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  • Les services anti-terroristes s’attendent à de nouveaux attentats islamistes et à une riposte des patriotes

     

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    Lors de son audition devant la Commission de la défense nationale et des forces armées, mardi 10 mai 2016, Patrick Calvar, le directeur de la DGSI a lâché cette information :  » les extrémismes montent partout et nous sommes, nous, services intérieurs, en train de déplacer des ressources pour nous intéresser à l’ultra-droite qui n’attend que la confrontation. Vous rappeliez que je tenais toujours un langage direct ; eh bien, cette confrontation, je pense qu’elle va avoir lieu. Encore un ou deux attentats et elle adviendra. Il nous appartient donc d’anticiper et de bloquer tous ces groupes qui voudraient, à un moment ou à un autre, déclencher des affrontements intercommunautaires. »

    Bref, l’état républicain sait qu’il y aura de nouveaux attentats mais sa priorité sera de combattre les patriotes qui réagiront.

    Compte rendu complet de la Commission

  • HUMOUR

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    Jac Péten

     

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  • Enquête vol Egyptair 804: difficile

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    http://www.jumboroger.fr/crash-vol-egyptair-ms-804-enquete-difficile/

    Le 19 mai 2016, le vol MS 804 d’Égyptair relie Paris CDG  au Caire, avec 66 personnes à bord, dont 15 Français. C’est un Airbus 320 récent, livré à Egyptair  en novembre 2003, qui totalise 48 000 heures de vol, ce qui est tout à fait normal (un avion est conçu pour effectuer environ 200 000 heures de vol). Le CDB a environ 6 000 heures de vol, dont environ 2 000 sur A 320. Lire la suite

    Blog de Christian ROGER

  • RENAISSANCE D’UN JOURNAL DE GUERRE : LE CRAPOUILLOT

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    Un crapouillot, c’était le nom que l’on donnait à un petit obusier de tranchée. Il ne payait pas de mine mais il était redoutablement efficace. Les poilus appréciaient sa robustesse et sa capacité à faire taire les armes du camp d’en face, avec ses torpilles qui montaient haut dans le ciel pour retomber dans la tranchée ennemie, à quelques dizaines de mètres à peine.

    Née dans les tranchées, il y a un peu plus de cent ans, à l’initiative du génial anarchiste de la plume Jean Galtier-Boissière, la revue Le Crapouillot a donc d’abord été une feuille de soldats, un journal satirique, drôle et impertinent, qui faisait oublier les dures conditions du moment. Puis, la paix venue, elle s’est reconvertie en une copieuse revue politique, littéraire et artistique.

    Le Crapouillot a fait les beaux jours de trois républiques, ce qui n’est pas rien. De sensibilité pacifiste et socialisante mais anticommuniste, la revue rassemblait, sous la IIIe République, des talents très divers, qui allaient de Béraud à Mac Orlan. Sous la IVe, avec Galtier-Boissière, son « vénéré directeur » (comme il se faisait appeler) toujours aux commandes, Le Crapouillot a recyclé nombre de grandes plumes, victimes de l’épuration, à commencer par Lucien Rebatet, Maurice Bardèche et Pierre Dominique. « Avec le recul, écrit François Nourissier, la carrière et l’action de Galtier-Boissière apparaissent comme un rare chef-d’œuvre d’anarchie narquoise, de provocation et finalement de liberté. »

    Le Crapouillot change de main à la mort de Galtier. Lié un temps à Minute à la grande époque de l’hebdomadaire, il professe un antigaullisme et un anticommunisme de bon aloi et rallie à lui de nouveaux talents comme Geneviève Dormann, Jean Bourdier, Roland Gaucher, Roland Laudenbach, Camille Galic, Alphonse Boudard, Antoine Blondin, François Brigneau, Dominique Venner… en bref tout ce qui comptait dans le petit monde du politiquement incorrect de l’époque, même si une certaine complaisance mercantile le pousse à privilégier parfois des thèmes un peu scabreux (pour l’époque).

