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  • Macron "révolutionnaire anti-système" !

    (merci à Dirk)

  • Dessin de presse

     

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    par Soulcié

  • Affaire Fillon: l'enquête s'étend aux enfants et au Sénat

    Selon nos informations, le Parquet National Financier (PNF) a demandé aux policiers d’étendre leur enquête à deux des enfants du couple.

    Après laS mère, les enfants...L’enquête sur les soupçons d’emplois fictifs concernant Penelope Fillon continue tambour battant. Selon nos informations, le Parquet National Financier (PNF) a demandé aux policiers, par soit-transmis comme on dit dans le jargon judiciaire, d’étendre leur enquête à deux des enfants du couple, Marie et Charles Fillon, soupçonnés comme leur mère d’emplois fictifs. Les deux ont été employés comme assistants parlementaires alors que leur père était sénateur à partir de septembre 2005.

     

    Les deux enfants devraient être rapidement auditionnés 

     

    Selon nos informations, les deux enfants du candidat de la droite à l’élection présidentielle devraient être rapidement auditionnés par les enquêteurs de l’Office central de la lutte contre la corruption et des infraction financières et fiscales (Ocliff). Par ailleurs, une perquisition devrait également avoir lieu dans les jours prochains. À cette heure, selon nos informations, ni Marie Fillon, ni son frère Charles n’ont reçu la moindre convocation de la part des policiers. Par ailleurs, aucune demande d’autorisation de perquisition n’a encore été transmise auprès du président du Sénat, Gérard Larcher, de la part du PNF. Cette procédure est incontournable pour pouvoir aller fouiller dans les bureaux administratifs du Sénat à la recherche notamment des contrats de travail des enfants Fillon. Le PNF pourrait, comme il l’avait fait avant de perquisitionner l’Assemblée Nationale, se border en déposant une requête auprès du Juge des Libertés et de la Détention (JLD), garant de la légitimité de la procédure.

       

    À LIRE. L'enquête en cinq questions

     

    Marie et Charles Fillon sont soupçonnés d’avoir touché à eux deux 84.000 euros, comme l’a révélé hier le Canard Enchaîné. Autour de 3800 euros brut par mois pour Marie, d’octobre 2005 à décembre 2006. A l’époque l’étudiante de 23 ans venait tout juste de terminer ses études de droit et ne prêtera son serment d’avocate que deux ans plus tard. Son frère âgé de 23 ans également à l’époque, aurait perçu, lui, 4846 euros brut de janvier à juin 2007. Or François Fillon avait déclaré sur TF1, le 26 janvier dernier, avoir « rémunéré deux de ses enfants avocats lorsqu’il était sénateur pour des « missions précises »en raison de leurs compétences. Contactés mardi par le Parisien, Marie et Charles Fillon n’ont pas souhaité répondre à nos questions.

      leparisien.frJean-Michel Decugis et Eric Pelletier

  • ZOOM - Johann Gudenus (FPÖ)

    TVL

  • Johann Gudenus (FPÖ) : « Nous sommes prêts à gouverner l’Autriche »

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    02/02/2017 – AUTRICHE (NOVOpress) : Johann Gudenus a 40 ans. Il est, avec Heinz-Christian Strache, Norbert Hofer et Harald Vilimsky, l’une des quatre personnalités principales du FPÖ (Freiheitliche Partei Österreichs, Parti de la liberté d’Autriche), le parti associé au FN au Parlement Européen. Il a été de 2003 à 2009 le responsable du RFJ, la section jeunes du FPÖ. Depuis 2015, il est vice-maire de Vienne (sans portefeuille) en sa qualité de chef du premier groupe d’opposition au conseil municipal de la capitale autrichienne.

    Après l’élection présidentielle de 2016 et les 47 % obtenus par Norbert Hofer, le FPÖ est plus proche qu’il ne l’a jamais été d’accéder au pouvoir lors des prochaines élections législatives, qui auront lieu au plus tard en 2018. Il répond aux questions de Nicolas de Lamberterie pour la télévision française TV Libertés.

  • «Envoyé Spécial» : quand Penelope Fillon ne parlait pas de politique à la maison

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    >Elections>Election présidentielle|Carine Didier|02 février 2017, 23h28|1

     Penelope Fillon interrogée en 2007 par le Sunday Telegraph

    Capture France 2
     
     
    Carine Didier
     
    Election présidentielleSarthePenelope FillonSunday TelegraphEnvoyé Spécial
     

    «Envoyé Spécial (France 2) a diffusé ce jeudi soir, comme prévu, une interview accordée le 18 mai 2007 au quotidien britannique The Sunday Télegraph par Penelope Fillon dont le mari venait d’être nommé à Matignon. Troublant. 

