lui a demandé de prendre quelques effets dans une valise et de quitter les lieux.

    Quitter cet appartement des hauteurs de Cagnes, qu'elle occupe depuis 1998. Rosa-Charlotte a toujours payé son loyer sans problème, et n'a jamais eu aucun souci avec le propriétaire... L'ancien propriétaire.

    Un dossier bien suivi

    Mais depuis début 2011, la vieille dame a un contentieux sur le montant du loyer, avec la dame qui a racheté l'appartement qu'elle occupe ainsi que celui de l'étage du dessus.

    Avant, Rosa-Charlotte payait 840 euros pour ce petit coin de calme où elle comptait bien finir, heureuse, le reste de ses jours. Depuis, elle doit débourser 1144 euros. Soit une augmentation de 274 euros par mois. Et c'est bien trop pour sa petite retraite. Prise à la gorge, elle s'acquittera de son "ancien" loyer, mais pas du nouveau.

    Un an et demi et une procédure judiciaire après, un jugement lui ordonne de payer la somme de 4845 euros, soit les 18 mois de "suppléments de loyers" qu'elle n'a pas payés.

    Le juge lui accorde, vu son âge et les circonstances, de pouvoir verser cette somme en 24 mensualités de 200 euros. Rosa Charlotte l'assure de sa voix à peine chevrotante: "J'ai toujours tenu mes engagements".

    Mais cela n'a pas suffi. La machine judiciaire est en route. La propriétaire ne lâche rien, envoie un courrier à la CAF pour non-paiement de loyers. L'allocation logement est coupée à la vieille dame.

    Une vieille dame qui ne supporte plus le climat "entretenu par la propriétaire".

    "Elle est tout le temps en train de m'appeler, dès que le téléphone sonne j'ai le cœur qui s'emballe. Pareil, dès que l'on sonnait à la porte", dit-elle la main sur la poitrine.

    Face à cette situation, la sous-préfecture a décidé de laisser encore quelques jours à la locataire pour se retourner dignement.

    "'C'est un dossier que l'on suit avec beaucoup d'attention", a plaidé Hervé Demay, secrétaire général de la sous-préfecture de Grasse.

    "La condamnation est devenue définitive et la propriétaire a sollicité le concours de la force de l'ordre en juillet 2013. C'était il y a plus d'un an", explique-t-il encore. Ce que la sous-préfecture n'a "pas accordé immédiatement, compte tenu de la situation délicate".

    Mais depuis septembre 2012, la propriétaire a engagé la responsabilité financière de l'Etat car le concours de la force publique n'avait pas été accordé.

    Et là encore, "nous ne l'avons fait qu'en mai dernier avec mise à exécution en juillet, soit un an après la demande de la propriétaire", insiste Hervé Demay qui ajoute: "Je comprends l'émotion, nous avons pris le temps, mais il est de notre devoir de faire maintenant respecter le droit. Chacun a des droits à faire valoir. Nous allons être amenés à exécuter la mesure".

    Alors, jeudi matin, l'huissier a dû rebrousser chemin. Contraint à un "petit délai" supplémentaire.

    Rosa-Charlotte a « quelques jours » pour retrouver un logement. Son fils, qui n'est pas toujours à Cagnes, s'en occupe.

    Au côté de la vieille dame, Patricia Troncin, élue municipale cagnoise. C'est une amie de la famille. Elle suit le dossier avec bienveillance.

    Tout comme le directeur du CCAS, Alain Tonini qui multiplie les coups de fil et les actions.

    La municipalité a également en mains le dossier et s'inquiète pour qu'une situation décente soit trouvée.

    NICE-MATIN - 20 juillet 2014

    Un harcèlement ignoble!

     

  • Economie national-socialiste: l'analyse interdite

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Economie-national-socialiste-l-analyse-interdite-27567.html

  • Entretien avec Alain de Benoist: Pourquoi la défense des chrétiens ne s’étendrait pas à ceux de Palestine ?

     

    Le 3 septembre 2014

    Entretien réalisé par Nicolas Gauthier.

    Dans le chaos moyen-oriental, les chrétiens sont aujourd’hui en première ligne. Etes-vous de ceux qui estiment qu’il faut « défendre les chrétiens d’Orient » contre les coupeurs de tête du nouveau califat ?

    Je ne suis pas tout à fait sûr que le pays qui a inventé la guillotine soit le mieux placé pour reprocher aux djihadistes de décapiter leurs ennemis ! Mais je réponds bien sûr à votre question par l’affirmative. Cela dit, on peut défendre les chrétiens d’Orient pour des raisons très différentes. On peut le faire par solidarité confessionnelle, c’est-à-dire par réflexe communautariste (chrétien). Mais il est étrange que cette solidarité s’exerce si rarement en faveur des chrétiens de Palestine, dont le patriarche latin de Jérusalem rappelait récemment qu’ils meurent à Gaza, tout comme les musulmans, sous les obus israéliens, pour ne rien dire des Yazidis, dont la religion, héritée de l’ancien culte indo-iranien, avait déjà 2000 ans d’existence à la naissance du Christ. On peut aussi le faire parce que l’on croit que l’islamisme est aujourd’hui l’ennemi principal, ce qui n’est pas mon avis (l’ennemi principal est à mes yeux l’expansion planétaire de la logique de la marchandise imposée par l’illimitation du système capitaliste qui aboutit à priver l’homme de son humanité). On peut enfin le faire, comme Barack Obama, parce que l’on trouve que les combattants islamistes s’approchent un peu trop des puits de pétrole du Kurdistan (la production pétrolière kurde passera l’an prochain à 250.000 barils/jour). Pour ma part, je préfère les défendre pour une raison de principe, en l’occurrence mon hostilité à toute forme de persécution ou d’inquisition politique, religieuse, culturelle ou autre. Un principe ne vaut évidemment que par sa généralité : les chrétiens doivent pouvoir vivre leur foi en « terre musulmane », comme les musulmans doivent pouvoir vivre la leur en « terre chrétienne ».

