Philippot dit la vérité sur la crise que nous subissons: la CGT communiste se nourrit de la colère des Français pour répandre le chaos dans notre pays gouverné par les petits fonctionnaires de Bruxelles.
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Marine Le Pen sur les enjeux humains de la crise migratoire et l'irresponsabilité de l'UE
Aux côtés de nos alliés européens, Marine Le Pen s’est exprimée à l’occasion d’une conférence de presse organisée par le groupe Europe des Nations et des Libertés et qui portait sur le thème « Les enjeux humains derrière la crise migratoire : l’irresponsabilité de l’UE » (26/05/16)
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IGNACE
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Stéphane Ravier interpelle Manuel Valls sur l'interdiction de l'UOIF
Lors de la séance de questions au gouvernement du Sénat, Stéphane Ravier a demandé à Manuel Valls si son gouvernement était disposé à combattre l’islamisme radical en interdisant notamment l’UOIF ! (26/05/16)
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Eric Cantona déverse sa haine antifrançaise contre Didier Deschamps
http://fr.novopress.info/201310/eric-cantona-deverse-haine-antifrancaise-contre-didier-deschamps/
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Robert Ménard : « Oz ta droite ! c’est ose la résistance ! Sois fier d’être français ! »
Robert Ménard, à 48 heures du Rendez-vous de Béziers, on a l’impression que c’est déjà une grande réussite. Près de 2.000 inscrits, des dizaines de journalistes, la présence de nombreuses personnalités, le tout sous le parrainage de deux des principaux médias de droite, Valeurs actuelles et Boulevard Voltaire. Vous vous y attendiez ou vous ne faisiez que l’espérer ?
J’en étais certain. Il y a dans le pays une insatisfaction qui s’apparente aux grands mouvements d’opinions précédant toute révolution. Quelle sera cette révolution, quand, avec qui, cela évidemment, je l’ignore. Mais le fait est là : tout le monde attend qu’il se passe quelque chose. Naturellement, c’est la même atmosphère à droite. Majoritaire dans les idées, nous sommes minoritaires dans les médias, dans les institutions. Rien n’atteste que nous gagnerons en 2017.
Dans ce contexte, toute initiative d’envergure, de conciliation nationale, ne peut que recevoir une large adhésion, susciter une vive curiosité.
Vous annoncez aujourd’hui Oz ta droite ! Oz ? Kesako ? Ce n’est pas du français…
Ce n’est pas du français, mais c’est très français ! C’est une formule énergique, qui dit clairement les choses. Il ne suffit pas de battre la gauche. Il faut dire que seules des idées de droite peuvent sauver notre peuple du grand remplacement. Aujourd’hui, être de droite, c’est être de France. Oz ta droite !, c’est ose la résistance ! Sois fier d’être français, ne baisse plus la tête devant la gauche et ses interdits.
Plus sérieusement, un parti de plus ?
Pas du tout ! Ni un parti, ni un club, ni un mouvement politique… Si je critique les divisions de la droite, ce n’est pas pour ajouter la mienne. Oz ta droite ! ce sera une sorte de mouvement citoyen autour d’une centrale d’agit-prop. Nous ne demanderons pas aux gens où ils ont une carte, s’ils en ont une ! Un exemple : les candidats à la primaire des républicains veulent être président de la république ? Eh bien, nous serons là pour voir si leurs engagements de campagne correspondent aux mesures de salut public qui sortiront de notre week-end. Autre exemple : si une nouvelle affaire Black M apparaît, nous serons en pointe pour organiser le combat et le diffuser auprès du plus grand nombre. Nous nous donnerons les moyens pour ça.
Voilà, en résumé, ce que nous voulons faire : ancrer la droite dans le camp patriote et le camp patriote dans la droite. Battre la gauche partout. Tout faire pour l’emporter en 2017.
BV - 26 05 2016
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TV Libertés- Journal du jeudi 26 mai 2016
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La Fête des mères remplacée par la « Fête des gens qu’on aime » !
