Artiste inconnu - Fin du XVème siècle
Cathédrale de St-Cyr et Ste-Juliette à Nevers
http://medieval.mrugala.net/Architecture/France,_Nievre,_Nevers,_Cathedrale_St-Cyr_et_Ste-Julitte/
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Artiste inconnu - Fin du XVème siècle
Cathédrale de St-Cyr et Ste-Juliette à Nevers
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03/04/2015 – PARIS (NOVOpress)
Georges Tron sera bien jugé aux assises pour viol et agression sexuelle sur deux anciennes adjointes de sa mairie de Draveil (Essonne), la Cour de cassation ayant rejeté vendredi son pourvoi.
Selon maître Spinosi, l’avocat des deux plaignantes, les actes de viols et d’agressions sexuelles ne se limitent pas aux deux victimes ayant déposé cette plainte, mais aussi à beaucoup d’autres personnes.
La cour de cassation n’a pas pris pour argent comptant la stratégie de Georges Tron qui consiste à faire passer les deux membres de la partie civile pour des affabulatrices. Ce seront les jurés de la cour d’assises qui trancheront.
Crédit photo : UMP via Flickr (cc)
C’est un fait divers sordide qui secoue l’Italie. Un Marocain d’une trentaine d’années, qui travaillait dans une écurie de Messine, en Sicile, est jugé pour avoir agressé sexuellement une jument enceinte placée sous sa responsabilité, laquelle est ensuite décédée.En particulier, il l’a abusée sexuellement avec des instruments inappropriés, entraînant l’agonie de l’animal, une fausse couche et, pour finir, la mort. »
Merci à cerisecerise69
Ce film estonien raconte la déportation brutale le 14 juin 1941 par l’occupant soviétique de familles entières, adultes, enfants, vieillards, déclarées ennemis du peuple.
Le récit s’inspire des lettres d’Erna ( L. Peterson ) à son mari Heldur ( M.Pregeel ). En effet, ce couple et leur petite fille Eliide ( I. Isotaam ) ont subi ce sort terrible. Heldur sera séparé de sa femme, qui se retrouvera dans un Kolkhoze sibérien avec sa fille comme de nombreuses femmes du convoi. Lui et les hommes seront envoyés dans un camp plus au nord où ils seront exécutés.
Ignorant le sort de son mari, Erna lui écrira pendant quinze ans pour lui narrer sa vie de travailleuse forcée.
Ce film, en noir et blanc, a été réalisé par Martti Helde. Très original, c’est en fait une œuvre d’art qui doit beaucoup aux directeurs de la photo, Erik Pölluman et Janne Laine . Il se rapproche d’un livre illustré par des tableaux successifs en plan quasi fixe. Chacun décrit un épisode d’une lettre d’Erna. La musique du compositeur Pärt Uusberg se marie parfaitement au récit de cette tragédie. La plupart des déportés ne reviendront pas au pays, assassinés ou victimes des conditions de vie.
Un film à voir pour tous ceux qui aiment découvrir une autre façon de filmer et s’intéressent à l’histoire européenne.
Il est actuellement programmé par les cinémas Katorza de Nantes et Manivel de Redon.
Louis Cruau.
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
S’ils étaient très copains l’été dernier, la concorde ne régnait plus ce jeudi, dans le box du tribunal correctionnel de Draguignan, entre Ahmed Bouchta, Hidir Selmouni, Azziouez Achaibou et Kévin Cottino, âgés de 20 à 24 ans.
Il leur était reproché à tous quatre un vol avec violence et en réunion à Saint-Raphaël, suivi d’une escroquerie aux Adrets-de-l’Esterel, le 23 août 2014, au préjudice d’un touriste sexagénaire de nationalité norvégienne.
Trois d’entre eux étaient en récidive et tous contestaient les faits, rejetant la responsabilité sur l’un ou l’autre.
Les trois premiers ont été condamnés à trois ans de prison ferme, avec maintien en détention.
Le dernier, compte tenu d’une maladie dégénérative invalidante, a été condamné à deux ans ferme, sans mandat de dépôt.
Demeurant tous à Nice, les quatre jeunes rentraient ce jour-là, à 6 h 30, d’une nuit de fête entre Marseille et le golfe de Saint-Tropez. Passant à Sainte-Maxime, Ahmed Bouchta a arrêté la voiture pour prendre en stop M. Askim Per Gudmund.
Ce vacancier avait raté le bus qui devait l’emmener à Saint-Raphaël, d’où il devait prendre un train pour rejoindre l’aéroport de Nice, afin de monter dans un vol pour Oslo.
Le touriste norvégien avait proposé de participer aux frais de route à hauteur de 20 €. Mais parvenus à une station-service des Issambres, les quatre jeunes ont décidé qu’il devrait payer le plein d’essence. Sa carte bancaire n’a pas fonctionné à la pompe, mais ses compagnons de route en avaient profité pour noter son numéro de code confidentiel.
Askim Per Gudmund n’a pas été déposé à la gare de Saint-Raphaël, mais a été sorti de la voiture, qui s’est arrêtée dans une ruelle discrète non loin de la voie ferrée.