    «Je n’ai jamais été son assistante ou quoi que ce soit de ce genre. Je ne m’occupe pas non plus de sa communication ». Ainsi s’expliquait Pénélope Fillon sur son rôle auprès de son mari dans une interview accordée le 18 mai 2007 au quotidien britannique The Sunday Télegraph alors que François Fillon venait d’être nommé à Matignon.

     

    Des propos «oubliés» pendant dix ans et dévoilés ce jeudi soir par le magazine « Envoyé Spécial » (France 2) qui a retrouvé ce document en enquêtant sur l’emploi d’assistante parlementaire de 1998 à 2002 de l’épouse de l’actuel candidat à la Présidentielle des Républicains.

     

    «J'allais voir les personnes âgées, rien de plus»

     

    Dans cet entretien mené par la journaliste Kim Willsher, Pénélope Fillon raconte sa vie parisienne, précisant avoir repris des études de littérature anglaise. «Je me suis dit que cela me remettrait au travail...Je me suis rendue compte que mes enfants ne me voient que comme une mère», précise-t-elle alors.

     

    Interrogée sur son implication auprès de son mari, elle indique l’avoir « toujours accompagné dans ses campagnes électorales et aux meetings pour aider...». Quand François Fillon était maire de Sablé-sur-Sarthe , « j’allais voir les associations de personnes âgées. Mais rien de plus », ajoute sa femme.

       

    «Je ne m'implique pas»

     

    Mais ce n'est pas tout. Si les journalistes d'«Envoyé Spécial», Yvan Martinet et Tristan Waleckx, n'ont obtenu aucun commentaire des proches de François Fillon sur le travail de sa femme lors de son meeting à Paris dimanche dernier, ils ont poursuivi leurs investigations dans la Sarthe.Et ils y ont retrouvé un autre document. Il s'agit d'un article de la presse régionale d’octobre 1999 où Pénélope Fillon affirmait : « Nous ne parlons jamais de politique à la maison (....). Les gens savent que je ne m'implique pas dans la vie de mon mari».

     

    De nouveaux éclairages qui, selon le magazine de la Deux, pourraient«mettre à mal» la ligne de défense du candidat des Républicains.

     

    LE PARISIEN

      

  • JOURNAL TVL DU 02.02.17

  • Marseille (13) : les migrants manifestent pour dénoncer «les promesses non-tenues»

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    21h07

    Omar (Photo), Lamine et Dabo sont réunis derrière la même banderole ce lundi midi : « Préfet ! Respecte les promesses de Calais ! » Pourtant, ces trois jeunes hommes, l’un originaire du Soudan et les deux autres de la Guinée, ne se sont jamais croisés de leur vie.

     

    Mais depuis quelques mois, ils sont dans la même galère. Et aujourd’hui, ils veulent se faire entendre car « ils désespèrent face à leur situation qui ne change pas. » Avec le soutien de plusieurs associations, ils tentent donc le coup de force face à la préfecture. « On nous avait promis la fin des procédures de Dublin en quittant Calais. Mais, c’était un mensonge », s’énerve Omar. (…)

    « Nous, on ne veut surtout pas retour en Italie. On ne parle même pas la langue. Il n’y a rien là-bas. Ils nous ont forcés à mettre nos empreintes. On veut vivre en France ! », explique Lamine et Dabo (…)

    Source

    Merci à Pythéas

  • « On ne veut pas se retrouver dans la situation de la France avec une large population musulmane »

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    17h06
     

    Dimanche soir, un haut responsable de l’administration Trump a briefé les journalistes en ces termes :

    « La réalité est que nous ne voulons pas nous retrouver aux Etats-Unis dans la situation de la France, de l’Allemagne ou de la Belgique avec une large population musulmane. »

    « On ne veut pas d’une situation où dans 20-30 ans il devient normal qu’il y ait régulièrement des attaques terroristes sur notre sol. Les Etats-Unis est un pays souverain qui n’a absolument pas l’obligation d’intégrer n’importe quel immigré.« 

    Breitbart

  • Neil Gorsuch, choisi par Donald Trump pour occuper le siège vacant à la Cour suprême

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    Neil Gorsuch, choisi par Donald Trump pour occuper le siège vacant à la Cour suprême, incarne certains thèmes chers à l'Amérique conservatrice. Quatre informations à retenir sur ce magistrat discret à l'ascension rapide.