26/05/2016 – PRIGNAC-ET-MARCAMPS (NOVOpress avec Infos Bordeaux) : A l’école maternelle de Prignac-et-Marcamps, en Gironde, la Fête des mères est remplacée par la « Fête des gens qu’on aime » ! Les parents en ont été informés par ce mot dans le cahier de liaison des enfants :
« Chers parents, au vu de situations familiales délicates de certains enfants, nous avons décidé de fêter la “fête des gens que l’on aime” et non pas les traditionnelles fêtes des mères et pères. Chaque enfant a donc créé avec son enseignante deux objets qu’il offrira aux personnes de son choix. Les deux objets seront ramenés à la maison en même temps cette semaine. Cordialement, les maîtresses. »
Les maîtresses en question sont la directrice de l’école, Julia Pinard, et Elise Lambert, l’instit des moyenne et grande sections. L’affaire a été révélée par la mère d’un enfant scolarisé, qui a publié le message sur son compte Instagram, trouvant l’initiative « géniale parce qu’elle prône l’amour avant tout »,
Cette « alternative plutôt ingénieuse », explique Femme actuelle, « devrait plaire aux enfants issus de familles monoparentales, homoparentales, adoptés ou encore ceux n’ayant jamais connu leur père/mère », énumération qui oublie toutefois de mentionner les enfants élevés par des transgenres, ce qui n’est pas loin de la discrimination…
Contactée par un journaliste, Julia Pinard affirme : « Notre devoir de réserve ne nous permet pas de communiquer sur ce sujet. Cependant, toute l’équipe enseignante est ravie de lire des retours et commentaires positifs sur cette initiative. »
Nous suggérons à Mme Pinard de demander maintenant à ce que l’établissement qu’elle dirige soit débaptisé, cessant ainsi d’arborer ce nom odieusement réactionnaire et discriminatoire d’école « maternelle ».
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Paris : des logements sociaux vont voir le jour dans le très chic 8ème arrondissement
A l’horizon 2018, soixante-seize logements sociaux et un foyer de jeunes travailleurs vont être construits dans le 8ème arrondissement de la capitale, a annoncé la Ville de Paris mercredi. La première pierre du futur immeuble devant accueillir les 76 logements à bas coût a été posée à quelques centaines de mètres de l’avenue des Champs-Elysées. A terme, cette zone proposera près de 140 logements sociaux.
Avec ce projet, la Ville de Paris poursuit son engagement de construire des logements à bas prix dans l’ouest parisien. Ian Brossat, adjoint PCF au logement de la Maire de Paris présent lors du dépôt de la première pierre, a réaffirmé la volonté de la Ville de construire au total 7.500 nouveaux logements dans des « zones déficitaires ».
BV
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Israël – Les écoles chrétiennes menacées appellent à l’aide
Israël propose que les écoles chrétiennes deviennent publiques. Le Bureau des Ecoles chrétiennes s’y refuse, arguant qu’une telle disposition porterait atteinte à l’identité même de ces écoles.
Les écoles chrétiennes d’Israël sont en danger. Après une grève très suivie en septembre 2015 contre une baisse drastique de subventions, le gouvernement israélien de Benyamin Netanyahu avait fait des promesses. Elles n’ont pas été tenues.
En septembre 2015, les écoles chrétiennes d’Israël s’étaient mises en grève pendant 27 jours, après la diminution drastique du budget alloué par le Ministère israélien de l’Education. De 65% il y a quelques années, ce budget était tombé à 29%. Elèves, parents et professeurs avaient dénoncé une véritable discrimination à leur encontre, et réclamé une égalité de traitement avec les écoles juives, lesquelles bénéficient de 100% de subventions de l’Etat. Les autorités israéliennes s’étaient alors engagées à transférer 50 millions de shekels aux écoles chrétiennes. Une commission mixte avait également été mise sur pied en vue de négocier d’autres points litigieux. Mais aujourd’hui, le Bureau des Ecoles chrétiennes en Israël affiche son mécontentement. L’année scolaire est sur le point de se conclure, et Israël n’a tenu aucun de ses engagements. Les écoles sont en danger immédiat d’effondrement financier.
Devant cette impasse, le BCE lance un appel à tous ceux «qui connaissent l’importance des écoles chrétiennes en Israël d’apporter leur aide et leur soutien», en s’adressant directement aux autorités concernées, afin que les promesses faites en septembre soient tenues.
Source Radio Vatican
Riposte Catholique
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GB : un immigré attaque plusieurs jeunes Blancs à l’acide. L’un a perdu un oeil.
