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  • La Pièta

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    Artiste inconnu - Fin du XVème siècle

    Cathédrale de St-Cyr et Ste-Juliette à Nevers

    http://medieval.mrugala.net/Architecture/France,_Nievre,_Nevers,_Cathedrale_St-Cyr_et_Ste-Julitte/

     

  • VIDEO - Jacques Attali: "La France est dans une situation pré-révolutionnaire"

    http://www.bvoltaire.fr/videos/jacques-attali-la-france-est-en-situation-pre-revolutionnaire,168711?mc_cid=92cd22e908&mc_eid=0b0d8f3739

  • Le maire UMP d'Etampes se lance dans l'islamisation massive

    http://fr.novopress.info/179091/maire-ump-detampes-franck-marlin-se-lance-lislamisation-massive/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

  • Georges Tron sera bien jugé aux assises pour viol

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    03/04/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Georges Tron sera bien jugé aux assises pour viol et agression sexuelle sur deux anciennes adjointes de sa mairie de Draveil (Essonne), la Cour de cassation ayant rejeté vendredi son pourvoi.

    Selon maître Spinosi, l’avocat des deux plaignantes, les actes de viols et d’agressions sexuelles ne se limitent pas aux deux victimes ayant déposé cette plainte, mais aussi à beaucoup d’autres personnes.

    La cour de cassation n’a pas pris pour argent comptant la stratégie de Georges Tron qui consiste à faire passer les deux membres de la partie civile pour des affabulatrices. Ce seront les jurés de la cour d’assises qui trancheront.

    Crédit photo : UMP via Flickr (cc)

  • Le crime zoophile qui indigne l’Italie

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    15h52

    C’est un fait divers sordide qui secoue l’Italie. Un Marocain d’une trentaine d’années, qui travaillait dans une écurie de Messine, en Sicile, est jugé pour avoir agressé sexuellement une jument enceinte placée sous sa responsabilité, laquelle est ensuite décédée.En particulier, il l’a abusée sexuellement avec des instruments inappropriés, entraînant l’agonie de l’animal, une fausse couche et, pour finir, la mort. »

    Source

    Merci à cerisecerise69

  • Nantes. « Crosswind » , récit des déportations des Baltes par les Soviétiques

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     25/03/2015 – 14h00 Nantes (Breizh-info.com) ‑ Les spectateurs français ont rarement la chance de voir un film estonien, d’autant plus s’il traite du totalitarisme soviétique et du martyrologue des populations soumises à son pouvoir.  « Crosswind » , actuellement à l’affiche, répare cette situation.

    Ce film estonien raconte la déportation brutale le 14 juin 1941 par l’occupant soviétique de familles entières, adultes, enfants, vieillards, déclarées ennemis du peuple.

    Le récit s’inspire  des lettres d’Erna ( L. Peterson ) à son mari Heldur ( M.Pregeel ). En effet, ce couple et leur petite fille Eliide ( I. Isotaam ) ont subi ce sort terrible. Heldur sera  séparé  de sa femme, qui se retrouvera dans un Kolkhoze sibérien avec sa fille comme de nombreuses femmes du convoi. Lui et les hommes seront envoyés dans un camp plus au nord où ils seront exécutés.

    Ignorant le sort de son mari, Erna lui écrira pendant quinze ans pour lui narrer sa vie de travailleuse forcée.

    Ce film, en noir et blanc, a été réalisé par Martti Helde. Très original, c’est en fait une œuvre d’art qui doit beaucoup aux directeurs de la photo, Erik Pölluman et Janne Laine . Il se rapproche d’un livre illustré par des tableaux successifs en plan quasi fixe. Chacun décrit un épisode d’une lettre d’Erna. La musique du compositeur Pärt Uusberg se marie parfaitement au récit de cette tragédie. La plupart des déportés ne reviendront pas au pays, assassinés ou victimes des conditions de vie.