    • Il est le plus jeune juge nommé à la Cour suprême depuis 25 ans

    Neil Gorsuch, choisi par le président américain Donald Trump pour occuper le siège vacant à la Cour suprême des États-Unis, devient, à 49 ans, le plus jeune juge nommé à la Cour en un quart de siècle. Il doit maintenant se préparer à l'épreuve de sa confirmation par le Sénat où certains élus démocrates menacent de faire barrage au choix de Donald Trump.

    • Il vient du Colorado

    Neil Gorsuch se dit attaché au Colorado, État qui l'a vu naître en 1967. Il y vit avec son épouse Louise et leurs deux filles; il y pratique la pêche à la mouche et y élève des chevaux, des volailles et des chèvres.

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    Neil Gorsuch (à droite) pose ici en 2014 dans le Colorado avec le défunt juge Scalia, qu'il s'apprête à remplacer à la Cour suprême. - Crédits photo : HANDOUT/REUTERS

    Le magistrat issu d'un milieu aisé a toutefois vécu une partie de sa jeunesse à Washington, où sa mère dirigeait sous la présidence de Ronald Reagan l'Agence de protection de l'environnement (EPA). Il est passé par la prestigieuse université de Columbia et par la Harvard Law School avant de traverser l'Atlantique pour peaufiner son CV à Oxford, en Grande-Bretagne. Le juriste a ensuite arpenté en 1993/1994 l'imposant édifice en marbre de la Cour suprême, étant l'assistant d'Anthony Kennedy qui, à 80 ans, fait toujours partie de la vénérable institution. Gorsuch a aussi travaillé dix ans comme avocat d'affaires dans un cabinet privé, avant de rejoindre les services du ministère de la Justice sous la présidence de George W. Bush. C'est d'ailleurs Bush qui l'a nommé à la cour d'appel de Denver, le magistrat obtenant facilement sa confirmation par le Sénat en 2006.

    • Il appartient à l'école dite «originaliste»

    Neil Gorsuch incarne des thèmes chers à l'Amérique conservatrice en matière de famille, de religion et d'interprétation littérale de la Constitution. Ses opinions sont principalement connues par ses écrits et jugements: il a rédigé un livre développant des arguments contre l'euthanasie et a soutenu des entreprises qui refusaient de fournir une couverture santé incluant une contraception à leurs employées. Comme le juge Antonin Scalia décédé en février 2016 et dont Gorsuch s'apprête à reprendre le siège, il est favorable à la peine de mort. Et, comme son mentor, il appartient à l'école de jurisprudence américaine originaliste, qui soutient que la Constitution doit être interprétée conformément à son sens originel à l'époque de son adoption. «Je respecte (...) le fait que dans notre ordre juridique, il appartient au Congrès et non aux cours d'écrire de nouvelles lois», a-t-il ainsi déclaré mardi, au côté de Trump, après l'annonce de sa nomination. «Il appartient aux juges d'appliquer, et non d'altérer, le travail des représentants du peuple. Un juge qui aime tous les jugements auxquels il parvient est en toute probabilité un mauvais juge», a-t-il ajouté, s'opposant ainsi à une interprétation plus large du texte de la Constitution.

    • Il est reconnu pour ses talents de diplomate

    Neil Gorsuch pourrait rassurer les républicains qui ne se reconnaissent pas dans le nouveau président américain. Doté d'une politesse indéfectible, le juge Gorsuch est également réputé pour ses talents de diplomate et sa rigueur intellectuelle. Il présente enfin l'atout de ne jamais avoir proféré de déclaration fracassante susceptible d'entraver sa confirmation, en particulier sur l'avortement.

    Le Figaro

  • Penelope Fillon : « Envoyé spécial » va diffuser une vidéo embarrassante

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    >TV|Carine Didier|02 février 2017, 0h17 | MAJ : 02 février 2017, 0h29|0

      

     
    Carine Didier
     
    TVFrançois FillonPenelope FillonAffaire Penelope Fillon
     

    Dans une interview à un journal anglais en 2007, que le magazine d'Elise Lucet a retrouvée, Penelope Fillon expliquait qu'elle n'était pas l'assistante de son mari. 

