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  • La CPI ne poursuivra pas Israël pour l’assaut meurtrier du Mavi Marmara

     

    La Haye, Pays-Bas. – La Cour pénale internationale ne poursuivra pas Israël pour le raid meurtrier mené contre une flottille humanitaire à destination de Gaza en mai 2010, même s’il est « raisonnable de penser » que des crimes de guerre avaient été commis.

    « Je suis parvenue à la conclusion que les affaires éventuelles qui pourraient découler d’une enquête sur cet événement ne seraient pas "suffisamment graves" pour que la Cour y donne suite », a indiqué la procureure Fatou Bensouda dans un communiqué.

    Madame Bensouda avait été saisie de l’affaire par le gouvernement des Comores, un État partie au Statut de Rome, le traité fondateur de la CPI, mais aussi l’État auprès duquel était enregistré le Mavi Marmara, navire amiral de la flottille internationale d’aide humanitaire.

    À l’aube du 31 mai 2010, la flottille avait été arraisonnée dans les eaux internationales par un commando israélien alors qu’elle tentait de rallier Gaza, sous blocus israélien.

    Neuf Turcs à bord du Mavi Marmara avaient été tués dans l’assaut, ce qui avait provoqué une dégradation des relations diplomatiques entre la Turquie et Israël. Un dixième était décédé plus tard de ses blessures.

    « Cette flottille, appelée "Flottille de la liberté pour Gaza", était composée de huit navires, avec à leur bord soixante-dix passagers d’une quarantaine de pays. Son objectif déclaré était d’apporter de l’aide à Gaza, de briser le blocus israélien et d’attirer l’attention de la communauté internationale sur la situation de cette zone et sur les conséquences du blocus », a rappelé le procureur.

    « En prenant en compte la nature sérieuse des blessures physiques causées par l’usage de la force par les soldats des forces de défense israéliennes contre certains passagers et en pensant à l’autodéfense (...), les informations disponibles forment une base raisonnable pour penser que les soldats ont commis un crime de guerre », a indiqué madame Bensouda.

    Mais ces crimes ne sont pas « suffisamment graves », a-t-elle ajouté : selon le traité fondateur de la Cour, la CPI « doit avant tout se concentrer sur les crimes de guerre commis à grande échelle ou dans la poursuite d’un plan ou d’une politique ».

    En septembre 2011, un rapport de l’ONU avait jugé « excessive » et déraisonnable cette intervention militaire, mais avait considéré comme étant légal le blocus imposé par Israël à la bande de Gaza.

    Décrété en juin 2006 à la suite de la capture d’un soldat israélien – libéré en octobre 2011 en échange d’un millier de prisonniers palestiniens –, le blocus terrestre, maritime et aérien de la bande de Gaza a été renforcé en juin 2007 à la suite de la prise de contrôle de ce territoire par le mouvement islamiste Hamas.

    Déjà tendues depuis l’opération israélienne meurtrière « Plomb durci » dans la bande de Gaza (décembre 2008-janvier 2009), les relations entre la Turquie et Israël, alliés stratégiques dans les années quatre-vingt-dix, s’étaient brutalement dégradées après le raid.

    À la demande pressante du président américain Barack Obama, le premier ministre israélien Benyamin Netanyahou avait présenté ses excuses à la Turquie. Depuis, des responsables turcs et israéliens se sont rencontrés pour discuter de l’indemnisation des familles des victimes, première étape du réchauffement des relations entre les deux pays.

    E&R

  • VIDEO - Vif accrochage entre Mazarine Pingeot et Eric Zemmour !


    Vif accrochage entre Mazarine Pingeot et Eric... par puremedias

     

    Bravo Eric! C'était réjouissant!

  • Najat Vallaud-Belkacem : tolérance pour les mères voilées au nom de la laïcité

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    06/11/2014- PARIS (NOVOpress) - Alors que Najat Vallaud-Belkacem ressasse constamment l’égalité hommes/femmes, la théorie du genre etc…, son nouveau cheval de bataille est de vouloir imposer des femmes voilées (parents d’élèves) pour encadrer les sorties scolaires des chérubins.

    Dans ce cadre scolaire, il s’agit non seulement une forme de prosélytisme, une manière sournoise d’imposer l’islam à l’école à travers des parents d’élèves, et par ailleurs d’une banalisation d’un phénomène qui prend une ampleur certaine dans le quotidien des Français.

    La loi de mars 2004 indique bien l’interdiction – en raison du principe de laïcité – du port de signes ou de tenues manifestant une appartenance religieuse dans les écoles, collèges et lycées publics. Or, une fois promulguée, la Loi s’applique et doit être la même pour toutes et tous répondant justement aux principes de la laïcité et de l’égalité.

