BREIZATAO – ETREBROADEL (26/06/2017) C’est une grande victoire pour le président Donald Trump : l’interdiction de territoires pour les ressortissants de 7 pays musulmans touchés par le terrorisme islamique a été validée par la Cour Suprême, la plus haute autorité du pays.
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VIDEO - Seine-Saint-Denis: ils ouvrent les bouches à incendie pour se rafraîchir
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Quel avenir pour le FN et Marine ? (2) par Guillaume FAYE
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JOURNAL TVL DU 28/06/17
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Une jeune Française dans la pouponnière du Bolchoï
Silvia Wilson a 16 ans. Nous lui souhaitons une belle réussite et la réalisation de son rêve!
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Italie : l’alliance des droites entre la Ligue du Nord et le parti de Berlusconi remporte les élections municipales
Une bonne nouvelle!
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Trump refuse de célébrer la fête mahométane de la fin du ramadan à la Maison-Blanche
BREIZATAO – ETREBROADEL (26/06/2017) Le président Donald Trump a décidé de boycotter la fête mahométane de « l’aïd el fitr » à la Maison-Blanche et s’est refusé en conséquence d’y organiser un repas. Il rompt avec ses prédécesseurs qui depuis 20 ans s’étaient livrés à ce sinistre exercice.
La Maison-Blanche avait lancé cette provocation en 1996 sous la présidence du socialiste Bill Clinton.
Le mois du ramadan, mois privilégié des opérations militaires pour les combattants musulmans, a été l’occasion d’une débauche de violence avec 174 attaques terroristes faisant 1595 morts.
(Source : Le Soir)
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TRUMP: "Il y a de la dignité dans chaque emploie honnête" (16/06/17)
Ecoutez son allocution hebdomadaire au peuple américain
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Le décret anti-immigration de Trump est remis partiellement en vigueur
- Publié le : lundi 26 juin 2017
- Mots-clés : Donald Trump; États-Unis; Immigration; Justice & Droit; Terrorisme
- Commentaires : 2
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- Source : lecho.be
La Cour suprême des États-Unis a remis partiellement en vigueur le décret anti-immigration très controversé de Donald Trump à l’encontre de six pays majoritairement musulmans. Elle dit vouloir l’examiner en audience à l’automne.
Le décret anti-immigration du président américain Donald Trump est remis partiellement en vigueur. C’est la Cour suprême des États-Unis qui a pris cette décision quant à ce décret extrêmement controversé qui interdit l’accès au territoire aux citoyens de six pays majoritairement musulmans ainsi qu’à tous les réfugiés. La Cour a annoncé qu’elle examinera le décret en audience à l’automne.
Le décret interdisant l’entrée aux États-Unis des ressortissants de la Syrie, Libye, Iran, Soudan, Somalie et Yémen, s’applique désormais vis-à-vis de quiconque « n’ayant pas établi de relation de bonne foi avec une personne ou une entité aux États-Unis ». En clair, tout habitant de ces six pays qui serait totalement inconnu des autorités américaines se verra refuser l’accès au territoire des États-Unis.
« Nous acceptons en partie les recours (sur le décret) et nous acceptons de suspendre en partie (les décisions ayant bloqué l’application du texte) », ont résumé les juges. Cette décision est annoncée au dernier jour de la session annuelle de la Cour suprême, l’institution qui aux États-Unis a le dernier mot sur tous les sujets nécessitant une interprétation de la Constitution.
Succès relatif pour Trump
Cette décision est une victoire relative mais néanmoins notable pour Donald Trump, dont la mesure emblématique a été suspendue par de multiples juges, en première instance et en appel. Non seulement les plus hauts magistrats du pays acceptent que le décret soit mis partiellement en application, mais ils offrent au président américain une chance d’emporter une victoire judiciaire finale venant annuler les camouflets subis.
Il faudra probablement plusieurs jours pour que les mesures du décret soient appliquées pleinement par la police américaine aux frontières. Le fameux décret a connu deux moutures, qui avaient été bloquées par les tribunaux en février et mars. Deux suspensions dénoncées par Donald Trump comme symptomatiques d’une « justice politisée ».
Le président américain défend la plus décriée de ses initiatives en assurant qu’elle répond à un problème de sécurité nationale lié à l’immigration d’individus potentiellement dangereux. Depuis les attentats du 11 septembre 2001, les attaques les plus graves aux États-Unis ont pourtant été commises soit par des Américains, soit par des ressortissants ne provenant pas des pays visés par le décret.
Le texte a fédéré un vaste front d’opposition, en première ligne duquel on trouve des États démocrates, notamment sur la côte ouest du pays où le président est particulièrement impopulaire. Dans chacun des revers que lui ont infligés les juges, la rhétorique anti-musulmane du Président, qu’il n’a jamais clairement reniée, a beaucoup pesé.
Fin janvier, la première version du décret avait provoqué une onde de choc dans le monde et un chaos dans les aéroports américains. Avant d’être suspendue. Quelques semaines après son entrée en fonction en janvier, Donald Trump a nommé un nouveau juge à la Cour suprême, Neil Gorsuch, faisant pencher l’institution du côté conservateur.