Selon une dame qui a assisté à la scène, sous la menace d’un couteau, et après avoir été frappé violemment d’un coup de pied à la tête, il a été dépouillé de ses papiers, sa montre, sa carte bancaire et même sa valise. [...]
« C’est Bouchta qui conduisait, c’est lui qui a frappé. Nous, on n’a rien vu, on dormait », ont indiqué en chœur les trois autres.
« La vérité c’est qu’ils voulaient prendre son code, a rétorqué le conducteur.J’étais pas d’accord, mais ils étaient trois contre moi, j’ai suivi. C’est bien Hidir Selmouni(reconnu par le témoin) qui a frappé le touriste. J’étais choqué de ce qui s’était passé. »
Le procureur Alexandra Guérin a conclu de ces divergences que tous essayaient de minimiser leur rôle.
« La victime, une personne assez âgée, était seule contre quatre. Ils ont continué à frapper ce touriste alors qu’il avait perdu connaissance. » [...]
03/04/2015 – ÉTATS-UNIS (NOVOpress)
Alors qu’ils doivent faire face à des difficultés d’approvisionnement en barbituriques pour injection létale, certains États prônent le retour aux pelotons d’exécution. C’est notamment le cas dans l’Utah qui avait, un temps, abandonné cette méthode pour les condamnations postérieures à 2004. Ronnie Lee Gardner était d’ailleurs le dernier condamné à mort de l’Utah à être passé devant un peloton d’exécution, en 2010.
D’après un sondage NBC, seulement 12% des Américains jugent l’idée acceptable. Mais les partisans de cette méthode en vantent la rapidité et l’efficacité.
Dans un reportage diffusé sur France 2, Bruce Burns, le sénateur du Wyoming, se confie sur le peloton d’exécution :
Les Américains sont très attachés à la peine de mort et prêts à l’appliquer par n’importe quel moyen.
03 Avril 2015, 21h04 | MAJ : 03 Avril 2015, 21h52
Une affaire de famille, encore et toujours. Après sa fille, jeudi, au tour de sa petite-fille, de désavouer Jean-Marie Le Pen. Marion Maréchal-Le Pen, qui refusait jusqu'à présent d'entrer en conflit avec celui qui l'a poussée et soutenue, a fini par se désolidariser du patriarche.
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«Je ne voudrais pas que l’on me prête dans mon silence une position qui n’est pas la mienne», déclare la jeune députée frontiste du Vaucluse à «Valeurs actuelles», plus de 24 heures après le tollé (et l'enquête) déclenchés par les déclarations de son grand-père.
La veille, au micro de BFM TV, Jean-Marie Le Pen a dit «maintenir» que les chambres à gaz des nazis étaient un «détail de l'Histoire». Ces propos, maintes fois répétés depuis 1987, et qui ont déjà valu plusieurs condamnations au président d'honneur du FN, ont entraîné l'ouverture d'une enquête préliminaire pour contestation de crime contre l'humanité et une avalanche de réactions indignées. Même sa fille, présidente du FN, Marine Le Pen a fait part de son «profond désaccord sur le fond et sur la forme».
Sa candidature aux régionales remise en question
Ce vendredi, en fin de journée, au tour de la petite-fille, donc. «Je regrette que le verbe de Jean-Marie Le Pen, qui servit si longtemps à clamer des vérités face au silence abdicateur et aux erreurs historiques de ses adversaires, soit devenu un moyen de provocation inutile», déplore Marion Maréchal-Le Pen auprès de «Valeurs actuelles». Et d'asséner : «Je suis en désaccord sur le fond et je ne peux soutenir de tels propos car même le plus fier et le plus sage des hommes politiques tire bien peu de gloire à s’installer dans sa vérité et à l’asséner comme une certitude sans tenir compte des conséquences.»
Reste cette question : cette énième provocation remet-elle en question la candidature de Jean-Marie Le Pen aux régionales de décembre 2015, en PACA ? Le président d'honneur du FN s'était déclaré en plein... hommage aux victimes des attentats terroristes de début janvier, mais beaucoup, au sein du parti lepéniste, auraient préféré que la campagne soit menée par Marion Maréchal-Le Pen dans le Sud-Est.
La principale intéressée ne ferme pas la porte, tout en se montrant d'une prudence extrême. «Je ne veux pas donner le sentiment de profiter de la situation pour me jeter sur la place. C'est lui et la commission d'investiture qui ont les cartes en main», dit-elle. D'autres ne prennent pas ces précautions. Plusieurs cadres du parti ont publiquement estimé, ce vendredi, que les propos réitérés de Jean-Marie Le Pen pourraient «nuire à une candidature aux régionales».
Le Parisien
Velasquez
Une magnifique vidéo envoyée par Dirk: merci à lui!
A regarder en mode plein écran
La grosse colère de Manuel Valls contre la... par LCP
Il cherche en fait à couvrir l'incompétence et le laxisme de Belkacem et de Taubira! Mais les faits n'en demeurent pas moins.