    Selon les préceptes de la République, l’École publique est dite laïque. Mais en 2014 les choses semblent avoir changé et tout dépend du point de vue où l’on se place : les membres du gouvernement ne sont plus à un paradoxe près.

    Photo : manifestation contre les caricatures de Mahomet, Paris, février 2006. Crédit : DR

  • Le Grand Remplacement (caméra cachée à Saint-Denis - 93 )

    Par le 06/11/2014

    10h32

    La personne qui a tourné ce film indique :

    Saint-Denis (film vidéo du centre-ville) n’est qu’un exemple parmi les innombrables communes de la banlieue parisienne où la population française de souche a été totalement remplacée par une population d’origine extra-européenne (berbères, arabes, africains sub-sahariens, asiatiques, indiens, etc…).

    FDS

  • François Fillon en visite chez les islamistes pro-niqab de l'UAM-93

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     Visite de Mr François Fillon à l'UAM-93 par uam93 Lu sur le site de l''Union des Associations Musulmanes du 93 : "L’UAM-93 a eu le plaisir de recevoir le jeudi 9 octobre 2014, Mr François Fillon, ancien Premier Ministre. Les questions d’actualité et l’avenir de notre pays étaient au centre de cette rencontre, bien sûr un intérêt particulier a été donné à l’islamophobie et les attentes des musulmans de France.L’ancien Premier Ministre était accompagné du Sénateur-maire Mr Philippe Dallier et de Mr Fayçal Menia élu d’Aubervilliers."

    L’UAM93 est le principal réseau associatif musulman du département, gérant ses plus grandes mosquées, et chez qui se presse toute la classe politique (sauf FN), a pourtant publié plusieurs textes à la gloire du niqab sur son site pour s'opposer à la loi du gouvernement Fillon : Un est titré: "Le niqab supérieur à jamais au dévoilement du visage".

    La République a beau répéter et placarder partout que son idole avait le visage dévoilé (2), les vrais Musulmans n’en ont que faire. Leur foi implique, en effet, la croyance au fait que l’Omniscient, le Sage, Celui qui connaît intimement Ses créatures sait mieux ce qui est bon pour eux.(...)Le Coran nous enseigne que Dieu, dans son infinie miséricorde, a révélé une multitude de législations poursuivant les mêmes fins bien que divergentes sur les moyens à mettre en œuvre (3). Sa dernière législation, la voie (sharia) islamique, intervient à un stade d’avancement intellectuel de l’humanité tel qu’elle demeure valable selon toutes les époques et tous les contextes géographiques, sociétaux, etc. "Lire sur le site de l'UAM93 Un autre article publié en janvier 2010 "Lettre ouverte aux pseudos Musulmans qui renforcent les non musulmans dans leur croisade contre ceux qui se révèlent être plus musulmans qu’eux" (sic) par Daniel Youssef Leclercq. L'auteur affirme clairement que si une loi est votée afin d'interdire la burqa, elle ne sera pas considérée comme légitime car en contravention avec la Charia (Loi de Dieu) : "Ultime provocation, on exige des Musulmans d’opter sans réserves pour les lois (humaines) de la République et de renoncer aux Lois de Dieu, sous peine de sanctions. Mais, liberté de penser oblige, rien n’oblige à adhérer à une quelconque loi quand bien même elle serait votée par une majorité d’inconscients"" (...)

    "En conclusion, les grands muftis de la République laïque pourront toujours aboyer cela n’empêchera pas la caravane islamique de continuer son chemin jusqu’à sa destination finale." " Les démocrites " est un néologisme employé dans le texte qui trouve son explication en note de bas de page : "Démocrites (d’hypocrite) et non démocrates comme ils le clament à hauts cris"...la catégorie des hypocrites est vouée aux gémonies dans le Coran. Daniel Youssef Leclerc est un des principaux auteurs du site de l'UAM93. Converti à l’islam en 1984 par le mouvement Tabligh, il créa l’association Intégrité. Leclerc, comme le philosophe communiste et négationniste Roger Garaudy, fut désigné membre permanent de la Ligue islamique mondiale (LIM) en 1999, instrument de l'Arabie Séoudite. Interrogé en 1992 par Jean-Paul Mari, un journaliste du Nouvel Observateur, Leclerc alors président de la Fédération nationale des musulmans de France (FNMF, intégrée au CFCM), avait déclaré que « Si demain on avait une majorité dans ce pays, pourquoi est-ce qu’on imposerait pas la Charia progressivement ? Ca vous dérange? Tant pis ! » [propos de D.Y.Leclerc recueillis par Jean-Paul Mari du Nouvel Observateur dans le numéro du 12-18 novembre 1992 ]