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France: Un banquier musulman vole une vieille dame de 89 ans puis l’accuse d’islamophobie
Christian Hofer: A noter l'inversion immonde de ce banquier musulman. Il vole une vieille dame mais l'accuse de racisme.
Or c'est une excuse maintes fois utilisées par ces gens pour se présenter en victimes et excuser leurs actes dégueulasses.
Le véritable raciste, c'est en réalité ce banquier, une crapule qui vole une vieille dame non musulmane! Aurait-il fait la même chose si la victime avait été musulmane?
Bien évidemment, tout cela se passe dans une banlieue à forte immigration enrichissante. Celle-là même où le Français de souche est justement... minoritaire.
Enfin, on notera que le titre du 20 Minutes est orienté, prétendant que la vieille dame est une raciste avérée (selon les dires du voleur qui ne valent... rien!). Il n'y a aucun conditionnel.
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Un banquier est soupçonné d'avoir détourné plus de 400'000 francs de l'assurance vie d'une dame de 89 ans.
Un jeune banquier sera jugé en août à Bobigny pour avoir escroqué pour près de 400'000 euros sa cliente octogénaire, expliquant notamment avoir «craqué» face aux propos «racistes» de cette dernière, ont indiqué dimanche des sources concordantes.
Cet homme de 27 ans a voulu «pousser un coup de gueule» contre son employeur a expliqué son avocat, Manuel Abitbol, confirmant une information du journal Le Point. «Plusieurs éléments se sont ligués», a ajouté l'avocat: «une surcharge de travail, le fait qu'il ne se sentait pas considéré par sa hiérarchie et les propos racistes et islamophobes tenus selon lui par sa cliente, alors que lui et sa famille sont musulmans».
Le jeune homme qui travaille dans une agence LCL à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) est soupçonné d'avoir détourné, entre mars et décembre 2016, 380'000 euros de l'assurance vie de cette cliente âgée de 89 ans.
Nos remerciements à Wilhelm ✙ ن
Les Observateurs.ch
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JOURNAL TVL DU 26 JUIN 2017
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Michel Onfray prend la défense de Natacha Polony
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Sylvie Goulard: pourquoi a-t-elle quitté le gouvernement ?
Sous le titre « Mais pourquoi Sylvie Goulard a-t-elle quitté le gouvernement ? » Le Journal du Dimanche révèle que l’éphémère ministre des Armées a été rémunérée par un think thank américain, d’octobre 2013 à janvier 2016, alors qu’elle était députée au Parlement européen.
Dans sa déclaration d’intérêts au Parlement de Strasbourg, Sylvie Goulard mentionne d’elle-même un poste de « conseiller spécial » auprès de l’Institut Berggruen pour des revenus « supérieurs à 10.000 euros mensuels », souligne Le JDD.
Tout était déclaré et ces sommes étaient brutes », insiste un proche de l’ancienne ministre cité par le journal qui précise cruellement que l’intéressée parle « d’un non-sujet »… à plus de 10.000 dollars par mois.
Le JDD voit là la véritable raison de la démission de Sylvie Goulard du gouvernement. -
La France entière fête l'Aïd el Fitr (fin du ramadan)
http://www.fdesouche.com/865867-la-france-entiere-fete-laid-el-fitr<top>
Dérouler et voir toutes les photos et vidéos!
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VIVRE EN EUROPEEN - par l'Institut Iliade
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Le héros Macron fait un bide au Conseil européen
La souveraineté, c’est pas pour demain
- Publié le : dimanche 25 juin
- Mots-clés : Allemagne; Emmanuel Macron; France; International; Union européenne
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- Source : eric-verhaeghe.entreprise.news
- E1R
À peine arrivé, déjà hollandisé ! Macron a été repris en main par Angela Merkel à l’occasion de son premier sommet européen. Mais… la presse subventionnée s’emploie à dissimuler le malaise.
Il y a deux façons d’aborder le sommet européen qui s’est tenu en fin de semaine. Une première voie consiste à lire les conclusions du sommet et à compter les points. Une seconde voie consiste à lire la presse subventionnée. Entre les deux, on trouve très peu de points communs.
Ce que le Conseil européen a réellement décidé
Dans la pratique, le Conseil des 22 et 23 juin n’a repris aucune des demandes françaises annoncées de longue date par le président de la République. En particulier, il n’a ouvert aucun débat sur les travailleurs détachés, sujet sur lesquels la France avait bandé les muscles en demandant un durcissement de la réglementation.
Rien que par ce silence, la France subit donc une défaite en rase campagne qui montre le peu de cas que l’Europe fait d’une France engluée dans un huis clos gagnant-perdant avec l’Allemagne, même avec un Président nouvellement élu qui pense pouvoir défier Donald Trump.
S’agissant de l’emploi, on notera d’ailleurs ce que le sommet a conclu :
S’appuyant sur les conclusions du Conseil de mai 2017, qui préconisent une stratégie pour l’avenir de la politique industrielle, le Conseil européen insiste sur le rôle essentiel de l’industrie, qui constitue un moteur important pour la croissance, l’emploi et l’innovation en Europe. Dans le prolongement de ses propres conclusions antérieures, il demande que des mesures concrètes soient prises pour que le marché unique dispose d’une base industrielle solide et compétitive.