    Un film à voir pour tous ceux qui aiment découvrir une autre façon de filmer et s’intéressent à l’histoire européenne.

    Il est actuellement programmé par les cinémas Katorza  de Nantes et Manivel de Redon.

    Louis Cruau.

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

  • Saint-Raphaël (83) : un touriste sexagénaire tabassé et dépouillé par Ahmed, Hidir, Azziouezz et Kevin

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    17h52

     

    S’ils étaient très copains l’été dernier, la concorde ne régnait plus ce jeudi, dans le box du tribunal correctionnel de Draguignan, entre Ahmed Bouchta, Hidir Selmouni, Azziouez Achaibou et Kévin Cottino, âgés de 20 à 24 ans.

    Il leur était reproché à tous quatre un vol avec violence et en réunion à Saint-Raphaël, suivi d’une escroquerie aux Adrets-de-l’Esterel, le 23 août 2014, au préjudice d’un touriste sexagénaire de nationalité norvégienne.

    Trois d’entre eux étaient en récidive et tous contestaient les faits, rejetant la responsabilité sur l’un ou l’autre.

    Les trois premiers ont été condamnés à trois ans de prison ferme, avec maintien en détention.

    Le dernier, compte tenu d’une maladie dégénérative invalidante, a été condamné à deux ans ferme, sans mandat de dépôt.

    Demeurant tous à Nice, les quatre jeunes rentraient ce jour-là, à 6 h 30, d’une nuit de fête entre Marseille et le golfe de Saint-Tropez. Passant à Sainte-Maxime, Ahmed Bouchta a arrêté la voiture pour prendre en stop M. Askim Per Gudmund.

    Ce vacancier avait raté le bus qui devait l’emmener à Saint-Raphaël, d’où il devait prendre un train pour rejoindre l’aéroport de Nice, afin de monter dans un vol pour Oslo.

    Le touriste norvégien avait proposé de participer aux frais de route à hauteur de 20 €. Mais parvenus à une station-service des Issambres, les quatre jeunes ont décidé qu’il devrait payer le plein d’essence. Sa carte bancaire n’a pas fonctionné à la pompe, mais ses compagnons de route en avaient profité pour noter son numéro de code confidentiel.

    Askim Per Gudmund n’a pas été déposé à la gare de Saint-Raphaël, mais a été sorti de la voiture, qui s’est arrêtée dans une ruelle discrète non loin de la voie ferrée.

    Selon une dame qui a assisté à la scène, sous la menace d’un couteau, et après avoir été frappé violemment d’un coup de pied à la tête, il a été dépouillé de ses papiers, sa montre, sa carte bancaire et même sa valise. [...]

    « C’est Bouchta qui conduisait, c’est lui qui a frappé. Nous, on n’a rien vu, on dormait », ont indiqué en chœur les trois autres.

    « La vérité c’est qu’ils voulaient prendre son code, a rétorqué le conducteur.J’étais pas d’accord, mais ils étaient trois contre moi, j’ai suivi. C’est bien Hidir Selmouni(reconnu par le témoin) qui a frappé le touriste. J’étais choqué de ce qui s’était passé. »

    Le procureur Alexandra Guérin a conclu de ces divergences que tous essayaient de minimiser leur rôle.

    « La victime, une personne assez âgée, était seule contre quatre. Ils ont continué à frapper ce touriste alors qu’il avait perdu connaissance. » [...]

     

  • États-Unis : vers le retour des pelotons d’exécution

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    03/04/2015 – ÉTATS-UNIS (NOVOpress)
    Alors qu’ils doivent faire face à des difficultés d’approvisionnement en barbituriques pour injection létale, certains États prônent le retour aux pelotons d’exécution. C’est notamment le cas dans l’Utah qui avait, un temps, abandonné cette méthode pour les condamnations postérieures à 2004. Ronnie Lee Gardner était d’ailleurs le dernier condamné à mort de l’Utah à être passé devant un peloton d’exécution, en 2010.