    A l'été 2010, l'UAM93 avait complaisament relayé un communiqué de "145 musulmanes et musulmans de la Réunion ayant toutes et tous étudié la théologie musulmane" justifiant clairement le port du niqab : "Le Niqâb (voile intégral) est bien un élément religieux et cultuel : ce n'est pas seulement un habit traditionnel ou culturel. Nous trouvons, de ce fait, très dommage que certaines personnes en décrètent le contraire au nom de l'islam.Nous tenons à exprimer notre vive inquiétude par rapport à cette nouvelle stigmatisation" source Observatoire de l'islamisation- octobre 2014

    OBSERVATOIRE DE L'ISLAMISATION - 01 11 14

     

  • L'imâm qui a convaincu Maxence Buttey est contre l'interdiction du niqab en France

    http://www.islamisation.fr/archive/2014/11/03/l-imam-qui-a-converti-maxence-buttey-du-fn-est-contre-l-inte-5482257.html

  • BHL revient de Tunisie où il a rencontré les Frères musulmans libyens et tunisiens

    Lu sur Oumma.com

    "Qu’est venu faire BHL en Tunisie ? Dans cet entretien accordé à l'Esprit d'actu, Nicolas Beau revient notamment sur le voyage controversé de BHL en Tunisie. Auteur du livre "L'exception tunisienne: chronique d'une transition démocratique mouvementée" (ed. Seuil), co-écrit avec Dominique Lagarde, Nicolas Beau est directeur du site Mondafrique. Il a travaillé au Monde, à Libération et au Canard Enchaîné."

    Lire en complément l'article de Mondafrique : "Les lourds secrets de BHL en Libye"

    OBSERVATOIRE DE L'ISLAMISATION - 05 11 14

     

  • LE VOILE EN 1953 EN EGYPTE! A voir absolument!

    Un grand morceau d' "anthologie" à conserver précieusement !

     

     Lors d'une conférence, Nasser le président égyptien rigole très franchement avec l'assemblée d'une demande des Frères musulmans de rendre le port du voile obligatoire...


    Nous sommes en Égypte et en 1953.

    Plus de 60 ans plus tard cette scène semble tout simplement inimaginable, même dans un pays occidental...

    A voir absolument !

    (merci à abad)

     

  • Jacques Bompard dénonce le grand remplacement à l'Assemblée nationale

    « Les petits Blancs, comme les appelle le criminologue Xavier Raufer, finissent par bondir contre une mixité communautariste qui détruit leurs modes de vie, leurs coutumes et provoque une inégalité fondamentale entre nouveaux arrivants et Français de souche dans le besoin. » – Jacques Bompard

      « Ce crédit alloué [par le gouvernement] a le tort de masquer les dépenses réelles liées au Grand remplacement. » – Jacques Bompard

    Commission élargie : Crédits 2015 : Immigration, asile et intégration

    (Direct Assemblée – 05/11/2014)

     

    FDS

     

     

     

  • Il y a 70 ans : mort d’Alexis Carrel

    5 novembre 2014 par admin4 - Contre-info.com

    Alexis Carrel fut l’un des plus grands savants de la première moitié du XXe siècle : pionnier de la chirurgie vasculaire, il obtint en 1912 le prix Nobel de physiologie ou médecine « en reconnaissance de ses travaux sur la suture vasculaire et la transplantation de cellules sanguines et d’organes», devenant à l’époque à la fois le plus jeune lauréat et le premier scientifique récompensé pour ses travaux hors de son propre pays.

    Converti au catholicisme, il fut un défenseur de l’écologie et de l’ordre social.

    Il s’est fait mondialement connaître par la publication de L’Homme, cet inconnu (disponible ici) en 1935.
    Nous recommandons aussi ses Réflexions sur la conduite de la vie.

    Aucun représentant officiel n’assista à ses obsèques, le Dr Carrel ayant eu le tort de travailler de concert avec l’Etat français du maréchal Pétain.
    Petit à petit les rues et collèges Alexis Carrel sont débaptisées…

    Nous reviendrons prochainement sur sa vie et son œuvre.

    Thibaut de Chassey

  • Les cinq plaies de l’abattage halal

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    Christophe Pichery, secrétaire général du CARED

    ♦ « Le halal est un combat identitaire fort qui témoigne de façon très explicite de l’avancée de l’islamisation dans notre pays. »

    Souffrance animale, insécurité et régression sanitaire, financement du culte musulman à l’insu du consommateur, tromperie sur la marchandise lors de sa vente, instrument de réislamisation et de radicalisation des immigrés de culture musulmane : telles sont les cinq plaies du halal. Le docteur Alain de Peretti fait le point.
    Polémia


    Vétérinaire de profession, président de l’association Vigilance Halal qui fédère plus de 5000 membres, le Dr Alain de Peretti a exposé les cinq plaies de la filière Halal, le 1er octobre 2014, au CARED à Troyes.

