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La « Jungle » de Calais a été en partie ravagée par les flammes dans la nuit de mardi à mercredi. Une trentaine de départs de feu ont été observés, notamment dans la zone des commerces à l’entrée du camp. Interrogée ce mercredi matin sur ces incendies, la préfète du Pas-de-Calais a évoqué « des traditions de la population migrante de détruire leur habitat avant de partir »… Sic !
Ghazia A. a fui la Syrie en 2015 avec ses quatre épouses et leurs 23 enfants pour trouver refuge en Allemagne. Leur cas suscite la polémique, au vu du montant des allocations que leur verse l’Etat allemand.
L’histoire de Ghazia A. suscite de nombreuses réactions outre-Rhin, après que le journal BILD a publié un article détaillant les conditions dans lesquelles ce Syrien de 49 ans, après avoir fui la Syrie par la Turquie, a finalement trouvé refuge dans la région de Rhénanie-Palatinat avec ses quatre épouses et ses 23 enfants.
Si la polygamie est autorisée dans la tradition musulmane telle que la reconnaît le droit syrien, elle n’est pas reconnue par le droit allemand. A son arrivée, Ghazia a donc dû choisir l’une de ses épouses comme «femme officielle», afin de pouvoir percevoir les aides sociales auxquelles il a droit.
Son choix s’est porté sur Twasif, sa femme «principale» : avec leurs cinq enfants, ils forment donc un foyer officiel aux yeux de l’Etat. Les trois autres femmes sont depuis considérées juridiquement comme de simples «partenaires» et ont dû se partager la garde des 17 enfants restants, l’une de ses filles étant déjà mariée en Arabie saoudite.
Si tous vivent dans un rayon de 50 kilomètres, dans la province de Montabaur, Ghazia passe cependant la plus grande partie de son temps sur la route afin de leur rendre visite. «Selon notre religion, j’ai le devoir de passer autant de temps avec chaque famille et je ne dois pas favoriser l’une d’entre elles», explique-t-il.
La polémique enfle autour de la question des prestations sociales L’histoire de Ghazia a commencé à prendre une ampleur nationale lorsque la question des aides financières étatiques a gagné la Toile, d’autant que l’intéressé, qui était à la tête d’une entreprise prospère de location de voitures en Syrie, a admis ne pas avoir de travail en Allemagne. «Je suis pratiquement toujours en route pour être avec ma famille. Mais je serais heureux de travailler», a-t-il déclaré au BILD.
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Réagissant au cas de Ghazia, un syndicat patronal, le Deutscher Arbeitsgeber Verband, a publié une estimation du montant total des aides cumulées auxquelles, compte tenu du nombre d’enfants et d’épouses à sa charge, le réfugié aurait droit. Le résultat du calcul s’élève à 360 000 euros par an, un montant qui reste indicatif et qui n’a rien d’officiel.
Dans "Nos très chers émirs", les journalistes Christian Chesnot et Georges Malbrunot citent notamment Jean-Marie Le Guen, Rachida Dati et Nicolas Bays.
20/10/2016 18:50 CEST | Actualisé 20/10/2016 19:07 CEST
POLITIQUE - L'ambassade du Qatar en France aurait-elle trop gâté certains élus? Dans leur livre "Nos très chers émirs" paru ce jeudi 20 octobre, Christian Chesnot, reporter au service étranger de France Inter, et Georges Malbrunot, spécialiste du Moyen-Orient au Figaro, reviennent sur les (gros) cadeaux de l'ambassade qatarie à Paris, et dévoilent les noms de certains élus soupçonnés d'en avoir profité.
Interrogés par Léa Salamé à l'antenne de France Inter, les deux journalistes livrent un compte-rendu de leurs deux années d'enquête. Dans leur viseur, le groupe France-Qatar et certains de ses membres, qui se seraient servis de leurs positions pour obtenir quelques avantages. "L'ambassade du Qatar à Paris, c'était tout à la fois un distributeur de billets de 500 euros, une agence de voyage et la boutique du père Noël", décrit Christian Chesnot, qui précise que "les milliards du Qatar et de l'Arabie saoudite" ont tourné "la tête de beaucoup de nos hommes et femmes politiques."
Jean-Frédéric Poisson est en train de subir une pression inouïe de la part des journalistes. Son engagement à défendre la droite des valeurs et ses idées commencent à se heurter au système qui aimerait bien le détruire. L'interview accordé à Lyon en marge de son meeting risque de déclencher une nouvelle salve d'attaques en tous genres :
Pour qui appelleriez-vous à voter lors d’un éventuel second tour opposant le candidat Les Républicains à celle du Front National ?