    D’après un sondage NBC, seulement 12% des Américains jugent l’idée acceptable. Mais les partisans de cette méthode en vantent la rapidité et l’efficacité.

    Dans un reportage diffusé sur France 2, Bruce Burns, le sénateur du Wyoming, se confie sur le peloton d’exécution :

    Les Américains sont très attachés à la peine de mort et prêts à l’appliquer par n’importe quel moyen.

  • «Détail de l'Histoire» : Marion Maréchal-Le Pen désavoue son grand-père

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    Après sa fille Marine, jeudi, c'est au tour de sa petite-fille, Marion Maréchal-Le Pen, de désavouer Jean-Marie Le Pen après ses nouveaux propos sur le «détail». La candidature de Jean-Marie Le Pen aux régionales de décembre 2015, en PACA est sur la sellette. 

    03 Avril 2015, 21h04 | MAJ : 03 Avril 2015, 21h52

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                                                         ILLUSTRATION. La députée FN du Vaucluse, Marion Maréchal-Le Pen, a condamné ce vendredi les propos de Jean-Marie Le Pen sur les chambres à gaz, «détail de l'histoire». LP/Matthieu de Martignac

    Une affaire de famille, encore et toujours. Après sa fille, jeudi, au tour de sa petite-fille, de désavouer Jean-Marie Le Pen. Marion Maréchal-Le Pen, qui refusait jusqu'à présent d'entrer en conflit avec celui qui l'a poussée et soutenue, a fini par se désolidariser du patriarche.

     
     

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    «Je ne voudrais pas que l’on me prête dans mon silence une position qui n’est pas la mienne», déclare la jeune députée frontiste du Vaucluse à «Valeurs actuelles», plus de 24 heures après le tollé (et l'enquête) déclenchés par les déclarations de son grand-père.

    La veille, au micro de BFM TV, Jean-Marie Le Pen a dit «maintenir» que les chambres à gaz des nazis étaient un «détail de l'Histoire». Ces propos, maintes fois répétés depuis 1987, et qui ont déjà valu plusieurs condamnations au président d'honneur du FN, ont entraîné l'ouverture d'une enquête préliminaire pour contestation de crime contre l'humanité et une avalanche de réactions indignées. Même sa fille, présidente du FN, Marine Le Pen a fait part de son «profond désaccord sur le fond et sur la forme».

    Sa candidature aux régionales remise en question

    Ce vendredi, en fin de journée, au tour de la petite-fille, donc. «Je regrette que le verbe de Jean-Marie Le Pen, qui servit si longtemps à clamer des vérités face au silence abdicateur et aux erreurs historiques de ses adversaires, soit devenu un moyen de provocation inutile», déplore Marion Maréchal-Le Pen auprès de «Valeurs actuelles». Et d'asséner : «Je suis en désaccord sur le fond et je ne peux soutenir de tels propos car même le plus fier et le plus sage des hommes politiques tire bien peu de gloire à s’installer dans sa vérité et à l’asséner comme une certitude sans tenir compte des conséquences.»

    Reste cette question : cette énième provocation remet-elle en question la candidature de Jean-Marie Le Pen aux régionales de décembre 2015, en PACA ? Le président d'honneur du FN s'était déclaré en plein... hommage aux victimes des attentats terroristes de début janvier, mais beaucoup, au sein du parti lepéniste, auraient préféré que la campagne soit menée par Marion Maréchal-Le Pen dans le Sud-Est.

    La principale intéressée ne ferme pas la porte, tout en se montrant d'une prudence extrême. «Je ne veux pas donner le sentiment de profiter de la situation pour me jeter sur la place. C'est lui et la commission d'investiture qui ont les cartes en main», dit-elle. D'autres ne prennent pas ces précautions. Plusieurs cadres du parti ont publiquement estimé, ce vendredi, que les propos réitérés de Jean-Marie Le Pen pourraient «nuire à une candidature aux régionales».