    Alain de Peretti commence son exposé en resituant son intervention : « Le halal est un combat identitaire fort qui témoigne de façon très explicite de l’avancée de l’islamisation dans notre pays. Or le halal pose toute une série de problèmes, à commencer par les problèmes sanitaires… ».

    Alain de Peretti définit préalablement ce terme : halal signifie ce qui est licite pour l’islam, donc autorisé par la charia (loi islamique). Cela recouvre tous les aspects de la vie musulmane ; ce terme n’est donc pas propre aux questions d’abattage (par exemple on parle également de mariage halal, c’est-à-dire effectué conformément à la loi coranique).

    Le principe de l’abattage halal est le suivant : l’animal n’est pas du tout étourdi préalablement à la saignée, alors que la pratique de l’étourdissement existe chez nous depuis toujours. On pratique directement un égorgement large jusqu’aux vertèbres sectionnant toutes les structures anatomiques, et notamment l’œsophage et la trachée. L’animal est tourné vers la Mecque et sont prononcés les mots « Bismilla wa allaou akbar ». Enfin, le sacrificateur musulman doit être en « état de pureté rituelle ».

    Alain de Peretti cite l’ensemble des problèmes qui découlent de l’abattage halal et sur lesquels il va revenir plus en détails :

    - la souffrance et le stress des animaux, dénoncés par les associations de protection de la dignité animale ;

    - la négation de tous les principes de sécurité sanitaire ;

    - le financement du culte musulman à l’insu du consommateur ;

    - la tromperie sur la marchandise ;

    - l’instrument de l’islamisation et re-islamisation des immigrés de culture musulmane en les enfermant dans un ghetto alimentaire (cf. concept de Malika Sorel).

    1/ – Souffrance animale

    Fondation Brigitte Bardot

    Fondation Brigitte Bardot

    La Fondation Brigitte Bardot et l’OABA (Œuvre d’assistance aux bêtes d’abattoirs, association de vétérinaires) travaillent depuis longtemps à de meilleures conditions d’abattage en France. Depuis les années 1960, le matador est systématiquement utilisé pour l’étourdissement en France. Il est clair pour le conférencier que l’augmentation de la demande halal entraîne une régression évidente sur la question de la souffrance animale.

    2/ – Insécurité et régression sanitaire

    Alain de Peretti explique que ce point a tendance à être occulté devant les questions d’émotion provoquée par la souffrance animale. Or, le vétérinaire assène : « La question de la régression sanitaire est pourtant la preuve de la lâcheté des autorités devant la pression de l’argent et d’une population que l’on caresse dans le sens du poil. »

    Il explique alors, photos à l’appui, les modalités techniques de chacun des types d’abattage :

    – En abattage traditionnel, l’animal étourdi est décontracté, et la saignée peut se faire de façon très précise et se limite aux vaisseaux. L’œsophage est ligaturé. Après l’étourdissement, il est immédiatement suspendu pour être saigné. L’opération est extrêmement propre : le sang s’écoule sur le caillebotis et est parfaitement récupéré.

    – En abattage halal, on égorge jusqu’à la vertèbre : l’artère carotide, la veine jugulaire, la trachée et l’œsophage sont totalement sectionnés. A partir de l’œsophage, des souillures de régurgitation de l’estomac vont venir salir toute la zone, aller dans la trachée jusqu’au poumon puisque l’animal respire toujours, et possiblement aller contaminer le reste de la carcasse. L’animal est immobilisé dans un piège rotatif, qui génère un stress énorme sur l’animal puisqu’il se retrouve en position inversée. Les photos projetées sont sidérantes : la saignée se fait dans un bain de sang terrible, et ce sang est répandu sur tout le piège. Or, le piège ne peut être nettoyé à chaque animal, donc les animaux se succèdent et baignent dans un « bouillon de culture de sang, de déjections liées à la peur, de régurgitation, et tout ça reste joyeusement mélangé à température durant toute une journée… ». De plus, l’animal met au minimum un quart d’heure avant de mourir… Le vétérinaire alerte : « Tout cela est absolument contraire au principe de précaution, principe qu’on a pourtant érigé à tout crin, parfois d’ailleurs de façon excessive ».

    Alain de Peretti souligne d’ailleurs que l’Académie vétérinaire de France a rendu un rapport au ministre de l’Agriculture en décembre 2006 pour alerter sur les dangers de l’abattage sans étourdissement. Les risques bactériens sont multiples : souches mutées d’Escherichia Coli, salmonelles, staphylocoques dorés, et même les prions à l’origine de la tremblante du mouton, encore non totalement sous contrôle du fait des trafics internationaux liés au déficit de viande de mouton, et qui peuvent notamment être épandus dans le milieu extérieur lors des Aïd (abattoirs provisoires à l’instar de celui de Belfort). En effet, l’abattage halal est aujourd’hui montré du doigt comme une cause possible, par exemple, des augmentations d’épidémies de gastro-entérites. L’absence des règles les plus élémentaires d’hygiène augmente considérablement le risque de transfert de virulence par transduction génétique, ces transductions étant une des causes de résistance des bactéries aux antibiotiques.