25 mai 2016 par admin4 - Contre-info.comUn groupe de jeunes Britanniques attendait son train à la gare d’Ockendon (Essex, Grande-Bretagne), quand ils ont été soudainement attaqués : ils ont été aspergés d’un liquide corrosif par un assaillant qui s’est ensuite enfui.
La police a diffusé une photo de ce dernier (ci-contre) pour tenter de le retrouver.
L’individu a approché les cinq victimes qui attendaient sur le quai, en cachant une de ses mains derrière son dos. Après un bref dialogue avec eux, il a brandi une bouteille de derrière son dos et a ensuite aspergé d’un liquide inconnu les victimes.
Puis il a rejoint son groupe d’environ neuf amis et ils sont partis.
L’un des adolescents a perdu l’usage d’un oeil tandis que l’autre est sévèrement brûlé. Les trois autres adolescents sont aussi blessés mais plus légèrement, et ont pu quitter l’hôpital.
Source Dailymail
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Jean-Yves Le Gallou : « La remigration est indispensable et faisable »
25/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : Dans le dernier numéro de Minute, Jean-Yves Le Gallou explique que la remigration est « indispensable et faisable ». Le créateur de la fondation Polémia, interrogé à l’occasion de la sortie de son livre : Immigration, la catastrophe – Que faire ?, explique comment cette remigration pourrait être mise en œuvre. Extrait de ce long entretien qui peut être commandé ici.
Minute : Etes-vous favorable à ce que l’on appelait autrefois l’expulsion des étrangers et que l’on appelle aujourd’hui la remigration ? Et est-elle faisable ?
Jean-Yves Le Gallou : La remigration est indispensable et faisable, dès lors que la volonté politique est là, même si la tâche peut paraître immense. Je vais utiliser une image : si vous allez en Irlande et que l’on vous sert un très grand verre de bière, d’un litre par exemple, vous allez vous demander comment le boire. La bonne méthode, c’est de commencer à boire progressivement et vous allez voir que le verre va se vider, lentement mais sûrement.
Pour la remigration, c’est la même chose : il faut commencer par le commencement, c’est-à-dire par l‘expulsion des clandestins, qui n’ont absolument rien à faire ici, poursuivre par l’expulsion des criminels et des délinquants, qui n’ont plus rien à y faire non plus dès lors qu’ils ont enfreint nos lois, et puis il faut continuer, et vous verrez que ce n’est pas si ardu que cela paraît.
Il y a environ quatre millions d’étrangers qui disposent de titres de séjour. Or ces titres de séjour ne sont pas définitifs : par nature, ils sont provisoires, ils ont en quelque sorte une date de péremption. Il suffit donc de ne pas les renouveler. Une fois que vous avez fait ça, vous avez déjà accompli beaucoup de travail. Donc commençons par cela.
Ensuite, vous avez les binationaux. Là, la question qui se pose est de savoir s’ils ont une simple appartenance administrative à la France, auquel cas ce n’est peut-être pas tout à fait suffisant, ou s’ils ont aussi une appartenance affective, une appartenance culturelle. Mais cela, ce sera dans un deuxième temps.
Ce n’est pas parce que ce deuxième temps va être plus délicat qu’il faut s’interdire le premier temps.
Minute : Est-il possible de renvoyer des gens de façon massive ? Y a-t-il des exemples dans l’histoire ?
Jean-Yves Le Gallou : Il n’y a pas de besoin de remonter très loin. Tout le XXe siècle est marqué par des déplacements massifs de populations.
A la fin de la Première Guerre mondiale, un million et demi de Grecs ont été évacués d’Asie mineure ! On ne peut même pas parler de remigration puisqu’ils étaient là depuis des millénaires, mais le transfert a eu lieu.
A la fin de la Deuxième Guerre mondiale, où des millions de gens ont été déplacés et ont quitté des endroits où leurs ancêtres étaient depuis non pas seulement des dizaines d’années mais des centaines d’années. Ces expulsions, précisons-le, avaient été décidées par les puissances sorties victorieuses de la guerre.
Plus récemment encore, il y a bien sûr eu l’exode des pieds-noirs.