    Le Parisien

  • « Déclaration de Jean-Marie Le Pen du 18 septembre 1987 retranscrite dans le Quotidien de Paris ».


    3.4.15

     

     
     
     
    C’est très solennellement, très gravement, très franchement, que je viens aujourd'hui m'adresser non pas à la meute politique et médiatique lancée depuis longtemps à mes trousses, et qui, enfin, croit maintenant pouvoir me déchirer, ce n'est pas à elle, mais à la France et à son peuple français.
     
    De ce peuple, en effet, seul le jugement m'importe parce que c'est pour lui que je lutte, parce que ce n'est pas pour moi, mais pour lui seul et son avenir que je mène mon combat.
     
    Aussi bien, ne vous y trompez pas : le déchaînement prodigieux, le tohu-bohu insensé auquel, Françaises et Français, vous assistez avec, je suppose, une certaine stupéfaction parce que, dans votre immense majorité, vous n'en comprenez pas les vraies raisons. Les hurlements et anathèmes dont je suis l'objet, la malédiction dernière et mortelle dont on veut me frapper, en me marquant au fer du racisme et de l'antisémitisme, tout cela vise un but extrêmement précis qui consiste à m'empêcher d'exprimer l'angoisse de millions de Français devant l'état de la France, de les inviter au sursaut et d'être le porteur de leurs espérances et, en outre, d'empêcher l'union nécessaire qu'elle soit complète ou partielle, entre toutes les forces qui peuvent et doivent faire barrage au socialisme.
    Alors, comme pour atteindre ce but et frapper le Front national et moi-même, il existe une arme absolue : c'est, vous le savez, l'accusation de racisme et d'antisémitisme. On l’a dégainée en prenant prétexte de propos radiophoniques que j'ai tenus et en me transformant en grand Satan de la politique française.
     
    J’accuse le lobby pro-immigré, véritable syndicat anti-Le Pen, d'avoir organisé et conduit contre moi ce procès en sorcellerie. Le caractère orchestré de cette offensive destinée à dénigrer le candidat national à la présidence de la République et donc à favoriser l'élection du candidat socialiste, est rendu évident par le fait qu'elle n'eut lieu que trente-six heures après l’émission et qu'elle s'est déroulée selon un scénario connu avec le vocabulaire surréaliste commun à ses figurants habituels ; professionnels des droits de l'homme, ligueurs de l’antiracisme, pétitionnaires de gauche, ministricules en mal de renommée auxquels sont venus se mêler quelques personnages de haute volée que, pourtant, leur fonction ou leur état devrait incliner à la modération, la pudeur, la charité et même l'abstention pure et simple.
     
    Dans ce concert de mensonges énormes, de jugements téméraires et d'injonctions vengeresses, le ton a été donné par le candidat communiste à la Fête de l'Humanité : « Démasquons Le Pen, cet homme est dangereux. »
     
    Au signal, l'appareil de la gauche s'est mis en branle, entraînant dans son sillage un certain nombre de gogos de la majorité. Ce n'est pas la première fois que de telles campagnes ont été orchestrées contre moi et le Front national. Parmi d'autres, ce fut le cas lors de l'attentat criminel de la rue Copernic où l'« extrême droite » fut désignée par la classe politico-médiatique à la vindicte publique. Un an plus tard, on annonçait, discrètement, que les tueurs étaient palestiniens : des innocents avaient été lynchés, vitriolés, battus, insultés. Le jugement téméraire avait débouché sur l'injustice.
     
    Cette fois, il a suffi d'un mot interprété abusivement pour que la calomnie éclate en vacarme infernal et donne le signal de la proscription.
     
    Scandaleux, révoltant, ignoble, inacceptable, détestable, monstrueux, malfaisant, abject, venimeux, terrifiant : tels sont les qualificatifs qui m'ont été décernés par des journalistes ou des politiciens qui prêchent la modération... aux autres...
     