On verra. Plus je vois évoluer Alain Juppé, plus je me dis que le projet de société multiculturelle qui a mis la France par terre est décidément à côté de la plaque. Et puis il peut se passer beaucoup de choses en 6 mois.
Vos convictions passent-elles avant les « valeurs de la République » ?
Le gros avantage de ces valeurs est que l’on ne sait pas ce qu’elles veulent dire. La réalité est que tout le monde y met ce qu’il veut. Mes convictions consistent à considérer que les valeurs de la République sont d’origines chrétiennes, et sont universelles car chrétiennes, cela a du sens, pas le reste.
Et si c'étaient les 6 autres candidats de la primaire qui trahissaient les valeurs de la république, de la droite et du centre depuis 40 ans ?
Addendum : Jean-Frédéric Poisson a précisé sa pensée :
"Je continue cependant de penser que, malgré leurs faiblesses, les familles politiques de la droite et du centre sont les plus à même de diriger le pays et de le réformer dans la tranquillité à partir de 2017. Ce qui n'est pas le cas du Front National. Ce que veut dire le "on verra" repris par des médias n'est en aucun cas de ma part la marque d'une quelconque hésitation qui m'inclinerait vers le projet de Marine Le Pen. J'y suis opposé et en ai déjà donné les raisons."
Par Arthur Berdah Mis à jour le 25/10/2016 à 19h02 | Publié le 25/10/2016 à 14h59
LE SCAN POLITIQUE - Le candidat du Parti chrétien démocrate désobéirait ainsi à l'une des règles fondatrices de la primaire. Dans un communiqué publié ce mardi, il s'est toutefois défendu de toute «hésitation» sur le sujet.
Sera-t-il la prise de guerre dont ils rêvent à voix haute? Alors que le Front national s'évertue depuis quelques années à attirer de nombreux transfuges de la droite dans ses filets, une cible potentielle leur adresse des appels du pied: Jean-Frédéric Poisson. Candidat à la primaire à droite au nom du Parti chrétien démocrate, le député des Yvelines multiplie les déclarations ambivalentes. Ainsi, après avoir estimé qu'il fallait «en finir avec le cordon sanitaire» autour de l'extrême droite et s'être affiché au côté d'un soutien de Marine Le Pen lors du débat télévisé de la primaire, l'héritier de Christine Boutin vient aujourd'hui de franchir un nouveau cap.
Interrogé par Lyon People, il n'a effectivement pas exclu de voter FN dans un second tour Le Pen-Juppé. «On verra», élude-t-il d'abord. Avant de glisser mystérieusement: «Il peut se passer beaucoup de choses en 6 mois». «Plus je vois évoluer Alain Juppé, plus je me dis que le projet de société multiculturelle qui a mis la France par terre est décidément à côté de la plaque», poursuit-il encore. Une défiance qui rappelle un indiscret révélé en avril dernier par RTL, où il se disait prêt à «tout pour le faire perdre».
Une attitude qui irait à l'encontre de ses engagements écrits et oraux
Toutefois, cette attitude l'inscrirait en faux par rapport à l'une des règles fondatrices de la primaire: la charte, signée par les candidats, impose de soutenir le candidat qui sera désigné au terme du scrutin. Si Jean-Frédéric Poisson ne respectait pas cette règle, il ne trahirait pas «simplement» un engagement écrit mais aussi une promesse orale. En effet, comme l'a soulevé l'entourage d'Alain Juppé auprès du Figaro, le parlementaire avait donné sa parole aux journalistes lors du premier débat télévisé de la primaire, organisé le 13 octobre par RTL, Le Figaro et TF1. «Oui», avait-il sobrement promis, quand les autres candidats y avaient tous ajouté un «bien sûr», «évidemment» ou «sans réserve».
Dans un communiqué publié mardi en fin de journée, l'ancien maire de Rambouillet a tenté de clarifier sa position. Se disant «inquiet» par «le projet que porte Alain Juppé», l'élu assure cependant qu'il «continue de penser que, malgré leurs faiblesses, les familles politiques de la droite et du centre sont les plus à même de diriger le pays dans la tranquillité à partir de 2017». «Ce qui n'est pas le cas du Front national», ajoute-t-il, jurant être «opposé» au projet de Marine Le Pen. Sans jamais aller jusqu'à dire clairement qu'il votera pour le candidat désigné par la primaire quel que soit le scénario en mai prochain, il affirme que sa réponse au site rhodanien ne traduit pas de «quelconque hésitation».