    Ce jeudi soir, l’enquête des reporters Yvan Martinet et Tristan Waleckx dans le magazine « Envoyé spécial », sur France 2 à 21 heures promet de nouvelles révélations sur l’affaire Fillon. «La question centrale au niveau judiciaire, pénal et politique est: Pénélope Fillon a-t-elle oui ou non occupé un poste d’assistante parlementaire auprès de son mari pour lequel elle a été déclarée ou s’agit-il d’un emploi fictif ? » avance la journaliste et présentatrice du magazine Elise Lucet. Des élus ont salarié leur conjoint et c’est légal. Mais un emploi fictif est passible du pénal, ce qui aurait des conséquences sur la suite de la campagne».

     

    Or, au cours de ses investigations, l’équipe d’ «Envoyé Spécial » a recupéré les images -aujourd’hui inaccessibles sur internet- d’une interview de 45 minutes que l’épouse galloise du candidat des Républicains avait accordée au quotidien britannique « The Sunday Telegraph » le 18 mai 2007. Alors que son mari venait d’être nommé à Matignon, Pénélope Fillon y évoque sa vie quotidienne. « Elle explique qu’ elle se rend parfois à des meetings, se met au fond de la salle et écoute de loin, qu’elle a été très investie à Sablé-sur Sarthe, (ndlr : le fief historique de François Fillon) précise Elise Lucet. Et, il y a deux phrases déterminantes où elle dit : « Je n’ai jamais été l’assistante de mon mari et je ne me suis pas non plus occupée de sa communication ».

      


    Ces propos apportent un autre éclairage. « Ils sont prononcés en 2007 alors qu’on sait que Pénélope Fillon a été payée pendant quatre ans comme assistante parlementaire par son mari de 1998 à 2002. Cela pose de vraies interrogations sur l’emploi fictif ». D’autant que Madame Fillon racontait alors avoir repris des cours de littérature anglaise après avoir réalisé que ses enfants l’avaient « connue uniquement dans le rôle de mère ».

    Selon Elise Lucet, «on est loin de quelqu’un d’investi dans la vie politique auprès de son mari ». Mais difficile d’en savoir plus sur les réelles fonctions de l’épouse du député. « Nous avons posé la question lors du meeting de François Fillon dimanche dernier ainsi qu’à Sablé-sur-Sarthe et nous avons été extrêmement étonnés de voir que personne ne se pressait pour nous répondre. La plupart des gens a refusé alors que beaucoup ont côtoyé Pénélope Fillon pendant des années».

      leparisien.frCarine Didier
     
     
  • Affaire Fillon: un contrat de travail au coeur de l'enquête

    http://www.leparisien.fr/elections/presidentielle/affaire-fillon-un-contrat-de-travail-au-coeur-de-l-enquete-01-02-2017-6646842.php

    Déroulez l'article jusqu'au bout

  • Qui est Neil Gorsuch, nommé juge à la Cour suprême par Donald Trump

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    01/02/2017 – FRANCE (NOVOpress avec Le Salon beige: La nuit dernière, Donald Trump a annoncé sur Twitter avoir désigné Neil Gorsuch pour siéger à la Cour suprême des Etats-Unis, ajoutant : « C’est un homme bon et brillant, respecté par tous. » Et qui pourrait siéger plusieurs décennies si dieu lui prête vie puisqu’il n’est âgé que de 49 ans et que les juges de la Cour suprême, qui sont neuf, sont nommés à vie par le Président des Etats-Unis. Neil Gorsuch viendra remplacer le juge Antonin Scalia, décédé en février 2016, dont le remplacement avait été différé en raison de l’entrée du pays en campagne présidentielle : les Républicains étaient parvenus à bloquer les tentatives de Barack Obama de nommer un juge progressiste.

    Docteur en droit, il a été assistant du juge fédéral à la cour d’appel pour le circuit du district de Columbia, puis aux côtés des juges de la Cour suprême Byron White et Anthony Kennedy, en 1993 et 1994. Il a travaillé ensuite pendant dix ans, de 1995 à 2005, comme avocat d’affaires dans un cabinet juridique de Washington. De 2005 à 2006, il a été le premier adjoint du procureur général associé des États-Unis, Robert McCallum. En 2006, le président George W. Bush l’a nommé au poste de juge fédéral à la cour d’appel pour le dixième circuit, et le Sénat a confirmé cette nomination peu de temps après, à l’unanimité des votants.