    Qu'ai-je donc dit à RTL qui puisse justifier cette véritable chasse à l'homme ? Olivier Mazerolle m'avait posé la question : « Considérez-vous qu'il y a eu un génocide juif dans les chambres à gaz ? » J'ai répondu : « II y a eu beaucoup de morts, des centaines de milliers, peut-être des millions de morts juifs et aussi non-juifs. »
     
    Cette réponse était claire et, pour des gens de bonne foi, ne laissait planer aucun doute sur ce que je pense du martyre du peuple juif d'Europe par les nazis et sur la condamnation que je porte sur ce crime. Négligeant cela, mes ennemis, et avec quelle fureur, m'ont fait grief d'avoir dit que les chambres à gaz étaient un « détail dans l'histoire de la Seconde Guerre mondiale », feignant de croire que ce mot était employé dans une acception péjorative.
     
    Il s'agit là d'un procédé habituel du terrorisme intellectuel qui a cours chez nous.
    Dans mon esprit, et d'ailleurs dans les dictionnaires, « détail » signifie « partie d'un tout ».
    Or, la Seconde Guerre mondiale dura six ans, elle mit aux prises des centaines de millions d'hommes et fit plus de 50 millions de morts dont 35 millions d'Européens, laissant depuis la moitié de l'Europe sous la botte soviétique.
     
    Chacun de ces éléments, si meurtrier, si atroce, qu'il ait été, fut un élément de cette immense tragédie humaine.
     
    Les camps de concentration où moururent par millions juifs, tziganes, chrétiens et patriotes de toute l'Europe et les méthodes employées pour mettre à mort les détenus : pendaisons, fusillades, piqûres, chambres à gaz, traitements inhumains, privations, constituèrent un chapitre, une partie, un détail de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, comme en témoignent d'ailleurs tous les ouvrages généraux qui y furent consacrés.
     
    Ai-je dit autre chose et honnêtement, oui honnêtement, cela justifie-t-il le procès de sorcier que l’on me fait dans la presse écrite, parlée, télévisée ? Et qui aura la loyauté et le courage de reconnaître s'être ou avoir été trompé ou avoir trompé les autres ?
     
    Notre siècle a été celui des pires totalitarismes et des plus affreux génocides raciaux, sociaux ou religieux.
     
    Deux idéologies totalitaires et antireligieuses : le communisme et le national-socialisme, d'ailleurs alliés au début de la Seconde Guerre mondiale, ont créé l’abominable système des camps de concentration.
     
    L'un d'eux a disparu depuis quarante-deux ans, l'autre, le communisme, continue depuis soixante-dix ans à faire régner sur le monde la misère, l'oppression, la terreur et la mort.
     
    Sait-on qu'en Russie soviétique, comme l'avoua Khrouchtchev au XXe congrès, de Lénine à Staline, 50 millions d'Ukrainiens, de Russes, de Baltes moururent victimes de la barbarie communiste ? Que Xien Tsao Ping reconnut que sous Mao, plus de 60 millions de Chinois furent liquidés ?
     
    Pense-t-on encore, tout près de nous, aux Vietnamiens catholiques ou bouddhistes assassinés par le Vietminh, noyés dans leur « boat peuple »; aux trois millions de Cambodgiens tués par le communiste Pol-Pot et aux deux millions d'Erythréens massacrés par le communiste Mengistu ? A l'heure où je parle, on massacre en Afghanistan et les goulags continuent de lancer au ciel leur cri muet et désespéré. Certes, les crimes des uns n'effacent pas ceux des autres, mais les crimes nazis appartiennent au passé alors que les crimes communistes appartiennent au présent et, hélas ! à l'avenir.
     