    Et puis, un jour de 1996, sans crier gare, la revue a disparu des kiosques. Depuis lors, un tel titre manquait dans le paysage médiatique car aucun autre journal, aucune autre revue, n’a eu l’ambition ni n’a réussi à prendre le relais. Le Crapouillot restait une référence, un mythe. Le titre était d’ailleurs l’une des revues les plus collectionnées. On sait aujourd’hui à quel point ses dossiers ont influencé le dessinateur Hergé, par exemple, qui y a puisé une partie de son inspiration, pour Tintin en Amérique ou L’Oreille cassée.

     

    Insolence et vérité

    Mais voici que Le Crapouillot nous revient, après quelque vingt longues années de silence. Une nouvelle équipe s’est mise en place. Dans son mot de bienvenue le directeur de la rédaction, Bertrand Sorlot, annonce la couleur. Se référant aux trois âges du Crapouillot et au génial Galtier-Boissière, il nous dit que Le Crapouillot du printemps 2016 entend revendiquer « cet esprit d’indépendance, d’insolence et de vérité ». C’est tout ce qu’on lui souhaite !

    Ce premier numéro est consacré au terrorisme islamique. Il ne mâche pas ses mots : « La bien-pensance européenne et sa démagogie ouvrent un boulevard aux fanatiques de tous bords. Les élus politiques, clientélistes, fricotent avec les groupes d’influence ouvertement pro-Frères musulmans, que ce soit le Hamas, ou l’UOIF en France. Sans parler des rapports étroits avec des pays qui pratiquent l’obscurantisme religieux le plus abject et qui sont la source des financements du radicalisme salafiste en France et en Belgique. »

    Occuper le terrain, en vitrine des marchands de journaux, pour rappeler ce genre de vérité, ce n’est jamais inutile. Et nous ne serons jamais trop nombreux à le faire. Alors bon vent pour le retour de ce (toujours jeune) confrère !

    En vente dans les kiosques, et par abonnement : RIGEL Editions, 4 bis rue de Cronstadt 75 015 Paris. Abonnement de lancement : 27 euros pour quatre numéros.

    Francis Bergeron dans Présent

    Altermedia Info

  • Trois tweets de Marine Le Pen

    Capture.PNG Marine Le Pen tweets.PNG

  • In memoriam Dominique VENNER

    C'était le 21 mai 2013.

    “Comment peut-on être rebelle aujourd’hui ? Je me demande surtout comment on pourrait ne pas l’être ! Exister, c’est combattre ce qui me nie. Être rebelle, ce n’est pas collectionner des livres impies, rêver de complots fantasmagoriques ou de maquis dans les Cévennes. C’est être à soi-même sa propre norme. S’en tenir à soi quoi qu’il en coûte. Veiller à ne jamais guérir de sa jeunesse. Préférer se mettre tout le monde à dos que se mettre à plat ventre. Pratiquer aussi en corsaire et sans vergogne le droit de prise. Piller dans l’époque tout ce que l’on peut convertir à sa norme, sans s’arrêter sur les apparences. Dans les revers, ne jamais se poser la question de l’inutilité d’un combat perdu. ”

  

    Dominique VENNER, le Cœur rebelle

    (merci à Dirk)

  • Avec Norbert Hofer, les Autrichiens terrorisent (à nouveau) l’Europe

    https://youtu.be/61UJgqjyLN8

     

    Les médias européistes ont tout fait pour diaboliser le candidat

    Dimanche 22 mai 2016, les Autrichiens votent pour leur président. C’est un nationaliste, Norbert Hofer, qui est arrivé en tête du premier tour, le 24 avril dernier.

     

    En 60 ans de pouvoir partagé, les sociaux-démocrates et les conservateurs n’ont pas trouvé de solutions aux crises qui agitent le pays, en particulier la crise migratoire. Leurs représentants ne sont même pas présents au second tour. La presse de toute l’Union européenne crie à « l’extrême droite », mais les Autrichiens semblent déterminés.

