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  • Les étranges jugements de Manuel Valls...

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    Cette étrange déclaration (à mettre en lien avec cet article) suscite quelques questions (liste non – exhaustive) :

    • Tous égaux devant la République, ou bien certains sont-ils plus égaux que d’autres ?
    • N’est-il pas paradoxal de reconnaître officiellement des catégories de citoyens en France au risque de développer encore un peu plus le communautarisme, alors qu’on ne cesse de réclamer à tort et à travers l’unité nationale derrière les « valeurs de la République » et d’exiger que la religion soit reléguée dans la sphère privée ?
    • Quels sont les critères retenus par Monsieur Valls qui lui permettent d’établir une échelle de valeur entre les citoyens de ce pays ? Des critères religieux ?
    • Etablit-il de ce fait un classement qualitatif des religions en France ?
    • Et du reste, comment Monsieur Valls sait-il qui est juif, qui est chrétien ? Fait-il établir des fiches, comme ses illustres prédécesseurs ?

    Source: Le Salon Beige

    ALTERMEDIA

     

  • VAN GOGH

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  • CC.D. FRIEDRICH

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  • La haine monte…mais d’où vient-elle ? Par Bruno Gollnisch

    27 janvier 2015

    société métissée

    Lundi soir à Cracovie (Pologne), le cinéaste engagé Steven Spielberg et créateur de la Fondation de la Shoah, aux côtés du président du Congrès juif mondial Ronald S. Lauder, a fustigé « les efforts qui montent pour bannir les Juifs d’Europe ». Le même jour à Prague (Tchéquie), le président du Congrès juif européen, Moshe Kantor, estimait que « la communauté juive d’Europe est très proche d’un nouvel exode ». Selon des statistiques qui viennent d’être divulguées par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), le nombre d’actes antisémites aurait doublé (+101%) en 2014 par rapport à 2013 (851 actes antisémites répertoriés l’année dernière, contre 423 l’année précédente). Le nombre d’actes avec actes de violences  physiques serait ainsi passé de 105 en 2013 à 241 en 2014, soit une augmentation de 130%.Un climat anxiogène, que l’attentat sanglant commis par l’islamo-délinquant Coulibaly contre l’hypermarché casher de la Porte de Vincennes ne fait que renforcer. Les antisémites s’en réjouissent peut être mais cela fait aussi les «affaires» de Benjamin Netanyahou et de l’Etat israélien: plus de 7000 juifs ont quitté la France en 2014 pour faire leur  Alyah (« montée ») vers l’Etat hébreu.

     Le gouvernement israélien a d’ailleurs annoncé officiellement que, pour la première fois, la France fournit le plus gros effectif, à l’échelle de la planète,  devant les Etats-Unis et la Russie, de l’émigration vers Israël. L’Agence juive prévoit que ce sont 10 000 juifs venus de France qui s’installeront en Israël en 2015. Une force d’appoint non négligeable dans le combat démographique, la guerre des ventres qui opposent aussi Israéliens et Palestiniens…

     Selon le Crif, « cette tendance confirme bien malheureusement la persistance, voir le renforcement des préjugés antisémites en France, parfois leur radicalité croissante qui fait qu’on passe de l’insulte à la violence, de la violence au terrorisme ».

     Certes, tout aussi controversé que le Crif de Roger Cukierman, Abdallah Zekri, Président de l’Observatoire National contre l’Islamophobie, dénombrait de son côté, depuis les attentats des 7 et 9 janvier derniers, 116 actes anti-musulmans , dont 28 actions contre les lieux de culte et 88 menaces,  soit une hausse de 110 % par rapport à janvier 2014.

     Ce qui est cependant certain, et il faudrait être bien aveugle ou partial pour le nier, c’est que le vivre-ensemble est de plus en plus (particulièrement)  problématique, entre les communautés juives et musulmanes sur notre sol, dans les zones où les populations  maghrébines, musulmanes, sont majoritaires.