    J'ai perdu mon père « mort pour la France » pendant la guerre, je sais donc le prix du sang et des larmes, je compatis à la douleur de tous ceux qui ont vu disparaître des êtres chers dans la tourmente.
    Je voudrais dire aux juifs français, mes compatriotes qu'on a tenté d'effrayer par cette campagne mensongère, que je ne les confonds pas avec ceux qui prétendent parler en leur nom. La France a le même amour pour tous ses fils, quelles que soient leur race ou leur religion.
     
    Françaises, Français, Nul plus que moi n'est respectueux de notre passé, mais le passé ne doit pas occulter l'avenir.
     
    L'élection présidentielle ne portera pas sur l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, mais sur les voies et moyens d'une politique nationale et européenne, seule capable de nous arracher à la décadence et d'amorcer le redressement français et par lui la renaissance de la France et de l'Europe. Sûr de la confiance de millions de Français, chaque jour plus nombreux, j'affirme ma détermination à poursuivre l’action engagée pour rendre à notre peuple la parole et la maîtrise de son destin.
    A tous ceux qui, comme il y a deux ans, m'avaient enterré prématurément, je donne rendez-vous dimanche au Bourget et en mai 1988 à l'élection présidentielle.

    Assemblée nationale Paris, le vendredi 18 septembre 1987 Source : Quotidien de Paris du 19-20 septembre 1987, n°2435
  • Deux tweets de Jean-Marie Le Pen

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  • VENDREDI SAINT

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    Velasquez

  • Hymne à la Joie, la 9ème symphonie de Beethoven

    Une magnifique vidéo envoyée par Dirk: merci à lui!

    A regarder en mode plein écran

  • Affaires de pédophilie: une députée UMP interpelle le gouvernement, Valls pique un colère hystérique !


    La grosse colère de Manuel Valls contre la... par LCP

     Il cherche en fait à couvrir l'incompétence et le laxisme de Belkacem et de Taubira! Mais les faits n'en  demeurent pas moins.

  • Crémisan a gagné !

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    jeudi 02 avril 2015

     

       

    La Cour suprême d’Israël a tranché, après une procédure qui aura duré plus de neuf ans, en faveur des chrétiens de la vallée de Crémisan, près de Bethléem. Elle a donné raison aux habitants de Beit Jala qui avaient fait appel contre le tracé du mur, et aux salésiens qui les avaient rejoints. Pour construire le fameux mur de séparation, et la route qui lui est adjointe, de nombreuses parcelles allaient être confisquées, et en outre le mur allait empêcher les habitants de Beit Jala d’aller sur leurs terres restantes, et allait séparer les deux couvents (salésiens et salésiennes). En bref c’était la mort de la vallée de Crémisan, le poumon vert de Bethléem.

    La commission de la Cour suprême, présidée par l’ancien président de la Haute Cour, établit que le tracé prévu n’est pas le seul possible, contrairement à ce que prétendait le ministère de la Défense, et elle enjoint au gouvernement de faire un autre tracé qui soit moins dommageable pour les populations et les couvents… par exemple celui qui est proposé par les plaignants…

    (La photo ci-dessus, celle d’une procession sur le site menacé, est l’illustration de l’article de Palestine News Network. Le curé de Beit Jala célébrait une messe dans la vallée tous les dimanches, et les salésiennes disaient le chapelet tous les vendredis à l’endroit où le mur devait être construit. J’ai déjà évoqué cette affaire : 1, 2, 3.)

    Le blog d'Yves Daoudal

     

  • Bernard Lugan à nouveau censuré

    Posté le 2 avril 2015 à 12h39 | Lien permanent

     La censure vient de toucher une nouvelle fois Bernard Lugan, qui a le tort de dire la vérité sur l'Afrique, ce qui ne plaît pas à tout le monde. Invité par Michel Field sur LCI et par TV5 Monde pour présenter son nouveau livre "Osons dire la vérité à l'Afrique", il a été déprogrammé par les deux chaînes :

    "L'actualité ne peut être invoquée car, à la fois le message laissé sur mon portable par LCI et le mail envoyé par TV5 Monde, précisent que ces deux entretiens ne sont pas reportés mais purement et simplement annulés. Il s'agit donc clairement d'une nouvelle censure."