    - La rédaction d’E&R -

     

     


     

    Autriche : Norbert Hofer, un extrémiste si présentable

    Pour son dernier meeting de campagne avant le second tour de l’élection présidentielle, le 22 mai, Norbert Hofer aurait pu s’offrir la Heldenplatz, la place des Héros, épicentre de la vie politique viennoise. Le candidat du parti d’extrême droite FPÖ, arrivé largement en tête au premier tour avec plus de 35 % des suffrages, et grand favori du second, a préféré aller à la rencontre des « vraies gens ».

     

    Ce vendredi, il avait donc convié ses supporteurs à Favoriten, un faubourg populaire de la capitale, plus précisément sur la Viktor-Adler Platz. La chose est assez ironique de la part d’une personnalité représentant la droite radicale, dans la mesure où le Viktor Adler en question est un des fondateurs de la social-démocratie autrichienne.

    [...]

    Il détourne à son profit le désormais célèbre « nous sommes le peuple » scandé par les opposants au régime est-allemand en 1989. Il dit aussi que l’Autriche ne peut plus accepter de demandeurs d’asile. Et qu’une fois élu, il s’engage à œuvrer pour que ses enfants (quatre) et la prochaine génération dans son ensemble aient une vie digne d’être vécue.

    [...]

    Succès garanti tant le propos est consensuel, voire émollient. En effet, outre un dispositif policier particulièrement impressionnant, on trouve de tout au pied du podium : quelques rares néonazis que les flics surveillent comme le lait sur le feu, une très grosse majorité de déçus de la social-démocratie dont Favoriten était un bastion, mais aussi des Autrichiens de fraîche date, notamment d’ex-Yougoslaves. Quelques femmes discrètement voilées aussi.

    Lire le portrait intégral sur lepoint.fr

  • VIDEO - Harcèlement sexuel dans les transports en commun : « Je mets un bonnet et des robes longues pour ne pas avoir de problème »

    https://youtu.be/Waispbb2APo

     

     

    21/05/2016 – FRANCE (NOVOpress)
    Deux maires du Val-de-Marne lancent une grande opération pour « inviter les femmes à exprimer leur ressenti dans les transports ». Boulevard Voltaire les a devancés et a tendu son micro dans la gare de Maisons-Alfort : ont-elles peur de sortir le soir ? De porter une jupe ? De circuler seules ?

    Voyez les différentes réponses...

  • Marseille: trois véhicules de "matons" incendiés aux Baumettes

    http://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/3946384/marseille-trois-vehicules-de-matons-incendies-aux-baumettes.html

  • Black M : Lettre ouverte de dix grandes associations du monde combattant à François Hollande

    1h18
    • Fédération des amputés de guerre de France
    • Fondation des aveugles de guerre
    • Union des blessés de la face et de la tête « gueules cassées »
    • Fédération nationale des blessés multiples et impotents de guerre
    • Association des mutiles de guerre des yeux et des oreilles
    • Association nationale des plus grands invalides de guerre
    • Association des Blessés Médullaires titulaires de l’article L115
    • Fondation des « Gueules Cassées »
    • Union nationale des combattants
    • Association de soutien à l’Armée Française

    Paris, le 19 mai 2016

    Monsieur le Président de la République,

    Non, contrairement à ce qu’a écrit Monsieur le Secrétaire d’État, ce n’est en rien par un « déferlement de haine, d’injures et de menaces », qu’elles condamnent en tout état de cause, que les associations du monde combattant signataires de la présente, qui répond au communiqué publié le 13 mai 2016, ont marqué leur ferme réprobation à la tenue d’un concert animé par le rappeur Black M à Verdun le 29 mai prochain.

    A nos yeux de combattants au service de la France, un tel spectacle, un tel jour et en un tel lieu, constituerait une insupportable injure à la mémoire des centaines de milliers d’hommes, quelle que soit leur nationalité, leur origine, leur confession, qui ont souffert, versé leur sang, sont morts, sur cette terre de la Meuse.