    Le phénomène n’est pas si nouveau mais il s’est accentué. Cela a entraîné le départ de très nombreuses familles juives des banlieues plurielles,  trajectoire qui est aussi suivie par  des familles de gaulois, d’européens,  voire d’immigrés, chassées de certains territoires perdus de la République par la violence, la tiers-mondisation de leur environnement, ou une manière de vivre qui n’est pas la leur…C’est cela la réalité de cet apartheid dont Manuel Valls impute la responsabilité aux méchants Français…

     Il est tout aussi évident que ce sont dans les établissements scolaires babélisés que l’enseignement de l’histoire officielle s’avère le plus difficile. Cela est vrai notamment pour l’histoire des religions, et donc de la foi mahométane, de certains épisodes de notre histoire conflictuelle avec l’islam, de la colonisation, ou encore  celle de la seconde guerre mondiale et de la Shoah. Cette dernière est  assimilée à de la propagande sioniste par des jeunes arabo-musulmans, chez qui les idées révisionnistes circulent assez largement et rencontrent un véritable écho.

     Le site du quotidien  La Croix en faisait état hier, «un certain nombre de professeurs doivent, depuis des années, faire face à des contestations ou à des provocations à connotation antisémite quand ils abordent cette partie du programme (le dernier conflit mondial, NDLR) ». « Le président de la République  avait promis, le 21 janvier, qu’à l’école,  aucun incident  ne serait laissé  sans suite»  et « Najat Vallaud-Belkacem souhaite des sanctions, des suites éducatives  en cas de perturbation de l’enseignement de la Shoah. Mais, poursuit-elle, la fermeté ne saurait suffire (…), le fait d’avoir inscrit l’holocauste dans les programmes n’a pas toujours permis de vaincre ce que la ministre appelle  le relativisme et la perte de repères  observés chez un certain nombre d’élèves. Beaucoup d’élèves ne sont pas perméables à ces enseignements,  s’inquiète Najat Vallaud-Belkacem. Le défi (…) est  d’éveiller leur humanité, résume-t-elle » car  « enseigner la Shoah est  une responsabilité qui augmente au fur et à mesure que les voix des témoins disparaissent… ».

     Dans ce contexte, François Hollande est aujourd’hui avec les présidents allemand Joachim Gauck et ukrainien Petro Porochenko,  le secrétaire américain au Trésor Jack Lew, ou encore les familles royales belge et néerlandaise, à Auschwitz (Pologne) dans la cadre de la commémoration du 70ème anniversaire de sa  libération par l’Armée rouge. Le président Vladimir Poutine, n’a pas été officiellement invité c’est pourquoi la Russie est représentée par le chef de l’administration présidentielle Sergueï Ivanov.

    M. Hollande l’a répété ces dernières heures, il entend profiter du climat pour brider un peu plus la liberté d’expression de tous les Français, en renforçant les sanctions contre le racisme et l’antisémitisme (dont les définitions ambiguës laissent souvent place à l’arbitraire) et étendre leur champ d’application.

     Un vœu qui s’inscrit dans le cadre des trois propositions formulées par le ministre de la Justice Christiane Taubira mi- janvier. D’abord la possibilité de bloquer de sites internet que l’on accuserait de propager une  « haine raciste ou antisémite ». Haine à laquelle  pourraient être assimilées demain,  par quelques zélés serviteurs de l’idéologie dominante, toutes contestations de l’immigration invasion, de la société plurielle, ou toute critique du « sionisme » ?

     Ensuite, la généralisation de la circonstance aggravante de racisme « comme les agressions sexuelles, le harcèlement sexuel, le harcèlement moral, la séquestration, la traite des êtres humains, le bizutage, l’atteinte aux biens et le chantage notamment ».

     Enfin, le vœu de sortir les injures et diffamations du droit de la presse (loi du 29 juillet 1881) pour les introduire dans le code pénal « lorsqu’elles sont aggravées par une circonstance liée au racisme, à l’antisémitisme ou à l’homophobie ».

     Autant dire que nous sommes très circonspects et dubitatifs sur cet arsenal là, qui vise (sciemment ?) à côté, qui, loin de s’attaquer à la racine du problème entend museler aussi, dans l’esprit des Torquemada et Fouquier-Tinville socialistes, ceux qui le dénonce. Plus largement encore, Bruno Gollnisch est convaincu, il l’a souvent dit, que les inconvénients d’un excès de libertés sont moindres que ceux d’un excès de censure.

     Ce que nos compatriotes constatent aussi c’est que les premiers visés dans leur foi, dans leur identité comme en convenait il y a  quelques années déjà  un membre du Crif comme Me Gilles-William Goldnadel, ce sont les Français de souche, nos  églises, nos édifices, nos  cimetières catholiques. Participant à la Marche pour la vie ce dimanche, Bruno Gollnisch a aussi été interpellé sur ce sujet.