    Que devrait faire la France pour ces chrétiens persécutés ?

    Il y a différentes manières de défendre les chrétiens d’Orient. Les mesures de sauvetage humanitaire en sont une, l’action militaire en est une autre. Or, François Hollande a décidé d’envoyer des armes (lesquelles, d’ailleurs ?) aux Kurdes irakiens. Il en avait livré précédemment aux islamistes syriens. Cela revient à dire que la France est entrée en guerre. Dès lors, la question n’est plus de savoir si l’on aime ou non les chrétiens d’Orient, mais de savoir s’il est de l’intérêt de la France de participer aux côtés des Américains à une nouvelle guerre d’Irak. Cela n’est pas d’évident. Plutôt que d’agir sur les conséquences, il me semble qu’il vaudrait mieux agir sur les causes. À l’heure actuelle, la France se veut l’alliée de l’Arabie saoudite et du Qatar, qui sont les principaux soutiens des criminels illuminés de l’État islamique, et l’ennemie de la Syrie de Bachar al-Assad, qui les combat. Si l’on veut défendre sérieusement les chrétiens d’Orient, c’est par un renversement d’alliance qu’il faudrait commencer.

    BOULEVARD VOLTAIRE

  • Florian Philippot invité de LCI

  • Livraison du premier Mistral suspendue jusqu'en novembre, Washington satisfait, "pas une tragédie" selon Moscou

    http://www.leparisien.fr/international/mistral-la-france-sous-pression-suspend-la-livraison-du-porte-helicopteres-a-la-russie-03-09-2014-4107463.php

    NdB: Grave erreur de la part de Hollande. Ainsi qu'une occasion perdue de sortir de l'OTAN.

     

     

  • Le monde perd la bataille contre Ebola estime l'ONG Médecins sans frontières

    http://www.leparisien.fr/societe/le-monde-perd-la-bataille-contre-ebola-estime-l-ong-medecins-sans-frontieres-02-09-2014-4104871.php

    + VIDEOS et INFOGRAPHIES PAYS PAR PAYS

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  • VIDÉO. Attaquée sur ses origines, Najat Vallaud-Belkacem réagit

     

    Publié le 02.09.2014, 13h34 | Mise à jour : 16h42

     

     

                                    

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    En arrivant au ministère de l' nationale, Najat Vallaud-Belkacem devait se douter qu'elle n'aurait pas la tâche facile, surtout lorsque l'on prend ses fonctions une semaine avant la rentrée scolaire, marquée cette année par la mise en application de la réforme des rythmes scolaires. Une réforme qui ne se fait pas sans mauvaise volonté de la part de certains maires.

    Mais depuis une semaine, la ministre doit également faire face à une série d'attaques visant sa personne. Ce mercredi matin sur 2, Najat Vallaud-Belkacem a voulu mettre les points sur les «i» : «Nous vivons sous l'ère de la rumeur. Sous cette ère de la rumeur, d'abord je m'appelle non pas Najat Vallaud-Belkacem mais Claudine Dupont. Je profite de votre antenne pour réaffirmer mon nom, Najat Vallaud-Belkacem.  Je serais la fille d'un grand milliardaire du nom de George Soros. Non, je suis la fille de mes parents.»

    VIDEO. Najat Vallaud-Belkacem réagit aux attaques


     La ministre fait référence à la fausse carte d'identité diffusée sur les réseaux sociaux depuis sa nomination au sein du gouvernement Valls II. D'après celle-ci, le véritable nom de Najat Vallaud-Belkacem serait Claudine Dupont.

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    Il s'agit bel et bien d'un faux, comme l'indique le mot «Fake» (faux) figurant en rouge. Cette pseudo-révélation ne date pas d'hier puisque cette fausse carte circule depuis au moins un an. Comme le relevait le site Hoaxbuster en mai 2013, le nom de Claudine Dupont n'a pas été utilisé au hasard. Il fait références aux propos tenus par Ségolène Royal dans un article du Point datant de février 2012. La présidente du Conseil régional de Poitou-Charentes avait alors déclaré que si Najat Vallaud-Belkacem s'était appelée  «Claudine Dupont, elle ne serait peut-être pas là. Elle doit assumer son identité et en être fière.»

    Mais les attaques visant Najat Vallaud-Belkacem ne portent pas seulement sur ses origines. Dimanche, le conseiller UMP de Neuilly-sur-Seine, Franck Keller, s'était fendu d'un tweet qu'il avait ensuite supprimé. Il s'agissait d'une photo de Najat Vallaud-Belkacem accompagné d'une question : «Quels atouts Najat Vallaud-Belkacem a utilisés pour convaincre Hollande de la nommer à un grand ministère ?» 

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    Face à la polémique, Franck Keller s'était défendu de tout sexisme dans un communiqué de presse : «Contrairement à certaines accusations honteuses dont j'ai été victime, je pense que les compétences n'ont rien à voir avec le sexe. D'ailleurs il est incontestable qu'Angela Merkel est largement plus compétente que François Hollande.»

     

       

    LeParisien.fr