    Nos associations, totalement apolitiques et non confessionnelles, s’élèvent avec vigueur contre tous les rapprochements, amalgames, insinuations et sous-entendus tendant à faire croire à quelque unité de vue avec quelque organisme que ce soit, étranger au monde combattant.

    Nous qui avons combattu pour la France, et bien souvent versé notre sang pour elle, nous respectons la Mémoire du « Combattant de Verdun » et nous n’acceptons pas qu’elle soit dégradée et salie.

    Nous avions donc pris acte de l’annulation de ce concert sans autre commentaire, avant de lire le communiqué qui exprime la « colère » du secrétaire d’État. Il y est souligné que « la liberté d’expression » est un « droit fondamental ». Devons-nous comprendre que le monde combattant ne pourrait pas l’exercer sereinement ?

    Il y est également rappelé très justement que « c’est pour les valeurs de la République que nos soldats, venus de toutes les origines sociales, de tous les continents, de toutes les religions, et jeunes pour l’immense majorité d’entre eux, ont combattu et sont morts voilà cent ans à Verdun ». Ce sont précisément ces vérités qui ont suscité notre absolu refus de la tenue ce soir-là, dans cette ville martyre, d’un concert animé par un chanteur aux antécédents bien connus.

    Monsieur le secrétaire d’État a jugé la demande d’annulation de ce concert « indigne de l’hommage solennel que la Nation tout entière rend, en cette année du centenaire de la bataille de Verdun, aux combattants de toutes conditions et de toutes origines qui sont morts pour la France ». Nous estimons très exactement le contraire. Et nous comprenons mal, dans cette démocratie dont vous êtes le garant, que notre ministre de tutelle traite par un tel mépris, marqué de colère, l’expression des convictions d’anciens combattants et victimes de guerre, placés sous son autorité politique.

    Je vous prie de croire, en l’expression de ma très haute considération.

    André-Jean MERCORELLI,
    Secrétaire général du CE-GIG Elargi

    Asafrance

  • En Israël, Valls sera interviewé par 4 employés de Patrick Drahi

    https://youtu.be/-I4rzrLPeiM

     

    Un bon résumé de la situation politico-médiatique française

    Vendredi 20 mai, le site du Figaro rapporte que Manuel Valls accordera dimanche soir un entretien spécial – depuis Israël – à 4 médias en simultané [1].

    Ses quatre interviewers seront Paul Amar (i24news), Apolline de Malherbe (BFM TV), Christophe Barbier (L’Express) et Laurent Joffrin (Libération).

    Le Figaro, journal possédé par le pro-israélien Serge Dassault et co-dirigé par le conférencier du Crif Yves Thréard, omet de signaler à ses lecteurs un détail important : ces 4 médias sont TOUS détenus par Patrick Drahi, milliardaire israélien et militant « sioniste » autoproclamé [2].

    Amar, Barbier et Joffrin sont des figures médiatiques ouvertement engagées – depuis longtemps et chacun dans son style – en faveur de Tel Aviv [3].

    Rappel : la presse française traditionnelle – et notamment la presse d’opinion politique – se vante régulièrement d’être « pluraliste ».

    À souligner : Manuel Valls a préparé le terrain médiatique de sa visite en ayant déjà accordé une interview au tabloïd israélien Yedioth Ahronoth, dans laquelle il se déclare « préoccupé par la sécurité d’Israël » [4].

    Élément d’information supplémentaire : les entretiens médiatiques du Premier ministre sont organisés par Harold Hauzy, « conseiller en communication » de Manuel Valls qui avait suivi – en 2011 et avec le « Comité juif américain » – une « formation éducative sur Israël » [5].

    Bonus croustillant : découvrez la grotesque interview « C’est quoi, être juif ? » réalisée en 2015 par une vidéaste pro-Netanyahou (dénommée « Esti ») auprès de la « journaliste politique » Apolline de Malherbe.