     Notons aussi,  par ailleurs, que ce ne sont pas des barbus (pas invités dans les médias !) mais des membres du show-biz qui ont multiplié dernièrement les déclarations malveillantes et agressives. Ainsi en est il du comédien Jacques Weber  vendredi sur LCI qui a traité sans surprise l’humoriste Dieudonné de  « voyou », de « gangster », d’ «enfoiré » et  Marine Le Pen de «danger public»,  de «grande menteuse, extraordinairement habile ».

     Un autre « comique», Stéphane Guillon, s’est lui réjoui hier du début d’incendie qui  a (fort heureusement seulement  légèrement) brûlé au visage le président d’honneur du FN  à son domicile, déplorant qu’il  en réchappe. Dans son tweet le citoyen Guillon écrit : «Jean-Marie Le Pen sort indemne de l’incendie qui a ravagé son appart. Pour une fois qu’un hommage à Jeanne d’Arc nous aurait fait plaisir… »

     Alors de quel côté se trouve la haine ? Il se trouvera toujours des imbéciles, des obtus, des petites âmes mesquines, des gamellards honteux pour reprocher au FN, non pas tant ses idées politiques, qui comme telles sont toujours discutables,  que son extrême droiture, la  justesse de ses avertissements, sa fidélité à des convictions.  Là aussi les Français jugeront.

  • Manuel Valls “le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens" (pour rappel)

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    Menorah

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    (La Crucifixion - Vélasquez)

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    29/01/2015 – PARIS (NOVOpress via Bulletin de réinformation)
    La phrase du jour est de notre très “républicain” Premier ministre, Manuel Valls.

    Ses propos ont été rapportés par l’écrivain israélien, Avraham Yehoshua, le 22 janvier dernier, dans une tribune de Libération. «Le Premier ministre français, Manuel Valls, avec une grande générosité d’esprit, a proclamé que le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens ».

    Cette déclaration est paradoxale, de la part d’un parangon des valeurs républicaines !

    Il semblerait aussi que la république laïque, une et indivisible, reconnaisse désormais officiellement des catégories de citoyens en France, des religions, des communautés !

    Crédit photo : Roy Lindman, via Wikipédia, (cc).

  • Une citation de George Orwell

    "L’avenir, c’est une botte très molle qui écrasera un visage qui ne se rend compte de rien"

    George ORWELL (1984)

    (merci à Dirk)

  • Contre le djihad : un site ! (Présent 8283)

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    29/01/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Combattre la propagande djihadiste incitant les « jeunes » candidats au djihadisme en utilisant –détournant– les mêmes armes que les terroristes islamistes est-elle la bonne solution ? C’est du moins ce qu’espère le gouvernement français qui a lancé mercredi un site internet (interdit au moins de 12 ans, la belle affaire !) pour détailler ses mesures antiterroristes et tenter de contrer la propagande djihadiste qui envahit les réseaux sociaux.

    Contre le djihad : un site ! (Présent 8283)Contre-discours

    Le site en question : http://www.stop-djihadisme.gouv.fr/

    Un clic, et ça démarre. Sur un fond sonore censé faire peur, des images extraites de vidéos et de page Facebook de propagande appelant au joyeux djihad pour tous se succèdent. Puis apparaissent des messages écrits destinés aux apprentis « Rambo » prêts à aller se faire tuer pour imposer la charia au monde et aller retrouver les vierges promises au paradis d’Allah.

    Des messages du genre « Ils te disent : sacrifie-toi à nos côtés, tu défendras une juste cause » suivi d’un contre-argument où l’on peut lire : « En réalité, tu découvriras l’enfer sur terre et mourras seul loin de chez toi ».

     

    Les filles ne sont pas oubliées et trois autres messages à leur intention sont déconstruits sur le même modèle. Ainsi, à celles qui « espèrent fonder une famille avec un héros » le message du gouvernement, omettant qu’elles serviront de repos du guerrier et d’esclaves, répond qu’en réalité leur enfant vivra « dans la guerre et la terreur ». Puis apparaît un dernier message adressé à tous ceux qui souhaitent « aider les enfants syriens », mais qui « en combattant en Syrie, se rendront en réalité complices du massacre des civils ».