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140 000 ans avant « Homo sapiens », Néandertal s’aventurait au fond des grottes
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Autriche : patience, ce sera pour la prochaine fois, par Guy Rouvrais
Il y a eu un long soupir de soulagement dans les sacristies de la secte bruxelloise : le candidat de « l’extrême droite » n’est pas devenu président de la République autrichienne. Libéraux et socialistes, quoique leurs champions aient été balayés dès le premier tour, se sont joints au chœur des vitriers qui se félicitent de ce que là-bas, comme ici, un « plafond de verre » empêcherait la droite nationale de l’emporter.
Ce peuple autrichien que ces belles âmes européistes étaient prêtes à vouer aux gémonies hier devient admirable aujourd’hui car il a résisté au « repli » et à « l’intolérance », grâce, comme dit Le Monde, à un « sursaut citoyen », l’autre moitié des électeurs n’étant pas des citoyens mais des factieux.
Il s’en est donc fallu de 31 000 voix pour que les Autrichiens soient rejetés dans les ténèbres extérieures de la bien-pensance européenne. Cela tient à peu de chose d’être un grand peuple ou un ramassis de minables populistes : quelques suffrages en plus ou en moins !
Après le « ouf ! » sonore des capitales européennes, nous eûmes droit aux propos convenus sur « l’avertissement » venu de Vienne, comme en France quand le Front national bat un nouveau record électoral. Et puis on continue comme avant. Mais cela s’arrêtera, le jour est proche où ce ne sera pas le « vent du boulet » qui frappera nos européistes, mais le boulet lui-même.
Ce sera pour la prochaine fois, demain ou après-demain : la défaite de l’Europe de la technocratie bruxelloise est en marche, elle ne s’arrêtera plus. En Autriche, bien sûr, mais ailleurs aussi en Europe, à l’Est déjà, en Pologne, en Hongrie, en Slovaquie, à l’Ouest bientôt, en France, au Danemark, en Hollande, en Finlande, en Suède et même en Allemagne, où le parti souverainiste Afd a déjà recueilli 11 % des voix alors qu’il n’existait pas il y a trois ans, il sera présent au Bundestag lors des prochaines élections législatives.
Ils peuvent encore gagner à l’arraché pendant quelque temps, comme à Vienne, mais les peuples ont déjà tranché, c’est pourquoi les hiérarques de Bruxelles font tout pour éviter qu’ils ne prennent la parole et n’exècrent rien tant que le référendum, où ils sont régulièrement désavoués. Ils ont déjà perdu, parce qu’ils ne comprennent pas ce qui se passe sur le Vieux Continent.
Que disent-ils aux électeurs pour les dissuader de quitter le Titanic européen ? Qu’ils vont être ruinés, que les cours de la Bourse vont choir, que leurs économies fonderont tandis que le chômage va galoper et les prix bondir, sans compter que les Chinois ne feront de nous qu’une bouchée, etc. Ils parlent économie et gros sous, PIB et cash-flow. Ils disent aux peuples : « Vous allez perdre de l’argent », les peuples répondent « Nous ne voulons pas perdre notre âme » : notre identité, notre foi, notre culture, nos traditions, nos aigles et nos croix, l’empreinte des siècles sur nos paysages et nos visages, la poussière de nos routes où nos ancêtres ont marché et par lesquels nous sommes. Nous ne voulons pas disparaître dans le maelström de la mondialisation à la sauce bruxelloise, ni abandonner nos territoires à ceux venus d’ailleurs pour devenir étrangers chez nous. A la fin, c’est toujours l’âme des peuples qui gagne car c’est elle qui résiste.
Guy Rouvrais
Article paru dans Présent n° 8614 daté du 25 mai 2016
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Les 19 centrales nucléaires françaises en grève
"Ca va mieux"
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La France exaspérée, par Marine Le Pen
Je vois partout la colère monter et je suis inquiète pour l’avenir de mon pays. Grèves, blocages, pénurie d’essence : le pays est entré dans une spirale de tensions sociales qui inquiètent tout le monde.
Autant le préciser d’entrée de jeu, le gouvernement porte l’entière responsabilité de la situation d’exaspération que connaît la France.
Bien sûr, certains représentants syndicalistes, qui ne représentent qu’eux-mêmes et qui sont toujours aux abonnés absents quand il s’agit de combattre les vrais problèmes (en l’occurrence l’obsession ultra-libérale bruxelloise), portent une lourde responsabilité dans le chaos que connaît aujourd’hui le pays. Ils mettent en difficulté nombre de salariés et d’entreprises en désorganisant les transports et en installant un tel chaos en France.