Cette déclaration, si elle reste suffisamment ambiguë pour ne pas l'inquiéter outre mesure, intervient dans un contexte peu favorable pour le parlementaire. Vivement contesté par l'ensemble de ses adversaires pour avoir cru bon de dénoncer la supposée «proximité de (Hillary) Clinton avec les super-financiers de Wall Street et sa soumission aux lobbies sionistes», l'élu a fait l'objet d'une saisine de la Haute-Autorité de la primaire, qui cependant décidé de le maintenir dans la compétition.
Maréchal-Le Pen ouvre la porte à des «discussions» avec Poisson
Pourrait-il venir se réfugier chez le voisin, là où l'herbe est plus bleue? Menacé d'exclusion de la primaire à droite pour ses propos sur les «lobbies sionistes» auxquels serait soumise Hillary Clinton, Jean-Frédéric Poisson est conspué à droite mais soutenu à l'extrême droite. Et notamment par Marion Maréchal-Le Pen, comme elle l'a déclaré ce mardi sur RTL. «Moi je n'aurais pas utilisé cette expression», a-t-elle d'abord esquivé, avant de confier sa «sympathie humaine et même politique» pour le parlementaire, qu'elle ne suspecte pas «une demi-seconde» d'être antisémite. De même, elle exclut toute disqualification de la primaire à droite: «Ils en (feraient) un martyr, donc je pense qu'il ne le feront pas», analyse-t-elle. Mais elle ajoute immédiatement: «J'ai beaucoup d'accointances politique avec (lui), c'est loin d'être la caricature qu'on essaie (d'en) faire, donc discuter oui, bien sûr, pourquoi pas».
Et il le prouve, prouvant aussi qu’il a beaucoup d’humour et d’aisance. Sous le titre « Trump se fait varloper la tignasse », Le journal de Montréal raconte que l’animateur du Tonight Show de NBC le recevait jeudi soir et voulant absolument savoir si Trump arborait de vrais cheveux ou une perruque, lui demandé à toucher son crâne et a totalement ébouriffé ses (vrais) cheveux. Le présentateur a précisé qu’il voulait profiter du moment car si Donald Trump devient président, il ne pourra plus jamais agir ainsi.
Quand Hillary va-t-elle se faire varloper le brushing?
25/10/2016 – FRANCE (NOVOpress) Invitée de RTL, Marion Maréchal-Le Pen est revenue sur les révélations de relations troubles de ministres et d’élus avec les monarchies du Golfe, dans le livre intitulé « Nos très chers émirs ». La députée du Vaucluse évoque « des groupes de pression qataris » et « la corruption de certains élus ».
Marion Maréchal-Le Pen pointe :
des groupes de pression qataris qui bénéficient de la corruption de certains élus, qui ont été révélés dans la presse, comme par exemple monsieur Le Guen qui propose d’éviter les questions gênantes à l’égard du Qatar de la part de son groupe en échange de l’argent.
25/10/2016 – FRANCE (NOVOpress) À quelques mois de l’élection présidentielle, Twitter livre une étude sur le comportement de ses utilisateurs en termes de consommation de contenus liés à la politique mais aussi, de manière plus large, sur l’importance du réseau dans un contexte d’élection auprès de l’ensemble des Français.
L’information politique diffusée sur Twitter a une portée bien supérieure à l’audience présente sur Twitter.
Auprès de l’ensemble des internautes français, plus d’un sur deux (53%) déclare avoir déjà consulté ou entendu des Tweets sur le thème de la politique, que ce soit sur Twitter ou sur d’autres médias (auprès des Français sur Twitter ce chiffre monte à 85%).
Les Français utilisent Twitter à la fois pour consommer et relayer du contenu ou leurs opinions politiques :
– 58% suivent des comptes de personnalités ou formations politiques ; – 52% recherchent des informations sur Twitter ; – 44% Retweetent des personnalités ou formations politiques ; – 44% Tweetent des articles ou vidéos traitant de politique ; – 43% Tweetent à propos de leurs opinions politiques.
Twitter permet également d’accéder à l’information en temps réel, de s’exprimer et confronter les points de vue, de découvrir et d’engager avec les politiques. D’après cette enquête, Twitter permet d’accéder à l’information politique plus rapidement que sur les autres médias, en ayant une information plus « authentique ».
Par ailleurs, Twitter permet de faire émerger des personnalités politiques, notamment des femmes ou des jeunes, mais également de découvrir des personnalités qui passent moins dans les médias traditionnels.