    Prévenir et faire comprendre

    Dans la série « tentative de réponse préventive », le site vise aussi à rassurer citoyens, familles et enseignants.

    Ces derniers peuvent ainsi y trouver des clés de compréhension du phénomène et des réponses à apporter aux « jeunes » qui se posent des questions. Quatre thèmes sont proposés : « comprendre » la menace terroriste, « décrypter » la propagande, « se mobiliser » ensemble pour réagir à la menace et « agir ».

    Par ailleurs, l’Etat, qui avait annoncé la mise en place de cette mesure, rappelle le numéro vert à composer en cas d’inquiétude sur un proche et reformule la liste des signes qui doivent, peuvent, alerter le proche en question : rupture familiale, rupture relationnelle, changement vestimentaire soudain, d’alimentation, abandon de l’école, radicalisation…

    Avec ce site, le gouvernement entend donc diffuser un contre-discours sur le djihad dont le but est d’éviter l’embrigadement via internet des « jeunes ».

    L’intention, comme on dit, est bonne mais, comme le relève le sociologue Samir Amghar, « il serait naïf de croire qu’une personne qui s’est radicalisée ou qui est en train de le faire (…) aille voir le site de l’Etat français pour savoir ce qu’il [l’Etat] pense du djihad ».

    Pas sûr en effet que ce site du genre « le poids des mots, le choc des photos » soit la meilleure arme pour dissuader les candidats au djihad !

    Pierre Malpouge

  • Ils brûlent nos églises après avoir décapité les statues...

    http://www.christianophobie.fr/breves/ardeche-incendies-criminels-dans-leglise-du-teil#.VMp_Lrl0yM8

    Plusieurs photos

  • Liberté d'expression/caricatures: il va falloir introduire une "prudence citoyenne" (l'islam cas à part)

    http://www.fdesouche.com/558501-liberte-dexpressioncaricatures-il-va-falloir-introduire-prudence-citoyenne-lislam-cas-part

  • L’Afrique et la saleté, une histoire d’amour? (rediff

    Mai
    2014

    Complément direct de l’article du 5 mai 2014 sur l’africanisation de Marseille et la plainte contre Guy Tessier (voir ici)

    ————- Article de Dakar-info.com [rediffusion] 

    C’est terrible et choquant à le dire, l’Afrique noire est sale ! De nombreuses capitales africaines se sont érigées en chantre de l’ordure en putréfaction et des odeurs pestilentielles, témoins d’une insalubrité quasi-culturelle. Et la saleté s’épanouit allégrement partout : au cœur des ménages, dans les restaurants, le long des rues, aux abords des lieux de culte, etc.

    Il est hallucinant de voir comment les Africains vaquent avec insouciance à leurs occupations autour d’une flaque d’eau nauséabonde ou d’un tas de détritus. Certes, on retrouve des localités où les populations, avec ou sans l’Etat, tentent d’assainir le cadre de vie, mais, fondamentalement, l’insalubrité prédomine.

    Il est impossible de mettre de la propreté là où les hommes ne sont pas organisés et disciplinés. Dans des villes comme Conakry, Freetown, Khartoum, Kinshasa, Monrovia,…des habitations spontanées défient les normes les plus élémentaires de salubrité et de sécurité, sous le regard nonchalant des autorités. Dans d’autres comme Abuja, Cotonou, Ouagadougou,…les restaurants spontanés sur la voie publique et la floraison des vélos-taxis vrombissants et polluants entretiennent une pagaille devenue routinière.

    Dans certains pays, les autorités sont occupées à ériger des monuments pour épater les électeurs plutôt qu’à rétablir l’ordre public dont la salubrité publique est une composante essentielle. C’est ainsi qu’à Dakar, on s’emploie à construire une des plus belles corniches du continent, alors qu’à quelques mètres de là gisent des quartiers comme la Médina, temple des odeurs incommodantes où des eaux insalubres stagnent même en saison sèche, mais aussi Reubeuss, siège d’un chaos souverain.