  • La Pologne interdit toute référence au communisme dans l'espace public

    Par l’intermédiaire de son président, le conservateur Andrzej Duda, la Pologne a promulgué une nouvelle loi « sur l’interdiction de propager le communisme ou un autre système totalitaire via les noms d’édifices et d’installations d’utilité publique ». Une fois qu’elle sera entrée en vigueur, les autorités locales auront un délai de 12 mois pour changer les noms des rues, des places ou des ponts qui rappellent les personnes, les organisations, les événements ou les dates symbolisant un des totalitarismes.

    Entre 1.200 et 1.400 sites concernés

    Le texte de loi nouvellement promulgué et condamnant toute référence au communisme dans l’espace public polonais précise que les références au régime en place en Pologne entre 1944 et 1989, l’époque où le pays avait fait partie du bloc soviétique, sont bannies aussi. En cas de non-respect des nouvelles dispositions dans les délais requis, l’administration nationale pourra imposer un nouveau nom provisoire pour remplacer celui qui aura été jugé indésirable. Selon les auteurs de la nouvelle loi, entre 1.200 et 1.400 sites divers devront changer de nom à travers la Pologne.

    Boulevard Voltaire

  • Un migrant africain voulait un logement « tout de suite », il incendie des bureaux de la mairie

     

    Afficher l'image d'origineUn Soudanais de 28 ans a mis le feu aux locaux d’une antenne de la mairie d’Annecy ce mercredi. Il reprochait aux employés de ne pas lui trouver un logement « tout de suite », car il venait d’obtenir le statut de réfugié, raconte France 3 Alpes.

    Pour ne pas avoir accédé assez rapidement à sa demande, les employés d’une antenne de la mairie d’Annecy (Haute-Savoie) l’ont vu mettre le feu à leurs bureaux, comme l’a relaté France 3 Alpes. Le matin, il avait récupéré un formulaire à remplir. Venu le déposer dans l’après-midi, il n’a pas supporté qu’on lui présente de nouveaux papiers administratifs. Avant de mettre le feu à l’endroit, il s’y est enfermé et a saccagé le matériel informatique. 100 000 euros de dégâts sont à déplorer. Le malfaiteur a été rattrapé peu de temps après par la police.

    Source

  • Echange tendu entre Cazeneuve et les deux députés FN à l'Assemblée!

    https://youtu.be/FSr5aNolob4

    Les députés FN Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard et Bernard Cazeneuve se sont opposés vivement jeudi à l’Assemblée au sujet de violences en marge de manifestations anti-Loi Travail, au lendemain de la demande de démission du ministre de l’Intérieur par le FN.

    Tel est pris qui croyait prendre...  

    A voir jusqu'au bout!  Bravo Me Collard!

    NDF

     

  • Bistro Libertés avec Robert Ménard

    TV LIBERTES

  • Grand flou sur le sort du vol Egyptair

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/05/20/01016-20160520ARTFIG00382-grand-flou-sur-le-sort-du-vol-egyptair.php

  • EN DIRECT. EgyptAir : la Marine égyptienne trouve de nouveaux restes humains et débris

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/en-direct-vol-egyptair-disparu-les-recherches-s-intensifient-l-attentat-envisage-20-05-2016-5812505.php

    VIDEOS, tweets, infographie

  • Verdun : et maintenant le couac Pétain !

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    20/05/2016 – PARIS (NOVOpress) : Après le scandale Black M, va-t-il y avoir un scandale Pétain ? Dans L’Opinion, Jean-Dominique Merchet, spécialiste des questions militaires, révèle que François Hollande envisage de faire carrément l’impasse sur le rôle du général Pétain dans la bataille de Verdun lors de la commémoration du 29 mai !