Les conclusions du Conseil ne visent pas à redire que le travail détaché est échevelé, mais que la prospérité viendra de la défense de l’industrie. Cette vision au demeurant très allemande met des mots sur un vide français : quelle est la politique industrielle d’Emmanuel Macron ? On l’ignore jusqu’ici et curieusement le conseil européen s’est préoccupé de sujets qui n’ont aucun impact en France.
Macron battu sur les mesures anti-chinoises
Quant à l’idée d’empêcher les Chinois de prendre le contrôle à vil prix de nos pépites technologiques, Emmanuel Macron a fait un superbe bide.
Lire la suite de l’article sur eric-verhaeghe.entreprise.news
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A Bruxelles, la macromania est en marche!
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Le ministre de l'Education Nationale va distribuer Les Fables de la Fontaine à des élèves de CM2
Le ministre Jean-Michel Blanquer veut «permettre à tous de savoir lire, écrire, compter et respecter autrui»
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Jean-Michel Blanquer va offrir les Fables de la Fontaine aux écoliers
Jean-michel Blanquer. Photo © VILLARD/SIPALecture. Le ministre de l'Education nationale a annoncé qu'il allait envoyer, à 150 000 élèves, des exemplaires des Fables de la Fontaine
Le ministre de l'Education nationale a annoncé que 150.000 élèves allaient recevoir des exemplaires des Fables de la Fontaine. Auparavant, Jean-Michel Blanquer déclarait dans une interview accordée au Parisien : “Les Fables de la Fontaine nous disent quelque chose de la vie et elles sont éternelles”. Dans la matinée du vendredi 23 juin, le ministre a affirmé sur France 2 sa volonté de mettre en oeuvre des réformes pour encourager les élèves à lire davantage en leur envoyant les ouvrages du célèbre fabuliste. >>
Valeurs Actuelles
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Après la mort d’un de ses ressortissants près de Calais, la Pologne répond à Macron
L’État français ne se contente pas de faillir à ses devoirs vis-à-vis de ses propres citoyens, il viole aussi gravement ses obligations européennes.
Après la mort, mardi, du chauffeur d’une camionnette immatriculée en Pologne à cause d’un barrage d’immigrants clandestins sur l’A16 près de Calais, le gouvernement polonais a rappelé la France à ses obligations européennes. Un des piliers de l’Union européenne, c’est la libre circulation des personnes et des marchandises. En refusant d’imposer la loi de la République dans la région de Calais et à assurer le passage libre et en toute sécurité entre son territoire et la Grande-Bretagne, l’État français ne se contente pas de faillir à ses devoirs vis-à-vis de ses propres citoyens, il viole aussi gravement ses obligations européennes, et il le fait en toute conscience depuis plusieurs années.
Dans ces conditions, l’interview d’Emmanuel Macron publiée mercredi dans huit journaux européens, dont Le Figaro et le journal polonais Gazeta Wyborcza, est tombée au plus mauvais moment. C’est en effet plutôt culotté pour le Président d’un pays incapable d’assurer la libre circulation sur son territoire de rappeler les pays d’Europe centrale et orientale, même si c’est sans les nommer, à leurs obligations vis-à-vis de l’Union européenne, les accusant de traiter l’Union européenne comme un supermarché.
Pire encore : quand Macron parle d’une montée des démocraties illibérales et d’une réémergence de régimes autoritaires en Europe, les Polonais et les Hongrois se savent désignés. Pourtant, s’il est un endroit où la démocratie et les libertés individuelles ne sont plus garanties en Europe, c’est bien sur l’autoroute A16 comme dans le voisinage calaisien des camps sauvages d’immigrants clandestins.
Après la mort d’un de ses compatriotes sur l’autoroute A16 près de Calais, le ministre de l’Intérieur polonais Mariusz Błaszczak a écrit à son homologue français, le socialiste Gérard Collomb, pour exiger que la France garantisse réellement la sécurité des personnes qui voyagent en direction de la Grande-Bretagne. Il a aussi proposé des renforts polonais pour assurer la sécurité du passage. Des gardes-frontières polonais sont déjà présents aux frontières entre la Hongrie et la Serbie, entre la Bulgarie et la Turquie et entre la Macédoine et la Grèce, a rappelé Mariusz Błaszczak, et ils pourraient venir seconder les forces de l’ordre françaises visiblement dépassées par la situation. « C’est comme cela que nous faisons preuve de solidarité », a expliqué le ministre polonais en se référant aux accusations de manque de solidarité européenne formulées à l’encontre des pays qui refusent la relocalisation des immigrants clandestins, « pas en reproduisant les erreurs commises par l’Europe il y a plusieurs dizaines d’années, ou par l’Allemagne en 2015, quand les frontières ont été ouvertes aux émigrants du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord. »
BV
Excellente réponse de la Pologne à Macron, le président prétentieux!