    La malpropreté du cadre de vie est un signal de la conduite des hommes qui y vivent. Au-delà de la défaillance des services de ramassage des ordures, elle est révélatrice de l’indiscipline, de l’incivisme et de la désinvolture des populations. Les gouvernants des pays sales n’ont pas assez de temps pour relever le défi, car eux aussi se sont volontairement embourbés dans une insalubrité politique caractérisée par la rapacité financière, la décapitation des opposants, les tueries puériles pour un morceau de pouvoir, la gestion familiale du pouvoir de l’Etat.

    Cette saleté s’exporte allégrement hors des frontières de l’Afrique. En France par exemple, les Africains ont transformé Barbès et Château Rouge en une pétaudière où la cacophonie et la confusion se prélassent le long des rues commerçantes.

    En banlieue parisienne, des immeubles horriblement délabrés sont pris d’assaut par des Africains qui dorment comme des sardines dans des pièces exigües. La pauvreté est assurément un facteur explicatif, mais elle reste irrecevable comme fait justificatif. Si le tapage et la pestilence persistent dans les milieux africains, c’est moins en raison de la pauvreté que du refus de l’ordre. Il est parfaitement possible d’être pauvre et de rester propre et digne.

    Si on veut contribuer, sincèrement, au développement de l’Afrique, ce sont ces vérités qu’il faut oser soulever. Il n’y a aucune honte à reconnaitre ses tares lorsqu’on se propose de les combattre. La critique est sublime lorsqu’elle est constructive.

    Dakar-info.com

  • Prix du Trombinoscope : SOS-Hystérie pour le PS et ses alliés

      

    Communiqué de Presse de Steeve Briois, Député français au Parlement européen, Maire d’Hénin-Beaumont

    Ma nomination comme élu local de l’année par le jury de journalistes indépendants du Trombinoscope a provoqué une grave crise d’hystérie chez les Socialistes et leurs amis.

    Claude Bartolone, qui s’était dès lundi soir distingué par un sectarisme indécent pour un président de l’Assemblée nationale, réitère ce matin sur BFM-TV dans le très abject : il prétend ne pas avoir voulu figurer aux côtés d’un élu Front National le jour des 70 ans de la libération d’Auschwitz ! Déplacé, répugnant et parfaitement opportuniste.

    D’autres se sont vautrés dans l’indignation à géométrie variable, comme Vincent Léna qui encourage à se désabonner du Trombinoscope ou encore David Noël, cet ancien communiste adjoint à Gérard Dalongeville qui à Hénin-Beaumont insulte les journalistes d’alcooliques !

    Les journalistes, si corporatistes et solidaires quand un élu frontiste les égratigne, seraient bien avisés de remettre à leur place les hypocrites qui défilaient pour la liberté de la presse il y a à peine 3 semaines.

    La vérité, c’est que la gauche française a voulu créer une polémique parfaitement artificielle le jour où était annoncé que l’année 2014 avait été une année record pour le chômage, et ainsi ne pas avoir à reconnaître que l’état de grâce était bel et bien un lointain souvenir que la réalité a rattrapé ! Quoi qu’il en soit, la seule légitimité que je recherche, c’est celle des habitants de ma ville, pas celle des journalistes. 20 années d’opposition récompensées par une élection au premier tour, voilà qui vaut toutes les médailles du monde !

  • Eure : ils agressent et immolent par le feu un jeune de 18 ans

     

    Un jeune homme de 18 ans a été aspergé d'un liquide inflammable avant d'être immolé par le feu dans la nuit de lundi à mardi dans l'Eure. 

    28 Janv. 2015, 14h48 | MAJ : 28 Janv. 2015, 15h21

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    Le scénario du drame fait froid dans le dos. Un jeune homme de 18 ans, interpellé par le bruit extérieur, a été aspergé d’un liquide inflammable juste devant chez lui à Bernay (Eure) dans la nuit de lundi à mardi. Ses agresseurs l'ont ensuite immolé par le feu, rapporte le site Normandie-Actu.fr 

    Grièvement brûlée, la victime a été transportée dans un établissement spécialisé de la région où il a été placé en coma artificiel afin de soulager ses douleurs.

     

    Son pronostic vital n'est pas engagé à l'heure actuelle.

    La procureure de la République d’Évreux a ouvert une enquête pour tentative d’homicide volontaire. Les gendarmes de la compagnie de Bernay ont été chargé des investigations. L’Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) commencera par déterminer la nature du liquide inflammable.

    C'est qui "ils" pour commettre des actes aussi atroces ?