    « Commémorer Verdun, c’est aborder la question de celui qui y commanda les troupes françaises, le futur maréchal Pétain. Exercice délicat pour un chef de l’État, auquel le général De Gaulle ne s’était pas soustrait lors de la commémoration du cinquantenaire en 1966 : “Si, par malheur, en d’autres temps, dans l’extrême hiver de sa vie et au milieu d’événements excessifs, l’usure de l’âge mena le maréchal Pétain à des défaillances condamnables, la gloire que, vingt-cinq ans plus tôt, il avait acquise à Verdun, puis gardée en conduisant ensuite l’armée française à la victoire, ne saurait être contestée, ni méconnue par la patrie.“

    « Si l’historien Antoine Prost estime qu’il n’y a “pas une virgule à changer“, les milieux officiels estiment que parler de Pétain “est un message qui n’est pas d’une très grande actualité “. »

    Jean-Dominique Merchet confirme par ailleurs que la venue de Black M avait été validée par le gouvernement et n’est donc pas du fait du maire de Verdun :

    « Les textes provocateurs de l’artiste n’étaient pas forcément les plus adaptés à l’événement mais ils étaient dans le domaine public quand les autorités politiques, y compris au secrétariat d’État aux Anciens combattants, ont approuvé l’idée de ce concert. »

  • Nos ancêtres les Gaulois, par P.-E. Blairon (article complet)

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    Statue équestre de Vercingétorix par Bartholdi à Clermont-Ferrand

     

    Nos racines sont celtes. Pourquoi renier nos parents biologiques ?

     

    Un événement sans précédent s’est produit en mai 2016 depuis la naissance d’internet et des réseaux sociaux qui en sont devenus la principale manifestation. Pour la première fois, une mobilisation citoyenne - le meilleur de notre nation - a fait reculer le pouvoir. Il s’agit bien sûr de l’affaire de ce rappeur noir antifrançais que nos gouvernants souhaitaient voir « chanter » pour la commémoration du centenaire de la grande tuerie de Verdun où des centaines de milliers de nos soldats ont trouvé la mort.

    Dévoilée par le site Fdesouche, l’information déchaîna la colère des internautes, notamment sur Facebook, et la révolte, appuyée par Marion Le Pen, fut menée principalement par deux autres bretons, agissant indépendamment l’un de l’autre, Boris Le Lay et Yann Vallerie, jusqu’à la victoire. Attendons cependant l’issue finale de cette tragi-comédie - une bouffonnerie – où les principaux représentants de l’Etat - le Président de la République lui-même - n’hésitent pas à profaner ce que le peuple français doit avoir de plus cher : sa mémoire et le respect qu’il doit à ses ancêtres morts pour sauvegarder l’intégrité de son sol.

    Cette réaction d’ampleur inattendue – des dizaines de milliers de messages téléphoniques et électroniques reçus en mairie de Verdun et à la sous-préfecture locale - ont secoué l’arrogance satisfaite de ceux qui pensaient qu’ils pourraient se moquer de tout et surtout d’un peuple qu’ils croyaient avoir endormi à tout jamais par medias serviles interposés.

    Dans quels tréfonds de leur mémoire sont allés chercher tous ces Français levés d’un seul bloc indigné ? Quel archétype chargé d’une belle santé venue du fond des âges s’est brusquement et impérieusement imposé à ces patriotes de tous bords pour qu’ils trouvent l’énergie de faire lâcher prise à ces fossoyeurs de la France ?

    Ils étaient tout simplement portés par la conscience réveillée des racines les plus anciennes du peuple français, justement celles qui ont fait bouger nos Bretons : nos racines gauloises, autrement dites celtes.

    Est-ce le signe d’une renaissance prochaine ? car cette triste affaire n’est que l’une des nombreuses opérations de harcèlement que mènent nos politiciens de gauche et de droite pour éradiquer de notre mémoire tout ce qui a fait la gloire de notre pays. Est-ce que nous avons là touché le fond, ce qui nous permettrait de remonter ?

    Depuis des années, nous écoutons ces politiciens (de gauche et de droite), médias, publicitaires, « artistes » et autres chantres de l’uniformisation répéter l’antienne du « métissage » pour semer la confusion sur les origines de la France afin de mieux la dépouiller de son identité. Et c’est ainsi qu’on a pu entendre des déclarations de nos gouvernants qui auraient fait pleurer de rire (ou pleurer tout court) n’importe quel écolier des années 50 ou 60.