    Les pouvoirs publics sont donc parfaitement au courant : la circulaire ministérielle du 23 avril 2007 impose que la viande des cantines soit fortement cuite. Cela est évidemment noyé dans une liste de causes multiples, mais parmi lesquelles les conditions d’abattage sont citées. Et le conférencier d’expliquer que nos populations et nos coutumes occidentales nous amènent à manger la viande peu cuite, d’où un risque beaucoup plus grand lorsqu’on mange halal dans nos pays que dans les pays musulmans.

     Fonctionnement des abattoirs :

    En France, depuis le 28 décembre 2011, un abattoir souhaitant abattre halal doit disposer d’une autorisation préfectorale, induisant un cahier des charges à suivre. Notamment, ne doit être abattu halal que ce qui est commandé halal. Or, le président de Vigilance Halal explique que l’association doit aujourd’hui mener des actions judiciaires pour obtenir de certains abattoirs le registre des commandes. En effet, des sources à l’intérieur des abattoirs attestent qu’il ne peut y avoir deux chaînes distinctes d’abattage. Et l’abattoir de Meaux est cité en exemple, reportage de l’émission Envoyé Spécial à l’appui…

    3/ – Le financement du culte musulman à l’insu du consommateur

    Le financement des mosquées est un problème vaste et complexe. Beaucoup d’argent circule, souvent « exonéré » de toutes taxes… C’est d’ailleurs quelque chose de choquant dans un pays dit laïc : certaines mosquées ont un monopole de délivrance de cartes de sacrificateurs, ce qui leur confère une autorité religieuse en matière de charia… Par exemple, Kamel Kabtane, recteur de la mosquée de Lyon, parle, dans Le Parisien du 12 août 2010, de 10 à 15 centimes d’euros par kg (900.000 euros sur un an) de recettes financières grâce à la taxe religieuse prélevée à l’abattage. C’est le financement du culte musulman à l’insu du consommateur.

    Il n’existe en France aucune enquête sérieuse sur les flux financiers de l’industrie halal. Ces canaux financiers sont très opaques, mais il est démontré aujourd’hui dans d’autres pays que le circuit du halal alimente directement les organisations terroristes, en transitant via les mosquées et leurs organismes de certification halal. Par exemple au Canada, Alain Wagner, président de l’ICLA (International Civil Liberties Alliance), démontre comment ces circuits s’organisent par le biais des banques et des sociétés de charité islamique. En France, il y a une réelle omerta sur les circuits financiers du halal.

    4/ – La tromperie sur la marchandise lors de sa vente

    Compte tenu du risque sanitaire évoqué, il devrait y avoir un étiquetage très clair sur le mode d’abattage de l’animal dont est issu le lot. Or, d’une part, il est difficile de connaître l’abattoir d’origine d’une viande, et, d’autre part, même si cet abattoir est agréé pour faire du halal il semble impossible que de la viande non halal puisse en sortir. Alain de Peretti présente alors le fruit du travail de son association : Vigilance Halal diffuse une plaquette avec les numéros d’abattoirs qui ne sont pas agréés halal. Il faut donc acheter de la viande en provenance de ceux-ci si l’on veut être réellement certain qu’il ne s’agit pas d’un abattage halal.

    5/ – L’instrument de l’islamisation et re-islamisation des immigrés de culture musulmane qui les enferme dans un ghetto alimentaire

    Le conférencier cite certains auteurs pour expliquer cela :

    – Malika Sorel : « Il s’agit d’une philosophie de vie qui consiste, au travers des concepts de “pur” et d’“impur”, de “licite” et d’“illicite”, à bâtir une muraille identitaire autour d’une communauté d’appartenance » ;

    – Gilles Kepel : « L’enjeu du halal, au travers de ce rigorisme, est le “contrôle cultuel et politique” des musulmans par les salafistes et les Frères musulmans » ;

    – Djamilla Ben Habib : « Le halal est une espèce de cordon sanitaire qui préserve la “pureté” des musulmans du reste de la société d’accueil » ;

    – En 2010, à Islamabad, un leader de la confrérie islamiste, le mufti de Bosnie, Mustafa Ceric, a incité les musulmans à « conquérir le monde par le mouvement halal ».

    Le halal est donc un des axes du processus global de conquête. En effet, il faut savoir que l’Arabie Saoudite, le Qatar, etc., achètent leurs moutons en Nouvelle-Zélande, où l’abattage halal est… interdit ! Au Sri Lanka, les 30% de bouddhistes composant la population ont réussi à faire arrêter le 100% halal qui était en vigueur de par l’influence des 70% de musulmans.