    Episcopalien, hostile à l’avortement, le juge Gorsuch s’est illustré dans ses décisions contre l’euthanasie et contre certaines dispositions de la loi sur la santé (l’« Obamacare »). Il a ainsi jugé légitime, au nom de la liberté religieuse, l’opposition des propriétaires de la chaîne de distribution Hobby Lobby, en juin 2014, à la prise en charge les frais de contraception de leurs employées dans le cadre de la protection sociale permise par l’Obamacare.

    Sur les neuf juges de la Cour suprême, deux des juges les plus âgés sont des démocrates. Ruth Bader Ginsburg et Stephen Breyer ont dépassé l’âge moyen auquel ces juges nommés à vie se retirent ordinairement. Un juge nommé par un président républicain, Anthony Kennedy, se trouve dans ce cas et c’est justement celui qui se rallie à la gauche sur les sujets de société… Ce pourrait donc ne pas être la dernière nomination de Donald Trump.

    La nomination de Neil Gorsuch, qui a suscité un Tweet immédiat de Bernie Sanders, inquiet pour « les droits des femmes » – autrement dit l’avortement – devra être confirmée par le Sénat mais il ne devrait pas y avoir de surprise : ce juge fait l’unanimité parmi les élus républicains.

  • Le Parlement britannique lance le Brexit

    Par Florentin Collomp
    Mis à jour le 01/02/2017 à 22h07 | Publié le 01/02/2017 à 18h43

    Les députés se prononcent à une large majorité pour le déclenchement de la sortie de l'Union européenne.

    De notre correspondant à Londres

    Le compte à rebours est lancé, avant le déclenchement officiel de la procédure de divorce du Royaume-Uni avec l'Union européenne par l'article 50 du traité du Lisbonne. Theresa May a promis d'en notifier Bruxelles avant fin mars. Pour tenir ce délai, un Blitzkrieg législatif a débuté mardi, une semaine après la décision de la Cour suprême la forçant à obtenir, au préalable, l'assentiment du Parlement sur cette procédure.

    Intitulé «projet de loi de l'Union européenne (notification de retrait)», le texte, très court, a été approuvé à une très large majorité lors d'un premier vote, ce mercredi soir: 498 députés se sont prononcés en sa faveur, contre 114 s'y opposant. Un retournement remarquable: les trois quarts de ces élus avaient voté contre la sortie de l'UE lors du référendum en juin.

    « Nous sommes un parti fondamentalement internationaliste, nous sommes proeuropéens. Mais nous n'avons pas réussi à convaincre»

    Keir Starmer, député chargé du Brexit

    Le projet de loi sera à nouveau discuté en commission la semaine prochaine, avant un nouveau vote aux Communes. Il sera ensuite transféré à la Chambre des lords à la fin du mois, dans l'espoir d'une adoption définitive le 7 mars. Theresa May devrait donc obtenir le pouvoir de notifier l'article 50 en temps voulu, grâce au soutien de sa majorité conservatrice et d'une partie de l'opposition travailliste à la Chambre des communes.

    Le ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson, a salué un«vote historique» et s'est félicité de cette «énorme majorité pour faire avancer nos négociations sur le Brexit». Si certains conservateurs proeuropéens s'inquiètent de la marche vers un Brexit «dur», hors du marché unique, ils ne tiennent pas à se lancer dans une fronde contre-productive contre la première ministre sur cette question de principe. Ils ont été amadoués par la promesse du gouvernement de publier, ce jeudi, un «livre blanc» détaillant ses projets. Seul, parmi eux, l'ancien ministre franc-tireur Ken Clarke a voté contre le gouvernement. Il a regretté que le Royaume-Uni «embarque pour un voyage vers un avenir inconnu qui sidère tous nos amis». Les députés tories avaient été priés de rester dans l'enceinte du Palais de Westminster jusqu'à minuit mardi soir, pour parer toute adoption subreptice d'amendements par l'opposition.