    Non, les racines de la France ne sont pas musulmanes comme l’affirmaient Jacques Attali ou Jacques Chirac, elles ne sont pas plus juives, selon les dires de Nicolas Sarkozy, et le ramadan n’est pas « une fête qui fait partie du patrimoine culturel français » comme le prétend le maire de Paris, Anne Hidalgo.

    Elles ne sont pas non plus « helléno-chrétiennes » ou « judéo-chrétiennes ».

    Les racines sont ce qui nous ramène au plus loin de notre passé et au plus profond de notre vérité et elles ne sont pas fluctuantes. Elles sont le socle immuable de notre croissance.

    Il est sot et inconséquent de penser que nous pourrons construire notre avenir sans avoir recours au passé, aux fondements de notre culture ; un arbre déraciné ne pousse plus, ne produit aucun fruit ni fleur et meurt rapidement. Revenir aux sources, ce n’est pas revenir en arrière, c’est boire à l’eau de notre enfance, qui est la plus pure et la plus prometteuse d’avenir. Pêgê : c’est un terme grec qui signifie la source, le point fixe d’où proviennent toutes choses.

    Les racines de la France sont gauloises, c’est-à-dire émanant du peuple celte qui s’est établi à partir du VIe siècle avant J.-C. sur la totalité du territoire français actuel et une partie de l’Italie du Nord – Milan est une ville gauloise - et qui s’est battu pour son indépendance contre l’envahisseur romain sous la bannière de son héros, Vercingétorix.

    Ce substrat ethnique originel a, certes, varié tout au long des siècles qui ont suivi son implantation avec les nombreuses migrations de nos cousins indo-européens qui ont traversé notre territoire et y ont laissé leur trace. Des greffes nombreuses, spirituelles avec le christianisme et la monarchie, techniques et politiques avec les Romains, philosophiques avec les Grecs, ont réussi et ont permis à la France de devenir le phare de l’Europe… jusqu’à la Révolution qui a détruit une grande partie de notre patrimoine humain (les Vendéens), architectural, artistique, spirituel et culturel. Nous n’oublions pas d’associer à cette catastrophe nationale la République dont on n’ose penser que les « valeurs » dont elle se réclame se résument au symbole qui l’a vu naître : la guillotine.

    Les universitaires de tous bords (et même du nôtre) évaluent avec condescendance la civilisation celte sous prétexte qu’elle n’a pas utilisé l’écriture (volontairement, pour ne pas figer la mémoire de leurs étudiants, les druides proscrivaient l’écriture) et qu’elle n’a pas laissé de grandes œuvres architecturales ou civilisationnelles.

    « En fait – et cela pendant plusieurs siècles – l’Université et en général les Lettres, ont délibérément ignoré le monde celtique. En-dehors des pays anglo-saxons, on ne s’est intéressé aux Gaulois qu’à l’instant où on pouvait les appeler Gallo-Romains ; il était communément admis que la seule histoire digne de ce nom était celle de Rome et du monde antique, et le cliché des armées de Jules César apportant aux Gaulois le flambeau de la Civilisation persiste encore dans nos manuels scolaires[1]. »

    Remarquons au passage que ceux des Gaulois qui se seront le plus vite soumis aux Romains deviendront les « Gallo-Romains », remerciés pour avoir composé avec l’occupant et adopté toutes ses valeurs. En 1945, on les appelait des « collabos ».

    Régine Pernoud parlait au passé et ce texte de notre grande historienne date déjà de 1962.