    Tout cela atteste que ces abattages n’ont aucune base religieuse, comme l’explique parfaitement l’un des anciens conférenciers du Cared, le Pr Sami Aldeeb.

    En conclusion, Alain de Peretti souligne qu’on ne doit pas se laisser paralyser par le terme de stigmatisation, très à la mode pour éviter de débattre des problèmes qui dérangent, d’autant plus qu’il s’agit de questions sanitaires majeures. Pour le vétérinaire, ces pratiques ne sont pas insérables dans une société moderne et complexe. Il faut faire du lobbying, des campagnes d’information, des actions judiciaires.

    Et de conclure sur ce sondage IFOP : 72% des Français se déclarent opposés à l’abattage rituel.

     Christophe Pichery
    3/11/2014

    Voir Vidéo : Enquête de l’association belge GAIA dans un abattoir halal.

    Vigilance Halal a organisé, le 25 mai 2013, les états généraux du halal, où se sont retrouvés pour débattre et témoigner Robert Ménard, Sami Aldeeb, le Pr Mouthon, vétérinaire de l’école de Maison-Alfort, Alain Dubos, pédiatre, Nicolas Dhuicq, député de l’Aube, Alain Wagner…

    Le CARED, Comité d’action pour le respect de l’état de droit, est présidée par Jean-Louis Chaton. Le compte rendu de la conférence du Dr Alain de Peretti tenue à la Maison des associations de Troyes, le 1er octobre 2014 devant plus de 120 participants, a été établi par Christophe Pichery, secrétaire général du CARED.

    Les illustrations sont de la rédaction.

    Correspondance Polémia – 5/11/2014

    Image : abattage rituel

  • VIDEOS - Marine Le Pen sur Europe 1

    http://www.frontnational.com/videos/marine-le-pen-sur-europe-1-23/

    Aux côtés de Nicolas Poincaré, les grandes voix d’Europe 1 débattent de l’actualité du jour avec Marine Le Pen. La présidente du Front National était face à Arlette Chabot, Serge July et Robert Namias dans « Le Club de la Presse », pour débattre de la situation économique et sociale en France.

  • En partenariat avec Renaud Camus, le Bloc Identitaire lance l’Observatoire du Grand Remplacement

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    05/11/2014 – PARIS (NOVOpress) - En partenariat avec l’écrivain Renaud Camus qui a forgé le terme de “Grand Remplacement”, le Bloc Identitaire lance ce jour l’Observatoire du Grand Remplacement.

    Selon les termes de leur communiqué, “le Grand Remplacement est tout simplement le remplacement progressif, mais dans un laps de temps très rapide, quelques décennies, de la population historique de notre pays par des populations issues de l’immigration, et très majoritairement extra-européennes”.

     

     

  • Claude Goasguen (UMP) : “Supprimons l’AME, une bonne fois pour toutes !”

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    05/11/2014 – PARIS (NOVOpress)
    Dans un entretien publié dans Valeurs actuelles, Claude Goasguen (UMP), rapporteur spécial du projet de loi “Santé” défendu par Marisol Touraine, déclare que le Gouvernement est hypocrite quand il dit vouloir faire des économies et refuse de supprimer l’AME (Aide médicale d’Etat, destinée aux étrangers en situation irrégulière), qui coûte un milliard d’euros par an au contribuable.

    Rappelons que le budget de la France consacré aux immigrés irréguliers est d’un milliard d’euros par an… Le problème est que Marisol Touraine ne connait pas les lois de notre pays sur l’immigration et l’asile. Elle dit que la loi sur l’asile permettra de réduire le nombre de bénéficiaires de l’AME. C’est exactement le contraire ! Pour diminuer les crédits de l’AME, il faudrait commencer par exclure tous les déboutés du droit d’asile ! Question de bons sens…

  • Education sexuelle au Royaume-Uni : « Aujourd’hui, c’est masturbation »

    20h13

    Au Royaume-Uni, un projet de loi pourrait bientôt rendre obligatoire l’éducation sexuelle dans les écoles secondaires. The Guardian a assisté à un cours d’éducation sexuelle dans un établissement en Angleterre.

    « Il est 13 heures et on va discuter de masturbation, lance la souriante Antonietta Moch, une petite femme musclée. La masturbation est un acte très intime, dit-elle à toute la classe. La masturbation, c’est du sexe avec vous-même. L’objectif est de vous donner du plaisir. » [...]

    Le projet de loi de la député Caroline Lucas devant rendre obligatoire l’éducation sexuelle à l’école sera examiné en seconde lecture à la Chambre des communes au mois de février 2015. [...]