  • Le torchon brûle entre Gérard Larcher et Claude Bartolone

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    Le président du Sénat, Gérard Larcher, refuse de travailler avec Claude Bartolone. Motif : ce dernier a relancé le débat sur l'existence «sous cette forme» du Sénat. Les patrons des groupes UMP de sénateurs et de députés ont accusé le président de l'Assemblée de rompre l'union nationale post-attentats.

    A.R. | 29 Janv. 2015, 14h54 | MAJ : 29 Janv. 2015, 17h02

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                                                         Le président de l'Assemblée, Claude Bartolone (à gauche) a remis en cause ce jeudi l'intérêt du Sénat, dont le président Gérard Larcher (à droite) lui a vivement répondu.
    (LP / OLIVIER CORSAN)

    La véritable rupture de la belle «unité nationale» post-attentats n'est pas venue de là où on l'attendait. Au delà de leur parti respectif, les présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat ont déclenché les hostilités.

     

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    Le second, Gérard Larcher (UMP), a même estimé ce jeudi qu'«il ne lui est plus possible» de travailler avec son homologue du palais Bourbon, Claude Bartolone (PS).

    Bartolone pour «la fin du bicamérisme»

    Alors que les deux hommes avaient rendez-vous dans la matinée pour «travailler ensemble sur la mission que nous a confiée François Hollande après les attentats sur l'engagement républicain et le sentiment d'appartenance à la nation», le chef de l'Assemblée a donné une interview à BFM TV dans laquelle il remet en cause l'existence du Sénat. De quoi grandement agacer le chef du palais du Luxembourg.

    Claude Bartolone a en effet déclaré être «pour la fin du bicamérisme sous cette forme» et favorable à un «rapprochement du Conseil économique, social et environnemental (Cese) et du Sénat pour avoir un Bundersrat à l'allemande qui s'intéresserait beaucoup plus au long terme». Et l'actuel président de la chambre haute de lui répondre: «Constatant le profond désaccord de conception institutionnelle entre le président de l'Assemblée nationale et moi-même, je lui ai fait savoir que le travail en commun sur cette mission n'était plus en conscience possible. (...) Je lui ai fait savoir que je répondrai à la demande du président de la République directement.»

    Bartolone «a déclaré la guerre au Sénat»

    Dans l'après-midi, le chef de file des sénateurs UMP, Bruno Retailleau, a lui accusé Claude Bartolone (PS) de «rompre violemment l'union nationale» en «déclarant la guerre» au Sénat, dont le seul tort est «de ne pas être de gauche». Et d'ironiser dans un communiqué : «Monsieur Bartolone ne supporterait-il pas la qualité du travail de la Haute assemblée? (...) Il oublie un peu vite ses déclarations: en avril dernier, il avait déclaré, alors que le Sénat était à gauche, que "le Sénat pouvait changer" et qu'il "n'était pas une anomalie". (...) Comme d'habitude lorsque la gauche perd les élections, elle propose de changer les règles du jeu. La gauche a perdu le Sénat, il faut donc le supprimer!», s'est-il encore indigné.

    De son côté, le chef de file des députés UMP, Christian Jacob, a précisé qu'il se désolidarisait totalement du président de la chambre basse : «Je ne me reconnais pas du tout dans les propositions de Claude Bartolone sur le Sénat. (...) Les deux chambres ont leur légitimité, et je comprends la réaction de Gérard Larcher». Selon lui, «s'il y a un affaiblissement du Sénat, c'est à cause de décisions prises par la gauche: l'extension de la proportionnelle à un nombre croissant de départements pour élire les sénateurs - ce qui les coupe des territoires - et l'aberration d'interdire le cumul des mandats.»

    Et Christian Jacob de conclure: «L'union nationale, ce n'est pas que tout le monde se range derrière le Parti socialiste!»

    Le chef de file des députés socialistes, Bruno Le Roux, a enfin essayé de calmer le jeu. Il a appelé «le Sénat et son président à revenir sur leur décision»: «Le sursaut national du 11 janvier appelle au dépassement des intérêts de chapelle pour se consacrer exclusivement à ce qui forme notre bien commun», a-t-il demandé.