    De nos jours, on n’apprend plus aux enfants français ce que sont « nos ancêtres les Gaulois » ; et ceux « de l’Université » qui se targuent actuellement d’être spécialistes en histoire, philosophie ou science politique ne s’abaisseraient pour rien au monde à parler des Gaulois afin de s’insérer dans le monde féroce des intellectuels (de gauche, inévitablement) dans l’espoir d’en être reconnus. Tout se passe, dit Jean-Louis Brunaux « comme si l’on avait honte de l’héritage encombrant que nous ont légué nos grands historiens nationalistes, Jules Michelet, Henri Martin, Camille Jullian…, qui, en des périodes troublées et marquées par l’anti-germanisme, ont fait des Gaulois non seulement les premiers Français mais aussi les premiers fondateurs d’une nation attachée à son territoire[1]. »

    La civilisation celte, tout en raffinements, circonvolutions et pointillisme dans les moindres manifestations de sa culture qui s’en référait constamment à la nature et au monde cosmique s’opposait à la force brute du monde romain, l’Ordre mondial de l’époque, et à la raison grecque dont Descartes fera un rationalisme et Comte un positivisme qui produiront des Français quelquefois dogmatiques, psycho-rigides et arrogants. C’est en tout cas l’image qu’ils donnent bien souvent d’eux à l’étranger. Bien sûr, cette présentation à l’emporte-pièce est forcément manichéenne ; mais des milliers de livres ont été écrits sur le sujet auxquels on se reportera. Ces livres étant, malencontreusement, écrits quasi-exclusivement sur le monde gréco-latin, un petit effet de balancier ne fait pas de mal…

    Même si les Romains et les Grecs, nos frères et voisins indo-européens, ont créé et véhiculé de grandes cultures auxquelles nous avons largement emprunté, nous ne sommes pas pour autant les fils d’Homère ou ceux de la Louve.

    Et il y a comme quelque chose de pathétique et d’indigne à vouloir se réclamer de civilisations qui ne sont pas les nôtres simplement parce qu’elles ont eu la réputation d’être supérieures à la civilisation celte (ou gauloise, si vous préférez, mais c’est exactement la même chose), alors qu’elles sont différentes, la civilisation celte s’adressant plus à l’intuition intellectuelle et à la métaphysique et se rapprochant ainsi d’un Pythagore ou du bouddhisme.

    Vous viendrait-il à l’esprit de renier vos parents (vos parents biologiques, comme on dit maintenant) sous prétexte que la vie de votre voisin vous semble plus adéquate à celle que vous aimeriez mener parce qu’il a une plus belle voiture que celle de votre papa ?

    Les Français ne pourront jamais résister aux diktats mondialistes qui consistent à détruire les soubassements essentiels de leurs traditions si eux-mêmes ne revendiquent pas leurs propres racines d’une manière claire et affirmée. Encore faut-il qu’ils les connaissent. Ici même se situe le grand combat des années à venir.

    La Renaissance (qui, comme son nom ne l’indique pas, fut le début du déclin tout comme les Lumières l’avènement de la nuit) se piquait de retourner aux connaissances de l’Antiquité ; sur le même mode folklorique, la fin du XVIIIe siècle et le début du XIXe vit la naissance d’une « celtomanie » entretenue par le mouvement romantique dont Salomon Reinach, cité par Régine Pernoud, a pu dire qu’ « elle a servi de contrepoids à la tendance universitaire de s’occuper exclusivement des Juifs, des Grecs et des Romains ».

    N’allons pas chercher ailleurs notre héritage, nous n’avons pas à rougir de la spiritualité de nos druides anciens, de la vaillance de nos guerriers, de l’ingéniosité et de la persévérance de nos paysans, de la créativité de nos artisans et de nos artistes qui ont donné à la France son élégance et sa place dans le monde.

     

    [1] Jean-Louis Brunaux, Les Gaulois, Les Belles Lettres

      

    [1] Régine Pernoud, Les Gaulois, Editions du Seuil

     

    Pierre-Emile BLAIRON

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    couv. de La Roue et le Sablier,

    Statuaire :

     - dessin  du Janus bifrons de Roquepertuse (Velaux, Bouches-du-Rhône), sanctuaire celte salyen du 5e siècle avant notre ère,

     - guerrier-héros dit bouddha de Roquepertuse (idem)