Quand Trump signa le fameux décret anti-immigration, les médias firent ce qu’ils savent faire de mieux, c’est-à-dire mentir. Baptisé par les médias comme étant un « muslim ban », ce décret ne concerne pourtant que 8 % des musulmans dans le monde. Par ailleurs, ce décret ne fut pas préparé par l’administration Trump mais par celle d’Obama qui, en février 2016, estimait que les pays concernés étaient « des zones préoccupantes ».
De plus, en interdisant l’entrée des USA aux « réfugiés » syriens, le président américain reçoit actuellement les invectives de nombreux dirigeants tels que Hollande ou Merkel. Mais à la différence de ces derniers, Trump refuse de déstabiliser son pays pour obéir à l’injonction des médias.
Pourtant, et malgré toute la diabolisation en cours, Trump est sur le point de régler la crise des migrants.
Petit retour en arrière…
Au cours de sa campagne électorale, Trump plaidait au Moyen-Orient pour des « zones de sûreté » afin d’aider les nombreux réfugiés qui ont été déplacés par les conflits. Par ailleurs, et dans le même esprit que le mur avec le Mexique, Trump assurait que c’était aux pays du Golfe de financer ces « zones de sûreté ». Comme d´habitude, les « experts » avaient jugé cette proposition irréaliste et elle fut donc moquée… Aujourd’hui, on sait que lorsque Trump annonce quelque chose, il se réalise.
Ainsi, et au cours d’un entretien téléphonique, le roi Salmane d’Arabie saoudite a approuvé l’idée de Trump d’établir des « zones de sûreté » en Syrie et au Yémen.
Certes, il ne s’agit, pour l’instant, que d’un soutien et la Syrie et le Yémen devront donner leur accord préalable. De plus, l’Arabie saoudite est réputée pour son double discours, mais il est probable que cette dernière tiendra ses engagements car elle a terriblement besoin des Américains face à l’Iran qui s’impose de plus en plus au Moyen-Orient. Par ailleurs, il est possible que les Saoudiens souhaitent éviter de faire partie de la prochaine liste des pays interdits de visa aux USA (un nouveau décret est en préparation et inclurait des pays alliés).
Par un simple coup de téléphone, Trump vient d’amorcer un début de solution face à une crise migratoire qui s’est transformée, en Europe, en véritable crise civilisationnelle.
Si ce projet se réalise, alors le problème des migrants sera « réglé » à la source. Les vrais réfugiés trouveront un endroit sûr et proche de leur foyer, des drames comme celui du petit Aylan seront évités, l’Europe n’aura plus aucune raison d’accepter ou de garder des migrants et la Turquie ne pourra plus faire chanter l’Europe aussi facilement !
Pourtant, aucun média ou politique n’a, pour l’instant, salué cette initiative… C’est à se demander si « le camp du bien » souhaite réellement trouver une solution à ladite « crise des réfugiés ».
BV