NDF
jeudi 02 avril 2015
La Cour suprême d’Israël a tranché, après une procédure qui aura duré plus de neuf ans, en faveur des chrétiens de la vallée de Crémisan, près de Bethléem. Elle a donné raison aux habitants de Beit Jala qui avaient fait appel contre le tracé du mur, et aux salésiens qui les avaient rejoints. Pour construire le fameux mur de séparation, et la route qui lui est adjointe, de nombreuses parcelles allaient être confisquées, et en outre le mur allait empêcher les habitants de Beit Jala d’aller sur leurs terres restantes, et allait séparer les deux couvents (salésiens et salésiennes). En bref c’était la mort de la vallée de Crémisan, le poumon vert de Bethléem.
La commission de la Cour suprême, présidée par l’ancien président de la Haute Cour, établit que le tracé prévu n’est pas le seul possible, contrairement à ce que prétendait le ministère de la Défense, et elle enjoint au gouvernement de faire un autre tracé qui soit moins dommageable pour les populations et les couvents… par exemple celui qui est proposé par les plaignants…
(La photo ci-dessus, celle d’une procession sur le site menacé, est l’illustration de l’article de Palestine News Network. Le curé de Beit Jala célébrait une messe dans la vallée tous les dimanches, et les salésiennes disaient le chapelet tous les vendredis à l’endroit où le mur devait être construit. J’ai déjà évoqué cette affaire : 1, 2, 3.)
Le blog d'Yves Daoudal
Posté le 2 avril 2015 à 12h39 | Lien permanent
La censure vient de toucher une nouvelle fois Bernard Lugan, qui a le tort de dire la vérité sur l'Afrique, ce qui ne plaît pas à tout le monde. Invité par Michel Field sur LCI et par TV5 Monde pour présenter son nouveau livre "Osons dire la vérité à l'Afrique", il a été déprogrammé par les deux chaînes :
"L'actualité ne peut être invoquée car, à la fois le message laissé sur mon portable par LCI et le mail envoyé par TV5 Monde, précisent que ces deux entretiens ne sont pas reportés mais purement et simplement annulés. Il s'agit donc clairement d'une nouvelle censure."
Comment riposter à cette censure ?
1) En visitant mon blog: www.bernard-lugan.com afin de prendre connaissance de mes analyses africaines.
2) En vous abonnant à la revue mensuelle par PDF L’Afrique Réelle. Tous renseignements sur www.bernard-lugan.com.
3) En achetant en librairie le livre Osons dire la vérité à l'Afrique (Le Rocher, mars 2015). Ce livre peut également être commandé à l'Afrique Réelle BP 45, 42360 Panissières contre un chèque de 28 euros port compris établi à l'ordre de Bernard Lugan. Par mesure de sécurité, tous les envois sont faits en colissimo. Veuillez préciser si vous souhaitez une dédicace."
Le Salon Beige
Julien Constant | 02 Avril 2015, 16h44 | MAJ : 02 Avril 2015, 17h41
Effroyable découverte, mercredi soir, à Louveciennes. Un enfant de 11 ans a été retrouvé pendu à l’escalier de sa chambre dans la maison familiale.
Il est environ 19 heures lorsque la maman rentre à son domicile. Le frère aîné cherche son cadet, qui n’a pas assisté à son cours de musique.
Il se rend dans sa chambre et découvre son petit frère pendu. « Il avait attaché un lien sur la rambarde de l’escalier avant de se laisser tomber dans le vide », précise une source proche de l’affaire.
L’adolescent appelle à l’aide sa maman, qui décroche aussitôt son fils. Mais l’enfant ne respire déjà plus. Elle prévient les secours. L’équipe médicale arrive rapidement, tente de ranimer l’enfant. Sans succès : le garçon est déclaré décédé à 20 h 15.
Aucune lettre d’explication n’a été retrouvée par les enquêteurs. « Mais le petit avait raconté un peu son mal être sur son cahier de texte, rapporte une autre source. Il y avait simplement écrit ces quelques mots : « ma vie pourritte ». Il semble qu’il était entré en conflit avec d’autres adolescents au collège. Mais il s’agissait de disputes très ordinaires. Contrairement à ce qu’on a pu observer dans d’autres affaires similaires, aucune conversation ou phénomène de harcèlement n’a été relevé sur un réseau social ».
Les parents de la victime, une famille de 3 enfants, décrite comme « ordinaire » ont été entendus ce jeudi, ainsi que le professeur principal du collégien, pour tenter de trouver une piste. « C’est un drame tout à fait imprévisible », glisse un proche de l’enquête.
Dans les Yvelines, on en dénombre un ou deux suicides d’enfants et de jeunes adolescents par an. « A cet âge, ce sont souvent des garçons qui se tuent par pendaison, souligne un spécialiste. Et même après l’enquête, il est très difficile de se prononcer sur le degré de conscience de la mort qu’il avait au moment de passer à l’acte ».
Selon le psychiatre Boris Cyrulnik, qui a réalisé un rapport sur le sujet en 2012, « 40 % des enfants pensent à la mort quand ils sont anxieux ou malheureux ».
Le corps du collégien a été conduit à l’unité médico-légale de Garches (Hauts-de-Seine) où il va être autopsié.
Le Parisien