    Antonietta Moch travaille pour Brook, une société qui propose des services et des cours relatifs à la santé sexuelle aux jeunes de tout le Royaume-Uni. Lors de son intervention, elle ne laisse rien au hasard et elle s’entoure de trois godemichés – bleus et marron – qui sont posés devant elle sur le bureau.

    De nombreux sujets sont abordés pendant la séance [...] Ils discutent aussi de préservatifs et de lubrifiant, de porno, de sexe anal, et consacrent beaucoup de temps aux notions de viol et de consentement. [...]

    Concours d’enfilage de préservatif. [...] Une fois que tout le monde a reçu des instructions détaillées sur la façon de mettre un préservatif, le cours se termine par une course : le premier qui en enfile un sur l’un des godemichés gagne un sous-vêtement. [...]

    Source

    L’article du Guardian

    FDS

  • Football: Willy Sagnol veut recruter moins de joueurs africains. Réactions de la LICRA et de SOS Racimse qui veulent porter plainte contre l'entraîneur des Girondins de Bordeaux

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    http://www.fdesouche.com/534915-football-willy-sagnol-veut-recruter-moins-joueurs-africains

    " Mais le jeune entraîneur, 37 ans, qui vit sa première saison sur le banc d’un club, poursuit en se livrant à une analyse du « joueur typique africain ». Pour Willy Sagnol, il a ses avantages : c’est « un joueur pas cher quand on le prend, prêt au combat généralement, qu’on peut qualifier de puissant sur un terrain ». « Mais le foot ce n’est pas que ça, ajoute-t-il avant de préciser sa pensée et se lancer dans un comparatif discutable. C’est aussi de la technique, de l’intelligence, de la discipline. Il faut de tout. Des nordiques aussi, c’est bien les nordiques, ils ont une bonne mentalité. "

  • « Grand remplacement » : Marine Le Pen chahutée par son (extrême) droite ?

     

    10h48

    En dénonçant « la vision complotiste » du « grand remplacement », la patronne du FN affiche son refus de se radicaliser davantage sur l’islamisme et l’immigration.

    (…) « Le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste. » Cette sentence de Marine Le Pen dans l’interview qu’elle a accordée au Journal du dimanche est loin d’être anodine. En s’exprimant ainsi, la patronne du FN affiche son refus de se radicaliser davantage sur les questions de l’islamisme et de l’immigration, comme l’y poussent certains de ses électeurs d’extrême droite plutôt exaltés proches des identitaires.

    Une façon d’essayer de gagner en respectabilité et de rassurer ceux parmi les électeurs issus de la gauche qui pourraient basculer vers le FN. « Marine Le Pen ne veut pas ajouter de l’huile sur le feu en cette période trouble. L’objectif n’est pas de diviser davantage les Français mais de les rassembler », explique un proche de l’ex-candidate à l’Élysée. Voire ! En réalité, la réponse de Marine Le Pen est en trompe-l’oeil : pour le FN, le « grand remplacement » a commencé en France… Et ses lieutenants dédaignent les précautions oratoires.

    « Inversion des flux migratoires »
    Le « grand remplacement » ? Il s’agit de la disparition en France du peuple blanc, européen et de tradition catholique au profit de populations noires, arabes et musulmanes, une théorie élaborée par le penseur d’extrême droite Renaud Camus. « Pire que la guerre de Cent Ans, cette crise (le grand remplacement) est la plus terrible que notre peuple ait eu à affronter », répète Camus en accusant pêle-mêle les juges, les journalistes, les hommes politiques d’appartenir au camp des « remplacistes ». Âgé de 68 ans, cet ex-militant homosexuel membre du PS s’est exprimé en faveur du FN en 2012.

    Certes, Marine Le Pen est loin d’être sous l’emprise de Camus. Pour la dernière présidentielle, la patronne frontiste plaidait pour une réduction de l’immigration légale à 10 000 entrées par an, tandis que l’écrivain exhorte à l’inversion des flux migratoires avant que « ne s’achève la colonisation de peuplement de notre pays ». Si Marine Le Pen refuse de faire sienne cette expression du « grand remplacement », c’est parce qu’elle ne souhaite pas laisser entendre que le FN serait adepte de la théorie du complot et qu’il pourrait partager une conception racialiste du monde. Elle préfère se concentrer sur la dénonciation du phénomène de « l’immigration massive ».

    (…) Depuis plusieurs semaines, une vague de courriers déferle au QG de Nanterre (Hauts-de-Seine) pour se plaindre d’une ligne frontiste trop molle sur l’immigration et l’islamisme. Et un cadre frontiste de crier au complot : « Des militants radicaux emmenés par le blogueur FdeSouche et les identitaires font pression sur nous pour radicaliser le parti. » À force de multiplier les clins d’oeil à la gauche et à l’extrême gauche, Marine Le Pen finit par mécontenter sur sa droite.