Enfin, accéder à tous ces contenus et échanger avec la communauté peut contribuer à se construire un point de vue, et parfois même amener à changer d’avis.
Malgré tous les efforts des médias militants, les images des clandestins de Calais embarquant dans les bus ne mentent pas. Où sont les familles syriennes, où sont les femmes enceintes, où sont les réfugiés politiques ?
On ne voit en très grande majorité que des Africains, jeunes ou dans la force de l’âge. Des migrants économiques. Alors qu’ils devraient être expulsés, ceux qui ne relèvent pas du droit d’asile et ceux qui en ont été déboutés arrivent par bus entiers dans les villages français. Plus de 12 000 immigrés en situation illégale envoyés aux quatre coins du pays. 6 000 depuis le début octobre et 6 500 d’un coup cette fois-ci. Ou comment transformer 12 000 clandestins en 12 000 immigrés de plus, près de chez vous. La jungle de Calais est de toute façon condamnée à repousser de plus belle. Rien n’est résolu : plus de 2 000 clandestins par jour arrivent en ce moment sur les côtes italiennes.
Il y a une semaine, une interprète accompagnant des journalistes de France 5 a été violée sous la menace d’un couteau par trois clandestins à Calais. Comme le demande le Front national de Saône et Loire qui appelle à manifester samedi 29 octobre à 15 heures devant la mairie de Digoin contre l’arrivée des clandestins : « Ceux qui arrivent dans nos villes sont-ils du même tonneau ? » De ceux qui pillent, cassent et agressent et violent comme à Cologne ? Ou de ceux qui infiltrent pour le compte de Daesh ?
Manuel Valls le sait bien puisqu’il a clairement menacé, samedi, à Tours. Il a besoin de menacer : « Ceux qui se mettront en travers de l’accueil des réfugiés trouveront l’Etat devant eux. » Plus furibard et plus motivé que lorsqu’il s’agit d’aller déloger les assassins de flics dans les zones de non-droit. Le premier ministre vise-t-il directement ceux qui, comme Robert Ménard, refusent de livrer leurs administrés à la loi de la jungle de Calais, au danger terroriste mais aussi aux risques des affrontements entre migrants et Français ? Et tous ceux qui refusent le suicide collectif de cette invasion initiée, organisée, encouragée par ceux-là même qui la subissent ? C’est Manuel Valls qui risque de trouver le peuple français devant lui.
Paris – Nicolas Bay, numéro trois du Front national, estime que « la place des clandestins c’est dans des charters ».
« Bien sûr, la place des clandestins, c’est pas dans des camps payés par les contribuables, c’est évidemment dans des charters », a déclaré mardi sur France 2, le numéro 3 du FN qui s’exprimait sur le démantèlement de la « Jungle » de Calais.
« La solution, ça n’est pas la répartition, c’est l’expulsion », « On ne fait que déplacer et amplifier le problème » a-t-il poursuivi.
Pour Nicolas Bay « Il fallait surtout les empêcher d’entrer avant de vouloir les empêcher de sortir pour aller vers l’Angleterre. Et puis il fallait surtout cesser d’organiser l’accueil de ces immigrés clandestins, massif, sur l’ensemble du territoire national ».
Déboutées, déboutées sur toute la ligne. Les deux associations pro-immigrés et pro-islamistes, Esprit Libre et Cultures Solidaires, ont été renvoyées dans les cordes ce matin par le Tribunal administratif de Montpellier. Alors qu’elles demandaient la suppression de plusieurs articles consacrés aux migrants dans deux éditions du Journal de Béziers, elles n’ont rien obtenu. Quant à leur autre demande de retrait de l’affiche sur le référendum, elle n’a bien entendu pas été retenue par le juge, l’affiche en question n’étant plus en place au moment du procès ! Beaucoup d’amateurisme pour des associations qui, sous couvert de culture et d’humanitaire, s’échinent à favoriser une politique migratoire dont les Biterrois ne veulent pas. Des associations animées par des militants islamistes qui, il faut le redire, n’hésitent pas à afficher sur leur page Facebook une Marianne décapitée, dont la tête a été remplacée par un Coran… Des associations dont les militants perturbent régulièrement les séances du conseil municipal, signe de leur mépris pour la démocratie communale. Et pour la démocratie tout court. Une décision de justice qui va dans le sens de la liberté d’expression. Une liberté qui doit également bénéficier au maire élu par la population. N’en déplaise à tous ceux qui voudraient faire taire des élus qui ont le seul tort de « mal penser » au regard de la petite caste politico-médiatique