    Le Labour déchiré

    Les travaillistes, de leur côté, se sont déchirés sur la consigne ferme donnée par leur leader Jeremy Corbyn de voter avec la majorité. Quelque 47 députés Labour ont bravé ce mot d'ordre, entraînant le parti dans une nouvelle crise existentielle. Le député chargé du Brexit, Keir Starmer, avait reconnu qu'il s'agissait d'un choix «difficile» pour les travaillistes. «Nous sommes un parti fondamentalement internationaliste, nous sommes proeuropéens. Mais nous n'avons pas réussi à convaincre. Nous avons perdu le référendum», a-t-il reconnu, dépité. Plusieurs membres du «gouvernement fantôme» de Corbyn ont toutefois démissionné de leur poste pour assumer leur dissidence avec la ligne officielle. Son rival dans la course à la tête du parti l'an dernier, Owen Smith, a déposé une motion soutenue par douze autres élus travaillistes pour réclamer un second référendum sur la sortie de l'UE. Un autre amendement déposé demandait le maintien dans le marché unique, un troisième, la consultation des parlements régionaux d'Écosse, d'Irlande du Nord et du pays de Galles. Un autre encore visait à obtenir la protection du statut des ressortissants européens installés au Royaume-Uni. Plus de 80 pages de modifications supplémentaires au texte initial devront être discutées la semaine prochaine. Cinquante élus nationalistes écossais, 7 libéraux-démocrates ont voté mercredi contre l'article 50 avec les 47 frondeurs travaillistes, faute d'avoir réussi à imposer leurs amendements. Une guérilla qui s'apparente à un baroud d'honneur pour les partisans du maintien dans l'Europe. «Ce n'est pas un projet de loi sur le fait de sortir ou non de l'UE ou sur la façon de le faire. Il s'agit simplement d'appliquer une décision déjà prise», avait rappelé le ministre de la Sortie de l'UE, David Davis. «La seule question à laquelle vous devez répondre est: faites-vous confiance au peuple?», dramatisait de son côté Theresa May.

    Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 02/02/2017.

     

     

     

     

  • Lycéen poignardé à Paris : le suspect a reconnu les faits

     

    >Île-de-France & Oise>Paris>Paris XX|Avec Benoît Hasse|01 février 2017, 18h49 | MAJ : 01 février 2017, 19h34|6
    Rue Ligner (XXe), hier. Alors que la police bouclait la voie où se trouve le lycée Charles-de-Gaulle, des enquêteurs fouillaient les poubelles à la recherche du couteau utilisé (en haut). Près du lycée Paul-Valéry (en bas), boulevard Soult (XIIe), un élève a aussi été agressé hier par une vingtaine de jeunes et a été transporté à l’hôpital. Lp/aurélie ladet et benoit hasse
     
     
    Avec Benoît Hasse
     
    Paris XXAdamaMadiaraLycéen poignardé
     

    Adama a reconnu avoir poignardé à mort un autre élève de son lycée parisien. 

    Il a reconnu les faits. En garde à vue depuis lundi soir, Adama, principal suspect dans l'affaire du lycéen poignardé lundi devant son établissement professionnel Charles-de-Gaulle (Paris XXe), a avoué avoir mortellement blessé Madiara, 17 ans, avec un couteau. 

     Selon les explications fournies à son avocat, Me Adrien Gabeaud, Adama assure qu'il n'y avait ni préméditation ni intention de donner la mort. Tout serait parti d'une altercation dans la cour du lycée à la pause du matin, sur fond de vieilles rivalités entre quartiers du XIIe et XXe arrondissement. Le drame s'est noué à l'heure du déjeuner : avec un ami, Adama aurait affronté Madiara, lui aussi accompagné de copains. Selon son avocat, Adama aurait saisi le couteau de l'un de ses adversaires et poignardé Madiara dans la lutte. 

     Le jeune homme, qui se dit «dépassé par les événements», notamment par les menaces que sa mère auraient subies, aurait un profil «banal», bien loin de celui d'un caïd, selon son avocat. 

     Sa garde à vue doit se terminer ce mercredi soir et il devrait être présenté à un juge demain. L'autre suspect est lui toujours en fuite. 

        

      leparisien.fr
  • JOURNAL TVL DU 01.02.17

  • Immigration. « No ban, no wall » : Macron dénonce le décret de Trump

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    14h20

    « No ban, No wall » : le candidat à l’élection présidentielle Emmanuel Macron a dénoncé dimanche les mesures prises par le nouveau président américain Donald Trump à l’encontre des réfugiés et des ressortissants de pays musulmans et a apporté son soutien aux personnes « fuyant la guerre et les persécutions« .

    « Etats-Unis : je soutiens ceux qui fuient la guerre et la persécution, je soutiens ceux qui défendent nos valeurs #NoBanNoWall« , écrit l’ancien ministre de l’Economie et fondateur du mouvement « En marche! », sur son compte Twitter, en anglais.

     

    Le Figaro

    Merci à Pythéas

  • Le décret anti-terroriste de Trump met Riyad "dans une position délicate"

    https://fr.sputniknews.com/international/201701311029879689-trump-immigration-arabie-saoudite-expert/

    Excellent article à lire absolument