    Comment riposter à cette censure ?

      1)  En visitant mon blog: www.bernard-lugan.com afin de prendre connaissance de mes analyses africaines.

     2)  En vous abonnant à la revue mensuelle par PDF L’Afrique Réelle. Tous renseignements sur www.bernard-lugan.com.

      Th3)  En achetant en librairie le livre Osons dire la vérité à l'Afrique (Le Rocher, mars 2015). Ce livre peut également être commandé à l'Afrique Réelle  BP 45,  42360 Panissières contre un chèque de 28 euros port compris établi à l'ordre de Bernard Lugan. Par mesure de sécurité, tous les envois sont faits en colissimo. Veuillez préciser si vous souhaitez une dédicace."

    Marie Béthanie

     

    Le Salon Beige

  • Louveciennes : un enfant de 11 ans se suicide par pendaison

     

    Sa mère et son frère aîné l'ont retrouvé pendu à l'escalier de sa chambre mercredi soir. Un collégien de 11 ans s'est donné la mort dans la maison familiale de Louveciennes (Yvelines). « Un drame tout à fait imprévisible » selon une source proche de l’enquête.

    Julien Constant | 02 Avril 2015, 16h44 | MAJ : 02 Avril 2015, 17h41

     
     
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                                                         Le drame s'est produit dans une famille de 3 enfants, décrite comme « ordinaire », habitant Louveciennes (Yvelines), dans la banlieue ouest de Paris.

    Effroyable découverte, mercredi soir, à Louveciennes. Un enfant de 11 ans a été retrouvé pendu à l’escalier de sa chambre dans la maison familiale.

    Il est environ 19 heures lorsque la maman rentre à son domicile. Le frère aîné cherche son cadet, qui n’a pas assisté à son cours de musique.

     
     

    Il se rend dans sa chambre et découvre son petit frère pendu. « Il avait attaché un lien sur la rambarde de l’escalier avant de se laisser tomber dans le vide », précise une source proche de l’affaire.

    L’adolescent appelle à l’aide sa maman, qui décroche aussitôt son fils. Mais l’enfant ne respire déjà plus. Elle prévient les secours. L’équipe médicale arrive rapidement, tente de ranimer l’enfant. Sans succès : le garçon est déclaré décédé à 20 h 15.

    Aucune lettre d’explication n’a été retrouvée par les enquêteurs. « Mais le petit avait raconté un peu son mal être sur son cahier de texte, rapporte une autre source. Il y avait simplement écrit ces quelques mots : « ma vie pourritte ». Il semble qu’il était entré en conflit avec d’autres adolescents au collège. Mais il s’agissait de disputes très ordinaires. Contrairement à ce qu’on a pu observer dans d’autres affaires similaires, aucune conversation ou phénomène de harcèlement n’a été relevé sur un réseau social ».

    Les parents de la victime, une famille de 3 enfants, décrite comme « ordinaire » ont été entendus ce jeudi, ainsi que le professeur principal du collégien, pour tenter de trouver une piste. « C’est un drame tout à fait imprévisible », glisse un proche de l’enquête.

    Dans les Yvelines, on en dénombre un ou deux suicides d’enfants et de jeunes adolescents par an. « A cet âge, ce sont souvent des garçons qui se tuent par pendaison, souligne un spécialiste. Et même après l’enquête, il est très difficile de se prononcer sur le degré de conscience de la mort qu’il avait au moment de passer à l’acte ».

    Selon le psychiatre Boris Cyrulnik, qui a réalisé un rapport sur le sujet en 2012, « 40 % des enfants pensent à la mort quand ils sont anxieux ou malheureux ».

    Le corps du collégien a été conduit à l’unité médico-légale de Garches (Hauts-de-Seine) où il va être autopsié.

    Le Parisien