Mais c’est aussi et surtout de la faute du gouvernement si la vie de nos compatriotes, les services publics et l’activité économique de notre pays se retrouvent dans cette situation délétère de blocage et de tensions. Par son entêtement à faire passer une loi Travail qui ne ravit que l’ex-UMP, le président Hollande et le premier ministre Valls, le gouvernement brutalise les rapports sociaux et agresse les Français. Rappelons à quel point cette loi précarisera le travailleur français, affaiblira la PME face à la grande entreprise, et dégradera encore nos comptes sociaux au détriment de notre capacité à financer les retraites et toutes les politiques de solidarité.
Le pire réside dans les motivations de cet entêtement : la crainte de fâcher Bruxelles. Le gouvernement, toute l’UMPS, préfère obéir à l’Union Européenne plutôt que de respecter la démocratie, le dialogue social et d’apaiser la France ! La vindicte qui s’exprime, de façon navrante et insupportable pour nos compatriotes, est une conséquence de cette main-mise de l’Union Européenne sur la démocratie française. Au-delà de la loi Travail, c’est notre capacité à penser et décider une autre politique, enfin efficace et juste, qui est quotidiennement rendue impossible par les exigences toujours plus lourdes de l’Europe de Bruxelles. Dans ces conditions, les tensions montent, et finissent par exploser. Aujourd’hui la loi Travail, et demain ? Il n’y a pas d’avenir si on ne se libère pas de cette logique infernale.
Je demande au gouvernement de retirer immédiatement la loi Travail, de permettre le déblocage de la France, et de revenir devant les urnes s’il ne se sent pas capable de cet acte d’indépendance face à l’Union Européenne.
in Carnets d'espérances
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Florian Philippot invité de Politique matin sur LCP
Une juste analyse de la situation qui va en s'aggravant
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TVL - PASSÉ PRÉSENT N°103 – PORTRAIT DE LÉON DEGRELLE
– Le mythe de Jeanne d’Arc
– Histoire des quintuplées Dionne
– Portrait de Léon Degrelle, avec en invité Francis Bergeron -
JOURNAL DU MERCREDI 25 MAI 2016 : SOCIAL / LES CENTRALES NUCLÉAIRES TOUCHÉES PAR LA GRÈVE
TVL
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Pétain banni de la commémoration de Verdun! (rediffusion)
Philippe Pétain, communément appelé le maréchal Pétain, né le 24 avril 1856 à Cauchy-à-la-Tour et mort le 23 juillet 1951 à Port-Joinville, sur l'île d'Yeu, est un militaire, diplomate et homme d'État français
Après le scandale Black M, va-t-il y avoir un scandale Pétain ? Dans L’Opinion, Jean-Dominique Merchet, spécialiste des questions militaires, révèle que François Hollande envisage de faire carrément l’impasse sur le rôle du général Pétain dans la bataille de Verdun lors de la commémoration du 29 mai !
« Commémorer Verdun, c’est aborder la question de celui qui y commanda les troupes françaises, le futur maréchal Pétain. Exercice délicat pour un chef de l’État, auquel le général De Gaulle ne s’était pas soustrait lors de la commémoration du cinquantenaire en 1966 : “Si, par malheur, en d’autres temps, dans l’extrême hiver de sa vie et au milieu d’événements excessifs, l’usure de l’âge mena le maréchal Pétain à des défaillances condamnables, la gloire que, vingt-cinq ans plus tôt, il avait acquise à Verdun, puis gardée en conduisant ensuite l’armée française à la victoire, ne saurait être contestée, ni méconnue par la patrie.“
« Si l’historien Antoine Prost estime qu’il n’y a “pas une virgule à changer“, les milieux officiels estiment que parler de Pétain “est un message qui n’est pas d’une très grande actualité “. »
Jean-Dominique Merchet confirme par ailleurs que la venue de Black M avait été validée par le gouvernement et n’est donc pas du fait du maire de Verdun :« Les textes provocateurs de l’artiste n’étaient pas forcément les plus adaptés à l’événement mais ils étaient dans le domaine public quand les autorités politiques, y compris au secrétariat d’État aux Anciens combattants, ont approuvé l’idée de ce concert. »
Lu dans Novopress
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