    Le Point

    FDS

  • Le Songe d'Archibald, une nouvelle de Jacques Aboucaya

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    Le Songe d’Archibald

     

    Archibald rêvait. C’était même, si on s’en tient au temps qu’il y consacrait, sa principale activité. Ses rêves s’étiraient tout au long de ses nuits. Pas exactement des rêves récurrents, en ce sens que la plupart demeuraient flous, sans trame bien précise. Dépourvus d’intrigue, celle-ci fût-elle, comme il arrive souvent, un défi à la logique. Pas des cauchemars non plus, de ces rêves qui vous laissent au réveil à la fois terrorisé et soulagé que l’horreur vécue relève de la seule fiction. Plutôt des rêveries. Une succession d’atmosphères, de climats, plus ou moins agréables, plus ou moins prégnants, par lesquels il se laissait envahir sans chercher à leur échapper.

     

    En avait-il, du reste, le pouvoir ? C’est peu probable. D’autant que l’engourdissement qui en résultait, cette mise en sommeil de tous les sens, n’avait en soi rien de désagréable. Tout au plus provoquait-il, dans les moments de plongée profonde, des soubresauts inconscients, des mouvements convulsifs des membres, comparables à ceux de la grenouille de laboratoire excitée par des décharges galvaniques, avant qu’il ne retrouve, couché sur le dos ou sur le flanc, une immobilité de gisant.

     

    Le jour aussi, il l’occupait souvent à sommeiller, ou à somnoler, bercé par le ronronnement régulier du moteur. Même les cahots du véhicule,  les brusques ralentissements,  ne parvenaient à troubler cette sorte de langueur à laquelle il s’abandonnait. Une léthargie propice à la rêverie, que venaient alimenter des odeurs – celle du foin coupé lorsque le convoi parcourait  la campagne, celle de l’asphalte surchauffée de l’autoroute, celle, composite, des villes traversées, chacune porteuse de réminiscences confuses. Au début, le moindre bruit, crissement de frein, coup de klaxon ou même rumeur urbaine, suffisait à le faire sursauter. Maintenant, il ne percevait même plus ces agressions sonores, sachant, par expérience,  qu’elles ne mettaient en péril ni sa vie, ni même son repos.

     

    Parfois, il entrouvrait un œil, contemplait tel ou tel détail du paysage sans que son intérêt en soit, le plus souvent, éveillé. A vrai dire, il observait tout avec une indifférence souveraine. Plus lui importait son univers intérieur. Celui où il lui était loisible de se réfugier pour y flâner interminablement.

     

    Cet univers, il le reconstituait sans en avoir conscience à partir de sensations enfouies depuis l’enfance au tréfonds de lui-même. Des couleurs violentes, contrastées, celles du pays où il était né. Le vent chaud qui dessèche, le soleil brûlant. Les vastes étendues où poussait une végétation étique. Des paysages apparaissaient sous ses paupières closes, s’enfantaient l’un l’autre, se mêlaient sans qu’il soit possible de discerner, dans ces visions, la part du souvenir et celle du songe.

     

    Ces derniers temps, c’étaient des images de la prime enfance qui surgissaient volontiers. Ses parents, ses frères. Le lent apprentissage de l’autonomie et de la liberté. Tout un passé révolu. Il y puisait, plus qu’une nostalgie stérile, un sentiment paradoxal de réconfort. Comme si tout cela, qu’il avait vécu, ne pouvait, quoi qu’il arrivât, lui être enlevé.

     

    Un brusque ralentissement lui fit comprendre que le convoi avait atteint sa destination. Il apercevait, à travers les planches à claire-voie de la plateforme, la file de camions se rangeant en cercle sur une vaste prairie. Déjà les hommes s’affairaient. Une scène souvent vécue. Bientôt, lorsque tout serait prêt, on viendrait le chercher.

     

    Il se leva, émit un long bâillement. Un frisson le parcourut à la pensée de ce qu’ii allait devoir endurer. Un rituel réglé dans ses moindres détails. La tête puant l’alcool, le vieux tabac et l’après-rasage bon marché allait, une fois encore, prendre place dans sa gueule grande ouverte. Une fois de plus, il résisterait à la tentation de planter ses crocs dans la nuque offerte. Moins pour se venger d’années de servitude et d’avilissement que pour le seul plaisir d’entendre craquer les os.

     

    Archibald s’ébroua, secoua sa longue crinière. Passa sa langue sur ses babines. Puis il bâilla à nouveau, savourant par avance le  quartier de bœuf sanguinolent qui serait, comme toujours, la récompense de sa docilité.

     

    Jacques Aboucaya

    Nouvelle parue dans LIVR'ARBITRES  Automne 2014