    Le Parisien

  • Présidentielle 2017 : Le Pen largement en tête au premier tour, selon un dernier sondage

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     29 Janv. 2015, 13h28 | MAJ : 29 Janv. 2015, 13h45

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    Marine Le Pen, avec 29 à 31%, sortirait nettement en tête si le premier tour de la présidentielle avait lieu dimanche, selon un sondage Ifop pour Marianne* publié jeudi. Nicolas Sarkozy, Manuel Valls, ou Alain Juppé seraient chacun autour de 23%, et François Hollande à 21%.

     

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    Ce sondage envisage divers scénarios de confrontations possibles. Au second tour, la présidente du Front national serait nettement battue, avec 45% des voix dans le meilleur cas de figure pour elle.

    Au premier tour, François Bayrou obtiendrait de 7 à 9%, Jean-Luc Mélenchon 8%, Cécile Duflot et Nicolas Dupont-Aignan entre 3 et 4% et l'extrême gauche de 2 à 3%. Que le candidat de l'UMP soit Nicolas Sarkozy ou Alain Juppé, le président sortant, François Hollande, recueillerait 21% des voix, confirmant sa remontée dans les enquêtes d'opinion. Ce qui représente un gain de sept à huit points par rapport à la dernière enquête de fin octobre 2014 où il était entre 13 et 15%.

    Sarkozy en recul de deux points

    Que l'un ou l'autre soit le candidat de l'UMP, le Premier ministre Valls ferait mieux que François Hollande au premier tour, avec 23% (contre 17% dans l'enquête de juillet 2014 qui le testait face à Nicolas Sarkozy et d'autres candidats dont Mme Le Pen).

    Nicolas Sarkozy (23%) est en recul de deux points, que ce soit face à François Hollande (en comparant à l'enquête de fin octobre) qu'il devancerait de deux points ou face à Manuel Valls (par rapport à l'enquête de juillet), avec lequel il ferait jeu égal.

    Recul encore plus accentué pour Alain Juppé face à François Hollande, puisqu'il ne totaliserait plus que 23% contre 28% fin octobre, le président sortant recueillant 21%. Si le candidat socialiste était Manuel Valls, le maire de Bordeaux obtiendrait 22% (l'évolution du rapport de forces électoral entre les deux hommes ne peut être mesurée car ils n'ont pas figuré ensemble dans les sondages précédents).

    Le score de Le Pen évolue peu selon l'identité de ses rivaux

    Très élevé, le score de Mme Le Pen évolue peu selon l'identité de ses rivaux, mais elle ferait mieux face à Alain Juppé que face à Nicolas Sarkozy: 29% en cas de confrontation avec François Hollande et Nicolas Sarkozy, 30% face à Manuel Valls et Nicolas Sarkozy, 31% face à Hollande/Juppé ou face à Valls/Juppé.

    Dans les duels de second tour face à Marine Le Pen, François Hollande l'emporterait (55% contre 45%), tandis que la victoire de Manuel Valls (61% contre 39%) ou de Nicolas Sarkozy (60% contre 40%) serait encore plus large. Alain Juppé n'est pas testé en duel face à la candidate FN.

    Sarkozy l'emporterait face à Hollande au second tour

    Si le second tour mettait aux prises François Hollande et Nicolas Sarkozy (hypothèse hautement improbable au vu des intentions de vote du premier tour), l'ancien président battrait nettement son successeur (57% contre 43%). Alain Juppé l'emporterait par vingt points d'écart (60% contre 40%).

    La marge d'erreur est évaluée par l'Ifop à 2,5 points pour un score de 20%, de 2,8 points pour un score de 30%.

    *Enquête réalisée en ligne du 21 au 23 janvier auprès d'un échantillon de 983 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d'un échantillon de 1051 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (méthode des quotas).

    Le Parisien

    NdB: Encore un petit effort et c'est bon !

  • VIDEO - Marion Maréchal-Le Pen au journaliste Gilles Leclerc: "On va vous avoir, ça va vous faire mal !"

  • Le mariage d’un couple homo franco-marocain validé

    18h56

    La Cour de cassation a validé mercredi le mariage d’un couple homosexuel franco-marocain, estimant que la liberté fondamentale de se marier l’emportait bien sur une convention bilatérale passée entre la France et le Maroc.

    Ce mariage avait été validé par deux fois en octobre 2013, par le tribunal de grande instance puis par la Cour d’appel de Chambéry, mais le parquet général avait formé un pourvoi en cassation.

    Source

    Merci à Lilib